Jeune adulte 17 Ça continue
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 17 Ça continue
Jeune adulte 17
Ça continue
Mais qu'est ce qu'ils me veulent ces deux là.
Non mais c'est vrai, jusque là j'avais toujours fait ce qu'ils me demandaient. J'avais même accepté de porter une cage de chasteté parce que c'était dans nos coutumes, pourtant je vous jure que c'est quelque chose ça. C'est vrai que maintenant j'avais découvert un autre plaisir, et finalement j'avais bien l'impression de ne pas perdre au change.
C'est à ce dispositif que je devais mon succès. C'est vrai que j'avais, j'avais eu peut être, je ne sais pas comment dire, mais au départ j'avais une belle bite, si je me souviens bien. Maintenant c'était mon cul que tout le monde convoitait. Et ça me plaisait de plus en plus.
Ce soir là je suis sorti tôt, j'avais décidé de me faire un petit restau, je choisissait un chinois. Je veux dire un restaurant chinois, sinon c'est pas comme ça que je l'aurais dit.
J'aurais dit … ' Je me faisais un chinois ! ' . Vous remarquerez la subtilité du langage. J'invitais Thomas, on était vendredi et ensuite on traînerait dans un bar puis un autre avant d'aller en boite.
J'avais débranché mon téléphone, je ne voulais pas être dérangé à chaque instant. Et de toutes façons, je ne pensais qu'à une chose … M'éclater !
J'ai appris plus tard que mes parents avaient attendu jusqu'à minuit !
On est arrivé dans la boite comme des vainqueurs, on chantait. Oh ce n'était pas l'alcool, on chantait parce qu'on était content c'est tout. La soirée est monté en température très vite, on s'était mis à poil, on se préparait déjà pour le spectacle.
La boite de nuit se remplissait rapidement, la musique prenait toute la place et la soirée était lancée. Tout le monde remuait son cul sur la piste, quelques uns remuaient et montraient leurs culs sur la scène et le spectacle commençait. Comme d'habitude, les sketchs érotiques se succédaient, les strip-teases aussi et par moments la scène était envahie par des clients parmi les fidèles qui venaient danser avec nous, l'équipe de la boite.
Comme d'habitude je terminais à poil, ne gardant sur moi que le petit truc que je ne pouvait pas retirer et mon harnais. Thomas était particulièrement déchaîné ce soir là. Il montait sur scène, se glissait entre les clients. C'était au moment ou la scène était ouverte à tous. Il était à poil, lui aussi ne portait qu'un harnais et il bandait, il s'approchait de moi, se plaçait juste devant moi.
Tout autour de nous des mecs dansaient, ils se glissaient contre nous, leurs corps contre le notre. Je pouvais voir des mains glisser sur le corps de mon doudou Thomas. J'en oubliais presque celles qui glissaient sur le mien, sur mes fesses, sur mes couilles.
Thomas s'approchait de moi jusqu'à me toucher, il me prenait dans ses bras et m'embrassait. On glissait l'un sur l'autre, nos corps glissaient l'un sur l'autre. Je sentais sa queue se redresser entre mes cuisses et me soulever les couilles, je le retenais fermement contre moi. Il me tenait dans ses bras avec force.
On dansait, le DJ passait la séance de slows, j'appréciais la douceur de sa peau et sa chaleur. Par moment j'avais même l'impression qu'il était le seul à me toucher, j'en oubliais les autres mains qui glissait partout sur mon corps. Je ne ressentais que la peau de Thomas, les caresses de Thomas, le corps de Thomas. Il était là juste devant moi et moi j'étais là dans ses yeux.
Il me faisait tourner entre ses bras. Je glissais mes bras dans mon dos et continuais à le caresser comme je pouvais. Il penchait son visage sur moi et m'embrassait dans le cou, je penchais ma tête en arrière. Il me retenait en glissant ses mains sur mes cuisses. Et les autres mains me caressaient sur le reste de mon corps, et me tripotaient les couilles.
