Jeune adulte 21 C'est une carrière

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Jeune adulte 21 C'est une carrière Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jeune adulte 21 C'est une carrière
Jeune adulte 21
C'est une carrière


Dans les mois qui suivaient je n'avais aucun contacte avec ma famille, aucunes nouvelles. Ce qui me manquait le plus c'est que je ne savais pas ce que devenait mon frère.

Son téléphone avait été désactivé, le mien aussi d'ailleurs. J'en avait un autre mais personne sauf mes nouveau amis n'en avaient le numéro. Je ne parvenais à contacter personne des gens que je connaissais avant, aucun de mes amis, ou devrais-je dire aucun de mes anciens amis.

Il y avait de fait une rupture totale avec ma vie d'avant et celle de maintenant. Mais je ne regrettais rien, ma vie est à moi, et cette rupture c'est leur choix. Moi le seul choix que j'ai fait c'est la liberté.

Ma liberté n'était pas totale, ça c'est évident. J'avais toujours et certainement pour toujours ma queue dans une cage mais finalement je m'y étais habitué et je dirais même j'en tirais un véritable plaisir.

De plus, dans ma nouvelle profession, c'était rare et grâce à cela mes contrats étaient plus juteux. Souvent j'étais mieux payé que mon doudou Thomas.

On travaillait beaucoup. Près d'un film par mois, ce qui faisait de très beaux revenus, et un spectacle plusieurs fois par semaine. Vous connaissez les tarif syndicaux, je vous laisse donc faire le calcul …

Ah oui ! Tout de même. Me direz-vous !

Et Thomas en gagnait tout autant. Nous avions de quoi vivre, de quoi bien vivre. Et en effet, on ne se privait de rien. J'avais acheté une voiture, c'était plus simple avec deux véhicules.

On s'était trouvé un appartement dans une résidence, dans le quartier nord de la ville. Un coin très cool, il y avait tout plein d'endroit pour sortir et pour faire la fête. Je ne risquais donc pas d'y croiser un membre de ma famille.

Les mois passaient, la vie était douce, agréable. On avait de gros moyens et on ne se privait de rien, des sorties régulières, restaurants, spectacles, boite de nuit … pardon, là c'était pour le boulot, ça ne compte pas !

Au niveau sexuel, je me faisais défoncer le cul deux fois par jour. Ouai deux fois, facile. On a pris des vacances, et là il n'y en avait qu'un qui avait le droit de m'enculer. Vous devez commencer à le connaître, il ne s'en privait pas !

C'était un immense plaisir. J'aimais de plus en plus sentir sa peau contre la mienne. Ses caresses, ses baisers me faisaient trembler, rien que de le sentir approcher. Je ne me lassais pas de ses lèvres, de ses mains, de sa queue. Je me sentais terriblement bien auprès de lui avec ma queue en cage. J'aimais sa virilité.

On avait loué une chambre spacieuse avec une baie vitrée qui ouvrait directement sur la plage. Au réveille le spectacle était magnifique, d'accord, c'était toujours le même mais c'était beau.

Doucement le ciel passait du noir au bleu. Doucement la lumière venait puis brusquement un bruit incroyable, tous les oiseaux se réveillaient en même temps. Puis l'air à peine frai devenait chaud. Et la main de Thomas glissait sur mon corps. Il me caressait, semblait s'assurer que tout allait bien en me caressant les couilles et refermait ses bras autour de moi.

Il était passionné, il était passionnant, il bandait. Tous les matins il avait cette grosse érection. Les jours ou on travaillait il fallait garder ses forces mais les jours de repos, on n'était pas obligé de nous retenir. On savait se laisser aller.

Je me laissais aller dans ses bras, quand la lumière pénétrait dans la chambre je me retournais vers lui, il était dans mes bras, j'étais dans les siens. Je le couvrais de baisers et nous ne faisions rien sinon profiter de la douceur le la peau de l'autre.

Puis on se réveillait et on devenait un peu plus actif.

Je prenais sa queue dans ma bouche, le but était de lui faire plaisir, juste lui faire plaisir. Il me caressait la joue avec douceur et je me laissait faire. Il avait une grosse bite mais enfin vous savez de quoi je parles, vous avez du le remarquer dans ses films. J'y suis aussi quelquefois. Je suis facile à reconnaître, c'est moi le gros nigaud qui a une cage à bite … Enfin, cous le savez.

