Jeu pervers
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeu pervers
A cette époque, la libération sexuelle avait déjà produit ses effets et le sida n’était pas encore la tragédie que nous connaissons.
J’étais invité à une soirée entre potes par Bob, que j’avais eu l’occasion de connaitre intimement, et deux de ses copains. Il y avait Marc, un étudiant de nos âges, et Raymond que tout le monde appelait Ray. Bob était une sorte de macho, pas méchant mais aimant imposer ses vues à ceux qui l’entouraient.
Nous avons diné tranquillement puis Bob proposa de jouer aux cartes. Notre choix s’arrêta sur le poker classique, avec des jetons. La soirée passa agréablement, chacun gagnant et perdant au gré de sa bonne fortune mais bientôt il ne me restait plus rien pour miser. Bob me demanda d’aller chercher une bouteille car la soif gagnait les gosiers, ce que je fis sans difficulté.
En revenant ils étaient en train de parler à voix basse, éclatant parfois d’un rire sonore. Après un verre, ils se sont levés et m’ont entouré.
- Tu as perdu, tu nous dois quelque chose. Allez, une mise à l’air !
J’avais déjà subi ce genre d’humiliation alors, si cela pouvait leur faire plaisir…
Ray me prit les bras pendant que Bob me faisait une balayette pour me faire tomber. Marc s’empara de mes chevilles pour m’immobiliser à terre, je ne pouvais plus bouger. Bob, doucement, se pencha sur moi, défit la ceinture puis le bouton de mon jean et s’appliqua à défaire un à un les boutons de ma braguette, non sans s’attarder sur mon membre en passant. Je tentais de protester et de me débattre mais une violente paire de gifles me tira des larmes. Il saisit le jean au niveau des hanches, prenant soin d’attraper la ceinture du slip en même temps, et tira vers le bas, forçant afin de faire passer le bassin. Il amena le tout jusqu’aux chevilles et en profita pour remonter ma chemise jusqu’aux épaules. Me voici nu des jambes au torse, dans l’impossibilité de bouger, devant ces trois males.
- Tenez le bien, qu’il ne bouge pas, dit Bob.
Tout d’un coup un flash éclaira la pièce, puis un second. Bob me prenait en photo dans cette situation humiliante.
- Si tu n’es pas sage, je distribuerai ces photos de toi.
Je savais qu’il en était capable car il développait lui-même ses clichés.
Il s’assit sur mes jambes, malaxa mes couilles d’une main et prit mon sexe flasque dans l’autre en commençant à me masturber. Il ne faisait pas dans la dentelle et ses mouvements étaient tout sauf de douces caresses. Malgré moi, ma queue commençait à prendre du volume, ce qui amusait tout le monde. Il continua ainsi jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, j’éjaculais sur sa main et sur mon ventre, déclenchant un grand éclat de rire parmi les voyeurs.
- Salope, regarde ce que tu as fait, me dit-il en me montrant sa main souillée, nettoie ça !
Il me posa la main sur la bouche et me força à lécher le sperme puis il prit un mouchoir, essuya mon ventre et le fourra dans ma bouche en guise de bâillon.
- Comme ça, tu ne gueuleras pas !
Il se retourna vers Marc qui m’avait lâché et lui dit :
- Vas chercher du beurre !
- Tu ne vas tout de même pas…
- Vas chercher et ne discute pas !
Tout le monde avait encore en tête la fameuse scène du film « Dernier tango à Paris », la demande de Bob ne laissait planer aucun doute sur la suite des évènements.
Marc revint avec le beurre demandé. J’avais déjà été sodomisé et, je dois l’avouer, c’est une pratique que j’apprécie mais j’étais bien décidé à ne pas paraitre me rendre aux désirs de ce petit macho sans rien faire.
- Mettons-le sur le ventre, dit Bob.
Aussitôt dit, aussitôt fait, les trois gaillards m’ont retourné sans peine, offrant maintenant mes fesses à leur regard.
Bob se plaça derrière moi et commença à malaxer mes fesses, les écartant au maximum, jouant avec ma rondelle. Je faisais des efforts désespérés pour les tenir serrées et je me tortillais afin d’échapper aux doigts inquisiteurs, c’est alors que je reçus deux claques sonores et violentes sur les fesses, m’arrachant un cri étouffé par le bâillon.
- Arrête sinon je prends la ceinture !
Sentant un relâchement dans la manière de m’immobiliser, je réussis à dégager mes chevilles des mains de Marc. A ce moment, une violente douleur embrasa mes fesses, me faisant pousser un hurlement que le bâillon rendit presque inaudible : la ceinture venait de s’abattre en travers de mes fesses, laissant sans doute une trace qui aurait du mal à disparaitre. Vaincu, j’abandonnais toute résistance, espérant que cela irait vite.
