Jeudi - jour de repos
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jeudi - jour de repos
Comme convenu j’attendais Viviane au pied de mon immeuble qui arriva pile à l’heure. Vêtue d’un joli corsage, laissant quand même apparaître un sage décolleté et d’une jupe dans les mêmes tons avec boutonnage. Je lui en fis compliment, elle sembla apprécier.
Comme il n’y avait pas d’endroit herbeux où s’installer, je lui proposais un café dans ma chambre. Elle était au 5 ème, mais il y avait un petit ascenseur qui pouvait nous monter jusqu’au 4 ème. Comme je lui expliquais, c’était un immeuble « bourgeois » et à l’époque le 5ème était pour le personnel travaillant pour les habitants des étages. Ainsi au 5ème il y avait 8 chambres. Sauf la mienne, toutes servaient maintenant de grenier, mais j’avais le nécessaire à l’étage et étant seul le 5ème était mon logement. On prit donc l’ascenseur, fait pour trois, mais elle se laissa serrer d’un peu prés, mais comme elle le dit en souriant « Pas touche » Arrivé dans la chambre, en souriant elle me dit « Tu peux toucher » Alors je la pris dans mes bras et s’en suivit un long baiser, nos langues se reconnaissant et se caressant. Puis elle se recula, je me dis que je ne devais pas lui sauter dessus à peine arrivée qu’il fallait peut-être y mettre un peu plus les formes. Donc je lui proposais un café, ce à quoi elle me répondit un large sourire et me tenant à bout de bras : « Je ne suis pas venu pour un café, mais pour toute autre chose, … écoutes moi mon petit chéri, … j’ai été une jeune fille sérieuse, une femme fidèle et je soupçonne mon mari de me tromper, … je le trompe, … et je ne veux pas faire avec toi ce que j’ai à la maison, … je ne veux pas que tu me fasses l’amour, mais que tu me baises, … je veux baiser, … je veux être à toi, … faire tout ce dont tu rêves de faire avec une femme, … je suis une femelle, qui s’offre à toi, … je t’obéirais, … je me veux soumise à tes désirs, … mais je veux jouir, … je veux que tu me fasses JOUIR, …fais-moi JOUIR et tu auras tout, …» Pendant ce long propos, le regard brillant, elle avait défait un à un les boutons de se corsage, et ses seins étaient apparus hors d’un soutien-gorge quart de bonnet et elle avait terminé par : « Viens, Embrasses moi, … » elle revint se collant à moi. Je repris mon parcours de baisers et de douce lècherie descendant sur le cou. Mais Viviane en avait décidé autrement. Elle défit le bouton de la ceinture de sa robe et en deux coups de hanches, celle-ci fut à terre, et apparut sa chatte nue. Elle se laissa tomber sur le lit, les cuisses largement écartées, et la main posée sur sa chatte : « Viens, …, viens me gouter, … je veux ta langue, … viens, … je t’attends, … je suis prête, … » Je n’avais qu’à obéir et j’allais humer son odeur de femelle chaude et excitée. A peine ayant atteint sa chatte elle posa sa main sur ma tête me maintint ainsi sur sa chatte : « Oui, … lèches moi, … j’aime sentir ta langue qui me caresse, … oui … c’est bon, … prends moi avec tes doigts, … j’attends, … ». Plus ça allait plus je la masturbais avec force et plus elle en demandait quand d’un seul coup elle se tendit avec un : « OUIIIIIII, … » et je fus inonder de son plaisir. Puis se laissant retomber : « Viens contre moi, … oui, … viens, … ». J’aurais bien envisagé une autre affaire, dans la mesure où j’avais une trique intéressante pour une nana gourmande, nous voilà parti pour un gentil petit câlin, dans les bras l’un de l’autre. Enfin émergeant : « Mais t’es encore habillé, … » et de se mettre rapidement à me déshabiller et là elle put constater l’effet de la parie de lèche chatte, … et sans hésiter elle se pencha sur ma bite pour prendre en bouche le gland et le lécher avec ardeur d’une telle façon que je dus l’arrêter car la pression était telle que je ne pourrais pas tenir longtemps à ce rythme. Elle remonta, posa ses lèvres sur les miennes et se mettant en levrette : « Viens, prends-moi, … » et elle me guida vers et dans sa chatte que j’investissais d’un grand coup de rein, qu’elle apprécia par un : « Oui… continues, … baises moi, … j’aime te sentir sur moi, … dis-moi que tu aimes me monter, … dessus, … OOOHHH, … oui, … » et là, voyant son joli cul à portée de main, je lui claquais la fesse droite, regrettant presque aussitôt mon geste mais : « Oh, oui, … encore,… j’aime, … » du coup je lui claquais l’autre fesse, claque qui fut aussi bien accueilli que la première et cramponné à ses hanches, je la ramonais avec vigueur et il fallait la faire partir car je sentais que je ne pourrais pas tenir longtemps et malheureusement n’y tenant plus, bien enfoncé dans son fourreau je me lâchais d’un seul coup, ce qui, heureusement, fit qu’elle se mit à jouir : « OOOOHHHHH … OUIIIIII, … » et elle fut secoué d’un joli spasme, qui m’éjecta de sa chatte. Et tous les deux sur le lit récupérant, enfin elle se leva demandant si elle pouvait utiliser la douche. Sans problème et je lui passais ma sortie de bains. Elle revint rapidement et en entrant dans ma chambre, elle ouvrit la sortie de bains : « Regardes c’est à toi, … « et venant contre moi, : « Tu m’as donné du plaisir, … la prochaine fois je m’occuperais de toi, … Bon, il faut que je parte, … samedi si tu es libre passes l’après-midi au magasin, on devrait avoir le matin une grosse livraison, il y aura du travail pour toi, … »
Moi : « Tu crois que le patron voudra me payer, … »
Viviane en rigolant : « S’il ne veut pas te payer, … je te paierais en nature, … ça te va, … et j’espère avoir une surprise pour toi, … mais j’en serais certaine que samedi matin, ... » Elle avait fini par s’habiller et partit avec un : « Je me sauve, … »
o Le samedi après-midi
Le matin j’étais allé laver des voitures avec un copain et l’après-midi vers 14,00 heures, j’arrivais à la boutique qui venait d’ouvrir et comme d’habitude je saluais tout le monde et demandais au patron s’il avait du travail pour moi. Et, par chance, arriva Viviane, qui se tournant vers le patron lui dit : « Tiens, Jean arrive à temps, il va pouvoir m’aider à ranger la livraison de ce matin, … » Accord fut donné pour deux heures. Et Viviane, le sourire aux lèvres, m’entraina au stockage de la livraison et on se mit au boulot. Au bout d’une demi-heure, alors que le plateau était en bas, en levant la tête je vis Viviane au bord du trou, les jambes écartées à tendre sa jupe. Elle vit mon coup d’œil et me lança : « Alors on se rince l’œil, … » Avec elle il ne fallait pas mollir et moi de lui répondre : « Impossible, c’est trop sombre, il faudrait éclaircir la situation, … » et Viviane de répondre, : « Je comprends, … attends, … » et sans hésiter elle releva sa jupe, enleva sa petite culotte et me la renvoya. : « C’est peut-être mieux ainsi, … tu peux sentir que je suis avec toi, … » et le monte-charge, remonta. J’en profitais pour grimper par l’escalier jusqu’à la hauteur de l’étage. Me voyant : « Qu’est-ce que tu fais là, … restes en bas à ranger les cartons, … » et moi de lui répondre : « Je voulais te dire, … que ta petite culotte m’a donné des idées, … »
Viviane : « Je ne pense pas que tu ais besoin de ça pour avoir des idées, … redescends, j’envoie le plateau, … »
Moi : « D’accord, … mais au prochain voyage tu descends, … arrivée en bas, tu remontras ta jupe, … et on ira sur la table, … Imagines, … toi sur la table, … »
Viviane : « Arrêtes, … non, … on a autre chose à faire, … c’est non, … »
Moi : « Tu as tort, … d’ailleurs tu en as envie, … je pense que tu commences à mouiller, … » et je descendis vider le plateau. Chose faite, juste avant qu’il ne remonte, : « N’oublies pas de descendre, … Je t’attends, … » J’entendis qu’elle chargeait le plateau et celui-ci descendit et oui, avec Viviane, qui s’éloigna rapidement, au cas où. Arrivé par derrière, je l’encerclais et ainsi prenais possession de ses seins, que j’entrepris de caresser avec énergie, en même temps que je lui léchais le cou. Ces préliminaires terminés, je lui glissais dans l’oreille : « Remontes ta jupe, … je vais te gouter, … »
