Jet d'eau à Genève
Récit érotique écrit par Boris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2005 dans la catégorie Plus on est
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Jet d'eau à Genève
Lors de mon dernier voyage à Genève, j’étais descendu dans un hôtel au bord du lac où je devais séjourner pour des raisons professionnelles. Au service réservation, une femme d’origine russe avait attiré mon attention lorsqu’il avait fallu que je modifie mes horaires d’avion au retour. Tous les matins, j’entretenais notre relation en lui donnant le bonjour et en la complimentant sur un aspect de sa tenue vestimentaire ou sa silhouette. Elancée, blonde, longiligne, cette femme de l’Est était élégante, souriante et discrète.
Un après-midi, en revenant chercher un dossier dans ma chambre, je lui proposais de dîner, invitation qu’elle accepta rapidement à ma grande surprise. En effet, elle me répondit de suite qu’elle réserverait une table dans un restaurant ayant une vue sur le célèbre jet d’eau du lac de la cité suisse. Vers 20h00, je la rejoignis donc dans le hall dans un costume noir mis en valeur par une chemise blanche ivoire. Elle portait un manteau de velours rouge et un foulard rose autour du cou. Atanaska m’entraîna vers la sortie et nous marchâmes le long du rivage en échangeant des propos amicaux.
Quand le serveur nous plaça à une table retirée, j’observai son regard sur ma partenaire. Il semblait la connaître puisqu’il la tutoya en prenant son habit pour le ranger au vestiaire. Durant le dîner composé de crudités, soles et gâteaux, elle m’expliqua sa vie d’expatrié au coeur de l’Europe et les contraintes de sa vie de célibataire. Elle me confia que sa solitude lui pesait et que, parfois, elle acceptait de sortir avec un client de l’hôtel pour s’aérer. Plus incidemment, elle m’informa que sa vie sexuelle était désespéramment terne. Je compris à ces propos qu’elle attendait une proposition de ma part. Avant même que je lui en fasse une, elle me demanda si j’étais disposé à poursuivre la soirée dans un nightclub réputé pour sa chaude ambiance. Je lui répondis par l’affirmative en lui indiquant que je me lasserai guider par ses initiatives.
Entrés dans l’établissement nocturne, nous nous installâmes dans un salon bordé de canapés d’où nous pouvions observer les danseurs sur la piste de danse. Vêtue d’une mini robe également rouge, Atanaska me sourit et m’invita à danser avec elle. Son parfum et son haleine me troublaient tout comme ses boucles de cheveux sur ses épaules. Parfois, ses lèvres se rapprochaient des miennes ; parfois elle tournait la tête pour mieux me laisser entrevoir ses seins nus sous l’étoffe. Ses mains glissaient sur mes épaules, mon dos et mes hanches. Je me laissais séduire tout en observant d’autres couples qui dansaient langoureusement. Je notai que le serveur du restaurant était au bar avec une jolie femme. Ma partenaire et moi-même le rejoignîmes pour partager un verre. Nous fîmes mieux connaissance et décidâmes tous les quatre de finir la soirée au domicile de mon amie.
A peine étions nous arrivés dans l’appartement d’Atanaska, que celle-ci nous versa du champagne dans des flûtes. Le serveur, Charles, qui connaissait les lieux, mit du jazz et s’assit près d’Elodie, son oiseau de nuit. Elle l’embrassa en le caressant sur la braguette pour le chauffer. Leur faisant face, je les observai alors que notre hôte debout me passait ses mains dans les cheveux. Elodie sortit la queue du slip de Charles et entama une fellation. Excitée à la vue de cette position, Atanaska leva sa robe et poussa ma tête vers son string si bien que mon nez heurta le triangle de soie. Je fis glisser le sous-vêtement le long des jambes et entrepris un cunnilingus en faisant rouler ma langue sur les petites et grandes lèvres déjà fort humides. Mes mains emprisonnèrent les fesses de mon amie ; d’un doigt je titillais son anus. Nus Charles et Elodie avaient opté pour un 69 : elle le masturbait en mordillant les couilles ; il la léchait en entrant deux doigts dans la chatte.
Je continuai mes travaux en dilatant les orifices de ma partenaire. Son sexe était bien ouvert et son anus acceptait à présent l’introduction de deux doigts. Son corps se trémoussa ; elle retira sa robe en s’allongeant sur le dos à même la moquette à proximité de l ‘autre couple. Je me plaçai à genoux entre ses jambes et continuai mon cunnilingus en savourant ses humeurs. Elodie changea de position : elle se fit prendre en levrette par Charles tout en embrassant Atanaska. Les deux femmes se caressaient mutuellement les seins tout en se roulant une pelle. Je pris notre hôte en position de missionnaire en variant la vitesse des va-et-vient. Le spectacle que m’offraient les deux femmes m’excitait tout comme Charles qui avait accélérer la cadence. Nous éjaculâmes l’un sur la raie des fesses, l’autre sur le nombril.
Après une brève toilette, mon amie russe montrait toujours de l’appétit. Elle s’empala à califourchon sur le sexe de Charles et dirigea la manoeuvre. Les seins collés à la poitrine de son partenaire, elle imprima un rythme rapide recherchant un plaisir intense. Elodie offrit sa chatte aux lèves de Charles qui lui pinçait les bouts des seins. Sans avertir Elodie, je la sodomisai ainsi était -elle prise par devant et par derrière. En écoutant ses râles, elle semblait apprécier tout autant que ses partenaires, cette position. Ses deux cavités emprisonnaient les deux membres aux glands violacés. Tous les trois, nous connurent une grande contraction au cours de laquelle nous lâchâmes notre foutre. Nous nous rhabillâmes lentement en nous embrassant de façon reconnaissante.