Plusieurs doigts tentaient l'intrusion ultime et cherchaient à se glisser dans mon cul. Plusieurs y parvenaient, et c'était un nouveau plaisir plus intense et plus pénétrant qui me faisait vibrer. Je respirais fort et je râlais de plaisir.
C'était Thomas qui me lubrifiait le cul, là je le reconnaissais. Il mettait une grosse dose de gel et quand il jugeait que c'était suffisant, il prenait un peu de recul, juste ce qu'il fallait pour se positionner et revenait vers moi dans un mouvement lent, et c'est doucement que sa queue s'enfonçait dans mon anus.
De nombreuses autres mains, me caressaient les fesses, un doigt par ci, par là tentait lui aussi une intrusion et glissait dans mon cul. Je me cambrais, mais ce n'était pas uniquement à cause des ces doigts qui s'invitaient c'était du à la grosse queue de mon doudou. Il savait ce qui me faisait réagir le bougre.
Je me penchais en avant, il me retenait et me pénétrait plus facilement. Plus facilement pour moi bien sûr.
Il me tirait en arrière, mon corps se cambrait et je le sentais glisser en moi mais avec plus de force. Mon cul se resserrait dans cette position, et je le sentais plus, bien plus. Il aimais bien quand ça forçait un peu et ne se privais pas de me retenir dans cette position, cambré en arrière.
J'aimais bien quand ça glissait moins bien, quand je devenais plus étroit et je ne résistais pas à sa manière de me retenir, de me tirer vers lui, de me pénétrer. Bien au contraire, j'en redemandais.
Et toujours des mains partout sur mon corps, sur mes couilles. Certains aussi en profitaient pour m'embrasser, je rendais un baiser pour chaque baiser volé.
Par moment un groupe, une grappe s'accrochait à moi et à Thomas et nous étions comme porté, transporté. Pas moment je ne touchais plus le sol et je vous jure qu'à ce moment je la sentais bien la queue de Thomas, c'était douloureux, délicieusement douloureux. Je criais mais il n'y avait personne pour m'entendre et me venir en aide. Heureusement, je n'avais aucune envie de me faire secourir.
Avec force et régularité la queue de Thomas glissait dans mon cul. Il l'enfonçait bien à fond et poussait alors encore de toutes ses forces. Je râlais, je criais, je gueulais et Thomas ne me lâchait pas, ne faiblissait pas.
Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je sais seulement que je l'ai senti passer.
Thomas s'est retiré, je me suis retourné vers lui et je l'ai pris dans mes bras, je l'embrassais alors avec passion.
Je sentais un mec juste derrière moi qui prenait position, il avait baissé son pantalon et c'est une queue énorme qu'il plaçait juste face à mon cul. Je passais une main derrière et je surveillais ce qui se passait.
Il m'enfonçait sa queue dans le cul, comme ça, sans rien demander à personne. Thomas voulait réagir mais je le retenais. Il se contentait alors de me tenir dans ses bras. C'est un pro vous savez, il surveillait et gardait le sourire.
L'autre mec, je ne savais même pas qui c'était me burinait rapidement. Il s'enfonçait sans aucun ménagement, sans aucun respect pour moi, puis se retirait avec tout autant de force. Il revenait alors et ressortait, il ne cessait d'accélérer le mouvement.
Partout autour de nous, il y avait une foule qui dansait, plusieurs avaient baissé leurs pantalons et se masturbaient. D'autres encore se mettaient à genoux et suçaient toutes les queues qui arrivaient à leur porté.
Plus d'une fois c'était la fièvre dans cette boite mais ce soir là, c'était le top. On n'a jamais fait aussi chaud depuis.
Autour de nous, plus personne ne dansait, autour de nous c'était une partouze. Un enculait l'autre en se faisant enculer par un mec qui lui même ... On a vu une queue leu leu comme ça de près de cinquante personnes. Mais c'était totalement exagéré, je dirais, tout au plus cinq ou six, ce qui est déjà bien.
Mais il y en avait plusieurs.
