Jeune fille au pair
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jeune fille au pair
Je m’appelle Ingrid et à 20 ans, avant de commencer une licence d'anglais, j'avais trouvé une place de jeune fille au pair dans la famille du Docteur Besson Je suis arrivée à l'aéroport d'Heatrow et je ne me doutais pas que j'allais vivre en Angleterre un moi qui allait bouleverser ma vie. Le Dr était venu m’accueillir avec toute se famille, ses deux enfants un peu plus jeunes que moi. Sa fille était timide, mais le garçon, Bobby, n'arrêtait pas de me déshabiller du regard. Il m'a tout de suite déplu. Sa femme, Nelly, gentillement et dans un français approximatif me nommait les édifices devant lesquels nous passions. Quand au Dr Besson, il ne disait pas un mot : il n'avait pas l'air très sympathique.
Les Benson habitaient Londres dans une maison individuelle, non loin de Hyde Park. Le cabinet du Dr se trouvait au sous-sol, les patients y accédaient de dehors par un escalier. Nelly s'occupait du secrétariat de son mari.
On m'a installée dans une petite pièce triste, sous les toits et la première nuit, j'ai eu du mal à trouver le sommeil. Mes parents me manquaient, ainsi que Jean-Marc, mon petit ami du moment. Ce n'était pas mon premier flirt, mais il comptait beaucoup pour moi, car il m'avait dépucelée quelque temps plus tôt. Je me suis mise à me caresser en repensant à ce moment.
Cela s'était passé à la campagne lors des premiers jours d'été, nous savions que nous ne nous reverrions pas avant un long mois et Jean-Marc avait envie de me laisser un souvenir impérissable. J'ai baissé son pantalon et j'ai commencé à le sucer.
Doucement, ne me fais pas juter dans ta bouche ! Laisse-moi te faire l'amour... tu seras absente si longtemps.
Non ! Je t'en prie... j'ai peur !
Allons, si tu m'aimes vraiment, laisse-moi te la mettre !
J’étais si émoustillée de l'avoir sucé, que je me suis laissée faire...
Ohhh ! Doucement... Ne jouis pas en moi... je ne prends pas la pilule.
Ne t'en fais pas...
Il s'est enfoncé en et après une légère douleur, il a réussi à me donné un minimum de plaisir. Ensuite, il s'est soulagé sur moi, me barbouillant le ventre de sa semence chaude.
Et à chaque fois que je pensais au sexe de Jean-Marc dans ma chatte cela me rendait folle d'excitation. Mais cette fois je fus interrompue par un bruit venant du couloir et je suis arrivée juste à temps pour apercevoir Bobby qui dévalait l'escalier. Le petit vicieux était venu m'espionner ! Je me suis mise à rougir en pensant qu'il avait dû me voir me caresser !
Le lendemain au petit déjeuner, il n'arrêtait pas de me regarder avec effronterie. Je ne savais plus où me mettre ! Plus tard, il m'a coincée dans le couloir...
Alors la petite française... On a inauguré son lit en beauté, hier soir... Tu devrais m'appeler quand ça te dérange... Je te mettrai ma queue, ça sera meilleur que ton doigt !
J'étais honteuse et ce premier jour, je suis sortie me promener dans Londres. J'avais le cœur gros, la France me manquait et puis ce sale gamin de Bobby m'avait mise mal à l'aise. Je trouvais que mon séjour en Angleterre commençait plutôt mal... Cela gâchait un peu le plaisir de me trouver dans cette ville extraordinaire et j'avais du mal à en apprécier les charmes. Pourtant je n'étais pas qu bout de mes surprises.
Quand je suis rentrée vers 5h, Mme Benson m'a offert une tasse de thé. J'étais contente de savoir que Bobby était sortis Je fus soulagée d'apprendre que je n'aurai pas trop à m'occuper des enfants. Les Benson attendaient surtout que j'aide le Docteur.
e vais vous expliquer ce que vous aurez à faire, mademoiselle. Ce n'est rien de compliquer : accueillir les patients, répondre au téléphone, prendre les rendez-vous...
Nelly était une très belle femme, très distinguée, mais d'allure un peu guindée. Lorsqu’elle a décroisée les jambes pour changer de position, j'ai entrevu la peau laiteuse de ses cuisses et les attaches de son porte-jarretelles.
J'ai l'impression que nous allons bien nous entendre, mademoiselle...
J'ai eu le sentiment qu'elle s'était rendue compte que j'avais aperçu son entrecuisse et que ses paroles étaient chargées de sous-entendus.
Les jours suivants, j'évitais de croiser Bobby. J'ai commencé à donner un coup de main à Nelly, lorsqu'elle avait une course à faire ou lorsqu'elle préparait le repas, je la remplaçais au secrétariat médical. Répondre au téléphone et introduire les patients dans la salle d'attente n'était pas très compliqué. Je commençais à apprécier ma nouvelle vie et je faisais de rapides progrès en anglais.
Le Docteur Benson m'intimidait, à part pour me dire bonjour, il ne m'adressait pas la parole. Comme si je n'existais pas. Il se montrait peu loquace et les repas étaient lugubres ! Mais dès que nous étions seuls, Bobby me faisait des propositions obscènes, mais cela n'allait pas plus loin.
Elle n'a pas envie d'un gros sucre d'orge, la petite frenchy ?
Quant à Jane, la fille, sous ses airs timides, elle semblait aussi sournoise que son frère. Régulièrement je sentais qu'elle regardais mon cul et plus si elle pouvait.
Un jour, en fin d'après-midi, alors que je m'ennuyais à classer les fiches des patients, le docteur Benson est venu me demander de l'aider de sa voix sèche et autoritaire.
Pouvez-vous venir une minute, mademoiselle ?
C'était Mme Watson, la dernière patiente de la journée. Il avait fait tomber une boîte d’abaisse-langue. Il m’ordonna de les ramasser. Il me traitait comme une domestique ! J'étais furieuse, mais j'ai obéi sans rien dire. De son côté le docteur s'occupait de sa patiente.
Je suis à vous, Mme Watson. Écartez les jambes, voulez-vous !
Ce type était vraiment le dernier des mufles ! J'enrageais !
écartez encore... le plus possible.
Oh docteur, ne pouvez-vous attendre que cette jeune personne soit sortie ?
Elle ne compte pas ! C'est comme si elle n'était pas là ! Ne vous en faites pas...
Il s'est mis à l'examiner, tripoter, serait un terme plus approprié !
Laissez-vous aller. Détendez-vous. Je ne vais pas vous faire mal... Mmm... vous êtes toute chaude et humide. Il faut que je vous prenne... la température...
Après lui avoir bien écarté les cuisse, il glissait son doigt dans sa chatte dégoulinante. Il était en train de la masturber devant moi ! La stupeur avait remplacé ma colère !
De ce côté, tout me paraît normal...
Oh, docteur, non !
Il se plaça son visage entre ses jambes.
Allons, ne faites pas l'enfant ! Voyons voir par là...
Il lui observait l'anus. Jamais je n'avais vu un médecin se conduire ainsi.
De ce côté aussi, vous êtes chaudeOh, docteur, doucement !
Il venait de lui enfoncer l'index dans le cul et elle semblait apprécier cela. Mais avant d'aller plus loin, le docteur demanda un peu plus d'intimité.
Vous êtes encore là, Ingrid ? Vous voyez bien que j'examine une patiente ! Sortez !
Mais je n'ai pas fini de ...
Sortez !
Son brusque changement d'attitude m'intriguait... ce que je venait de voir m'avait excitée. Et poussée par une curiosité malsaine, j'ai regardé par le trou de la serrure du cabinet de consultation. Et ce que je vis ne laisse aucun doute quant à la suite. Le docteur avait sa bite en érection sortie.
Ça t'a excitée de te faire tripoter devant cette petite gourde, pas vrai ?
Oh oui, Darjeeling ! Regardez comme je mouille ! Venez me baiser !
Ainsi, ils étaient amants, et tout cela n'était qu'une comédie. Ils s'étaient servi de moi pour s'exciter !
Je vais te baiser comme la semaine dernière !
Moi qui pensait que le docteur Benson n'était pas un chaud lapin ! Je me trompais, le spectacle m'excitait. Et je me suis mise à me caresser.
Tu la sens bien ?
Oh oui, oui ! Défoncez-moi !
Prends ton pied, petite garce !
Aaaah !!! Je jouis !
Quand la femme a eut fini de jouir, le docteur s'est rassis à son bureau sans avoir éjaculé et tout en entretenant son érection, il prit rendez-vous avec sa patiente.
Dépêchez-vous de rentrer chez vous, Mme Watson, votre mari va s'inquiéter !
Dois-je revenir la semaine prochaine, docteur ?
Bien sûr, comme d'habitude !
Dès que Mme Watson a quitté le cabinet médical, la femme du docteur est apparie comme si elle avait guetté le départ de la patiente.
Je vais terminer de ranger, Ingrid. Allez donc aider Jane à mettre la table.
Quelques instants plus tard, je suis revenue au secrétariat parce que j'avais fait exprès d'oublier un livre. Nelly avait rejoint son mari dans le cabinet... et par le trou de la serrure, j'ai suivi toute la scène.
