Jeune adulte 15 Nouvelle carrière
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 15 Nouvelle carrière
Jeune adulte 15
Nouvelle carrière
Avec Thomas nous avons beaucoup parlé dans les jours qui ont suivi et le vendredi suivant j'étais avec lui dans la boite de nuit, j'acceptais la proposition du patron.
Yohan voulait absolument venir avec nous, et celui-là quand il a une idée en tête.
– Alors c'est là que tu bosses ? Me demandait-il quand on arrivait.
Je regardait Thomas qui me faisait un large sourire forcé. En effet je n'avais rien dit à mon frère et pourtant il était au courant. On était venu en avance bien sûr. Le patron de la boite voulait me proposer un strip-tease. Il savait que j'en avais jamais fait, je serais sur scène avec deux autres danseurs et je n'aurais qu'à faire comme eux.
Thomas et Yohan s'installaient au bar, à la première place pour une avant- première.
On commençait doucement, dans un premier temps on me montrait les pas, c'était pas bien difficile et rapidement je pouvais suivre le mouvement. Ensuite on passait à l'effeuillage, un des danseur ouvrait sa chemise, il montrait un torse bien musclé et lisse. Je suis à peu près comme lui, pratiquement imberbe sur le haut de mon corps et douillettement poilu sur les jambes.
Je le suivais et comme lui j'ouvrais en grand ma chemise et montrait mon torse à toute la salle. A ce moment de la répétition la salle était vide et les seuls applaudissements ne venaient que de mon frère. Bein oui il m'encourageait.
Le troisième danseur me suivait, il passait en dernier. C'est avec les chemises grande ouvertes qu'on continuait à danser. Là je le sentais bien, j'étais dans le rythme. Un peu plus tard on se débarrassait de nos chemises qu'on lançait derrière nous au fond de la scène.
On dansait alors pendant un moment torse nue. Nos corps se rapprochaient, se frôlait, et commençaient à se caresser.
Un des deux danseurs se jetait à mes pieds, me caressait la braguette. Il était bien concentré, ça ne rigolait pas même si l'ambiance était plaisante. Le boss donnait des consignes et des encouragements.
L'autre danseur faisait de même et c'est à eux deux qu'ils ouvraient les boutons de mon pantalon, lentement, sans se presser. Mon pantalon s'ouvrait sur mon dispositif de chasteté.
– Là ça va trop vite ! S'exclamait le boss.
– On a été trop rapide ? Demandait un des danseur.
– Le mouvement est bon, vous suivez la musique, c'est parfait mais là ça va trop vite, il faudra penser à un string. Pour que ça traîne un peu plus.
On reprenait. Les deux danseurs faisaient glisser mon pantalon sur mes chevilles. Je le repoussais des pieds. Pendant cette opération un des deux danseur avait pris soin de mettre sa main devant mon sexe pour qu'on ne puisse pas voir ma cage à bite tout de suite.
Ils se redressaient en me caressant et quand il retirait sa main l'autre y glissait la sienne. La salle réagissait pour nous faire savoir que c'était réussi, on ne pouvait toujours pas voir ma cage.
D’où j'étais, je voyais Thomas qui discutait avec mon frère et le patron de la boite. Ils semblaient apprécier.
Je me retournais, tournait le dos à la salle, je montrais bien mes fesses et les deux danseurs me les caressaient. Je tombais à mon tour à genoux devant eux. Lentement avec mes deux main j'ouvrais leur pantalon, en même temps leurs deux queue sortaient de leurs pantalons.
Je tirais leurs pantalons vers le bas.
– Là ton geste est superbe, tu me refais ça ce soir mon trésor ! Me hurlait le boss.
Thomas et Yohan applaudissaient sans conviction en se congratulant l'un l'autre. Là ils ne me soutenaient pas, il me taquinaient. Mais c'est pas grave, je ne leur en voulais pas.
Les autres danseurs repoussaient leurs pantalons. Je prenais la queue de l'un dans la bouche, puis l'autre. Je les suçais pendant quelques minutes chacun leur tour, ils bandaient rapidement et bien ferme. Je me redressait, et on recommençait à danser.
Quelques instants plus tard je me retournais, c'est seulement à ce moment que je dévoilais à la salle mon dispositif de chasteté.
Puis on continuait à danser, c'était maintenant un slow, chacun caressait les deux autres, nos trois corps glissaient l'un sur l'autre. On terminait quelques minutes plus tard, on saluait et on sortait de la salle.
– Dis moi Nathan ? Me lançait le boss. Viens par là mon petit. C'est bien la première fois que tu fais ça ?