Viviane : « Oui, … viens, … je suis descendu pour ça, … » et se dirigea vers la table en remontant sa jupe jusqu'à la ceinture. Puis s’installant sur la table, elle se laissa aller et dans le même temps ses jambes s’ouvrirent me donnant un accès facile à son minou « Viens, … oui, … viens, … prends moi, … c’est à toi, … tu as raison, … j’en ai envie, … viens, … » et j’entrepris de humer sa douce odeur de femme chaude, gourmande, et de la gouter, de gouter à ses grosses lèvres légèrement humides, ce qui fit que son souffle commença à s’accélérer, c’était le moment de la prendre d’abord avec la langue et après quelques titillement du bout de la langue de vérifier son désir d’être pénétrée donc bien ouverte pour mes deux doigts. Je le prenais avec douceur, mais fermeté. L’accueil fut à la hauteur de mes espérances : « Oui, … rentres, … dis-moi que tu aimes me prendre comme ça, … oui, … dépêches toi, … c’est bon, … plus vite, … Oui, … ne t’arrêtes pas, … OOOHHH, … OUIIIIII, … OUIIII, … » Brutalement, en jouissant, elle s’était cambrée et ses cuisses s’étaient refermées sur ma main, les doigts encore dans son fourreau chaud qui pouvaient encore s’agiter et la faire jouir. Enfin elle se laissa aller et je pus me dégager. Se cramponnant à la table elle se redressa, les yeux pas encore bien en face des trous et me disant : « Donnes-moi ta main, … » Je lui tendis et elle la porta à son nez la sentant, semble-t-il, avec un certain plaisir pour ensuite lécher les doigts qui l’avaient pénétré. Cette dégustation terminée, elle se laissa glisser à terre et en s’accroupissant descendit pantalon et caleçon en disant : « A moi, maintenant, … je veux te sucer, … depuis le temps que j’y pense, … je veux que tu prennes ma bouche, … je te l’offre, … ». Rapidement ses doigts me caressèrent, puis sa bouche prit possession de mon gland pour le sucer, le lécher pour enfin prendre entièrement ma queue et commencer à me pomper avec énergie. Il ne lui fallut pas longtemps pour que je sente que la pression augmentait et que j’allais ne plus pouvoir me retenir et je le prévins, mais rien n’y fit, elle continua avec plus d’énergie et je me vidais dans sa bouche en deux bonnes giclées. Quand elle me lâcha tout avait été avalé et elle se relevait, se collant contre moi : « J’ai aimé te donner ma bouche, … ça t’a donné du plaisir, … dis-moi est-ce que j’ai bien fait, … »
Moi : « Tu es adorable, … j’ai aimé, … la prochaine fois, … il faudra que pendant que tu t’occupes de moi, … tu devrais te caresser, … on pourrais jouir en même temps, … »
Viviane : « tu es complètement fou, … il faut finir, … » et réajustant sa jupe, elle se fit remonter par le monte-charge. Et on finit le travail. Je remontais et Odile nous fit remarquer que l’on avait mis du temps. Je touchais mon dû et me retournant vers Viviane : « La dernière vous avez payé le café, … à mon tour, … je vous offre le café et vous Odile, … » « Oui, merci, … avec plaisir, … »
Viviane et moi nous nous rendîmes sur la terrasse du café à quelques mètres du magasin et je dirigeais Viviane, vers un coin de la terrasse tranquille, discret et surtout à l’abri des regards. Je commandais les cafés, en portait un à Odile et revenait. C’est alors que je demandais à Viviane : « C’est quoi la surprise ? »
Viviane : « Mon mari prend le train dimanche, avec les délégués pour Paris pour une réunion syndicale, … si tu es libre, … tu pourrais venir me voir, … »
Moi : « Le rêve, … avec plaisir, … à quelle heure, … »
Vivianne : « Vers 1,00 heure, … je serais certaine qu’il sera parti, … par sécurité je mettrais un torchon blanc à la fenêtre, … »
Moi : « Formidable, … j’apporte quelque chose pour déjeuner, … »
Viviane : « Non, je t’invite, … »
Moi, lui posant la main sur la cuisse : « Tu sais ce que j’aimerais, … »
Viviane : « Non, … dis-moi, … »
Moi : « Que tu viennes m’ouvrir la porte vêtue de cette chemisette noire qu’on a vue, tu sais celle qui ne cache rien … avec des bas et tes escarpins, … »
Viviane : « Tu es vraiment fou, … cette nuisette, … qui ne recouvre rien, … et montre tout, … non, … je ne suis pas, … mais enlèves ta main, … »
Moi : « Non, … remontes ta jupe, … j’aime te caresser la cuisse, … surtout au-dessus des bas, … là où la peau est ci-douce, … »
Viviane : « Arrêtes, … on va nous voir, … «
Moi : « Non, … pas possible, … j’ai choisi ce coin exprès, … aides moi à remonter, … ce sera plus discret, … je suis sûr que tu vas aimer, … »
Viviane : « Bon, juste un peu, … »
Moi : « Oui, … comme si tu avais une mini, … ce sera parfait, … et ça me ferait plaisir, … tu aimeras, … »
Viviane : « Vraiment t’es raide fou, … et arrêtes, … » alors que je continuais gentiment à faire remonter le bas de la jupe et, la jupe étant évasée, j’en étais à mi-bas et Viviane remua un peu ce qui me permît de gagner quelques centimètres et j’étais pratiquement au haut des bas
Viviane : « Tu es fou, … tu n’arrêteras, pas, … ça va se voir, … tu es têtu, … dis, si je remonte au niveau des bas, … tu arrêteras, … »
