Jennyfer et Carla 4
Récit érotique écrit par Alès [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Jennyfer et Carla 4
Cela faisait désormais 5 ans que Jennyfer et Carla étaient en couple. 4 ans après avoir fait l’amour pour la première fois elles passaient devant le maire pour se marier. Carla avait toujours rêvée d’un beau mariage. Et si elle avait une belle robe blanche et Jennyfer un beau costume blanc impeccable. Hélàs en dehors de son frère Paolo, aucun membre de leurs familles n’avaient fait le déplacement. Seuls quelques amis et quelques collègues étaient là. Malgré tout c’était un beau mariage, chaleureux qui devait leur laisser de beaux souvenirs. Repas franco-italien, vieille voiture italienne, orchestre, … tout cela dans la campagne italienne. Hélène était bien sûr le témoin de Carla, tandis qu’Elefteria était la témoin de Jennyfer. Mariage qui allait donner l’idée au couple franco-grec de faire la même chose.
Hélène et Elefteria se marient quelques semaines plus tard à Nice. Quelques jours plus tard Elefteria faisait enregistrer leur mariage au consulat de Grèce. Si le mariage homosexuel n’était pas légal en Grèce, le pays reconnaissait tout de même les couples mixtes qui s’étaient mariés à l’étranger. Carla et Jennyfer étaient leurs témoins, et une grande fête sur l’île de Lesbos était organisée la semaine suivante pour fêter le mariage des deux jeunes femmes, sous les regards médusés des habitants traditionnalistes.
Cela faisait donc 1 an qu’elles étaient mariées et un nouveau désir commençait à naître au creux du ventre de Carla. Elle voulait devenir maman. Elles avaient déjà parlé de fonder une famille mais n’était jamais entrée dans les détails. Quand elle en parlait un soir avec sa bien aimée celle-ci si sûre d’elle d’habitude s’est montrée hésitante.
« J’ai toujours voulu des enfants, mais pour une lesbienne ce n’est pas facile, c’est pas naturel. Je dois admettre aussi que ces dernières années j’ai repoussée cette idée d’avoir des enfants pour profiter de toi au maximum avant de ne plus pouvoir. J’ai envie de donner la vie, mais j’ai peur de l’accouchement, de ses souffrances et j’ai peur de ne pas savoir m’occuper d’un bébé. C’est pour toutes ces raisons que je n’en t’ai jamais parlé.
Ca me touche ce que tu me dis là. On affrontera tout ça ensemble ma chérie. Tour à tour nous aurons notre enfant et nous affronterons ensemble les grossesses, les accouchements et les bébés. Je te le promet. Je t’aime de tout mon coeur Jennyfer. »
Les deux jeunes femmes vont discuter de leur décision avec leur entourage. Hélène était enthousiaste à l’idée que sa meilleure amie ait un enfant, elle qui ne pouvait en avoir; Elefteria qui n’en voulait pas n’était pas du même avis, « Une lesbienne c’est pas fait pour avoir des enfants. ». La famille de Carla y était opposée à l’exception de Francesca et de Paolo. Francesca bien que croyante pardonnait tout à sa fille adoptive. Et malgré cette opposition elles avaient décidées que rien, n’y personne ne changerais leurs résolutions d’être mamans. Le problème était désormais de choisir un père à ces enfants et la méthode qu’elles utiliseraient. Carla était pour la solution naturelle plus simple et gratuite. Jennyfer qui n’avait jamais couchée avec un homme ne voulait pas en entendre parler. Mais avare, elle s’y est résolue en voyant le prix demandée par les cliniques belges ou espagnoles pour une P.M.A. (procréation médicalement assistée). Après avoir fait le tour de leurs rares amis masculins, elles ont pensées passer une annonce, mais c’était long, fastidieux et incertains. L’annonce c’était éplucher les candidatures, recevoir les meilleurs, passer un temps fou pour sans doute échouer. Ce dont elles avaient peur aussi c’était de tomber sur un mec qui voulait réaliser un fantasme, ou un pervers, un cas social, … . Finalement c’est Francesca qui à trouvée la solution.
« Paolo.
- Mon frère ?!
- Oui. Ton frère …, ça c’est à l’état-civil.
- Comment ça ?!
- Une semaine avant que je ne rencontre ton père, mon fiancé à cassé nos fiançailles pour partir avec une belle américaine. Sauf que nous avions fait l’amour la veille de notre séparation. Cette nuit là je suis tombée enceinte. Mais quand j’ai rencontrée ton père je l’ignorais. Quand je m’en suis rendue compte, je lui dis que j’étais enceinte et fait croire que l’enfant était de lui. Sans cela il ne m’aurait pas épousé. Une fille mère en Italie, dans les années 80 c’était impensable. Alors j’ai fait comme si. Pour l’instant seul Paolo le sait. Je ne sais pas pourquoi j’ai eut le besoin de lui dire la semaine dernière. Maintenant il va falloir que je le dise à ton père. Car Paolo est le père qu’il vous faut. Ton père est faible, je le sais et cela risque de le tuer, mais il doit le savoir. Comme tous le monde. J’ai gardé le secret trop longtemps.»
Quelques heures plus tard Francesca annonçait la nouvelle à son mari, Gianpaolo Dall’Ara. Comme elle le prévoyait cette annonce lui est fatale. Il fait une nouvelle attaque et décède quelques minutes plus tard. Francesca bien que triste est soulagée de ne plus le voir souffrir et de ne plus avoir à s’occuper de lui. Carla sous le choc laisse Jennyfer tout gérer et s’occuper d’elle. Les soeurs de Carla sonnées elles aussi s’en prennent aussitôt à Carla, à son désir d’enfant, à leur « catin » de belle-mère.
