Jeune adulte 03 Chez les déviants
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 678 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 604 658 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 027 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Jeune adulte 03 Chez les déviants
Jeune adulte 03Chez les déviants
Plusieurs jours avaient passé et Yohan ne semblait toujours pas perturbé par cette cérémonie et par son nouveau statut. Par moments toutefois il me faisait des réflexions du genre …
– Pas facile tous les jours ce truc !
Puis c'était reparti, en fait il s'adaptait très bien. Il était un peu plus actif, il faisait plus de sport surtout. Comme je vous disais c'est surtout à ce niveau qu'on voit une différence au début. En plus il frimait l'animal je ne vous dis pas, il frimait. Dans sa classe il était le seul à avoir fait le passage, il était le seul à prendre sa douche dans la douche des grands. Il y avait même quelques scolaire un peu plus jeunes que lui qui l'appelait ' Monsieur ', il frimait je vous dis, il frimait.
Enfin la vie reprenait son rythme normal, le dimanche, le jour de la prière morale il pouvait me rejoindre au balcon du temple, le quartier des célibataires. Pour y avoir droit, il fallait avoir plus de dix huit et être adulte et ne pas être marié. Mon frère n'avait pas dix huit ans mais il avait fait la cérémonie de chasteté.
Ces marques d'honneur qui nous étaient accordées avaient pour fonctions de nous encourager, il ne faudrait pas oublier que ce statut demande un sacrifice définitif. Enfin le plus souvent il est définitif. Il y a aussi les ' Honteux ' , ce sont ceux qui ont quitté la société et qui ont choisi les pratiques déviantes du passé. Heureusement ils sont très rares … Ils ont rejoint les dix pour cent des hommes qui vivent comme des bêtes …
Si la manière dont je parle vous choque, il n'y a pas de quoi et c'est ainsi que nous sommes éduqués … C'est notre norme et c'est la norme la plus répandue, et de très loin, comme je vous le disais.
Je passais de temps en temps vers ce quartier ou habitaient le magicien et le clown, ces anciens bâtiments industriels avaient quelque chose de magique. Quelques années plus tôt c'étaient des friches, des ruines … Puis une communauté d'artistes avait acheté ce qui restait des vieux bâtiments.
Maintenant tout avait changé, il n'avait pas seulement restauré, ils les avaient réhabilité. Tout le bâtiment avait été mis sous serre. Les immenses verrières s'étaient transformées en serres, les incroyables hauteurs de plafond hébergeaient maintenant des niveaux intermédiaire réduisant à trois mètre la hauteur du plafond dans les appartements. Ça restait spacieux … Au rez de chaussée, derrière la verrière il y avait un jardin très bien organisé, une voix de passage et un ensemble commercial et artisanal. Ici il n'y avait plus de saison, on était dans une serre. À l'extrémité du bâtiment il y avait un escalier à moitié ouvert, à moitié couvert qui permettait d'atteindre les différents niveaux. C'est par là que j'étais passé quand l'autre jour. Le dernier niveau, le toit terrasse, je l'avais vu et à chaque fois que je passais par là, je revoyais dans ma tête le corps nu du magicien de l'anniversaire de mon frère .
Comme je vous le disais, je voyais tous les jours les corps nus de mes camarades, et de mon frère aussi maintenant. Mais aucun de ces corps n'était vraiment nu, aucun n'était totalement nu. Ça on ne l'était jamais, personne ne pouvait retirer son dispositif de chasteté, personne n'en avait les clés. Elles étaient conservées dans un coffre, je ne sais pas exactement ou. Au temple probablement, personne ne se préoccupe de ce genre de détail.
J'avais comme une sensation de vertige quand, depuis le sol, je regardait le toit terrasse de cette installation. Ce n'était pas la hauteur, ce n'était pas un vertige du à l'altitude mais c'était cette image que j'avais entrevu quand il s'approchait le jour ou j'étais allé les payer.
