Jessica la rousse ( partie 3 )
Récit érotique écrit par Tom67000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jessica la rousse ( partie 3 )
Pour la première fois, j'allais me rendre chez Jessica sachant que sa mère Sarah était également à la maison.
C'est d'ailleurs elle-même qui m'a demandé de venir, pour donner des cours à Jess vu qu'elle avait raté son bac.
Elle avait pris soin, lors de ses dernières semaines, d’avoir des notes encore un peu plus faibles, au point de convaincre sa mère de la nécessité pour elle de prendre des cours particuliers afin de redresser la barre avant de repasser son bac qui se profilait à l’horizon.
Car elle l'avait loupé et pas de peu.
Donc refaire une année; réussir son examen cette fois-ci.
C'est sa mère qui pensa à moi ( histoire de me voir, bien entendu ) et me contacta, et après un bref appel téléphonique, nous convînmes d'un rendez-vous chez eux pour pouvoir débuter ce premier cours à domicile.
J'arrivai donc devant la porte de sa maison.
Après avoir sonné, elle ouvrit la porte.
- Bonjour, Tom, Je vous attendais, entrez donc !
- Bonjour Sarah, Merci.
Sarah me fit entrer dans le salon.
Une pièce très imposante et lumineuse munie d'une mezzanine donnant l'accès à l'étage; je connaissais l'endroit pour y avoir déjà baisé toutes les deux.
Rousse à la base, elle arborait des mèches blondes comme sa fille revenue du coiffeur tout comme sa fille.
Ses cheveux étaient coupés au niveau des épaules.
Sa poitrine est aussi généreuse que celle de Jessica et ses hanches superbement galbées.
Elle m'apparut vêtue d'une jupe ample de couleur bleu nuit, descendant sur ses genoux avec un chemisier blanc et de petits talons.
En l’observant, je remarquai qu’elle me dévisageait également avec un sourire en coin.
Son regard me sembla plutôt bienveillant à mon encontre.
Je ne faisais pas mauvaise impression pour ma première apparition en tant que prof.
Jess se tenait derrière elle, toute sage, baissant légèrement le regard comme si elle était un peu intimidée face à moi ou cachant son attirance envers moi.
Elle portait, quant à elle, une élégante petite robe orangée, très sage puisque descendant mi-cuisses, légèrement cintrée. Ses lunettes accentuaient son air sérieux d'étudiante modèle.
- C'est un grand plaisir que vous acceptiez de vous occuper de ma fille.
- Mais c'est à moi de vous remercier de me faire confiance. Je vais faire de mon mieux pour la faire progresser, lui donner des méthodes de travail et la préparer au mieux afin qu'elle ait toutes ses chances de réussite.
- Je pense qu'elle en a besoin. C'est plutôt une bonne élève, mais elle a besoin de plus pour passer un palier et surtout de ne plus se laisser distraire.
- Je sais ce qu'il en est et je ferai en sorte qu'elle soit prête. Je suis très heureux de pouvoir m'occuper de toi, Jess ! la regardant avec un sourire en coin.
- Merci , je suis moi aussi très heureuse de pouvoir travailler avec vous. Je vais faire de mon mieux. me répond-elle avec un air sérieux.
Il est impossible à ce moment de me douter quelle petite salope se cache derrière ce sourire caché.
- Alors, c'est parfait, je vais vous conduire à sa chambre où vous pourrez lui donner son cours. Après, j'aimerais que nous puissions faire un bilan, si vous le voulez bien.
- Mais très certainement, Sarah !
la chambre de Jess se trouvait à l'étage que je connaissais déjà;
Sa mère passa donc devant.
En se retournant, je ne pus m'empêcher d'admirer ses superbes fesses que je ne fis pourtant que me remémorer.
Jess lui emboîta le pas et je fermai la marche.
Devant moi dans les escaliers, Jess releva sa robe au-dessus de ses fesses, dévoilant à mon regard son cul rebondi dans une magnifique contre-plongée.
Cette petite salope était désormais bien éduquée et ne portait pas de culotte en ma présence.
À cette vue, je sentis immédiatement mon sexe gonfler dans mon pantalon.
Ne perdant aucune seconde, je fais glisser mon index dans la raie de ses fesses de haut en bas.
Je sentis déjà son humidité, le relief de son anus et elle manqua de trébucher avant de se reprendre, avant de laisser retomber sa robe alors que nous arrivions à l'étage.
Après nous avoir pénétrés dans la chambre de Jess, sa mère nous laissa en refermant la porte derrière elle.
Nous l'entendîmes s'éloigner et rejoindre le rez-de-chaussée.
Nous étions enfin tranquilles.
La chambre de ma petite salope est toute simple. Un grand lit pour une personne sur lequel trônent encore ses peluches de petite fille qu'elle n'est plus.
Sur le mur d'en face, son bureau d'étudiante avec deux chaises, et un placard dressing dont les portes sont couvertes de grands miroirs.
Jess se mit face à moi, debout, et sans rien dire retira sa robe pour dévoiler son corps entièrement nu.
- Tu es une bonne petite fille, Jess ! J'espère que ta mère ne se doutera de rien !
- Je suis si heureuse que tu sois ici dans ma chambre, c'est tellement excitant. Sachant qu'elle est ici en bas !
- Tu mouilles déjà, petite chienne ?
- Oui , à cause de toi !
Je l'attrapai par le visage entre le pouce et l'index de ma main droite, l'attirai vers le mien pour l'embrasser.
Nos langues se mélangèrent.
Cela faisait trop longtemps que je n'avais pas senti son goût dans ma bouche.
Sa langue était fraîche, elle bougeait vite autour de la mienne, s'enfonçait dans ma bouche. Je fouillai la sienne, fis couler un long filet de salive au fond de sa gorge.
Son corps réagit instantanément, comme le mien.
Nous étions en manque l'un de l'autre.
Elle se frotta contre moi en m'embrassant, mes mains se portèrent sur ses fesses que je malaxai.
À nouveau, mes doigts glissèrent dans sa raie et mon majeur massa son anus.
Son petit trou ne mit pas longtemps à s'ouvrir.
J'enfonçai mon doigt dans son cul, dans un soupir de sa part.
J'élargis son trou avec mon majeur et y approchai mon index qui s'introduisit progressivement à son tour.
Je me baissai sur sa poitrine pour mordiller ses tétons déjà tous durs.
Je doigtai son petit cul de garce en aspirant ses seins, titillant ses bouts avec ma langue. Mes doigts rentraient et sortaient de son cul de plus en plus vite.
Sa mouille coulait le long de ses cuisses.
Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir trop fort.
Elle allait jouir.
C'était trop rapide.
Je m'arrêtai de suite.
Elle me lança un regard, elle voulait que je continue.
- Il faut te calmer, Jess, nous ne faisons que commencer. Mets-toi à genoux devant moi !
- Bien , dit-elle en s’exécutant à contre cœur. et en me regardant.
- Écarte bien tes cuisses !
- Oui, de suite !
- Je suis ton professeur aujourd'hui, je suis là pour te dispenser un cours à domicile, alors que ta mère se trouve à quelques mètres de nous. Tu t'imagines si elle te surprenait ainsi.
- Oh non, ce serait terrible pour nous.
- Tu aimes ce risque, cela t'excite, Jess ?
- OUIIIII !
- Il va falloir calmer tout ça. Tu vas te mettre face au miroir et te caresser ta petite chatte pour moi en te regardant dans le miroir.
- Oui.
- Tu vas le faire d'une façon particulière. Tu vas te frotter contre une de tes peluches comme tu m'as raconté que tu faisais quand tu as commencé à te caresser dans cette chambre.
