Jeune adulte 25 Pour avoir un prêt

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Jeune adulte 25 Pour avoir un prêt
Jeune adulte 25
Pour avoir un prêt
Simon n'est pas rentré avec nous ce soir là. On l'a tout de suite compris, il est parti avec Eric, le barman. Remarquez je comprends Eric, il est passif ( pas que mais principalement ) et Simon exposait quelque chose de très gros et lui était actif.
– J'en connais deux qui vont bien s'amuser faisais-je remarquer à Thomas.
C'est cette nuit là que Thomas et moi avons décidé de nous marier. On n'a pas baisé cette nuit là. On avait bien travaillé et … oui quand je dis qu'on avait bien travaillé, ça veut dire que je m'étais bien fait défoncé le cul et que Thomas , lui, avait pété la rondelle à au moins deux de nos partenaires de travail.
Bein oui c'est du boulot ! Vous imaginez quoi, je voudrais vous y voir moi !
Bref, on s'est fait un câlin bien sûr mais on n'a pas baisé. N'allez surtout pas vous imaginez que nous sommes un couple moderne dans le sens ou chacun fait ce qu'il veut avec qui il veut. Non ! Pas du tout, on est fidèle mais là c'est du boulot, et dans le boulot, ça ne compte pas !
Je ne vibre vraiment de plaisir que quand c'est la peau de Thomas qui me touche. On s'est touché ce soir là, on s'est même bien touché et caresser mais on n'a pas baisé.
On a discuté, Il m'a demandé en mariage et en réponse je lui ai fait un gros, un très gros câlin … Mais on n'a pas baisé !
Par contre on a discuté. On a refait le monde, on a fait des projets et un en particulier … Acheter une maison !
C'est vrai que nous avions de très beaux revenus et, de fait, nous en avions les moyens. Il suffirait de faire un prêt à la banque, elle servent à ça les banques.
– Je connais un banquier ! Disais-je à Thomas.
– Il faudra aller le voir alors ! Me répondait-il.
– Non, je ne crois pas, tu sais c'est un des anciens dans ma communauté !
– Ah oui ! Remarque moi aussi je connais un banquier.
– Et il est d'où celui-là ?
– Je sais pas, c'est un client. Il porte une cage à bite lui aussi. Et il aime bien se faire défoncer le cul !
– Il porte une cage à bite ?
– Oh tu sais il y en a plusieurs. Il y a des hommes qui, sans faire partie d'un mouvement religieux, portent un tel dispositif.
– Ah ouai !
On a discuté encore un moment et je ne me souviens plus lequel d'entre nous s'est endormi en premier. Tout ce que je sais c'est que j'étais dans ses bras, bien au chaud, et confortablement installé . Je pense que j'ai même un peu ronronné … Enfin je sais pas mais ça aurait très bien pu arriver.
Le lendemain nous n'avions pas changé d'avis. On voulait toujours se marier et on voulait toujours acheter une maison. Le matin, on en parlait, de nouveau on refaisait le monde ou on préparait le notre, notre futur. C'était vite décidé Thomas prenait rendez-vous avec son banquier.
– Par contre je te préviens je ne marie pas en Robe blanche ! Lui sortais-je.
Il pouffait de rire et me prenait dans ses bras.
Quelques jours plus tard nous avions rendez-vous chez le banquier de mon doudou. Je reconnaissais l'agence.
– Dis moi, ton banquier c'est pas un grand, chauve avec des lunettes carrées ?
– Bein si pourquoi ?
– Je le connais ! Il fait partie de ma congrégation. C'est un fanatique, il ne voudra jamais nous prêter de l'argent !
C'est incrédule que Thomas entrait dans la banque, j'hésitais à le suivre mais j'arrivais à quelques pas derrière lui, d'une démarche mal assurée.
Il me regardait avec un regard de fou, un regard de fou fanatique qui vient d'être découvert. C'était lui le client de Thomas, c'était lui qui nous faisait la morale, nous interdisait le plaisir du corps. C'était lui qui louait les service d'un petit gigolo. Il changeait de couleur, il devenait tout blanc, presque livide.
Voyant cela je préférais me retirer discrètement. Le banquier n'a pas imaginé que nous étions ensemble, ça lui paraissait sans doute trop surprenant, ou alors il n'était peut être pas très perspicace. Il a donc reçu Thomas qui n'a, bien sûr pas parlé de moi.