Je vois que cette belle garce t'a mis dans un drôle d'état.Ainsi le docteur baisait ses patientes avec la bénédiction de son épouse !
Moi qui prenait les Benson pour un couple coincé, j'étais sidérée.
Je vais te soulager avec ma bouche... Mmm, j'aime sentir l'odeur d'une autre femme sur toi...
Je m'étais lourdement trompée : cette femme était vraiment perverse !
... et j'adore goûter sa mouille sur ta queue !
Nelly ouvrit la bouche et enfourna toute la bite de son mari jusqu'au fond de sa gorge.
Pompe bien ! Je t'ai gardé tout mon jus, darling ! Cette petite oie de Watson n'a rien eu !... Ohhh ! Tiens ! Tiens ! Asperge-toi le visage ! Que tu est belle ainsi, le visage souillé par mon foutre !
Il lui a nettoyé le visage avec la langue, lapant et avalant son propre sperme !
Oh, je suis excitée... j'ai envie de jouir... Laisse-moi enlever cette chose, que je puisse me masturber.
Nelly venait de soulever sa jupe et laissait maintenant apparaître une ceinture de chasteté.
pas question ! Tu jouiras quand je l'aurai décidé ! Pas avant !... Rajuste-toi et va préparer les repas !
Il lui parlait comme à une esclave comme lorsqu'il m'avait ordonné de ramasser les abaisses-langues.
J'étais troublée par ce que je venais de découvrir. Les Benson avaient d'étranges jeux sexuels... Savoir que Nelly portait une ceinture de chasteté, sous ses habits stricts de bourgeoise très comme-il-faut, m'émoustillait.
Les jours passaient. J'aidais au ménage à la cuisine... quand je m'occupais du secrétariat, chaque fois qu'une jolie patiente entrait dans le cabinet du docteur, j'avais des picotements dans le ventre. Souvent je regardais par le trou de la serrure, mais à ma grande déception, il ne se passait rien...
Puis un jour, le docteur m'a demandé de l'assister.
Pouvez-vous venir m'aider, Mademoiselle ?
Dans le cabinet, un patient avait la trentaine et était étendu entièrement nu sur la table d'auscultation.
- Je vais effectuer un prélèvement. Vous allez m'aider.
Je n'osais lui faire remarquer mon incompétence en la matière devant le patient. Je ne saisissais pas ce qu'il attendait de moi.
Tenez la verge avec votre main, je vais prélever les sécrétions de l’orifice du gland.
Quand j'ai compris, une gêne affreuse s'est emparée de moi.
Tenez le pénis fermement à deux mains et faites sortir la gland... rabattez bien la peau du prépuce en arrière... Maintenant, vous allez masser le pénis jusqu'à ce qu'une goutte de sécrétion suinte du méat.
Je n'en croyais pas mes oreilles ! Mes joues étaient rouge et brûlantes. J'avais chaud et honte. Je sentais que le patient m'observait, et je n'osais tourner mon regard vers lui. Tout à coup, son sexe a commencé à raidir entre mes doigts !
C'est bien... continuez...
Ma main glissait le long de ce sexe grandissant et une émotion sournoise enflait dans mon bas-ventre. L'homme s'excitait, et moi aussi, jusqu'à ce qu'un liquide visqueux apparaisse sur le bout de sa bite. Le docteur le préleva et le patient était aussi gêné que moi ; nous évitions de nous regarder. Quand au docteur Benson, il agissait comme si rien n'était arrivé.
Malgré ma gêne, cette scène m'avait fortement excitée, et je suis allée dans les toilettes pour me caresser. J'avais la chatte trempée et j'avais envie d'une bite au fond de moi, une queue bien dure. Je finis par jouir et j'ai repris mon travail comme si de rien n'était.
Quelques jours plus tard, Mme Watson, la maîtresse du docteur est revenue. Comme la semaine précédente, elle avait pris le dernier rendez-vous de la journée. Très vite, j'ai eu l’œil collé au trou de serrure du cabinet médical. Mme Watson avait déjà retiré sa jupe. Elle portait une tenue en cuir très provocante qui ne cachait rien de ses seins et de son sexe.
Ça vous plaît, docteur ?
Oui, dépêche-toi et va t'allonger !
Le docteur l'a attachée sur la table d'examen dans une pose obscène, bras et jambes écartée aux quatre coin de la table. Elle était totalement offerte à lui. J'apercevais, entre ses cuisses écartées, le renflement de son sexe moulé dans son string. Ses poils pubiens dépassaient de chaque côté de l'étroite bande de cuir. Je retenais mon souffle quand je l'ai vu saisir une cravache, mais j’étais impatiente de voir ce qu'il allait en faire... Il s'est mis à lui cingler les cuisses, elle ne protestait pas, ne criait pas, comme si elle aimait être battue. Sa peau se couvrait de zébrures rouges. Puis il l'a frappée sur tout le reste du corps et elle continuait à aimer.
Hmmm... hmmm...
Tu prends ton pied, petite salope ! Regarde ce que j'ai pour toi...
Il lui montra son sexe déjà bien gonflé.
Je suis sûr que tu mouille déjà ! Rien de tel que la souffrance pour exciter une femme !... Mais je ne vais pas t'enfiler tout de suite... faut faire durer le plaisir jusqu'à ce que tu me supplies de te défoncer la chatte.
Avec son sexe, il se mit à lui frapper la vulve, visant son clitoris moulé sous le bout de cuir. À chaque coup de bite, elle poussait un petit cri de plaisir. Son corps tremblait de désir.
Baise-moi ! S'il-vous-plaît, mettez-moi votre bite !
Demande-le-moi encore !
Et d'un geste, avec un scalpel il trancha les ficelles du string libérant la chatte trempée de sa patiente.
Venez me bourrer ! Je suis à vous, baisez-moi comme une putain !
C'est bien, tu es obéissante... Tu vas y avoir droit...
Il l'a pénétrée d'un violent coup de reins. Tout en lui faisant l'amour, il lui frappait les seins, lui pinçait les tétons et les cuisses. La douleur donnait autant de plaisir à Mme Watson que les coups de boutoir du docteur. Cette scène bien que violente, m'excitait beaucoup.
Alors, la petite française, on joue les voyeuses ?... C'est intéressant ce que tu regardes ?
Je n'avais pas entendu Bobby arriver et il m'avait surprise.
Et si je racontais à mon père que je t'ai surprise en train d'observer ce qui se passe dans son cabinet ?...
Je t'en prie, ne dis rien ! Je ferai tout ce que tu veux !
Je savais qu'en disant cela, je me livrais à sa merci...
Il va falloir que tu paies mon silence, tu sais... On en reparlera ce soir, dans ta chambre... ne mets pas le verrou...
J'étais furieuse que je n'ai même pas regardé la fin de la consultation de Mme Watson...
Après le repas du soir, je suis montée dans ma chambre. Une boule d'angoisse gonflait dans ma gorge. Je redoutais ce qu'allait me demander Bobby. Une demi heure plus tard il entra.
Coucou, petite curieuse, c'est bien, tu n'as pas verrouillé ta porte. Maintenant on va voir jusqu'à quel point tu es obéissante...
C'est là qu'il sorti son sexe de son pantalon et s'avança vers moi.
Fais-moi une petite branlette.
Avec dégoût, j'ai pris conscience que j'espérais qu'il allait me demander cela...
Regarde comme je bande. Astique-moi.
Non, laisse-moi !
Fais-le sinon je parle à mon père !
Il est devenu violent en m’attrapa par le cheveux me tirant à lui, Envahie d'une excitation malsaine, je protestais pour la forme.
C'est dégueulasse. Tu es un salaud !
Une mollesse sournoise s'emparait de moi...
Oh ouais ! Lèche-moi bien ! Ouvre ta bouche que j'y enfonce mon gland !
Avec un plaisir dégoûtant, j'ai senti sa queue coulisser antre mes lèvres, violer ma bouche...
Oooh, tu suces bien ! Encore mieux que mes copines ! Toi, on sent que tu aimes pomper une bite !
Ses propos blessants augmentaient encore mon trouble. Il me baisait la bouche, son gland cognait contre mon palais, ses couilles ballottaient sur mon menton. Ça m’écœurait et m'excitait tout à la fois.
Couche-toi, je vais tu juter dessus !
J'étais si excitée que je l'ai laissé faire quant il m'a couché sur le lit et a soulevé ma robe.
Je vais t'arroser ! Je vais t'en foutre partout !
Il m'a aspergé le ventre, souillant ma culotte de son sperme tiède. Mais alors qu'il jouissait et emportés par notre excitation, nous n'avions pas entendu le docteur Benson monter les escaliers et faire irruption dans ma chambre.
Il s'en passe de belle ici !
J'étais terrorisée. J'étais certaine que les Benson allaient me chasser et que mes parents apprendraient toute l'affaire...
Bobby, dans ta chambre !... Quant à vous, mademoiselle, nous aurons une petite discussion demain matin !
Je n'ai presque pas dormi, ce que le docteur avait fait à sa patiente m'avait excité et la visite de Bobby également. Mais je n'avais pas joui, j'étais sur les nerfs et j'ai éclaté en sanglots. Finalement, épuisée, j'ai quand même trouvé le sommeil.