Elle me lança un regard plein d'envie, en passant sa langue sur ses lèvres.
Je lui tendis une peluche panda qu'elle la glissa entre ses cuisses en se mettant face au miroir.
Je m'assis près d'elle à son bureau pour admirer le spectacle.
Tout doucement, Jess se mit à onduler, faisant aller son bassin d'avant en arrière, son minou frottant le pelage de sa peluche.
Elle était vraiment superbe comme ça, à la fois si innocente et si provocante.
Son corps s'agita de plus en plus vite à mesure que plaisir et désir montaient en elle.
Elle gémit doucement, ses tétons pointant fièrement à l’extrémité de sa petite poitrine ferme.
- Regarde-toi dans la glace, Jess !
- Oui , dit-elle en relevant le regard.
Elle pouvait se voir entièrement nue en train de se caresser sa chatte contre sa peluche, comme elle avait dû le faire tant de fois dans l'intimité.
- Que vois-tu, Jess ?
- Une petite salope.
- Oui, c'est tout à fait ça. Regarde ce qui arrive par ta faute.
En restant assis sur ma chaise, je baissai ma braguette et sortis mon sexe tendu.
- Hmmm, je suis si contente de te faire cet effet.
- Oui Jess, c'est pour toi que je bande, que ma queue grossit. Continue à te branler, ne t'arrête pas.
Jess reprit alors ses mouvements toujours plus rapides en regardant alternativement son propre spectacle dans le miroir et ma queue.
Bientôt son corps se raidit alors qu'elle atteignait l'orgasme, avant de s'effondrer sur elle-même, écrasant complètement sa peluche qui disparut sous ses cuisses.
Je me levai de ma chaise et m'approchai d'elle pour venir mettre ma queue à hauteur de son visage.
- Tu as aimé cette mise en bouche ?
- Oui, beaucoup !
- Ce petit exercice semble t'avoir exténuée. Tu as mérité, je pense, un petit remontant.
Elle lève vers moi un regard interrogatif.
Je sortis alors de la poche de ma veste une petite flasque d'alcool que je déversai précautionneusement sur la longueur de mon sexe.
Je l'étalai pour humidifier la base de mon sexe à son gland.
- Monsieur, mais c'est … ?
- Oui, Jess, un peu d'alcool, rien de tel pour te rebooster.
- Mais je ne peux pas…
- Tu veux peut-être autre chose ? Du schit ?
- Je euh oui, j'en ai déjà fumé avec des copines.
- Ok.
- Tu en as ?
- Oui, mais tu n'en prendras jamais sans mon autorisation. On pourra même en fumer ensemble la prochaine fois.
- Tu es certain ? Jess n'était pas rassurée.
- Tu ne le regretteras pas, tu verras.
Sans plus rien dire, elle se pencha sur ma bite, elle aspira d'un trait l'alcool répandu sur ma queue.
- Alors, ma belle, comment tu te sens ?
- Bien, trop bien, mais ce n'est pas du whisky, mais c'est carrément génial.
- Tu es ma belle pute maintenant, Jess ! Non, c'est un alcool avec un petit mélange.
- Hmmm ouais carrément, j'ai une pêche d'enfer.
- C'est très bien, car je crois que tu as envie de me sucer.
- Oui, ta belle et grosse queue.
- Regarde mon sucre d'orge, lui dis-je en lui giflant doucement la bouche et les joues avec mon gland.
Sans en rajouter, elle se pencha, ouvrit grand sa bouche et goba ma queue d'un trait.
Je saisis ses cheveux à l'arrière de sa tête avec ma main droite et la guidai d'avant en arrière le long de mon membre.
Sentir sa bouche chaude et humide envelopper ma bite est décidément une sensation dont je ne peux plus me passer.
Je baisai sa bouche de plus en plus vite en tapant au fond de sa gorge.
Quelques larmes perlèrent aux coins de ses yeux, sa bave coula sur mes couilles.
- Finis-moi avec tes mains, Jess !
Elle prit ma queue huilée par sa salive entre ses petits doigts fins et me branla dans un bruit de succion excitant.
Elle était décoiffée, ses lunettes de travers sur son visage. Elle accéléra, cracha sur mon gland.
J’étais fier d'elle, de la manière dont je l'avais transformée.
C'était maintenant une vraie débauchée, une pute perverse.
Je ne résistai pas longtemps sous ses caresses et j'éjaculai violemment sur son visage;
Mon sperme épais forma de gros amas qui pendaient de son menton et de ses joues.
Avec ses doigts, elle les ramena vers sa bouche et les avala tous un à un sans quitter mes yeux.
Avant de finir par étaler le sperme de sa poitrine sur ses seins en les massant de ses deux mains. Je passai doucement ma main dans ces cheveux, me mis à genoux face à elle et l'embrassai langoureusement.
- Toujours en chaleur? dis-je en passant mon doigt entre ses cuisses.
- Oui, toujours, bien sûr.
- Oui, je vois que ma petite salope est encore bien humide et prête à recevoir la suite de son cours… en pleine forme.
- Grâce à toi, je sens que je progresse beaucoup.
- C’est ce que nous allons voir. La prochaine fois, j’aimerais voir ma petite pisseuse à l’œuvre et de pissé debout devant moi.
- Mais non !
- Si on trouvera l'endroit !
- Bien.
- Bonne petite Jess !
- Je suis si excitée !
Je sentis sa main venir agripper mes cheveux, tirer mon visage un peu plus vers elle, ses cuisses naturellement s’ouvrir un peu plus.
Ma langue la pénétra, la baisa à nouveau. Elle ne put plus tenir droite debout, ses jambes avaient du mal à la porter et, de plaisir, elle se plia en deux.
Ne voulant pas la faire jouir maintenant, je retirai ma langue et stoppai mon cunnilingus.
En me redressant, je retrouvai ma Jess haletante en train de masser sa petite poitrine, les yeux pleins d’envie.
Je la regarde, si belle, si pute.
Pour l’accompagner, je lui enfonçai deux doigts dans sa petite chatte humide.
Immédiatement, la moue se transforma et le plaisir transparut sur son visage.
Elle avait bien mérité que je la baise maintenant.
- Alors, on dirait que ta chatte réclame quelque chose.
- Oh oui , s’il te plaît, baise-moi, je veux jouir encore, je veux sentir ta queue dans ma chatte.
- Tu vas être satisfaite, petite pute, mais d’abord, mets-toi à quatre pattes comme une chienne que tu es.
- Oui , me répond-elle en joignant l’acte à la parole.
- En tant que chienne assoiffée de sexe, tu vas commencer par laper les gouttes de sperme au sol.
- Oui , tout de suite, tout ce que tu voudras.
A quatre pattes, Jess se pencha en avant, mit son visage de côté pour continuer à me regarder.
Je la vis alors sortir sa petite langue rose qui vint effleurer le sol.
Sa petite langue rejoignit alors avec son chargement de nectar, sa petite bouche. Elle répéta ce geste, lapant goulûment les gouttes de sperme comme je le lui avais ordonné.
- C’est bien bonne fille, lui dis-je en lui donnant une claque sur ses fesses dressées et gonflées.
Elle gémit. Elle aimait.
Je recommençai à la fesser plus fort, plus vite.
Elle poussait de petits cris à chaque contact de la paume de mes mains sur ses fesses.
Je bandai dur désormais et ma queue remplaça mes mains pour gifler ses fesses et sa belle chatte offerte et ouverte qu’elle tendait au bout de ses fesses.
