Jeune adulte 14 Nouvelle star
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 14 Nouvelle star
Jeune adulte 14
Nouvelle star
Ne vous méprenez pas sur les intentions de mon Thomas. Il est fidèle, enfin il sait être fidèle mais simplement sa vision de la fidélité peut sembler un peu particulière. Il devait faire l'amour deux, trois ou quatre fois par jours avec des partenaires différents mais c'était pour le boulot, ça ne comptait pas.
Avec moi c'était différent, avec moi c'était pour le plaisir.
Ce soir là avec Yohan, c'est pareil ça ne comptait pas, je n'aurais pas été là, il n'aurait jamais sauté mon petit frère, en tout cas pas sans mon accord. Ce soir là, j'étais présent, il ne me trompait donc pas !
Yohan à râlé pendant une semaine, il avait mal au cul la pauvre chouquette. Qu'est ce que je devrais dire moi, je me la prenais trois ou quatre fois dans le cul par semaine moi sa queue. Et en plus j'en redemandais. Mon frère est une petite nature, c'est la seule explication.
Le week-end Thomas me sortait en boite, il se donnait en spectacle, enfin il donnait un spectacle porno sur scène, en live, on aurait pu penser qu'il m'était infidèle mais c'était pour le boulot donc. Mais j'aimais bien le regarder, il ne se faisait jamais enculer, c'est sa queue qui faisait fantasmer les clients. Et je vous jure, je me la prenais plusieurs fois dans le cul chaque semaine et je sais de quoi je parle, il y avait vraiment matière à fantasmer.
Il était incroyable, il bandait sur commande, il tenait tant qu'il le fallait et quand il débandait, là je rêvais. C'était une grosse belle queue lourde, épaisse qui se balançait quand il dansait. Il dansait nu sur le gogo. Un corps parfait, fin et musclé qui remuait avec force en suivant le rythme. C'était un rêve.
Quand on sortait en boite je lui empruntait un pantalon, c'est lui qui a eu l'idée, un pantalon moulant, très moulant. On devinait parfaitement la forme de ma cage. Il me disait que ça l'excitait. En plus ce genre de tissus ne gène pas les mouvements, il est souple et doux. Pour le haut un Tshirt bien moulant également qui montrait tous mes muscles.
Il ne faut pas oublier que je suis également très agréablement musclé. Et en plus ce genre de pantalon me faisait des fesses, je ne vous dis pas ! Bon bien sûr il ne faut pas mettre de sous vêtement mais ça, c'est juste un petit détail.
Je m'installait au bar, la barman était aux petits soins pour moi, mon verre ne se vidait jamais, et je regardait le spectacle. Thomas bien sûr, Thomas surtout, mon Thomas. Il mettait l'ambiance, il dansait, souvent nu, mais il faisait aussi des spectacles porno. Il défonçait le cul d'un autre artiste. Si je vous jure je ne déconne pas quand il baise quelqu'un, c'est de l'art !
Il n'y avait pas trop de mise en scène. Un mec montait sur scène et … Hop …
C'était pour le boulot donc ça ne comptait pas.
J'entendais monter une certaine panique juste derrière le bar. Le patron de la boite.
– Richard n'est pas là !
– Mince ! Et il n'a pas téléphoner .
– A qui je pourrais demander de le remplacer.
Richard était un charmant garçon qui participait au spectacle avec Thomas. C'est Richard qui se faisait enculer. J'avais déjà vu plus d'une fois cette scène et sans prévenir je quittais le bar et montais sur la scène. Je voyais un peu de surprise dans les yeux de Thomas mais il ne se formalisait pas.
En roulant les mécaniques je m'approchais de Thomas.
– Richard n'est pas là.
– Et il est ou ? Me demandait Thomas.
– J'en sais rien.
Je continuais à tourner autour de Thomas, toujours en roulant les mécaniques mais je devais m'y prendre mal tout le monde rigolait dans la salle. Je ne me suis pas arrêté à ce détail, Thomas non plus.