Ce corps magnifique nu, cette bite longue, qui pendait lourdement et se balançait quand il marchait.
Cette image m'avait marqué, elle s'était imprimée dans mon souvenir et je la revoyais presque en permanence maintenant. Mais surtout je rêvais de la revoir, de le revoir, de les revoir … Ils était deux !
Ils m'avaient invité à revenir les voir quand je le voudrais, à plusieurs reprises je m'étais arrêté devant la porte d'entrée, l'entrée des escalier au niveau de la rue. Je n'avais jamais osé passer cette porte. Ce jour là comme plusieurs autres jours auparavant j'étais devant la porte, j'étais dans la galerie marchande, au niveau de la route.
– Ça va Nathan ? Tu passais nous voir ?
Je sursautais en entendant cette phrase, je me retournais et je voyais l'homme qui m'avait ouvert l'autre, c'était Joshua. Je l'imaginait nu. C'était pas lui que j'avais vu nu mais j'imaginais, il devait ressembler à son ami qui était si sexy à poil.
Enfin c'est l'idée qui me traversait la tête. C'est la seule idée qui me traversait la tête. Ensuite une image persistait, celle d'Alex. Je l'avais vu à poil et c'était la première fois que je voyais un homme à poil, en plus il avait une grosse queue, je le trouvais beau et par dessus tout j'avais envie de me retrouver dans ses bras.
– Alors tu montes ? Me demandait Joshua devant la porte ouverte de l'ascenseur.
– Ah , il y a un ascenseur ?
– Tu avais pris les escaliers l'autre jour ?
– Bein oui !
Suivaient ensuite des banalité du genre. '' J'avais pas vu l'ascenseur '' … '' Mais c'est pas haut '' … '' Six étages et nous on est sur le toit '' … Enfin je ne savais pas quoi dire et je vous jure que je me sentais vraiment mal à l'aise …
On arrivait finalement sur le toit. L'ascenseur ouvrait directement dans leur maison.
– Je t'offre un verre, Alex n'est pas là mais il ne devrait pas tarder. Tu n'as pas froid aux yeux toi pour un '' prudeur '' !
C'est souvent comme ça que nous appelait les personne qui vivaient sans morale ou avec une tradition déviante.
– Ne m'appelez pas comme ça, seules les mœurs déviantes justifient que vous utilisiez de tels mots.
Ma réponse était automatique et ne provenait que de mon éducation, en fait je ne savais plus vraiment ce que je disais ni ce que je faisais ici. La queue d'Alex revenait devant mes yeux et j'avais l'impression que j'allais me sentir mal.
– Ne te braque pas bonhomme. Et puis je ne suis pas un déviant, je suis juste un jouisseur. Tu sais, si nous avons un corps, c'est pour en jouir. Sinon nous serions des anges, des esprit …
Il m'invitais à le suivre sur la terrasse, je m'installais, je ne me sentais pas vraiment à l'aise mais je m'installais. Je commençais à me demander pourquoi j'étais venu, était-ce vraiment une bonne idée.
Quelques instants plus tard il revenait avec un plateau deux bières deux verres et , il était à poil … Là je paniquais … Je sentais instantanément ma queue protester contre sa situation. Elle se réveillait et je me sentais encore plus mal d'un coup.
Il s'asseyait en face de moi, je pouvais contempler son corps, il était entièrement nu. En théorie ça devrait pas faire une grande différence, notre dispositif de chasteté tant aimé dans mon milieu ne cache pas grand chose au final.
De dos ça ne fait aucune différence, au niveau du torse et des jambes aucune non plus. Tout se situe juste dans une petite partie du corps entre les cuisses, entre les jambes et le torse. Une toute petite zone de dix centimètres de haut sur encore moins de large.
Mais je vous jure que ça change tout !
