Jeune adulte 19 Comme au cinéma

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Jeune adulte 19 Comme au cinéma Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 19 Comme au cinéma
Jeune adulte 19
Comme au cinéma


C'était une panique qui m'envahissait, une angoisse qui me prenait à la gorge et qui montait. Plusieurs dizaines de mails en une nuit, tous provenaient de ma famille. Seul mon petit frère ne m'avait pas laissé de message.

J'en parlais à Thomas, il me regardait d'un air inquiet et me demandait si nous ne ferions pas mieux de rentrer à l'appartement … On se rhabillait et rapidement on fonçait à la maison.

Dès la porte d'entrée franchie, je paniquais encore un peu plus, l'appartement avait été vidé ! On courait dans toutes les chambres. Il ne restait que mes affaires personnelles dans ma chambre, dans celle de Thomas il restait ses affaires personnelles. Le reste, tout le reste avait disparu, même les lits. Au milieu du salon, sur le sol, il y avait une lettre, je l'ouvrais.

''
Nathan , ton comportement est inacceptable. Tu nous a déçus, vraiment déçus. J'espère que tu comprendras la gravité de tes actes et que tu reviendras vers la lumière, ce jour là, ta famille sera là pour te recevoir et t'aider …
En attendant, je pense que tu comprendras notre décision. Tu devras d'abord te séparer de ton ami Thomas, il a une très mauvaise influence sur toit. L'appartement devras aussi être libéré avant Lundi.

Frère Paixpère Adolf, ton ami, confident et confesseur ...
''

Nous étions samedi matin. J'étais assis sur le sol, au milieu du salon désormais totalement vide, je tendais à Thomas la lettre de mon confesseur. Il la lisait …

Bon on est viré ! C'est embêtant tout ça mais c'est pas si grave ! Ramasse tes affaire on va aller s'installer chez notre boss, le patron de la boite …

J'étais dégoûte. Si Thomas avait l'habitude de déménager à chaque instant, et bien ce n'était pas mon cas. C'était la première fois que je me retrouvais à la rue et j'étais pas fier.

Il ne nous a pas fallu bien longtemps pour tout ramasser, on à jeté toutes nos affaire dans la voiture à Thomas, on a bienfait le tour de l'appartement pour s'assurer qu'on n'avait rien oublié, c'était rapide, l'appartement, comme je vous le disais était totalement vide.

Je revivais dans ma tête, tous ces mois d'insouciance, tous ces moments de bonheur ou je découvrais avec mon frère une nouvelle liberté. Au fait qu'était-il devenu mon petit frère. Je n'avais aucune nouvelle de lui. Je me doutais bien que c'était lui qui avait tout raconter mais c'était parce qu'ils l'avaient fait craquer. Il n'avait pas eu le choix !

Mais j'aurais bien aimé le voir, pour qu'il me raconte, pour savoir comment il allait …

On sortait, on verrouillait la porte et je glissais la clé dans la boite à lettres. Plus tard nous arrivions chez le patron de la boite. Toute les membres de l'équipe étaient un peu fou-fou, et même on peut dire un peu fo-folle et ne cachait pas le plaisir de nous revoir aussi tôt.

On leur racontait la situation, le patron nous invitait à rester aussi longtemps qu'on le voudrait. C'est vrai qu'il aimait bien Thomas mais moi,c'était encore pire, j'étais son chou-chou.

Avant d'aller plus loin on a décidé de faire une sorte de pause. Ne rien faire, et on n'a rien fait pendant plusieurs jours, on est resté presque sans bouger. On se déplaçait jusqu'à la piscine, pour ça il fallait tout de même traverser la maison.

J'étais dégoutté, un peu perdu aussi.

Le Week-end arrivait on se retrouvait à la boîte de nuit, on oubliait tous nos problèmes. On se donnait, je me laissait aller j'étais déchaîné. Personne ne me reconnaissais, même moi je ne savais plus qui j'étais.

Rapidement je me retrouvais à poil au milieu de la piste.

C'était une situation habituelle finalement. On a rapidement oublié nos déboires et on a repris une vie d'insouciance et de légèreté. On s'est alors lâché, on a baisé comme des fous, on dansait tous les week-ends, c'est entièrement nu que je dansais désormais en boîte de nuit.

Pendant cette période je n'avais aucune nouvelle de ma famille.

C'est aussi pendant cette période que j'étais contacté par une producteur de cinéma. Il faisait des films dans le genre érotisme soft et voulait sans doute se lancer dans le porno hard …

Le cachet était attirant. Au niveau scénario c'était recherché. Un groupe de jeunes hommes arrivaient dans une grande maison luxueuse et très bien meublée, ils s'installent et le film se compose de plusieurs scènes.

Mon doudou ( oui il jouait aussi dans le film ) découvre une grande chambre avec un lit gigantesque, il se jette dessus, suivi par Titian. Un très bel étalon blond que je ne connaissais pas. Il avait une musculature de dieux grecs mais n'en avait pas le bite, vous savez les statues grecques ont toute des petites bite et ce n'était pas son cas.

Je n'intervenais pas encore dans le film mais je restais derrière la caméra, je me rendais utile en tenant un micro ou un projecteur. Par moment, avec Thomas, nous échangions un regard, voir mon amant s'envoyer en l'air devant la caméra. Avec moi il avait toujours le rôle actif, pas trop le choix, il m'était impossible de retirer ma cage à bite.

Par moment la situation changeait.

Titian et Thomas se prenaient dans les bras, se caressaient et s'embrassaient. Ils roulaient l'un sur l'autre, et à chaque fois que l'un se retrouvait au dessus, il retirait un vêtement à l'autre, lui faisait un câlin avant de recommencer.

