jeune effrontée 4
Récit érotique écrit par OhMur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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jeune effrontée 4
Nous sommes dimanche. Pas de réveil programmé, je traine, petit déj puis lecture en terrasse au soleil.
Je pense à Lou, a la tournure que risque de prendre cette relation si je ne réagis pas.
Rien de notable en cette journée dominicale. Je suis surpris que la jeune effrontée ne se manifeste pas mais cela me rassure aussi.
Une nouvelle semaine débute et c'est Arianne qui en profite pour revenir vers moi:《c'est bon? je peux t'écrire?》
Moi:《appelle moi entre midi et deux je vais avoir une matinée chargée》
Midi passé, toujours pas de nouvelles de Lou.
Arianne m'appelle, me demande où je déjeune, nous nous retrouvons à la brasserie du S.. O.... place N........
Je la découvre stressée, sourire forcé. Elle évoque des contrariétés au travail (elle est cadre dans une grande compagnie d'assurance), je pense qu'il y a autre chose mais je ne cherche pas à savoir.
Lundi et mardi s'écoulent, la jeune effrontée m'écrit le mercredi en fin de matinée:《Bonjour Monsieur, comment allez-vous?》
Pour être franc j'accueille ce SMS avec bonheur mais je ne m'empresse pas de lui répondre.
Moi:《Bonjour petite, je vais très bien et toi?》
Elle:《ça va... je suis en plein service, je vous appelle plus tard》
(En fait dans le cadre de ses études au Lycée Hôtelier Lou alterne entre théorie en salle de classe et pratique au sein du restaurant de l'établissement qui est ouvert au public)
Je suis quelque peu contrarié par la brièveté de cet échange.
Dans l'après-midi je néglige sans raison de répondre à la jeune effrontée et la rappelle 1 heure plus tard.
Elle:《je suis dans le bus Monsieur, vous m'entendez bien?》
S'ensuivent quelques banalités puis la lycéenne m'avoue qu'elle est contente de me parler et m'interroge sur mon envie de la revoir.
Moi:《c'est de ton envie qu'il faut parler》《as-tu toujours envie de la recevoir cette fessée!?》
Lou hésite quelques secondes puis a l'intelligence de répondre en se cantonnant au sujet annoncé.
Elle:《oui Monsieur...》
Moi:《bien, tu recevras les instructions》《à plus tard》
Le lendemain vers 19h la jeune effrontée reçoit un SMS: 《demain soir tu te rends au 14 bd A...... B..... pour 20h précises. Tu dois être habillée et coiffée comme lorsque nous nous sommes vus pour la première fois. Tu rentres sans sonner, tu ne dis pas un mot. Tu avances vers le salon puis tu te positionnes à 1 mètre face à l'angle gauche au fond de la pièce. Tu baisses ton pantalon et ta culotte sous tes fesses et tu attends. Tu attends mains croisées dans ton dos》
Lou m'écrit et demande si elle peut m'appeler, je réponds par l'affirmative.
La jeune effrontée est chez elle et doit parler à voix basse pour ne pas risquer que sa mère entende. Elle est inquiète, me demande si nous serons seuls, si il s'agit de mon adresse. Je lui réponds que oui nous serons chez moi, qu'elle n'est pas obligée de venir, que si elle n'a pas suffisamment confiance en moi qu'elle s'abstienne même de venir. Je la sens émue au téléphone et chose incroyable alors que je ne parle que de fessée elle me demande si nous ferons l'amour. Avec ces mots, pas baiser mais bien, faire l'amour.
Moi:《tu fais fausse route petite, je te l'ai dit, ton cul ne m'intéresse que pour être rougi!》
Lou me fait alors une déclaration improbable, elle se dit amoureuse de moi, elle veut que je sois le premier.
Moi, ferme, autoritaire:《je me fous de ta virginité! tu te crois précieuse parce que tu es vierge!? 》
Je ne pense pas un mot de ce que j'affirme mais c'est ce que cette gamine doit entendre. Sa respiration change, je devine l'amorce d'un sanglot qu'elle retient. Je me tais, je suis ému mais je ne veux rien montrer.