Je me levais, j' m'excusais en bafouillant, saluait et me dirigeait vers la sortie. L'ascenseur était occupé, le voyant l'indiquait. Il ne tentait pas de me retenir. La porte de l'ascenseur s'ouvrait … Ils avaient bloqué les sorties, c'est Alex qui en sortait.
Il était tout habillé là mais je l'ai reconnu quand même.
– Tu étais là toi ? Tu n'allais pas partir ?
Il posait sa main sur mon bras et juste avec cette douce pression, il m'avait retourné. Je revenais vers la terrasse ou son copain Joshua me versait un verre, je m'asseyais sur le fauteuil ou j'étais quelques secondes plus tôt. Je prenais le verre et commençais à boire par gorgées. J'avais l'impression d'être vaincu, de n'avoir pas su résister à une certaine tentation. Je revoyais le corps d'Alex tellement beau, tellement nu, comme je l'avais vu l'autre jour et j'avais devant les yeux le corps tellement beau et tellement nu de son ami Joshua.
Si dans ma famille on ne se montre jamais nu. Ici c'était le contraire, Alex revenait avec une bière à la main et c'est tout ce qu'il avait sur lui …
– Tu devrais te mettre à l'aise, il fait presque chaud ici. Garde ta cage mais pour le reste c'est inutile … Me lançait Alex, Joshua faisait oui de la tête.
Ils m'avaient vaincu, j'étais écartelé entre mon éducation et mon désir que je refusait toujours de m'avouer. J'étais désormais sans défense j'ai obtempéré, je n'ai gardé que ma cage sur le dos, enfin sur le dos c'est tune façon de parler.
Ma queue protestait, je vous jure, se retrouver face à des hommes nus mais qui portent comme moi un dis positif de chasteté c'est une chose, j'y suis habitué maintenant, comme avec mon petit frère ou mes camarades de sport sous la douche. Mais se retrouver avec des hommes totalement nus, pas presque mais totalement … C'est autre chose.
C'était le cas à cet instant. Ma queue protestait comme jamais, mon dispositif se relevait par à-coup. Il suivait les battements de mon cœurs. Je ne sais pas si c'est ça qui les faisait réagir mais je voyais leurs sexe gonfler, leurs queues prendre du volume. C'était impressionnant et embarrassant, c'était aussi terriblement stimulant.
Ils bandaient ferme tous les deux au bout de quelques instants. J'ai senti une main sur mon épaule, c'était Alex, je me suis un peu contracté mais c'était juste un réflexe. Je l'ai laissé faire. Sa main descendait le long de mon dos, c'était doux, c'était agréable, on n'avait pas l'habitude de me toucher de cette marnière. Mon cœur battait fort et je tremblais intérieurement. Joshua s'approchait de moi, un instant j'ai vu son visage se pencher sur le mien puis je sentait la douceur de ses lèvres, de sa langue sur les miennes. Puis la douceur de sa langue sur la mienne.
Je fermais les yeux. Une main me caressait la cuisse et se glissait sur mes couilles, on me tripotait les couilles avec une grande douceur. On ne m'avait jamais fait ça.
– Regarde bien ! Me disais Alex.
Il se plaçait alors devant moi, debout. Il bandait, je le voyait de profil. Son ami Joshua se tournais alors vers lui prenait sa queue dans la bouche. Il me montrait comment il fallait procéder. La queue d'Alex entrait totalement dans la bouche de Joshua, et je voyais même sa gorge grossir quand le ventre d'Alex s'écrasait sur son visage. J'imaginais alors cette grosse queue bien enfoncée, je ne comprenais pas vraiment comment il faisait mais ça m'excitait.
Quand Alex retirait sa queue, quand il la ressortait, Joshua passait alors sa langue sur son gland et avec une main il le masturbait avec une grande douceur. Pendant un petit moment qui semblait ne jamais vouloir finir, ils me montraient comment procéder puis Alex se retournait vers moi.
