Jeune adulte 06 Un peu de tendresse
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 06 Un peu de tendresse
Jeune adulte 06Un peu de tendresse ( dans ce monde brutes )
Thomas faisait le tour du propriétaire.
– Mais je rêve ! Et tu habites tout seul ici dans cette taule, mais c'est un palace. On voit que tu as les moyens toi !
– C'est ma famille qui paye !
– C'est vrai que dans ton petit milieu on dit qu'il y a du fric.
Puis la fatigue se faisait sentir, je préparait deux cafés, mais ils sont restés sur la table à refroidir. Thomas s'était assis sur le canapé, et maintenant il était allongé dessus et ronflait, j'étais sur le fauteuil et j'avais piqué du nez moi aussi. Je me suis réveillé un peu plus tard.
J'ai décidé d'aller dormir plus confortablement dans mon lit, là je m'effondrais, la nuit avait été longue mais j'avais très peu dormi, et puis cette ambiance, cette foule, ce bruit, par moment des cris se faisaient entendre. C'était un cauchemar.
Je me réveillais bien plus tard et je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, tout ce que je constatais c'est qu'il faisait jour. Thomas était allongé à côté moi, il avait tiré la couette sur nous, il était nu.
Moi je n'avais pas osé me déshabillé totalement à cause de sa présence. Lui ne semblait pas embarrasser avec ce genre de détail. Il n'avait pas la pudeur excessive qu'on m'avait enseigné. Je me relevais en position assise, je retrouvais lentement mes esprits. En faisant cela je l'avais découvert et je pouvais contempler son corps.
Il était vraiment beau, je l'avais déjà vu à la fin de la nuit quand il prenait sa douche mais là j'avais tout le temps pour le contempler longuement. Étrangement je n'avais aucune gêne. Du fond de sa cage ma queue protestait elle par contre, et ça n'avait rien d'étrange, je bandais, c'était normal j'avais sous les yeux un corps nu absolument magnifique. Je bandais mais je vous jure que rien ne dépassait. C'était désespérant et très désagréable.
Il avait en effet de très belles proportions et une musculature sympathique, pas difforme, mais douce, très agréable mais très prononcée tout de même.
Je l'avais découvert et il ne tardait pas à réagir, il se retournait sur le dos et ce que je pouvais contempler n'était que plus beau. Sa queue me faisait presque peur, elle était vraiment de belle taille, plus grosse que sous la douche ce matin. Ce matin il était fatigué, ça devait être ça. Là, il était reposé, il était au chaud, je ne résistais pas à une caresse. Je veux dire à le caresser.
En même temps je ressentais une certaine honte. Et s'il se réveillait ?
Il s'est réveillé, j'étais tellement occupé à caresser sa peau, elle était tellement douce et totalement dépourvue de poil, sur tout le corps sauf sur la tête. Je ne l'ai pas remarqué tout de suite mais il ouvrait les yeux et me regardait.
Ma mains descendait le long de son corps jusqu'au bas de son ventre, et là je le voyais, il commençait à bander. Avec ma cage on ne voyait pas que je bandais mais lui rien ne le limitait, là sa queue devenait rapidement plus grosse, bien plus grosse. Elle était plus longue que ma main, nettement plus longue et je parvenais à peine à en faire le tour avec les doigt.
Sans m'en rendre compte j'en étais arrivé à le masturber mais avec tellement de douceur, je ne risquais pas de le réveiller. C'est en tout cas ce que je me disais quand j'ai vu qu'il avait les yeux ouverts et qu'il me regardait. Par réflexe je voulais retirer ma main mais il m'attrapait le poignet. Je ne résistais pas, je le laissais faire, j'étais tout rouge de confusion.
Il portait ma main à sa bouche et me donnait un baiser dans le creux de la paume. Je ne savais plus quoi faire. Puis il reposait ma main sur son sexe et je continuait à le caresser avec une infinie douceur. Son sexe avait pris toute sa taille à ce moment et sa queue se soulevait de son ventre, elle était bien dure, bien ferme. J'avais l'impression de n'avoir jamais rien vu d'aussi beau.
