Jeune adulte 18 Soirée privée

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Jeune adulte 18 Soirée privée Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 18 Soirée privée
Jeune adulte 18
Soirée privée


J'étais un peu sonné par cette vision. Pourquoi était-il ici. Lui aussi il fréquentait ces soirées. Je demandais à Thomas s'il connaissait cette personne, mais Thomas ne l'avait pas vu, Thomas n'avait rien remarqué. Je lui décrivais comme je pouvais. A aucun moment je n'ai pensé que c'était pour moi qu'il était là. Comment aurait-il pu savoir ou j'étais ?

– Mais c'est qui ce type dont tu me parles ?
– Rien, rien de bien grave. Ne fais pas attention, oublie ce que je viens de dire.

Une heure plus tard, nous arrivions chez notre client.

C'était une sorte de château, une grande demeure bourgeoise du XIX em siècle. Il y a avait un grand parc autour de la maison et le château était au bout d'une allée, il fallait passer une grosse grille en fer forgé.

C'est un homme très bien habillé qui venait nous recevoir, il allait serrer la main à Thomas, discutait quelques instants avec lui puis quand il se retournait vers moi me tâtait les couilles.

– Oui en effet, mes invités devraient être contents, surtout qu'il a l'air sexy.

La situation était claire, nous n'étions qu'un tas de viande fraîche pour nos hôtes. C'étaient des couche tard, ils avaient déjà une longue soirée qui précédait.

On nous conduisait dans une petite salle pour que nous nous mettions en tenue, c'est à dire à poil pour ceux qui n'auraient pas compris,

– Dans un premier temps, mes amis et moi souhaitons voir une spectacle érotique et porno avec pénétration comme tu sais si bien faire mon petit Thomas. Après on verra …

Quelques instants plus tard nous entrions dans le salon, je suivais Thomas il m'avait dit de me détendre et j'étais détendu. Il saluait l'assemblée en s'inclinant, en se pliant presque à 90 degrés, puis il s'écartait pour me présenter, j'en faisais de même. Là on m'applaudissait.

– Très bien ton camarade, très bien ! Et il porte ce dispositif en permanence ? Demandait l'homme qui nous avait reçu.
– Oui en permanence ! Répondais-je.

Sans plus attendre Thomas se glissait dans mon dos et me caressait le torse, Il m'embrassait sur les épaules, d'un coup je me sentais calme et détendu, là, j'étais vraiment détendu. Je glissait mes mains non pas dans mon dos mais dans le dos de Thomas qui était juste derrière moi. Je le caressais avec les mains.

En face de nous il y avait quatre homes, dont celui qui nous avait invité. Deux d'entre eux déjà se caressaient l'entre jambe.

Thomas glissait sa queue entre mes jambes, elle se redressait fièrement et comme elle était de belle taille elle apparaissait devant moi, me soulevait les couilles et nos spectateurs ne cachaient pas leur satisfaction.

Je me laissait aller, j'appuyais ma tête sur l'épaule de Thomas en me redressant en arrière, il me tirait contre lui. La fatigue montait aussi je ne résistais pas, en plus je n'en avait pas envie. Je savais comment tout cela allait se terminer, j'en avais déjà pris plein le cul dans la soirée et je me sentais prêt à m'en prendre encore et encore.

La nuit avançait et toutes les nuits, ça me le fait toutes les nuit mais passée une certaine heure ma queue se réveillait avec force quelquefois, elle ne se calmait que le matin, bien après mon réveil.

Ma cage se relevait, je ne pouvais rien y raire, et je m'y sentais à l'étroit. Je sentais ma queue comme étranglée par les barreaux de ma cage. Les caresses de Thomas ne me calmaient pas.

Un de nos hôtes se levait et venait vers nous, il m’attrapait le sexe, couille et la cage avec force et il s'amusait à me tripoter les couilles. Il ne faisait pas semblant, il me tripotait et me faisait un peu mal, surtout que je bandais.

– Il bande ! Déclarait-il aux autres en reprenant sa place.