J'avais sa queue à quelques centimètres de mon visage. J'hésitais un moment puis j'ouvrais la bouche en grand et je prenais la queue d'Alex dans la bouche. Mon cerveau était en ébullition, ma queue protestait comme jamais mais je n'y prêtais plus aucune attention.
Je passais ma langue sur le gland d'Alex, c'était magique, ils faisaient des commentaires mais je ne comprenais rien de ce qu'ils disaient, les voix semblaient venir de loin. On me caressait les cheveux, on appuyait tout doucement sur le dos de ma tête mais je restais libre de mes mouvements.
Joshua s'était levé, et je me retrouvais avec deux queue devant mon visage. Je prenais la seconde puis revenais à la première. Puis quand j'avais une queue dans la bouche je masturbais l'autre. Leurs caresses sur l'arrière de ma tête devenait plus insistante. Ils appuyaient sur ma tête mais à la moindre résistance de ma part il n'insistait pas. Je me sentais libre de mes mouvements.
Je m'écartais et relevais la tête. Il s'embrassaient et se caressaient. Je les regardais faire pendant quelques instant puis reprenais. Une queue après l'autre, je commençais à aimer ce que je faisais. Ma queue protestait, je sentais toujours mon dispositif se balancer de haut en bas en suivant les battements de mon cœur. J'avais le vertige mais je me sentais bien, vraiment bien. Je voulais continuer.
Peu à peu je prenais les queue un peu plus profond. Pas autant que m'avait montré Joshua au début mais ça venait. Je prenais une queue jusqu'au fond de ma bouche pas encore dans la gorge. Ça me plaisait, j'en voulais plus.
– Je crois qu'il à un gros potentiel. Déclarait Alex. Avec un peu d'entraînement il sera très bon à ce jeux.
Ça m'encourageait et je faisais encore plus d'effort, mais par moment j'avais envie de vomir et c'est ça qui me retenais. Je comprenais que je devais synchroniser ma respiration mais j'avais atteint mes limites. Mes limites du moment.
– L'idéal serait qu'il ne retire pas son dispositif. Tu as du le remarquer Alex, je le dis toujours … Les porteurs sont toujours très doué pour sucer et se faire défoncer le cul !
Il avait dit '' défoncer le cul '' là ça me faisait peur. Ils étaient bien membrés, ça me faisait peur mais rien que l'idée me faisait bander et ma queue protestait toujours. Alex s'asseyait sur le fauteuil et Joshua me demandait de continuer de le sucer. Je m'exécutais.
Je n'ai pas compris tout de suite, j'étais pas très futé à cette époque, il me lubrifiait le cul. Je vous jure j'ai pas compris tout de suite ou il voulait en venir. Il glissait un doigt dans mon cul … C'était donc ça, de se faire défoncer le cul … ? Il n'y avait vraiment aucune raison d'avoir peur, c'était agréable. Il s'accroupissait derrière moi, me caressait le dos, se penchait sur moi, je sentais son corps chaud et doux contre mon dos puis il a poussé très fort contre mon cul.
Sa queue est entré, ça m'a fait très mal mais vraiment très mal, j'ai hurlé, j'ai joui, je me suis dégagé en criant.
– Arrête, arrête tu fait vraiment très mal !
Il n'a pas insisté, il a juste continué à me caresser pour me calmer. Ses caresses étaient douces. Il me caressait les fesses, glissait un doigt entre mes fesses mais n'essayait plus de me pénétrer, même pas un doigt. Finalement c'était ça, de se faire défoncer le cul ! Et ça faisait mal, même si je ne savais pas encore que rapidement on en redemande.
– Il faudra un peu d'entraînement et de patience.
Je m'étais redressé, j'avais encore mal mais je n'avais pas trop compris, j'avais joui aussi. J'avais ressenti à la fois une grande douleur et un grand plaisir, les deux étaient liés et … Je ne comprenais pas, sinon qu'il faudrait étudier ça et bien sûr recommencer.