Lors des obsèques de Gianpaolo Dall’Ara, deux clans se forment autours du caveau familial dans le petit village italien d’où était originaire la famille Dall’Ara. D’un côté les filles aînées et leurs familles, de l’autre, Francesca, Paolo, Carla, Jennyfer.
Il a fallut plusieurs mois à Carla pour se remettre de la mort de son père qu’elle n’avait pourtant pas revu depuis qu’elle lui avait annoncé son homosexualité. Son projet d’enfant avait été remis à plus tard. Jennyfer s’occupait de consoler Carla, de gérer l’entreprise et la succession. Dall’Ara n’avait rien prévu pour ses biens. Or la révélation que Paolo n’était pas son fils, les trois soeurs aînées ont tout fait pour qu’il n’hérite de rien. Tout comme elles tentaient de prouver que Carla n’était pas sa fille et n’avait donc droit à rien, tout comme Francesca, qui avait provoquée la crise cardiaque fatale à leur père. D’abord conciliante Jennyfer s’est faite beaucoup moins diplomate au fil des semaines et à fini par leur déclarer.
« Gianpaolo est bien le père de Carla. Vous voulez une preuve, leur ressemblance physique. Si les grands-parents maternels de Carla n’avaient pas exigés qu’il épouse leur fille et reconnaisse Carla on ne l’aurait jamais connue. Il draguait à tout va, qui vous dit qu’il n’a pas eût d’autres enfants ailleurs. Si d’autres enfants se manifestaient et prouvaient leur filiation vous en auriez d’autant moins. Qui s’est occupée de votre père pendant qu’il était malade ? Francesca et Paolo. Vous n’avez jamais levé le moindre petit doigt pour les aider. Dois-je également vous rappelez que c’est à cause de vous qu’il à fait sa seconde crise cardiaque, quand il a appris qu’a cause de vous l’entreprise Dall’Ara allait être racheté par Dumas. Dois-je vous rappeler également que c’est grâce à Carla que vous avez toujours une part de l’entreprise ?Dois-je vous rappeler également que c’est nous avec Carla qui avons redressé l’entreprise ?C’est pour toutes ces raisons que j’en ai marre de vos manigances pour arracher tout ce que vous pouvez au cadavre de votre père sous couvert de morale. Faites ce que vous voulez maintenant. Mais je vous préviens, je soutiendrais Carla, Francesca et Paolo jusqu’au bout et je me battrais avec eux pour faire respecter leurs droits. Et vous n’avez aucune idée de ma férocité dans ce genre de cas. ».
Les trois soeurs ont tentés de continuer la lutte mais ce sont vite aperçues que Jennyfer était non seulement hargneuse et tenace, mais intelligente et parait chacune de leurs attaques. Finalement elles ont abandonnées la lutte après des mois de bataille, comprenant qu’elle serait perdue et qu’il valait mieux qu’elles se contentent de ce à quoi elles avaient droit et faire la paix. Ainsi chacun enfant de Gianpaolo recevait 5% de Dall’Ara Transports, 1/5e de sa villa et autant de sa fortune, soit 90 000 euros. Un bel héritage. Francesca quand à elle gardait l’usufruit de la villa que Paolo continuait d’habiter avec elle, avant qu’ils ne se mettent tous d’accord pour la vendre. 1 an après la mort de Gianpaolo Dall’Ara sa succession était définitivement clôturée. Désormais Carla pouvait sereinement envisager sa future grossesse.
Carla, Jennyfer et Paolo sachant maintenant tous les trois qu’il n’était pas le fils de Gianpaolo, discutaient de cet enfant que Carla voulait. Tous les trois sont vite tombés d’accord. Les filles adoraient Paolo comme il les adorait. Il n’était pas contre la solution naturelle, était prêt à coucher avec Carla, même s’il y’a encore un an il la considérait comme sa soeur. Même si elle s’y était résolu, cette solution ne plaisait guère à Jennyfer jalouse. Carla lui avait prouvée à maintes reprises qu’elle aimait les femmes, Jennyfer craignait toujours qu’elle retombe dans les bras d’un homme. Rapidement après seulement deux mois d’essais Carla tombait enceinte au grand soulagement de Jennyfer. Carla avait éprouvé du plaisir à coucher avec Paolo, à sentir ces mains d’hommes, ce sexe d’homme la pénétrer, mais c’était Jennyfer qu’elle aimait. La grossesse de Carla se passait bien, en dehors de quelques vomissements. Pour son plus grand bonheur Carla voyait son ventre s’arrondir, ses seins grossir et se préparer à la montée de lait. Jennyfer aimait faire l’amour avec sa femme enceinte. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle la trouvait toujours aussi sexy. Presque chaque soir elles faisaient l’amour. Sous l’effet des hormones les sensations de Carla étaient découplées. Ses orgasmes étaient forts et intenses, presque aussi intenses que ceux qu’elle avait quand elle faisait l’amour avec Elefteria avant de tomber enceinte.
