jeune effrontée 3 - histoire érotique

Nous arrivons dans l'hyper centre de B........ Nous roulons au pas et l'affluence de voitures et de piétons interdit à la jeune effrontée de continuer à exhiber et pincer ses jolis petits seins blancs.
Je l'autorise à réajuster son débardeur, ce qu'elle fait sans tarder.
Je repense à la première fois où je l'ai aperçue, je m'étais demandé si elle était bien majeure ce jour là alors que ce soir je lui donnerais aisément 22 ou 23 ans...
Cela reste très jeune pour moi qui en ai 55 mais je me moque des regards interrogateurs ou accusateurs à venir!

Nous sommes dans le parking des G..... H....., je coupe le contact au 3ème sous-sol. Lou regarde son visage dans le reflet du miroir de courtoisie, je l'observe, mon regard s'incline vers ses jambes.
Moi qui avais la ferme intention de ne pas montrer la moindre attirance physique, je comprends très vite que je vais trahir cette résolution. Je ne peux résister à la tentation de poser ma main droite sur la cuisse gauche de la jeune effrontée...
Sa peau est douce, chaude... j'exerce une légère pression vers moi. La lycéenne de 19 ans comprend instantanément qu'elle doit écarter ses cuisses. Elle les ouvre largement. Seuls l'accoudoir central d'un côté et la portière de l'autre, l'empêchent de les écarter davantage.
Ma main glisse sous sa jupe.
Moi:《remonte là》
Elle obéit, je touche son sexe, j' effleure ses grandes lèvres puis découvre au toucher une petite toison épaisse au dessus. Je suis agréablement surpris, j'aime les poils feminins et de nos jours les sexes lisses sont à la mode, ce que je regrette.
Lou gémit, appuie sa tête en arrière et pousse son bassin vers l'avant.
Moi:《lève tes jambes》《enlève tes chaussures, écarte au maximum!》
La jeune femme obéit à toutes mes directives, elle agrippe l'intérieur de ses cuisses avec ses deux mains afin de les maintenir bien écartées et relevées. La vision de cette gamine totalement offerte m'excite au plus haut point!Mes doigts s'activent autour et dans sa vulve.
Je fouille sa chatte! Cette petite salope mouille! J'adore ça!
Lou s'abandonne à mes caresses, elle oublie qu'elle est dans un lieu public, qu'elle peut être surprise par des inconnus, vue dans cette position obscène! Ces jambes blanches tranchent dans cet intérieur en cuir noir, elles sont pliées à 45 degrés, parfaitement relevées! Ses pieds nus touchent presque la garniture du pavillon, ses cuisses sont écartées au maximum! Elle s'offre à moi! A ma main experte et mes doigts malicieux...
La paume de ma main touche son triangle touffu alors que mon majeur humide cherche son clitoris, le trouve et dessine autour des petits cercles.
Lou gémit de plus en plus fort, son visage voudrait basculer en arrière mais l'appuie-tête l'en empêche. Elle mouille abondamment, je cesse de jouer avec son clito pour claquer son vagin inondé, je lui donne des petites tapes avec mes cinq doigts serrés! C'est follement excitant! Mes claques bien contrôlées sont bruyantes! Ça clapote! Ce bruit caractéristique nous exalte, elle comme moi! A ce moment là je ne pense qu'à une chose! Baiser, tringler, défoncer cette jeune soumise!

Le bruit caractéristique d'un déverrouillage centralisé d'une voiture nous arrache à notre déchaînement lubrique. Un couple s'approche, leur véhicule est à deux ou trois emplacements du mien. Lou prend une pose plus conventionnelle et ma main cesse de jouer avec son intimité.

A l'intérieur du M... S...... nous nous installons au comptoir au centre de la grande salle. Il y a beaucoup de monde, les tables du restaurant sont toutes occupées. Sur notre gauche une petite scène où un groupe délivre une musique de qualité dans un style pop rock.

Lou s'excuse, elle doit aller aux toilettes. Je la regarde déambuler dans la grande pièce aux multiples ouvertures. Elle finit par interroger une serveuse qui lui indique la bonne direction.
Je commande deux cocktails, la jeune effrontée se fait attendre... J'observe la clientèle présente, c'est très mélangé, en âges comme en styles. L'endroit est agréable, l'atmosphère générale, la lumière, la musique. Le brouhaha des multiples conversations et la musique créent une forme d'anonymat et de discrétion pour les discussions privées...

