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- Par l'auteur HDS Vidi -
Récit érotique écrit par Vidi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.3
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Récit libertin : Jeux Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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- Tu es dispo ce week-end ?
- Tout le week-end ?
- Je viens de finir 50 nuances de Grey et ça m’a donné tout plein d’idées.
- Développe ?
- Eh, j’aurais peut-être envie de me faire soumettre à tes plus profonds désirs…- Ce que tu as lu n’est pas forcément représentatif de la réalité…- Qu’est-ce que tu en sais ?
- Beaucoup, tu veux qu’on se voie pour en discuter ?
Quelque chose à changer dans sa voix. Plus… sérieux. Malgré qu’il soit plus jeune que moi d’un peu plus de 10 ans, il a l’air de savoir beaucoup de choses. C’était déjà assez perturbant de le voir me faire jouir comme une ado en manque de sexe depuis des mois la première fois que nous avons couché ensemble, mais là…- J’attends…- Vendredi soir, viens manger à la maison. Ma fille sera chez son père, et si tu es libre, nous pourrons aller au chalet finir le week-end.
- Bon programme ça. Tu veux que je ramène quelque chose ?
- Toi, et des idées. Tu sais déjà ce que je veux.
Il éclate de rire avant de raccrocher. Quelques instants plus tard, je reçois un message de sa part : « regarde ta galerie photo sur ton téléphone ». J’ai encore quelques minutes avant de reprendre le travail, alors je jette un rapide coup d’œil. Il a osé… des photos de nous en train de faire l’amour. On ne voit pas nos visages mais je reconnais instinctivement mon tatouage dans le dos. Sur la première, en pleine levrette, il a une main posée sur ma hanche et je suis complètement affalé sur le lit, en train de m’agripper aux draps sous l’effet de sa bite. Je repense à la scène et me met à mouiller légèrement. Sur la deuxième, je le chevauche en me pinçant les tétons. Je devais vraiment être proche de l’orgasme pour ne pas remarquer le portable dans sa main. Encore d’autres clichés, quand je le suce, les cheveux sur le visage, quand il me doigte et mes jambes écartées puis fermées sur sa main lorsque je dois être en train de jouir.
Je regarde autour de moi. Ma respiration s’est accélérée, je sens que mes tétons pointent et ma chatte dégouline. Je vais avoir besoin d’une séance sexe avant la fin de la journée à ce rythme-là. Il reste une dernière photo. En fait non, il a eu l’audace de filmer aussi. Je remets mes écouteurs, et la lance : Nous sommes en pleine levrette et il me tire les cheveux vers lui. Il sait que j’adore ça, avec une fessée en prime, il n’en faut pas beaucoup plus pour m’envoyer au septième ciel.
- Oh mon dieu oui, continue !
- Tu aimes ma queue ?
- Putain oui ! j’adore ta queue !
- Elle est toute à toi alors !
Il a dû accélérer ses mouvements parce que je me mets à crier encore plus fort de plaisir. Je l’encourage à aller plus loin en moi et je vois qu’il s’arrête.
- Montre-moi à quel point tu la veux au fond de toi.
Je gémis en voyant mes fesses reculer sur sa bite. Il zoome et je peux clairement voir à quel point je mouille sur sa bite. Elle est crémeuse de mes sécrétions vaginales. J’ai envie de me caresser, de l’appeler pour qu’il vienne calmer mon excitation à grands coups de bite comme il sait si bien le faire.
Je remets mon attention sur la vidéo et le vois ramener ma mouille sur mon anus. Il le caresse doucement puis le pénètre avec mon petit plug anal et je m’entends gémir, certainement à cause de l’effet combiné des deux. Je me vois accélérer mes mouvements, jusqu’à ce qu’il pose le téléphone sur le chevet. Il m’attrape les hanches et me plaque contre le lit. Et là commence certainement une des meilleures baises de ma vie. Je crie mon plaisir et il tire ma tête vers lui, me chuchote à l’oreille puis me laisse pour revenir sur mes hanches. Le rythme du claquement de nos peaux qui se rencontrent est régulier, jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma chatte pendant qu’un violent orgasme me submerge. Il me lâche pour arrêter la vidéo, mais j’ai encore le temps d’apercevoir mes jambes trembler… Je l’appelle pour lui dire de passer à la maison ce soir, mais il ne répond pas. J’ai envie qu’il me refasse toutes les choses que j’ai vu, je suis à deux doigts de poser mon après midi et de rentrer m’amuser avec mes jouets jusqu’à ne plus pouvoir marcher. Quand je remonte à mon bureau, je reçois un message de sa part : « Sois patiente. A vendredi ». J’ai envie le détester et en même temps je sais que vendredi il me fera jouir de toutes les façons possibles. A moins que ce ne soit moi qui m’amuse avec lui. Oui, c’est ça, je le ferais crier son plaisir aussi comme j’ai crié le mien dans la vidéo !