Le lendemain matin, le docteur m'a convoquée dans son cabinet. J'avais mis une robe très sage et mon cœur cognait. J'espérais ne pas être amenée à avouer que je l'avais espionné pendant qu'il « examinait » Mme Watson.
Je suis atterré par la conduite de mon fils, mademoiselle. Croyez bien que je lui ai fait la leçon et qu'il a été sévèrement puni ! Cela ne se reproduira plus !
La réaction du docteur n'était pas celle que j'attendais.
J'espère que ce voyou ne vous a pas manqué de respect de façon irréparable.
J'étais sidérée par la tournure que prenait l'entretien.
Il serait fâcheux que vous tombiez enceinte...
Ne vous inquiétez pas. Nous n'avons pas...
Je préfère m'en assurer personnellement, mademoiselle !... Une chance que je sois médecin, je vais vous examiner...
Je vous assure ce n'est pas la peine. Il ne s'est tien passé de grave, vous avez bien vu, j'avais encore ma culotte...
Hier soir vous aviez bien votre culotte, mais les autres fois...
Mais il n'y a pas eu d'autres fois...
Il était passé derrière moi et sans même me demander, il avait commencé à dégrafer ma robe.
Allons ne faites pas l'enfant. Je vous examine et ensuite on oublie cette mésaventure !
Vous... vous n'allez pas me renvoyer en France ?
Mais non, si vous n'êtes pas enceinte, inutile d'ébruiter cette affaire...
Cela m'a rassurée. Mes parents n'apprendraient donc rien. Soulagée, je ne me suis plus méfiée et j'ai continué à ôter me vêtements...
Retirez votre culotte, vous n'avez rien à craindre, je ne suis pas le père de Bobby, mais un médecin... Allez vous installer sur la table d'examen.
Nue, j'étais troublée de me retrouver allongée sur la table où le docteur avait attaché Mme Watson.
Pour l'examen que j'ai à pratiquer, il faut que vous écartiez les cuisses... Voilà, comme ça ... ouvrez bien... Ce ne sera pas long.
Il posa la main sur mon sexe et je sentis immédiatement ses doigts en chercher l'entrée.
Mmm, vous n'êtes plus vierge, mes deux doigts rentrent sans efforts !
J'avais l'impression de me retrouver à la place de Mme Watson lorsque le docteur l'examinait de façon poussée. Il a brusquement changé de ton...
Vous vous faites baiser souvent ? Vous avez l'air chaude... Je comprends que mon fils se soit laissé séduire ! Avouez que vous l'avez allumé, petite salope !
Mais c'est lui ! Je n'ai rien fait !
J'étais incapable de réagir comme si ses doigts qu'il agitait dans mon vagin stimulaient un endroit qui me paralysait. Je ne contrôlais plus mon corps ; ma vulve se liquéfiait et les doigts du docteur clapotaient en fouillant ma chatte. La situation me révoltait et m'émoustillait en même temps.
Lâchez-moi ! Retirez vos doigts !
Pourquoi, tu n'aimes pas ? Pourtant qu'est-ce que tu mouilles !
Il me masturbait avec lenteur, son pouce titillait habillement mon clitoris qui grossissait.
hummm...
Je ne pouvais résister au plaisir, toute la tension sexuelle qui s'était accumulée en moi depuis deux jours se libérait.
Ça te plaît, pas vrai petite allumeuse ? Tu as envie que je te fasse jouir ?
Oh oui ! Oui !
Alors sors-moi la queue si tu veux que je continue !
Sans plus de volonté, j'ai obéi, il bandait déjà. Il ne portait pas de slip et sa queue raide et décalottée, a pointé hors de son pantalon.
Après le fils, tu vas goûter la bite du père !... C'est ça, montre-moi comment les françaises taillent les pipes !
J'ai ouvert la bouche et il à enfoncé sa queue pour la faire glisser.
Aspire ! Fais tourner ta petite langue autour de mon gland ! Aahh, tu fais ça aussi bien qu'une putain !
Je suçais avec un plaisir pervers, heureuse de sentir sa queue raide coulisser dans ma bouche. Ses doigts fouillaient mon vagin et je creusais les reins pour pousser mon sexe au devant de sa main. J'étais si excitée que je n'ai pas protesté quand il a voulu me baiser.
Mets tes fesses au bord de la table que je t'enfile !... Tu prends la pilule ?
Non...
Alors descends. Je ne vais pas te jouir dedans.
Il me prit par la main et m’agenouillai devant lui.
Je vais me soulager sur tes nichons ! J'aime voir mon foutre dégouliner entre les seins d'une traînée dans ton genre.
Ses paroles ordurières m'humiliaient et m'excitaient. Il se branlait sous mon nez ; sa queue avait l'odeur de ma mouille. Sa semence a glissé sur moi. Ça me dégoulinait dessus et c'était chaud, gluant. Il s'est essuyé sur ma poitrine. Je me sentais humiliée, rabaissée, pourtant, ça me plaisait.
Je vous fais une ordonnance pour la pilule. Ça sera plus pratique, on n'aura plus besoin de faire attention. Je pourrai vous remplir la chatte sans crainte.
J'ai réalisé avec répugnance qu'il ne comptait pas en rester là. Il me traitait comme si je lui appartenais. Je me sentais salie,misérable. J’avais envie de m'enfuir de rentrer en France. Mais comment expliquer mon brusque retour à mes parents sans leur raconter les saletés que j'avais commises avec les fils et avec le père ?
Pendant deux jours, j'ai inventé n'importe quel prétexte pour fuir la maison des Benson. J'en profitais pour visiter les musées de Londres... Chaque fois que je pensais à ce que m'avait fait le docteur, j'étais aussi excitée que révoltée.
Un après-midi que je rentrais de promenade, Mme Benson m'a proposé de prendre le thé. Ses enfants étaient absents pour la journée et le docteur occupé à ses consultations. Elle m'a parlé de tout et de rien, sa vie monotone de femme de médecin...
Savez-vous que la photographie est un hobby ?
Elle alla chercher dans un tiroir une enveloppe épaisse et me la tendit.
Tenez, regardez mes dernières réalisations. C'est loin d'être des chef-d’œuvre, mais j'espère faire mieux dans les jours qui viennent...
En découvrant les clichés, je fus stupéfaite.
Que pensez-vous du modèle ? Il est intéressant, n'est-ce pas ?
Qu'en penser ? C'était moi nu dans le cabinet du docteur.
Vous ne dites rien ? L'éclairage n'est pas très bon, mais le sujet est excitant, n'est-ce pas ?
D'après l'angle de prise de vue, les clichés avaient été pris de derrière le paravent qui se trouve dans le cabinet du médecin. Cela voulait dire que le docteur était au courant de la présence de sa femme ! Je ne savait que penser...
Nous allons les regarder ensemble comme deux collégiennes vicieuses qui feuillettent un magazine pornographique... Regardez celle-ci, c'est ma préférée... on voit votre toute votre chatte pendant que mon mari vous examine. Vous avez une belle chatte... large, humide. Ça doit être un régal d'y plonger le doigt, ou la langue...
Elle posa la main sur ma cuisse et écarta les siennes pour plonger l'autre jusqu'à son sexe humide.
C'est excitant, n'est-ce pas ? Nous sommes bien entre filles, on se comprend...
Les propos et les manières scandaleuses de cette femme qui semblait si convenable me grisaient. J'étais incapable de monter dans ma chambre ou de repousser sa main qui montait le long de ma jambe. Jamais aucune femme ne m'avait caressée.
Et celle-là... Il vous rentre sa queue. Vous aimez qu'il vous la mette, n'est-ce pas ? Ça se voit, regardez la tête que vous faites... une tête de petite salope...
Tout en se masturbant, elle continuait à commenter les photos. Ses mots obscènes m'affolaient. Sa main glissait de plus en plus loin le long de cuisse, ma faisant frissonner. Malgré moi, j'écartais les genoux, me laissant faire.
C'est bon de se branler entre femmes, hein, petite salope ? Tu aimes ça, ta chatte est trempée.
Nelly a faufilé sa main dans ma culotte, ses doigts jouaient avec ma fente, pinçaient mon clitoris. Une forte odeur de mouille montait de nos entrecuisses. Malgré ma gêne, j'étais incapable de réagir. Je me laissait faire comme une grosse poupée de chair.
Je vais m'occuper de toi. Mets-toi nue, tu seras mieux...
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, j'étais en petite culotte devant elle.
J'étais sûre qu'on s'entendrait bien toutes les deux... Nous sommes de la même race de salope...
Oh non, je vous en prie... non...
Laisse moi faire, je veux goûter à ta chatte... Elle sent la femelle en chaleur, petite salope...
Oh non, c'est pas...
Allons ne joue pas les mijaurées... On sait très bien que tu en as envie...
J'étais maintenant couchée sur le canapé, les cuisses écartées, me faisant doigter par Nelly.
Il va falloir que tu me laisse te faire ce que je voudrai, si tu veux pas que j'envoie les photos à tes parents...
Je ne sais pas si elle aurait mis sa menace à exécution... cela m'était égal, car je n'avais pas envie de lui résister. Maintenant j'étais envahie par une honte immense et par un plaisir ignoble. Cette femme me rendait folle, jamais un homme ne m'avait léchée aussi bien. Sa langue s'enfonçait dans ma fente comme une petite bite, puis ressortait pour caresser mon clitoris qui grossissait.