Marc repris mes chevilles pendant que Bob se mettait à califourchon sur mes jambes, empêchant ainsi tout mouvement. Il se pencha et me dit à l’oreille :
- Mauvais choix, ça aurait pu bien se passer mais maintenant tu vas regretter ta rébellion !
Ses doigts s’insinuèrent dans mon sillon fessier, écartant les globes, passant et repassant sur ma rondelle. D’un coup, il tenta d’introduire un doigt en moi, le passage étant difficile je poussais un gémissement de douleur.
- Vous voyez, il aime être pris à sec !
Il parvint à introduire son doigt en poussant, sans se soucier de mes gémissements, et chaque mouvement déclenchait en moi une sensation de brulure. C’est un deuxième doigt qui vint rejoindre le premier, avec toujours autant de difficulté et autant de douleur. Bob s’en servait comme de ciseaux, les écartant et les rapprochant pour assouplir ma rondelle.
- Je suis bon prince, je vais te préparer pour mettre ma queue.
Il ressortit ses doigts, prit du beurre et commença à m’enduire l’orifice, faisant de nouveau pénétrer ses doigts qui, à ce moment, glissèrent plus facilement.
- Il va ressembler à une tartine, ricana Ray, déclenchant le rire des deux autres.
Jugeant son travail achevé, Bob abandonna le beurre, se positionna au-dessus de moi, son torse au-dessus de mon dos, et plaça son gland contre mon anus. D’une poussée, il s’introduisit et ne s’arrêta que lorsque son pubis toucha mes fesses. Je poussais un long gémissement de douleur. Il commença des mouvements amples, ressortant presque avant de revenir au fond de mon rectum, puis accéléra la cadence. Les battements de mon cœur s’accéléraient et ma respiration devenait haletante. Très excité, il se mit à sortir son membre de mon fondement puis à l’introduire à nouveau complètement.
Il faut l’avouer, le beurre est excellent pour la cuisine mais n’est qu’un pis-aller pour la pénétration et les effets du graissage commençaient à ne plus se faire sentir. Je sentais l’irritation envahir mes parois intimes et Bob n’avait toujours pas fini. Ce n’est qu’après de longues minutes que je le sentis se raidir et pousser un cri : il venait de jouir en moi. Il resta un moment affalé sur mon dos à reprendre son souffle. Bob se retira et dit :
- Bon sang, quel bon cul il a ! A toi, Marc, ne fais pas ta chochotte et montre lui que tu es un vrai mec !
Marc ne devait pas être très habitué à ce genre d’exercice car Ray l’encouragea à son tour.
- Vas-y, ne nous dis pas que tu préfèrerais être à sa place ?
Marc enleva donc son pantalon et son slip et vint placer ses jambes de chaque côté des miennes. Il présenta son membre à l’entrée et poussa son gland.
- Il faut remettre du beurre, ça ne rentre pas, dit-il.
Bob entreprit de lubrifier à nouveau l’entrée de mon trou en disant :
- Mais si, ça rentre, n’ai pas peur, encule le à fond.
Marc replaça son gland qui, cette fois, pénétra sans trop de difficulté. C’est par de petits mouvements rythmés qu’il me baisa, la douleur avait presque disparu, sa queue étant un peu moins épaisse que celle de Bob. Il jouit beaucoup plus rapidement en poussant un cri.
C’était maintenant au tour de Ray, je ne m’attendais pas à beaucoup de sollicitude de sa part et je ne fus pas déçu. Il m’encula d’un coup, comme Bob, sans prendre garde aux petits cris de douleur que je poussais derrière mon bâillon. Ce fut donc le troisième homme à me remplir le cul de son foutre chaud.
Ils me firent me relever, tout pantelant, le foutre mêlé à ce qui restait du lubrifiant coulant de mon cul. J’étais humilié et j’avais mal mais les trois autres semblaient s’amuser des larmes qui coulaient sur mes joues.
- Alors, ma poule, ta cheminée a été bien ramonée ? Tu as envie d’une autre tournée ?
Non, cela suffisait largement et je me dirigeais vers la salle de bain, le pantalon et le slip entravant toujours ma marche. Bob resta adossé à la porte pendant que j’effectuais une rapide toilette, ne perdant rien du spectacle. Quand j’eus fini, il me barra la route, m’empêchant de sortir.
- Tu me plais, ma salope, j’ai encore envie de ton cul mais je suis bon prince, je te laisse pour ce soir. A bientôt, ma chatte !
