Jeune mariée 1

- Par l'auteur HDS Lamiche31 -
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Jeune mariée 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jeune mariée 1
½.
J’ai connu mon futur mari lorsque j’avais un peu plus de 15 ans, après un an ensemble j'ai cassé malgré mon amour pour lui pendant deux ans j'ai eu une dizaine d’amants entre 17 et 52 ans, ensuite on s'est retrouvé pour ne plus s’en quitter. Peu après nos retrouvailles, Charles m’a dit être sur de faire sa vie avec moi( moi aussi d’ailleurs) mais que c’était impossible de ne pas être tenté et donc qu'il le laissait ma liberté sexuelle à condition de ne pas paraître pour un couillon et de lui raconter.
Je n’ai pas osé lui avouer que depuis qu’on s’était remis ensemble j’avais eu un amant, mon second flirt qui n’avait pas été jusqu’à la pénétration mais qui avait donné lieu à des caresses très intimes.
Début septembre, deux semaines après avoir renoué ensemble, j’ai reçu un appel de Pierre-Jean, il habitait Paris et rentrait en fac de médecine, il m’a proposé de se retrouver pour un petit repas, je devais aller à la capitale pour mes inscriptions aussi j'ai accepté. Après un rapide repas, , P.J. m’à proposé d’aller chez lui discuter, ses parents étant absents jusqu’au soir. Dès notre arrivée dans sa chambre on s’est embrassé et aussi rapidement on s’est retrouvé nus dans son lit. Jusqu’à sa rentrée en fac de médecine et lorsque mon chéri était absent ( il finissait sa formation de pilote de ligne), j’allait rejoindre P.J. et on faisait l’amour très intensément. Je ne me sentais pas coupable, le soir je retrouvais mon chéri e et on faisait l’amour très très fort.
Lorsque mon chéri m’a donné une entière liberté sexuelle, je venais juste d’arrêter ma liaison avec P.J. et paradoxalement je suis resté fidèle pendant plus d’un an, j’ai commencé par coucher avec un ami de Charles, il nous a presque poussés à le faire. Cet ami est resté mon amant épisodique pendant une dizaine d’années avec des coupures de plus d’un an par moment.
Charles ayant fini son stage ,il a acheté une maison en banlieue nord de Paris assez près de l’aéroport, le jour de mes 21 ans, j’ai aménagé avec lui, quelques mois après pour des raisons de facilité, on a décidé de se marier.
Bien sûr la famille et les amis étaient présents plus quelques personnes comme le président des copropriétaires, m B. dit entre nous le père B. Le plus âgé de tous les voisins, un homme de soixante ans, avec un énorme ventre, un visage très rouge et très imbu de sa personne et puant de son fric.
Vers la fin de la soirée il y a eu la mise aux enchères de « la jarretière de la mariée’, le père B. et un ami de mes beaux-parents se sont battu à coups de billets et ce fut le père B. qui a gagné, selon la tradition, le vainqueur avait le droit d’aller la chercher sur la cuisse de la mariée, j’avais des bas auto-fixant et la jarretière était à leur limite, le père B à remonté doucement ses mains et arrivées à la jarretière, la main vers l’intérieur de mes cuisses a continué et un doigt est venu le long de ma petite culotte avant de passer dessous, j’ai senti son doigt arriver sur ma fente et venir toucher mon clitoris, je ne pouvais rien faire sous peine d’un scandale. Avant de le retirer, son doigt est rentré un instant entre mes petites lèvres, j’étais à la fois outrée, écœurée et excitée par la situation, je pense que le père B s’en était aperçu par la facilité de rentrer son doigt dans mon minou.
Je n’ai pas osé le dire à mon mari de crainte des conséquences pour l’entente de la copropriété. Dans les semaines qui ont suivi, je me suis aperçu que lorsque mon chéri me caressait le minou il m’arrivait de m’imaginer que c’était la main et les doigts du père B qui le faisaient et je mouillais. J’étais partagée entre le dégoût que ce vieux bonhomme m’inspirait et l’excitation que j’avais eu lorsqu’il m’avait caressé le sexe le doigt de notre mariage.
Peu après, la vieille voiture de Charles a rendu l’âme, il gagnait très bien sa vie mais entre les crédits immobiliers et ceux pour meubler la maison, les fins de mois étaient très juste et l’achat d’une nouvelle voiture était une catastrophe. Pendant plusieurs jours, mon chéri se servait de la mienne mais alors j’étais complètement coincée pour mes études. Lorsque le père B proposa à Charles de nous prêter l’argent sans intérêts, on a poussé un ouf de soulagement.
