Jeune adulte Ep22 Nouvelle recrue - histoire érotique

Jeune adulte 22
Nouvelle recrue



Il me regardait droit dan les yeux, c'était le seul, tous les autres détournaient le regard. C'est vrai qu'avec mon pantalon moule boule je devais faire penser à une pute et comme vous le savez, ce groupe était très puritains.

– Tu as pensé à ta famille, tes parents ou encore ton frère. Tu as pensé à tout le mal que tu lui a fait ?

Il avait son air féroce, cet air de reprocher quelque chose. C'est vrai que je devais avoir beaucoup de choses à me reprocher. Enfin selon son point de vue. C'est moi qui avais décidé de vivre dans le pécher.

– Tu travailles toujours dans cet endroit dégouttant. Je t'y avait vu une fois. J'ai préféré ne pas le raconter à tes parents.

Le ton montait, il devenait plus menaçant. Je le reconnaissait dans les valeurs qu'il prétendait défendre. La morale, la chasteté, la pureté. Son regard devenait très dur, il faisait peur.

Je le voyais, je voyais enfin son côté fanatique. Je ne l'avais jamais remarqué mais là je ne voyais plus que cela. Il y avait du fanatisme en lui.

Je ne savais pas quoi lui répondre, il ne mettait toutefois pas le moindre doute en moi. C'est librement que j'avais choisi de joindre le peuple des déviants. Je ne le regrettais pas, même si j'avais tout laissé derrière moi, ma famille, mes amis, mes proches. Mon petit frère me manquait mais c'était le seul.

Une fille que je connaissait s'approchait de nous.

– Salut Nathan, tu vas bien, on te croyait mort !
– Ça va Sonia et toi ?

Elle me faisait un salut de la tête puis se détournait et entrait dans le temple.

– Tu est venu pour la cérémonie ?

Il n'attendait pas ma réponse et repartait. Je le suivais. Il s'en rendait compte et s'arrêtait, il se retournait.

– Je ne pense pas que tu es en tenue pour entrer dans ce lieu saint ! Me lançait-il alors sur un ton sévère.

Je me suis arrêté net, il y avait une porte vitrée, elle faisait miroir et je me regardais.

– Ou est le problème ? Lui demandais-je. J'ai toujours ma cage à bite …
– Et en plus ça se voit. Me répondait-il en me coupant la parole. Et c'est ça le problème. Tu es un exhibitionniste, tu te vends et sache qu'on ne dit pas cage à bite !

Il était furieux !

Plus loin, je voyais mon père qui arrivait au bras de ma mère, il me remarquait et c'était évident il ne voulait pas que ma mère ne me voit, il l'occupait. Ils sont entrés dans le temple, elle ne m'a pas vu. Mais j'ai reconnu mon frère qui les suivait. Il ne regardait pas dans ma direction, il ne m'a pas vu.

Mon ancien confesseur restait devant moi à me bloquer le passage. Son regard était accusateur. Je sentais son regard qui parcourait mon corps, je me voyais dans le porte vitrée et je dois bien reconnaître que … j'étais habillé comme à mon habitude. Ma chemise en soie ne cachait pas ma forme musculaire, je me trouvais sexy mais je crois que le pire en effet était mon pantalon. Il était bien moulant mais vraiment bien moulant. Je me disais que, en effet j'avais choisi un pantalon peut être pas très bien adapté pour ce genre d'endroit.

On pouvait deviner les muscles de mes cuisses. J'avais pris du muscle depuis que j'étais parti quelques années plus tôt mais c'était mon entrejambe qui pouvait poser problème. On devinait mes couilles et au dessus une petite bosse qui laissait apparaître les barreaux de la cage, c'était indécent. Pourtant dans cette communauté il fallait porter un tel système, c'est là que ça avait été inventé.

Le dispositif était parfaitement au point, on pouvait le porter sans limite dans le temps, j'en étais une preuve supplémentaire. Je le portais depuis maintenant plus de deux ans. J'avais plus de vingt ans et mon frère en avait un peu moins de dix neuf.

Je l'ai vu, il a fini par me voir, il a regardé à droite et à gauche, puis voyant que personne ne le regardait il m'a fait un signe de la main. J'ai senti qu'il aurait bien voulu venir me saluer mais il n'a pas osé.

Finalement mon frère n'était pas le seul à m'avoir repéré. Je suis resté là, à une certaine distance, mon ancien confesseur me tournais le dos au moment ou tout le monde était rentré. Il me laissait là, je ne le suivais pas.

Je ne sais pas pourquoi j'étais venu, je ne sais pas ce que je cherchais ou ce que j'espérais. J'aurais du me dire qu'il n'y avait rien à espérer. Je suis reparti vers ma voiture. Je m'installais au volant, il n'y avait plus personne devant le temple, je démarrais et partais en passant par derrière.

C'est juste après le virage que je voyais un garçon que je reconnaissais tout de suite. C'était Simon, un grand, enfin je veux dire en taille, grand en taille, il devait avoir à peine dix huit ans. Je me souvenais de lui, il était un peu plus jeune que mon frère. Il me faisait signe, je m'arrêtais, sans attendre il se précipitais sur la portière l'ouvrait et montait.

– S'il te plaît Nathan aide moi .

J'ai alors pensé que nous n'étions pas au bon endroit pour discuter aussi je démarrais. Je roulais pendant des kilomètres, je quittais le quartier et je m'arrêtais dans un centre commercial ou il y avait un bar. Là personne ne nous connaissait, nous serions tranquilles.