Je ne pouvais pas résister plus longtemps et me mis à genoux derrière elle.
Je retirai mon pantalon et positionnai mon gland sur l’entrée de son vagin, attrapai ses cheveux et la tirai d’un coup en arrière.
Ma queue s’enfila en elle brutalement, lui arrachant un petit cri.
Je lui donnai une nouvelle claque sur les fesses en commençant à la pistonner.
De ma main gauche, je lui attrapai un sein que je caressai.
Ma queue venait taper au fond de sa chatte, arrachant à chaque va-et-vient un nouveau gémissement.
Heureusement sa mère n’était pas au même étage, sinon elle n’aurait pu faire autrement que nous entendre.
Alors que je la baisai, Jess continua de lécher le sol.
Je la retirai alors en arrière et accélérai fort dans sa chatte.
Ma bite était aspirée en elle dans un bruit de succion obscène.
Nous jouîmes en même temps. Nos corps se contractèrent simultanément, ma queue s’enfouit au plus profond de sa petite chatte pour libérer mon sperme.
Mon sperme gicla en elle en plusieurs spasmes violents.
Je sentis son corps trembler entre mes doigts.
La première fois que j'éjaculai en elle.
Nous nous effondrâmes au sol tous les deux. Mon bas-ventre, ma bite, et le haut de mes cuisses ruisselaient de son jus collant, tandis qu’un filet de sperme ressortit paresseusement de sa petite chatte.
Je la relevai doucement et lui demandai de se rhabiller.
Elle enfila rapidement sa robe alors que je remettais mon pantalon. Nous nous assîmes enfin à son bureau pour nous remettre de nos émotions.
- J’ai joui fort aujourd’hui. Plus fort que jamais…
- J’ai vu ça, Jess.
- Je me sens tellement sale, tellement pute. Faire ça chez moi, avec ma mère à côté… je n’aurais jamais cru, et pourtant rien n’aurait pu m’arrêter. Même si elle était entrée, j’aurais voulu que tu continues à me baiser.
- Tu aimes ça, Jess ?
- Oui, beaucoup . Je ne pense plus qu’à ça, au sexe, à ce que je fais avec toi, à ce que je vais faire et que je ne connais pas encore. Je veux jouir tout le temps, m’abandonner à tes désirs.
- Tu es une fille très douée, Jess. Je l'ai vu dès le premier jour de notre rencontre, dans ton petit mot dans la voiture. De notre première fois, et comme je suis ton professeur, il est normal que je te donne aussi quelques devoirs en mon absence, entre nos cours.
- Oh oui, bien sûr, je les ferai.
- Dis-moi qui sont ces gens sur la photo sur ton bureau.
- Il s’agit de ma grande sœur Noémie qui ne vit plus ici et de son mec dont je vous ai parlé, et c’est aussi une copine de Zoé !
- Très intéressant. Il est très mignon, lui aussi, Jess; je suis sûr que tu as déjà fantasmé sur lui et que tu t’es masturbée en pensant à lui.
- Oui, c’est vrai,et j'ai honte de te dire ça, dit-elle après une petite hésitation en baissant la tête.
- C’est bien normal. Alors voilà tes devoirs. Les vacances arrivent et je veux qu’avant notre prochaine rencontre, tu trouves le moyen d’assouvir tes fantasmes vis-à-vis de lui. Je veux que tu le suces,lui, et que tu filmes pour me le montrer.
- Oh non , non, ce n’est pas possible ! Ils ne vivent pas ici.
- Très bien, Jess ! Il faut aussi, dans ton apprentissage, que tu découvres le plaisir avec une autre fille. Il me semble que ta meilleure amie Zoé fera un excellent sujet. Elle est très belle, alors tu vas aussi la séduire et vous filmer.
- Mais c’est impossible, je ne pourrai pas.
- Tu n’as pas envie avec une fille ?
- Si, bien sûr, j’aimerais beaucoup essayer… Mais, Zoé, je ne sais pas comment faire.
- Vous avez bien dû jouer à touche minou toutes les deux… Alors je suis sûr qu’avec ton imagination fertile, tu trouveras un moyen. Tu as les vacances pour y songer. C’est ton devoir et ton premier examen en quelque sorte. Je n’impose rien d’autre, tu as champ libre, ma belle. Et, comme tu as bien travaillé, tu as mérité une petite récompense. lui dis-je en glissant un billet plié entre ses petits seins.
- Bien, je ferai de mon mieux, me répondit-elle en attrapant le billet du bout des doigts avant de le ranger dans le tiroir de son bureau.
Elle me sourit, mais je voyais que mes instructions lui causaient du souci. Toutefois, je savais qu’elle allait y arriver et qu’elle y prendrait un grand plaisir.
Le cours touchait à sa fin. Nous nous levâmes et nous nous embrassâmes tendrement avant de rejoindre le rez-de-chaussée pour aller faire un petit bilan à Sarah.
- Comment s’est passé ce premier cours ?
- Mais très bien, Sarah, Jess montre d’excellentes bonnes choses, c’est une fille sérieuse et je ne doute pas qu’elle progressera rapidement.
- Je suis heureuse de l’entendre. Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau, j’aimerais m’entretenir en privé avec vous.
- Mais bien sûr, salut Jess
- Salut, me répondit-elle avec un petit sourire.
Sarah me conduisit dans un bureau au fond du couloir au rez-de-chaussée. Le bureau était positionné devant une bibliothèque et un canapé lui faisait face.
Elle m’invita à m’asseoir dessus et me proposa à boire. J’acceptai et elle nous servit deux verres de whisky. Elle prit place à côté de moi en tendant mon verre.
- Je voulais te remercier d’accepter de rester un peu pour échanger plus en détail. J’attache beaucoup d’importance à la réussite de ma fille et tes cours lui seront très précieux.
- C’est moi qui te remercie de ta confiance, Sarah !
Elle but une gorgée avant de reprendre.
- Si je voulais te parler en privé, c’est parce que je suis très ennuyée. J'ai en ce moment des difficultés financières et je vais avoir du mal à pouvoir payer ces cours… Étant une femme seule avec ma fille qui fait des siennes.
- Cela n'est peut-être pas un problème !
- Je te l’ai dit, je suis prête à tout pour que ma fille réussisse. Néanmoins, je n’ai pas d’argent à consacrer à ses cours en cette période difficile, alors je me disais que nous pourrions voir de quelle manière je pourrais compenser tes services.
En disant cela, elle me fixait dans les yeux et posa sa main sur mon genou.
Je faisais semblant de pas comprendre. Même si je l'avais déjà baisé, je ne pensais qu'à ça.
- Je ne suis pas sûr de bien comprendre, Sarah. De quel genre de compensations parles-tu ?
- Je pourrais,disons, t’accorder certaines faveurs… me dit-elle en faisant remonter sa main le long de ma cuisse et en ingurgitant une nouvelle rasade d’alcool pour se donner du courage.
- Tu es une femme très belle et très forte, Sarah, mais cela est-il bien raisonnable pour votre ménage, et éventuellement le mien ? lui rétorquai-je avec un petit sourire. Malgré qu'on ait déjà baisé ensemble.
- J’ai bien réfléchi, mais cette solution me semble la meilleure si vous l’acceptez; et surtout que tu es seul quand ta femme est en déplacement.
Sa main était remontée au niveau de mon entrejambe et le bout de ses doigts passa sur ma braguette.
Sarah serait-elle aussi salope que la fille ? Cela m’en avait tout l’air et je me demandai si cette histoire d’argent n’était pas qu’un prétexte de se voir régulièrement.