Thomas me faisait tourner sur moi-même, nous nous retrouvions face à nos spectateur mais de profil. Avec douceur, je ne résistais pas et l'usage de la force était inutile, Thomas appuyait sur ma nuque en me tirant vers lui avec l'autre main sur mon ventre. Je me repliais en deux et m'appuyais sur une table basse.

Tout était prévu et Thomas m'avait déjà lubrifié le cul, après une telle soirée, j'étais bien ouvert et j'étais aussi en confiance avec Thomas. Dans ses bras je me sentais en sécurité.

Il reculait, je le sentais prendre position son gland juste contre mon anus. Je respirais bien à fond, il me déposait un baiser très doux sur le haut de mon dos puis sans prévenir il s'enfonçait en moi dans un mouvement rapide et ferme. Je relevais la tête en poussant un long gémissement. No spectateurs applaudissaient et criaient de plaisir.

Un d'entre eux ouvrait son pantalon et sortait sa queue. Il bandait et quelques instants plus tard il se branlait. Quelques minutes plus tard ils se branlaient tous les quatre.

Thomas me limait le cul, lentement, longuement, il avait des mouvements amples. Il se retirait presque totalement et revenait bien à fond, lentement, il ne me bousculait pas et le plaisir montait. J'avais déjà joui plus tôt, au boulot, et là je sentais le plaisir monter de nouveau, encore un peu plus haut, encore un peu plus intense. Déjà je tremblait.

Un de nos hôte se levait et se dirigeait vers moi, il se mettait devant moi et me glissait sa queue dans la bouche. Il me prenait la tête et me retenait pendant qu'il m'enfonçais sa queue plus profond, bien à fond dans ma gorge.

Les trois autres de nos hôtes retiraient tous leurs vêtements, ils venaient vers nous. L'un attrapait Thomas et à deux l’entraînaient un peu plus loin. Je jetais un œil quelques instant plus tard, Thomas était allongé sur le dos les jambes en l'air. Un des deux hommes lui défonçait joyeusement le cul et l'autre s'amusait avec sa bouche.

C'était la première fois que je voyais mon doudou de faire enculer avec quelqu'un d'autre que nos potes de la boite.

Personne ne me prévenait mais le dernier de nos hôtes, je l'avais presque oublié celui-là, arrivait dans mon dos et m'enculait sans autre formalité. Il m'attrapait avec force et glissait une main sur mes couilles. Il me tripotait vigoureusement et par moment me faisait un peu mal. Ça fait parti du plaisir, enfin de leur plaisir.

Il me limait avec force, avec une certaine violence même. J'encaissais sans difficultés, j'encaissais même avec un certain plaisir. Puis brusquement, sans prévenir les deux hommes qui étaient sur moi décidaient de me retourner. Je me retrouvais alors sur le dos, un d'entre eux me soulevait et m'écartait bien les jambes et m'enculait avec toujours autant de violence.

J'avais l'impression que j'allais exploser de plaisir. J'étais tellement bien dilater qu'il entrait tout seul, bien lubrifié aussi, ça ne résistait pas. Le second écartait bien les jambes, juste au dessus de mon visage et m'enfonçait sa queue dans la gorge.

Ma queue ne manifestait plus, mais plus du tout. Je la sentais bien, sur tout que ces deux mabouls s'amusaient avec mes couilles sans ménagements. Mais ma queue ne manifestait pas, elle restait molle, grosse, ça oui mais molle. C'était une grosse qui prenait toute la place dans la cage et je suis sûr que ça aurait été très agréable si les deux clients avaient arrêté de m'écraser les couilles.

Je ne pouvais plus bouger ils m'immobilisaient tout les deux, je ne pouvais même pas tourner la tête et je n'entendais rien. J'avais les cuisse de l'un sur les oreilles. Ils me retenaient tous les deux par les chevilles.

Ils changeaient de position. Ils avaient tous les deux une grosse bite et finalement ça ne changeait pas grand chose. Pendant de très longues minutes ils me limaient avec force, avec vigueur. Ils changeaient de rythme, de position de nouveau et avant que j'ai eu le temps de réagir, c'étaient les deux autres hommes qui étaient sur moi.