Le gars qui me limait, qui me démontait proprement le cul continuait à me limer et je le sentais trembler, c'est tout ce que j'ai senti au moment ou il a joui en moi. Quelques derniers coup de bite particulièrement violents, puis plus rien, il ne bougeait plus, il marquait une pose avant de se retirer.
Thomas a réagi immédiatement, il m'entraînait dans les coulisses, là personne n'était autorisé à nous suivre.
Ensuite tout s'est calmé.
La tension est retombée.
Tout le monde semblait un peu sonné. Quand je dis tout le monde je parle des clients, pour ce qui est de l'équipe, Thomas et moi étions les seuls à avoir participé à ce moment de délire. Nous aussi nous nous calmions.
J'avais mal au cul mais j'étais content !
Vous devez l'avoir compris, il ne me faut pas grand chose à moi pour que je sois content. Dans un premier temps c'est en rigolant que Thomas comptait mes suçons, je comptait les siens. Plusieurs m'avaient mordu aussi, dans ce moment de fièvre je n'avais rien senti, mais il y avait tout de même des marques de dents.
On a modifié le programme, ma prestation et celle de Thomas a été annulé pour qu'on puisse s'en remettre. Mais après ça pendant le reste de la soirée l'ambiance était étrange, il y avait la moitié de la salle qui était survoltée et l'autre moitié était anormalement calme.
On s'est fait engueuler par le boss. C'est pas qu'il n'avait pas aimé mais, c'était déplacé, il nous a fait toute une histoire, nous disant que c'était un établissement honorable et respectable …
là d'accord, tout le monde rigolait. Mais c'est vrais que c'était un peu trop, et que trop c'est pas toujours bon pour le commerce. Le Bar n'a pas fait une recette record, c'était plutôt le contraire.
Mais c'est vrai, le boss avait raison quand il nous disait.
– Pendant que les clients s'enculent, ils ne picolent pas !
Enfin on était content, on avait bien rigolé. Thomas me proposait de le suivre pour le reste de la soiré, il avait une soirée et son client lui avait demandé s'il n'aurait pas un copain avec une cage à bite.
La demande était assez rare. Des clients qui en portaient, ça c'était pas si rare que ça mais des clients qui en demandaient c'était plus rare. Mais c'était déjà arrivé. En plus il avait négocié le tarif et c'était un tarif élevé.
Je l'embrassait et lui répondait oui.
Ce serait une première pour moi, et une avancée dans ma carrière. La soirée se terminait. Avec Thomas nous décidions de partir un peu plus tôt. Il y avait une ambiance terrible et à un moment je remarquais cette silhouette dans un coin, une silhouette qui ne bougeait pas, ne se faisait pas remarquer mais qui me semblait familière. Je ne pouvais pas voir les traits de son visage avec l'éclairage de la boite.
Moi j'étais sous la lumière, sous les projecteurs, j'étais presque nu et ne portais que ma cage de chasteté et je m’exhibais sur la scène, je dansais, je remuais mon cul et j'excitais la foule. On hurlait mon nom, j'étais une star, j'étais le roi de la soirée et c'était comme ça à chaque soirée que je pensais dans cette boite.
Je finissais par saluer, Thomas venait me rejoindre et saluait aussi. On prenait le micro pour souhaiter une bonne soirée à tout le monde puis, sous les cris de cette foule que nous avions chauffée pendant plusieurs heures on disparaissait dans les coulisses.
Elles sont bien équipées, il y avait une douche, rapidement on se douchait, on s'habillait et on se glissait comme on pouvait vers la sortie, peut être en se disant qu'il faudrait penser à installer une sortie de secours pour nous.
Les clients ne voulaient pas nous laisser partir et il fallait se frayer un passage, on devait promettre que nous serions de retour le week-end suivant.
Et c'est là que je l'ai revue, cette silhouette familiale mais là je l'ai reconnu, c'était mon confesseur, celui qui depuis mon enfance avait toute ma confiance.