Au bout de quelques tours, mon doudou se retrouvait avec juste un pantalon léger sur lui, il n'avait pas de sous vêtement, il bandait et vu comment il était monté, je vous jure que ça se voyait. Il retirait le pantalon à Titian et lui faisait un câlin.

Il se penchait sur la queue de son camarade de travail, et la prenait dans sa bouche.

Je me serais damné pour être à la place de Titian. Ma queue protestait comme jamais dans sa cage, elle se réveillait avec force et ma cage devenait brusquement très inconfortable. Je restais stoïque. Je ne montrais rien de mon inconfort. Thomas ne m'avais jamais fait ça, je savais qu'il suçait très bien, il suffisait pour s'en convaincre de regarder le plaisir que Titian exprimait sur son visage.

La queue de Titian disparaissait complètement dans la bouche de Thomas, pourtant elle était de belle taille. Thomas faisait ça très bien, c'est lui qui m'avait appris à sucer et j'aurais volontiers pris sa place. Titian avait une très belle grosse queue, bien droite et bien large avec de très belle proportion. Je m'imaginais la ressentir dans mon cul, je l'imaginais glisser dans mes entrailles. Ça devait être bon, je me disais que ça devais être vraiment bon.

Ma queue me torturait.

Titian retournait mon Thomas, le retournait et c'est lui qui était en position de soumis. Titian le débarrassait de ce pantalon en toile légère qui ne cachait même plus son érection et à son tour, lui suçait sa queue.

C'était la queue de mon doudou Thomas qui disparaissait dans la gorge de de Titian. Il savait faire lui aussi, et je regardais le visage de Thomas, d'habitude, enfin le plus souvent, c'est moi qui le suçait et je ne pouvais donc pas voir les expressions de son visage. Là je pouvais admirer la beauté de son visage quand il jouissait. Il gémissait de plaisir et c'était des grimaces qui apparaissaient sur sa figure.

Des grimaces peut être mais je ne l'avais jamais vu aussi beau, aussi viril.

De nouveau les deux acteurs semblaient se livrer à un combat et c'est Thomas qui le perdait. Il se retrouvait sur le dos avec Titian au dessus de lui et sa queue dans la bouche.

Pendant un moment ils ne bougeaient plus, seul Thomas continuait à sucer son camarade, le mouvement était filma de très près et on pouvait voir sa queue de Titian disparaître dans la bouche de Thomas, on pouvait aussi lire la concentration sur son visage.

Ma queue me torturait encore, et par moment c'était particulièrement intense. C'était le cas à ce moment. Je savais que ni Thomas ni personne ne me donnerait jamais ce plaisir, je savais que ma famille n'accepterait jamais de me donner la clé. Et je savais que je ne pourrais jamais utiliser ma queue comme le faisaient tous mes camarade.

Par moment c'est la frustration qui prenait le dessus, par moment seulement.

Un nouveau petit moment de bagarre stimulée, et Thomas se retrouvait allongé sur le ventre. Titian s'allongeait alors sur lui et se frottait contre son corps. Thomas ne faisait rien il laissait faire, Titian lui lubrifiait généreusement le cul puis prenait position. Là c'est à la place de Thomas que j'aurais aimé être.

Titian prenait place, il positionnait sa queue bien en face des fesses de mon doudou Thomas et brusquement, sans prévenir, enfin au moment ou le réalisateur le demandait, il s'enfonçait rapidement, avec une certaine violence, en entier dans le cul de Thomas.

Là j'ai sursauté, je l'avais souvent vécu avec Thomas ça mais je ne l'avais jamais vu sous cet angle. Surtout que comme je vous dis, c'était mon doudou Thomas qui se faisait enculer. Avec lui, entre nous ce n'était jamais le cas. Et là j'avais à la fois envie d'être à la place de l'un et de celle de l'autre.

Ma queue continuait à me torturer. La cage n'était pas à la bonne taille, par moment c'était évident, elle était trop petite. Ou alors c'était ma queue qui devenait trop grosse.

Je me tortillait pour essayer de trouver un peu de confort. Tout le monde le remarquait et ça les amusait. Tout le monde connaissait ma situation.

Titian limait le cul de Thomas avec force et vigueur. Il se retirait et revenait. Il se retirait lentement puis plus vite puis avec violence. Mais la violence c'était surtout quand il revenait, sa queue s'enfonçait et son ventre venait frapper les fesses de Thomas et résonnait fort au travers de la salle.

C'est vrai qu'on travaillait, même si … On travaillait et le réalisateur demandait le silence. Seuls les cris et les gémissements des acteurs se faisaient entendre. Il devenaient plus rapides, par moment se calmaient et devenaient plus amples, plus lents et plus amples.

Thomas prenait du plaisir, ça ne faisait aucun doute, il prenait du plaisir. Je connaissais ce plaisir, il me l'avait si souvent donné. Il me l'avait fait découvrir. Mais je ne l'avais pas souvent vu dans cette position, surtout d'aussi prêt.

Thomas écartait ses jambes. La caméra se déplaçait et filmait de très prêt. C'était excitant, pas autant que de participer mais c'était excitant. On avait envie de rejoindre ce duo.

Mais ce n'était pas dans le scénario !

Tout se terminait par des cris, des gémissements. Titian se retirait et éjaculait sur le dos de Thomas.

Puis Titian se laissait tomber sur le dos de Thomas. Les deux hommes respiraient alors très fort, ça ce n'était pas simulé. Moi aussi je respirais très fort, ma queue me torturait, j'avais envie, je devrais mieux dire besoin de me faire enculer …

Puisque je ne pouvais rien espérer de plus …


A suivre


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