Elle se pencha un peu vers moi et posa ses lèvres sur les miennes en fermant ses yeux.
Sa main se referma sur mon sexe.
J’ouvris ma bouche sans résistance pour accueillir sa langue.
Je sentis le parfum de son rouge à lèvres sur les miennes et sa salive avait un fort goût d’alcool.
Tout en m’embrassant, et du bout de ses doigts, elle frottait ma bite qui gonflait à nouveau sous mon pantalon.
Ma main se posa sur ses cuisses et remonta sous sa jupe à mesure qu’elle écartait ses jambes, jusqu’à ce que mes doigts viennent en contact avec le tissu dentelé de sa culotte.
Je me mis alors à frotter sa chatte au même rythme qu’elle frottait ma queue.
Nos bouches ne s’étaient pas décollées.
Elle ouvrit ma braguette de ses doigts experts et sortit ma bite de son logement.
Elle arrêta de m’embrasser pour la regarder en commençant à la branler doucement.
« Suce-moi, Sarah », lui dis-je.
Sans hésiter, elle plongea ses lèvres sur mon gland rougeoyant.
En appuyant derrière sa nuque, je la fis descendre vers le bas de ma queue encore collante du jus à peine séché de sa fille.
Sarah ne se doutait pas qu’en me nettoyant la bite, elle gouttait par procuration à la mouille de sa petite Jess.
Cette situation m’excitait fortement.
Sarah était maintenant à quatre pattes à côté de moi pour me sucer.
Sa bouche était toute chaude et onctueuse.
Sa bave abondante échouait sur mes couilles.
Je décidai alors de soulever sa jupe, d’écarter sa petite culotte et de venir masser sa chatte.
Elle était trempée, mes doigts glissèrent sur sa fente et sans résistance, je lui en rentrais deux dans le vagin.
Je me mis à la doigter de plus en plus vite et elle commença à gémir doucement.
De petits jets de mouille jaillissaient de son intimité et venaient s’écraser sur mon bras avant de retomber sur le sofa.
Je sortis mes doigts de sa chatte et les suçai.
Je repris un peu de son jus de chatte sur le bout de mes doigts et l’utilisai pour lubrifier son petit trou.
Je me mis à masser son anus avec mon majeur et le lui enfonçai en appuyant progressivement. Le gémissement se transforma en râle.
- Tu aimes ?
- Oui, ne t’arrête pas.
- C’est toi qui es censée me dédommager, lui dis-je avec un petit sourire.
- Mmm, tu peux me baiser alors, je veux sentir ta grosse queue en moi.
Elle fit tomber sa jupe au sol, et se mit alors à califourchon au-dessus de moi.
Sa fente en contact avec la pointe de mon gland, qui disparut bientôt, aspiré par ses lèvres intimes.
Très progressivement, je sentis la chatte trempée de Sarah glisser vers le bas le long de ma bite.
Après avoir été quelques minutes auparavant enserrée dans la chatte de la fille, elle se trouvait maintenant dans celle de la mère. Un rêve.
Celle-ci était moins étroite, mais tout aussi chaude et agréable.
Alors que Sarah s’empalait sur ma queue à un rythme régulier et en poussant de petits gémissements de plaisir, je lui défaisais son chemisier.
Sa poitrine volumineuse était protégée par un soutien-gorge blanc en dentelle.
Je glissai mes doigts sous l’armature et le fis remonter pour découvrir ses magnifiques seins.
Pendant un moment, je les regardai ballotter de bas en haut, synchronisés avec ses mouvements sur ma bite.
Ses tétons posés sur des aréoles larges et rosées pointaient forts.
Je les pinçai doucement entre mes doigts avant d’entreprendre de les téter, de les mordiller.
C’était un réel plaisir de passer de l’un à l’autre.
Dans le même temps, mes mains venaient malaxer ses fesses, et imprimer la fréquence de ses va-et-vient sur mon membre.
Bientôt, mes doigts s’insinuèrent entre ses fesses et mon majeur s’enfonça à nouveau dans son cul.
Elle se rabattit alors brutalement sur moi, ma bite enfoncée complètement dans son vagin.
Je la sentis alors se contracter pour serrer ma queue et, sans remonter d’un millimètre, Sarah se mit à faire de petits mouvements circulaires avec son bassin.
J’étais au paradis, ma tête plongea à nouveau dans sa poitrine voluptueuse et je me mis à doigter son anus plus vite. Mes couilles, le haut de mes cuisses étaient trempés de son jus de moule.
En relevant la tête, je vis la porte du bureau qui me faisait face et qui était juste poussée, s’entre-ouvrir.
Jess apparut alors dans l’encadrement.
Elle nous observait en train de baiser.
Sa mère, à cheval sur moi, lui tournait le dos et ne pouvait donc pas la voir.
Jess releva alors d’une main sa robe pour me dévoiler sa chatte.
Elle ouvrit ses cuisses et commença à se toucher.
En la voyant ainsi, mon excitation, si cela était possible, grandit encore.
Mon index vint rejoindre mon majeur dans le cul de sa mère, la bouche de Sarah plongea alors vers la mienne et nous nous embrassâmes fougueusement.
Sarah se mit à accélérer, ses fesses claquaient sur mes cuisses et mes couilles ballottaient de plus en plus fort.
Je jetai un coup d’œil à Jess qui se doigtait debout et désormais de manière obscène dans le dos de Sarah.
L’image de la mère et de la fille, ma queue baisant la chatte de Sarah, mes doigts baisant son cul, fit que j’étais proche de l’éjaculation.
Sarah qui respirait de plus en plus fort et bougeait de plus en plus vite était également au bord de l’orgasme.
Jess avait également l’air d’être très excitée en arrière-plan, elle malaxait ses seins tout en continuant de branler sa chatte.
J’attrapai alors sans ménagement Sarah par un sein que je comprimai de ma main libre, lui enfonçai mes doigts au plus profond de son petit cul et, d’un dernier violent coup de rein, ma queue vint taper au fond de sa chatte avant de se mettre à déverser mon sperme en plusieurs giclées rapprochées.
Sarah jouit en même temps, elle ne put retenir un cri et son corps se mit à trembler.
Nos yeux étaient accrochés l’un à l’autre dans cet orgasme.
Elle s’effondra sur moi, ses lèvres molles s’écrasant sur les miennes.
En relevant la tête, je vis que Jess avait disparu, elle s’était éclipsée discrètement.
Voir sa mère se faire baiser comme ça avait dû la faire jouir et cette scène alimenterait sûrement de nombreux fantasmes pour elle.
Ma bite, toujours dans la chatte de Sarah, ramollissait progressivement, et je vis une coulure de sperme refluer de son vagin pour venir couler sur mes couilles.
Elle se releva doucement et commença à se rajuster et se rhabiller.
- Pouvons-nous considérer ce mode de paiement comme recevable ? me lança-t-elle en souriant.
- Mais tout à fait, Sarah, tu es une femme superbe et j’ai vraiment pris énormément de plaisir comme les autres fois.
- Moi aussi, je dois le reconnaître. Je n’avais plus joui comme ça depuis trop longtemps.
- Alors nous pouvons considérer que nous avons un marché conclu, je pourrai ainsi profiter de ton superbe corps chaque fois ?
- J’ai honte de le dire, mais j’ai déjà hâte que tu reviennes t’occuper de ma fille.
Sarah arborait un grand sourire.
Nous nous embrassâmes une dernière fois avant que je rentre chez moi.
Sur le chemin du retour, je pensais déjà aux devoirs de vacances que j’avais donnés à Jess ainsi qu’à notre prochaine cession.