Et neuf mois après être tombée enceinte Carla accouchait d’une petite fille qu’elles avaient décidées d’appeler Alba, Paola, Margherita Dall’Ara-Depailler. Alba était un prénom que tous les trois trouvaient joli, Paola pour son père Paolo et Margherita pour la mère de Carla. Cette dernière y tenait. Les deux femmes et Paolo étaient au comble du bonheur. Tout se passait pour le mieux dans cette famille d’un nouveau genre. Même si par précaution Jennyfer avait voulu aller devant un notaire pour clarifier la situation de chacun. Carla et Paolo étaient les parents biologiques, Jennyfer, la seconde mère. Paolo en tant que père pouvait voir sa fille quand il le voulait, tant qu’il n’empiétait pas sur leur vie. Si Carla et Jennyfer étaient toutes heureuses de leur bonheur le retour de la maternité n’a pas été facile dans leur immeuble du vieux Nice. Depuis qu’elles étaient ensembles les voisins ne s’étaient dans leur majorité jamais montrés chaleureux à leur égard. En arrivant avec la petite Alba dans son couffin, la réaction des voisins ne s’est pas faite attendre, ils se sont fait silencieux. Le mariage et la légalisation de la P.M.A. pour les couples de même sexe avaient beaux être entrés en vigueur depuis quelques années, leur couple suscitait encore des réactions hostiles de la part d’une partie des français, la plupart étant heureusement indifférents.
Pendant sa grossesse Carla avait pris un tour de poitrine et même si désormais ses seins n’étaient plus aussi fermes qu’avant elle était heureuse tout comme Jennyfer de pouvoir garder ses nouveaux soutient-gorges. Si elle avait gardé sa poitrine, elle avait aussi gardée une partie du poids pris pendant sa grossesse. Des 15 kilos pris durant ces 9 mois elle en avait gardée 5 qu’elle n’était pas arrivée à éliminer, mais Jennyfer s’en fichait.
Alba avait maintenant 18 mois. Jennyfer qui allait avoir 35 ans sentait que c’était maintenant ou jamais qu’elle devait tomber enceinte. Paolo après un séjour aux Etats-Unis est revenu habiter chez les deux jeunes femmes. Pendant plusieurs mois chaque soir Carla laissait Paolo faire l’amour à Jennyfer. Mais ça ne prenait pas. Carla se renseignait sur Internet, autour d’elle. Souvent cela mettait longtemps à prendre parce que les parents avaient la pression. Alors pour déstresser Jennyfer, Carla réfléchissait à une solution. La solution que la jeune femme trouvait c’est qu’elle fasse l’amour avec Jennyfer, que cette dernière se détende, pour laisser Paolo la pénétrer. Paolo était beau garçon, gentil, discret, mais Jennyfer se mettait la pression et ne prenait aucun plaisir à coucher avec le jeune homme. « Les hommes c’est clair je ne prends aucun plaisir avec eux. ». Finalement après 8 mois d’essais Jennyfer est tombée enceinte.
Comme Carla, Jennyfer aimait à voir son ventre s’arrondir, ses seins grossir, même si comme Carla ils lui faisaient mal. Tout comme Carla pendant sa grossesse Jennyfer avait tout le temps envie de faire l’amour. Contrairement à Carla, Jennyfer a parfaitement vécue sa grossesse, aucun soucis n’est venue la perturber. Le seul soucis qui est venu perturber les deux jeunes femmes est l’annonce du médecin échographe de jumeaux. Ce qui allait grandement chambouler leurs plans. En catastrophe Carla et Jennyfer ont vendus leurs appartement pour acheter une maison dans la banlieue niçoise. Francesca fine mouche c’était assez vite douté que Jennyfer portait des jumeau. Il n’était pas normal que son ventre soit déjà si rond à deux mois de grossesse. Jennyfer s’inquiétait quand à gérer deux bébés, mais là encore sa belle-mère c’est faite rassurante en leur disant qu’elle les aiderait. En bonne italienne Francesca adorait les enfants et se montrait ravie de pouvoir les garder mêmes s’ils étaient trois et que seuls 27 mois, soit 2 ans et 3 mois les sépareraient.
Malgré leurs préoccupations, Jennyfer dont le ventre devenait énorme avait toujours autant envie de faire l’amour à Carla. A 6 mois de grossesse son ventre était aussi gros que celui d’une femme qui allait accoucher, quand à ses seins à son plus grand plaisir, avaient pris une taille et se trouvaient déjà à l’étroit dans les nouveaux soutient-gorges. Ce soir là Jennyfer annonçait à Carla que le lendemain elle allait devoir retourner en magasin pour acheter de nouveaux soutients, plus grand, du F. En tenue légère on voyait ses seins déborder largement des soutiens. Carla salivait devant ses seins serrés dans leur armature de dentelles parme. Mais avant de les libérer elle embrassait Jennyfer, de longs baisers langoureux, avant de descendre le long de son coup et d’arriver sur ces superbes seins dont elle embrassait et léchait le haut, le bas qui débordait en dessous, avant avec ses mains de défaire l’attache qui les retenait. Le soutient-gorge à peine tombé à terre Carla s’empressait de s’occuper d’eux à fond. Tout en les prenant avec une grande douceur pour ne pas faire mal à sa bien aimée elle les embrassait partout, les léchait, arrivée à l’aréole elle la lèche avant de venir lécher le téton, avant de téter le lait de ce sein dont les veines apparaissaient largement avec la montée de lait. Carla se régalait de ces seins, de ce lait. Ses seins lui faisaient mal, mais Carla savait tellement bien s’en occuper qu’elle ne ressentait aucune douleur quand elle lui prenait. Et Jennyfer y prenait aussi un plaisir fou. Après avoir passée de longues minutes à s’occuper des deux superbes mamelles de sa femme elle embrassait le ventre énorme, en embrassant toute la surface, avant de descendre plus bas. Jennyfer débout ne pouvait plus enlever sa culotte, alors Jennyfer descend la dentelle parme et la jette au loin. La courte toison brune de Jennyfer est là devant elle. Derrière cette toison qu’elle explore avec son doigt, deux lèvres entre lesquelles Carla passe son