Un d'entre eux avait une queue particulièrement grosse. Je n'arrivais pas à la prendre dans la bouche comme je le voulais mais dans mon cul, ça passait.

Celle là, je l'ai sentie passer, je vous jure, et si j'avais eu la bouche vide, j'aurais hurlé. Celui là il ne me faisait pas mal aux couilles mais au cul. J'étais sonné, c'était de la folie, j'ai tenu le coup, je n'ai pas faibli. Ils étaient surpris quand je refermais mes jambes et que je tentais de le retenir de toutes mes forces. Ils ont décidé de faire une pause.

Chacun d'entre eux avait joui plusieurs fois, ils étaient bien allumés et arrivé à ce moment de la soirée, enfin de la nuit, ils bandaient mou. Thomas n'avait pas ce problème, mais dans son cas, c'est pas humain. Il bandait sur commande, moi je n'avais pas cette aptitude.

Je bandais mou également, j'avais une grosse queue qui se faisait bien remarquer tant elle remplissait la cage mais elle n'exerçait aucune pression. C'était même confortable. Je sentais bien les barreau de la cage, je me sentais bien confiné mais c'était sans aucune pression, sans aucune douleur, sans aucune gêne. C'était même agréable.

Trois de nos hôtes s'étaient endormi, enfin un avait disparu, deux étaient sur le fauteuil et le dernier était en train de négocier avec Thomas. Thomas m'a confirmé que j'avais fait bonne impression, ça leur avait plus un petit gars tout mignon qui encaisse et qui garde tout le temps sa queue renfermée.

On n'avait pas donné d'explications, on ne leur avait pas dit que je n'avais pas la clé, que j'appartenais à un mouvement religieux chaste. Que si je ne récupérais pas la clé, je resterais comme ça pendant probablement très longtemps. On ne leur avait pas expliqué qu'on ne peut pas quitter le groupe religieux auquel j'appartenais.

On avait traîné encore un moment un des hommes voulait que je le suce. Je ne me faisais pas prié, vu le montant qu'ils nous offraient pour s'amuser avec nous. Thomas nous regardait, ensuite on terminait la soirée, j'avais de plus en plus de mal à rester éveillé et je laissais nos hôtes s'amuser avec mes couilles et ma cage. Mes couilles se resserraient sous ma cage et formaient une grosse boule, une double grosse couille.

Quand on est reparti le jour se levait, j'étais épuisé. Thomas conduisait, il décidait de rentrer terminer la nuit à la boite de nuit. C'était le plus près, et c'était sur la route vers l'appartement.

Nos clients de la nuit nous avaient pressé jusqu'à la moelle,je me sentais vidé, épuisé et vidé. Je m'écroulais et m'endormais, pourtant le jour se levais. Encore un ou je n'irais pas à la fac, encore un ou je me ferais remarqué, encore un jour ou, cette information serait rapportée à ma famille.

C'est là que j'ai réagi. J'avais complètement oublié mon confesseur, enfin si c'était bien lui. Là j'avais un doute, était-ce bien lui que j'avais vu la veille au soir, était-ce bien lui ? À ce moment j'avais un doute, et je m'endormais à moitié rassuré.

J'avais rêvé, ce n'était pas mon confesseur que j'avais vu la veille.

L'après midi était déjà commencé quand je me réveillais, l'équipe était encore au petit déjeuner, avec Thomas nous les rejoignions. On était reposé, comme je vous le disais, on ne buvait pas. Pas d'alcool je veux dire aussi nous n'avions pas la gueule de bois, on s'était couché très tard c'est tout. Le bar man de la boite venait me donner mon téléphone, je l'avais oublié la veille. Distraitement je vérifiais mon courrier.

Il y avait plus de cinquante mails qui avaient tous été envoyé dans la nuit.

Finalement je devais me rendre à l'évidence, c'était bien mon confesseur que j'avais vu la veille avant de quitter la boite.


A suivre



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