Moi:《sois sans illusion! si tu viens demain c'est pour te faire claquer le cul!》《c'est tout ce que tu mérites et c'est uniquement ce que tu recevras!》
Je coupe la communication. A cet instant je suis persuadé que la jeune effrontée ne viendra pas.
Vendredi matin, je regrette d'avoir été si dur avec la jeune effrontée mais je me rassure mentalement en jugeant qu'il ne pouvait pas en être autrement. Je ne comprends pas l'élan sentimental de cette gamine et surtout je ne veux pas tomber dans ce "piège".
Je suis chez moi, je porte un pantalon noir en coton, ma ceinture, pieds nus. En haut une chemise noire par dessus mon pantalon, col largement ouvert, manches retroussées.
19h55, je m'installe confortablement dans le canapé qui fait face à l'entrée. Je pose négligemment mes pieds sur la table basse et mes bras forment une croix sur les dossiers.
Il doit être 20h car la porte d'entrée s'ouvre doucement et verse un rayon de lumière qui s'élargit progressivement.
Lou paraît être soudée à la lourde porte en bois puis s'en éloigne. La lumière de la rue s'éclipse, la jeune effrontée est là. Je la regarde traverser timidement le grand salon, ses yeux bleus m'évitent, cherchant la direction à prendre. Je sens un déplacement d'air quand elle passe derrière moi.
Je ne bouge pas, j'inspire profondément et me délecte de ce moment... J'écoute. J'entends le froissement des tissus, leurs glissements sur la peau... Jai tout mon temps pour voir, pour l'instant je savoure le plaisir de deviner...
Lou respecte la consigne prioritaire de ne pas parler. Aucune question, pas un mot, c'est parfait...
Je me lève pour m'installer dans le 2ème canapé, celui qui est orienté à l'opposé, vers la grande baie vitrée donnant sur le jardin mais aussi vers le coin du salon où la jeune effrontée se tient.
Son pantalon noir est tombé à ses chevilles, sa culotte de la même couleur est maintenue baissée sous ses fesses. Deux magnifiques fesses blanches! Deux ovales parfaits, bombés juste ce qu'il faut, séparés par un joli sillon sombre...
Lou a un cul magnifique! Je savoure ce moment et m'estime chanceux de profiter à ma guise de ce spectacle...
Ses jambes fines sont serrées, la jeune effrontée est parfaitement immobile, les bras dans son dos, mains soigneusement croisées.
Quelques minutes s'écoulent, une inaction et un silence pesants pour la lycéenne de 19 ans...
Moi:《remonte un peu ta chemise que je puisse voir l'entièreté de ton cul!》
La jeune effrontée s'exécute.
Moi《oui, voilà, comme ça》《tiens ta chemise》
J'aime tout de cette gamine, ses cheveux sont d'un brun soutenu et brillant. Ils sont longs, parfaitement coiffés, lissés, et descendent juste au dessus de la taille.
Moi:《tourne toi》
Lou pivote sur elle même, elle est maintenant face à moi, à 4 ou 5 mètres, tête légèrement baissée, fuyant toujours mon regard.
Moi:《c'est bien》《tu dois toujours garder la tête basse devant ton Dominant》
La jeune effrontée maintient toujours sa chemise légèrement relevée mais de face le tissu blanc cache partiellement sa toison.
Moi:《ouvre ta chemise》
J'observe ses doigts fins et gracieux défairent les uns après les autres tous les boutons. J'aperçois la partie centrale d'un soutien-gorge blanc, je lui demande d'écarter les pans de sa chemise et de les maintenir ainsi en gardant ses mains sur ses hanches.
Ma petite soumise est sublime... je ne pensais pas pouvoir être autant attiré physiquement par une femme aussi jeune... Bien-sûr je ne laisse rien trahir de mon émerveillement même si j'imagine aisément que Lou est très consciente de sa beauté et de son pouvoir de séduction...