C'est d'ailleurs elle-même qui m'a demandé de venir, pour donner des cours à Jess vu qu'elle avait raté son bac.
Elle avait pris soin, lors de ses dernières semaines, d’avoir des notes encore un peu plus faibles, au point de convaincre sa mère de la nécessité pour elle de prendre des cours particuliers afin de redresser la barre avant de repasser son bac qui se profilait à l’horizon.
Car elle l'avait loupé et pas de peu.
Donc refaire une année; réussir son examen cette fois-ci.
C'est sa mère qui pensa à moi ( histoire de me voir, bien entendu ) et me contacta, et après un bref appel téléphonique, nous convînmes d'un rendez-vous chez eux pour pouvoir débuter ce premier cours à domicile.
J'arrivai donc devant la porte de sa maison.
Après avoir sonné, elle ouvrit la porte.
- Bonjour, Tom, Je vous attendais, entrez donc !
- Bonjour Sarah, Merci.
Sarah me fit entrer dans le salon.
Une pièce très imposante et lumineuse munie d'une mezzanine donnant l'accès à l'étage; je connaissais l'endroit pour y avoir déjà baisé toutes les deux.
Rousse à la base, elle arborait des mèches blondes comme sa fille revenue du coiffeur tout comme sa fille.
Ses cheveux étaient coupés au niveau des épaules.
Sa poitrine est aussi généreuse que celle de Jessica et ses hanches superbement galbées.
Elle m'apparut vêtue d'une jupe ample de couleur bleu nuit, descendant sur ses genoux avec un chemisier blanc et de petits talons.
En l’observant, je remarquai qu’elle me dévisageait également avec un sourire en coin.
Son regard me sembla plutôt bienveillant à mon encontre.
Je ne faisais pas mauvaise impression pour ma première apparition en tant que prof.
Jess se tenait derrière elle, toute sage, baissant légèrement le regard comme si elle était un peu intimidée face à moi ou cachant son attirance envers moi.
Elle portait, quant à elle, une élégante petite robe orangée, très sage puisque descendant mi-cuisses, légèrement cintrée. Ses lunettes accentuaient son air sérieux d'étudiante modèle.
- C'est un grand plaisir que vous acceptiez de vous occuper de ma fille.
- Mais c'est à moi de vous remercier de me faire confiance. Je vais faire de mon mieux pour la faire progresser, lui donner des méthodes de travail et la préparer au mieux afin qu'elle ait toutes ses chances de réussite.
- Je pense qu'elle en a besoin. C'est plutôt une bonne élève, mais elle a besoin de plus pour passer un palier et surtout de ne plus se laisser distraire.
- Je sais ce qu'il en est et je ferai en sorte qu'elle soit prête. Je suis très heureux de pouvoir m'occuper de toi, Jess ! la regardant avec un sourire en coin.
- Merci , je suis moi aussi très heureuse de pouvoir travailler avec vous. Je vais faire de mon mieux. me répond-elle avec un air sérieux.
Il est impossible à ce moment de me douter quelle petite salope se cache derrière ce sourire caché.
- Alors, c'est parfait, je vais vous conduire à sa chambre où vous pourrez lui donner son cours. Après, j'aimerais que nous puissions faire un bilan, si vous le voulez bien.
- Mais très certainement, Sarah !
la chambre de Jess se trouvait à l'étage que je connaissais déjà;
Sa mère passa donc devant.
En se retournant, je ne pus m'empêcher d'admirer ses superbes fesses que je ne fis pourtant que me remémorer.
Jess lui emboîta le pas et je fermai la marche.
Devant moi dans les escaliers, Jess releva sa robe au-dessus de ses fesses, dévoilant à mon regard son cul rebondi dans une magnifique contre-plongée.
Cette petite salope était désormais bien éduquée et ne portait pas de culotte en ma présence.
À cette vue, je sentis immédiatement mon sexe gonfler dans mon pantalon.
Ne perdant aucune seconde, je fais glisser mon index dans la raie de ses fesses de haut en bas.
Je sentis déjà son humidité, le relief de son anus et elle manqua de trébucher avant de se reprendre, avant de laisser retomber sa robe alors que nous arrivions à l'étage.
Après nous avoir pénétrés dans la chambre de Jess, sa mère nous laissa en refermant la porte derrière elle.
Nous l'entendîmes s'éloigner et rejoindre le rez-de-chaussée.
Nous étions enfin tranquilles.
La chambre de ma petite salope est toute simple. Un grand lit pour une personne sur lequel trônent encore ses peluches de petite fille qu'elle n'est plus.
Sur le mur d'en face, son bureau d'étudiante avec deux chaises, et un placard dressing dont les portes sont couvertes de grands miroirs.
Jess se mit face à moi, debout, et sans rien dire retira sa robe pour dévoiler son corps entièrement nu.
- Tu es une bonne petite fille, Jess ! J'espère que ta mère ne se doutera de rien !
- Je suis si heureuse que tu sois ici dans ma chambre, c'est tellement excitant. Sachant qu'elle est ici en bas !
- Tu mouilles déjà, petite chienne ?
- Oui , à cause de toi !
Je l'attrapai par le visage entre le pouce et l'index de ma main droite, l'attirai vers le mien pour l'embrasser.
Nos langues se mélangèrent.
Cela faisait trop longtemps que je n'avais pas senti son goût dans ma bouche.
Sa langue était fraîche, elle bougeait vite autour de la mienne, s'enfonçait dans ma bouche. Je fouillai la sienne, fis couler un long filet de salive au fond de sa gorge.
Son corps réagit instantanément, comme le mien.
Nous étions en manque l'un de l'autre.
Elle se frotta contre moi en m'embrassant, mes mains se portèrent sur ses fesses que je malaxai.
À nouveau, mes doigts glissèrent dans sa raie et mon majeur massa son anus.
Son petit trou ne mit pas longtemps à s'ouvrir.
J'enfonçai mon doigt dans son cul, dans un soupir de sa part.
J'élargis son trou avec mon majeur et y approchai mon index qui s'introduisit progressivement à son tour.
Je me baissai sur sa poitrine pour mordiller ses tétons déjà tous durs.
Je doigtai son petit cul de garce en aspirant ses seins, titillant ses bouts avec ma langue. Mes doigts rentraient et sortaient de son cul de plus en plus vite.
Sa mouille coulait le long de ses cuisses.
Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir trop fort.
Elle allait jouir.
C'était trop rapide.
Je m'arrêtai de suite.
Elle me lança un regard, elle voulait que je continue.
- Il faut te calmer, Jess, nous ne faisons que commencer. Mets-toi à genoux devant moi !
- Bien , dit-elle en s’exécutant à contre cœur. et en me regardant.
- Écarte bien tes cuisses !
- Oui, de suite !
- Je suis ton professeur aujourd'hui, je suis là pour te dispenser un cours à domicile, alors que ta mère se trouve à quelques mètres de nous. Tu t'imagines si elle te surprenait ainsi.
- Oh non, ce serait terrible pour nous.
- Tu aimes ce risque, cela t'excite, Jess ?
- OUIIIII !
- Il va falloir calmer tout ça. Tu vas te mettre face au miroir et te caresser ta petite chatte pour moi en te regardant dans le miroir.
- Oui.
- Tu vas le faire d'une façon particulière. Tu vas te frotter contre une de tes peluches comme tu m'as raconté que tu faisais quand tu as commencé à te caresser dans cette chambre.
Elle me lança un regard plein d'envie, en passant sa langue sur ses lèvres.
Je lui tendis une peluche panda qu'elle la glissa entre ses cuisses en se mettant face au miroir.