Moi : « Tu vois que tu aimes, … même tu vas aimer, quand je te caresserais la cuisse, … essayes, … tu verras, … tu aimeras, … » Elle en était au moment où ce n’était plus sa tête qui commandait, mais sa chatte et j’espérais qu’avec un peu de chance, c’est elle qui prendrait le dessus et alors, tout serait plus facile et elle se laisserait faire, consentante et contente. Discrètement, d’ailleurs sans que cela puisse être vu, elle remonta un peu plus sa jupe, pratiquement au niveau du haut des bas. C’était presque gagné, là où nous étions il était difficile de voir ce qu’il se passait. Je posais de nouveau ma main sur sa cuisse, niveau haut du bas et commençais à la caresser doucement, du bout des doigts et ce que j’espérais arriva. Ses cuisses s’écartèrent légèrement, ce qui me permit d’enfoncer plus avant entre ses cuisses et ainsi de gagner quelques centimètres et arriver sur un petit peu de cette peau chaude et douce. Viviane regardait fixement sa tasse de café et en jouant avec mes doigts j’arrivais sur le dessus des bas. J’étais enfin au-dessus de bas et écartant les doigts, mon petit doigt pouvait toucher sa chaude fourrure. Encore un petit effort. Viviane se laissa légèrement aller dans sa chaise ce qui entraina une légère ouverture de ses cuisses et je gagnais encore quelques centimètres. Elle ne disait rien, seul sa respiration s’était légèrement accélérée, par contre elle avait repris les pans de sa jupe et les avait remontés, de façon à cacher la nudité de ses cuisses, tout en me laissant assez d’espace pour continuer ma progression sur sa cuisse, car évidemment je voulais atteindre son minou, que je savais nu, ayant sa petite culotte dans ma poche et le caresser, afin de voir sa réaction, et surtout faire un petit peu de chantage pour obtenir une tenue excitante le dimanche. Elle ne disait rien, et semblait se laisser faire. Enfin j’arrivais au but et le petit doigt arrivait à toucher ses grosses lèvres, non à les effleurer. Là, elle mit sa main sur mon poignet et dans un souffle me dit : « Tu es arrivé à tes fins, … t’es en train de rendre folle, … s’il te plait … arrêtes, … Jean, soit gentil, … demain tu auras tout, … tout ce que tu voudras, … mais arrêtes, je n’en peux plus, … »
Moi : « J’aime bien, … si j’arrêtes, … tu mettras la, … comment tu dis, … ah oui, … la nuisette, … tu seras merveilleuse, … »
Viviane : « Ah, c’est ça, … tu es vraiment un horrible, … OUI, … je l’aurais, … je me demande si je dois te gifler, … ou, … OUI, … tout ce que tu veux, … » Aussitôt, mais avec un certain regret, je retirais ma main. Elle poussa un gros soupir, je n’ai jamais su si c’était de satisfaction ou de regret. Mais j’aurais de quoi rêver jusqu’au lendemain. On se sépara très cérémonieusement, elle rentra au magasin, en remuant son joli cul et j’enfourchais ma mobylette. Alors que je démarrais, je m’aperçus que j’avais oublié ma sacoche au magasin. Je reposais ma mob et retournais au magasin : « Re Odile, j’ai oublié ma sacoche en bas, … je vais la récupérer, … » « Pas de problème, Viviane est en bas » et je descendais et je trouvais Viviane les fesses appuyées sur la table. Sa position était un peu surprenante et son regard était brillant, alors que je m’approchais d’elle, elle se jeta presque à mon cou avec un Jean serres moi dans tes bras. Ce que je fis, mais en fait, elle se colla littéralement, mieux elle se frotta à moi. Un peu surpris, mais j’eus le sentiment, non le réflexe de lui dire remonte ta jupe. Elle se recula et remonta sa jupe avec : « Viens, … » Ma main droite partie vers son entrejambe pour se poser sur sa chatte, qu’elle avait bien, bien humide. Sans problème ses cuisses s’ouvrirent et alors que je la pénétrais son bassin s’avança, le tout accepté par : « Oui, … rentres, … oui, … » Il n’y avait plus qu’à la masturber avec énergie car c’est ce qu’elle voulait, et elle ne demandait que ça. Elle était tellement excitée, tellement chaude que son bassin se donnait à chaque pénétration et elle se mit à jouir très rapidement et très intensément, pour finir par se serrer contre moi : « Heureusement que tu es revenu, … à demain, … je t’attendrais avec impatience, … comme tu veux, … ». Il me fallait partir, car avec tout ça mon caleçon demandait à être changé rapidement.