– Bein oui ! Répondais.
– Je suppose que Thomas t'as entraîné ?
– Bein non , Pourquoi ?
– Alors tu es doué. Je te jure tu nous a fait ça comme un pro !
C'était décidé, je faisais partie de l'équipe pour la soirée. Les danseurs ne restent pas tous très longtemps dans ce métier. Tout comme Thomas ils ont souvent un autre travail et leurs propres clients …
Ce soir là je suis monté sur scène deux fois pour un spectacle porno. Cette partie que nous venions de répéter et un autre spectacle ou je me faisais enculer par deux mecs.
Oui je sais deux c'est beaucoup mais ce n'est pas trop. En plus il avaient une toute petite queue. Enfin toute petite, peut être pas mais plus petite que celle de Thomas. J'étais donc un peu entraîne.
Je suis monté sur scène à plusieurs reprises pour danser avec plusieurs autres danseurs. Tous les regards allaient vers moi, je suis mignon c'est vrai mais c'est peut être aussi parce que j'étais le seul à porter une cage à bite, et ça plaisait, et ça faisait fantasmer.
Avec ces précipitations on a oublié le string mais finalement le boss à pensé que c'était mieux comme ça. Donc finalement tout le monde était content.
Le lendemain on remettait ça. Et la semaine suivante, et la semaine suivante encore …
En fait c'est sympa ce genre de boulot, on suce des queues, on se fait défoncer le cul. Et ça j'aimais de plus en plus. Cette sensation de trouille au moment ou votre partenaire prend position, cette panique au moment ou il s'enfonce. Puis ce plaisir qui vous envahit.
Si en plus on ne connaît pas le partenaire, c'est le top. On ne sait pas s'il sera violent ou pas, s'il va y aller avec force ou pas. Si c'est une grosse bite on sait qu'on va le sentir passer. Mais quelquefois avec des petites bites aussi.
Ceci dit des petites bites j'en ai pas vu souvent, je crois même que j'en ai jamais vu dans ce milieu. Au niveau des clients, je ne dis pas mais au niveau de l'équipe, du boulot, non. Il y avait de la sélection, le boss n'embauchait que des mecs bien montés. Je devais être le seul a ne pas avoir sélectionné pour la taille ma queue mais pour la cage qui l'enfermait.
Quand on est sur scène exposé à la vue de tous, au milieu de la piste de danse exposé aux mains de tous, aux caresses de tout un tas de personne que je ne connaissais pas et ne connaîtrais jamais. Dans la soirée je passais par tous les niveau de l'excitation sexuelle, depuis le premier frisson, quand encore tout habillé je montais sur scène et je voyais les regards des clients avides de se rincer l’œil. Quand mes vêtements tombaient et que j'exposais avec fierté ma cage à bite. Quand mes partenaires me caressaient le corps. Quand je les suçais. Quand ils me défonçaient le cul et que toute la salle criait pour m'encourager. Quand je changeait de partenaire, quand je changeait de partenaire ( avec un 's' les soirs ou il y en avait plusieurs ) .
C'était une période dans ma vie ou je découvrais de nouveaux plaisir, des désirs, des frustrations, de promesses de plaisirs infinis. Rapidement je terminais la nuit dans la villa d'à côté. Chez le boss, là ou une partie de l'équipe habite. Je connaissais les lieux, c'était là je m'étais réveillé quand cette histoire avec Thomas avait commencée.
Souvent je me réveillais seul, Thomas travaillait. Un client particulier, je ne vous cacherai pas que ça m'agaçait quelquefois mais je savais que ça faisait partie des contraintes. Il bossait quand je l'ai rencontré, il bosse toujours, ça fait partie du contrat …
Par contre quand il était là, avec moi, il n'y avait plus rien d'autre … Ça aussi, ça faisait partie du contrat !
Et là il me comblait, il avait une grosse queue mon Thomas, il était beau mon Thomas, il était viril mon Thomas, il bandait ferme, à la demande, à volonté … Mon Thomas.
Et à chaque fois qu'il prenait position, que je sentais sa queue appuyer contre mon anus, je frissonnait. Je ne savais jamais comment il allait me prendre. Il savait être tellement câlin.
Il me caressait avec douceur, m'embrassait dans le cou ou dans le dos avec une infinie tendresse. Il me préparait en glissant un doigt, puis deux et me faisait monter le désir autant que le plaisir et quand j'étais prêt, seulement à ce moment il poussait.