Moi:《approche》《viens me montrer ta ptit' chatte》
J'autorise la jeune effrontée à se débarrasser de son pantalon resté à ses chevilles.
Lou s'approche timidement, je la scrute sourire aux lèvres, dominant, impérieux. Elle fait des petits pas pour garder sa culotte en haut de ses cuisses mais ces précautions sont vaines, le sous-vêtement en dentelle noire finit à ses pieds.
Moi:《tu ne l'enlèves pas!》《tu la gardes ainsi puisque tu n'as pas su la garder en position!》
La lycéenne rougit, sa marche est empruntée.
Moi, moqueur:《regarde comme tu es ridicule à présent...》《entravée par ta culotte!》
La jeune effrontée tient toujours les pans de sa chemise écartés. Je contemple son ventre blanc, magnifique... mais surtout son joli triangle noir, d'une géométrie parfaite.
Elle contourne la table basse, d'un geste de la main je lui fais signe de stopper à 1 mètre de moi.
La gêne, la honte, de la jeune effrontée sont perceptibles. Elle est exhibée, offerte à mon regard curieux, investigateur.
Plus un mot de ma part, j'inflige à ma soumise 3 bonnes minutes de cette situation pesante.
Je rectifie ma position assise et j'ordonne à Lou de s'allonger sur mes genoux. Son parfum mêlé à une légère odeur de transpiration est perceptible. Son ventre prend appui sur ma cuisse droite, sa poitrine maintenue dans le soutien-gorge s'écrase sur ma cuisse gauche, alors que son visage plonge dans le cuir souple du canapé et que ses bras graciles l'encerclent.
Je remonte son chemisier blanc une vingtaine de centimètres au dessus de ses fesses joliment rebondies et je décide finalement de retirer sa culotte qui se révèle être un joli tanga très sexy.
Ses cheveux se sont déployés en forme d'éventail et une fraction de seconde je m'interroge sur leur couleur naturelle tant ce noir brillant atteint la perfection.
Je prends une respiration profonde en réfléchissant au nombre et à la cadence. Ma main droite est posée sur les cuisses de la jeune effrontée, la gauche sur la partie de son dos dénudé.
Je me concentre sur ces jolies fesses blanches qui bientôt ne le seront plus. Ma main droite se lève et s'abat sèchement sur la petite fesse droite puis quelques secondes plus tard c'est la fesse gauche qui est claquée.
CLAC!
CLAC!
Le rythme est posé, toutes les 2 secondes ma main doigts serrés, habile, rigoureuse, frappe en alternance les deux moitiés de cette croupe offerte.
CLAC!
CLAC!
CLAC!
CLAC!
Lou commence a couiner, elle a mal, je la sens contractée, elle découvre, elle regrette peut-être, c'est sa première fessée...
CLAC!
CLAC!
CLAC!
CLAC!
Les fesses de la jeune effrontée ont été claquées 20 fois! 20 fois chacune! 40 coups sur son fessier au total! La douleur s'amplifie, les dernières claques provoquent des cris!
Moi:《c'est terminé mon bb》
Ce dernier mot m'échappe, les cris de douleur de la jeune effrontée m'ont attendri, je suis ému, je n'ai pas su me contenir, un éclair de tendresse m'a submergé...
Elle pleure, elle sanglote. Je caresse ses cheveux, ma main meurtrière caresse ses cuisses, ses molets. Je m'incline vers ses fesses rouge vif et je souffle. Un souffle léger et continue, un souffle frais, une caresse, comme un remède, un pardon...
Enfin ma main droite vient soulager la croupe meurtrie. De douces caresses apaisantes, qui font circuler le sang, qui réconfortent, qui guérissent...
Lou gémit, je l'incite à se retourner, ma main gauche soutenant sa nuque l'aide à tendre son visage vers le mien qui s'incline. Nos bouches se rencontrent, nos lèvres... nos langues se mêlent. Ses yeux sont fermés, elle m'enlace, elle ne veut plus me lâcher, nos lèvres sont soudées, nos langues liées.
Maintenant je sais que j'ai perdu ce combat.
Je pense à Lou, a la tournure que risque de prendre cette relation si je ne réagis pas.
Rien de notable en cette journée dominicale. Je suis surpris que la jeune effrontée ne se manifeste pas mais cela me rassure aussi.
Une nouvelle semaine débute et c'est Arianne qui en profite pour revenir vers moi:《c'est bon? je peux t'écrire?》
Moi:《appelle moi entre midi et deux je vais avoir une matinée chargée》
Midi passé, toujours pas de nouvelles de Lou.
Arianne m'appelle, me demande où je déjeune, nous nous retrouvons à la brasserie du S.. O.... place N........
Je la découvre stressée, sourire forcé. Elle évoque des contrariétés au travail (elle est cadre dans une grande compagnie d'assurance), je pense qu'il y a autre chose mais je ne cherche pas à savoir.
Lundi et mardi s'écoulent, la jeune effrontée m'écrit le mercredi en fin de matinée:《Bonjour Monsieur, comment allez-vous?》
Pour être franc j'accueille ce SMS avec bonheur mais je ne m'empresse pas de lui répondre.
Moi:《Bonjour petite, je vais très bien et toi?》
Elle:《ça va... je suis en plein service, je vous appelle plus tard》
(En fait dans le cadre de ses études au Lycée Hôtelier Lou alterne entre théorie en salle de classe et pratique au sein du restaurant de l'établissement qui est ouvert au public)
Je suis quelque peu contrarié par la brièveté de cet échange.
Dans l'après-midi je néglige sans raison de répondre à la jeune effrontée et la rappelle 1 heure plus tard.
Elle:《je suis dans le bus Monsieur, vous m'entendez bien?》
S'ensuivent quelques banalités puis la lycéenne m'avoue qu'elle est contente de me parler et m'interroge sur mon envie de la revoir.
Moi:《c'est de ton envie qu'il faut parler》《as-tu toujours envie de la recevoir cette fessée!?》
Lou hésite quelques secondes puis a l'intelligence de répondre en se cantonnant au sujet annoncé.
Elle:《oui Monsieur...》
Moi:《bien, tu recevras les instructions》《à plus tard》
Le lendemain vers 19h la jeune effrontée reçoit un SMS: 《demain soir tu te rends au 14 bd A...... B..... pour 20h précises. Tu dois être habillée et coiffée comme lorsque nous nous sommes vus pour la première fois. Tu rentres sans sonner, tu ne dis pas un mot. Tu avances vers le salon puis tu te positionnes à 1 mètre face à l'angle gauche au fond de la pièce. Tu baisses ton pantalon et ta culotte sous tes fesses et tu attends. Tu attends mains croisées dans ton dos》
Lou m'écrit et demande si elle peut m'appeler, je réponds par l'affirmative.
La jeune effrontée est chez elle et doit parler à voix basse pour ne pas risquer que sa mère entende. Elle est inquiète, me demande si nous serons seuls, si il s'agit de mon adresse. Je lui réponds que oui nous serons chez moi, qu'elle n'est pas obligée de venir, que si elle n'a pas suffisamment confiance en moi qu'elle s'abstienne même de venir. Je la sens émue au téléphone et chose incroyable alors que je ne parle que de fessée elle me demande si nous ferons l'amour. Avec ces mots, pas baiser mais bien, faire l'amour.
Moi:《tu fais fausse route petite, je te l'ai dit, ton cul ne m'intéresse que pour être rougi!》
Lou me fait alors une déclaration improbable, elle se dit amoureuse de moi, elle veut que je sois le premier.
Moi, ferme, autoritaire:《je me fous de ta virginité! tu te crois précieuse parce que tu es vierge!? 》
Je ne pense pas un mot de ce que j'affirme mais c'est ce que cette gamine doit entendre. Sa respiration change, je devine l'amorce d'un sanglot qu'elle retient. Je me tais, je suis ému mais je ne veux rien montrer.
Moi:《sois sans illusion! si tu viens demain c'est pour te faire claquer le cul!》《c'est tout ce que tu mérites et c'est uniquement ce que tu recevras!》
Je coupe la communication. A cet instant je suis persuadé que la jeune effrontée ne viendra pas.
Vendredi matin, je regrette d'avoir été si dur avec la jeune effrontée mais je me rassure mentalement en jugeant qu'il ne pouvait pas en être autrement. Je ne comprends pas l'élan sentimental de cette gamine et surtout je ne veux pas tomber dans ce "piège".
Je suis chez moi, je porte un pantalon noir en coton, ma ceinture, pieds nus. En haut une chemise noire par dessus mon pantalon, col largement ouvert, manches retroussées.
19h55, je m'installe confortablement dans le canapé qui fait face à l'entrée. Je pose négligemment mes pieds sur la table basse et mes bras forment une croix sur les dossiers.
Il doit être 20h car la porte d'entrée s'ouvre doucement et verse un rayon de lumière qui s'élargit progressivement.
Lou paraît être soudée à la lourde porte en bois puis s'en éloigne. La lumière de la rue s'éclipse, la jeune effrontée est là. Je la regarde traverser timidement le grand salon, ses yeux bleus m'évitent, cherchant la direction à prendre. Je sens un déplacement d'air quand elle passe derrière moi.
Je ne bouge pas, j'inspire profondément et me délecte de ce moment... J'écoute. J'entends le froissement des tissus, leurs glissements sur la peau... Jai tout mon temps pour voir, pour l'instant je savoure le plaisir de deviner...
Lou respecte la consigne prioritaire de ne pas parler. Aucune question, pas un mot, c'est parfait...
Je me lève pour m'installer dans le 2ème canapé, celui qui est orienté à l'opposé, vers la grande baie vitrée donnant sur le jardin mais aussi vers le coin du salon où la jeune effrontée se tient.
Son pantalon noir est tombé à ses chevilles, sa culotte de la même couleur est maintenue baissée sous ses fesses. Deux magnifiques fesses blanches! Deux ovales parfaits, bombés juste ce qu'il faut, séparés par un joli sillon sombre...
Lou a un cul magnifique! Je savoure ce moment et m'estime chanceux de profiter à ma guise de ce spectacle...
Ses jambes fines sont serrées, la jeune effrontée est parfaitement immobile, les bras dans son dos, mains soigneusement croisées.
Quelques minutes s'écoulent, une inaction et un silence pesants pour la lycéenne de 19 ans...
Moi:《remonte un peu ta chemise que je puisse voir l'entièreté de ton cul!》
La jeune effrontée s'exécute.
Moi《oui, voilà, comme ça》《tiens ta chemise》
J'aime tout de cette gamine, ses cheveux sont d'un brun soutenu et brillant. Ils sont longs, parfaitement coiffés, lissés, et descendent juste au dessus de la taille.
Moi:《tourne toi》
Lou pivote sur elle même, elle est maintenant face à moi, à 4 ou 5 mètres, tête légèrement baissée, fuyant toujours mon regard.
Moi:《c'est bien》《tu dois toujours garder la tête basse devant ton Dominant》
La jeune effrontée maintient toujours sa chemise légèrement relevée mais de face le tissu blanc cache partiellement sa toison.
Moi:《ouvre ta chemise》
J'observe ses doigts fins et gracieux défairent les uns après les autres tous les boutons. J'aperçois la partie centrale d'un soutien-gorge blanc, je lui demande d'écarter les pans de sa chemise et de les maintenir ainsi en gardant ses mains sur ses hanches.
Ma petite soumise est sublime... je ne pensais pas pouvoir être autant attiré physiquement par une femme aussi jeune... Bien-sûr je ne laisse rien trahir de mon émerveillement même si j'imagine aisément que Lou est très consciente de sa beauté et de son pouvoir de séduction...
Moi:《approche》《viens me montrer ta ptit' chatte》
J'autorise la jeune effrontée à se débarrasser de son pantalon resté à ses chevilles.
Lou s'approche timidement, je la scrute sourire aux lèvres, dominant, impérieux. Elle fait des petits pas pour garder sa culotte en haut de ses cuisses mais ces précautions sont vaines, le sous-vêtement en dentelle noire finit à ses pieds.
Moi:《tu ne l'enlèves pas!》《tu la gardes ainsi puisque tu n'as pas su la garder en position!》
La lycéenne rougit, sa marche est empruntée.
Moi, moqueur:《regarde comme tu es ridicule à présent...》《entravée par ta culotte!》
La jeune effrontée tient toujours les pans de sa chemise écartés. Je contemple son ventre blanc, magnifique... mais surtout son joli triangle noir, d'une géométrie parfaite.
Elle contourne la table basse, d'un geste de la main je lui fais signe de stopper à 1 mètre de moi.
La gêne, la honte, de la jeune effrontée sont perceptibles. Elle est exhibée, offerte à mon regard curieux, investigateur.
Plus un mot de ma part, j'inflige à ma soumise 3 bonnes minutes de cette situation pesante.
Je rectifie ma position assise et j'ordonne à Lou de s'allonger sur mes genoux. Son parfum mêlé à une légère odeur de transpiration est perceptible. Son ventre prend appui sur ma cuisse droite, sa poitrine maintenue dans le soutien-gorge s'écrase sur ma cuisse gauche, alors que son visage plonge dans le cuir souple du canapé et que ses bras graciles l'encerclent.
Je remonte son chemisier blanc une vingtaine de centimètres au dessus de ses fesses joliment rebondies et je décide finalement de retirer sa culotte qui se révèle être un joli tanga très sexy.
Ses cheveux se sont déployés en forme d'éventail et une fraction de seconde je m'interroge sur leur couleur naturelle tant ce noir brillant atteint la perfection.
Je prends une respiration profonde en réfléchissant au nombre et à la cadence. Ma main droite est posée sur les cuisses de la jeune effrontée, la gauche sur la partie de son dos dénudé.
Je me concentre sur ces jolies fesses blanches qui bientôt ne le seront plus. Ma main droite se lève et s'abat sèchement sur la petite fesse droite puis quelques secondes plus tard c'est la fesse gauche qui est claquée.
CLAC!
CLAC!
Le rythme est posé, toutes les 2 secondes ma main doigts serrés, habile, rigoureuse, frappe en alternance les deux moitiés de cette croupe offerte.
CLAC!
CLAC!
CLAC!
CLAC!
Lou commence a couiner, elle a mal, je la sens contractée, elle découvre, elle regrette peut-être, c'est sa première fessée...
CLAC!
CLAC!
CLAC!
CLAC!
Les fesses de la jeune effrontée ont été claquées 20 fois! 20 fois chacune! 40 coups sur son fessier au total! La douleur s'amplifie, les dernières claques provoquent des cris!
Moi:《c'est terminé mon bb》
Ce dernier mot m'échappe, les cris de douleur de la jeune effrontée m'ont attendri, je suis ému, je n'ai pas su me contenir, un éclair de tendresse m'a submergé...
Elle pleure, elle sanglote. Je caresse ses cheveux, ma main meurtrière caresse ses cuisses, ses molets. Je m'incline vers ses fesses rouge vif et je souffle. Un souffle léger et continue, un souffle frais, une caresse, comme un remède, un pardon...
Enfin ma main droite vient soulager la croupe meurtrie. De douces caresses apaisantes, qui font circuler le sang, qui réconfortent, qui guérissent...
Lou gémit, je l'incite à se retourner, ma main gauche soutenant sa nuque l'aide à tendre son visage vers le mien qui s'incline. Nos bouches se rencontrent, nos lèvres... nos langues se mêlent. Ses yeux sont fermés, elle m'enlace, elle ne veut plus me lâcher, nos lèvres sont soudées, nos langues liées.
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