doigt. Tout de suite elle sent l’humidité du sexe de son amante et décide de l’exciter encore un peu avec son doigt avant d’y laisser entrer sa langue. Le nez dans cette courte toison aux senteurs douces de lavande, Carla se met à lécher le sexe de sa femme. Elle aime lécher ce si beau sexe. Jennyfer dès qu’elle sent pénétrer la langue de Jennyfer la pénétrer sent son plaisir redoubler. Ses halètements sont de plus en plus rapides et de plus en plus fort. Son seul regret avec la grossesse est que sa jouissance arrive toujours trop vite. Carla se relève embrasse Jennyfer et la pousse vers le lit. La jolie brune se couche et laisse venir son amante sur elle. Carla fait attention pour ne pas appuyer sur le ventre rond de sa compagne. Doucement Jennyfer après l’avoir embrassée prend ses seins et se met à lécher ces jolis seins qui tombent. Elle aime à les lécher, les titiller sur toute leur surface. Après les seins elle embrasse le joli ventre mou de sa bien aimée. Alors Carla se retire, se retourne et se met en position de 69 pour faciliter l’amour de Jennyfer. Sitôt la langue de son amoureuse en elle, c’est un vrai plaisir qui s’abat sur Carla. Même si les hormones n’agissent plus sur elle, sentir la langue de Jennyfer se poser sur son corps ou en elle lui provoque toujours une décharge de sensation qui la rend dingue. Son sexe est déjà largement humide quand Jennyfer y fait entrer sa langue. Elle sent l’effet que produit sa langue sur son amante, ça la réjouit. Alors elle se lance à l’assaut de ce palais des plaisirs qu’est le sexe de Carla, comme elle, il ne faut pas longtemps à Carla pour jouir. Un orgasme puissant et long la submerge comme à chaque fois qu’elles font l’amour, qui l’emplit de plaisir et de bonheur, mais la laisse vide de toute énergie pour quelques heures. Ivre de bonheur elle se couche aux côtés de sa femme, l’embrasse, discute un peu avec elle avant de s’endormir.
Jennyfer accouche à 9 mois pile. Et comme l’échographie l’avait prévu elle donnait naissance à deux garçons, qu’ils ont décidés d’appeler Henri et Paul. Henri était un prénom que Jennyfer avait toujours aimé, et Paul en hommage à Paolo. Malheureusement la vie est parfois méchante, un mois après la naissance de ses fils Paolo trouvait la mort dans un accident de la route. Carla, Francesca et Jennyfer ont sombrées dans le chagrin. Désormais coupées des filles aînées de Gianpaolo c’est leurs quelques amis proches qui sont venus les soutenir dans cette épreuve. Hélène et Elefteria sont venues en catastrophe, la cousine de Francesca d’Italie. Et même Roger Dumas qui s’était pris d’affection pour les trois femmes. D’ailleurs quelques semaines après être enfin sortie de cette dépression qui ne disait pas son nom, Roger Dumas faisait venir Carla et Jennyfer chez lui. Les jambes paralysées, les poumons sifflants, désormais en fauteuil roulant le vieil homme avait beaucoup de mal à diriger son entreprise.
« Vous savez que je n’ai pas d’enfants, pas même de neveux et que je compte les années qui me reste sur les doigts d’une main. Je ne sais pas pourquoi, mais vous savez que je me suis pris d’affection pour vous. Aujourd’hui je peux même vous dire que je vous considère comme mes filles adoptives. Or si je vous considère comme mes filles adoptives, je dois vous coucher sur mon testament. C’est ce que j’ai fait hier. Vous êtes de bonnes personnes. Et je sais qu’entre vos mains, cette entreprise que j’ai créer est entre de bonnes mains. Vous m’avez montré que vous saviez gérer, que vous aimiez ce que vous faites et surtout que vous aimez cette entreprise. Même si je sais que vous vous aimez profondément, on est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise, que vous vous sépariez. Aussi je vous laisse à chacune 24% de mon groupe. 3% vont à Francesca qui saura je le sais être une excellente arbitre en cas de soucis. Et enfin le reste à mes plus anciens employés encore en vie, ceux sans lesquels je n’aurais pas réussi. Mais avec une clause les concernant. A leur mort leur part reviendra à une fondation que je suis en train de créer, et qui aura pour but de soutenir les causes que j’ai toujours défendues. Cette Fondation Roger Dumas, sera présidée d’abord par moi, puis par Francesca qui je suis sûr excellera dans ce rôle. Quand à la direction effective du groupe le mois prochain, sera un mois de transition entre vous et moi. Je sais que c’est rapide et que vos enfants sont encore tous petits. Mais il faut que je puisse vous transmettre le flambeau et vous conseiller tant que je le peux. Avez-vous des questions ? »
Des questions Jennyfer et Carla en avaient pleins, mais à cet instant là elles étaient sous le choc de ce que venait leur annoncer leur patron et « grand-père » de coeur. Le vieil homme en avait conscience. Il aurait voulu attendre davantage pour laisser le temps à leurs enfants de grandir, mais sa santé déclinait trop vite depuis quelques temps. Il voulait régler ses affaires avant de ne plus pouvoir le faire. Bien lui en à pris, car si les deux jeunes femmes étaient d’excellentes gestionnaires elles n’avaient pas beaucoup le sens des affaires, aussi dans les mois qui ont suivis le vieil homme leur à livré ses conseils, son expérience. Elles ne seraient jamais des femmes d’affaires redoutables, mais avec ses conseils elles s’en sortiraient se disait le vieil homme. Il avait toujours été doué d’un fort instinct, comme pour mieux le prouver il est mort deux ans après avoir passé les rênes, alors que sa fondation et ses héritières prenaient leur envol. Il ne s’était pas trompé non plus sur ses héritières. Elles ont fait prospérer le groupe et l’on même développé un peu. Et si par moment le couple devait connaître des tempêtes ce couple que formait Jennyfer et Carla allait se montrer très solide, restant uni jusqu’au bout.