Je m'assis près d'elle à son bureau pour admirer le spectacle.
Tout doucement, Jess se mit à onduler, faisant aller son bassin d'avant en arrière, son minou frottant le pelage de sa peluche.
Elle était vraiment superbe comme ça, à la fois si innocente et si provocante.
Son corps s'agita de plus en plus vite à mesure que plaisir et désir montaient en elle.
Elle gémit doucement, ses tétons pointant fièrement à l’extrémité de sa petite poitrine ferme.
- Regarde-toi dans la glace, Jess !
- Oui , dit-elle en relevant le regard.
Elle pouvait se voir entièrement nue en train de se caresser sa chatte contre sa peluche, comme elle avait dû le faire tant de fois dans l'intimité.
- Que vois-tu, Jess ?
- Une petite salope.
- Oui, c'est tout à fait ça. Regarde ce qui arrive par ta faute.
En restant assis sur ma chaise, je baissai ma braguette et sortis mon sexe tendu.
- Hmmm, je suis si contente de te faire cet effet.
- Oui Jess, c'est pour toi que je bande, que ma queue grossit. Continue à te branler, ne t'arrête pas.
Jess reprit alors ses mouvements toujours plus rapides en regardant alternativement son propre spectacle dans le miroir et ma queue.
Bientôt son corps se raidit alors qu'elle atteignait l'orgasme, avant de s'effondrer sur elle-même, écrasant complètement sa peluche qui disparut sous ses cuisses.
Je me levai de ma chaise et m'approchai d'elle pour venir mettre ma queue à hauteur de son visage.
- Tu as aimé cette mise en bouche ?
- Oui, beaucoup !
- Ce petit exercice semble t'avoir exténuée. Tu as mérité, je pense, un petit remontant.
Elle lève vers moi un regard interrogatif.
Je sortis alors de la poche de ma veste une petite flasque d'alcool que je déversai précautionneusement sur la longueur de mon sexe.
Je l'étalai pour humidifier la base de mon sexe à son gland.
- Monsieur, mais c'est … ?
- Oui, Jess, un peu d'alcool, rien de tel pour te rebooster.
- Mais je ne peux pas…
- Tu veux peut-être autre chose ? Du schit ?
- Je euh oui, j'en ai déjà fumé avec des copines.
- Ok.
- Tu en as ?
- Oui, mais tu n'en prendras jamais sans mon autorisation. On pourra même en fumer ensemble la prochaine fois.
- Tu es certain ? Jess n'était pas rassurée.
- Tu ne le regretteras pas, tu verras.
Sans plus rien dire, elle se pencha sur ma bite, elle aspira d'un trait l'alcool répandu sur ma queue.
- Alors, ma belle, comment tu te sens ?
- Bien, trop bien, mais ce n'est pas du whisky, mais c'est carrément génial.
- Tu es ma belle pute maintenant, Jess ! Non, c'est un alcool avec un petit mélange.
- Hmmm ouais carrément, j'ai une pêche d'enfer.
- C'est très bien, car je crois que tu as envie de me sucer.
- Oui, ta belle et grosse queue.
- Regarde mon sucre d'orge, lui dis-je en lui giflant doucement la bouche et les joues avec mon gland.
Sans en rajouter, elle se pencha, ouvrit grand sa bouche et goba ma queue d'un trait.
Je saisis ses cheveux à l'arrière de sa tête avec ma main droite et la guidai d'avant en arrière le long de mon membre.
Sentir sa bouche chaude et humide envelopper ma bite est décidément une sensation dont je ne peux plus me passer.
Je baisai sa bouche de plus en plus vite en tapant au fond de sa gorge.
Quelques larmes perlèrent aux coins de ses yeux, sa bave coula sur mes couilles.
- Finis-moi avec tes mains, Jess !
Elle prit ma queue huilée par sa salive entre ses petits doigts fins et me branla dans un bruit de succion excitant.
Elle était décoiffée, ses lunettes de travers sur son visage. Elle accéléra, cracha sur mon gland.
J’étais fier d'elle, de la manière dont je l'avais transformée.
C'était maintenant une vraie débauchée, une pute perverse.
Je ne résistai pas longtemps sous ses caresses et j'éjaculai violemment sur son visage;
Mon sperme épais forma de gros amas qui pendaient de son menton et de ses joues.
Avec ses doigts, elle les ramena vers sa bouche et les avala tous un à un sans quitter mes yeux.
Avant de finir par étaler le sperme de sa poitrine sur ses seins en les massant de ses deux mains. Je passai doucement ma main dans ces cheveux, me mis à genoux face à elle et l'embrassai langoureusement.
- Toujours en chaleur? dis-je en passant mon doigt entre ses cuisses.
- Oui, toujours, bien sûr.
- Oui, je vois que ma petite salope est encore bien humide et prête à recevoir la suite de son cours… en pleine forme.
- Grâce à toi, je sens que je progresse beaucoup.
- C’est ce que nous allons voir. La prochaine fois, j’aimerais voir ma petite pisseuse à l’œuvre et de pissé debout devant moi.
- Mais non !
- Si on trouvera l'endroit !
- Bien.
- Bonne petite Jess !
- Je suis si excitée !
Je sentis sa main venir agripper mes cheveux, tirer mon visage un peu plus vers elle, ses cuisses naturellement s’ouvrir un peu plus.
Ma langue la pénétra, la baisa à nouveau. Elle ne put plus tenir droite debout, ses jambes avaient du mal à la porter et, de plaisir, elle se plia en deux.
Ne voulant pas la faire jouir maintenant, je retirai ma langue et stoppai mon cunnilingus.
En me redressant, je retrouvai ma Jess haletante en train de masser sa petite poitrine, les yeux pleins d’envie.
Je la regarde, si belle, si pute.
Pour l’accompagner, je lui enfonçai deux doigts dans sa petite chatte humide.
Immédiatement, la moue se transforma et le plaisir transparut sur son visage.
Elle avait bien mérité que je la baise maintenant.
- Alors, on dirait que ta chatte réclame quelque chose.
- Oh oui , s’il te plaît, baise-moi, je veux jouir encore, je veux sentir ta queue dans ma chatte.
- Tu vas être satisfaite, petite pute, mais d’abord, mets-toi à quatre pattes comme une chienne que tu es.
- Oui , me répond-elle en joignant l’acte à la parole.
- En tant que chienne assoiffée de sexe, tu vas commencer par laper les gouttes de sperme au sol.
- Oui , tout de suite, tout ce que tu voudras.
A quatre pattes, Jess se pencha en avant, mit son visage de côté pour continuer à me regarder.
Je la vis alors sortir sa petite langue rose qui vint effleurer le sol.
Sa petite langue rejoignit alors avec son chargement de nectar, sa petite bouche. Elle répéta ce geste, lapant goulûment les gouttes de sperme comme je le lui avais ordonné.
- C’est bien bonne fille, lui dis-je en lui donnant une claque sur ses fesses dressées et gonflées.
Elle gémit. Elle aimait.
Je recommençai à la fesser plus fort, plus vite.
Elle poussait de petits cris à chaque contact de la paume de mes mains sur ses fesses.
Je bandai dur désormais et ma queue remplaça mes mains pour gifler ses fesses et sa belle chatte offerte et ouverte qu’elle tendait au bout de ses fesses.
Je ne pouvais pas résister plus longtemps et me mis à genoux derrière elle.
Je retirai mon pantalon et positionnai mon gland sur l’entrée de son vagin, attrapai ses cheveux et la tirai d’un coup en arrière.