Là je gémissais de plaisir, j'étais prêt à le recevoir. Il poussait alors son gland contre mon anus, il poussait fort mais ne forçait pas. C'était un délicieux mélange de douceur et de virilité.
Ma respiration accélérait et devenait plus forte. Il passait alors sa tête et m'embrassait sur les lèvres. Il sait être câlin mon Thomas. Rien n'a changé. Il me serrait alors contre lui et quand mon anus lâchait, il s'enfonçait tout doucement, lentement.
Si je criais là, c'était de plaisir. Si je sanglotais là, c'était de bonheur. La moindre caresse de Thomas me fait toujours cet effet.
Quand il me prend avec douceur il s'enfonce alors lentement jusqu'à ce que son ventre s'écrase sur mes fesses, c'est le bonheur. Sa queue glisse alors d'avant en arrière doucement puis plus vite et finalement très vite.
Dans ces cas là il ne fait pas claquer son ventre contre mes fesses mais il me lime le cul, il me masse l'anus avec sa queue et ma prostate aussi en plein la gueule. Enfin, c'est une façon de parler.
Rapidement je tremble, je ne peux plus contrôler mes mains, mes bras ou mes jambes. Il me lime alors le cul, me lime encore, et le plaisir monte en moi jusqu'au moment ou je ne contrôle plus rien.
En général c'est à ce moment qu'il se laisse aller et éjacule.
Il se retire ensuite, et là c'est moi qui éjacule, avec sa queue dans le cul, je ne parviens pas à éjaculer mais vous pouvez me croire ça ne change rien à ce que je ressent. Puis quand je me sens vidé,quand il s'est retiré, je me sens bien, tellement bien. Je jute, je ne ressens généralement aucun plaisir au niveau de ma queue, je jute c'est tout. Le plaisir je l'ai alors déjà ressenti.
C'est à peut près à cette période que j'ai commencé à sauter des cours. De temps en temps, juste de temps en temps.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Nouvelle carrière
Avec Thomas nous avons beaucoup parlé dans les jours qui ont suivi et le vendredi suivant j'étais avec lui dans la boite de nuit, j'acceptais la proposition du patron.
Yohan voulait absolument venir avec nous, et celui-là quand il a une idée en tête.
– Alors c'est là que tu bosses ? Me demandait-il quand on arrivait.
Je regardait Thomas qui me faisait un large sourire forcé. En effet je n'avais rien dit à mon frère et pourtant il était au courant. On était venu en avance bien sûr. Le patron de la boite voulait me proposer un strip-tease. Il savait que j'en avais jamais fait, je serais sur scène avec deux autres danseurs et je n'aurais qu'à faire comme eux.
Thomas et Yohan s'installaient au bar, à la première place pour une avant- première.
On commençait doucement, dans un premier temps on me montrait les pas, c'était pas bien difficile et rapidement je pouvais suivre le mouvement. Ensuite on passait à l'effeuillage, un des danseur ouvrait sa chemise, il montrait un torse bien musclé et lisse. Je suis à peu près comme lui, pratiquement imberbe sur le haut de mon corps et douillettement poilu sur les jambes.
Je le suivais et comme lui j'ouvrais en grand ma chemise et montrait mon torse à toute la salle. A ce moment de la répétition la salle était vide et les seuls applaudissements ne venaient que de mon frère. Bein oui il m'encourageait.
Le troisième danseur me suivait, il passait en dernier. C'est avec les chemises grande ouvertes qu'on continuait à danser. Là je le sentais bien, j'étais dans le rythme. Un peu plus tard on se débarrassait de nos chemises qu'on lançait derrière nous au fond de la scène.
On dansait alors pendant un moment torse nue. Nos corps se rapprochaient, se frôlait, et commençaient à se caresser.
Un des deux danseurs se jetait à mes pieds, me caressait la braguette. Il était bien concentré, ça ne rigolait pas même si l'ambiance était plaisante. Le boss donnait des consignes et des encouragements.
L'autre danseur faisait de même et c'est à eux deux qu'ils ouvraient les boutons de mon pantalon, lentement, sans se presser. Mon pantalon s'ouvrait sur mon dispositif de chasteté.
– Là ça va trop vite ! S'exclamait le boss.
– On a été trop rapide ? Demandait un des danseur.
– Le mouvement est bon, vous suivez la musique, c'est parfait mais là ça va trop vite, il faudra penser à un string. Pour que ça traîne un peu plus.
On reprenait. Les deux danseurs faisaient glisser mon pantalon sur mes chevilles. Je le repoussais des pieds. Pendant cette opération un des deux danseur avait pris soin de mettre sa main devant mon sexe pour qu'on ne puisse pas voir ma cage à bite tout de suite.