A ce moment là de la soirée, Atanaska me confia, tout en regardant le jet d’eau lumineux sur la lac, que Charles était son compagnon de vie...
Un après-midi, en revenant chercher un dossier dans ma chambre, je lui proposais de dîner, invitation qu’elle accepta rapidement à ma grande surprise. En effet, elle me répondit de suite qu’elle réserverait une table dans un restaurant ayant une vue sur le célèbre jet d’eau du lac de la cité suisse. Vers 20h00, je la rejoignis donc dans le hall dans un costume noir mis en valeur par une chemise blanche ivoire. Elle portait un manteau de velours rouge et un foulard rose autour du cou. Atanaska m’entraîna vers la sortie et nous marchâmes le long du rivage en échangeant des propos amicaux.
Quand le serveur nous plaça à une table retirée, j’observai son regard sur ma partenaire. Il semblait la connaître puisqu’il la tutoya en prenant son habit pour le ranger au vestiaire. Durant le dîner composé de crudités, soles et gâteaux, elle m’expliqua sa vie d’expatrié au coeur de l’Europe et les contraintes de sa vie de célibataire. Elle me confia que sa solitude lui pesait et que, parfois, elle acceptait de sortir avec un client de l’hôtel pour s’aérer. Plus incidemment, elle m’informa que sa vie sexuelle était désespéramment terne. Je compris à ces propos qu’elle attendait une proposition de ma part. Avant même que je lui en fasse une, elle me demanda si j’étais disposé à poursuivre la soirée dans un nightclub réputé pour sa chaude ambiance. Je lui répondis par l’affirmative en lui indiquant que je me lasserai guider par ses initiatives.
Entrés dans l’établissement nocturne, nous nous installâmes dans un salon bordé de canapés d’où nous pouvions observer les danseurs sur la piste de danse. Vêtue d’une mini robe également rouge, Atanaska me sourit et m’invita à danser avec elle. Son parfum et son haleine me troublaient tout comme ses boucles de cheveux sur ses épaules. Parfois, ses lèvres se rapprochaient des miennes ; parfois elle tournait la tête pour mieux me laisser entrevoir ses seins nus sous l’étoffe. Ses mains glissaient sur mes épaules, mon dos et mes hanches. Je me laissais séduire tout en observant d’autres couples qui dansaient langoureusement. Je notai que le serveur du restaurant était au bar avec une jolie femme. Ma partenaire et moi-même le rejoignîmes pour partager un verre. Nous fîmes mieux connaissance et décidâmes tous les quatre de finir la soirée au domicile de mon amie.
A peine étions nous arrivés dans l’appartement d’Atanaska, que celle-ci nous versa du champagne dans des flûtes. Le serveur, Charles, qui connaissait les lieux, mit du jazz et s’assit près d’Elodie, son oiseau de nuit. Elle l’embrassa en le caressant sur la braguette pour le chauffer. Leur faisant face, je les observai alors que notre hôte debout me passait ses mains dans les cheveux. Elodie sortit la queue du slip de Charles et entama une fellation. Excitée à la vue de cette position, Atanaska leva sa robe et poussa ma tête vers son string si bien que mon nez heurta le triangle de soie. Je fis glisser le sous-vêtement le long des jambes et entrepris un cunnilingus en faisant rouler ma langue sur les petites et grandes lèvres déjà fort humides. Mes mains emprisonnèrent les fesses de mon amie ; d’un doigt je titillais son anus. Nus Charles et Elodie avaient opté pour un 69 : elle le masturbait en mordillant les couilles ; il la léchait en entrant deux doigts dans la chatte.
Je continuai mes travaux en dilatant les orifices de ma partenaire. Son sexe était bien ouvert et son anus acceptait à présent l’introduction de deux doigts. Son corps se trémoussa ; elle retira sa robe en s’allongeant sur le dos à même la moquette à proximité de l ‘autre couple. Je me plaçai à genoux entre ses jambes et continuai mon cunnilingus en savourant ses humeurs. Elodie changea de position : elle se fit prendre en levrette par Charles tout en embrassant Atanaska. Les deux femmes se caressaient mutuellement les seins tout en se roulant une pelle. Je pris notre hôte en position de missionnaire en variant la vitesse des va-et-vient. Le spectacle que m’offraient les deux femmes m’excitait tout comme Charles qui avait accélérer la cadence. Nous éjaculâmes l’un sur la raie des fesses, l’autre sur le nombril.
Après une brève toilette, mon amie russe montrait toujours de l’appétit. Elle s’empala à califourchon sur le sexe de Charles et dirigea la manoeuvre. Les seins collés à la poitrine de son partenaire, elle imprima un rythme rapide recherchant un plaisir intense. Elodie offrit sa chatte aux lèves de Charles qui lui pinçait les bouts des seins. Sans avertir Elodie, je la sodomisai ainsi était -elle prise par devant et par derrière. En écoutant ses râles, elle semblait apprécier tout autant que ses partenaires, cette position. Ses deux cavités emprisonnaient les deux membres aux glands violacés. Tous les trois, nous connurent une grande contraction au cours de laquelle nous lâchâmes notre foutre. Nous nous rhabillâmes lentement en nous embrassant de façon reconnaissante.
A ce moment là de la soirée, Atanaska me confia, tout en regardant le jet d’eau lumineux sur la lac, que Charles était son compagnon de vie...
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