*Vendredi est enfin là. Je me rappelle encore de la vidéo et je me sens mouiller légèrement. Une fois ma fille endormie, j’ai dû me calmer à grands coups de godes dans tous mes trous…Je me rappelle aussi de la promesse que je me suis faite, et il est temps de tout mettre en œuvre pour. Enfin, je vais tenter de la mettre en œuvre, car avec lui, je ne suis jamais au bout de mes surprises. Sans dire qu’il est manipulateur, il a un don pour ne pas se laisser surprendre. Mais ce soir, je veux qu’il soit à ma merci. Et je lui ai fait jurer qu’il se laisserait faire, ce qui a été assez laborieux. Mais il a accepté pour mon plus grand plaisir.
Aujourd’hui, je ne travaille pas. Après avoir déposé ma petite à son école, c’est l’heure du shopping. Un petit tour dans ma boutique de lingerie fine, et j’en ressors avec un grand sac, plein de choses qui le feront craquer. Quand je regarde ma montre, je constate que j’y ai passé près d’une heure et demi. Tant pis, il faut que ça soit parfait ce soir. Pas le temps d’aller chez la coiffeuse, mais le repas se doit d’être excellent. Entre la cave à vin, le poissonnier et le pâtissier, tout y passe. Huitre, chocolat, cannelle, gingembre et pleins d’autres choses aphrodisiaques qui le feront craquer au plus vite.
Le temps passe tellement vite, que je reçois déjà un appel de ma fille pour me dire que son père l’a bien récupéré, et qu’ils passeront le week-end chez mes ex beau parents.
*Il est presque 20h quand je sonne chez elle. J’ai pris un sac avec des affaires, car je n’ai pas eu le temps de rentrer chez moi me changer. Je vais avoir besoin d’une douche avant tout. La voir me repose. Elle m’embrasse langoureusement et je sens en elle une envie brute de sexe. Si je ne lui avais pas promis de me laisser faire pendant sa ‘surprise’, je l’aurais plaqué contre le mur, déshabillé et prise là jusqu’à ce que nous jouissions tous les deux.
- Bonne journée ?
- Pas trop mal. Et la tienne ?
- Chiante au plus haut point. Je vais prendre une douche avant de manger, si tu veux bien.
- Vas-y, je finis de dresser la table.
L’eau chaude me fait un bien fou. Je traine un peu, et elle me rejoint quand elle a fini ses préparatifs. Je l’attire contre moi et l’embrasse. J’ai envie d’elle, et je dois me retenir de ne pas lui sauter dessus. Quelle idée de faire des promesses pareilles… Elle me repousse en rigolant en me disant qu’elle a faim de nourriture avant tout, et qu’elle espère que moi aussi. J’ai l’impression qu’elle s’est donnée beaucoup de mal pour ce soir.
Quand j’arrive au salon, la pièce est éclairée par des bougies qui dégagent un léger parfum de fruits rouges. Une fois n’est pas coutume, c’est sur la table basse que nous allons manger. Je reconnais un petit plateau d’huitre, des crevettes au guacamole et j’en passe. Je m’installe dans le canapé en attendant qu’elle sorte de la cuisine.
- Tu as besoin d’aide ?
- Reste là où tu es. Aux dernières nouvelles j’arrive encore à ouvrir une bouteille de vin.
J’entends le pop qui me confirme qu’elle a réussi. J’applaudis en la félicitant jusqu’à ce qu’elle rentre dans la pièce. Et là je reste bouche bée. Je n’aime pas les surprises, mais je peux clairement dire que j’adore celle-ci. Elle porte un peignoir mi long, en soie et dentelle noire. Avec la pénombre, je ne discerne pas grand-chose du reste, mais je suis terriblement excité d’en voir plus. Quand elle s’assoit près de moi, je peux voir les bas en résille rouge et je dois faire un effort considérable pour ne pas la déshabiller petit à petit pour apprécier sa surprise.
- Au vu de ta bouche grande ouverte, je vais considérer que ma tenue te plait.