Hélène et Elefteria se marient quelques semaines plus tard à Nice. Quelques jours plus tard Elefteria faisait enregistrer leur mariage au consulat de Grèce. Si le mariage homosexuel n’était pas légal en Grèce, le pays reconnaissait tout de même les couples mixtes qui s’étaient mariés à l’étranger. Carla et Jennyfer étaient leurs témoins, et une grande fête sur l’île de Lesbos était organisée la semaine suivante pour fêter le mariage des deux jeunes femmes, sous les regards médusés des habitants traditionnalistes.
Cela faisait donc 1 an qu’elles étaient mariées et un nouveau désir commençait à naître au creux du ventre de Carla. Elle voulait devenir maman. Elles avaient déjà parlé de fonder une famille mais n’était jamais entrée dans les détails. Quand elle en parlait un soir avec sa bien aimée celle-ci si sûre d’elle d’habitude s’est montrée hésitante.
« J’ai toujours voulu des enfants, mais pour une lesbienne ce n’est pas facile, c’est pas naturel. Je dois admettre aussi que ces dernières années j’ai repoussée cette idée d’avoir des enfants pour profiter de toi au maximum avant de ne plus pouvoir. J’ai envie de donner la vie, mais j’ai peur de l’accouchement, de ses souffrances et j’ai peur de ne pas savoir m’occuper d’un bébé. C’est pour toutes ces raisons que je n’en t’ai jamais parlé.
Ca me touche ce que tu me dis là. On affrontera tout ça ensemble ma chérie. Tour à tour nous aurons notre enfant et nous affronterons ensemble les grossesses, les accouchements et les bébés. Je te le promet. Je t’aime de tout mon coeur Jennyfer. »
Les deux jeunes femmes vont discuter de leur décision avec leur entourage. Hélène était enthousiaste à l’idée que sa meilleure amie ait un enfant, elle qui ne pouvait en avoir; Elefteria qui n’en voulait pas n’était pas du même avis, « Une lesbienne c’est pas fait pour avoir des enfants. ». La famille de Carla y était opposée à l’exception de Francesca et de Paolo. Francesca bien que croyante pardonnait tout à sa fille adoptive. Et malgré cette opposition elles avaient décidées que rien, n’y personne ne changerais leurs résolutions d’être mamans. Le problème était désormais de choisir un père à ces enfants et la méthode qu’elles utiliseraient. Carla était pour la solution naturelle plus simple et gratuite. Jennyfer qui n’avait jamais couchée avec un homme ne voulait pas en entendre parler. Mais avare, elle s’y est résolue en voyant le prix demandée par les cliniques belges ou espagnoles pour une P.M.A. (procréation médicalement assistée). Après avoir fait le tour de leurs rares amis masculins, elles ont pensées passer une annonce, mais c’était long, fastidieux et incertains. L’annonce c’était éplucher les candidatures, recevoir les meilleurs, passer un temps fou pour sans doute échouer. Ce dont elles avaient peur aussi c’était de tomber sur un mec qui voulait réaliser un fantasme, ou un pervers, un cas social, … . Finalement c’est Francesca qui à trouvée la solution.
« Paolo.
- Mon frère ?!
- Oui. Ton frère …, ça c’est à l’état-civil.
- Comment ça ?!
- Une semaine avant que je ne rencontre ton père, mon fiancé à cassé nos fiançailles pour partir avec une belle américaine. Sauf que nous avions fait l’amour la veille de notre séparation. Cette nuit là je suis tombée enceinte. Mais quand j’ai rencontrée ton père je l’ignorais. Quand je m’en suis rendue compte, je lui dis que j’étais enceinte et fait croire que l’enfant était de lui. Sans cela il ne m’aurait pas épousé. Une fille mère en Italie, dans les années 80 c’était impensable. Alors j’ai fait comme si. Pour l’instant seul Paolo le sait. Je ne sais pas pourquoi j’ai eut le besoin de lui dire la semaine dernière. Maintenant il va falloir que je le dise à ton père. Car Paolo est le père qu’il vous faut. Ton père est faible, je le sais et cela risque de le tuer, mais il doit le savoir. Comme tous le monde. J’ai gardé le secret trop longtemps.»
Quelques heures plus tard Francesca annonçait la nouvelle à son mari, Gianpaolo Dall’Ara. Comme elle le prévoyait cette annonce lui est fatale. Il fait une nouvelle attaque et décède quelques minutes plus tard. Francesca bien que triste est soulagée de ne plus le voir souffrir et de ne plus avoir à s’occuper de lui. Carla sous le choc laisse Jennyfer tout gérer et s’occuper d’elle. Les soeurs de Carla sonnées elles aussi s’en prennent aussitôt à Carla, à son désir d’enfant, à leur « catin » de belle-mère.
Lors des obsèques de Gianpaolo Dall’Ara, deux clans se forment autours du caveau familial dans le petit village italien d’où était originaire la famille Dall’Ara. D’un côté les filles aînées et leurs familles, de l’autre, Francesca, Paolo, Carla, Jennyfer.