J’étais invité à une soirée entre potes par Bob, que j’avais eu l’occasion de connaitre intimement, et deux de ses copains. Il y avait Marc, un étudiant de nos âges, et Raymond que tout le monde appelait Ray. Bob était une sorte de macho, pas méchant mais aimant imposer ses vues à ceux qui l’entouraient.
Nous avons diné tranquillement puis Bob proposa de jouer aux cartes. Notre choix s’arrêta sur le poker classique, avec des jetons. La soirée passa agréablement, chacun gagnant et perdant au gré de sa bonne fortune mais bientôt il ne me restait plus rien pour miser. Bob me demanda d’aller chercher une bouteille car la soif gagnait les gosiers, ce que je fis sans difficulté.
En revenant ils étaient en train de parler à voix basse, éclatant parfois d’un rire sonore. Après un verre, ils se sont levés et m’ont entouré.
- Tu as perdu, tu nous dois quelque chose. Allez, une mise à l’air !
J’avais déjà subi ce genre d’humiliation alors, si cela pouvait leur faire plaisir…
Ray me prit les bras pendant que Bob me faisait une balayette pour me faire tomber. Marc s’empara de mes chevilles pour m’immobiliser à terre, je ne pouvais plus bouger. Bob, doucement, se pencha sur moi, défit la ceinture puis le bouton de mon jean et s’appliqua à défaire un à un les boutons de ma braguette, non sans s’attarder sur mon membre en passant. Je tentais de protester et de me débattre mais une violente paire de gifles me tira des larmes. Il saisit le jean au niveau des hanches, prenant soin d’attraper la ceinture du slip en même temps, et tira vers le bas, forçant afin de faire passer le bassin. Il amena le tout jusqu’aux chevilles et en profita pour remonter ma chemise jusqu’aux épaules. Me voici nu des jambes au torse, dans l’impossibilité de bouger, devant ces trois males.
- Tenez le bien, qu’il ne bouge pas, dit Bob.
Tout d’un coup un flash éclaira la pièce, puis un second. Bob me prenait en photo dans cette situation humiliante.
- Si tu n’es pas sage, je distribuerai ces photos de toi.
Je savais qu’il en était capable car il développait lui-même ses clichés.
Il s’assit sur mes jambes, malaxa mes couilles d’une main et prit mon sexe flasque dans l’autre en commençant à me masturber. Il ne faisait pas dans la dentelle et ses mouvements étaient tout sauf de douces caresses. Malgré moi, ma queue commençait à prendre du volume, ce qui amusait tout le monde. Il continua ainsi jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, j’éjaculais sur sa main et sur mon ventre, déclenchant un grand éclat de rire parmi les voyeurs.
- Salope, regarde ce que tu as fait, me dit-il en me montrant sa main souillée, nettoie ça !
Il me posa la main sur la bouche et me força à lécher le sperme puis il prit un mouchoir, essuya mon ventre et le fourra dans ma bouche en guise de bâillon.
- Comme ça, tu ne gueuleras pas !
Il se retourna vers Marc qui m’avait lâché et lui dit :
- Vas chercher du beurre !
- Tu ne vas tout de même pas…
- Vas chercher et ne discute pas !
Tout le monde avait encore en tête la fameuse scène du film « Dernier tango à Paris », la demande de Bob ne laissait planer aucun doute sur la suite des évènements.
Marc revint avec le beurre demandé. J’avais déjà été sodomisé et, je dois l’avouer, c’est une pratique que j’apprécie mais j’étais bien décidé à ne pas paraitre me rendre aux désirs de ce petit macho sans rien faire.
- Mettons-le sur le ventre, dit Bob.
Aussitôt dit, aussitôt fait, les trois gaillards m’ont retourné sans peine, offrant maintenant mes fesses à leur regard.
Bob se plaça derrière moi et commença à malaxer mes fesses, les écartant au maximum, jouant avec ma rondelle. Je faisais des efforts désespérés pour les tenir serrées et je me tortillais afin d’échapper aux doigts inquisiteurs, c’est alors que je reçus deux claques sonores et violentes sur les fesses, m’arrachant un cri étouffé par le bâillon.
- Arrête sinon je prends la ceinture !
Sentant un relâchement dans la manière de m’immobiliser, je réussis à dégager mes chevilles des mains de Marc. A ce moment, une violente douleur embrasa mes fesses, me faisant pousser un hurlement que le bâillon rendit presque inaudible : la ceinture venait de s’abattre en travers de mes fesses, laissant sans doute une trace qui aurait du mal à disparaitre. Vaincu, j’abandonnais toute résistance, espérant que cela irait vite.