Alex se relevait, se retournait et offrait son cul à son camarade. Je m'asseyais sur le fauteuil et les regardais.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Plusieurs jours avaient passé et Yohan ne semblait toujours pas perturbé par cette cérémonie et par son nouveau statut. Par moments toutefois il me faisait des réflexions du genre …
– Pas facile tous les jours ce truc !
Puis c'était reparti, en fait il s'adaptait très bien. Il était un peu plus actif, il faisait plus de sport surtout. Comme je vous disais c'est surtout à ce niveau qu'on voit une différence au début. En plus il frimait l'animal je ne vous dis pas, il frimait. Dans sa classe il était le seul à avoir fait le passage, il était le seul à prendre sa douche dans la douche des grands. Il y avait même quelques scolaire un peu plus jeunes que lui qui l'appelait ' Monsieur ', il frimait je vous dis, il frimait.
Enfin la vie reprenait son rythme normal, le dimanche, le jour de la prière morale il pouvait me rejoindre au balcon du temple, le quartier des célibataires. Pour y avoir droit, il fallait avoir plus de dix huit et être adulte et ne pas être marié. Mon frère n'avait pas dix huit ans mais il avait fait la cérémonie de chasteté.
Ces marques d'honneur qui nous étaient accordées avaient pour fonctions de nous encourager, il ne faudrait pas oublier que ce statut demande un sacrifice définitif. Enfin le plus souvent il est définitif. Il y a aussi les ' Honteux ' , ce sont ceux qui ont quitté la société et qui ont choisi les pratiques déviantes du passé. Heureusement ils sont très rares … Ils ont rejoint les dix pour cent des hommes qui vivent comme des bêtes …
Si la manière dont je parle vous choque, il n'y a pas de quoi et c'est ainsi que nous sommes éduqués … C'est notre norme et c'est la norme la plus répandue, et de très loin, comme je vous le disais.
Je passais de temps en temps vers ce quartier ou habitaient le magicien et le clown, ces anciens bâtiments industriels avaient quelque chose de magique. Quelques années plus tôt c'étaient des friches, des ruines … Puis une communauté d'artistes avait acheté ce qui restait des vieux bâtiments.
Maintenant tout avait changé, il n'avait pas seulement restauré, ils les avaient réhabilité. Tout le bâtiment avait été mis sous serre. Les immenses verrières s'étaient transformées en serres, les incroyables hauteurs de plafond hébergeaient maintenant des niveaux intermédiaire réduisant à trois mètre la hauteur du plafond dans les appartements. Ça restait spacieux … Au rez de chaussée, derrière la verrière il y avait un jardin très bien organisé, une voix de passage et un ensemble commercial et artisanal. Ici il n'y avait plus de saison, on était dans une serre. À l'extrémité du bâtiment il y avait un escalier à moitié ouvert, à moitié couvert qui permettait d'atteindre les différents niveaux. C'est par là que j'étais passé quand l'autre jour. Le dernier niveau, le toit terrasse, je l'avais vu et à chaque fois que je passais par là, je revoyais dans ma tête le corps nu du magicien de l'anniversaire de mon frère .
Comme je vous le disais, je voyais tous les jours les corps nus de mes camarades, et de mon frère aussi maintenant. Mais aucun de ces corps n'était vraiment nu, aucun n'était totalement nu. Ça on ne l'était jamais, personne ne pouvait retirer son dispositif de chasteté, personne n'en avait les clés. Elles étaient conservées dans un coffre, je ne sais pas exactement ou. Au temple probablement, personne ne se préoccupe de ce genre de détail.
J'avais comme une sensation de vertige quand, depuis le sol, je regardait le toit terrasse de cette installation. Ce n'était pas la hauteur, ce n'était pas un vertige du à l'altitude mais c'était cette image que j'avais entrevu quand il s'approchait le jour ou j'étais allé les payer.
Ce corps magnifique nu, cette bite longue, qui pendait lourdement et se balançait quand il marchait.
Cette image m'avait marqué, elle s'était imprimée dans mon souvenir et je la revoyais presque en permanence maintenant. Mais surtout je rêvais de la revoir, de le revoir, de les revoir … Ils était deux !
Ils m'avaient invité à revenir les voir quand je le voudrais, à plusieurs reprises je m'étais arrêté devant la porte d'entrée, l'entrée des escalier au niveau de la rue. Je n'avais jamais osé passer cette porte. Ce jour là comme plusieurs autres jours auparavant j'étais devant la porte, j'étais dans la galerie marchande, au niveau de la route.
– Ça va Nathan ? Tu passais nous voir ?
Je sursautais en entendant cette phrase, je me retournais et je voyais l'homme qui m'avait ouvert l'autre, c'était Joshua. Je l'imaginait nu. C'était pas lui que j'avais vu nu mais j'imaginais, il devait ressembler à son ami qui était si sexy à poil.
Enfin c'est l'idée qui me traversait la tête. C'est la seule idée qui me traversait la tête. Ensuite une image persistait, celle d'Alex. Je l'avais vu à poil et c'était la première fois que je voyais un homme à poil, en plus il avait une grosse queue, je le trouvais beau et par dessus tout j'avais envie de me retrouver dans ses bras.
– Alors tu montes ? Me demandait Joshua devant la porte ouverte de l'ascenseur.
– Ah , il y a un ascenseur ?
– Tu avais pris les escaliers l'autre jour ?
– Bein oui !
Suivaient ensuite des banalité du genre. '' J'avais pas vu l'ascenseur '' … '' Mais c'est pas haut '' … '' Six étages et nous on est sur le toit '' … Enfin je ne savais pas quoi dire et je vous jure que je me sentais vraiment mal à l'aise …
On arrivait finalement sur le toit. L'ascenseur ouvrait directement dans leur maison.
– Je t'offre un verre, Alex n'est pas là mais il ne devrait pas tarder. Tu n'as pas froid aux yeux toi pour un '' prudeur '' !
C'est souvent comme ça que nous appelait les personne qui vivaient sans morale ou avec une tradition déviante.
– Ne m'appelez pas comme ça, seules les mœurs déviantes justifient que vous utilisiez de tels mots.
Ma réponse était automatique et ne provenait que de mon éducation, en fait je ne savais plus vraiment ce que je disais ni ce que je faisais ici. La queue d'Alex revenait devant mes yeux et j'avais l'impression que j'allais me sentir mal.
– Ne te braque pas bonhomme. Et puis je ne suis pas un déviant, je suis juste un jouisseur. Tu sais, si nous avons un corps, c'est pour en jouir. Sinon nous serions des anges, des esprit …
Il m'invitais à le suivre sur la terrasse, je m'installais, je ne me sentais pas vraiment à l'aise mais je m'installais. Je commençais à me demander pourquoi j'étais venu, était-ce vraiment une bonne idée.
Quelques instants plus tard il revenait avec un plateau deux bières deux verres et , il était à poil … Là je paniquais … Je sentais instantanément ma queue protester contre sa situation. Elle se réveillait et je me sentais encore plus mal d'un coup.
Il s'asseyait en face de moi, je pouvais contempler son corps, il était entièrement nu. En théorie ça devrait pas faire une grande différence, notre dispositif de chasteté tant aimé dans mon milieu ne cache pas grand chose au final.
De dos ça ne fait aucune différence, au niveau du torse et des jambes aucune non plus. Tout se situe juste dans une petite partie du corps entre les cuisses, entre les jambes et le torse. Une toute petite zone de dix centimètres de haut sur encore moins de large.
Mais je vous jure que ça change tout !
Je me levais, j' m'excusais en bafouillant, saluait et me dirigeait vers la sortie. L'ascenseur était occupé, le voyant l'indiquait. Il ne tentait pas de me retenir. La porte de l'ascenseur s'ouvrait … Ils avaient bloqué les sorties, c'est Alex qui en sortait.