Il m'a attrapé par le bras et me tirait vers lui. Je tombais dans ses bras, on s'embrassait, je lui retirais son T-shirt, nos baisers devenaient très tendres. C'était le silence total pendant quelques instant dans la salle, excepté la musique bien sûr.
C'est lui qui ensuite me retirait mon T-shirt, on entendait des applaudissements. Je ne regardait pas vers la salle, je ne pensais qu'à mon Thomas. Je savais ce qui allait se passer, je savais ce qui devait se passer. Il ouvrait mon pantalon, dégageait mes fesses, des sifflets approbateurs se faisaient entendre.
Je tombais à genoux, j'ouvrais son pantalon et en sortais sa queue. Je m'amusais quelques instants pour que tout le monde puisse bien voir sa bite. Elle était bien grosse, bien longue et surtout bien ferme. Comme je vous le disais Thomas bande sur demande et ce travail le demandait.
Je la prenais dans la bouche, des cris d'encouragement se faisaient entendre.
– Si elle est trop grosse pour toi, moi j'en veux bien.
Ce commentaires était suivi d'éclats de rire. Je n'avais pas besoin qu'on m'aide, je la connaissais bien cette queue, je me l'étais prise dans le cul plus d'une fois. C'est avec rapidité que je la prenais dans ma bouche, on m'encourageait, je me l'enfilais en entier, elle s'écrasait dans ma gorge.
Tout en le suçant avec délectation je lui baissais son pantalon, il en dégageait ses jambes et se retrouvait entièrement nu entre mes mains. Je lui caressais les fesses, c'était pas tout à fait la chorégraphie mais j'improvisais. Il en faisait de même.
Il me laissait faire en prenant bien soin de retirer sa queue régulièrement pour que tout le monde puisse voir que c'était pas du chiqué. Il finissait par me tirer vers lui, je me redressais et en même temps baissait mon pantalon que je retirais totalement.
Nous étions alors enlacés sur la scène, juste au dessus de la piste de danse, tout le monde nous regardait, un instant le DJ en oubliait même d'enchaîner et la musique s'arrêtait. Juste quelques secondes je vous rassure.
A cet instant on avait tout oublié, la foule, la piste de danse, la boite de nuit. A cet instant on partageait un moment de tendresse et de douceur intense. Je sentais sa queue se relever entre nous, je sentais ma queue protester avec force. Elle s'était un peu faite oublier jusque là. Mais à ce moment elle se faisait douloureusement remarquer.
Sans prévenir Thomas me retournais, je ne résistais pas. Je me retrouvais face au public, offert au regard dans ma quasi totale nudité. Je sentais les regards me parcourir, ils devaient s'arrêter sur une partie bien précise, je m'en doutais, je le sentais. Thomas me caressait ma cage et me tripotait les couilles. J'ai aimé ces caresses même si c'était surtout de la mise en scène.
Thomas me retournais et me poussait alors contre un poteau placé là, au milieu de la scène pour sa suite. Je m'appuyais contre ce poteau.
Rapidement Thomas me lubrifiait le cul, se lubrifiait la queue et sans traîner d'avantage il m'enculait. On était acclamé. Sa queue était grosse, tout le monde pouvait voir que c'était sans trucage et malgré sa largeur, malgré sa longueur elle s'enfonçait facilement et son ventre s'écrasait contre mes fesses.
J'écartais les jambes, je me cambrais et relevais les fesses et là enfin je commençais par gémir et par râler. J'avais pas besoin de me forcer je vous jure. Je la sentais bien sa queue. C'était peut être pas la première fois que je me la prenais dans le cul mais ça me faisait toujours de l'effet.
Il se retirait et revenait avec force. Il ne m'épargnait rien, il me semblait qu'il était un peu plus violent que d'habitude, mais c'est vrai que d'habitude c'est pour notre plaisir. Là c'était pour le boulot.