Elle s'est déshabillée et pendant un très long moment, elle m'a léchée, caressée, branlée. Je découvrais l'amour entre femmes, me laissant faire avec délice. Elle connaissait les points les plus sensibles de mon intimité et me procurait orgasme sur orgasme.
Oh... Nelly... je... Oh, c'est bon !
Le docteur Benson est entré ; il devait nous regarder par le trou de la serrure. Sa femme m'avait tellement excitées que j'ai tout de suite pris sa queue raide dans ma bouche.
Suce bien mon mari, tu es une bonne petite salope.
Tu vas devenir notre jouet. On va faire ce qu'on veut de toi... Chéri, viens la baiser ! Regarde, je l'ai excitée pour toi. Elle est ouverte et trempée !
Regarde comme ça rentre, Nelly ! Elle dégouline ! Ça me masse la bite merveilleusement !
Enfile-la bien, elle ne demande que ça, cette petite garce !
Le docteur s'enfonçait en moi en j'aimais cela, je me suis laissé faire.
Tu aimes te faire baiser, hein ? Les françaises adorent l'amour, il va envoyer son foutre dans ta chatte... Il va te remplir de son jus chaud...
Haaa !!! Je viens !
L’extase passée, je me dégoûtais, un filet de sperme mélangé à de la mouille s'échappait de mon sexe resté ouvert. Les Benson ne montraient aucune honte et continuaient à s'exciter comme si je n'étais pas là. J'avais peur que leurs enfants rentrent à l'improviste. Mais ils ne sont revenus que tard dans la soirée. Le couple avait bien préparé son affaire. J'ai compris que durant le reste de mon séjour, je serais à leur merci...
Nettoie-moi la queue, darling ! C'est tout ce à quoi tu as droit aujourd'hui !
Quelques temps plus tard, les deux enfants ont été envoyés une quinzaine de jours à la campagne, chez le frère du docteur Benson. Je me retrouvais aux prises avec les parents. Cela m'effrayait et m'émoustillait tout à la fois. Je savais que je ferai tout ce qu'ils me demanderaient... Et les choses n'ont pas traînées... Quelques minutes ont suffit pour que Nelly vienne me retrouver dans ma chambre.
Enfile ces frusques ! Dorénavant, tu ne porteras que ça. Et tu feras tout ce qu'on te dira...
En m'aidant à m'habiller, elle en profita pour me tripoter, ce qui me mettait dans un état d'excitation tel que je ne pouvais rien lui refuser.
Nous voilà tous les trois... tu vas voir, on va bien s'amuser...
Nelly m'a harnachée de cuir. J’avais l'impression d'être une grosse poupée qu'elle déguisait. Le « soutien-gorge » dévoilait mes seins plus qu'il ne les cachait et le string étroit me rentrait dans la raie, moulait ma vulve et laissait dépasser les poils de mon pubis.Pour terminer mon accoutrement, elle m'a maquillée à outrance, soulignant outrageusement mes lèvres et mes paupières.
Tu me plaît, tu as l'air d'une vraie pute comme ça !
Le soir, j'ai dû servir le repas dans cet accoutrement. Les talons hauts m'obligeaient à cambrer les reins, projetant mes seins en avant et faisant ressortir mes fesses. Le docteur ou sa femme me tripotaient passant leurs mains entre mes cuisses, pinçant mes tétons, palpant mes seins ou mes fesses. Après le digestif, dans le salon, j'ai abandonné toute fierté pour me plier au moindre de leur fantasme. En commençant par brouter la chatte de Nelly alors que son mari nous filmait.
Je garde un souvenir pour ta collection , darling !
Ensuite, ils m'ont emmenée dans leur chambre où je n'avais jamais pénétré... Le lit était pour le moins étrange avec les poulie pendant aux quatre coins. J'avais un peu peur, en même temps, une curiosité folle me tenaillait. Je me sentais prête à tout accepter de ce couple pervers. Quand Nelly m'a enlevé mon string, je mouillais tant que le cuir s'est décollé de ma chatte avec un bruit visqueux.
Cette petite est trempée, John ! Nous allons nous régaler !
Je me suis retrouvée attachée sur le lit, incapable de faire le moindre mouvement et spectatrice impuissante de la fellation que Nelly faisait à son mari.. J'étais aussi totalement offerte aux fantaisies de mes hôtes et cela m'excitait terriblement ; de grosse gouttes de mouilles suintaient de ma chatte et coulaient entre mes fesses, tachant le dessus du lit.
Tu es à nous, petite garce. On va se servir de ton corps comme si tu était une prostituée !
Et là je me suis rendue compte qu'une nuit de folie avait commencée... A un moment, l'étrangeté de la situation m'excitait beaucoup, Nelly me faisait jouir avec sa bouche et ses doigts. Je l'entendais laper ma mouille avec des claquements de langues obscènes. Elle prenait autant de plaisir à me lécher qu'à être cravachée par son mari. Celui-ci me donnait de temps en temps un coup de badine sur les cuisses ou les fesses.
Il se sont servis de moi durant des heures. J'avais l'impression d'être un morceau de viande. Je n'avais plus de volonté, plus de personnalité. Je n'étais qu'un objet de plaisir. Cette situation dégradante me procurait pourtant un vif plaisir et j'ai eu de nombreux orgasmes.
Ils m'ont ligotée comme un saucisson, puis Nelly a commencé à me fouetter. Elle ne tapait pas très fort...
J'étais certaine que tu aimerais ça, petite vicieuse. Tu es faites pour être dominée, pour qu'on se serve de ton joli corps de poupée !
Bouffe-lui bien le cul, Nelly ! Entre-lui ta langue dans son petit trou ! Aaaah... j'aime quand elle se laisse glisser le long de ma bite ! Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps.
Bien plus tard, quand ils m'ont détachée, je ne tenais plus sur mes jambes. Je me suis écroulée sur le lit et j'ai dormi avec eux. Le lendemain matin, le docteur m'a réveillée en me mettant sa queue entre les lèvres. J'ai dû le laisser jouir dans ma bouche, puis j'ai été faire le petit-déjeuner.
J'ai passé les quinze jours les plus étranges de ma vie. Les Benson me traitait comme une bonniche doublée d'une esclave sexuelle.
Tu as trouvé ta vocation, tu es faites pour obéir... Tu verras, tu ne pourras plus t'en passer...
Nelly surtout abusait de moi pendant que son mari recevait ses patients et surtout patientes. À tout instant, elle me demandait de venir la lécher ou la branler.
Quand le docteur avait fini sa journée, c'était de lui que je devais m'occuper. Je m'installais avec complaisance dans cette complicité sexuelle sordide. Elle avait raison, j'étais faites pour me soumettre et je me pliais avec plaisir au caractère autoritaire du couple.
Le docteur se montrait très dominateur. Souvent, le matin, après ma toilette, il m'obligeait à porter une ceinture de chasteté.
Mais je me suis souvent fait fouettée par Nelly alors que je m'occupait de sa chatte et le docteur m'a baisé plus que de raison. Il arrivait qu'entre deux patients, il m'appelle dans son cabinet et me fourrait la chatte.
Mais un jour, il m'a fait venir dans son cabinet alors que Mme Watson, sa patiente et maîtresse y était encore. Devant elle, il m'a attaché sur la table d'examen.
Ces française, toutes des dévergondées ! Regardez comme elle nous montre sa chatte ! Et ça la fait mouiller !
Tu devrais la corriger comme elle le mérite !
Je peux docteur ?
Bien sûr, elle ne demande que ça...
Elle saisi une cravache et commença à me frapper l'entrejambe.
Tiens ! Tiens ! Sale garce ! Ça t'apprendra à montrer ta chatte !
Frappe plus fort, ma chère. Cette petite ne sent rien !
Après m'avoir fouettée, la jeune femme m'a branlée et léchée. Elle me passait même la langue entre les fesses, l'enfilant dans mon petit trou.
Ce qu'elle mouille docteur ! J'adore le goût de son jus !
Mais ce qu'elle préférait, c'était me prendre avec un godemiché pendant que son amant m'enfonçait sa queue dans la bouche.
Regardez Docteur ! Je la baise cette petite dinde ! Je l'enfile comme un homme !
Je te la tiens. Lime-la fort ! Fais-la jouir !
Ils m'ont prise tout les deux ; j'avais l'impression de m'offrir à deux homme en même temps.
Aspergez-lui le visage, docteur ! Éclabousse son visage de ton sperme !
Dès que Mme Watson a quitté le cabinet, la femme du docteur est entrée.
Je vais te faire la toilette avec ma langue, ma chérie. Puis nous irons dans ta chambre nous lécher...
Ne la dorlote pas trop, Nelly ! Nous ne pourrons plus rien en tirer !
Je docteur et sa femme m'avaient révélé à ma vraie nature. J'ai continué à être leur esclave sexuel jusqu'au retour de leurs enfant. Les week-end, ils s'arrangeaient pour que les enfants dorment à l'extérieur et j'allais les rejoindre dans le lit conjugal.
