Jeune gourmande 3
Récit érotique écrit par Toulousaincoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jeune gourmande 3
Durant mes 10h de voiture sur la route des vacances, en tant que passager, j'échangeais avec Ondine par message. Nous remémorant la nuit précédente. Dans sa façon de rappeler les évènements je sentais qu'elle était ferrée... Mais moi non plus je n'étais pas aussi indifférent que d'habitude.
Nous continuâmes cette relation a distance, nous téléphonant tous les jours, échangeant des dizaines et des dizaines de sms. Nous vivions pourtant à 1000km de distance. Nous comblions nos besoins sexuels par des sextos et autres snaps sexy ou par des appels très excitants et des sessions webcam encore plus torrides. À ma grande surprise, Ondine était très douée pour ca, elle arrivait à m'exciter tellement facilement que je jouissais très rapidement en me touchant, sans même qu'elle n'ai à se dénuder entièrement .
Aux vacances de la toussaint, n'y tenant plus, je pris ma voiture, fis dans la journée les 1000km qui nous séparaient et arriva en fin d'après-midi devant chez elle. Je l'appelais, lui demandant ce qu'elle faisait, puis lui dit, sorti de nulle part : "je suis devant chez toi". Elle cru d'abord à une blague, puis quand elle réalisa que c'était vrai elle raccrocha, couru jusqu'au portail et sauta dans mes bras. Ses parents étant chez elle, nous faisions quelques dizaines de mètres en voiture pour nous garer dans une impasse. Elle vint alors sur moi pour m'embrasser, je sentais le feu entre ses cuisses, elle glissait sa main dans mon pantalon et me susurrant : "c'est juste pour vérifier que je te fait toujours le même effet ...".
En effet j'étais déjà dure comme fer. Elle mis alors fin à cette excitation, me disant qu'elle devait rentrer, car elle était censée travailler et que ses parents allaient s'inquiéter, mais me confiant aussitôt que le lendemain ses parent s'absentaient pour le weekend et qu'elle serait seule chez elle. Après trois mois d'attente je n'étais pas a 24h près.
J'arrivais donc chez elle le lendemain dans l'après-midi. À peine rentré, elle me fit un très rapide tour du propriétaire, finissant stratégiquement par sa chambre. Pas folle la guêpe !
Nous sautâmes sur son lit, nous déshabillant rapidement l'un l'autre. Quel plaisir de retrouver ce magnifique corps... De sentir son pouls s'accélérer quand je glissais ma main sous sa petite culotte, tout en plongeant mon regard au fond de ses magnifiques yeux bleus. Je n'avais qu'une envie, la faire sauter au plafond comme je l'avais fait auparavant, je descendais donc rapidement jusque son joli fruit juteux, croquant dedans avec un tel plaisir.
Elle y était toujours aussi sensible et ne tardât pas à jouir. Je remontais face à son visage et l'embrassais fougueusement, je n'en pouvais plus ! Mon désir était trop grand, il fallait que je la prenne.... Mais elle descendit rapidement sur mon dard gonflé et entreprit une superbe pipe. Je me tordais dans tous les sens voulant éviter de tout lâcher aussi vite, c'était tellement bon, je sentais sa langue chatouiller mon gland, puis je sentais celui-ci cogner au fond de sa gorge. Au bord du précipice, je l'arrêta. La fit remonter à moi et sur moi. Je m'introduis en elle et malgré toute la mouille recouvrant ses parois et toute la salive sur mon membre, j'eu beaucoup de difficultés à glisser en elle car elle était toujours aussi serrée. Un délice de sentir cette chaude intimité glisser sur moi, se balançant d'avant en arrière afin que son clitoris frotte au mieux contre mon pubis. Elle m'emmena encore une fois au bord du précipice, mais je ne voulais toujours pas abréger ce moment délicieux. Je m'arrêtais alors et la mis à 4 pattes, je savait qu'elle voulait essayer la levrette. Je m'introduit en elle et lui mis les coups de reins qu'elle méritait, je l'entendais gémir, mais entre ce magnifique son, la vue de sa superbe croupe et cette sensation en allant bien au fond d'elle; je ne pu me retenir, je fini affalé sur elle, repus, vidé, un sourire béat imprimé sur mon visage.
