Jeune adulte 23 Situation enviable - histoire érotique

Jeune adulte 23
Situation enviable



Simon nous suivait au restaurant, il n'était pas habitué à ce genre de sortie mais il semblait apprécier. On a bien discuté, Thomas trouvait Simon très sympathique. C'est vrai qu'il avait une grosse queue et je savais que Thomas savait apprécier ce genre de caractéristique physique. Il n'allait tout de même pas en faire une histoire, il n'avait aucune raison d'être jaloux. Lui aussi était bien doté par la nature, j'en savait quelque chose.

Simon s'est inquiété de ce nous faisions comme boulot.

– Je suis un professionnel de l'amour ! Lui expliquait sommairement Thomas.
– Et toi aussi ? Me demandait Simon.
– Pareil ! Lui répondais-je. Et tu sais c'est un bon boulot ! Rajoutais-je en rigolant.
– Ça paye bien en plus . Rajoutait Thomas.
– Bon il faut être un peu exhib. Précisais-je.

On lui a raconté les soirée en boites, les spectacle porno sur scène, en direct …

– Devant tout le monde ! Précisait Simon sur le ton de la surprise. Mais, mais, mais … Et ça ne vous gêne pas ?
– Comme je te disais, il faut être un peu exhib . Rajoutais-je avec un petit sourire coquin.
– Mais toi Nathan, tu portes un dispositif de chasteté ! Me précisait Simon.
–Les clients adorent ça ! Rajoutait Thomas. Il y en a même qui s'y sont mis.
– Hein ! S'exclamait Simon. Tu veux dire que dans ta boite, il y des clients qui …
– Oui ! Rajoutait Thomas. Il y a des clients qui se mettent à poil et qui portent un dispositif de chasteté. D'ailleurs les clients ont le droit de se mettre à poil uniquement s'ils portent un tel dispositif.
– Il y a quand même un peu d'ordre chez toi ! Concluait Simon.

Le repas s'est très bien passé, on est ressorti du restaurant avec, tous, un large sourire.

La soirée était bien avancée quand on arrivait à la maison. Thomas et moi allions nous coucher alors que Simon restait au salon à regarder la télé. On a les chaînes pour adultes mais nous feront semblant de croire que ce n'est pas ce qui l'intéressait …

Avec Thomas nous aimons bien nous retrouver entre nous. Avec notre boulot on ne va pas vous faire croire que nous étions en manque au niveau sexuel, sauf moi mais bon, ça c'est une autre histoire. On devait bien avoir en moyenne des relation sexuelles deux fois par jour. Bein oui, s'il y en a qui pensaient qu'on ne travaillait pas, ils se trompent.

Mais me retrouver entre les bras de mon doudou, sans le partager, juste pour le plaisir, ça c'est autre chose, c'est pas du boulot !

Sentir sa peau contre la mienne, ses lèvres sur les miennes ou sur ma peau, mes lèvres sur sa peau, la douceur, sa douceur et sa force, me sentir dans ses bras, mes bras qui le caressent avec force et douceur. Moi aussi je le caresse avec douceur et lui aussi il aime ça.

Bien sûr, lui ne me suce jamais la queue ! C'est normal elle n'est pas accessible mais je bande, je bande même avec force quand il me touche. On ne voit pas trop la différence à moins d'être habitué, il l'est. Ma bite gonfle jusqu'à remplir totalement la cage. Elle pousse contre les barreaux et la cage se redresse. Rien ne dépasse, rien ne peut sortir, c'est désespérant mais c'est également stimulant. Enfin moi, je trouve ça stimulant.

Ce soir là comme souvent je m'allongeais totalement sur lui, il refermait ses bras sur moi et j'en faisait de même. Nos baisers étaient chauds, nos câlins étaient doux.

Je me repliais contre lui et prenais sa queue dans ma bouche, il bandait, je connaissais bien ce plaisir. Cette belle grosse queue qui se relevait entrait totalement dans ma bouche et s'écrasait dans ma gorge. Je passais ma langue sur son gland, il gémissait. Je recommençais et recommençais encore, il me caressait les cheveux.