Il a fallut plusieurs mois à Carla pour se remettre de la mort de son père qu’elle n’avait pourtant pas revu depuis qu’elle lui avait annoncé son homosexualité. Son projet d’enfant avait été remis à plus tard. Jennyfer s’occupait de consoler Carla, de gérer l’entreprise et la succession. Dall’Ara n’avait rien prévu pour ses biens. Or la révélation que Paolo n’était pas son fils, les trois soeurs aînées ont tout fait pour qu’il n’hérite de rien. Tout comme elles tentaient de prouver que Carla n’était pas sa fille et n’avait donc droit à rien, tout comme Francesca, qui avait provoquée la crise cardiaque fatale à leur père. D’abord conciliante Jennyfer s’est faite beaucoup moins diplomate au fil des semaines et à fini par leur déclarer.
« Gianpaolo est bien le père de Carla. Vous voulez une preuve, leur ressemblance physique. Si les grands-parents maternels de Carla n’avaient pas exigés qu’il épouse leur fille et reconnaisse Carla on ne l’aurait jamais connue. Il draguait à tout va, qui vous dit qu’il n’a pas eût d’autres enfants ailleurs. Si d’autres enfants se manifestaient et prouvaient leur filiation vous en auriez d’autant moins. Qui s’est occupée de votre père pendant qu’il était malade ? Francesca et Paolo. Vous n’avez jamais levé le moindre petit doigt pour les aider. Dois-je également vous rappelez que c’est à cause de vous qu’il à fait sa seconde crise cardiaque, quand il a appris qu’a cause de vous l’entreprise Dall’Ara allait être racheté par Dumas. Dois-je vous rappeler également que c’est grâce à Carla que vous avez toujours une part de l’entreprise ?Dois-je vous rappeler également que c’est nous avec Carla qui avons redressé l’entreprise ?C’est pour toutes ces raisons que j’en ai marre de vos manigances pour arracher tout ce que vous pouvez au cadavre de votre père sous couvert de morale. Faites ce que vous voulez maintenant. Mais je vous préviens, je soutiendrais Carla, Francesca et Paolo jusqu’au bout et je me battrais avec eux pour faire respecter leurs droits. Et vous n’avez aucune idée de ma férocité dans ce genre de cas. ».
Les trois soeurs ont tentés de continuer la lutte mais ce sont vite aperçues que Jennyfer était non seulement hargneuse et tenace, mais intelligente et parait chacune de leurs attaques. Finalement elles ont abandonnées la lutte après des mois de bataille, comprenant qu’elle serait perdue et qu’il valait mieux qu’elles se contentent de ce à quoi elles avaient droit et faire la paix. Ainsi chacun enfant de Gianpaolo recevait 5% de Dall’Ara Transports, 1/5e de sa villa et autant de sa fortune, soit 90 000 euros. Un bel héritage. Francesca quand à elle gardait l’usufruit de la villa que Paolo continuait d’habiter avec elle, avant qu’ils ne se mettent tous d’accord pour la vendre. 1 an après la mort de Gianpaolo Dall’Ara sa succession était définitivement clôturée. Désormais Carla pouvait sereinement envisager sa future grossesse.
Carla, Jennyfer et Paolo sachant maintenant tous les trois qu’il n’était pas le fils de Gianpaolo, discutaient de cet enfant que Carla voulait. Tous les trois sont vite tombés d’accord. Les filles adoraient Paolo comme il les adorait. Il n’était pas contre la solution naturelle, était prêt à coucher avec Carla, même s’il y’a encore un an il la considérait comme sa soeur. Même si elle s’y était résolu, cette solution ne plaisait guère à Jennyfer jalouse. Carla lui avait prouvée à maintes reprises qu’elle aimait les femmes, Jennyfer craignait toujours qu’elle retombe dans les bras d’un homme. Rapidement après seulement deux mois d’essais Carla tombait enceinte au grand soulagement de Jennyfer. Carla avait éprouvé du plaisir à coucher avec Paolo, à sentir ces mains d’hommes, ce sexe d’homme la pénétrer, mais c’était Jennyfer qu’elle aimait. La grossesse de Carla se passait bien, en dehors de quelques vomissements. Pour son plus grand bonheur Carla voyait son ventre s’arrondir, ses seins grossir et se préparer à la montée de lait. Jennyfer aimait faire l’amour avec sa femme enceinte. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle la trouvait toujours aussi sexy. Presque chaque soir elles faisaient l’amour. Sous l’effet des hormones les sensations de Carla étaient découplées. Ses orgasmes étaient forts et intenses, presque aussi intenses que ceux qu’elle avait quand elle faisait l’amour avec Elefteria avant de tomber enceinte.
Et neuf mois après être tombée enceinte Carla accouchait d’une petite fille qu’elles avaient décidées d’appeler Alba, Paola, Margherita Dall’Ara-Depailler. Alba était un prénom que tous les trois trouvaient joli, Paola pour son père Paolo et Margherita pour la mère de Carla. Cette dernière y tenait. Les deux femmes et Paolo étaient au comble du bonheur. Tout se passait pour le mieux dans cette famille d’un nouveau genre. Même si par précaution Jennyfer avait voulu aller devant un notaire pour clarifier la situation de chacun. Carla et Paolo étaient les parents biologiques, Jennyfer, la seconde mère. Paolo en tant que père pouvait voir sa fille quand il le voulait, tant qu’il n’empiétait pas sur leur vie. Si Carla et Jennyfer étaient toutes heureuses de leur bonheur le retour de la maternité n’a pas été facile dans leur immeuble du vieux Nice. Depuis qu’elles étaient ensembles les voisins ne s’étaient dans leur majorité jamais montrés chaleureux à leur égard. En arrivant avec la petite Alba dans son couffin, la réaction des voisins ne s’est pas faite attendre, ils se sont fait silencieux. Le mariage et la légalisation de la P.M.A. pour les couples de même sexe avaient beaux être entrés en vigueur depuis quelques années, leur couple suscitait encore des réactions hostiles de la part d’une partie des français, la plupart étant heureusement indifférents.