Marc repris mes chevilles pendant que Bob se mettait à califourchon sur mes jambes, empêchant ainsi tout mouvement. Il se pencha et me dit à l’oreille :
- Mauvais choix, ça aurait pu bien se passer mais maintenant tu vas regretter ta rébellion !
Ses doigts s’insinuèrent dans mon sillon fessier, écartant les globes, passant et repassant sur ma rondelle. D’un coup, il tenta d’introduire un doigt en moi, le passage étant difficile je poussais un gémissement de douleur.
- Vous voyez, il aime être pris à sec !
Il parvint à introduire son doigt en poussant, sans se soucier de mes gémissements, et chaque mouvement déclenchait en moi une sensation de brulure. C’est un deuxième doigt qui vint rejoindre le premier, avec toujours autant de difficulté et autant de douleur. Bob s’en servait comme de ciseaux, les écartant et les rapprochant pour assouplir ma rondelle.
- Je suis bon prince, je vais te préparer pour mettre ma queue.
Il ressortit ses doigts, prit du beurre et commença à m’enduire l’orifice, faisant de nouveau pénétrer ses doigts qui, à ce moment, glissèrent plus facilement.
- Il va ressembler à une tartine, ricana Ray, déclenchant le rire des deux autres.
Jugeant son travail achevé, Bob abandonna le beurre, se positionna au-dessus de moi, son torse au-dessus de mon dos, et plaça son gland contre mon anus. D’une poussée, il s’introduisit et ne s’arrêta que lorsque son pubis toucha mes fesses. Je poussais un long gémissement de douleur. Il commença des mouvements amples, ressortant presque avant de revenir au fond de mon rectum, puis accéléra la cadence. Les battements de mon cœur s’accéléraient et ma respiration devenait haletante. Très excité, il se mit à sortir son membre de mon fondement puis à l’introduire à nouveau complètement.
Il faut l’avouer, le beurre est excellent pour la cuisine mais n’est qu’un pis-aller pour la pénétration et les effets du graissage commençaient à ne plus se faire sentir. Je sentais l’irritation envahir mes parois intimes et Bob n’avait toujours pas fini. Ce n’est qu’après de longues minutes que je le sentis se raidir et pousser un cri : il venait de jouir en moi. Il resta un moment affalé sur mon dos à reprendre son souffle. Bob se retira et dit :
- Bon sang, quel bon cul il a ! A toi, Marc, ne fais pas ta chochotte et montre lui que tu es un vrai mec !
Marc ne devait pas être très habitué à ce genre d’exercice car Ray l’encouragea à son tour.
- Vas-y, ne nous dis pas que tu préfèrerais être à sa place ?
Marc enleva donc son pantalon et son slip et vint placer ses jambes de chaque côté des miennes. Il présenta son membre à l’entrée et poussa son gland.
- Il faut remettre du beurre, ça ne rentre pas, dit-il.
Bob entreprit de lubrifier à nouveau l’entrée de mon trou en disant :
- Mais si, ça rentre, n’ai pas peur, encule le à fond.
Marc replaça son gland qui, cette fois, pénétra sans trop de difficulté. C’est par de petits mouvements rythmés qu’il me baisa, la douleur avait presque disparu, sa queue étant un peu moins épaisse que celle de Bob. Il jouit beaucoup plus rapidement en poussant un cri.
C’était maintenant au tour de Ray, je ne m’attendais pas à beaucoup de sollicitude de sa part et je ne fus pas déçu. Il m’encula d’un coup, comme Bob, sans prendre garde aux petits cris de douleur que je poussais derrière mon bâillon. Ce fut donc le troisième homme à me remplir le cul de son foutre chaud.
Ils me firent me relever, tout pantelant, le foutre mêlé à ce qui restait du lubrifiant coulant de mon cul. J’étais humilié et j’avais mal mais les trois autres semblaient s’amuser des larmes qui coulaient sur mes joues.
- Alors, ma poule, ta cheminée a été bien ramonée ? Tu as envie d’une autre tournée ?
Non, cela suffisait largement et je me dirigeais vers la salle de bain, le pantalon et le slip entravant toujours ma marche. Bob resta adossé à la porte pendant que j’effectuais une rapide toilette, ne perdant rien du spectacle. Quand j’eus fini, il me barra la route, m’empêchant de sortir.
- Tu me plais, ma salope, j’ai encore envie de ton cul mais je suis bon prince, je te laisse pour ce soir. A bientôt, ma chatte !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beau récit de la bonne époque.
Depuis ce temps là, tu apprécies et ne te rebelles plus si j'ai bien compris
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