Ils se redressaient en me caressant et quand il retirait sa main l'autre y glissait la sienne. La salle réagissait pour nous faire savoir que c'était réussi, on ne pouvait toujours pas voir ma cage.
D’où j'étais, je voyais Thomas qui discutait avec mon frère et le patron de la boite. Ils semblaient apprécier.
Je me retournais, tournait le dos à la salle, je montrais bien mes fesses et les deux danseurs me les caressaient. Je tombais à mon tour à genoux devant eux. Lentement avec mes deux main j'ouvrais leur pantalon, en même temps leurs deux queue sortaient de leurs pantalons.
Je tirais leurs pantalons vers le bas.
– Là ton geste est superbe, tu me refais ça ce soir mon trésor ! Me hurlait le boss.
Thomas et Yohan applaudissaient sans conviction en se congratulant l'un l'autre. Là ils ne me soutenaient pas, il me taquinaient. Mais c'est pas grave, je ne leur en voulais pas.
Les autres danseurs repoussaient leurs pantalons. Je prenais la queue de l'un dans la bouche, puis l'autre. Je les suçais pendant quelques minutes chacun leur tour, ils bandaient rapidement et bien ferme. Je me redressait, et on recommençait à danser.
Quelques instants plus tard je me retournais, c'est seulement à ce moment que je dévoilais à la salle mon dispositif de chasteté.
Puis on continuait à danser, c'était maintenant un slow, chacun caressait les deux autres, nos trois corps glissaient l'un sur l'autre. On terminait quelques minutes plus tard, on saluait et on sortait de la salle.
– Dis moi Nathan ? Me lançait le boss. Viens par là mon petit. C'est bien la première fois que tu fais ça ?
– Bein oui ! Répondais.
– Je suppose que Thomas t'as entraîné ?
– Bein non , Pourquoi ?
– Alors tu es doué. Je te jure tu nous a fait ça comme un pro !
C'était décidé, je faisais partie de l'équipe pour la soirée. Les danseurs ne restent pas tous très longtemps dans ce métier. Tout comme Thomas ils ont souvent un autre travail et leurs propres clients …
Ce soir là je suis monté sur scène deux fois pour un spectacle porno. Cette partie que nous venions de répéter et un autre spectacle ou je me faisais enculer par deux mecs.
Oui je sais deux c'est beaucoup mais ce n'est pas trop. En plus il avaient une toute petite queue. Enfin toute petite, peut être pas mais plus petite que celle de Thomas. J'étais donc un peu entraîne.
Je suis monté sur scène à plusieurs reprises pour danser avec plusieurs autres danseurs. Tous les regards allaient vers moi, je suis mignon c'est vrai mais c'est peut être aussi parce que j'étais le seul à porter une cage à bite, et ça plaisait, et ça faisait fantasmer.
Avec ces précipitations on a oublié le string mais finalement le boss à pensé que c'était mieux comme ça. Donc finalement tout le monde était content.
Le lendemain on remettait ça. Et la semaine suivante, et la semaine suivante encore …
En fait c'est sympa ce genre de boulot, on suce des queues, on se fait défoncer le cul. Et ça j'aimais de plus en plus. Cette sensation de trouille au moment ou votre partenaire prend position, cette panique au moment ou il s'enfonce. Puis ce plaisir qui vous envahit.
Si en plus on ne connaît pas le partenaire, c'est le top. On ne sait pas s'il sera violent ou pas, s'il va y aller avec force ou pas. Si c'est une grosse bite on sait qu'on va le sentir passer. Mais quelquefois avec des petites bites aussi.
Ceci dit des petites bites j'en ai pas vu souvent, je crois même que j'en ai jamais vu dans ce milieu. Au niveau des clients, je ne dis pas mais au niveau de l'équipe, du boulot, non. Il y avait de la sélection, le boss n'embauchait que des mecs bien montés. Je devais être le seul a ne pas avoir sélectionné pour la taille ma queue mais pour la cage qui l'enfermait.
Quand on est sur scène exposé à la vue de tous, au milieu de la piste de danse exposé aux mains de tous, aux caresses de tout un tas de personne que je ne connaissais pas et ne connaîtrais jamais. Dans la soirée je passais par tous les niveau de l'excitation sexuelle, depuis le premier frisson, quand encore tout habillé je montais sur scène et je voyais les regards des clients avides de se rincer l’œil. Quand mes vêtements tombaient et que j'exposais avec fierté ma cage à bite. Quand mes partenaires me caressaient le corps. Quand je les suçais. Quand ils me défonçaient le cul et que toute la salle criait pour m'encourager. Quand je changeait de partenaire, quand je changeait de partenaire ( avec un 's' les soirs ou il y en avait plusieurs ) .