Il me regardait partir, sans faire un geste, sans essayer de parler …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ça continue
Mais qu'est ce qu'ils me veulent ces deux là.
Non mais c'est vrai, jusque là j'avais toujours fait ce qu'ils me demandaient. J'avais même accepté de porter une cage de chasteté parce que c'était dans nos coutumes, pourtant je vous jure que c'est quelque chose ça. C'est vrai que maintenant j'avais découvert un autre plaisir, et finalement j'avais bien l'impression de ne pas perdre au change.
C'est à ce dispositif que je devais mon succès. C'est vrai que j'avais, j'avais eu peut être, je ne sais pas comment dire, mais au départ j'avais une belle bite, si je me souviens bien. Maintenant c'était mon cul que tout le monde convoitait. Et ça me plaisait de plus en plus.
Ce soir là je suis sorti tôt, j'avais décidé de me faire un petit restau, je choisissait un chinois. Je veux dire un restaurant chinois, sinon c'est pas comme ça que je l'aurais dit.
J'aurais dit … ' Je me faisais un chinois ! ' . Vous remarquerez la subtilité du langage. J'invitais Thomas, on était vendredi et ensuite on traînerait dans un bar puis un autre avant d'aller en boite.
J'avais débranché mon téléphone, je ne voulais pas être dérangé à chaque instant. Et de toutes façons, je ne pensais qu'à une chose … M'éclater !
J'ai appris plus tard que mes parents avaient attendu jusqu'à minuit !
On est arrivé dans la boite comme des vainqueurs, on chantait. Oh ce n'était pas l'alcool, on chantait parce qu'on était content c'est tout. La soirée est monté en température très vite, on s'était mis à poil, on se préparait déjà pour le spectacle.
La boite de nuit se remplissait rapidement, la musique prenait toute la place et la soirée était lancée. Tout le monde remuait son cul sur la piste, quelques uns remuaient et montraient leurs culs sur la scène et le spectacle commençait. Comme d'habitude, les sketchs érotiques se succédaient, les strip-teases aussi et par moments la scène était envahie par des clients parmi les fidèles qui venaient danser avec nous, l'équipe de la boite.
Comme d'habitude je terminais à poil, ne gardant sur moi que le petit truc que je ne pouvait pas retirer et mon harnais. Thomas était particulièrement déchaîné ce soir là. Il montait sur scène, se glissait entre les clients. C'était au moment ou la scène était ouverte à tous. Il était à poil, lui aussi ne portait qu'un harnais et il bandait, il s'approchait de moi, se plaçait juste devant moi.
Tout autour de nous des mecs dansaient, ils se glissaient contre nous, leurs corps contre le notre. Je pouvais voir des mains glisser sur le corps de mon doudou Thomas. J'en oubliais presque celles qui glissaient sur le mien, sur mes fesses, sur mes couilles.
Thomas s'approchait de moi jusqu'à me toucher, il me prenait dans ses bras et m'embrassait. On glissait l'un sur l'autre, nos corps glissaient l'un sur l'autre. Je sentais sa queue se redresser entre mes cuisses et me soulever les couilles, je le retenais fermement contre moi. Il me tenait dans ses bras avec force.
On dansait, le DJ passait la séance de slows, j'appréciais la douceur de sa peau et sa chaleur. Par moment j'avais même l'impression qu'il était le seul à me toucher, j'en oubliais les autres mains qui glissait partout sur mon corps. Je ne ressentais que la peau de Thomas, les caresses de Thomas, le corps de Thomas. Il était là juste devant moi et moi j'étais là dans ses yeux.
Il me faisait tourner entre ses bras. Je glissais mes bras dans mon dos et continuais à le caresser comme je pouvais. Il penchait son visage sur moi et m'embrassait dans le cou, je penchais ma tête en arrière. Il me retenait en glissant ses mains sur mes cuisses. Et les autres mains me caressaient sur le reste de mon corps, et me tripotaient les couilles.