J'aime tout particulièrement, quand je me réveille auprès de lui et qu'il est allongé sur le dos, j'aime prendre mon temps. Le caresser, l'embrasser puis je m'allonge sur lui, glisser contre lui, sa peau contre ma peau, une douceur infinie
puis m'asseoir sur sur lui, sur sa queue. J'aime tout particulièrement la sentir glisser en moi, c'est quelquefois un peu douloureux mais c'est aussi tellement bon. Je me laisse retomber sur sa queue, il me pénètre bien profondément en me dilatant bien en largeur. Mais on est des pros !

Puis un moment plus tard c'est lui qui prend le contrôle de la situation. Là j'aime tout particulièrement quand il se relève et me tire vers lui, il replie les jambes et moi je me retrouve empalé de tout mon poids sur toute sa longueur.

Suivent des caresses, des câlins, des baisers. Rien ne nous presse, il n'y a pas de réalisateur qui donne des ordres, il n'y a que son corps, le mien et la tendresse qui nous unit.

Il se relève, me retourne et alors qu'il vient de m'allonger sur le dos il me lime le cul avec force.

J'aime ces matins, on s'en garde un de temps en temps, juste pour le plaisir de se retrouver entre nous. Le plaisir de le sentir jouir en moi. Le plaisir de ces moments de partage qui n'ont rien de concret, qui n'ont rien de lucratif. Il ne faut pas oublier que nous sommes des pros, pour nous l'acte sexuel, c'est du boulot et c'est de ça que nous vivons.

Il me lime longuement, je gémis, il râle. Je me tiens à lui, il s'accroche à moi. Et chaque coup qu'il me donne est un plaisir, chaque coup est plus agréable que le précédent. Le plaisir m'envahit, tout mon corps vibre sous ses assauts. Il me sent venir, il sent que je vais jouir.

Quelquefois c'est moi qui joui le premier et quelquefois même j'éjacule alors qu'il me lime avec force. Mes cris se font entendre, ses gémissements de plaisir aussi.

C'est finalement dans un orgasme commun que nous arrivons au sommet du plaisir. Ce n'est pas le même plaisir mais c'est un plaisir partagé. Le miens est peut être plus long, plus lent à monter, il ne monte pas jusqu'à l'orgasme à chaque fois et le siens, son orgasme je veux dire met fin à un moment de délire et de partage.

Il est rare que j'arrive à ce niveau de plaisir pendant le travail, là en général je fais semblant mais quand je suis seul avec mon doudou, je n'ai pas de simuler. Il le saurait !

Ensuite nous retombons lourdement l'un sur l'autre, essoufflés nous récupérons peau contre peau, douceur contre douceur, et plaisir avec plaisir. Là sans rien attendre, nous attendions de pouvoir nous relever. Nous n'avions pas à bosser, on prenait notre douche et c'est tout propre, tout sec qu'on se rhabillait on traînait encore un moment, sans raison, juste là à ne rien faire. Le lendemain nous aurions du boulot, et ce que nous venions de faire c'est contre de l'argent, devant une caméra que nous le ferions. C'est cool ça non ? Payer pour baiser, quand on aime baiser c'est un bon boulot !

Ces moments que nous nous réservions n'étaient que des interludes. Ensuite nous rentrions à la maison et le boulot recommençait.

Le vide était toujours le même, dans ma vie il n'y avait toujours rien de la vie que j'avais mené avant, comme une autre vie. Ma famille semblait m'avoir oublié, ou même pire m'avoir renié.

Le temps à passé, un tournage puis un autre, un spectacle puis encore un puis un autre encore et je ne sais combien d'autres suivaient et un jour je décidais de revoir mes proches.

Je m'habillais avec classe, chemise en soie naturelle. Quand on a les moyens pourquoi s'en priver ? Pantalon de marque qui me moulait bien et me faisait un entrecuisse à fantasmer, un cul de rêve qui donnait des idées à mon doudou. Lunette de soleil un peu frime, de marque bien sûr, chaussure de marque, enfin habillé classe, comme je disais.