Comme il n’y avait pas d’endroit herbeux où s’installer, je lui proposais un café dans ma chambre. Elle était au 5 ème, mais il y avait un petit ascenseur qui pouvait nous monter jusqu’au 4 ème. Comme je lui expliquais, c’était un immeuble « bourgeois » et à l’époque le 5ème était pour le personnel travaillant pour les habitants des étages. Ainsi au 5ème il y avait 8 chambres. Sauf la mienne, toutes servaient maintenant de grenier, mais j’avais le nécessaire à l’étage et étant seul le 5ème était mon logement. On prit donc l’ascenseur, fait pour trois, mais elle se laissa serrer d’un peu prés, mais comme elle le dit en souriant « Pas touche » Arrivé dans la chambre, en souriant elle me dit « Tu peux toucher » Alors je la pris dans mes bras et s’en suivit un long baiser, nos langues se reconnaissant et se caressant. Puis elle se recula, je me dis que je ne devais pas lui sauter dessus à peine arrivée qu’il fallait peut-être y mettre un peu plus les formes. Donc je lui proposais un café, ce à quoi elle me répondit un large sourire et me tenant à bout de bras : « Je ne suis pas venu pour un café, mais pour toute autre chose, … écoutes moi mon petit chéri, … j’ai été une jeune fille sérieuse, une femme fidèle et je soupçonne mon mari de me tromper, … je le trompe, … et je ne veux pas faire avec toi ce que j’ai à la maison, … je ne veux pas que tu me fasses l’amour, mais que tu me baises, … je veux baiser, … je veux être à toi, … faire tout ce dont tu rêves de faire avec une femme, … je suis une femelle, qui s’offre à toi, … je t’obéirais, … je me veux soumise à tes désirs, … mais je veux jouir, … je veux que tu me fasses JOUIR, …fais-moi JOUIR et tu auras tout, …» Pendant ce long propos, le regard brillant, elle avait défait un à un les boutons de se corsage, et ses seins étaient apparus hors d’un soutien-gorge quart de bonnet et elle avait terminé par : « Viens, Embrasses moi, … » elle revint se collant à moi. Je repris mon parcours de baisers et de douce lècherie descendant sur le cou. Mais Viviane en avait décidé autrement. Elle défit le bouton de la ceinture de sa robe et en deux coups de hanches, celle-ci fut à terre, et apparut sa chatte nue. Elle se laissa tomber sur le lit, les cuisses largement écartées, et la main posée sur sa chatte : « Viens, …, viens me gouter, … je veux ta langue, … viens, … je t’attends, … je suis prête, … » Je n’avais qu’à obéir et j’allais humer son odeur de femelle chaude et excitée. A peine ayant atteint sa chatte elle posa sa main sur ma tête me maintint ainsi sur sa chatte : « Oui, … lèches moi, … j’aime sentir ta langue qui me caresse, … oui … c’est bon, … prends moi avec tes doigts, … j’attends, … ». Plus ça allait plus je la masturbais avec force et plus elle en demandait quand d’un seul coup elle se tendit avec un : « OUIIIIIII, … » et je fus inonder de son plaisir. Puis se laissant retomber : « Viens contre moi, … oui, … viens, … ». J’aurais bien envisagé une autre affaire, dans la mesure où j’avais une trique intéressante pour une nana gourmande, nous voilà parti pour un gentil petit câlin, dans les bras l’un de l’autre. Enfin émergeant : « Mais t’es encore habillé, … » et de se mettre rapidement à me déshabiller et là elle put constater l’effet de la parie de lèche chatte, … et sans hésiter elle se pencha sur ma bite pour prendre en bouche le gland et le lécher avec ardeur d’une telle façon que je dus l’arrêter car la pression était telle que je ne pourrais pas tenir longtemps à ce rythme. Elle remonta, posa ses lèvres sur les miennes et se mettant en levrette : « Viens, prends-moi, … » et elle me guida vers et dans sa chatte que j’investissais d’un grand coup de rein, qu’elle apprécia par un : « Oui… continues, … baises moi, … j’aime te sentir sur moi, … dis-moi que tu aimes me monter, … dessus, … OOOHHH, … oui, … » et là, voyant son joli cul à portée de main, je lui claquais la fesse droite, regrettant presque aussitôt mon geste mais : « Oh, oui, … encore,… j’aime, … » du coup je lui claquais l’autre fesse, claque qui fut aussi bien accueilli que la première et cramponné à ses hanches, je la ramonais avec vigueur et il fallait la faire partir car je sentais que je ne pourrais pas tenir longtemps et malheureusement n’y tenant