Pendant sa grossesse Carla avait pris un tour de poitrine et même si désormais ses seins n’étaient plus aussi fermes qu’avant elle était heureuse tout comme Jennyfer de pouvoir garder ses nouveaux soutient-gorges. Si elle avait gardé sa poitrine, elle avait aussi gardée une partie du poids pris pendant sa grossesse. Des 15 kilos pris durant ces 9 mois elle en avait gardée 5 qu’elle n’était pas arrivée à éliminer, mais Jennyfer s’en fichait.
Alba avait maintenant 18 mois. Jennyfer qui allait avoir 35 ans sentait que c’était maintenant ou jamais qu’elle devait tomber enceinte. Paolo après un séjour aux Etats-Unis est revenu habiter chez les deux jeunes femmes. Pendant plusieurs mois chaque soir Carla laissait Paolo faire l’amour à Jennyfer. Mais ça ne prenait pas. Carla se renseignait sur Internet, autour d’elle. Souvent cela mettait longtemps à prendre parce que les parents avaient la pression. Alors pour déstresser Jennyfer, Carla réfléchissait à une solution. La solution que la jeune femme trouvait c’est qu’elle fasse l’amour avec Jennyfer, que cette dernière se détende, pour laisser Paolo la pénétrer. Paolo était beau garçon, gentil, discret, mais Jennyfer se mettait la pression et ne prenait aucun plaisir à coucher avec le jeune homme. « Les hommes c’est clair je ne prends aucun plaisir avec eux. ». Finalement après 8 mois d’essais Jennyfer est tombée enceinte.
Comme Carla, Jennyfer aimait à voir son ventre s’arrondir, ses seins grossir, même si comme Carla ils lui faisaient mal. Tout comme Carla pendant sa grossesse Jennyfer avait tout le temps envie de faire l’amour. Contrairement à Carla, Jennyfer a parfaitement vécue sa grossesse, aucun soucis n’est venue la perturber. Le seul soucis qui est venu perturber les deux jeunes femmes est l’annonce du médecin échographe de jumeaux. Ce qui allait grandement chambouler leurs plans. En catastrophe Carla et Jennyfer ont vendus leurs appartement pour acheter une maison dans la banlieue niçoise. Francesca fine mouche c’était assez vite douté que Jennyfer portait des jumeau. Il n’était pas normal que son ventre soit déjà si rond à deux mois de grossesse. Jennyfer s’inquiétait quand à gérer deux bébés, mais là encore sa belle-mère c’est faite rassurante en leur disant qu’elle les aiderait. En bonne italienne Francesca adorait les enfants et se montrait ravie de pouvoir les garder mêmes s’ils étaient trois et que seuls 27 mois, soit 2 ans et 3 mois les sépareraient.
Malgré leurs préoccupations, Jennyfer dont le ventre devenait énorme avait toujours autant envie de faire l’amour à Carla. A 6 mois de grossesse son ventre était aussi gros que celui d’une femme qui allait accoucher, quand à ses seins à son plus grand plaisir, avaient pris une taille et se trouvaient déjà à l’étroit dans les nouveaux soutient-gorges. Ce soir là Jennyfer annonçait à Carla que le lendemain elle allait devoir retourner en magasin pour acheter de nouveaux soutients, plus grand, du F. En tenue légère on voyait ses seins déborder largement des soutiens. Carla salivait devant ses seins serrés dans leur armature de dentelles parme. Mais avant de les libérer elle embrassait Jennyfer, de longs baisers langoureux, avant de descendre le long de son coup et d’arriver sur ces superbes seins dont elle embrassait et léchait le haut, le bas qui débordait en dessous, avant avec ses mains de défaire l’attache qui les retenait. Le soutient-gorge à peine tombé à terre Carla s’empressait de s’occuper d’eux à fond. Tout en les prenant avec une grande douceur pour ne pas faire mal à sa bien aimée elle les embrassait partout, les léchait, arrivée à l’aréole elle la lèche avant de venir lécher le téton, avant de téter le lait de ce sein dont les veines apparaissaient largement avec la montée de lait. Carla se régalait de ces seins, de ce lait. Ses seins lui faisaient mal, mais Carla savait tellement bien s’en occuper qu’elle ne ressentait aucune douleur quand elle lui prenait. Et Jennyfer y prenait aussi un plaisir fou. Après avoir passée de longues minutes à s’occuper des deux superbes mamelles de sa femme elle embrassait le ventre énorme, en embrassant toute la surface, avant de descendre plus bas. Jennyfer débout ne pouvait plus enlever sa culotte, alors Jennyfer descend la dentelle parme et la jette au loin. La courte toison brune de Jennyfer est là devant elle. Derrière cette toison qu’elle explore avec son doigt, deux lèvres entre lesquelles Carla passe son doigt. Tout de suite elle sent l’humidité du sexe de son amante et décide de l’exciter encore un peu avec son doigt avant d’y laisser entrer sa langue. Le nez dans cette courte toison aux senteurs douces de lavande, Carla se met à lécher le sexe de sa femme. Elle aime lécher ce si beau sexe. Jennyfer dès qu’elle sent pénétrer la langue de Jennyfer la pénétrer sent son plaisir redoubler. Ses halètements sont de plus en plus rapides et de plus en plus fort. Son seul regret avec la grossesse est que sa jouissance arrive toujours trop vite. Carla se relève embrasse Jennyfer et la pousse vers le lit. La jolie brune se couche et laisse venir son amante sur elle. Carla fait attention pour ne pas appuyer sur le ventre rond de sa compagne. Doucement Jennyfer après l’avoir embrassée prend ses seins et se met à lécher ces jolis seins qui tombent. Elle aime à les lécher, les titiller sur toute leur surface. Après les seins elle embrasse le joli ventre mou de sa bien aimée. Alors Carla se retire, se retourne et se met en position de 69 pour faciliter l’amour de Jennyfer. Sitôt la langue de son amoureuse en elle, c’est un vrai plaisir qui s’abat sur Carla. Même si les hormones n’agissent plus sur elle, sentir la langue de Jennyfer se poser sur son corps ou en elle lui provoque toujours une décharge de sensation qui la rend dingue. Son sexe est déjà largement humide quand Jennyfer y fait entrer sa langue. Elle sent l’effet que produit sa langue sur son amante, ça la réjouit. Alors elle se lance à l’assaut de ce palais des plaisirs qu’est le sexe de Carla, comme elle, il ne faut pas longtemps à Carla pour jouir. Un orgasme puissant et long la submerge comme à chaque fois qu’elles font l’amour, qui l’emplit de plaisir et de bonheur, mais la laisse vide de toute énergie pour quelques heures. Ivre de bonheur elle se couche aux côtés de sa femme, l’embrasse, discute un peu avec elle avant de s’endormir.