Ma queue s’enfila en elle brutalement, lui arrachant un petit cri.
Je lui donnai une nouvelle claque sur les fesses en commençant à la pistonner.
De ma main gauche, je lui attrapai un sein que je caressai.
Ma queue venait taper au fond de sa chatte, arrachant à chaque va-et-vient un nouveau gémissement.
Heureusement sa mère n’était pas au même étage, sinon elle n’aurait pu faire autrement que nous entendre.
Alors que je la baisai, Jess continua de lécher le sol.
Je la retirai alors en arrière et accélérai fort dans sa chatte.
Ma bite était aspirée en elle dans un bruit de succion obscène.
Nous jouîmes en même temps. Nos corps se contractèrent simultanément, ma queue s’enfouit au plus profond de sa petite chatte pour libérer mon sperme.
Mon sperme gicla en elle en plusieurs spasmes violents.
Je sentis son corps trembler entre mes doigts.
La première fois que j'éjaculai en elle.
Nous nous effondrâmes au sol tous les deux. Mon bas-ventre, ma bite, et le haut de mes cuisses ruisselaient de son jus collant, tandis qu’un filet de sperme ressortit paresseusement de sa petite chatte.
Je la relevai doucement et lui demandai de se rhabiller.
Elle enfila rapidement sa robe alors que je remettais mon pantalon. Nous nous assîmes enfin à son bureau pour nous remettre de nos émotions.
- J’ai joui fort aujourd’hui. Plus fort que jamais…
- J’ai vu ça, Jess.
- Je me sens tellement sale, tellement pute. Faire ça chez moi, avec ma mère à côté… je n’aurais jamais cru, et pourtant rien n’aurait pu m’arrêter. Même si elle était entrée, j’aurais voulu que tu continues à me baiser.
- Tu aimes ça, Jess ?
- Oui, beaucoup . Je ne pense plus qu’à ça, au sexe, à ce que je fais avec toi, à ce que je vais faire et que je ne connais pas encore. Je veux jouir tout le temps, m’abandonner à tes désirs.
- Tu es une fille très douée, Jess. Je l'ai vu dès le premier jour de notre rencontre, dans ton petit mot dans la voiture. De notre première fois, et comme je suis ton professeur, il est normal que je te donne aussi quelques devoirs en mon absence, entre nos cours.
- Oh oui, bien sûr, je les ferai.
- Dis-moi qui sont ces gens sur la photo sur ton bureau.
- Il s’agit de ma grande sœur Noémie qui ne vit plus ici et de son mec dont je vous ai parlé, et c’est aussi une copine de Zoé !
- Très intéressant. Il est très mignon, lui aussi, Jess; je suis sûr que tu as déjà fantasmé sur lui et que tu t’es masturbée en pensant à lui.
- Oui, c’est vrai,et j'ai honte de te dire ça, dit-elle après une petite hésitation en baissant la tête.
- C’est bien normal. Alors voilà tes devoirs. Les vacances arrivent et je veux qu’avant notre prochaine rencontre, tu trouves le moyen d’assouvir tes fantasmes vis-à-vis de lui. Je veux que tu le suces,lui, et que tu filmes pour me le montrer.
- Oh non , non, ce n’est pas possible ! Ils ne vivent pas ici.
- Très bien, Jess ! Il faut aussi, dans ton apprentissage, que tu découvres le plaisir avec une autre fille. Il me semble que ta meilleure amie Zoé fera un excellent sujet. Elle est très belle, alors tu vas aussi la séduire et vous filmer.
- Mais c’est impossible, je ne pourrai pas.
- Tu n’as pas envie avec une fille ?
- Si, bien sûr, j’aimerais beaucoup essayer… Mais, Zoé, je ne sais pas comment faire.
- Vous avez bien dû jouer à touche minou toutes les deux… Alors je suis sûr qu’avec ton imagination fertile, tu trouveras un moyen. Tu as les vacances pour y songer. C’est ton devoir et ton premier examen en quelque sorte. Je n’impose rien d’autre, tu as champ libre, ma belle. Et, comme tu as bien travaillé, tu as mérité une petite récompense. lui dis-je en glissant un billet plié entre ses petits seins.
- Bien, je ferai de mon mieux, me répondit-elle en attrapant le billet du bout des doigts avant de le ranger dans le tiroir de son bureau.
Elle me sourit, mais je voyais que mes instructions lui causaient du souci. Toutefois, je savais qu’elle allait y arriver et qu’elle y prendrait un grand plaisir.
Le cours touchait à sa fin. Nous nous levâmes et nous nous embrassâmes tendrement avant de rejoindre le rez-de-chaussée pour aller faire un petit bilan à Sarah.
- Comment s’est passé ce premier cours ?
- Mais très bien, Sarah, Jess montre d’excellentes bonnes choses, c’est une fille sérieuse et je ne doute pas qu’elle progressera rapidement.
- Je suis heureuse de l’entendre. Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau, j’aimerais m’entretenir en privé avec vous.
- Mais bien sûr, salut Jess
- Salut, me répondit-elle avec un petit sourire.
Sarah me conduisit dans un bureau au fond du couloir au rez-de-chaussée. Le bureau était positionné devant une bibliothèque et un canapé lui faisait face.
Elle m’invita à m’asseoir dessus et me proposa à boire. J’acceptai et elle nous servit deux verres de whisky. Elle prit place à côté de moi en tendant mon verre.
- Je voulais te remercier d’accepter de rester un peu pour échanger plus en détail. J’attache beaucoup d’importance à la réussite de ma fille et tes cours lui seront très précieux.
- C’est moi qui te remercie de ta confiance, Sarah !
Elle but une gorgée avant de reprendre.
- Si je voulais te parler en privé, c’est parce que je suis très ennuyée. J'ai en ce moment des difficultés financières et je vais avoir du mal à pouvoir payer ces cours… Étant une femme seule avec ma fille qui fait des siennes.
- Cela n'est peut-être pas un problème !
- Je te l’ai dit, je suis prête à tout pour que ma fille réussisse. Néanmoins, je n’ai pas d’argent à consacrer à ses cours en cette période difficile, alors je me disais que nous pourrions voir de quelle manière je pourrais compenser tes services.
En disant cela, elle me fixait dans les yeux et posa sa main sur mon genou.
Je faisais semblant de pas comprendre. Même si je l'avais déjà baisé, je ne pensais qu'à ça.
- Je ne suis pas sûr de bien comprendre, Sarah. De quel genre de compensations parles-tu ?
- Je pourrais,disons, t’accorder certaines faveurs… me dit-elle en faisant remonter sa main le long de ma cuisse et en ingurgitant une nouvelle rasade d’alcool pour se donner du courage.
- Tu es une femme très belle et très forte, Sarah, mais cela est-il bien raisonnable pour votre ménage, et éventuellement le mien ? lui rétorquai-je avec un petit sourire. Malgré qu'on ait déjà baisé ensemble.
- J’ai bien réfléchi, mais cette solution me semble la meilleure si vous l’acceptez; et surtout que tu es seul quand ta femme est en déplacement.
Sa main était remontée au niveau de mon entrejambe et le bout de ses doigts passa sur ma braguette.
Sarah serait-elle aussi salope que la fille ? Cela m’en avait tout l’air et je me demandai si cette histoire d’argent n’était pas qu’un prétexte de se voir régulièrement.
Elle se pencha un peu vers moi et posa ses lèvres sur les miennes en fermant ses yeux.
Sa main se referma sur mon sexe.
J’ouvris ma bouche sans résistance pour accueillir sa langue.