Je l'attendais à l'extérieur de la banque. Un moment plus tard je voyais arriver mon Thomas qui arrivait l'air dépité, il me regardait dans les yeux …
– Il m'a dit non ! Me déclarait-il sur un ton dégouté.
– J'en étais sûr. Lui répondais-je.
– Mais pourquoi, on a un très bon dossier, on a de l'épargne, de beaux revenus. Que lui faut-il de plus ?
– Comment a-t-il réagi quand tu lui as parlé de moi . Demandais-je.
– Je ne lui ai pas parlé de toi, j'ai vu que tu avais disparu et je n'ai pas insisté. Il n'a même pas imaginé que nous étions ensemble.
– Tu es sûr ?
– Oh ça oui, ça j'en suis sûr ! Il m'a même demandé de passer le voir un de ces jours.
– Passer le voir ?
– C'est un client, enfin c'était. Et c'est un gros gourmand, il aime bien la bite.
– Il va falloir le faire changer d'avis. Déclarais-je.
Thomas me regardait avec un regard surpris et interrogateur.
Tu penses à quelque chose de particulier ?
– Je sais pas, je ne sais pas il va falloir faire un plan.
On rentrait à la maison, Thomas ne cachait pas sa déception.
– On pourrait voir une autre banque ,
– C'est une solution, mais je pense que pour ce genre de prêt cette banque est la plus intéressante. Il va falloir y réfléchir.
On a parlé d'autre chose, on est rentré. Le soir on était au boulot. On avait refait les calculs, et nos finances nous semblaient parfaitement saines . On avait du boulot, et on passait une très bonne soirée à danser sur scène à poil, à se montrer. Le travail nous permettait d'oublier nos ennuis. Thomas en a parlé à nos camarades de boulot, ils étaient surpris, c'était la principale banque dans la région et tous y étaient. Ils ne comprenaient pas non plus ce refus. Aucun ne connaissait ce banquier.
Quelques jours plus tard, le téléphone sonnait, c'était en fin de matinée. C'est Thomas qui décrochait, son visage changeait quand il entendait la voix. Il me faisait signe de prendre l'écouteur.
Là c'est moi qui devait changer de tête, je reconnaissais la voix, c'était le banquier. Il avait aimé la visite de Thomas, et il s'était souvenu de moments très agréable qu'il avait passé avec lui. Il avait une voix mielleuse, collante,gluante même. Il voulait quelque chose et sans rien dire vraiment d'une manière claire, il laissait sous-entendre qu'il pourrait peut être influer sur la décision du conseil d'administration.
Thomas, toujours très professionnel prenait rendez-vous. J'étais médusé, je restais sans voix.
– Tu sais que là, il m'étonne le mec. Il nous faisait la morale en permanence.
– Tu veux que j'annule le rendez-vous ?
– Non, on va la convaincre de nous accorder le prêt ! Lui Répondais-je.
On décidait que le rendez aurait lieu à la maison. Thomas le contactait un peu plus tard et finalisait le rendez-vous.
Ce qui est bien avec ce monsieur c'est qu'il sait être ponctuel. En plus il ne venait pas les mains vides, il emportait avec lui une bouteille de bon champagne. Je restais en retrait et ne me montrais pas mais je pouvais tout voir. On s'était fait prêté quelques caméras par un des producteur pour lequel on travaillait.
Je suivais tout sur un écran.
Thomas recevais notre hôte, il l'invitait à s'installer puis ils passaient aux choses sérieuses.
Thomas se plaçait devant notre banquier qui s'était assis sur un fauteuil, puis ouvrait son pantalon et le baissait. Il gardait un sourire satisfait. Le banquier devait être en manque, il se jetais sans aucune retenue sur la queue de mon doudou, Tomas !
C'était un gros gourmand, ça ne faisait aucun doute. Il avalait cette superbe grosse bite que je connaissais si bien et qui en dehors du boulot m'était réservée.
Non, je n'étais pas jaloux. Vous savez avec le métier qu'on fait, mon doudou et moi, on en a vu d'autres. Je regardais depuis la salle d'à côté, je regardais mon doudou en action et j'admirais.
J'en revenais pas le banquier savait y faire, lui que je connaissais pour nous faire la morale me surprenait. Il suçait goulûment la grosse queue de Thomas. Il l'avalait avec passion, on pouvais deviner qu'il avait du mal mais aussi qu'il aimait ça.