- Si tu savais…- Oh j’imagine que tu as envie de voir le reste, mais ça devra attendre la fin du diner.
- On peut aussi sauter l’étape où on est censé manger…- Je ne me suis pas embêtée à te faire à manger pour que tu n’apprécies pas. Et surtout ne te force pas à aller vite, je veux te tu prennes le temps d’apprécier le tout.
- Je peux aussi apprécier en allant vite.
- C’est moi qui décide ce soir, tu as oublié ?
Je souris pour toute réponse et nous sert du vin. Le repas est délicieux, je prends le temps de tout apprécier car je sais qu’elle ne sera pas plus rapide que nécessaire. Au dessert, elle se lève pour aller chercher une autre bouteille dans la cuisine, et son déhanché m’achève. Je fais mine de me lever pour la rejoindre, mais elle m’arrête :- J’aimerais éviter de mettre un terme à la soirée alors que tu as été si patient jusqu’à maintenant. Encore un peu.
Quand elle revient, c’est avec une bouteille de rhum vieux, ma préférée. Même si je me meurs d’envie de la déshabiller et de la manger de partout, je reconnais qu’elle a amplement mérité que je reste sage jusqu’à la fin. Elle a aussi apporté une bouteille de sirop de gingembre et je commence à cerner son petit jeu.
- Ça fait beaucoup d’épices pour une simple soirée.
- Tu aimes bien manger épicé non ?
- Oui, mais là, ça fait beaucoup d’aphrodisiaque. Gingembre, huitres, chocolat noir… Tu sais que tu n’as pas besoin de tout ça avec moi ?
En disant cela, j’ai posé ma main sur sa cuisse, prêt à la faire remonter. Elle me regarde faire puis me fixe avec tout le sérieux du monde. J’ai compris, je ne suis pas autorisé à prendre d’initiatives ce soir. Je retire ma main et me sert un verre de rhum vieux. Délicieux, j’en apprécie chacune de mes gorgées. Nous discutons encore, le temps qu’elle finisse son dessert, puis elle commence à débarrasser la table basse. Je me propose de l’aider, ce qu’elle accepte pour une fois. J’en profite aussi pour faire la vaisselle, car je sais que c’est chiant de se lever le matin et d’avoir tout à faire. Quand j’ai fini, je la vois sur le canapé qui m’attend.
- On discute de ta surprise ?
- Attends-moi là, je reviens.
Un autre verre de rhum vieux m’attend et je m’installe confortablement. Elle s’avance vers moi et s’agenouille sur moi et commence à m’embrasser. Mes mains caressent son corps, comme si je le découvrais pour la première fois. Bizarrement, elle ne m’interdit rien, jusqu’à ce qu’elle s’arrête de m’embrasser et me regarde dans les yeux :- Tu te rappelles de ta promesse ?
- Oui m’dame. Explique-moi les règles ?
- Humm, laisse-toi faire… Oh… et puis, interdiction de me toucher ce soir. Tu as droit seulement aux yeux.
- Ça par contre, ça risque d’être compliqué. En plus ce n’était pas prévu ça…- Ça risque d’arrêter la soirée si tu n’es pas sage. Mais je te fais confiance.
J’acquiesce en l’embrassant et en posant mes mains sur le canapé. Je dois reconnaitre que c’est assez difficile de me retenir de poser mes mains sur son corps. Elle recommence à m’embrasser en me caressant le cou, puis descend sur mon torse. Même à travers mon t-shirt, elle me fait frissonner. Je reconnais que c’est difficile de lutter contre l’envie de la tenir, de la retourner sur le canapé et de lui faire l’amour jusqu’à l’épuisement. Quand sa main remonte sur mon cou, je me crispe et elle me regarde avec étonnement. Puis un sourire éclaire son visage et elle relève ma tête et me mordille le cou. Je fonds littéralement et la serre dans mes bras.
Elle continue et je me mets à gémir. Sa langue se promène sur ma peau tout en douceur et elle s’arrête au moment où elle sent que je vais la soulever.
- C’est con, je devrais arrêter la soirée juste à cause de ça.
- Tu sais que je suis sensible du cou…- Tu sais que je suis hyper sensible des tétons et ça ne t’empêche pas de t’amuser avec…- C’est vrai. Désolé d’avoir gâché tes plans.