Plusieurs doigts tentaient l'intrusion ultime et cherchaient à se glisser dans mon cul. Plusieurs y parvenaient, et c'était un nouveau plaisir plus intense et plus pénétrant qui me faisait vibrer. Je respirais fort et je râlais de plaisir.
C'était Thomas qui me lubrifiait le cul, là je le reconnaissais. Il mettait une grosse dose de gel et quand il jugeait que c'était suffisant, il prenait un peu de recul, juste ce qu'il fallait pour se positionner et revenait vers moi dans un mouvement lent, et c'est doucement que sa queue s'enfonçait dans mon anus.
De nombreuses autres mains, me caressaient les fesses, un doigt par ci, par là tentait lui aussi une intrusion et glissait dans mon cul. Je me cambrais, mais ce n'était pas uniquement à cause des ces doigts qui s'invitaient c'était du à la grosse queue de mon doudou. Il savait ce qui me faisait réagir le bougre.
Je me penchais en avant, il me retenait et me pénétrait plus facilement. Plus facilement pour moi bien sûr.
Il me tirait en arrière, mon corps se cambrait et je le sentais glisser en moi mais avec plus de force. Mon cul se resserrait dans cette position, et je le sentais plus, bien plus. Il aimais bien quand ça forçait un peu et ne se privais pas de me retenir dans cette position, cambré en arrière.
J'aimais bien quand ça glissait moins bien, quand je devenais plus étroit et je ne résistais pas à sa manière de me retenir, de me tirer vers lui, de me pénétrer. Bien au contraire, j'en redemandais.
Et toujours des mains partout sur mon corps, sur mes couilles. Certains aussi en profitaient pour m'embrasser, je rendais un baiser pour chaque baiser volé.
Par moment un groupe, une grappe s'accrochait à moi et à Thomas et nous étions comme porté, transporté. Pas moment je ne touchais plus le sol et je vous jure qu'à ce moment je la sentais bien la queue de Thomas, c'était douloureux, délicieusement douloureux. Je criais mais il n'y avait personne pour m'entendre et me venir en aide. Heureusement, je n'avais aucune envie de me faire secourir.
Avec force et régularité la queue de Thomas glissait dans mon cul. Il l'enfonçait bien à fond et poussait alors encore de toutes ses forces. Je râlais, je criais, je gueulais et Thomas ne me lâchait pas, ne faiblissait pas.
Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je sais seulement que je l'ai senti passer.
Thomas s'est retiré, je me suis retourné vers lui et je l'ai pris dans mes bras, je l'embrassais alors avec passion.
Je sentais un mec juste derrière moi qui prenait position, il avait baissé son pantalon et c'est une queue énorme qu'il plaçait juste face à mon cul. Je passais une main derrière et je surveillais ce qui se passait.
Il m'enfonçait sa queue dans le cul, comme ça, sans rien demander à personne. Thomas voulait réagir mais je le retenais. Il se contentait alors de me tenir dans ses bras. C'est un pro vous savez, il surveillait et gardait le sourire.
L'autre mec, je ne savais même pas qui c'était me burinait rapidement. Il s'enfonçait sans aucun ménagement, sans aucun respect pour moi, puis se retirait avec tout autant de force. Il revenait alors et ressortait, il ne cessait d'accélérer le mouvement.
Partout autour de nous, il y avait une foule qui dansait, plusieurs avaient baissé leurs pantalons et se masturbaient. D'autres encore se mettaient à genoux et suçaient toutes les queues qui arrivaient à leur porté.
Plus d'une fois c'était la fièvre dans cette boite mais ce soir là, c'était le top. On n'a jamais fait aussi chaud depuis.
Autour de nous, plus personne ne dansait, autour de nous c'était une partouze. Un enculait l'autre en se faisant enculer par un mec qui lui même ... On a vu une queue leu leu comme ça de près de cinquante personnes. Mais c'était totalement exagéré, je dirais, tout au plus cinq ou six, ce qui est déjà bien.
Mais il y en avait plusieurs.