Thomas retirait ses vêtements en commençant par le haut. Torse nue les mains de notre invité se promenaient sur sa peau, elles le caressaient. Il y prenait du plaisir, et là je ne parle pas de Thomas. Je n'y croyais pas de voir le plaisir que prenait notre banquier. Il aimait vraiment la bite le bougre.
Thomas lui prenait la tête entre les mains et lui limait la bouche avec sa grosse queue, il la lui enfonçait tranquillement bien à fond. On aurait pu se demander comment il faisait pour encaisser. Enfin moi je ne me demandais pas, je savais, moi aussi je fais pareil.
Moi aussi j'aime sentir la queue de mon Thomas s'enfoncer dans ma bouche, puis aller un plus profond, puis finalement d'aller en retour s'écraser dans ma gorge. Son gland épais et large, m'écraser la glotte et continuer un peu plus loin. Arrivé à ce niveau je ne peux plus respirer mais j'adore ça quand même. Il était comme moi, il n'y avait pas que notre queue en cage qui nous faisait nous ressembler.
C'est Thomas qui prenait l'initiative, c'est lui qui décidait, tout comme avec moi. Thomas le relevait , le retournait , le repoussait pour qu'il se penche en avant lui lubrifiait le cul.
Là notre ami commençait à nous sortir des insanités, il gueulait, il en redemandait. Thomas le prenait fermement par les hanches puis le tirait vers lui avec force et en même temps enfonçait sa queue dans son culs. Là notre hôte à gueulé, je ne vous dis pas.
Même moi, j'ai trouvé que mon Thomas exagérait un peut à ce moment, mais il est comme ça Thomas, il joue entre la tendresse et une certaine forme de violence. Il sais ce qu'il fait, il savait que notre ami, aimait bien le sentir quand il se faisait enculer.
Ensuite Thomas lui a limé le cul, longuement, avec des mouvements amples. Il se retirait presque entièrement puis s'enfonçait jusqu'à la garde. Il faisait claquer son ventre contre les fesse de notre hôte. Et des cris de panique autant que de plaisir accompagnaient les mouvements de Tomas.
Thomas s'énervait, il accélérait, il ralentissait puis il reprenait. Plus tendre , plus violent, il donnait à notre hôte toute la gamme de mouvements.
Il nous avait refusé le prêt mais ça, c'est pas une raison pour ne pas être professionnel.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pour avoir un prêt
Simon n'est pas rentré avec nous ce soir là. On l'a tout de suite compris, il est parti avec Eric, le barman. Remarquez je comprends Eric, il est passif ( pas que mais principalement ) et Simon exposait quelque chose de très gros et lui était actif.
– J'en connais deux qui vont bien s'amuser faisais-je remarquer à Thomas.
C'est cette nuit là que Thomas et moi avons décidé de nous marier. On n'a pas baisé cette nuit là. On avait bien travaillé et … oui quand je dis qu'on avait bien travaillé, ça veut dire que je m'étais bien fait défoncé le cul et que Thomas , lui, avait pété la rondelle à au moins deux de nos partenaires de travail.
Bein oui c'est du boulot ! Vous imaginez quoi, je voudrais vous y voir moi !
Bref, on s'est fait un câlin bien sûr mais on n'a pas baisé. N'allez surtout pas vous imaginez que nous sommes un couple moderne dans le sens ou chacun fait ce qu'il veut avec qui il veut. Non ! Pas du tout, on est fidèle mais là c'est du boulot, et dans le boulot, ça ne compte pas !
Je ne vibre vraiment de plaisir que quand c'est la peau de Thomas qui me touche. On s'est touché ce soir là, on s'est même bien touché et caresser mais on n'a pas baisé.
On a discuté, Il m'a demandé en mariage et en réponse je lui ai fait un gros, un très gros câlin … Mais on n'a pas baisé !
Par contre on a discuté. On a refait le monde, on a fait des projets et un en particulier … Acheter une maison !
C'est vrai que nous avions de très beaux revenus et, de fait, nous en avions les moyens. Il suffirait de faire un prêt à la banque, elle servent à ça les banques.
– Je connais un banquier ! Disais-je à Thomas.
– Il faudra aller le voir alors ! Me répondait-il.
– Non, je ne crois pas, tu sais c'est un des anciens dans ma communauté !
– Ah oui ! Remarque moi aussi je connais un banquier.
– Et il est d'où celui-là ?
– Je sais pas, c'est un client. Il porte une cage à bite lui aussi. Et il aime bien se faire défoncer le cul !