Puis je lui gobais les couilles, un petit sursaut et il me laissait faire. J'y mettais toute ma tendresse, toute ma douceur pendant de longues minutes avant de revenir sur sa queue. De nouveau je prenais en entier dans la bouche.

C'est à ce moment que je l'entendais dire.

– Oui, viens, approche !

Je relevais la tête, il y avait Simon qui nous regardait. Il avait sa main sur son sexe, c'était évident, il bandait. Le pas hésitant il s'approchait. Je lui souriais, histoire de lui faire savoir que j'étais d'accord avec Thomas.

Au moment ou il arrivait juste à coté du lit, je me redressais, je posais ma main sur la sienne et l'écartais. Je baissais ensuite son pantalon. Il bandait et comme nous l'avions vu un peu plus tôt il en avait une belle, très belle. D'une main Thomas lui faisait tomber son pantalon sur les cheville alors que moi je lui prenais sa queue dans ma bouche avec énormément de tendresse.

– Il fait ça bien ! Lui faisait remarqué Thomas en parlant de moi.

Simon balbutiait une sorte de 'Oui' mal articulé tout en me caressant les cheveux. Thomas m'écartait doucement et prenait ma place. Lui aussi voulait s'amuser avec cette grosse queue, il faut dire qu'elle était belle, vraiment belle. Elle se relevait fièrement vers le plafond et moi je replongeais vers la bite de mon doudou.

Je reprenais là ou je m'étais arrêté. Les gémissements redoublaient. Là il y avait Thomas qui gémissait la bouche pleine en plus de Simon.

Thomas appuyait sur ma tête, il est très joueur vous savez. Puis je l'entendais qui disait à Simon.

– Tu devrait l'enculer, il va aimer tu vas voir !

Ce conseil ne m'était pas adressé, vous aviez compris. Je sentais alors une main qui se posait sur mes fesses. Thomas se tortillait et je pense que la deuxième main était la sienne. Je sentais un liquide froid contre mon cul puis aussitôt un doigt qui glissait dans mon cul, un autre suivait, ils devaient y être tous les deux. Ils les agitaient et là c'était moi qui gémissait la bouche pleine. Mais je continuais à sucer.

Thomas appuyait sur ma tête avec de plus en plus de force, sa queue s'écrasait contre ma gorge puis ressortait. Je sentais à ce moment une pression très forte contre mon cul. Thomas me tenait la tête avec les deux mains, Simon me saisissait par les hanche et sans ménagement s'enfonçait en moi. Elle était énorme, sa queue était énorme et heureusement que je suis un professionnel sinon, je n'aurais pas encaissé. J'ai voulu crier mais Thomas continuait à s'amuser avec moi, il enfonçait sa queue dans ma bouche et ne se gênais pas de bien appuyer sur ma tête, ou alors c'était Simon qui se lâchait.

Mais je ne lâchais rien, je tenais le coup. J'avais passé mes bras derrière les cuisses de Thomas et je le tirais vers moi alors qu'il continuait à appuyer sur ma tête.

Simon semblait s'énerver, il me limait avec force et son énorme queue, je vous jure que je la sentait passer, elle entrait, ressortait et entrait de nouveau et à chaque mouvement il s'écrasait contre moi avec force. Je ne pouvais même pas gémir comme je voulais. Le plaisir montait contre ma prostate.

Par moment un des deux faisait une pose, quelque instant pas plus. Quand c'était Thomas je pouvais respirer un peu et me remboîter la mâchoire. Puis on y retournait. Quand c'était Simon, là aussi je me détendais un peu, mais à chaque fois qu'il reprenait le plaisir devenait plus intense que la fois d'avant.

Thomas lui aussi ne parvenait plus à cacher que le plaisir venait, pour lui aussi.