Il était tout habillé là mais je l'ai reconnu quand même.
– Tu étais là toi ? Tu n'allais pas partir ?
Il posait sa main sur mon bras et juste avec cette douce pression, il m'avait retourné. Je revenais vers la terrasse ou son copain Joshua me versait un verre, je m'asseyais sur le fauteuil ou j'étais quelques secondes plus tôt. Je prenais le verre et commençais à boire par gorgées. J'avais l'impression d'être vaincu, de n'avoir pas su résister à une certaine tentation. Je revoyais le corps d'Alex tellement beau, tellement nu, comme je l'avais vu l'autre jour et j'avais devant les yeux le corps tellement beau et tellement nu de son ami Joshua.
Si dans ma famille on ne se montre jamais nu. Ici c'était le contraire, Alex revenait avec une bière à la main et c'est tout ce qu'il avait sur lui …
– Tu devrais te mettre à l'aise, il fait presque chaud ici. Garde ta cage mais pour le reste c'est inutile … Me lançait Alex, Joshua faisait oui de la tête.
Ils m'avaient vaincu, j'étais écartelé entre mon éducation et mon désir que je refusait toujours de m'avouer. J'étais désormais sans défense j'ai obtempéré, je n'ai gardé que ma cage sur le dos, enfin sur le dos c'est tune façon de parler.
Ma queue protestait, je vous jure, se retrouver face à des hommes nus mais qui portent comme moi un dis positif de chasteté c'est une chose, j'y suis habitué maintenant, comme avec mon petit frère ou mes camarades de sport sous la douche. Mais se retrouver avec des hommes totalement nus, pas presque mais totalement … C'est autre chose.
C'était le cas à cet instant. Ma queue protestait comme jamais, mon dispositif se relevait par à-coup. Il suivait les battements de mon cœurs. Je ne sais pas si c'est ça qui les faisait réagir mais je voyais leurs sexe gonfler, leurs queues prendre du volume. C'était impressionnant et embarrassant, c'était aussi terriblement stimulant.
Ils bandaient ferme tous les deux au bout de quelques instants. J'ai senti une main sur mon épaule, c'était Alex, je me suis un peu contracté mais c'était juste un réflexe. Je l'ai laissé faire. Sa main descendait le long de mon dos, c'était doux, c'était agréable, on n'avait pas l'habitude de me toucher de cette marnière. Mon cœur battait fort et je tremblais intérieurement. Joshua s'approchait de moi, un instant j'ai vu son visage se pencher sur le mien puis je sentait la douceur de ses lèvres, de sa langue sur les miennes. Puis la douceur de sa langue sur la mienne.
Je fermais les yeux. Une main me caressait la cuisse et se glissait sur mes couilles, on me tripotait les couilles avec une grande douceur. On ne m'avait jamais fait ça.
– Regarde bien ! Me disais Alex.
Il se plaçait alors devant moi, debout. Il bandait, je le voyait de profil. Son ami Joshua se tournais alors vers lui prenait sa queue dans la bouche. Il me montrait comment il fallait procéder. La queue d'Alex entrait totalement dans la bouche de Joshua, et je voyais même sa gorge grossir quand le ventre d'Alex s'écrasait sur son visage. J'imaginais alors cette grosse queue bien enfoncée, je ne comprenais pas vraiment comment il faisait mais ça m'excitait.
Quand Alex retirait sa queue, quand il la ressortait, Joshua passait alors sa langue sur son gland et avec une main il le masturbait avec une grande douceur. Pendant un petit moment qui semblait ne jamais vouloir finir, ils me montraient comment procéder puis Alex se retournait vers moi.
J'avais sa queue à quelques centimètres de mon visage. J'hésitais un moment puis j'ouvrais la bouche en grand et je prenais la queue d'Alex dans la bouche. Mon cerveau était en ébullition, ma queue protestait comme jamais mais je n'y prêtais plus aucune attention.