– Il porte une cage à bite ?
– Oh tu sais il y en a plusieurs. Il y a des hommes qui, sans faire partie d'un mouvement religieux, portent un tel dispositif.
– Ah ouai !
On a discuté encore un moment et je ne me souviens plus lequel d'entre nous s'est endormi en premier. Tout ce que je sais c'est que j'étais dans ses bras, bien au chaud, et confortablement installé . Je pense que j'ai même un peu ronronné … Enfin je sais pas mais ça aurait très bien pu arriver.
Le lendemain nous n'avions pas changé d'avis. On voulait toujours se marier et on voulait toujours acheter une maison. Le matin, on en parlait, de nouveau on refaisait le monde ou on préparait le notre, notre futur. C'était vite décidé Thomas prenait rendez-vous avec son banquier.
– Par contre je te préviens je ne marie pas en Robe blanche ! Lui sortais-je.
Il pouffait de rire et me prenait dans ses bras.
Quelques jours plus tard nous avions rendez-vous chez le banquier de mon doudou. Je reconnaissais l'agence.
– Dis moi, ton banquier c'est pas un grand, chauve avec des lunettes carrées ?
– Bein si pourquoi ?
– Je le connais ! Il fait partie de ma congrégation. C'est un fanatique, il ne voudra jamais nous prêter de l'argent !
C'est incrédule que Thomas entrait dans la banque, j'hésitais à le suivre mais j'arrivais à quelques pas derrière lui, d'une démarche mal assurée.
Il me regardait avec un regard de fou, un regard de fou fanatique qui vient d'être découvert. C'était lui le client de Thomas, c'était lui qui nous faisait la morale, nous interdisait le plaisir du corps. C'était lui qui louait les service d'un petit gigolo. Il changeait de couleur, il devenait tout blanc, presque livide.
Voyant cela je préférais me retirer discrètement. Le banquier n'a pas imaginé que nous étions ensemble, ça lui paraissait sans doute trop surprenant, ou alors il n'était peut être pas très perspicace. Il a donc reçu Thomas qui n'a, bien sûr pas parlé de moi.
Je l'attendais à l'extérieur de la banque. Un moment plus tard je voyais arriver mon Thomas qui arrivait l'air dépité, il me regardait dans les yeux …
– Il m'a dit non ! Me déclarait-il sur un ton dégouté.
– J'en étais sûr. Lui répondais-je.
– Mais pourquoi, on a un très bon dossier, on a de l'épargne, de beaux revenus. Que lui faut-il de plus ?
– Comment a-t-il réagi quand tu lui as parlé de moi . Demandais-je.
– Je ne lui ai pas parlé de toi, j'ai vu que tu avais disparu et je n'ai pas insisté. Il n'a même pas imaginé que nous étions ensemble.
– Tu es sûr ?
– Oh ça oui, ça j'en suis sûr ! Il m'a même demandé de passer le voir un de ces jours.
– Passer le voir ?
– C'est un client, enfin c'était. Et c'est un gros gourmand, il aime bien la bite.
– Il va falloir le faire changer d'avis. Déclarais-je.
Thomas me regardait avec un regard surpris et interrogateur.
Tu penses à quelque chose de particulier ?
– Je sais pas, je ne sais pas il va falloir faire un plan.
On rentrait à la maison, Thomas ne cachait pas sa déception.
– On pourrait voir une autre banque ,
– C'est une solution, mais je pense que pour ce genre de prêt cette banque est la plus intéressante. Il va falloir y réfléchir.
On a parlé d'autre chose, on est rentré. Le soir on était au boulot. On avait refait les calculs, et nos finances nous semblaient parfaitement saines . On avait du boulot, et on passait une très bonne soirée à danser sur scène à poil, à se montrer. Le travail nous permettait d'oublier nos ennuis. Thomas en a parlé à nos camarades de boulot, ils étaient surpris, c'était la principale banque dans la région et tous y étaient. Ils ne comprenaient pas non plus ce refus. Aucun ne connaissait ce banquier.
Quelques jours plus tard, le téléphone sonnait, c'était en fin de matinée. C'est Thomas qui décrochait, son visage changeait quand il entendait la voix. Il me faisait signe de prendre l'écouteur.
Là c'est moi qui devait changer de tête, je reconnaissais la voix, c'était le banquier. Il avait aimé la visite de Thomas, et il s'était souvenu de moments très agréable qu'il avait passé avec lui. Il avait une voix mielleuse, collante,gluante même. Il voulait quelque chose et sans rien dire vraiment d'une manière claire, il laissait sous-entendre qu'il pourrait peut être influer sur la décision du conseil d'administration.