Elle me regarde un moment, m’embrasse et se lève. Elle me prend par la main et m’invite à la suivre dans la chambre. J’obtempère en silence, encore sous le charme de son déhanché devant moi. Je reconnais que je suis surpris de la tournure des évènements. Nos rencontres ont toujours été basé sur un lâcher prise de sa part, dû au stress et à la pression que peut lui infliger son travail. Mais là, elle semble contrôler entièrement la situation, comme si elle s’était fixé un objectif. Ce qui me fait doucement rigolé quand je repense à ce que j’avais prévu pour elle au chalet.
- On ira bien au chalet demain ?
- Tout dépend de notre motivation. Allez, installe-toi sur le lit.
Je crois rêver… des menottes ? une ambiance tamisée, un parfum de rose dans l’air.
- Tu comptes m’attacher ?
- Je me doutais bien que tu avais du mal à t’auto discipliner… alors j’ai prévu de quoi te laisser une autre chance.
- Une autre chance ?
- Je peux aussi arrêter la soirée…Je m’assieds sur le lit et la laisse m’attacher. Quand elle est sûre que je ne risque plus de bouger, elle commence à se déshabiller devant moi. Le peignoir révèle d’abord ses épaules, puis un décolleté à damner les saints… je ne sais pas où elle a acheté sa lingerie, mais je suis en totale érection rien qu’en voyant sa poitrine parfaitement réhaussée dans la dentelle. Le peignoir finit par tomber et je ne peux qu’admirer sa tenue. Ses hanches sont parfaitement mises en valeur par le porte jarretelle et le string, la dentelle rouge et noire qui contraste, il n’en faut pas plus pour que je sois terriblement excité.
- Tu aimes ?
- Sache que tu as bien fait de m’attacher. Mais c’est quand même dur à vivre.
- Le pire est à venir alors.
- Pourvu que le pire soit agréable…Elle s’avance vers moi et se met à califourchon sur moi. J’ai la tête au niveau de ses seins, et elle s’amuse à me voir essayer de les embrasser. Elle finit par presser ma tête contre elle et j’embrasse sa poitrine comme je peux. Elle libère un de ses seins et me le tend :- Lèche…Je m’exécute en promenant ma langue sur sa peau et suce son téton. Je m’oublie littéralement, trop concentré à profiter du peu qu’elle me laisse.
- Mordille-le, tu sais que j’aime ça…Mes dents lui arrache un petit gémissement puis je reprends son sein à pleine bouche. Quand elle a assez, elle s’arrête et m’embrasse. Ses mains se glisse sous mon t-shirt et caresse ma peau. J’ai l’impression de prendre feu de désir quand elle m’effleure avec ses ongles. Elle fait en même temps des petits mouvements de haut en bas, comme si elle chevauchait mon pénis. Elle descend sur mes cuisses et baisse mon pantalon ; évidemment, je n’ai pas mis de sous vêtement et mon érection est plus que visible…Elle prend mon sexe en main et commence à la branler. Doucement, mais fermement, elle monte puis descend, m’effleure le gland de temps en temps. La sensation de sa main est exquise et j’ose à peine imaginer e que ça pourrait être si elle me faisait une fellation. Elle promène ses doigts sur toute la longueur de ma bite, me caresse aussi les testicules tout en m’embrassant. Je gémis de plaisir quand elle me mordille les lèvres, puis elle revient sur mon cou.
- Ça par contre, c’est une mauvaise idée.
- Pourquoi, tu vas chercher à te libérer ?
- Il va bien falloir que tu me détaches…- Nous n’en sommes pas encore là. Allonge-toi.
Je m’exécute tant bien que mal, et je la vois redresser ma bite puis poser sa bouche dessus. Ses lèvres enserrent mon gland, puis c’est sa langue qui prend le relais. Elle se promène sur mon gland, qui en devient de plus en plus sensible, puis elle lèche ma queue sur toute sa longueur avant de la reprendre en bouche. Commence alors une des meilleures fellations de ma vie, si ce n’est la meilleure. Elle accompagne sa bouche de sa main et j’en retire un plaisir immense.
- D’habitude tu ne les fais pas aussi bien…- D’habitude tu ne me laisses pas m’occuper de toi.
J’acquiesce en silence en me concentrant pour ne pas jouir. Elle a attaché ses cheveux en arrières, donc j’ai une vue parfaite sur ses gestes. Elle s’amuse à passer ses dents sur mon sexe et j’en sursaute presque de plaisir. Je la voie lécher la base de mon gland pendant qu’elle me branle et je sens quelque chose dangereusement monter en moi.