Tout comme moi il était circoncis, moi c'était pour pouvoir porter un jour le dispositif, naïvement j'en concluais que lui aussi aurait du porter un tel dispositif. C'était en projet, probablement. En fait j'espérais que ce projet ait été annulé. Je n'avais pas envie de voir un membre pareil dans une cage. Je l'imaginais avec une cage comme la mienne et ça me faisait bander encore plus.
La pression dans ma cage devenait insoutenable.
C'est à ce moment que j'ai senti ses doigts me caresser les couilles. Une caresse douce, et terriblement excitante. Déjà ma respiration devenait plus forte et moins régulière. Déjà, plus que du désir, je sentais monter en moi un véritable plaisir.
Il s'étirait, il était là, presque dans mes bras, allongé tout contre moi, offert à ses plaisir et à ma curiosité. Et j'en avais de la curiosité, j'en avais, je n'étais pas habitué à ce contact. J'avais même perdu l'habitude du contact de ma main avec mon propre sexe. Depuis l'année précédente je n'avais pas eu d'érection, enfin je veux dire pas une érection non contrariée mais une vrai érection.
À cette époque je me masturbais toujours avec des caresses plus fortes et plus fortes encore jusqu'au moment ou j'éjaculais. Je me souvenais de ce plaisir, je ne l'avais ressenti qu'à quelques reprise depuis, je me demandais si je ne risquais pas provoquer une éjaculation, cette idée me retenait, je me sentais gêné.
Avec sa main il appuyait sur la mienne, il me faisait ainsi comprendre que je pouvais le caresser plus fortement. Je suivais le mouvement.
Il passait son autre main dans mon dos et me tirait vers lui. Je ne résistais que très peu et je finissais par pencher mon visage sur le sien. J'ai vu mon visage dans ses yeux puis j'ai senti ses lèvres contre les miennes. C'était une douceur que je ne connaissais pas, mais c'était là une découverte qui me remplissait de bonheur.
C'est sa langue que je sentais ensuite sur mes lèvre, là je répondais à cette appel et c'est ma langue qu'il ressentais sur la sienne. Il avait fermé les yeux, j'en faisais autant. Il me tirait contre lui, il glissait une main sous mon caleçon, j'ai eu un léger réflexe de rejet puis je l'ai laissé faire.
Il reprenait avec encore plus de douceur, il glissait sa main sur mes fesses, quelques doigt entre mes fesses et avec un doigt il me chatouillait l'ouverture de mon cul.
Il me tirait contre lui et on se retrouvait tendrement enlacés, rapidement nos baisers devenaient plus chaud plus intimes. Il faisait glisser mon caleçon et son sexe s'écrasait contre mon ventre, le mien s'écrasait plus durement contre sa cuisse, en position basse.
Je le retenais dans mes bras et nous roulions l'un sur l'autre. C'est le reste de mon visage qu'il embrassait alors et je faisais comme lui. J'avais le vertige, mon cœur battait très fort, et il n'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que je m'évanouisse. Je manquais d'air mais je ne voulais plus le lâcher.
Sa peau totalement dépourvue de poil était tellement douce. Mes mains descendaient sur ses fesses, se glissaient entre ses fesses puis se promenaient tout autour de son sexe, à la base de son sexe.
C'est tout doucement qu'il appuyait sur ma tête, je suivais, un peu comme si je me soumettais à ses désirs. Mes lèvres se promenaient sur tout son corps, depuis ses lèvres jusqu'à son sexe. Je l'embrassais partout sur ce parcours. D'abord son menton puis son torse et je vous jure que j'appréciais ses muscles autant que la douceur de sa peau. Mes baisers glissaient ensuite sur son ventre, je m'attardais sur son nombril et déjà je sentais sa queue qui touchait mon menton.
Je respirait à fond, j'hésitais encore quelques instants puis je prenais sa queue dans la bouche, d'abord le gland et longuement je passais ma langue tout autour. Je le massais avec le bout de ma langue puis son sexe pénétrait plus profondément et c'est plus fermement que ma langue continuait à le caresser.
Il me caressait les cheveux et appuyait sur ma tête mais sans me contraindre. Je restais totalement libre de relever la tête quand je voulais. Quand je la relevais c'était pour me détendre la mâchoire et recommencer. A chaque fois sa queue s'enfonçait un peu plus profond.