Il faisait chaud en ce début octobre, j’avais ressorti une petite robe d’été enfilée sur un petit ensemble slip/ soutien-gorge Lorsque la sonnerie m’averti d’une visite, c’était le père B qui nous apportait le chèque comme promis, c’était la première fois que je le revoyais depuis le mariage et j’ai rougi comme une jeune pucelle, lui était décontracté et l’arrêtait pas dème dire des « chère Mme S ».

Une fois le chèque remis, il s’est approché de moi, j’étais dos contre un mur, il m’a serrée dans se bras en essayant de m’embrasser j’ai tourné la tête il m'a alors embrassée dans le cou, une de ses mains est passée sur ma poitrine puis est descendue sous ma robe, lorsqu’elle a atteint ma culotte, il a dit « j’espère que vous mouillez autant qu’à votre mariage », j’étais figée n’osant rien faire, je commençais à être excitée par cette situation que je refusais au fond de moi mais que mon corps semblait accepter et désirer. Lorsque sa main a atteint mon sexe et a commencé à le caresser, j’ai su et lui aussi je pense que je le laisserai faire ce qu’il voulait.
Il m’amena juste à côté dans chambre du rez-de-chaussée servant un peu de bureau, il y avait une épaisse moquette et il me fit m’y étendre après avoir complètement enlevé ma petite culotte. Devant l’inconfort, je me suis relevée pour m’assoir sur le petit canapé, il s’est mis genoux en écartant mes jambes puis s’est penché sur ma fente humide et accueillante. Lorsque ses lèvres se sont posées dessus, j’ai eu un orgasme fulgurant, instinctivement j’ai mis les mains sur sa tête pour garder son contact le temps que je redescende sur terre. Le père B était rapide car je me suis retrouvée aussitôt avec sa verge bien raide ai niveau de la bouche, même allongée et lui debout, j’ai du incliner la tête pour passer sous son gros ventre et commencer à le sucer. Une bite est une bite même si elle appartient à un vieux moche et gros, je lui ai fait une fellation comme j’adore les faire, plusieurs fois je le sentais au bord de l’éjaculation, je contrôlait sa jouissance pour mon grand plaisir, ensuite je lui ai dit » venez monsieur B, j’en peux plus ».
Il est rentré d’un coup, mon sexe réclamait un phallus, le sien m’a remplie, intérieurement, je me traitais de salope, de dépravée et plus je le pensais, plus j’étais excitée. J’ai joui juste avant lui. C’était un temps où le SIDA ne sévissait pas et comme je prenais la pilule, il a pu se vider dans ma chatte.
La parole qu’il a dit fut « vous en faites pas madame S, vous n’êtes pas la première voisine à coucher avec moi mais vous êtes de loin la plus jeune, la plus jolie et le plus récemment mariée ».
Avant de partir, il a rajouté « comme convenu avec monsieur S, je passerai dans un mois chercher le premier remboursement.
Je me suis demandé s’il connaissait mes jours de fac et ceux où mon mari travaillait car un mois plus tard, le mardi matin, juste après le départ de mon chéri il a téléphoné me disant qu’il passait vers 14 h chercher le 1er chèque.
A l’heure pile, il sonnait, je me doutais que me sachant seule il allait essayer de recommencer, j’étais décidée refuser ses avancés pour retrouver ma dignité. En jeune femme bien élevée je lui ai proposé un café puis il m’a demandé s’il pouvait visiter le 1er étage pour voir notre décoration, je n’ai pas osé refuser. J’avais juste entrouvert la porte de notre chambre mais d’une main il l’ouvrit entièrement et en entrant me complimenta sur notre décoration. Là, il m’attrapa dans ses bras pour m’étendre sur le lit, je résistait mollement sentant déjà mon envie revenir. Il m’a dit que tromper son mari dans le lit conjugal augmentait le plaisir, il s’est penché pour m’embrasser et je ne lui ai pas refusé mes lèvres. Une nouvelle fois il a su rapidement qu’il allait encore me baiser. Je ne sais pas si c’était les circonstances ou son savoir mais il m’a fait jouir deux fois pensant son cunnilingus, la seconde fois nous étions dans un 69 torride où sa langue a été jusqu’à lecher ma petite étoile. Une nouvelle fois, c’est moi qui lui ai demandé de venir me baiser, on n’a pas arrêté de s’embrasser et au moment de notre jouissance simultanée, il m’a fixée dans les yeux.