Jennyfer accouche à 9 mois pile. Et comme l’échographie l’avait prévu elle donnait naissance à deux garçons, qu’ils ont décidés d’appeler Henri et Paul. Henri était un prénom que Jennyfer avait toujours aimé, et Paul en hommage à Paolo. Malheureusement la vie est parfois méchante, un mois après la naissance de ses fils Paolo trouvait la mort dans un accident de la route. Carla, Francesca et Jennyfer ont sombrées dans le chagrin. Désormais coupées des filles aînées de Gianpaolo c’est leurs quelques amis proches qui sont venus les soutenir dans cette épreuve. Hélène et Elefteria sont venues en catastrophe, la cousine de Francesca d’Italie. Et même Roger Dumas qui s’était pris d’affection pour les trois femmes. D’ailleurs quelques semaines après être enfin sortie de cette dépression qui ne disait pas son nom, Roger Dumas faisait venir Carla et Jennyfer chez lui. Les jambes paralysées, les poumons sifflants, désormais en fauteuil roulant le vieil homme avait beaucoup de mal à diriger son entreprise.
« Vous savez que je n’ai pas d’enfants, pas même de neveux et que je compte les années qui me reste sur les doigts d’une main. Je ne sais pas pourquoi, mais vous savez que je me suis pris d’affection pour vous. Aujourd’hui je peux même vous dire que je vous considère comme mes filles adoptives. Or si je vous considère comme mes filles adoptives, je dois vous coucher sur mon testament. C’est ce que j’ai fait hier. Vous êtes de bonnes personnes. Et je sais qu’entre vos mains, cette entreprise que j’ai créer est entre de bonnes mains. Vous m’avez montré que vous saviez gérer, que vous aimiez ce que vous faites et surtout que vous aimez cette entreprise. Même si je sais que vous vous aimez profondément, on est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise, que vous vous sépariez. Aussi je vous laisse à chacune 24% de mon groupe. 3% vont à Francesca qui saura je le sais être une excellente arbitre en cas de soucis. Et enfin le reste à mes plus anciens employés encore en vie, ceux sans lesquels je n’aurais pas réussi. Mais avec une clause les concernant. A leur mort leur part reviendra à une fondation que je suis en train de créer, et qui aura pour but de soutenir les causes que j’ai toujours défendues. Cette Fondation Roger Dumas, sera présidée d’abord par moi, puis par Francesca qui je suis sûr excellera dans ce rôle. Quand à la direction effective du groupe le mois prochain, sera un mois de transition entre vous et moi. Je sais que c’est rapide et que vos enfants sont encore tous petits. Mais il faut que je puisse vous transmettre le flambeau et vous conseiller tant que je le peux. Avez-vous des questions ? »
Des questions Jennyfer et Carla en avaient pleins, mais à cet instant là elles étaient sous le choc de ce que venait leur annoncer leur patron et « grand-père » de coeur. Le vieil homme en avait conscience. Il aurait voulu attendre davantage pour laisser le temps à leurs enfants de grandir, mais sa santé déclinait trop vite depuis quelques temps. Il voulait régler ses affaires avant de ne plus pouvoir le faire. Bien lui en à pris, car si les deux jeunes femmes étaient d’excellentes gestionnaires elles n’avaient pas beaucoup le sens des affaires, aussi dans les mois qui ont suivis le vieil homme leur à livré ses conseils, son expérience. Elles ne seraient jamais des femmes d’affaires redoutables, mais avec ses conseils elles s’en sortiraient se disait le vieil homme. Il avait toujours été doué d’un fort instinct, comme pour mieux le prouver il est mort deux ans après avoir passé les rênes, alors que sa fondation et ses héritières prenaient leur envol. Il ne s’était pas trompé non plus sur ses héritières. Elles ont fait prospérer le groupe et l’on même développé un peu. Et si par moment le couple devait connaître des tempêtes ce couple que formait Jennyfer et Carla allait se montrer très solide, restant uni jusqu’au bout.
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