Je passais ma langue sur le gland d'Alex, c'était magique, ils faisaient des commentaires mais je ne comprenais rien de ce qu'ils disaient, les voix semblaient venir de loin. On me caressait les cheveux, on appuyait tout doucement sur le dos de ma tête mais je restais libre de mes mouvements.
Joshua s'était levé, et je me retrouvais avec deux queue devant mon visage. Je prenais la seconde puis revenais à la première. Puis quand j'avais une queue dans la bouche je masturbais l'autre. Leurs caresses sur l'arrière de ma tête devenait plus insistante. Ils appuyaient sur ma tête mais à la moindre résistance de ma part il n'insistait pas. Je me sentais libre de mes mouvements.
Je m'écartais et relevais la tête. Il s'embrassaient et se caressaient. Je les regardais faire pendant quelques instant puis reprenais. Une queue après l'autre, je commençais à aimer ce que je faisais. Ma queue protestait, je sentais toujours mon dispositif se balancer de haut en bas en suivant les battements de mon cœur. J'avais le vertige mais je me sentais bien, vraiment bien. Je voulais continuer.
Peu à peu je prenais les queue un peu plus profond. Pas autant que m'avait montré Joshua au début mais ça venait. Je prenais une queue jusqu'au fond de ma bouche pas encore dans la gorge. Ça me plaisait, j'en voulais plus.
– Je crois qu'il à un gros potentiel. Déclarait Alex. Avec un peu d'entraînement il sera très bon à ce jeux.
Ça m'encourageait et je faisais encore plus d'effort, mais par moment j'avais envie de vomir et c'est ça qui me retenais. Je comprenais que je devais synchroniser ma respiration mais j'avais atteint mes limites. Mes limites du moment.
– L'idéal serait qu'il ne retire pas son dispositif. Tu as du le remarquer Alex, je le dis toujours … Les porteurs sont toujours très doué pour sucer et se faire défoncer le cul !
Il avait dit '' défoncer le cul '' là ça me faisait peur. Ils étaient bien membrés, ça me faisait peur mais rien que l'idée me faisait bander et ma queue protestait toujours. Alex s'asseyait sur le fauteuil et Joshua me demandait de continuer de le sucer. Je m'exécutais.
Je n'ai pas compris tout de suite, j'étais pas très futé à cette époque, il me lubrifiait le cul. Je vous jure j'ai pas compris tout de suite ou il voulait en venir. Il glissait un doigt dans mon cul … C'était donc ça, de se faire défoncer le cul … ? Il n'y avait vraiment aucune raison d'avoir peur, c'était agréable. Il s'accroupissait derrière moi, me caressait le dos, se penchait sur moi, je sentais son corps chaud et doux contre mon dos puis il a poussé très fort contre mon cul.
Sa queue est entré, ça m'a fait très mal mais vraiment très mal, j'ai hurlé, j'ai joui, je me suis dégagé en criant.
– Arrête, arrête tu fait vraiment très mal !
Il n'a pas insisté, il a juste continué à me caresser pour me calmer. Ses caresses étaient douces. Il me caressait les fesses, glissait un doigt entre mes fesses mais n'essayait plus de me pénétrer, même pas un doigt. Finalement c'était ça, de se faire défoncer le cul ! Et ça faisait mal, même si je ne savais pas encore que rapidement on en redemande.
– Il faudra un peu d'entraînement et de patience.
Je m'étais redressé, j'avais encore mal mais je n'avais pas trop compris, j'avais joui aussi. J'avais ressenti à la fois une grande douleur et un grand plaisir, les deux étaient liés et … Je ne comprenais pas, sinon qu'il faudrait étudier ça et bien sûr recommencer.
Alex se relevait, se retournait et offrait son cul à son camarade. Je m'asseyais sur le fauteuil et les regardais.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...