Rapidement ses coups devenaient violent, rapidement le plaisir inondait tout mon corps. C'était un plaisir qui partait de quelque part au milieu de mes entrailles puis qui rayonnait dans mon ventre, dans mon torse et je me mettais à trembler quand le plaisir arrivait à mes membres.
Je ne sais pas si c'était parce que nous étions exposés au regards de voyeurs lubriques, mais peut être finalement. C'était peut être pour ça que le plaisir était encore plus intense que d'habitude avec Thomas.
Il se penchait sur moi et me serrait contre lui. Il n'arrêtait pas de buriner le cul. Il se retirait complètement, montrait bien mon cul, exhibait bien sa queue et revenait avec violence. De nouveau il me l'enfilait sur toute sa longueur avec fluidité, je gueulais.
La scène avait duré presque un quart d'heure, quand Thomas me lâchait je tombais sur la scène, il me retenait, je m'accrochais au poteau. Je remarquais que quelqu'un passait discrètement pour récupérer nos vêtements. Je me redressais et me retournais. On saluait et on disparaissait dans les coulisse au fond de la scène.
J'étais acclamé par toute l'équipe, on me tapait dans le dos, sur les épaules, je recevais même une claque sur les fesses, mais là c'était Thomas. Il avait le sourire, moi aussi.
En descendant on croisait deux autres danseurs habillés en cow-boy, enfin je veux dire déshabillé en cow-boy … Ils portaient des botes comme il convient et un ceinturon avec des revolvers de cinéma. Ils prenaient la suite.
– Et il est ou alors Richard, il a téléphoné ? Demandait Thomas.
– Pas de nouvelles ! Lui répondait-on.
Je me lavais le cul, Thomas se lavait la bite puis me proposait de le suivre.
– Tu vas voir, moi j'adore continuer comme ça après le spectacle.
Il m'entraînait au milieu de la piste de danse, et on se mêlait aux clients, certains étaient torse nue mais tous, sauf nous avaient encore leur pantalon. On a dansé comme des fous, on à bien remué nos cul, on s'est fait peloter. Des mains étrangères glissaient sur moi, je regardais Thomas qui était dans la même situation que moi sauf que sa queue se balançait dans tous les sens.
Elle restait encore un peu grosse même s'il débandait, en fait là il bandait mou. Par moment une main arrivait jusqu'à sa queue, je m'en amusait. Je me sentais bien et je n'avais pas peur de le perdre. Je savait que nous étions dans le cadre du boulot et je l'avais bien compris, dans le cadre du boulot, ça ne compte pas !
On restait ainsi, à poil pendant le reste de la soirée, on passait boire un verre au bar, le barman nous servait avec un sourire complice, sans nous présenter de note.
On est resté comme ça jusqu'à la fermeture, on dansait aussi sur la scène, on était alors rejoints par une partie de l'équipe. Le patron de la boite était particulièrement contant il se montrait avec ses artistes sur la scène mais lui restait tout habillé.
On a mis une ambiance du tonnerre. Cette soirée est restée dans les mémoires comme une soirée exceptionnelle. Le patron me prenait à part un peu plus tard. Au moment ou la boite se vidait.
J'avais récupéré mes vêtements et je m'habillais en même temps.
– Tu sais Nathan, si tu peux te libérer le week-end, je te propose un boulot le vendredi et le samedi soir.
– Tu déconnes ?
– Non, je suis très sérieux, deux prestation pornos chaque soir, au tarif syndical …
J'y croyais pas, j'étais venu faire le fou, m'amuser et on me proposait un boulot.
– Et je dois te répondre quand ?
– Quand tu veux, mais ne tarde pas trop. Tu peux commencer dès la semaine prochaine .
Thomas me rejoignait, on le mettait au courant de la proposition. Il n'avait rien contre mais il ne voulait pas travailler avec moi. Il nous expliquait que comme on vivait ensemble, qu'on était en couple, ce ne serait pas saint.