– Alors Simon, qu'est ce qui t'arrive ?
– Il faut que tu m'aide. Je ne veux pas être obligé de porter le dispositif de chasteté. C'est pas pour moi ça. Et je ne sais pas comment faire.
– Il y en a quelques uns, de temps en temps qui refusent. Il faut que tu refuses. Ils ne te contraindront pas.
– Oui mais ils vont me couper les vivres et dans ce monde je ne sais pas ce que je vais devenir. Ou trouver un soutient dans un monde ou presque tous les hommes portent un tel dispositif.
– Presque tous, c'est un peut exagéré.
– Plus de quatre vingt quinze pour cent ! Je ne comprends pas comment tous ces gens acceptent !
– Oui enfin ça c'est ce qu'on te raconte en fait il y en a pas plus de cinq pour cent . Ce sont les dernière statistiques. Nous ne sommes pas si nombreux.
– Mais pourquoi alors ?
– Tu sais c'est une question que je ne me pose plus depuis longtemps. J'ai réussi à y trouver du plaisir mais ce n'est pas le cas de tout le monde.
– Et qu'est ce que tu peux faire pour moi ?
– Je peux t’héberger, m'assurer que tu resteras libre de tes choix. Il faudra te trouver un boulot. Tu faisais quoi ?
– Je travaille dans un commerce mais je pense que si je quitte la congrégation on ne me reprendra pas !
– C'est pas bien grave ça !
– Et puis en plus tu sais Nathan, je suis gay . Mes parents le savent mais ne l'accepte pas, ne m'accepte pas !
– Ça non plus ce n'est pas le plus grave, ce qui compte c'est tu sois libre de choisir ta vie.

On terminait notre café puis je lui proposais de l'amener chez moi. Il me proposait de passer en premier chez lui, ses parents étaient au temple et il n'y aurait personne. Oh il n 'y est pas resté bien longtemps, juste le temps de prendre ses affaires, de tout jeter dans un sac et d'accourir à ma voiture. Il avait un sourire, il semblait comme soulager au moment ou il est monté. Je démarrais aussitôt, en fait nous avions peur de nous faire surprendre, peur que ses parents n'arrivent. On n'a vu personne.

Simon était adulte, pas selon les critères de notre communauté mais selon les lois civiles, il venait d'avoir dix huit ans. Il pouvait donc librement venir habiter chez moi s'il le désirait, ou n'importe ou ailleurs ! C'est ce qu'il a fait.

Je l'installait dans une chambre d'ami. Avec Thomas, nous étions deux mais nous avions tout de même quatre chambres dans la maison. Il y avait la place.

Un peu plus tard Thomas arrivait. Il m'embrassait et …

– Nathan nous avons soirée libre . Je te propose uns sortie restau et ensuite une soirée baise … Il me faisait alors un large sourire un peu niai.
– C'est une idée ça ! Lui répondais-je. Puis je lui annonçais la présence de Simon.
– Je vais le saluer, il a quelle tête, il est comment ?

Puis il se dirigeait vers sa chambre. Il en ressortait quelques instants plus tard il faisait de grands yeux.

– Dis donc, tu l'as vu sous la douche ?
– Bein non, tu sais dans notre milieu on ne joue pas trop aux voyeurs !
Tu devrais !
– Oui je sais il ne porte pas de cage à bite !
– C'est pas ça !

Je ne comprenais pas ce qu'il me racontait aussi je décidais d'aller voir.

Arriver à la porte de sa chambre je me demandais ce que j'allais lui dire, je frappais puis entrais. Il était sous la douche, il ne m'avait pas entendu, je me dirigeais vers sa salle de bain et là je voyais la bête.

La vache ! Ais-je pensé.

Il avait bien raison de ne pas vouloir mettre de cage, il avait une queue énorme. Elle était magnifique, longue et bien large. Plus grosse que celle de Thomas qui était déjà très bien monté. J'ouvrais des yeux tout rond.

– Tu désires quelque chose ? Me demandait-il.
– Je venais seulement te demander si tu avais besoin de quoi que ce soit. Lui répondais-je.
– Il est sympa ton mec, il m'a invité ce soir, vous allez au restau il m'a dit.
– Oui , oui, oui ! Répondais-je en bafouillant.

Je le regardais, je regardais tout particulièrement sa queue, elle pendait lourdement sur près de vingt centimètre et en plus elle était au repos ! Il était circoncis, ça c'est normal, c'est pour le jour ou on doit mettre une cage de chasteté. Il avait un très gros gland, très beau, très bien proportionné. J'en avais vu des bites depuis quelques années mais une comme celle-là … Pas tous les jours.

– Tu me trouves comment ? Me demandait-il.
– Je, je , sais pas .
– Tu crois que tu pourrais me trouver du boulot.
–Tu es sûr de vouloir faire le même travail que nous ?
–Non ! Je veux juste avoir un boulot. Tu sais, j'ai pas un sou ! Il me faut du boulot !
– On va t'en trouver ne t'inquiète pas pour ça !

Je ressortais un peu retourné. Il était monté comme un âne. Il avait une bite de prince. Je ne doutait pas qu'il aurait du succès dans la boite de nuit. Surtout que, en plus il était vraiment très beau gosse .

Je le regardais se sécher, s'habiller. Il était évident qu'il aimait s'exhiber. Il me faisait un petit spectacle et juste avant de refermer sa braguette, il me lançait un petit sourire coquin


A suivre



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