Les cocktails sont servis alors que Lou n'a toujours pas réapparu. J'ignore la vibration de mon téléphone dans la poche de mon pantalon. Moins d'une minute plus tard ma jeune invitée m'a rejoint. Elle sourit, m'interroge sur la nature du breuvage devant elle. Nous sommes côte à côte alors nous orientons légèrement nos chaises hautes l'une vers l'autre pour mieux partager l'instant.
Moi, provocant, souriant:《tu t'habitues aux fesses nues..?
Elle, du tac au tac:《oui! c'est très agréable!》
Lou  affiche un large sourire et son regard franc m'émerveille... Cette gamine est décidément surprenante!
Nous discutons de choses plus ordinaires en sirotant nos boissons multicolores. Lou n'est plus intimidée, je dirais même qu'elle se désinhibe. Je la trouve de plus en plus belle, sa bouche est d'une sensualité enivrante et ses dents blanches parfaitement alignées me laissent admiratif...
Je feins d'être indifférent à son physique mes ses petits seins en poires, dont les tétons pointent éhontément, attirent inlassablement mon regard...

Lou enthousiaste me parle d'une expo qu'elle a vue récemment. Nous programmons d'en découvrir une ensemble dès que l'occasion se présentera. Il est 1 heure du matin passée, je propose à Lou de la raccompagner à moins qu'elle ait autre chose de prévu, peut-être des amis à rejoindre pour prolonger cette nuit.
Elle:《non non... je n'avais rien prévu d'autre que vous voir ce soir...》

Sur le chemin du retour l'ambiance est plutôt silencieuse. Je mets un peu de musique sans trop de volume.
Moi:《tu es contente de ta soirée?》
Elle:《oui...》
Silence... Le (la)  premier (ère) qui parle a perdu. Cinq bonnes minutes s'écoulent... Lou bascule sur le côté, pose sa main droite sur mon épaule gauche et enfouie son visage dans mon cou. Son souffle fort couvre presque les notes musicales. Elle respire profondément, elle inspire, elle capte mon parfum, elle semble vouloir s'enivrer... sa main serre mon épaule, elle se colle à moi... son buste... sa poitrine... ses seins s'écrasent contre mon bras et mon épaule droits.
J'ai du mal à rester concentré sur la conduite de mon véhicule, j'ai envie de m'arrêter, là, sur le bord de la route et rendre à cette beauté insouciante l'étreinte qu'elle mérite...
Je m'en garde bien, je dois rester fort, je la laisse solitaire dans son élan de tendresse.

Nous sommes arrivés, je me gare devant son domicile sans couper le contact. Lou est restée le visage enfoui dans mon cou durant toute la fin du parcours.
Moi:《tu es chez toi》
Elle:《vous êtes sûr que vous ne voulez pas qu'on aille chez vous..?》
Moi:《oui, j'en suis sûr.》
La jeune effrontée embrasse mon cou avec passion, sa main droite se détache de mon épaule pour glisser sur ma poitrine puis mon ventre. Je crains un instant qu'elle poursuive son chemin sous mon pantalon mais il n'en est rien. Lou descend de ma voiture tête basse, sans un regard et prononce un 《bonne nuit Monsieur》à peine audible.

Il est presque 2 heures du matin quand j'arrive chez moi. Je suis pensif. Cette relation ne prend pas la tournure prévue. Certes je suis un sentimental mais quand je suis en mode "spanker" je veille à ne pas laisser transpirer cette facette de ma personnalité. Là, avec la jeune effrontée j'ai bien conscience de perdre le contrôle. Je suis charmé, des mots d'amour tournoient dans mon esprit, je trouve ça nul! Je suis en colère contre moi-même! Cette fille me perturbe, je n'aime pas ça, je n'ai pas l'habitude!
Et comme si cela ne suffisait pas, lorsque je consulte les messages de mon téléphone ignorés plus tôt dans la soirée, je découvre une vidéo de Lou sur mon compte Snapchat. Je comprends que la jeune effrontée l'a réalisée lorsqu'elle était dans les toilettes du B... S......! Elle a répondu à ma demande faite quand nous étions au L......! Bien qu'assommé par la fatigue ce que je vois anime mon cerveau et mon entre-jambes: Lou se branle sans retenue dans les chiottes! Un pied posé sur le rebord du lavabo, jupe retroussée et 3 doigts qui s'agitent frénétiquement dans sa chatte! Son visage est visible, sa bouche entrouverte laissant apparaître sa langue et ses yeux sont limite révulsés!
Je n'en crois pas mes yeux! En fait, alors que nous parlions de tout et de rien au comptoir du M... S...... Lou avait au préalable fait cette vidéo hard! La petite ingénue avait bien caché son jeu, rien dans son attitude ne laissait supposer qu'elle s'était comportée comme une véritable petite salope dans les toilettes de l'établissement de nuit!
Je me remémore le fil de la soirée d'hier, Lou effrayée et hésitante à l'idée de réaliser cette vidéo lorsque nous étions au L...... puis cette longue attente au comptoir du M... S......  quand la jeune effrontée s'attardait dans les toilettes.
Je visionne en boucle la vidéo, je bande comme un taureau, j'ai terriblement envie de me branler. Je pose le téléphone sur mon lit, défais ma ceinture et mon pantalon. Je libère ma queue droite comme un I, l'empoigne et me masturbe debout, les jambes légèrement fléchies. Mon cerveau est débranché, je me comporte comme un ado, seules mon excitation et la quête de plaisir comptent. Ma main coulisse à un rythme énergique sur ma verge gonflée de sang! Je vais jouir! Cette gamine m'excite à un point inimaginable! Dans l'instant je suis fou de désir pour elle! Je veux gicler sur elle! Sur son visage! Sur sa chatte!
J'éjacule sur l'écran de mon téléphone, je suis pitoyable, je le sais. Cela restera entre moi et ma conscience...