Il a parfois des principes étranges mon Thomas.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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Ne vous méprenez pas sur les intentions de mon Thomas. Il est fidèle, enfin il sait être fidèle mais simplement sa vision de la fidélité peut sembler un peu particulière. Il devait faire l'amour deux, trois ou quatre fois par jours avec des partenaires différents mais c'était pour le boulot, ça ne comptait pas.
Avec moi c'était différent, avec moi c'était pour le plaisir.
Ce soir là avec Yohan, c'est pareil ça ne comptait pas, je n'aurais pas été là, il n'aurait jamais sauté mon petit frère, en tout cas pas sans mon accord. Ce soir là, j'étais présent, il ne me trompait donc pas !
Yohan à râlé pendant une semaine, il avait mal au cul la pauvre chouquette. Qu'est ce que je devrais dire moi, je me la prenais trois ou quatre fois dans le cul par semaine moi sa queue. Et en plus j'en redemandais. Mon frère est une petite nature, c'est la seule explication.
Le week-end Thomas me sortait en boite, il se donnait en spectacle, enfin il donnait un spectacle porno sur scène, en live, on aurait pu penser qu'il m'était infidèle mais c'était pour le boulot donc. Mais j'aimais bien le regarder, il ne se faisait jamais enculer, c'est sa queue qui faisait fantasmer les clients. Et je vous jure, je me la prenais plusieurs fois dans le cul chaque semaine et je sais de quoi je parle, il y avait vraiment matière à fantasmer.
Il était incroyable, il bandait sur commande, il tenait tant qu'il le fallait et quand il débandait, là je rêvais. C'était une grosse belle queue lourde, épaisse qui se balançait quand il dansait. Il dansait nu sur le gogo. Un corps parfait, fin et musclé qui remuait avec force en suivant le rythme. C'était un rêve.
Quand on sortait en boite je lui empruntait un pantalon, c'est lui qui a eu l'idée, un pantalon moulant, très moulant. On devinait parfaitement la forme de ma cage. Il me disait que ça l'excitait. En plus ce genre de tissus ne gène pas les mouvements, il est souple et doux. Pour le haut un Tshirt bien moulant également qui montrait tous mes muscles.
Il ne faut pas oublier que je suis également très agréablement musclé. Et en plus ce genre de pantalon me faisait des fesses, je ne vous dis pas ! Bon bien sûr il ne faut pas mettre de sous vêtement mais ça, c'est juste un petit détail.
Je m'installait au bar, la barman était aux petits soins pour moi, mon verre ne se vidait jamais, et je regardait le spectacle. Thomas bien sûr, Thomas surtout, mon Thomas. Il mettait l'ambiance, il dansait, souvent nu, mais il faisait aussi des spectacles porno. Il défonçait le cul d'un autre artiste. Si je vous jure je ne déconne pas quand il baise quelqu'un, c'est de l'art !
Il n'y avait pas trop de mise en scène. Un mec montait sur scène et … Hop …
C'était pour le boulot donc ça ne comptait pas.
J'entendais monter une certaine panique juste derrière le bar. Le patron de la boite.
– Richard n'est pas là !
– Mince ! Et il n'a pas téléphoner .
– A qui je pourrais demander de le remplacer.
Richard était un charmant garçon qui participait au spectacle avec Thomas. C'est Richard qui se faisait enculer. J'avais déjà vu plus d'une fois cette scène et sans prévenir je quittais le bar et montais sur la scène. Je voyais un peu de surprise dans les yeux de Thomas mais il ne se formalisait pas.
En roulant les mécaniques je m'approchais de Thomas.
– Richard n'est pas là.
– Et il est ou ? Me demandait Thomas.
– J'en sais rien.
Je continuais à tourner autour de Thomas, toujours en roulant les mécaniques mais je devais m'y prendre mal tout le monde rigolait dans la salle. Je ne me suis pas arrêté à ce détail, Thomas non plus.