Les quelques jours qui suivirent nous nous donnions l'un à l'autre dans toutes les pièces de la maison avec régal. Puis ce fut le moment pour moi de rentrer dans le sud. L'attente allait être longue....
Nous continuâmes cette relation a distance, nous téléphonant tous les jours, échangeant des dizaines et des dizaines de sms. Nous vivions pourtant à 1000km de distance. Nous comblions nos besoins sexuels par des sextos et autres snaps sexy ou par des appels très excitants et des sessions webcam encore plus torrides. À ma grande surprise, Ondine était très douée pour ca, elle arrivait à m'exciter tellement facilement que je jouissais très rapidement en me touchant, sans même qu'elle n'ai à se dénuder entièrement .
Aux vacances de la toussaint, n'y tenant plus, je pris ma voiture, fis dans la journée les 1000km qui nous séparaient et arriva en fin d'après-midi devant chez elle. Je l'appelais, lui demandant ce qu'elle faisait, puis lui dit, sorti de nulle part : "je suis devant chez toi". Elle cru d'abord à une blague, puis quand elle réalisa que c'était vrai elle raccrocha, couru jusqu'au portail et sauta dans mes bras. Ses parents étant chez elle, nous faisions quelques dizaines de mètres en voiture pour nous garer dans une impasse. Elle vint alors sur moi pour m'embrasser, je sentais le feu entre ses cuisses, elle glissait sa main dans mon pantalon et me susurrant : "c'est juste pour vérifier que je te fait toujours le même effet ...".
En effet j'étais déjà dure comme fer. Elle mis alors fin à cette excitation, me disant qu'elle devait rentrer, car elle était censée travailler et que ses parents allaient s'inquiéter, mais me confiant aussitôt que le lendemain ses parent s'absentaient pour le weekend et qu'elle serait seule chez elle. Après trois mois d'attente je n'étais pas a 24h près.
J'arrivais donc chez elle le lendemain dans l'après-midi. À peine rentré, elle me fit un très rapide tour du propriétaire, finissant stratégiquement par sa chambre. Pas folle la guêpe !
Nous sautâmes sur son lit, nous déshabillant rapidement l'un l'autre. Quel plaisir de retrouver ce magnifique corps... De sentir son pouls s'accélérer quand je glissais ma main sous sa petite culotte, tout en plongeant mon regard au fond de ses magnifiques yeux bleus. Je n'avais qu'une envie, la faire sauter au plafond comme je l'avais fait auparavant, je descendais donc rapidement jusque son joli fruit juteux, croquant dedans avec un tel plaisir.
Elle y était toujours aussi sensible et ne tardât pas à jouir. Je remontais face à son visage et l'embrassais fougueusement, je n'en pouvais plus ! Mon désir était trop grand, il fallait que je la prenne.... Mais elle descendit rapidement sur mon dard gonflé et entreprit une superbe pipe. Je me tordais dans tous les sens voulant éviter de tout lâcher aussi vite, c'était tellement bon, je sentais sa langue chatouiller mon gland, puis je sentais celui-ci cogner au fond de sa gorge. Au bord du précipice, je l'arrêta. La fit remonter à moi et sur moi. Je m'introduis en elle et malgré toute la mouille recouvrant ses parois et toute la salive sur mon membre, j'eu beaucoup de difficultés à glisser en elle car elle était toujours aussi serrée. Un délice de sentir cette chaude intimité glisser sur moi, se balançant d'avant en arrière afin que son clitoris frotte au mieux contre mon pubis. Elle m'emmena encore une fois au bord du précipice, mais je ne voulais toujours pas abréger ce moment délicieux. Je m'arrêtais alors et la mis à 4 pattes, je savait qu'elle voulait essayer la levrette. Je m'introduit en elle et lui mis les coups de reins qu'elle méritait, je l'entendais gémir, mais entre ce magnifique son, la vue de sa superbe croupe et cette sensation en allant bien au fond d'elle; je ne pu me retenir, je fini affalé sur elle, repus, vidé, un sourire béat imprimé sur mon visage.
Les quelques jours qui suivirent nous nous donnions l'un à l'autre dans toutes les pièces de la maison avec régal. Puis ce fut le moment pour moi de rentrer dans le sud. L'attente allait être longue....
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