Mais je dû retourner en France. J'ai gardé le goût pour la soumission, au point de ne pouvoir jouir que lorsque je suis attachée. Dans un boîte,j'ai rencontré un couple de dominateurs et durant plusieurs années nous nous sommes régulièrement rencontrés. Il y a quelques temps, comme j'étais au chômage, ils m'ont proposé de vivre avec eux. Ils sont devenus mes maîtres;je suis leur bonne à tout faire et cela dans tous les sens du terme... et j'aime ça.
Fin.
Les Benson habitaient Londres dans une maison individuelle, non loin de Hyde Park. Le cabinet du Dr se trouvait au sous-sol, les patients y accédaient de dehors par un escalier. Nelly s'occupait du secrétariat de son mari.
On m'a installée dans une petite pièce triste, sous les toits et la première nuit, j'ai eu du mal à trouver le sommeil. Mes parents me manquaient, ainsi que Jean-Marc, mon petit ami du moment. Ce n'était pas mon premier flirt, mais il comptait beaucoup pour moi, car il m'avait dépucelée quelque temps plus tôt. Je me suis mise à me caresser en repensant à ce moment.
Cela s'était passé à la campagne lors des premiers jours d'été, nous savions que nous ne nous reverrions pas avant un long mois et Jean-Marc avait envie de me laisser un souvenir impérissable. J'ai baissé son pantalon et j'ai commencé à le sucer.
Doucement, ne me fais pas juter dans ta bouche ! Laisse-moi te faire l'amour... tu seras absente si longtemps.
Non ! Je t'en prie... j'ai peur !
Allons, si tu m'aimes vraiment, laisse-moi te la mettre !
J’étais si émoustillée de l'avoir sucé, que je me suis laissée faire...
Ohhh ! Doucement... Ne jouis pas en moi... je ne prends pas la pilule.
Ne t'en fais pas...
Il s'est enfoncé en et après une légère douleur, il a réussi à me donné un minimum de plaisir. Ensuite, il s'est soulagé sur moi, me barbouillant le ventre de sa semence chaude.
Et à chaque fois que je pensais au sexe de Jean-Marc dans ma chatte cela me rendait folle d'excitation. Mais cette fois je fus interrompue par un bruit venant du couloir et je suis arrivée juste à temps pour apercevoir Bobby qui dévalait l'escalier. Le petit vicieux était venu m'espionner ! Je me suis mise à rougir en pensant qu'il avait dû me voir me caresser !
Le lendemain au petit déjeuner, il n'arrêtait pas de me regarder avec effronterie. Je ne savais plus où me mettre ! Plus tard, il m'a coincée dans le couloir...
Alors la petite française... On a inauguré son lit en beauté, hier soir... Tu devrais m'appeler quand ça te dérange... Je te mettrai ma queue, ça sera meilleur que ton doigt !
J'étais honteuse et ce premier jour, je suis sortie me promener dans Londres. J'avais le cœur gros, la France me manquait et puis ce sale gamin de Bobby m'avait mise mal à l'aise. Je trouvais que mon séjour en Angleterre commençait plutôt mal... Cela gâchait un peu le plaisir de me trouver dans cette ville extraordinaire et j'avais du mal à en apprécier les charmes. Pourtant je n'étais pas qu bout de mes surprises.
Quand je suis rentrée vers 5h, Mme Benson m'a offert une tasse de thé. J'étais contente de savoir que Bobby était sortis Je fus soulagée d'apprendre que je n'aurai pas trop à m'occuper des enfants. Les Benson attendaient surtout que j'aide le Docteur.
e vais vous expliquer ce que vous aurez à faire, mademoiselle. Ce n'est rien de compliquer : accueillir les patients, répondre au téléphone, prendre les rendez-vous...
Nelly était une très belle femme, très distinguée, mais d'allure un peu guindée. Lorsqu’elle a décroisée les jambes pour changer de position, j'ai entrevu la peau laiteuse de ses cuisses et les attaches de son porte-jarretelles.
J'ai l'impression que nous allons bien nous entendre, mademoiselle...
J'ai eu le sentiment qu'elle s'était rendue compte que j'avais aperçu son entrecuisse et que ses paroles étaient chargées de sous-entendus.
Les jours suivants, j'évitais de croiser Bobby. J'ai commencé à donner un coup de main à Nelly, lorsqu'elle avait une course à faire ou lorsqu'elle préparait le repas, je la remplaçais au secrétariat médical. Répondre au téléphone et introduire les patients dans la salle d'attente n'était pas très compliqué. Je commençais à apprécier ma nouvelle vie et je faisais de rapides progrès en anglais.
Le Docteur Benson m'intimidait, à part pour me dire bonjour, il ne m'adressait pas la parole. Comme si je n'existais pas. Il se montrait peu loquace et les repas étaient lugubres ! Mais dès que nous étions seuls, Bobby me faisait des propositions obscènes, mais cela n'allait pas plus loin.
Elle n'a pas envie d'un gros sucre d'orge, la petite frenchy ?
Quant à Jane, la fille, sous ses airs timides, elle semblait aussi sournoise que son frère. Régulièrement je sentais qu'elle regardais mon cul et plus si elle pouvait.
Un jour, en fin d'après-midi, alors que je m'ennuyais à classer les fiches des patients, le docteur Benson est venu me demander de l'aider de sa voix sèche et autoritaire.
Pouvez-vous venir une minute, mademoiselle ?
C'était Mme Watson, la dernière patiente de la journée. Il avait fait tomber une boîte d’abaisse-langue. Il m’ordonna de les ramasser. Il me traitait comme une domestique ! J'étais furieuse, mais j'ai obéi sans rien dire. De son côté le docteur s'occupait de sa patiente.
Je suis à vous, Mme Watson. Écartez les jambes, voulez-vous !
Ce type était vraiment le dernier des mufles ! J'enrageais !
écartez encore... le plus possible.
Oh docteur, ne pouvez-vous attendre que cette jeune personne soit sortie ?
Elle ne compte pas ! C'est comme si elle n'était pas là ! Ne vous en faites pas...
Il s'est mis à l'examiner, tripoter, serait un terme plus approprié !
Laissez-vous aller. Détendez-vous. Je ne vais pas vous faire mal... Mmm... vous êtes toute chaude et humide. Il faut que je vous prenne... la température...
Après lui avoir bien écarté les cuisse, il glissait son doigt dans sa chatte dégoulinante. Il était en train de la masturber devant moi ! La stupeur avait remplacé ma colère !
De ce côté, tout me paraît normal...
Oh, docteur, non !
Il se plaça son visage entre ses jambes.
Allons, ne faites pas l'enfant ! Voyons voir par là...
Il lui observait l'anus. Jamais je n'avais vu un médecin se conduire ainsi.
De ce côté aussi, vous êtes chaudeOh, docteur, doucement !
Il venait de lui enfoncer l'index dans le cul et elle semblait apprécier cela. Mais avant d'aller plus loin, le docteur demanda un peu plus d'intimité.
Vous êtes encore là, Ingrid ? Vous voyez bien que j'examine une patiente ! Sortez !
Mais je n'ai pas fini de ...
Sortez !
Son brusque changement d'attitude m'intriguait... ce que je venait de voir m'avait excitée. Et poussée par une curiosité malsaine, j'ai regardé par le trou de la serrure du cabinet de consultation. Et ce que je vis ne laisse aucun doute quant à la suite. Le docteur avait sa bite en érection sortie.
Ça t'a excitée de te faire tripoter devant cette petite gourde, pas vrai ?
Oh oui, Darjeeling ! Regardez comme je mouille ! Venez me baiser !
Ainsi, ils étaient amants, et tout cela n'était qu'une comédie. Ils s'étaient servi de moi pour s'exciter !
Je vais te baiser comme la semaine dernière !
Moi qui pensait que le docteur Benson n'était pas un chaud lapin ! Je me trompais, le spectacle m'excitait. Et je me suis mise à me caresser.
Tu la sens bien ?
Oh oui, oui ! Défoncez-moi !
Prends ton pied, petite garce !
Aaaah !!! Je jouis !
Quand la femme a eut fini de jouir, le docteur s'est rassis à son bureau sans avoir éjaculé et tout en entretenant son érection, il prit rendez-vous avec sa patiente.
Dépêchez-vous de rentrer chez vous, Mme Watson, votre mari va s'inquiéter !
Dois-je revenir la semaine prochaine, docteur ?
Bien sûr, comme d'habitude !
Dès que Mme Watson a quitté le cabinet médical, la femme du docteur est apparie comme si elle avait guetté le départ de la patiente.
Je vais terminer de ranger, Ingrid. Allez donc aider Jane à mettre la table.
Quelques instants plus tard, je suis revenue au secrétariat parce que j'avais fait exprès d'oublier un livre. Nelly avait rejoint son mari dans le cabinet... et par le trou de la serrure, j'ai suivi toute la scène.
Je vois que cette belle garce t'a mis dans un drôle d'état.Ainsi le docteur baisait ses patientes avec la bénédiction de son épouse !
Moi qui prenait les Benson pour un couple coincé, j'étais sidérée.
Je vais te soulager avec ma bouche... Mmm, j'aime sentir l'odeur d'une autre femme sur toi...
Je m'étais lourdement trompée : cette femme était vraiment perverse !
... et j'adore goûter sa mouille sur ta queue !