Il m'a attrapé par le bras et me tirait vers lui. Je tombais dans ses bras, on s'embrassait, je lui retirais son T-shirt, nos baisers devenaient très tendres. C'était le silence total pendant quelques instant dans la salle, excepté la musique bien sûr.
C'est lui qui ensuite me retirait mon T-shirt, on entendait des applaudissements. Je ne regardait pas vers la salle, je ne pensais qu'à mon Thomas. Je savais ce qui allait se passer, je savais ce qui devait se passer. Il ouvrait mon pantalon, dégageait mes fesses, des sifflets approbateurs se faisaient entendre.
Je tombais à genoux, j'ouvrais son pantalon et en sortais sa queue. Je m'amusais quelques instants pour que tout le monde puisse bien voir sa bite. Elle était bien grosse, bien longue et surtout bien ferme. Comme je vous le disais Thomas bande sur demande et ce travail le demandait.
Je la prenais dans la bouche, des cris d'encouragement se faisaient entendre.
– Si elle est trop grosse pour toi, moi j'en veux bien.
Ce commentaires était suivi d'éclats de rire. Je n'avais pas besoin qu'on m'aide, je la connaissais bien cette queue, je me l'étais prise dans le cul plus d'une fois. C'est avec rapidité que je la prenais dans ma bouche, on m'encourageait, je me l'enfilais en entier, elle s'écrasait dans ma gorge.
Tout en le suçant avec délectation je lui baissais son pantalon, il en dégageait ses jambes et se retrouvait entièrement nu entre mes mains. Je lui caressais les fesses, c'était pas tout à fait la chorégraphie mais j'improvisais. Il en faisait de même.
Il me laissait faire en prenant bien soin de retirer sa queue régulièrement pour que tout le monde puisse voir que c'était pas du chiqué. Il finissait par me tirer vers lui, je me redressais et en même temps baissait mon pantalon que je retirais totalement.
Nous étions alors enlacés sur la scène, juste au dessus de la piste de danse, tout le monde nous regardait, un instant le DJ en oubliait même d'enchaîner et la musique s'arrêtait. Juste quelques secondes je vous rassure.
A cet instant on avait tout oublié, la foule, la piste de danse, la boite de nuit. A cet instant on partageait un moment de tendresse et de douceur intense. Je sentais sa queue se relever entre nous, je sentais ma queue protester avec force. Elle s'était un peu faite oublier jusque là. Mais à ce moment elle se faisait douloureusement remarquer.
Sans prévenir Thomas me retournais, je ne résistais pas. Je me retrouvais face au public, offert au regard dans ma quasi totale nudité. Je sentais les regards me parcourir, ils devaient s'arrêter sur une partie bien précise, je m'en doutais, je le sentais. Thomas me caressait ma cage et me tripotait les couilles. J'ai aimé ces caresses même si c'était surtout de la mise en scène.
Thomas me retournais et me poussait alors contre un poteau placé là, au milieu de la scène pour sa suite. Je m'appuyais contre ce poteau.
Rapidement Thomas me lubrifiait le cul, se lubrifiait la queue et sans traîner d'avantage il m'enculait. On était acclamé. Sa queue était grosse, tout le monde pouvait voir que c'était sans trucage et malgré sa largeur, malgré sa longueur elle s'enfonçait facilement et son ventre s'écrasait contre mes fesses.
J'écartais les jambes, je me cambrais et relevais les fesses et là enfin je commençais par gémir et par râler. J'avais pas besoin de me forcer je vous jure. Je la sentais bien sa queue. C'était peut être pas la première fois que je me la prenais dans le cul mais ça me faisait toujours de l'effet.
Il se retirait et revenait avec force. Il ne m'épargnait rien, il me semblait qu'il était un peu plus violent que d'habitude, mais c'est vrai que d'habitude c'est pour notre plaisir. Là c'était pour le boulot.