Il poussait de légers gémissements et se tortillait de plaisir mais il me retenait toujours pas de force. Je m'installais plus confortablement, à genoux entre ses jambes. Je me repliais totalement sur son sexe et prenais alors sa queue plus profond et encore plus profond.
Je ne comprenais pas trop ce qui se passait au moment ou mon nez s'est écrasé contre son ventre, je l'entendais gémir et je sentais son gland qui glissait dans ma gorge. C'était un truc de fou, j'ai adoré pouvoir prendre sa queue entière bien à fond. Elle entrait en entier et pourtant elle était longue.
Elle était large aussi et ma mâchoire s'était sans doute déboîtée. Mais j'adorais ça. La fièvre montait, je lui caressais les couilles avec autant de force que de douceur. Je luis caressait le corps, les cuisses, le torse puis l'intérieur des cuisses et son torse. J'étais pris par une véritable fièvre, je le voulais en entier, je voulais le caresser partout à la fois, je voulais son sexe en moi.
Il a du remarquer que je ne me retenais plus, il me repoussait alors doucement, relevait ma tête alors que je voulais continuer à le sucer et me retenais.
– Retourne toi, reste à genoux, et détend toi, je vais t'enculer.
Là mon sang s'est glacé, il avait une grosse queue, j'avais réussi à me la prendre dans la bouche mais dans le cul, c'était autre chose. Je ne voulais pas, surtout pas, lui refuser quelque chose mais me prendre sa queue dans le cul …
la dernière fois ça m'avait fait tellement mal. J'avais bien cru que mon cul allait déchirer et en plus je suis sûr qu'elle était plus petite. C'est qu'il était bien monté le petit Thomas. Il n'était pas si petit que ça non plus.
Mais je crois que je l'avais déjà dans la peau, je ne pouvais pas le lui refuser, je ne voulais pas non plus, j'avais la trouille. C'est avec un nœud dans le ventre que je prenais position.
Il se penchait sur moi et me prenait dans ses bras. Se mains me caressaient et glissaient sur tout mon corps, je tremblais et pas seulement de plaisir. Il passait ses doigts sur mes fesses, avec un doigt il insistait longuement sur mon cul et j'ai senti un liquide froid, puis son doigt est rentré rapidement.
Ça m'a fait une drôle de sensation mais ce n'était pas douloureux, j'ai bien cru au contraire que j'allais éjaculer. La dernière fois ça remontait à deux mois lors d'un rêve humide mais passons …
Il remuait son doigt et déjà le plaisir montait. Il retirait son doigt et glissait tout aussi rapidement deux doigt qu'il agitait avec vigueur, le plaisir montait encore plus. Là j'ai poussé un cri de plaisir. Il a continué , par moment il enfonçait trois doigt, là je couinais. Ça devenait intense, et je me demandais comment ça pourrait être pire.
Il rajoutait une bonne dose de gel lubrifiant puis c'est sa queue qu'il posait contre mon cul. Là je m'angoissais ferme. Je ne voulais pas, j'avais peur mais je voulais encore moins lui refuser ce plaisir. J'avais décidé de le laisser faire, il me faisait craquer, même s'il devait me faire mal.
Mon angoisse se transformait rapidement en panique quand je le sentais pousser. Ça résistait, je tentais de me détendre et il poussait encore plus fort. Il commençait à me faire mal mais là, j'ai décidé de le laisser faire, j'ai décidé de supporter pour lui faire plaisir.
Il poussait un peu plus et un peu plus jusqu'au moment ou mon cul s'est ouvert. Sa queue est alors rentrée avec un terrible violence, j'ai hurlé. Il ne bougeait plus, ça faisait mal. J'avais la trouille mais je ne voulais pas lui demander d'arrêter. Il a fait une pause, je commençait à me détendre puis il s'est enfoncé un peu plus profond. Je manquais d'air, je ne pouvais plus respirer, c'était vraiment douloureux et j'avais peur qu'il ne me déchire.
Il y allait doucement mais ça ne changeait rien, c'était presque le première fois pour moi et il était de grosse taille. Il faisait des poses par moment, sans je n'aurais pas pu le supporter. Je gémissais mais pas que de plaisir, non pas vraiment. Il me faisait vraiment mal. Ses mains, ses bras me donnaient un certain réconfort. Ses caresses m'encourageaient à tenir mais c'était pas facile.