Nelly ouvrit la bouche et enfourna toute la bite de son mari jusqu'au fond de sa gorge.
Pompe bien ! Je t'ai gardé tout mon jus, darling ! Cette petite oie de Watson n'a rien eu !... Ohhh ! Tiens ! Tiens ! Asperge-toi le visage ! Que tu est belle ainsi, le visage souillé par mon foutre !
Il lui a nettoyé le visage avec la langue, lapant et avalant son propre sperme !
Oh, je suis excitée... j'ai envie de jouir... Laisse-moi enlever cette chose, que je puisse me masturber.
Nelly venait de soulever sa jupe et laissait maintenant apparaître une ceinture de chasteté.
pas question ! Tu jouiras quand je l'aurai décidé ! Pas avant !... Rajuste-toi et va préparer les repas !
Il lui parlait comme à une esclave comme lorsqu'il m'avait ordonné de ramasser les abaisses-langues.
J'étais troublée par ce que je venais de découvrir. Les Benson avaient d'étranges jeux sexuels... Savoir que Nelly portait une ceinture de chasteté, sous ses habits stricts de bourgeoise très comme-il-faut, m'émoustillait.
Les jours passaient. J'aidais au ménage à la cuisine... quand je m'occupais du secrétariat, chaque fois qu'une jolie patiente entrait dans le cabinet du docteur, j'avais des picotements dans le ventre. Souvent je regardais par le trou de la serrure, mais à ma grande déception, il ne se passait rien...
Puis un jour, le docteur m'a demandé de l'assister.
Pouvez-vous venir m'aider, Mademoiselle ?
Dans le cabinet, un patient avait la trentaine et était étendu entièrement nu sur la table d'auscultation.
- Je vais effectuer un prélèvement. Vous allez m'aider.
Je n'osais lui faire remarquer mon incompétence en la matière devant le patient. Je ne saisissais pas ce qu'il attendait de moi.
Tenez la verge avec votre main, je vais prélever les sécrétions de l’orifice du gland.
Quand j'ai compris, une gêne affreuse s'est emparée de moi.
Tenez le pénis fermement à deux mains et faites sortir la gland... rabattez bien la peau du prépuce en arrière... Maintenant, vous allez masser le pénis jusqu'à ce qu'une goutte de sécrétion suinte du méat.
Je n'en croyais pas mes oreilles ! Mes joues étaient rouge et brûlantes. J'avais chaud et honte. Je sentais que le patient m'observait, et je n'osais tourner mon regard vers lui. Tout à coup, son sexe a commencé à raidir entre mes doigts !
C'est bien... continuez...
Ma main glissait le long de ce sexe grandissant et une émotion sournoise enflait dans mon bas-ventre. L'homme s'excitait, et moi aussi, jusqu'à ce qu'un liquide visqueux apparaisse sur le bout de sa bite. Le docteur le préleva et le patient était aussi gêné que moi ; nous évitions de nous regarder. Quand au docteur Benson, il agissait comme si rien n'était arrivé.
Malgré ma gêne, cette scène m'avait fortement excitée, et je suis allée dans les toilettes pour me caresser. J'avais la chatte trempée et j'avais envie d'une bite au fond de moi, une queue bien dure. Je finis par jouir et j'ai repris mon travail comme si de rien n'était.
Quelques jours plus tard, Mme Watson, la maîtresse du docteur est revenue. Comme la semaine précédente, elle avait pris le dernier rendez-vous de la journée. Très vite, j'ai eu l’œil collé au trou de serrure du cabinet médical. Mme Watson avait déjà retiré sa jupe. Elle portait une tenue en cuir très provocante qui ne cachait rien de ses seins et de son sexe.
Ça vous plaît, docteur ?
Oui, dépêche-toi et va t'allonger !
Le docteur l'a attachée sur la table d'examen dans une pose obscène, bras et jambes écartée aux quatre coin de la table. Elle était totalement offerte à lui. J'apercevais, entre ses cuisses écartées, le renflement de son sexe moulé dans son string. Ses poils pubiens dépassaient de chaque côté de l'étroite bande de cuir. Je retenais mon souffle quand je l'ai vu saisir une cravache, mais j’étais impatiente de voir ce qu'il allait en faire... Il s'est mis à lui cingler les cuisses, elle ne protestait pas, ne criait pas, comme si elle aimait être battue. Sa peau se couvrait de zébrures rouges. Puis il l'a frappée sur tout le reste du corps et elle continuait à aimer.
Hmmm... hmmm...
Tu prends ton pied, petite salope ! Regarde ce que j'ai pour toi...
Il lui montra son sexe déjà bien gonflé.
Je suis sûr que tu mouille déjà ! Rien de tel que la souffrance pour exciter une femme !... Mais je ne vais pas t'enfiler tout de suite... faut faire durer le plaisir jusqu'à ce que tu me supplies de te défoncer la chatte.
Avec son sexe, il se mit à lui frapper la vulve, visant son clitoris moulé sous le bout de cuir. À chaque coup de bite, elle poussait un petit cri de plaisir. Son corps tremblait de désir.
Baise-moi ! S'il-vous-plaît, mettez-moi votre bite !
Demande-le-moi encore !
Et d'un geste, avec un scalpel il trancha les ficelles du string libérant la chatte trempée de sa patiente.
Venez me bourrer ! Je suis à vous, baisez-moi comme une putain !
C'est bien, tu es obéissante... Tu vas y avoir droit...
Il l'a pénétrée d'un violent coup de reins. Tout en lui faisant l'amour, il lui frappait les seins, lui pinçait les tétons et les cuisses. La douleur donnait autant de plaisir à Mme Watson que les coups de boutoir du docteur. Cette scène bien que violente, m'excitait beaucoup.
Alors, la petite française, on joue les voyeuses ?... C'est intéressant ce que tu regardes ?
Je n'avais pas entendu Bobby arriver et il m'avait surprise.
Et si je racontais à mon père que je t'ai surprise en train d'observer ce qui se passe dans son cabinet ?...
Je t'en prie, ne dis rien ! Je ferai tout ce que tu veux !
Je savais qu'en disant cela, je me livrais à sa merci...
Il va falloir que tu paies mon silence, tu sais... On en reparlera ce soir, dans ta chambre... ne mets pas le verrou...
J'étais furieuse que je n'ai même pas regardé la fin de la consultation de Mme Watson...
Après le repas du soir, je suis montée dans ma chambre. Une boule d'angoisse gonflait dans ma gorge. Je redoutais ce qu'allait me demander Bobby. Une demi heure plus tard il entra.
Coucou, petite curieuse, c'est bien, tu n'as pas verrouillé ta porte. Maintenant on va voir jusqu'à quel point tu es obéissante...
C'est là qu'il sorti son sexe de son pantalon et s'avança vers moi.
Fais-moi une petite branlette.
Avec dégoût, j'ai pris conscience que j'espérais qu'il allait me demander cela...
Regarde comme je bande. Astique-moi.
Non, laisse-moi !
Fais-le sinon je parle à mon père !
Il est devenu violent en m’attrapa par le cheveux me tirant à lui, Envahie d'une excitation malsaine, je protestais pour la forme.
C'est dégueulasse. Tu es un salaud !
Une mollesse sournoise s'emparait de moi...
Oh ouais ! Lèche-moi bien ! Ouvre ta bouche que j'y enfonce mon gland !
Avec un plaisir dégoûtant, j'ai senti sa queue coulisser antre mes lèvres, violer ma bouche...
Oooh, tu suces bien ! Encore mieux que mes copines ! Toi, on sent que tu aimes pomper une bite !
Ses propos blessants augmentaient encore mon trouble. Il me baisait la bouche, son gland cognait contre mon palais, ses couilles ballottaient sur mon menton. Ça m’écœurait et m'excitait tout à la fois.
Couche-toi, je vais tu juter dessus !
J'étais si excitée que je l'ai laissé faire quant il m'a couché sur le lit et a soulevé ma robe.
Je vais t'arroser ! Je vais t'en foutre partout !
Il m'a aspergé le ventre, souillant ma culotte de son sperme tiède. Mais alors qu'il jouissait et emportés par notre excitation, nous n'avions pas entendu le docteur Benson monter les escaliers et faire irruption dans ma chambre.
Il s'en passe de belle ici !
J'étais terrorisée. J'étais certaine que les Benson allaient me chasser et que mes parents apprendraient toute l'affaire...
Bobby, dans ta chambre !... Quant à vous, mademoiselle, nous aurons une petite discussion demain matin !
Je n'ai presque pas dormi, ce que le docteur avait fait à sa patiente m'avait excité et la visite de Bobby également. Mais je n'avais pas joui, j'étais sur les nerfs et j'ai éclaté en sanglots. Finalement, épuisée, j'ai quand même trouvé le sommeil.
Le lendemain matin, le docteur m'a convoquée dans son cabinet. J'avais mis une robe très sage et mon cœur cognait. J'espérais ne pas être amenée à avouer que je l'avais espionné pendant qu'il « examinait » Mme Watson.
Je suis atterré par la conduite de mon fils, mademoiselle. Croyez bien que je lui ai fait la leçon et qu'il a été sévèrement puni ! Cela ne se reproduira plus !