Rapidement ses coups devenaient violent, rapidement le plaisir inondait tout mon corps. C'était un plaisir qui partait de quelque part au milieu de mes entrailles puis qui rayonnait dans mon ventre, dans mon torse et je me mettais à trembler quand le plaisir arrivait à mes membres.
Je ne sais pas si c'était parce que nous étions exposés au regards de voyeurs lubriques, mais peut être finalement. C'était peut être pour ça que le plaisir était encore plus intense que d'habitude avec Thomas.
Il se penchait sur moi et me serrait contre lui. Il n'arrêtait pas de buriner le cul. Il se retirait complètement, montrait bien mon cul, exhibait bien sa queue et revenait avec violence. De nouveau il me l'enfilait sur toute sa longueur avec fluidité, je gueulais.
La scène avait duré presque un quart d'heure, quand Thomas me lâchait je tombais sur la scène, il me retenait, je m'accrochais au poteau. Je remarquais que quelqu'un passait discrètement pour récupérer nos vêtements. Je me redressais et me retournais. On saluait et on disparaissait dans les coulisse au fond de la scène.
J'étais acclamé par toute l'équipe, on me tapait dans le dos, sur les épaules, je recevais même une claque sur les fesses, mais là c'était Thomas. Il avait le sourire, moi aussi.
En descendant on croisait deux autres danseurs habillés en cow-boy, enfin je veux dire déshabillé en cow-boy … Ils portaient des botes comme il convient et un ceinturon avec des revolvers de cinéma. Ils prenaient la suite.
– Et il est ou alors Richard, il a téléphoné ? Demandait Thomas.
– Pas de nouvelles ! Lui répondait-on.
Je me lavais le cul, Thomas se lavait la bite puis me proposait de le suivre.
– Tu vas voir, moi j'adore continuer comme ça après le spectacle.
Il m'entraînait au milieu de la piste de danse, et on se mêlait aux clients, certains étaient torse nue mais tous, sauf nous avaient encore leur pantalon. On a dansé comme des fous, on à bien remué nos cul, on s'est fait peloter. Des mains étrangères glissaient sur moi, je regardais Thomas qui était dans la même situation que moi sauf que sa queue se balançait dans tous les sens.
Elle restait encore un peu grosse même s'il débandait, en fait là il bandait mou. Par moment une main arrivait jusqu'à sa queue, je m'en amusait. Je me sentais bien et je n'avais pas peur de le perdre. Je savait que nous étions dans le cadre du boulot et je l'avais bien compris, dans le cadre du boulot, ça ne compte pas !
On restait ainsi, à poil pendant le reste de la soirée, on passait boire un verre au bar, le barman nous servait avec un sourire complice, sans nous présenter de note.
On est resté comme ça jusqu'à la fermeture, on dansait aussi sur la scène, on était alors rejoints par une partie de l'équipe. Le patron de la boite était particulièrement contant il se montrait avec ses artistes sur la scène mais lui restait tout habillé.
On a mis une ambiance du tonnerre. Cette soirée est restée dans les mémoires comme une soirée exceptionnelle. Le patron me prenait à part un peu plus tard. Au moment ou la boite se vidait.
J'avais récupéré mes vêtements et je m'habillais en même temps.
– Tu sais Nathan, si tu peux te libérer le week-end, je te propose un boulot le vendredi et le samedi soir.
– Tu déconnes ?
– Non, je suis très sérieux, deux prestation pornos chaque soir, au tarif syndical …
J'y croyais pas, j'étais venu faire le fou, m'amuser et on me proposait un boulot.
– Et je dois te répondre quand ?
– Quand tu veux, mais ne tarde pas trop. Tu peux commencer dès la semaine prochaine .
Thomas me rejoignait, on le mettait au courant de la proposition. Il n'avait rien contre mais il ne voulait pas travailler avec moi. Il nous expliquait que comme on vivait ensemble, qu'on était en couple, ce ne serait pas saint.
Il a parfois des principes étranges mon Thomas.
A suivre
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