plus, bien enfoncé dans son fourreau je me lâchais d’un seul coup, ce qui, heureusement, fit qu’elle se mit à jouir : « OOOOHHHHH … OUIIIIII, … » et elle fut secoué d’un joli spasme, qui m’éjecta de sa chatte. Et tous les deux sur le lit récupérant, enfin elle se leva demandant si elle pouvait utiliser la douche. Sans problème et je lui passais ma sortie de bains. Elle revint rapidement et en entrant dans ma chambre, elle ouvrit la sortie de bains : « Regardes c’est à toi, … « et venant contre moi, : « Tu m’as donné du plaisir, … la prochaine fois je m’occuperais de toi, … Bon, il faut que je parte, … samedi si tu es libre passes l’après-midi au magasin, on devrait avoir le matin une grosse livraison, il y aura du travail pour toi, … »
Moi : « Tu crois que le patron voudra me payer, … »
Viviane en rigolant : « S’il ne veut pas te payer, … je te paierais en nature, … ça te va, … et j’espère avoir une surprise pour toi, … mais j’en serais certaine que samedi matin, ... » Elle avait fini par s’habiller et partit avec un : « Je me sauve, … »
o Le samedi après-midi
Le matin j’étais allé laver des voitures avec un copain et l’après-midi vers 14,00 heures, j’arrivais à la boutique qui venait d’ouvrir et comme d’habitude je saluais tout le monde et demandais au patron s’il avait du travail pour moi. Et, par chance, arriva Viviane, qui se tournant vers le patron lui dit : « Tiens, Jean arrive à temps, il va pouvoir m’aider à ranger la livraison de ce matin, … » Accord fut donné pour deux heures. Et Viviane, le sourire aux lèvres, m’entraina au stockage de la livraison et on se mit au boulot. Au bout d’une demi-heure, alors que le plateau était en bas, en levant la tête je vis Viviane au bord du trou, les jambes écartées à tendre sa jupe. Elle vit mon coup d’œil et me lança : « Alors on se rince l’œil, … » Avec elle il ne fallait pas mollir et moi de lui répondre : « Impossible, c’est trop sombre, il faudrait éclaircir la situation, … » et Viviane de répondre, : « Je comprends, … attends, … » et sans hésiter elle releva sa jupe, enleva sa petite culotte et me la renvoya. : « C’est peut-être mieux ainsi, … tu peux sentir que je suis avec toi, … » et le monte-charge, remonta. J’en profitais pour grimper par l’escalier jusqu’à la hauteur de l’étage. Me voyant : « Qu’est-ce que tu fais là, … restes en bas à ranger les cartons, … » et moi de lui répondre : « Je voulais te dire, … que ta petite culotte m’a donné des idées, … »
Viviane : « Je ne pense pas que tu ais besoin de ça pour avoir des idées, … redescends, j’envoie le plateau, … »
Moi : « D’accord, … mais au prochain voyage tu descends, … arrivée en bas, tu remontras ta jupe, … et on ira sur la table, … Imagines, … toi sur la table, … »
Viviane : « Arrêtes, … non, … on a autre chose à faire, … c’est non, … »
Moi : « Tu as tort, … d’ailleurs tu en as envie, … je pense que tu commences à mouiller, … » et je descendis vider le plateau. Chose faite, juste avant qu’il ne remonte, : « N’oublies pas de descendre, … Je t’attends, … » J’entendis qu’elle chargeait le plateau et celui-ci descendit et oui, avec Viviane, qui s’éloigna rapidement, au cas où. Arrivé par derrière, je l’encerclais et ainsi prenais possession de ses seins, que j’entrepris de caresser avec énergie, en même temps que je lui léchais le cou. Ces préliminaires terminés, je lui glissais dans l’oreille : « Remontes ta jupe, … je vais te gouter, … »
Viviane : « Oui, … viens, … je suis descendu pour ça, … » et se dirigea vers la table en remontant sa jupe jusqu'à la ceinture. Puis s’installant sur la table, elle se laissa aller et dans le même temps ses jambes s’ouvrirent me donnant un accès facile à son minou « Viens, … oui, … viens, … prends moi, … c’est à toi, … tu as raison, … j’en ai envie, … viens, … » et j’entrepris de humer sa douce odeur de femme chaude, gourmande, et de la gouter, de gouter à ses grosses lèvres légèrement humides, ce qui fit que son souffle commença à s’accélérer, c’était le moment de la prendre d’abord avec la langue et après quelques titillement du bout de la langue de vérifier son désir d’être pénétrée donc bien ouverte pour mes deux doigts. Je le prenais avec douceur, mais fermeté. L’accueil fut à la hauteur de mes espérances : « Oui, … rentres, … dis-moi que tu aimes me prendre comme ça, … oui, … dépêches toi, … c’est bon, … plus vite, … Oui, … ne t’arrêtes pas, … OOOHHH, … OUIIIIII, … OUIIII, … » Brutalement, en jouissant, elle s’était cambrée et ses cuisses s’étaient refermées sur ma main, les doigts encore dans son fourreau chaud qui pouvaient encore s’agiter et la faire jouir. Enfin elle se laissa aller et je pus me dégager. Se cramponnant à la table elle se redressa, les yeux pas encore bien en face des trous et me disant : « Donnes-moi ta main, … » Je lui tendis et elle la porta à son nez la sentant, semble-t-il, avec un certain plaisir pour ensuite lécher les doigts qui l’avaient pénétré. Cette dégustation terminée, elle se laissa glisser à terre et en s’accroupissant descendit pantalon et caleçon en disant : « A moi, maintenant, … je veux te sucer, … depuis le temps que j’y pense, … je veux que tu prennes ma bouche, … je te l’offre, … ». Rapidement ses doigts me caressèrent, puis sa bouche prit possession de mon gland pour le sucer, le lécher pour enfin prendre entièrement ma queue et commencer à me pomper avec énergie. Il ne lui fallut pas longtemps pour que je sente que la pression augmentait et que j’allais ne plus pouvoir me retenir et je le prévins, mais rien n’y fit, elle continua avec plus d’énergie et je me vidais dans sa bouche en deux bonnes giclées. Quand elle me lâcha tout avait été avalé et elle se relevait, se collant contre moi : « J’ai aimé te donner ma bouche, … ça t’a donné du plaisir, … dis-moi est-ce que j’ai bien fait, … »
Moi : « Tu es adorable, … j’ai aimé, … la prochaine fois, … il faudra que pendant que tu t’occupes de moi, … tu devrais te caresser, … on pourrais jouir en même temps, … »
Viviane : « tu es complètement fou, … il faut finir, … » et réajustant sa jupe, elle se fit remonter par le monte-charge. Et on finit le travail. Je remontais et Odile nous fit remarquer que l’on avait mis du temps. Je touchais mon dû et me retournant vers Viviane : « La dernière vous avez payé le café, … à mon tour, … je vous offre le café et vous Odile, … » « Oui, merci, … avec plaisir, … »
Viviane et moi nous nous rendîmes sur la terrasse du café à quelques mètres du magasin et je dirigeais Viviane, vers un coin de la terrasse tranquille, discret et surtout à l’abri des regards. Je commandais les cafés, en portait un à Odile et revenait. C’est alors que je demandais à Viviane : « C’est quoi la surprise ? »
Viviane : « Mon mari prend le train dimanche, avec les délégués pour Paris pour une réunion syndicale, … si tu es libre, … tu pourrais venir me voir, … »
Moi : « Le rêve, … avec plaisir, … à quelle heure, … »
Vivianne : « Vers 1,00 heure, … je serais certaine qu’il sera parti, … par sécurité je mettrais un torchon blanc à la fenêtre, … »
Moi : « Formidable, … j’apporte quelque chose pour déjeuner, … »
Viviane : « Non, je t’invite, … »
Moi, lui posant la main sur la cuisse : « Tu sais ce que j’aimerais, … »
Viviane : « Non, … dis-moi, … »
Moi : « Que tu viennes m’ouvrir la porte vêtue de cette chemisette noire qu’on a vue, tu sais celle qui ne cache rien … avec des bas et tes escarpins, … »
Viviane : « Tu es vraiment fou, … cette nuisette, … qui ne recouvre rien, … et montre tout, … non, … je ne suis pas, … mais enlèves ta main, … »
Moi : « Non, … remontes ta jupe, … j’aime te caresser la cuisse, … surtout au-dessus des bas, … là où la peau est ci-douce, … »
Viviane : « Arrêtes, … on va nous voir, … «
Moi : « Non, … pas possible, … j’ai choisi ce coin exprès, … aides moi à remonter, … ce sera plus discret, … je suis sûr que tu vas aimer, … »
Viviane : « Bon, juste un peu, … »
Moi : « Oui, … comme si tu avais une mini, … ce sera parfait, … et ça me ferait plaisir, … tu aimeras, … »
Viviane : « Vraiment t’es raide fou, … et arrêtes, … » alors que je continuais gentiment à faire remonter le bas de la jupe et, la jupe étant évasée, j’en étais à mi-bas et Viviane remua un peu ce qui me permît de gagner quelques centimètres et j’étais pratiquement au haut des bas
Viviane : « Tu es fou, … tu n’arrêteras, pas, … ça va se voir, … tu es têtu, … dis, si je remonte au niveau des bas, … tu arrêteras, … »