Et je décidais de me rendre au temple. Vous savez cet endroit de culte ou ma famille se rendait régulièrement l'endroit ou je me rendais moi aussi quand j'étais jeune. L'endroit ou quelques années plus tôt on m'avait mis mon dispositif de chasteté.

Ça faisait quelques années que je n'y avais pas mis les pieds. Rien n'avait changé, c'étaient les mêmes personnes, les mêmes costumes du dimanche, des tenues trop sages face auxquelles mes vêtements tranchaient. Mon pantalon tout particulièrement, il était trop … trop pas présentable.

Il ne cachait pas mes formes, même pas ma cage à bite. On la devinait si on était au courant. J'étais célèbre dans un autre monde, j'étais même très célèbre mais comme je vous le dis, c'était dans un autre monde. Le monde de l'image et de la pornographie. Ici personne ne me connaissait, plus personne ne me reconnaissait. Il est vrai qu'on me voyait venir de loin et en fait tout le monde détournait les yeux. On ne voulait pas me voir, sans me reconnaître ça c'était sûr mais il ne voulait surtout pas savoir qui était ce visiteur, c'est un déviant qu'ils voyait approcher de leur temple.

Pour tous les gens qui étaient là c'était de la provocation. Ils ne me regardaient pas et c'est pour cela qu'ils ne me reconnaissaient pas. J'apercevais des personnes que je connaissais. Plusieurs jeunes de mon âge, certains étaient encore enfants quand j'étais parti, maintenant ils étaient adultes. Maintenant il portaient tous un dispositif de chasteté. Moi je le portais toujours et je ne me demandais plus si je le porterais toujours. J'avais bien compris que le dispositif que je portais ne pouvait être retiré qu'avec la clé. Il était en titane, un métal indestructible et sans la clé, il n'y avait aucune chance.

Je me souvenais de ce qu'on me racontait, bien des souvenirs me revenaient. Je me souvenais qu'un jour des jeunes hommes qui avait fait leur transition vers l'âge adulte discutaient. Ils disaient qu'on pouvait retirer le dispositif le jour de son mariage et plus tard aussi quand la femme était d'accord. Ça ne devait pas se reproduire trop souvent mais ils y avaient droit.

En pensant à cela je comprenais brusquement le départ de plusieurs jeunes hommes. Ils avaient profité d'une de ces périodes de liberté pour quitter la congrégation libre de tous leurs mouvements. Certains étaient partie avec leur compagne. On ne parlait plus d'eux après, là d'un coup je comprenais bien des choses. Me donnerait-on la liberté de mes mouvements ?

J'étais parti avec mon dispositif sur moi, bien rivé à ma bite et à mes couilles. Je n'avais aucun moyen de le retirer il n'y avait qu'un moyen de retirer ce dispositif diabolique. Utiliser la clé. Oui c'est vrai je voyais le dispositif comme quelque chose de diabolique mais de terriblement jouissif.

Et je ne voulais plus le retirer !

Je m'approchais d'un groupe qui parlait devant la porte du temple. Je les saluais. Plusieurs me répondaient en détournant le regard, comme gênés de parler à un déviant. Les autres détournaient le regard.

Puis j'en appelais un par son nom.

Là ils ont relevé les yeux et m'ont regardé. C'est à ce moment que mon ancien confesseur s'est approché.

– Et bien Nathan,on te croyait mort !
– Comme vous pouvez voir, non, je vais très bien !
– Tu portes toujours ton dispositif de chasteté je vois.

Je baissais les yeux comme pour vérifier si ça se voyait tant que ça.

– Vous savez que je ne peux pas le retirer ! Répondais-je.
– Heureusement ! Je ne sais pas ce que tu en profitai pour faire. Tu vas toujours dans cette espèce de lieux de débauche ?

Il parlait de la boite de nuit ou il m'avait vu une fois.

– Il faut bien vivre ! Lui répondais-je !


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Trop de fautes !..
Relis toi, fais toi aider par un correcteur orthographique, ton récit n'en sera que bien meilleur !



Texte coquin : Jeune adulte 21 C'est une carrière
Histoire sexe : Une rose rouge
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