Je sentis le parfum de son rouge à lèvres sur les miennes et sa salive avait un fort goût d’alcool.
Tout en m’embrassant, et du bout de ses doigts, elle frottait ma bite qui gonflait à nouveau sous mon pantalon.
Ma main se posa sur ses cuisses et remonta sous sa jupe à mesure qu’elle écartait ses jambes, jusqu’à ce que mes doigts viennent en contact avec le tissu dentelé de sa culotte.
Je me mis alors à frotter sa chatte au même rythme qu’elle frottait ma queue.
Nos bouches ne s’étaient pas décollées.
Elle ouvrit ma braguette de ses doigts experts et sortit ma bite de son logement.
Elle arrêta de m’embrasser pour la regarder en commençant à la branler doucement.
« Suce-moi, Sarah », lui dis-je.
Sans hésiter, elle plongea ses lèvres sur mon gland rougeoyant.
En appuyant derrière sa nuque, je la fis descendre vers le bas de ma queue encore collante du jus à peine séché de sa fille.
Sarah ne se doutait pas qu’en me nettoyant la bite, elle gouttait par procuration à la mouille de sa petite Jess.
Cette situation m’excitait fortement.
Sarah était maintenant à quatre pattes à côté de moi pour me sucer.
Sa bouche était toute chaude et onctueuse.
Sa bave abondante échouait sur mes couilles.
Je décidai alors de soulever sa jupe, d’écarter sa petite culotte et de venir masser sa chatte.
Elle était trempée, mes doigts glissèrent sur sa fente et sans résistance, je lui en rentrais deux dans le vagin.
Je me mis à la doigter de plus en plus vite et elle commença à gémir doucement.
De petits jets de mouille jaillissaient de son intimité et venaient s’écraser sur mon bras avant de retomber sur le sofa.
Je sortis mes doigts de sa chatte et les suçai.
Je repris un peu de son jus de chatte sur le bout de mes doigts et l’utilisai pour lubrifier son petit trou.
Je me mis à masser son anus avec mon majeur et le lui enfonçai en appuyant progressivement. Le gémissement se transforma en râle.
- Tu aimes ?
- Oui, ne t’arrête pas.
- C’est toi qui es censée me dédommager, lui dis-je avec un petit sourire.
- Mmm, tu peux me baiser alors, je veux sentir ta grosse queue en moi.
Elle fit tomber sa jupe au sol, et se mit alors à califourchon au-dessus de moi.
Sa fente en contact avec la pointe de mon gland, qui disparut bientôt, aspiré par ses lèvres intimes.
Très progressivement, je sentis la chatte trempée de Sarah glisser vers le bas le long de ma bite.
Après avoir été quelques minutes auparavant enserrée dans la chatte de la fille, elle se trouvait maintenant dans celle de la mère. Un rêve.
Celle-ci était moins étroite, mais tout aussi chaude et agréable.
Alors que Sarah s’empalait sur ma queue à un rythme régulier et en poussant de petits gémissements de plaisir, je lui défaisais son chemisier.
Sa poitrine volumineuse était protégée par un soutien-gorge blanc en dentelle.
Je glissai mes doigts sous l’armature et le fis remonter pour découvrir ses magnifiques seins.
Pendant un moment, je les regardai ballotter de bas en haut, synchronisés avec ses mouvements sur ma bite.
Ses tétons posés sur des aréoles larges et rosées pointaient forts.
Je les pinçai doucement entre mes doigts avant d’entreprendre de les téter, de les mordiller.
C’était un réel plaisir de passer de l’un à l’autre.
Dans le même temps, mes mains venaient malaxer ses fesses, et imprimer la fréquence de ses va-et-vient sur mon membre.
Bientôt, mes doigts s’insinuèrent entre ses fesses et mon majeur s’enfonça à nouveau dans son cul.
Elle se rabattit alors brutalement sur moi, ma bite enfoncée complètement dans son vagin.
Je la sentis alors se contracter pour serrer ma queue et, sans remonter d’un millimètre, Sarah se mit à faire de petits mouvements circulaires avec son bassin.
J’étais au paradis, ma tête plongea à nouveau dans sa poitrine voluptueuse et je me mis à doigter son anus plus vite. Mes couilles, le haut de mes cuisses étaient trempés de son jus de moule.
En relevant la tête, je vis la porte du bureau qui me faisait face et qui était juste poussée, s’entre-ouvrir.
Jess apparut alors dans l’encadrement.
Elle nous observait en train de baiser.
Sa mère, à cheval sur moi, lui tournait le dos et ne pouvait donc pas la voir.
Jess releva alors d’une main sa robe pour me dévoiler sa chatte.
Elle ouvrit ses cuisses et commença à se toucher.
En la voyant ainsi, mon excitation, si cela était possible, grandit encore.
Mon index vint rejoindre mon majeur dans le cul de sa mère, la bouche de Sarah plongea alors vers la mienne et nous nous embrassâmes fougueusement.
Sarah se mit à accélérer, ses fesses claquaient sur mes cuisses et mes couilles ballottaient de plus en plus fort.
Je jetai un coup d’œil à Jess qui se doigtait debout et désormais de manière obscène dans le dos de Sarah.
L’image de la mère et de la fille, ma queue baisant la chatte de Sarah, mes doigts baisant son cul, fit que j’étais proche de l’éjaculation.
Sarah qui respirait de plus en plus fort et bougeait de plus en plus vite était également au bord de l’orgasme.
Jess avait également l’air d’être très excitée en arrière-plan, elle malaxait ses seins tout en continuant de branler sa chatte.
J’attrapai alors sans ménagement Sarah par un sein que je comprimai de ma main libre, lui enfonçai mes doigts au plus profond de son petit cul et, d’un dernier violent coup de rein, ma queue vint taper au fond de sa chatte avant de se mettre à déverser mon sperme en plusieurs giclées rapprochées.
Sarah jouit en même temps, elle ne put retenir un cri et son corps se mit à trembler.
Nos yeux étaient accrochés l’un à l’autre dans cet orgasme.
Elle s’effondra sur moi, ses lèvres molles s’écrasant sur les miennes.
En relevant la tête, je vis que Jess avait disparu, elle s’était éclipsée discrètement.
Voir sa mère se faire baiser comme ça avait dû la faire jouir et cette scène alimenterait sûrement de nombreux fantasmes pour elle.
Ma bite, toujours dans la chatte de Sarah, ramollissait progressivement, et je vis une coulure de sperme refluer de son vagin pour venir couler sur mes couilles.
Elle se releva doucement et commença à se rajuster et se rhabiller.
- Pouvons-nous considérer ce mode de paiement comme recevable ? me lança-t-elle en souriant.
- Mais tout à fait, Sarah, tu es une femme superbe et j’ai vraiment pris énormément de plaisir comme les autres fois.
- Moi aussi, je dois le reconnaître. Je n’avais plus joui comme ça depuis trop longtemps.
- Alors nous pouvons considérer que nous avons un marché conclu, je pourrai ainsi profiter de ton superbe corps chaque fois ?
- J’ai honte de le dire, mais j’ai déjà hâte que tu reviennes t’occuper de ma fille.
Sarah arborait un grand sourire.
Nous nous embrassâmes une dernière fois avant que je rentre chez moi.
Sur le chemin du retour, je pensais déjà aux devoirs de vacances que j’avais donnés à Jess ainsi qu’à notre prochaine cession.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cette histoire est incroyable !!! J'aimerais beaucoup échanger avec vous dessus !
Bisous
Bisous
Très très jouissif belles scènes que l’on peut voir par l’imaginaire tant elles sont parfaitement décrites Daniel