Moi : « Tu vois que tu aimes, … même tu vas aimer, quand je te caresserais la cuisse, … essayes, … tu verras, … tu aimeras, … » Elle en était au moment où ce n’était plus sa tête qui commandait, mais sa chatte et j’espérais qu’avec un peu de chance, c’est elle qui prendrait le dessus et alors, tout serait plus facile et elle se laisserait faire, consentante et contente. Discrètement, d’ailleurs sans que cela puisse être vu, elle remonta un peu plus sa jupe, pratiquement au niveau du haut des bas. C’était presque gagné, là où nous étions il était difficile de voir ce qu’il se passait. Je posais de nouveau ma main sur sa cuisse, niveau haut du bas et commençais à la caresser doucement, du bout des doigts et ce que j’espérais arriva. Ses cuisses s’écartèrent légèrement, ce qui me permit d’enfoncer plus avant entre ses cuisses et ainsi de gagner quelques centimètres et arriver sur un petit peu de cette peau chaude et douce. Viviane regardait fixement sa tasse de café et en jouant avec mes doigts j’arrivais sur le dessus des bas. J’étais enfin au-dessus de bas et écartant les doigts, mon petit doigt pouvait toucher sa chaude fourrure. Encore un petit effort. Viviane se laissa légèrement aller dans sa chaise ce qui entraina une légère ouverture de ses cuisses et je gagnais encore quelques centimètres. Elle ne disait rien, seul sa respiration s’était légèrement accélérée, par contre elle avait repris les pans de sa jupe et les avait remontés, de façon à cacher la nudité de ses cuisses, tout en me laissant assez d’espace pour continuer ma progression sur sa cuisse, car évidemment je voulais atteindre son minou, que je savais nu, ayant sa petite culotte dans ma poche et le caresser, afin de voir sa réaction, et surtout faire un petit peu de chantage pour obtenir une tenue excitante le dimanche. Elle ne disait rien, et semblait se laisser faire. Enfin j’arrivais au but et le petit doigt arrivait à toucher ses grosses lèvres, non à les effleurer. Là, elle mit sa main sur mon poignet et dans un souffle me dit : « Tu es arrivé à tes fins, … t’es en train de rendre folle, … s’il te plait … arrêtes, … Jean, soit gentil, … demain tu auras tout, … tout ce que tu voudras, … mais arrêtes, je n’en peux plus, … »
Moi : « J’aime bien, … si j’arrêtes, … tu mettras la, … comment tu dis, … ah oui, … la nuisette, … tu seras merveilleuse, … »
Viviane : « Ah, c’est ça, … tu es vraiment un horrible, … OUI, … je l’aurais, … je me demande si je dois te gifler, … ou, … OUI, … tout ce que tu veux, … » Aussitôt, mais avec un certain regret, je retirais ma main. Elle poussa un gros soupir, je n’ai jamais su si c’était de satisfaction ou de regret. Mais j’aurais de quoi rêver jusqu’au lendemain. On se sépara très cérémonieusement, elle rentra au magasin, en remuant son joli cul et j’enfourchais ma mobylette. Alors que je démarrais, je m’aperçus que j’avais oublié ma sacoche au magasin. Je reposais ma mob et retournais au magasin : « Re Odile, j’ai oublié ma sacoche en bas, … je vais la récupérer, … » « Pas de problème, Viviane est en bas » et je descendais et je trouvais Viviane les fesses appuyées sur la table. Sa position était un peu surprenante et son regard était brillant, alors que je m’approchais d’elle, elle se jeta presque à mon cou avec un Jean serres moi dans tes bras. Ce que je fis, mais en fait, elle se colla littéralement, mieux elle se frotta à moi. Un peu surpris, mais j’eus le sentiment, non le réflexe de lui dire remonte ta jupe. Elle se recula et remonta sa jupe avec : « Viens, … » Ma main droite partie vers son entrejambe pour se poser sur sa chatte, qu’elle avait bien, bien humide. Sans problème ses cuisses s’ouvrirent et alors que je la pénétrais son bassin s’avança, le tout accepté par : « Oui, … rentres, … oui, … » Il n’y avait plus qu’à la masturber avec énergie car c’est ce qu’elle voulait, et elle ne demandait que ça. Elle était tellement excitée, tellement chaude que son bassin se donnait à chaque pénétration et elle se mit à jouir très rapidement et très intensément, pour finir par se serrer contre moi : « Heureusement que tu es revenu, … à demain, … je t’attendrais avec impatience, … comme tu veux, … ». Il me fallait partir, car avec tout ça mon caleçon demandait à être changé rapidement.
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Super histoire j adorrre