Comme il sentait que je me détendais il poussait un peu plus, je gueulais. Encore quelques instant et il poussait de nouveau. C'était de la folie, j'avais mal au cul mais je voulais qu'il continue, j'avais la cervelle en feu, et le visage pourpre mais je tenais bien le coup et c'est alors que j'ai senti son ventre s'écraser sur mes fesses. Je manquais d'air !
Il ne bougeait plus, je tremblais, je ne savais même plus si je me sentais bien ou pas, j'avais froid mais ses mains me réchauffaient. J'avais mal au cul mais son corps contre le mien me réconfortait.
Il se retirait ! Je hurlais intérieurement, aucun son ne sortait de ma bouche mais je hurlais et j'étais le seul à m'entendre. Quand il revenait, je sentais sa queue énorme glisser en moi et me dilater les entrailles, et je gémissais de nouveau. Et là je faisais du bruit, là je me faisais entendre.
Il continuait. Il lubrifiait de nouveau et quand il s'enfonçait en moi de nouveau je l'ai senti passer. Ça glissait bien mais je sentais toujours et là j'en avait toujours peur mais je sentais mon cul distendu jusqu'au point de rupture …
Il m'a limé pendant encore un long moment puis s'est retiré, j'ai joui. J'ai joui comme un fou, j'ai juté, j'ai éjaculé, j'ai pris un pied pas possible, je ne savais pas qu'on pouvait jouir comme ça. Je manquais d'air.
Je me suis laissé tombé sous mon poids, c'était un peu comme si tous mes muscles s'étaient détendus d'un coup, j'étais tout mou. Dans mon dos il continuait à se masturber, je l'entendais. Quand il a joui, je l'ai entendu. Je l'ai ressenti aussi il a éjaculé sur mon dos. Puis de nouveau il s'est laissé retombé sur moi et avec une incroyable tendresse il m'a embrassé dans le cou.
J'avais mal au cul mais pourtant je me sentais bien. Je n'aurais pas recommencé mais je savais déjà que oui, je recommencerais …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Thomas faisait le tour du propriétaire.
– Mais je rêve ! Et tu habites tout seul ici dans cette taule, mais c'est un palace. On voit que tu as les moyens toi !
– C'est ma famille qui paye !
– C'est vrai que dans ton petit milieu on dit qu'il y a du fric.
Puis la fatigue se faisait sentir, je préparait deux cafés, mais ils sont restés sur la table à refroidir. Thomas s'était assis sur le canapé, et maintenant il était allongé dessus et ronflait, j'étais sur le fauteuil et j'avais piqué du nez moi aussi. Je me suis réveillé un peu plus tard.
J'ai décidé d'aller dormir plus confortablement dans mon lit, là je m'effondrais, la nuit avait été longue mais j'avais très peu dormi, et puis cette ambiance, cette foule, ce bruit, par moment des cris se faisaient entendre. C'était un cauchemar.
Je me réveillais bien plus tard et je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, tout ce que je constatais c'est qu'il faisait jour. Thomas était allongé à côté moi, il avait tiré la couette sur nous, il était nu.
Moi je n'avais pas osé me déshabillé totalement à cause de sa présence. Lui ne semblait pas embarrasser avec ce genre de détail. Il n'avait pas la pudeur excessive qu'on m'avait enseigné. Je me relevais en position assise, je retrouvais lentement mes esprits. En faisant cela je l'avais découvert et je pouvais contempler son corps.
Il était vraiment beau, je l'avais déjà vu à la fin de la nuit quand il prenait sa douche mais là j'avais tout le temps pour le contempler longuement. Étrangement je n'avais aucune gêne. Du fond de sa cage ma queue protestait elle par contre, et ça n'avait rien d'étrange, je bandais, c'était normal j'avais sous les yeux un corps nu absolument magnifique. Je bandais mais je vous jure que rien ne dépassait. C'était désespérant et très désagréable.
Il avait en effet de très belles proportions et une musculature sympathique, pas difforme, mais douce, très agréable mais très prononcée tout de même.