Le lendemain matin au réveil je pense à la jeune effrontée, je regarde mon téléphone, un SMS en attente. C'est elle:《Bonjour Monsieur, merci pour cette soirée...》
Moi:《Bonjour petite! Merci pour la vidéo!》
Réponse instantanée de Lou:《elle vous a plu?》
Je ne réponds pas et décide de rester muet toute la journée.

Le samedi soir je suis invité chez mon ami Mathieu, il est plus jeune que moi, 45 ans, et contrairement à moi est en couple. Nous dînons en regardant un match puis nous faisons une partie d'échecs.
Vers minuit, Mathilde son épouse nous dit bonsoir, elle est fatiguée. Nous sommes seuls dans le salon et j'en profite pour confier à mon ami mes préoccupations au sujet de ma récente rencontre. Je ne parle que de l'aspect sentimental de cette relation nouvelle. Mathieu n'est pas au courant de mes pratiques de Dominant (je n'écris pas BDSM car je m'inscris davantage dans des pratiques softs, plutôt D/s).
Mon ami s'interroge sur les motivations d'une jeune femme de 19 ans à s'intéresser à un homme de 55 ans. Il est étonné de me voir soucieux et s'inquiète de l'issue de ma relation avec Arianne.
Bref, cet échange ne m'est pas d'un grand secours.

De retour chez moi je consulte mon téléphone abandonné volontairement. 4 SMS de Lou répartis dans la journée et la soirée: 1er à 10h33 《vous n'êtes pas disponible?》, 2ème à 16h22 《je pense à vous...》, 3ème à 20h12 《envie de vous voir...》, 4ème à 22h39 《je suis désolée, je ne sais pas ce qui m'arrive, je ne vous embêterai plus.》
J'hésite à répondre, je décide de ne pas me "faire de nœuds au cerveau", d'être naturel et de donner un peu puisque je reçois tant.
Moi:《comment c'est passé ta journée?》
Il est quasi 2h du matin donc je n'attends pas spécialement de réponse, mon SMS est banal, voir incongru, une marque d'attention rien de plus.
A ma grande surprise mon téléphone sonne! Pas une notification de SMS! C'est la sonnerie! Lou m'appelle! Directe! Cash! Cette gamine ne manque décidément pas de culot...

Je décroche, instantanément je suis charmé par sa voix douce et mélodieuse. Elle s'enquérit de savoir si elle me dérange, elle dormait, je l'ai réveillée. Elle a passé une bonne journée mais regrette sans me le reprocher que je l'aie ignorée. Elle veut aussi savoir ce que j'ai fait de ma soirée, si je suis couché, des banalités... elle est adorable...
Moi:《tu vas te rendormir, on se rappellera demain》
Elle:《je voudrais être près de Vous Monsieur...》
Moi:《il est tard pour t'administrer ta 1ère fessée!》
Elle:《je ne parle pas de ça Monsieur》《je voudrais m'endormir contre vous...》
Je ne réponds pas à la douceur de ses mots, je ne veux pas être trop brutal non plus.
Moi:《bonne nuit Lou》
J'entends son souffle, des secondes qui paraissent une éternité, puis, résignée:《bonne nuit Ange...》
Je raccroche. C'est inédit et osé, Lou m'appelle par mon prénom... c'est une caresse, pas une provocation. De toute façon il est trop tard pour réfléchir, je n'ai plus la résistance physique d'antant, ces soirées festives répétées m'épuisent, je tombe de sommeil, je m'endors.