La réaction du docteur n'était pas celle que j'attendais.
J'espère que ce voyou ne vous a pas manqué de respect de façon irréparable.
J'étais sidérée par la tournure que prenait l'entretien.
Il serait fâcheux que vous tombiez enceinte...
Ne vous inquiétez pas. Nous n'avons pas...
Je préfère m'en assurer personnellement, mademoiselle !... Une chance que je sois médecin, je vais vous examiner...
Je vous assure ce n'est pas la peine. Il ne s'est tien passé de grave, vous avez bien vu, j'avais encore ma culotte...
Hier soir vous aviez bien votre culotte, mais les autres fois...
Mais il n'y a pas eu d'autres fois...
Il était passé derrière moi et sans même me demander, il avait commencé à dégrafer ma robe.
Allons ne faites pas l'enfant. Je vous examine et ensuite on oublie cette mésaventure !
Vous... vous n'allez pas me renvoyer en France ?
Mais non, si vous n'êtes pas enceinte, inutile d'ébruiter cette affaire...
Cela m'a rassurée. Mes parents n'apprendraient donc rien. Soulagée, je ne me suis plus méfiée et j'ai continué à ôter me vêtements...
Retirez votre culotte, vous n'avez rien à craindre, je ne suis pas le père de Bobby, mais un médecin... Allez vous installer sur la table d'examen.
Nue, j'étais troublée de me retrouver allongée sur la table où le docteur avait attaché Mme Watson.
Pour l'examen que j'ai à pratiquer, il faut que vous écartiez les cuisses... Voilà, comme ça ... ouvrez bien... Ce ne sera pas long.
Il posa la main sur mon sexe et je sentis immédiatement ses doigts en chercher l'entrée.
Mmm, vous n'êtes plus vierge, mes deux doigts rentrent sans efforts !
J'avais l'impression de me retrouver à la place de Mme Watson lorsque le docteur l'examinait de façon poussée. Il a brusquement changé de ton...
Vous vous faites baiser souvent ? Vous avez l'air chaude... Je comprends que mon fils se soit laissé séduire ! Avouez que vous l'avez allumé, petite salope !
Mais c'est lui ! Je n'ai rien fait !
J'étais incapable de réagir comme si ses doigts qu'il agitait dans mon vagin stimulaient un endroit qui me paralysait. Je ne contrôlais plus mon corps ; ma vulve se liquéfiait et les doigts du docteur clapotaient en fouillant ma chatte. La situation me révoltait et m'émoustillait en même temps.
Lâchez-moi ! Retirez vos doigts !
Pourquoi, tu n'aimes pas ? Pourtant qu'est-ce que tu mouilles !
Il me masturbait avec lenteur, son pouce titillait habillement mon clitoris qui grossissait.
hummm...
Je ne pouvais résister au plaisir, toute la tension sexuelle qui s'était accumulée en moi depuis deux jours se libérait.
Ça te plaît, pas vrai petite allumeuse ? Tu as envie que je te fasse jouir ?
Oh oui ! Oui !
Alors sors-moi la queue si tu veux que je continue !
Sans plus de volonté, j'ai obéi, il bandait déjà. Il ne portait pas de slip et sa queue raide et décalottée, a pointé hors de son pantalon.
Après le fils, tu vas goûter la bite du père !... C'est ça, montre-moi comment les françaises taillent les pipes !
J'ai ouvert la bouche et il à enfoncé sa queue pour la faire glisser.
Aspire ! Fais tourner ta petite langue autour de mon gland ! Aahh, tu fais ça aussi bien qu'une putain !
Je suçais avec un plaisir pervers, heureuse de sentir sa queue raide coulisser dans ma bouche. Ses doigts fouillaient mon vagin et je creusais les reins pour pousser mon sexe au devant de sa main. J'étais si excitée que je n'ai pas protesté quand il a voulu me baiser.
Mets tes fesses au bord de la table que je t'enfile !... Tu prends la pilule ?
Non...
Alors descends. Je ne vais pas te jouir dedans.
Il me prit par la main et m’agenouillai devant lui.
Je vais me soulager sur tes nichons ! J'aime voir mon foutre dégouliner entre les seins d'une traînée dans ton genre.
Ses paroles ordurières m'humiliaient et m'excitaient. Il se branlait sous mon nez ; sa queue avait l'odeur de ma mouille. Sa semence a glissé sur moi. Ça me dégoulinait dessus et c'était chaud, gluant. Il s'est essuyé sur ma poitrine. Je me sentais humiliée, rabaissée, pourtant, ça me plaisait.
Je vous fais une ordonnance pour la pilule. Ça sera plus pratique, on n'aura plus besoin de faire attention. Je pourrai vous remplir la chatte sans crainte.
J'ai réalisé avec répugnance qu'il ne comptait pas en rester là. Il me traitait comme si je lui appartenais. Je me sentais salie,misérable. J’avais envie de m'enfuir de rentrer en France. Mais comment expliquer mon brusque retour à mes parents sans leur raconter les saletés que j'avais commises avec les fils et avec le père ?
Pendant deux jours, j'ai inventé n'importe quel prétexte pour fuir la maison des Benson. J'en profitais pour visiter les musées de Londres... Chaque fois que je pensais à ce que m'avait fait le docteur, j'étais aussi excitée que révoltée.
Un après-midi que je rentrais de promenade, Mme Benson m'a proposé de prendre le thé. Ses enfants étaient absents pour la journée et le docteur occupé à ses consultations. Elle m'a parlé de tout et de rien, sa vie monotone de femme de médecin...
Savez-vous que la photographie est un hobby ?
Elle alla chercher dans un tiroir une enveloppe épaisse et me la tendit.
Tenez, regardez mes dernières réalisations. C'est loin d'être des chef-d’œuvre, mais j'espère faire mieux dans les jours qui viennent...
En découvrant les clichés, je fus stupéfaite.
Que pensez-vous du modèle ? Il est intéressant, n'est-ce pas ?
Qu'en penser ? C'était moi nu dans le cabinet du docteur.
Vous ne dites rien ? L'éclairage n'est pas très bon, mais le sujet est excitant, n'est-ce pas ?
D'après l'angle de prise de vue, les clichés avaient été pris de derrière le paravent qui se trouve dans le cabinet du médecin. Cela voulait dire que le docteur était au courant de la présence de sa femme ! Je ne savait que penser...
Nous allons les regarder ensemble comme deux collégiennes vicieuses qui feuillettent un magazine pornographique... Regardez celle-ci, c'est ma préférée... on voit votre toute votre chatte pendant que mon mari vous examine. Vous avez une belle chatte... large, humide. Ça doit être un régal d'y plonger le doigt, ou la langue...
Elle posa la main sur ma cuisse et écarta les siennes pour plonger l'autre jusqu'à son sexe humide.
C'est excitant, n'est-ce pas ? Nous sommes bien entre filles, on se comprend...
Les propos et les manières scandaleuses de cette femme qui semblait si convenable me grisaient. J'étais incapable de monter dans ma chambre ou de repousser sa main qui montait le long de ma jambe. Jamais aucune femme ne m'avait caressée.
Et celle-là... Il vous rentre sa queue. Vous aimez qu'il vous la mette, n'est-ce pas ? Ça se voit, regardez la tête que vous faites... une tête de petite salope...
Tout en se masturbant, elle continuait à commenter les photos. Ses mots obscènes m'affolaient. Sa main glissait de plus en plus loin le long de cuisse, ma faisant frissonner. Malgré moi, j'écartais les genoux, me laissant faire.
C'est bon de se branler entre femmes, hein, petite salope ? Tu aimes ça, ta chatte est trempée.
Nelly a faufilé sa main dans ma culotte, ses doigts jouaient avec ma fente, pinçaient mon clitoris. Une forte odeur de mouille montait de nos entrecuisses. Malgré ma gêne, j'étais incapable de réagir. Je me laissait faire comme une grosse poupée de chair.
Je vais m'occuper de toi. Mets-toi nue, tu seras mieux...
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, j'étais en petite culotte devant elle.
J'étais sûre qu'on s'entendrait bien toutes les deux... Nous sommes de la même race de salope...
Oh non, je vous en prie... non...
Laisse moi faire, je veux goûter à ta chatte... Elle sent la femelle en chaleur, petite salope...
Oh non, c'est pas...
Allons ne joue pas les mijaurées... On sait très bien que tu en as envie...
J'étais maintenant couchée sur le canapé, les cuisses écartées, me faisant doigter par Nelly.
Il va falloir que tu me laisse te faire ce que je voudrai, si tu veux pas que j'envoie les photos à tes parents...
Je ne sais pas si elle aurait mis sa menace à exécution... cela m'était égal, car je n'avais pas envie de lui résister. Maintenant j'étais envahie par une honte immense et par un plaisir ignoble. Cette femme me rendait folle, jamais un homme ne m'avait léchée aussi bien. Sa langue s'enfonçait dans ma fente comme une petite bite, puis ressortait pour caresser mon clitoris qui grossissait.
Elle s'est déshabillée et pendant un très long moment, elle m'a léchée, caressée, branlée. Je découvrais l'amour entre femmes, me laissant faire avec délice. Elle connaissait les points les plus sensibles de mon intimité et me procurait orgasme sur orgasme.