Thomas, toujours très professionnel prenait rendez-vous. J'étais médusé, je restais sans voix.
– Tu sais que là, il m'étonne le mec. Il nous faisait la morale en permanence.
– Tu veux que j'annule le rendez-vous ?
– Non, on va la convaincre de nous accorder le prêt ! Lui Répondais-je.
On décidait que le rendez aurait lieu à la maison. Thomas le contactait un peu plus tard et finalisait le rendez-vous.
Ce qui est bien avec ce monsieur c'est qu'il sait être ponctuel. En plus il ne venait pas les mains vides, il emportait avec lui une bouteille de bon champagne. Je restais en retrait et ne me montrais pas mais je pouvais tout voir. On s'était fait prêté quelques caméras par un des producteur pour lequel on travaillait.
Je suivais tout sur un écran.
Thomas recevais notre hôte, il l'invitait à s'installer puis ils passaient aux choses sérieuses.
Thomas se plaçait devant notre banquier qui s'était assis sur un fauteuil, puis ouvrait son pantalon et le baissait. Il gardait un sourire satisfait. Le banquier devait être en manque, il se jetais sans aucune retenue sur la queue de mon doudou, Tomas !
C'était un gros gourmand, ça ne faisait aucun doute. Il avalait cette superbe grosse bite que je connaissais si bien et qui en dehors du boulot m'était réservée.
Non, je n'étais pas jaloux. Vous savez avec le métier qu'on fait, mon doudou et moi, on en a vu d'autres. Je regardais depuis la salle d'à côté, je regardais mon doudou en action et j'admirais.
J'en revenais pas le banquier savait y faire, lui que je connaissais pour nous faire la morale me surprenait. Il suçait goulûment la grosse queue de Thomas. Il l'avalait avec passion, on pouvais deviner qu'il avait du mal mais aussi qu'il aimait ça.
Thomas retirait ses vêtements en commençant par le haut. Torse nue les mains de notre invité se promenaient sur sa peau, elles le caressaient. Il y prenait du plaisir, et là je ne parle pas de Thomas. Je n'y croyais pas de voir le plaisir que prenait notre banquier. Il aimait vraiment la bite le bougre.
Thomas lui prenait la tête entre les mains et lui limait la bouche avec sa grosse queue, il la lui enfonçait tranquillement bien à fond. On aurait pu se demander comment il faisait pour encaisser. Enfin moi je ne me demandais pas, je savais, moi aussi je fais pareil.
Moi aussi j'aime sentir la queue de mon Thomas s'enfoncer dans ma bouche, puis aller un plus profond, puis finalement d'aller en retour s'écraser dans ma gorge. Son gland épais et large, m'écraser la glotte et continuer un peu plus loin. Arrivé à ce niveau je ne peux plus respirer mais j'adore ça quand même. Il était comme moi, il n'y avait pas que notre queue en cage qui nous faisait nous ressembler.
C'est Thomas qui prenait l'initiative, c'est lui qui décidait, tout comme avec moi. Thomas le relevait , le retournait , le repoussait pour qu'il se penche en avant lui lubrifiait le cul.
Là notre ami commençait à nous sortir des insanités, il gueulait, il en redemandait. Thomas le prenait fermement par les hanches puis le tirait vers lui avec force et en même temps enfonçait sa queue dans son culs. Là notre hôte à gueulé, je ne vous dis pas.
Même moi, j'ai trouvé que mon Thomas exagérait un peut à ce moment, mais il est comme ça Thomas, il joue entre la tendresse et une certaine forme de violence. Il sais ce qu'il fait, il savait que notre ami, aimait bien le sentir quand il se faisait enculer.
Ensuite Thomas lui a limé le cul, longuement, avec des mouvements amples. Il se retirait presque entièrement puis s'enfonçait jusqu'à la garde. Il faisait claquer son ventre contre les fesse de notre hôte. Et des cris de panique autant que de plaisir accompagnaient les mouvements de Tomas.
Thomas s'énervait, il accélérait, il ralentissait puis il reprenait. Plus tendre , plus violent, il donnait à notre hôte toute la gamme de mouvements.
Il nous avait refusé le prêt mais ça, c'est pas une raison pour ne pas être professionnel.
A suivre
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