Je l'avais découvert et il ne tardait pas à réagir, il se retournait sur le dos et ce que je pouvais contempler n'était que plus beau. Sa queue me faisait presque peur, elle était vraiment de belle taille, plus grosse que sous la douche ce matin. Ce matin il était fatigué, ça devait être ça. Là, il était reposé, il était au chaud, je ne résistais pas à une caresse. Je veux dire à le caresser.
En même temps je ressentais une certaine honte. Et s'il se réveillait ?
Il s'est réveillé, j'étais tellement occupé à caresser sa peau, elle était tellement douce et totalement dépourvue de poil, sur tout le corps sauf sur la tête. Je ne l'ai pas remarqué tout de suite mais il ouvrait les yeux et me regardait.
Ma mains descendait le long de son corps jusqu'au bas de son ventre, et là je le voyais, il commençait à bander. Avec ma cage on ne voyait pas que je bandais mais lui rien ne le limitait, là sa queue devenait rapidement plus grosse, bien plus grosse. Elle était plus longue que ma main, nettement plus longue et je parvenais à peine à en faire le tour avec les doigt.
Sans m'en rendre compte j'en étais arrivé à le masturber mais avec tellement de douceur, je ne risquais pas de le réveiller. C'est en tout cas ce que je me disais quand j'ai vu qu'il avait les yeux ouverts et qu'il me regardait. Par réflexe je voulais retirer ma main mais il m'attrapait le poignet. Je ne résistais pas, je le laissais faire, j'étais tout rouge de confusion.
Il portait ma main à sa bouche et me donnait un baiser dans le creux de la paume. Je ne savais plus quoi faire. Puis il reposait ma main sur son sexe et je continuait à le caresser avec une infinie douceur. Son sexe avait pris toute sa taille à ce moment et sa queue se soulevait de son ventre, elle était bien dure, bien ferme. J'avais l'impression de n'avoir jamais rien vu d'aussi beau.
Tout comme moi il était circoncis, moi c'était pour pouvoir porter un jour le dispositif, naïvement j'en concluais que lui aussi aurait du porter un tel dispositif. C'était en projet, probablement. En fait j'espérais que ce projet ait été annulé. Je n'avais pas envie de voir un membre pareil dans une cage. Je l'imaginais avec une cage comme la mienne et ça me faisait bander encore plus.
La pression dans ma cage devenait insoutenable.
C'est à ce moment que j'ai senti ses doigts me caresser les couilles. Une caresse douce, et terriblement excitante. Déjà ma respiration devenait plus forte et moins régulière. Déjà, plus que du désir, je sentais monter en moi un véritable plaisir.
Il s'étirait, il était là, presque dans mes bras, allongé tout contre moi, offert à ses plaisir et à ma curiosité. Et j'en avais de la curiosité, j'en avais, je n'étais pas habitué à ce contact. J'avais même perdu l'habitude du contact de ma main avec mon propre sexe. Depuis l'année précédente je n'avais pas eu d'érection, enfin je veux dire pas une érection non contrariée mais une vrai érection.
À cette époque je me masturbais toujours avec des caresses plus fortes et plus fortes encore jusqu'au moment ou j'éjaculais. Je me souvenais de ce plaisir, je ne l'avais ressenti qu'à quelques reprise depuis, je me demandais si je ne risquais pas provoquer une éjaculation, cette idée me retenait, je me sentais gêné.
Avec sa main il appuyait sur la mienne, il me faisait ainsi comprendre que je pouvais le caresser plus fortement. Je suivais le mouvement.
Il passait son autre main dans mon dos et me tirait vers lui. Je ne résistais que très peu et je finissais par pencher mon visage sur le sien. J'ai vu mon visage dans ses yeux puis j'ai senti ses lèvres contre les miennes. C'était une douceur que je ne connaissais pas, mais c'était là une découverte qui me remplissait de bonheur.
C'est sa langue que je sentais ensuite sur mes lèvre, là je répondais à cette appel et c'est ma langue qu'il ressentais sur la sienne. Il avait fermé les yeux, j'en faisais autant. Il me tirait contre lui, il glissait une main sous mon caleçon, j'ai eu un léger réflexe de rejet puis je l'ai laissé faire.
Il reprenait avec encore plus de douceur, il glissait sa main sur mes fesses, quelques doigt entre mes fesses et avec un doigt il me chatouillait l'ouverture de mon cul.
Il me tirait contre lui et on se retrouvait tendrement enlacés, rapidement nos baisers devenaient plus chaud plus intimes. Il faisait glisser mon caleçon et son sexe s'écrasait contre mon ventre, le mien s'écrasait plus durement contre sa cuisse, en position basse.
Je le retenais dans mes bras et nous roulions l'un sur l'autre. C'est le reste de mon visage qu'il embrassait alors et je faisais comme lui. J'avais le vertige, mon cœur battait très fort, et il n'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que je m'évanouisse. Je manquais d'air mais je ne voulais plus le lâcher.
Sa peau totalement dépourvue de poil était tellement douce. Mes mains descendaient sur ses fesses, se glissaient entre ses fesses puis se promenaient tout autour de son sexe, à la base de son sexe.
C'est tout doucement qu'il appuyait sur ma tête, je suivais, un peu comme si je me soumettais à ses désirs. Mes lèvres se promenaient sur tout son corps, depuis ses lèvres jusqu'à son sexe. Je l'embrassais partout sur ce parcours. D'abord son menton puis son torse et je vous jure que j'appréciais ses muscles autant que la douceur de sa peau. Mes baisers glissaient ensuite sur son ventre, je m'attardais sur son nombril et déjà je sentais sa queue qui touchait mon menton.
Je respirait à fond, j'hésitais encore quelques instants puis je prenais sa queue dans la bouche, d'abord le gland et longuement je passais ma langue tout autour. Je le massais avec le bout de ma langue puis son sexe pénétrait plus profondément et c'est plus fermement que ma langue continuait à le caresser.
Il me caressait les cheveux et appuyait sur ma tête mais sans me contraindre. Je restais totalement libre de relever la tête quand je voulais. Quand je la relevais c'était pour me détendre la mâchoire et recommencer. A chaque fois sa queue s'enfonçait un peu plus profond.
Il poussait de légers gémissements et se tortillait de plaisir mais il me retenait toujours pas de force. Je m'installais plus confortablement, à genoux entre ses jambes. Je me repliais totalement sur son sexe et prenais alors sa queue plus profond et encore plus profond.
Je ne comprenais pas trop ce qui se passait au moment ou mon nez s'est écrasé contre son ventre, je l'entendais gémir et je sentais son gland qui glissait dans ma gorge. C'était un truc de fou, j'ai adoré pouvoir prendre sa queue entière bien à fond. Elle entrait en entier et pourtant elle était longue.
Elle était large aussi et ma mâchoire s'était sans doute déboîtée. Mais j'adorais ça. La fièvre montait, je lui caressais les couilles avec autant de force que de douceur. Je luis caressait le corps, les cuisses, le torse puis l'intérieur des cuisses et son torse. J'étais pris par une véritable fièvre, je le voulais en entier, je voulais le caresser partout à la fois, je voulais son sexe en moi.
Il a du remarquer que je ne me retenais plus, il me repoussait alors doucement, relevait ma tête alors que je voulais continuer à le sucer et me retenais.
– Retourne toi, reste à genoux, et détend toi, je vais t'enculer.
Là mon sang s'est glacé, il avait une grosse queue, j'avais réussi à me la prendre dans la bouche mais dans le cul, c'était autre chose. Je ne voulais pas, surtout pas, lui refuser quelque chose mais me prendre sa queue dans le cul …
la dernière fois ça m'avait fait tellement mal. J'avais bien cru que mon cul allait déchirer et en plus je suis sûr qu'elle était plus petite. C'est qu'il était bien monté le petit Thomas. Il n'était pas si petit que ça non plus.
Mais je crois que je l'avais déjà dans la peau, je ne pouvais pas le lui refuser, je ne voulais pas non plus, j'avais la trouille. C'est avec un nœud dans le ventre que je prenais position.
Il se penchait sur moi et me prenait dans ses bras. Se mains me caressaient et glissaient sur tout mon corps, je tremblais et pas seulement de plaisir. Il passait ses doigts sur mes fesses, avec un doigt il insistait longuement sur mon cul et j'ai senti un liquide froid, puis son doigt est rentré rapidement.
Ça m'a fait une drôle de sensation mais ce n'était pas douloureux, j'ai bien cru au contraire que j'allais éjaculer. La dernière fois ça remontait à deux mois lors d'un rêve humide mais passons …
Il remuait son doigt et déjà le plaisir montait. Il retirait son doigt et glissait tout aussi rapidement deux doigt qu'il agitait avec vigueur, le plaisir montait encore plus. Là j'ai poussé un cri de plaisir. Il a continué , par moment il enfonçait trois doigt, là je couinais. Ça devenait intense, et je me demandais comment ça pourrait être pire.
Il rajoutait une bonne dose de gel lubrifiant puis c'est sa queue qu'il posait contre mon cul. Là je m'angoissais ferme. Je ne voulais pas, j'avais peur mais je voulais encore moins lui refuser ce plaisir. J'avais décidé de le laisser faire, il me faisait craquer, même s'il devait me faire mal.
Mon angoisse se transformait rapidement en panique quand je le sentais pousser. Ça résistait, je tentais de me détendre et il poussait encore plus fort. Il commençait à me faire mal mais là, j'ai décidé de le laisser faire, j'ai décidé de supporter pour lui faire plaisir.
Il poussait un peu plus et un peu plus jusqu'au moment ou mon cul s'est ouvert. Sa queue est alors rentrée avec un terrible violence, j'ai hurlé. Il ne bougeait plus, ça faisait mal. J'avais la trouille mais je ne voulais pas lui demander d'arrêter. Il a fait une pause, je commençait à me détendre puis il s'est enfoncé un peu plus profond. Je manquais d'air, je ne pouvais plus respirer, c'était vraiment douloureux et j'avais peur qu'il ne me déchire.
Il y allait doucement mais ça ne changeait rien, c'était presque le première fois pour moi et il était de grosse taille. Il faisait des poses par moment, sans je n'aurais pas pu le supporter. Je gémissais mais pas que de plaisir, non pas vraiment. Il me faisait vraiment mal. Ses mains, ses bras me donnaient un certain réconfort. Ses caresses m'encourageaient à tenir mais c'était pas facile.
Comme il sentait que je me détendais il poussait un peu plus, je gueulais. Encore quelques instant et il poussait de nouveau. C'était de la folie, j'avais mal au cul mais je voulais qu'il continue, j'avais la cervelle en feu, et le visage pourpre mais je tenais bien le coup et c'est alors que j'ai senti son ventre s'écraser sur mes fesses. Je manquais d'air !
Il ne bougeait plus, je tremblais, je ne savais même plus si je me sentais bien ou pas, j'avais froid mais ses mains me réchauffaient. J'avais mal au cul mais son corps contre le mien me réconfortait.
Il se retirait ! Je hurlais intérieurement, aucun son ne sortait de ma bouche mais je hurlais et j'étais le seul à m'entendre. Quand il revenait, je sentais sa queue énorme glisser en moi et me dilater les entrailles, et je gémissais de nouveau. Et là je faisais du bruit, là je me faisais entendre.
Il continuait. Il lubrifiait de nouveau et quand il s'enfonçait en moi de nouveau je l'ai senti passer. Ça glissait bien mais je sentais toujours et là j'en avait toujours peur mais je sentais mon cul distendu jusqu'au point de rupture …
Il m'a limé pendant encore un long moment puis s'est retiré, j'ai joui. J'ai joui comme un fou, j'ai juté, j'ai éjaculé, j'ai pris un pied pas possible, je ne savais pas qu'on pouvait jouir comme ça. Je manquais d'air.
Je me suis laissé tombé sous mon poids, c'était un peu comme si tous mes muscles s'étaient détendus d'un coup, j'étais tout mou. Dans mon dos il continuait à se masturber, je l'entendais. Quand il a joui, je l'ai entendu. Je l'ai ressenti aussi il a éjaculé sur mon dos. Puis de nouveau il s'est laissé retombé sur moi et avec une incroyable tendresse il m'a embrassé dans le cou.
J'avais mal au cul mais pourtant je me sentais bien. Je n'aurais pas recommencé mais je savais déjà que oui, je recommencerais …
A suivre
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