Oh... Nelly... je... Oh, c'est bon !
Le docteur Benson est entré ; il devait nous regarder par le trou de la serrure. Sa femme m'avait tellement excitées que j'ai tout de suite pris sa queue raide dans ma bouche.
Suce bien mon mari, tu es une bonne petite salope.
Tu vas devenir notre jouet. On va faire ce qu'on veut de toi... Chéri, viens la baiser ! Regarde, je l'ai excitée pour toi. Elle est ouverte et trempée !
Regarde comme ça rentre, Nelly ! Elle dégouline ! Ça me masse la bite merveilleusement !
Enfile-la bien, elle ne demande que ça, cette petite garce !
Le docteur s'enfonçait en moi en j'aimais cela, je me suis laissé faire.
Tu aimes te faire baiser, hein ? Les françaises adorent l'amour, il va envoyer son foutre dans ta chatte... Il va te remplir de son jus chaud...
Haaa !!! Je viens !
L’extase passée, je me dégoûtais, un filet de sperme mélangé à de la mouille s'échappait de mon sexe resté ouvert. Les Benson ne montraient aucune honte et continuaient à s'exciter comme si je n'étais pas là. J'avais peur que leurs enfants rentrent à l'improviste. Mais ils ne sont revenus que tard dans la soirée. Le couple avait bien préparé son affaire. J'ai compris que durant le reste de mon séjour, je serais à leur merci...
Nettoie-moi la queue, darling ! C'est tout ce à quoi tu as droit aujourd'hui !
Quelques temps plus tard, les deux enfants ont été envoyés une quinzaine de jours à la campagne, chez le frère du docteur Benson. Je me retrouvais aux prises avec les parents. Cela m'effrayait et m'émoustillait tout à la fois. Je savais que je ferai tout ce qu'ils me demanderaient... Et les choses n'ont pas traînées... Quelques minutes ont suffit pour que Nelly vienne me retrouver dans ma chambre.
Enfile ces frusques ! Dorénavant, tu ne porteras que ça. Et tu feras tout ce qu'on te dira...
En m'aidant à m'habiller, elle en profita pour me tripoter, ce qui me mettait dans un état d'excitation tel que je ne pouvais rien lui refuser.
Nous voilà tous les trois... tu vas voir, on va bien s'amuser...
Nelly m'a harnachée de cuir. J’avais l'impression d'être une grosse poupée qu'elle déguisait. Le « soutien-gorge » dévoilait mes seins plus qu'il ne les cachait et le string étroit me rentrait dans la raie, moulait ma vulve et laissait dépasser les poils de mon pubis.Pour terminer mon accoutrement, elle m'a maquillée à outrance, soulignant outrageusement mes lèvres et mes paupières.
Tu me plaît, tu as l'air d'une vraie pute comme ça !
Le soir, j'ai dû servir le repas dans cet accoutrement. Les talons hauts m'obligeaient à cambrer les reins, projetant mes seins en avant et faisant ressortir mes fesses. Le docteur ou sa femme me tripotaient passant leurs mains entre mes cuisses, pinçant mes tétons, palpant mes seins ou mes fesses. Après le digestif, dans le salon, j'ai abandonné toute fierté pour me plier au moindre de leur fantasme. En commençant par brouter la chatte de Nelly alors que son mari nous filmait.
Je garde un souvenir pour ta collection , darling !
Ensuite, ils m'ont emmenée dans leur chambre où je n'avais jamais pénétré... Le lit était pour le moins étrange avec les poulie pendant aux quatre coins. J'avais un peu peur, en même temps, une curiosité folle me tenaillait. Je me sentais prête à tout accepter de ce couple pervers. Quand Nelly m'a enlevé mon string, je mouillais tant que le cuir s'est décollé de ma chatte avec un bruit visqueux.
Cette petite est trempée, John ! Nous allons nous régaler !
Je me suis retrouvée attachée sur le lit, incapable de faire le moindre mouvement et spectatrice impuissante de la fellation que Nelly faisait à son mari.. J'étais aussi totalement offerte aux fantaisies de mes hôtes et cela m'excitait terriblement ; de grosse gouttes de mouilles suintaient de ma chatte et coulaient entre mes fesses, tachant le dessus du lit.
Tu es à nous, petite garce. On va se servir de ton corps comme si tu était une prostituée !
Et là je me suis rendue compte qu'une nuit de folie avait commencée... A un moment, l'étrangeté de la situation m'excitait beaucoup, Nelly me faisait jouir avec sa bouche et ses doigts. Je l'entendais laper ma mouille avec des claquements de langues obscènes. Elle prenait autant de plaisir à me lécher qu'à être cravachée par son mari. Celui-ci me donnait de temps en temps un coup de badine sur les cuisses ou les fesses.
Il se sont servis de moi durant des heures. J'avais l'impression d'être un morceau de viande. Je n'avais plus de volonté, plus de personnalité. Je n'étais qu'un objet de plaisir. Cette situation dégradante me procurait pourtant un vif plaisir et j'ai eu de nombreux orgasmes.
Ils m'ont ligotée comme un saucisson, puis Nelly a commencé à me fouetter. Elle ne tapait pas très fort...
J'étais certaine que tu aimerais ça, petite vicieuse. Tu es faites pour être dominée, pour qu'on se serve de ton joli corps de poupée !
Bouffe-lui bien le cul, Nelly ! Entre-lui ta langue dans son petit trou ! Aaaah... j'aime quand elle se laisse glisser le long de ma bite ! Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps.
Bien plus tard, quand ils m'ont détachée, je ne tenais plus sur mes jambes. Je me suis écroulée sur le lit et j'ai dormi avec eux. Le lendemain matin, le docteur m'a réveillée en me mettant sa queue entre les lèvres. J'ai dû le laisser jouir dans ma bouche, puis j'ai été faire le petit-déjeuner.
J'ai passé les quinze jours les plus étranges de ma vie. Les Benson me traitait comme une bonniche doublée d'une esclave sexuelle.
Tu as trouvé ta vocation, tu es faites pour obéir... Tu verras, tu ne pourras plus t'en passer...
Nelly surtout abusait de moi pendant que son mari recevait ses patients et surtout patientes. À tout instant, elle me demandait de venir la lécher ou la branler.
Quand le docteur avait fini sa journée, c'était de lui que je devais m'occuper. Je m'installais avec complaisance dans cette complicité sexuelle sordide. Elle avait raison, j'étais faites pour me soumettre et je me pliais avec plaisir au caractère autoritaire du couple.
Le docteur se montrait très dominateur. Souvent, le matin, après ma toilette, il m'obligeait à porter une ceinture de chasteté.
Mais je me suis souvent fait fouettée par Nelly alors que je m'occupait de sa chatte et le docteur m'a baisé plus que de raison. Il arrivait qu'entre deux patients, il m'appelle dans son cabinet et me fourrait la chatte.
Mais un jour, il m'a fait venir dans son cabinet alors que Mme Watson, sa patiente et maîtresse y était encore. Devant elle, il m'a attaché sur la table d'examen.
Ces française, toutes des dévergondées ! Regardez comme elle nous montre sa chatte ! Et ça la fait mouiller !
Tu devrais la corriger comme elle le mérite !
Je peux docteur ?
Bien sûr, elle ne demande que ça...
Elle saisi une cravache et commença à me frapper l'entrejambe.
Tiens ! Tiens ! Sale garce ! Ça t'apprendra à montrer ta chatte !
Frappe plus fort, ma chère. Cette petite ne sent rien !
Après m'avoir fouettée, la jeune femme m'a branlée et léchée. Elle me passait même la langue entre les fesses, l'enfilant dans mon petit trou.
Ce qu'elle mouille docteur ! J'adore le goût de son jus !
Mais ce qu'elle préférait, c'était me prendre avec un godemiché pendant que son amant m'enfonçait sa queue dans la bouche.
Regardez Docteur ! Je la baise cette petite dinde ! Je l'enfile comme un homme !
Je te la tiens. Lime-la fort ! Fais-la jouir !
Ils m'ont prise tout les deux ; j'avais l'impression de m'offrir à deux homme en même temps.
Aspergez-lui le visage, docteur ! Éclabousse son visage de ton sperme !
Dès que Mme Watson a quitté le cabinet, la femme du docteur est entrée.
Je vais te faire la toilette avec ma langue, ma chérie. Puis nous irons dans ta chambre nous lécher...
Ne la dorlote pas trop, Nelly ! Nous ne pourrons plus rien en tirer !
Je docteur et sa femme m'avaient révélé à ma vraie nature. J'ai continué à être leur esclave sexuel jusqu'au retour de leurs enfant. Les week-end, ils s'arrangeaient pour que les enfants dorment à l'extérieur et j'allais les rejoindre dans le lit conjugal.
Mais je dû retourner en France. J'ai gardé le goût pour la soumission, au point de ne pouvoir jouir que lorsque je suis attachée. Dans un boîte,j'ai rencontré un couple de dominateurs et durant plusieurs années nous nous sommes régulièrement rencontrés. Il y a quelques temps, comme j'étais au chômage, ils m'ont proposé de vivre avec eux. Ils sont devenus mes maîtres;je suis leur bonne à tout faire et cela dans tous les sens du terme... et j'aime ça.
Fin.
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