C'était une période dans ma vie ou je découvrais de nouveaux plaisir, des désirs, des frustrations, de promesses de plaisirs infinis. Rapidement je terminais la nuit dans la villa d'à côté. Chez le boss, là ou une partie de l'équipe habite. Je connaissais les lieux, c'était là je m'étais réveillé quand cette histoire avec Thomas avait commencée.
Souvent je me réveillais seul, Thomas travaillait. Un client particulier, je ne vous cacherai pas que ça m'agaçait quelquefois mais je savais que ça faisait partie des contraintes. Il bossait quand je l'ai rencontré, il bosse toujours, ça fait partie du contrat …
Par contre quand il était là, avec moi, il n'y avait plus rien d'autre … Ça aussi, ça faisait partie du contrat !
Et là il me comblait, il avait une grosse queue mon Thomas, il était beau mon Thomas, il était viril mon Thomas, il bandait ferme, à la demande, à volonté … Mon Thomas.
Et à chaque fois qu'il prenait position, que je sentais sa queue appuyer contre mon anus, je frissonnait. Je ne savais jamais comment il allait me prendre. Il savait être tellement câlin.
Il me caressait avec douceur, m'embrassait dans le cou ou dans le dos avec une infinie tendresse. Il me préparait en glissant un doigt, puis deux et me faisait monter le désir autant que le plaisir et quand j'étais prêt, seulement à ce moment il poussait.
Là je gémissais de plaisir, j'étais prêt à le recevoir. Il poussait alors son gland contre mon anus, il poussait fort mais ne forçait pas. C'était un délicieux mélange de douceur et de virilité.
Ma respiration accélérait et devenait plus forte. Il passait alors sa tête et m'embrassait sur les lèvres. Il sait être câlin mon Thomas. Rien n'a changé. Il me serrait alors contre lui et quand mon anus lâchait, il s'enfonçait tout doucement, lentement.
Si je criais là, c'était de plaisir. Si je sanglotais là, c'était de bonheur. La moindre caresse de Thomas me fait toujours cet effet.
Quand il me prend avec douceur il s'enfonce alors lentement jusqu'à ce que son ventre s'écrase sur mes fesses, c'est le bonheur. Sa queue glisse alors d'avant en arrière doucement puis plus vite et finalement très vite.
Dans ces cas là il ne fait pas claquer son ventre contre mes fesses mais il me lime le cul, il me masse l'anus avec sa queue et ma prostate aussi en plein la gueule. Enfin, c'est une façon de parler.
Rapidement je tremble, je ne peux plus contrôler mes mains, mes bras ou mes jambes. Il me lime alors le cul, me lime encore, et le plaisir monte en moi jusqu'au moment ou je ne contrôle plus rien.
En général c'est à ce moment qu'il se laisse aller et éjacule.
Il se retire ensuite, et là c'est moi qui éjacule, avec sa queue dans le cul, je ne parviens pas à éjaculer mais vous pouvez me croire ça ne change rien à ce que je ressent. Puis quand je me sens vidé,quand il s'est retiré, je me sens bien, tellement bien. Je jute, je ne ressens généralement aucun plaisir au niveau de ma queue, je jute c'est tout. Le plaisir je l'ai alors déjà ressenti.
C'est à peut près à cette période que j'ai commencé à sauter des cours. De temps en temps, juste de temps en temps.
A suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dans le premier épisode on aborde un peu ce sujet, ( pourquoi porte-il une cage de chasteté ? ).
Pour ce qui est de récits très courts, je trouve moi que quand on arrive à 15, 20 épisodes ou plus ça finit par faire des histoire un peu longue . Les ' Aventures de Djé ' qui commençait sous le titre ' groupe de vacances ' arrive à plus de 90 textes ...
Pour ce qui est de récits très courts, je trouve moi que quand on arrive à 15, 20 épisodes ou plus ça finit par faire des histoire un peu longue . Les ' Aventures de Djé ' qui commençait sous le titre ' groupe de vacances ' arrive à plus de 90 textes ...
Envoûtante chorégraphie d’une féminisation très bien décrite. Une très belle scène de sodomie. Toute la jouissance d’être le receveur y est. J’aurais aimé plus de détails sur la cage de chasteté et la raison pour laquelle ce jeune homme la porte.
Très sympa à lire,existant, dommage que ce ne soit que des récits très court.