- Arrête-toi, je vais jouir…- Tant mieux.
Elle avale presque entièrement ma bite et me pompe à pleine bouche. Je m’entends gémir quand elle commence à me branler en même temps. Quand j’essaye de l’arrêter, elle se relève et me regarde dans les yeux. Puis sa main se met à coulisser doucement sur mes testicules et les caresses. Elle me branle en même temps et là, c’est sûr, je vais jouir rapidement si elle continue comme ça. A croire qu’elle sait au moment précis où je vais éjaculer, elle recommence sa fellation.
- Oh putain…- Jouis pour moi.
Sa langue frotte mon frein en même temps que sa bouche fait des vas et vient et je me mets à jouir dans sa bouche. Ça ne l’empêche pas de continuer, bien au contraire. Je ne sais pas combien de fois j’ai dû crier putain, mais elle a l’air de s’être bien amusée. Elle me regarde en rigolant :- Pas la peine de me regarder comme si j’étais le diable en personne…- Ta langue et ta bouche sont démoniaques…Elle éclate de rire et recommence à me branler. Je n’ai pas débandé et elle se met sur moi en 69.
- Je crois savoir que tu as faim…Elle écarte son string pour que j’ai accès à sa chatte puis elle s’occupe de ma bite. J’ai encore le gland sensible et je sursaute quand elle pose ses lèvres dessus. C’est la première fois que j’ai autant de mal à me concentrer sur un cunnilingus. J’essaie tant bien que mal de m’appliquer à l’exciter mais le plaisir que me procure sa bouche surpasse ma motivation.
- Tu m’as clairement habitué à mieux en termes de cunni’…- Si tu me détachais aussi…Elle s’arrête de me sucer et s’agenouille autour de ma tête. Là, j’ai sa chatte presque posé sur mon visage.
- Embrasse mon clitoris.
Je pose mes lèvres sur son petit bouton, et elle me fait recommencer plusieurs fois avant de me dire de la lécher. Je la vois se pincer les seins en même temps et je sens qu’elle s’abandonne petit à petits au plaisir que je lui procure. Je promène ma langue sur ses grandes lèvres, fouille l’entrée de sa chatte et aspire son clitoris du mieux que je peux. J’aime le gout de sa mouille sur la langue, sa petite touffe de poil sur son pubis qui me chatouille le nez. Quand elle en a assez, elle s’empale sur ma bite et me chevauche rapidement. Je gémis de plaisir, il faut dire que sa chatte est plus serrée que d’habitude et elle s’amuse à contracter son vagin pendants ses mouvements.
Elle finit par ralentir ses mouvements et s’allonge sur moi pour m’embrasser. Elle recommence à bouger doucement cette fois-ci, et sa chatte se serre sur mon gland à chaque fois qu’elle remonte. Elle descend sur mon cou pendant que ses mains m’empêchent de bouger. Elle me lèche et me mordille et sans que je m’en rende compte, un violent orgasme me submerge. Je jouis dans sa chatte en criant de plaisir, le souffle presque coupé. Essoufflé, j’ai l’impression d’être complètement vidé. Elle m’embrasse doucement puis me détache.
- Tu vois, tu devrais te laisser faire de temps en temps…Je grogne dans sa bouche et m’effondre sur le lit. Elle me tire à sa suite dans la douche et je la suis en trainant des pieds. Je suis épuisé, pourtant je n’ai rien fait. Bien que je n’aime pas les surprises, je lui avoue que j’ai adoré celle-ci. Dans la salle de bain, elle commence à retirer ses sous-vêtements, mais je l’arrête.
- Merci…Je m’agenouille et fais glisser son string sur ses jambes. Je remonte en embrassant ses cuisses, puis son ventre et enfin ses seins. J’embrasse sa peau en faisant tomber ses bretelles, malgré mes genoux qui tremblent. Putain, c’est bien la première fois qu’on me fait jouir à ce point.
- Tu m’as l’air bien trop fatigué pour ça, et lui, il n’a pas l’air d’être très coopératif.
Elle a pris mon sexe en main en disant cela et m’attire contre elle dans la douche. Je finis de détacher son soutien, et nous rentrons sous l’eau chaude. Nous nous savonnons mutuellement, mais je sors avant elle, trop épuisé pour profiter d’elle. A peine couché, je sombre dans un profond sommeil, sans même sentir qu’elle s’est allongée contre moi.

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