Le gars qui me limait, qui me démontait proprement le cul continuait à me limer et je le sentais trembler, c'est tout ce que j'ai senti au moment ou il a joui en moi. Quelques derniers coup de bite particulièrement violents, puis plus rien, il ne bougeait plus, il marquait une pose avant de se retirer.
Thomas a réagi immédiatement, il m'entraînait dans les coulisses, là personne n'était autorisé à nous suivre.
Ensuite tout s'est calmé.
La tension est retombée.
Tout le monde semblait un peu sonné. Quand je dis tout le monde je parle des clients, pour ce qui est de l'équipe, Thomas et moi étions les seuls à avoir participé à ce moment de délire. Nous aussi nous nous calmions.
J'avais mal au cul mais j'étais content !
Vous devez l'avoir compris, il ne me faut pas grand chose à moi pour que je sois content. Dans un premier temps c'est en rigolant que Thomas comptait mes suçons, je comptait les siens. Plusieurs m'avaient mordu aussi, dans ce moment de fièvre je n'avais rien senti, mais il y avait tout de même des marques de dents.
On a modifié le programme, ma prestation et celle de Thomas a été annulé pour qu'on puisse s'en remettre. Mais après ça pendant le reste de la soirée l'ambiance était étrange, il y avait la moitié de la salle qui était survoltée et l'autre moitié était anormalement calme.
On s'est fait engueuler par le boss. C'est pas qu'il n'avait pas aimé mais, c'était déplacé, il nous a fait toute une histoire, nous disant que c'était un établissement honorable et respectable …
là d'accord, tout le monde rigolait. Mais c'est vrais que c'était un peu trop, et que trop c'est pas toujours bon pour le commerce. Le Bar n'a pas fait une recette record, c'était plutôt le contraire.
Mais c'est vrai, le boss avait raison quand il nous disait.
– Pendant que les clients s'enculent, ils ne picolent pas !
Enfin on était content, on avait bien rigolé. Thomas me proposait de le suivre pour le reste de la soiré, il avait une soirée et son client lui avait demandé s'il n'aurait pas un copain avec une cage à bite.
La demande était assez rare. Des clients qui en portaient, ça c'était pas si rare que ça mais des clients qui en demandaient c'était plus rare. Mais c'était déjà arrivé. En plus il avait négocié le tarif et c'était un tarif élevé.
Je l'embrassait et lui répondait oui.
Ce serait une première pour moi, et une avancée dans ma carrière. La soirée se terminait. Avec Thomas nous décidions de partir un peu plus tôt. Il y avait une ambiance terrible et à un moment je remarquais cette silhouette dans un coin, une silhouette qui ne bougeait pas, ne se faisait pas remarquer mais qui me semblait familière. Je ne pouvais pas voir les traits de son visage avec l'éclairage de la boite.
Moi j'étais sous la lumière, sous les projecteurs, j'étais presque nu et ne portais que ma cage de chasteté et je m’exhibais sur la scène, je dansais, je remuais mon cul et j'excitais la foule. On hurlait mon nom, j'étais une star, j'étais le roi de la soirée et c'était comme ça à chaque soirée que je pensais dans cette boite.
Je finissais par saluer, Thomas venait me rejoindre et saluait aussi. On prenait le micro pour souhaiter une bonne soirée à tout le monde puis, sous les cris de cette foule que nous avions chauffée pendant plusieurs heures on disparaissait dans les coulisses.
Elles sont bien équipées, il y avait une douche, rapidement on se douchait, on s'habillait et on se glissait comme on pouvait vers la sortie, peut être en se disant qu'il faudrait penser à installer une sortie de secours pour nous.
Les clients ne voulaient pas nous laisser partir et il fallait se frayer un passage, on devait promettre que nous serions de retour le week-end suivant.
Et c'est là que je l'ai revue, cette silhouette familiale mais là je l'ai reconnu, c'était mon confesseur, celui qui depuis mon enfance avait toute ma confiance.
Il me regardait partir, sans faire un geste, sans essayer de parler …
A suivre
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