Ce n’était plus la surprise de la première fois, j’ai couché de mon plein gré avec le père B, je l’ai embrassé sans retenue et je l’ai gardé dans ma chatte le plus longtemps possible. Je me suis rhabillée en vitesse, il est descendu peu après moi, avant de partir, il m’a dit avoir laissé un petit mot sur mon lit et souhaitait me voir toutes les deux semaines dans un petit hôtel pas loin de chez nous.
Une fous seule, je suis remontée lire son mot, il y avait en liquide la somme exacte du chèque que je lui avais donné et un mot avec l’adresse de l’hôtel, le jour et l’heure.
J’étais folle, ce vieux porc me prenait pour une pute, certes je n’étais comportée comme une femme facile mais là c’était le cran au dessus.
Après avoir réfléchi et penser lui remettez l’enveloppe dans sa boîte aux lettres, je me suis dit que j’allais pouvoir m’acheter quelques fantaisies.
Pendant ces deux semaines, je n’ouais pas me regarder dans une glace, tous les jours Jr me promettais de ne pas aller à don rendez-vous mais intérieurement je savais que j’irais.
Une heure avant le rendez-vous, il m’a téléphoné me donnant juste le numéro de la chambre puis à raccroché. Jusqu’au dernier moment j’ai résisté mais vingt minutes l’heure, j’ai sauté dans ma voiture, j’ai été directement à la chambre il m’attendait sur de lui. En me regardant dans les yeux il m’a demandé de me déshabiller puis de m’étendre sur le lit, j’avais déjà la chatte humide, il s’en est rendu compte en regardant m’a petite culotte. C’est moi qui l’ai déshabillé puis je l’ai sucé genoux devant lui, toujours là tête inclinée pour passer sous le ventre. Il m’a demandé de me coucher jambes grand-ouvertes, son cunni s’est nettement déporté vers ma rondelle annale, lorsqu’il m’a demandé de me mettre à quatre pattes, j’ai compris qu’il allait me sodomiser. Encore une fois don expérience lui a permis de rentrer doucement par petits à coups, une fois les muscles relâchés j’ai senti ses couilles contre mes cuisses. « punaise, maintenant le père B m’encule et j’aime ça.
La première fois, il avait eu ma chatte, la deuxième mes lèvres et aujourd’hui mon cul, moins de trois mois après mon mariage un vieux salop m’avait baisée de partout et malgré ma honte j’aimais ça.
Ensuite? Un mardi sur deux, on se retrouvait dans la même chambre, un mardi sur deux je lui donnais son chèque et avant de se quitter, il me remettait son enveloppe avec la somme en liquide. Je n’avais plus honte, je faisais des petits cadeaux à Charles en lui disant que certains jours lorsqu’il travaillait je donnais des cours à des gamins.
Début janvier le père B avec sa femme fit une grande fête pour son départ en retraite, devant nous, il fut très respectueux allant même jusqu’à faire un baise-main aux dames dont moi.
Un samedi soir, on est « tombé » sur lui en boîte de nuit, il était avec quelques types de son âge. A un moment, devant nos amis, il s’est vanté d’avoir couché avec pas mal de voisines et en me regardant dans les yeux il a rajouté « sauf madame S, bien sûr ». J’étais écarlate, heureusement que les lumières de la boîte ont caché ma gêne.
Lorsque au bout d’un an, notre dette fut « remboursée », en partant de l’hôtel, il a dit « à dans quinze jours », j'ai continue encore deux mois, lui continuait à me donner de l’argent.
Entretemps il y a eu des élections municipales, monsieur B était tête de liste d’un parti et Charles était sur une liste opposée comme simple conseiller. La liste du père B a été largement battue dans la foulée je lui ai dit que j’arrêtais.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour j’ai adoré votre histoire cela semble réel et c’est très excitant. Agréable à lire. Je vous imaginais bien. J’aurai aimé vous avoir comme voisine pour vous apercevoir en petite tenue. Vous m’avez fait bander. Merci pour ce joli moment de plaisir.



Texte coquin : Jeune mariée 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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