C'est lui qui est venu en premier, n'aller surtout pas imaginer que c'est un éjaculateur précoce, oh non. De plus ça n'avait rien de précoce. Ça faisait à cet instant un moment qu'ils s'amusaient avec moi.

Les coups que Simon me donnait devenaient plus forts, plus lents, plus intense. Il se retirait et d'un mouvement rapide et puissant s'enfonçait complètement en moi faisant claquer son ventre contre mes fesses.

J'en prenais plein la bouche et quelques instants plus tard, j'en prenais plein le cul. Mais moi aussi je jouissais. Un flot de sperme coulait de ma cage. Ce n'était pas une éjaculation, c'était plutôt comme une fuite. Ma semence coulait et n'était pas expulsée ou rejetée, comme une fuite, elle coulait doucement mais abondamment, c'était bon.

Je détournais mon visage et j'en prenait plein la figure. Simon se retirait et j'en prenais plein les fesses avec de généreuses projections sur mon dos, entre mes reins.

Le calme revenait. Je me laissais tomber sur mes coude, Simon s'écroulait sur moi et Thomas, lui, s'écroulait sur son dos. J'avais encore mes bras autour de ses cuisses.

On respirait fort, on reprenait notre souffle.

Un peu plus tard je passait sous la douche, je n'allais tout de même pas me mettre au lit dans cet état. Simon me suivait, on s'y retrouvait, nous étions suivi par Thomas. On avait tous un large sourire, encore plus large que celui qu'on avait en sortant du restaurant !

Puis on s'est assoupi, j'étais au milieu du lit les deux autres , je ne me souviens plus. Le calme était revenu. On s'est réveillé quand il faisait grand jour. Nous étions empilés sur le lit, Thomas était replié dans un coin, Simon étendu sur le dos. Je le contemplais un moment, il était beau, sa grosse queue étendue sur sa cuisse. Elle était encore plus impressionnante que celle de Thomas.

Un instant je me disais qu'il ferait un excellent acteur porno, qu'il aurait du succès, beaucoup de succès.

Là je suppose que vous allez vous dire que je ne pense qu'à ça. Et bien non, je ne suis pas du tout ce genre de mec enfin quand même. Oui bon, un peu quand même …

Oui bon d'accord je ne pense qu'à ça. Mais vous seriez aimable de ne pas le répéter ? Je ne voudrais pas passer pour l'obsédé sexuel que je suis.

Ensuite on prenait le petit déjeuner, je me levais en premier suivait Simon et juste après Thomas. On était resté nu, entièrement nu. Je préparais le petit déjeuner quand mes deux colocataires me retrouvaient dans la cuisine. Thomas me donnait un tendre baiser et Simon me faisait la bise. Il semblait s'habituer rapidement à cette nouvelle vie. Il ne faut pas oublier que la veille encore, il vivait dans un milieu très puritain.

– C'est dans deux jours que je dois mettre ma cage de chasteté ! Nous disait-il.
– Mais je croyais que ? Lui répondait Thomas. Non, tu ne vas pas … ?
– Mais non, je ne vais pas. Plus maintenant. Simplement il va falloir que je trouve du boulot pour devenir indépendant, et là par contre je ne peux compter ni sur ma famille ni sur ma communauté !
– Heureusement qu'on est là ! Rajoutais-je.

Après le petit déjeuner venait le moment de faire un peu de sport. On s'est retrouvé devant notre immeuble. Simon avait pris une tenue à Thomas, il s'amusait à faire du free-balling. Vous savez, sans sous vêtement et à chaque pas il se faisait un peu remarquer, mais le quartier en avait vu d'autres, et les divers habitants que nous avons croisé se sont rincé l’œil.

Une chose était sûre, Simon était un peu exhibitionniste et ferait un parfait acteur porno, je me disais dans un premier temps nous ne devrions pas avoir de mal à lui trouver une petite place dans la boite de nuit.

Nous avions prévu de nous y rendre le soir même.


A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast