Jeux adolescents (suite 4)
Récit érotique écrit par Bibite93 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2014 dans la catégorie Plus on est
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Jeux adolescents (suite 4)
Retour à nos moutons après ce bref flash dans le passé. Durant l’été j’avais donc rencontré Alex avec qui j’avais découvert les joies du sexe. Notre histoire prenait de l’ampleur et question cul nous étions comblés tous les deux. Enfin… presque…
Un jour elle me présenta Arthur, un de ses amis plutôt fortuné. Le courant passait bien entre nous. Nous avions les mêmes délires, les mêmes vannes, les mêmes histoires graveleuses. Bref, nous étions presque identiques. Je devais fêter mes 18ans dans quelques jours et ma copine m’avait alors préparé une surprise. En questionnant Arthur et Rudy, j’avais appris que ce serait certainement une soirée sur le bateau du père d’Arthur au large de Cannes. Cool ! J’avais toujours rêvé de faire partie de la Jetset cannoise !
Le jour venu je me laissais donc faire par ma copine qui m’offrit pour mon réveil une pipe magistrale. Quoi de mieux pour se réveiller de bonne humeur ? Mon sexe coulissait si bien dans sa bouche. Elle tenta même une gorge profonde avec mes 22 cm en venant écraser son nez contre mon aine. Ce fut divin. Si bien que je ne pus me retenir plus de 10min. Pour la première fois de notre relation, elle avala. Je savais alors qu’il se passait quelque chose de fort.
Plus tard dans la journée elle me questionna sur mes envies sexuelles. Nous n’avions aucun secret de ce côté-là.
« -Et bien tu sais, les MILF m’ont toujours attirées. Ces femmes d’expériences sont très coquines parait-il… »
Elle ne fit aucune remarque et me laissa un peu sur ma faim. L’avais-je vexée ? Dans l’après-midi Arthur m’appela pour que l’on se rejoigne à la plage. Alex était introuvable… On passa l’aprèm ensemble avec Arthur et j’appris que le minot était encore puceau. Sans être trop vantard je le chambrais sur ça et ne me gênais pas pour lui conter quelques parties de jambes en l’air que j’avais eu avec Alex. Mes récits ne le laissait pas de marbre. Son maillot de bain serré laissait entrevoir un début d’érection qui promettait.
La soirée arriva très vite et j’étais toujours sans nouvelle de ma copine. Arthur et moi avions rejoint une plage privée et pris quelques bouteilles de rosé. L’alcool montait doucement et les potes avaient débarqués pour la soirée qui s’annonçait déjà mythique. Aux alentours de 21h30 nous avons pris place à bord du bateau d’Arthur et sa belle-mère nous chaperonnait. C’était une belle femme. Grand blonde, une poitrine généreuse et tout le bling-bling d’une Jetset assumée. Son fils à elle était aussi sur le bateau, il était sympas mais sans plus. C’était elle qui m’intéressait. Elle avait des manières et des regards qui appelaient au sexe.
Au fil de la soirée les chansons s’enchainaient, le DJ mettaient le feu et mes potes s’éclataient. L’alcool coulait à flot et de mon côté j’avais une soudaine envie de draguer la belle-mère de mon pote. J’avais appris un peu avant qu’elle était plutôt coquine comme femme et surtout qu’Arthur fantasmais depuis longtemps sur elle. Qu’y avait-il de mal là-dedans ? Elle était le stéréotype de la suédoise à forte poitrine, mais je la voulais. L’alcool aidant j’entamais alors une tactique de séduction plutôt directe.
« -Salut Marie, dis-moi tu t’ennuies pas trop ce soir ?
-Non ça va c’est marrant de voir tous ces jeunes !
-Oh mais tu ne dois pas être bien vieille non plus ?
- Tu sais j’ai 39ans tout de même !
-Tu ne les fais pas … - Merci c’est gentil ! Dis tu ne serais pas en train de me draguer ?
-Si mais tu ne vas pas me dire que ça te dérange !
- Non… au contraire !
- Il y a du bruit ici, ça te dit qu’on s’isole ? »
Elle acquiesça de la tête et m’emmena dans une cabine avec un lit extra large. Juste avant de quitter le pont je regardais Arthur en lui faisant un clin d’œil des plus révélateurs. Sa belle-mère était une cochonne et j’allais prendre mon pied ce soir. Qu’importe pour ma copine, j’avais l’occasion de réaliser un fantasme. Elle s’allongea sur le lit, son regard traduisait parfaitement le nombre de verres d’alcool qu’elle venait de s’enfiler. Elle me tira sur le lit et s’attaque tout de suite aux choses sérieuses.
Elle m’embrassait et déboutonnait ma chemise en même temps. Ses doigts experts titillaient mes tétons. Je faisais tout pour contenir mon excitation mais je me sentais déjà très à l’étroit dans mon boxer. Je malaxais ses seins en prenant soin de bien caresser ses tétons à elle aussi. Elle aimait ça car elle poussait de petits cris de plaisir. Marie ôta ma chemise et commença à déboutonné mon jean tout en caressant à travers le tissu mon membre bandé. Elle ouvrait de grands yeux à la vue de la taille plutôt impressionnante de mon engin. Elle fit alors voler le jean tandis que je lui enlevais délicatement son T-shirt et sa jupe bin trop courte. Nous étions en sous-vêtements, assis au bord du lit en train de commencer ce qui allait être l’une des plus belles nuits de ma vie sexuelle.
Elle avait saisi mon braquemard à travers mon boxer blanc qui ne laissait pas beaucoup de place à l’imagination quand la porte grinça. Elle releva la tête et se tourna vers moi. J’eus un moment de panique et je poussai la porte du bout du pied. C’était Arthur qui se trouvait de l’autre côté. Il nous observait. Il était maintenant tout rouge et pour cause, son pantalon laissait apparaitre une bosse plutôt impressionnante. J’étais inquiet de la réaction de sa belle-mère pourtant elle dit :
« -Viens ici petit pervers ! Au lieu de regarder viens participer ! »
Il s’approcha lentement et Marie ne perdit pas une minute avant de le déshabiller ! Il était alors en boxer debout face à moi. Sa bosse n’avait pas dégonflé, la mienne non plus d’ailleurs. J’étais curieux de savoir ce que mon ami pouvait bien cacher là-dessous. Sa charmante belle-mère aussi puisqu’elle s’empressa de la pousser sur le lit à côté de moi et de nous empoigner les queues bien dures. Elle léchait nos sexes à travers le tissu et très vite nous enleva nos sous-vêtements afin que nous soyons complétement nu.
Arthur était plus frêle que moi. J’avais une allure très sportive avec des muscles bien dessinés et tannés par le soleil. Les siens se faisaient plus timides, il avait une allure de minet. Il était quasiment imberbe et sa toison au-dessus de son pénis était rasée. Son sexe était tendu à l’horizontale formant un angle droit parfait avec son corps, une grosse veine parcourait partiellement ce morceau de chair qui devait avoisiner les 20cm. J’étais impressionné, malgré son âge il possédait un sexe de grand. De grosses couilles pendantes ballottaient entre ses jambes fines. Plutôt excitant le gamin.
J’exposais quant à moi mes 22cm non sans éveiller une certaine envie de la part de mon ami. Sa belle-mère commença alors une branle sur nos deux queues. Il n’osait pas me regarder ni même parler. Je savais que c’était sa première fois. Pour le rassurer je lui tapais sur l’épaule et lui fit un clin d’œil. Il sourit et s’allongea sur le lit guidant sa belle-mère avec lui. Pour combler Arthur j’incitai vivement Marie à lui tailler une pipe, ce qu’elle fit aussitôt. Mon ami ferma les yeux et je pus lire son extase sur son visage. Quant à moi je m’occupais de l’autre face et entamais un cunnilingus plutôt réussi à en croire la mouille qui m’inonda le visage.
Après quelques minutes je me positionnai en levrette en regardant Arthur dans les yeux, mon sexe bandé au maximum tentait de percer ce trou peu habitué aux gros calibres comme le mien. J’arrachai un cri de douleur à ma partenaire lorsqu’enfin je pus rentrer tout mon sexe dans son intérieur. Je commençais alors des vas-et-viens dans son vagin qui avaient pour conséquences de lui arracher des cris de plaisir intense. Mon ami se régalait de cette situation. Mes coups de butoir se faisaient de plus en plus violents au fur et à mesure de notre partie de jambes en l’air. Elle aima ça la belle-mère.
Sentant que j’étais proche de l’éjaculation, je me retirais de son sexe dégoulinant pour laisser la place à mon nouveau pote de cul. Nous partageons la même femme, c’était très excitant. J’étais d’ailleurs étonné qu’il n’ait pas déjà lâché sa semence pour une première fois, il était endurant. J’avais préparé le trou de sa belle-mère, il n’avait plus qu’à s’y insérer et la culbuter. Je plaçais alors en face de Marie et lui présenta mon sexe qu’elle eu du mal à gober. Mes mains sur ses temps lui intimaient des mouvements rapides. Elle prit sur elle et me fit une gorge profonde qui me combla de plaisir.
N’y tenant plus avec cette magnifique pipe, elle me branla à la main et baissa la tête lorsque j’éjaculai pour que ma semence lui tapisse le dos. Mes jets étaient puissants et bien épais, si puissants que l’un d’eux atterris sur l’aine d’Arthur, juste au-dessus de son sexe. Surpris je m’excusais pourtant il me regarda droit dans les yeux, pris sont doigts pour enlever le liquide visqueux, le scruta pendant quelques secondes et le lécha. Je ne comprenais pas pourquoi il faisait ça, j’étais abasourdi pendant que sa belle-mère me nettoyait avec sa langue. Il se déchargea sur son dos quelques secondes plus tard. Il prit ses affaires sans un mot et quitta la pièce…
Pourquoi avait-il lécher MON sperme au cours d’un plan à trois ? Il fallait que j’en ai le cœur net. Après une bonne douche je me rhabillais en vitesse avec la ferme intention de connaitre ses intentions. Je n’étais pas au bout de mes surprises, mais ça, c’est une autre histoire …
Un jour elle me présenta Arthur, un de ses amis plutôt fortuné. Le courant passait bien entre nous. Nous avions les mêmes délires, les mêmes vannes, les mêmes histoires graveleuses. Bref, nous étions presque identiques. Je devais fêter mes 18ans dans quelques jours et ma copine m’avait alors préparé une surprise. En questionnant Arthur et Rudy, j’avais appris que ce serait certainement une soirée sur le bateau du père d’Arthur au large de Cannes. Cool ! J’avais toujours rêvé de faire partie de la Jetset cannoise !
Le jour venu je me laissais donc faire par ma copine qui m’offrit pour mon réveil une pipe magistrale. Quoi de mieux pour se réveiller de bonne humeur ? Mon sexe coulissait si bien dans sa bouche. Elle tenta même une gorge profonde avec mes 22 cm en venant écraser son nez contre mon aine. Ce fut divin. Si bien que je ne pus me retenir plus de 10min. Pour la première fois de notre relation, elle avala. Je savais alors qu’il se passait quelque chose de fort.
Plus tard dans la journée elle me questionna sur mes envies sexuelles. Nous n’avions aucun secret de ce côté-là.
« -Et bien tu sais, les MILF m’ont toujours attirées. Ces femmes d’expériences sont très coquines parait-il… »
Elle ne fit aucune remarque et me laissa un peu sur ma faim. L’avais-je vexée ? Dans l’après-midi Arthur m’appela pour que l’on se rejoigne à la plage. Alex était introuvable… On passa l’aprèm ensemble avec Arthur et j’appris que le minot était encore puceau. Sans être trop vantard je le chambrais sur ça et ne me gênais pas pour lui conter quelques parties de jambes en l’air que j’avais eu avec Alex. Mes récits ne le laissait pas de marbre. Son maillot de bain serré laissait entrevoir un début d’érection qui promettait.
La soirée arriva très vite et j’étais toujours sans nouvelle de ma copine. Arthur et moi avions rejoint une plage privée et pris quelques bouteilles de rosé. L’alcool montait doucement et les potes avaient débarqués pour la soirée qui s’annonçait déjà mythique. Aux alentours de 21h30 nous avons pris place à bord du bateau d’Arthur et sa belle-mère nous chaperonnait. C’était une belle femme. Grand blonde, une poitrine généreuse et tout le bling-bling d’une Jetset assumée. Son fils à elle était aussi sur le bateau, il était sympas mais sans plus. C’était elle qui m’intéressait. Elle avait des manières et des regards qui appelaient au sexe.
Au fil de la soirée les chansons s’enchainaient, le DJ mettaient le feu et mes potes s’éclataient. L’alcool coulait à flot et de mon côté j’avais une soudaine envie de draguer la belle-mère de mon pote. J’avais appris un peu avant qu’elle était plutôt coquine comme femme et surtout qu’Arthur fantasmais depuis longtemps sur elle. Qu’y avait-il de mal là-dedans ? Elle était le stéréotype de la suédoise à forte poitrine, mais je la voulais. L’alcool aidant j’entamais alors une tactique de séduction plutôt directe.
« -Salut Marie, dis-moi tu t’ennuies pas trop ce soir ?
-Non ça va c’est marrant de voir tous ces jeunes !
-Oh mais tu ne dois pas être bien vieille non plus ?
- Tu sais j’ai 39ans tout de même !
-Tu ne les fais pas … - Merci c’est gentil ! Dis tu ne serais pas en train de me draguer ?
-Si mais tu ne vas pas me dire que ça te dérange !
- Non… au contraire !
- Il y a du bruit ici, ça te dit qu’on s’isole ? »
Elle acquiesça de la tête et m’emmena dans une cabine avec un lit extra large. Juste avant de quitter le pont je regardais Arthur en lui faisant un clin d’œil des plus révélateurs. Sa belle-mère était une cochonne et j’allais prendre mon pied ce soir. Qu’importe pour ma copine, j’avais l’occasion de réaliser un fantasme. Elle s’allongea sur le lit, son regard traduisait parfaitement le nombre de verres d’alcool qu’elle venait de s’enfiler. Elle me tira sur le lit et s’attaque tout de suite aux choses sérieuses.
Elle m’embrassait et déboutonnait ma chemise en même temps. Ses doigts experts titillaient mes tétons. Je faisais tout pour contenir mon excitation mais je me sentais déjà très à l’étroit dans mon boxer. Je malaxais ses seins en prenant soin de bien caresser ses tétons à elle aussi. Elle aimait ça car elle poussait de petits cris de plaisir. Marie ôta ma chemise et commença à déboutonné mon jean tout en caressant à travers le tissu mon membre bandé. Elle ouvrait de grands yeux à la vue de la taille plutôt impressionnante de mon engin. Elle fit alors voler le jean tandis que je lui enlevais délicatement son T-shirt et sa jupe bin trop courte. Nous étions en sous-vêtements, assis au bord du lit en train de commencer ce qui allait être l’une des plus belles nuits de ma vie sexuelle.
Elle avait saisi mon braquemard à travers mon boxer blanc qui ne laissait pas beaucoup de place à l’imagination quand la porte grinça. Elle releva la tête et se tourna vers moi. J’eus un moment de panique et je poussai la porte du bout du pied. C’était Arthur qui se trouvait de l’autre côté. Il nous observait. Il était maintenant tout rouge et pour cause, son pantalon laissait apparaitre une bosse plutôt impressionnante. J’étais inquiet de la réaction de sa belle-mère pourtant elle dit :
« -Viens ici petit pervers ! Au lieu de regarder viens participer ! »
Il s’approcha lentement et Marie ne perdit pas une minute avant de le déshabiller ! Il était alors en boxer debout face à moi. Sa bosse n’avait pas dégonflé, la mienne non plus d’ailleurs. J’étais curieux de savoir ce que mon ami pouvait bien cacher là-dessous. Sa charmante belle-mère aussi puisqu’elle s’empressa de la pousser sur le lit à côté de moi et de nous empoigner les queues bien dures. Elle léchait nos sexes à travers le tissu et très vite nous enleva nos sous-vêtements afin que nous soyons complétement nu.
Arthur était plus frêle que moi. J’avais une allure très sportive avec des muscles bien dessinés et tannés par le soleil. Les siens se faisaient plus timides, il avait une allure de minet. Il était quasiment imberbe et sa toison au-dessus de son pénis était rasée. Son sexe était tendu à l’horizontale formant un angle droit parfait avec son corps, une grosse veine parcourait partiellement ce morceau de chair qui devait avoisiner les 20cm. J’étais impressionné, malgré son âge il possédait un sexe de grand. De grosses couilles pendantes ballottaient entre ses jambes fines. Plutôt excitant le gamin.
J’exposais quant à moi mes 22cm non sans éveiller une certaine envie de la part de mon ami. Sa belle-mère commença alors une branle sur nos deux queues. Il n’osait pas me regarder ni même parler. Je savais que c’était sa première fois. Pour le rassurer je lui tapais sur l’épaule et lui fit un clin d’œil. Il sourit et s’allongea sur le lit guidant sa belle-mère avec lui. Pour combler Arthur j’incitai vivement Marie à lui tailler une pipe, ce qu’elle fit aussitôt. Mon ami ferma les yeux et je pus lire son extase sur son visage. Quant à moi je m’occupais de l’autre face et entamais un cunnilingus plutôt réussi à en croire la mouille qui m’inonda le visage.
Après quelques minutes je me positionnai en levrette en regardant Arthur dans les yeux, mon sexe bandé au maximum tentait de percer ce trou peu habitué aux gros calibres comme le mien. J’arrachai un cri de douleur à ma partenaire lorsqu’enfin je pus rentrer tout mon sexe dans son intérieur. Je commençais alors des vas-et-viens dans son vagin qui avaient pour conséquences de lui arracher des cris de plaisir intense. Mon ami se régalait de cette situation. Mes coups de butoir se faisaient de plus en plus violents au fur et à mesure de notre partie de jambes en l’air. Elle aima ça la belle-mère.
Sentant que j’étais proche de l’éjaculation, je me retirais de son sexe dégoulinant pour laisser la place à mon nouveau pote de cul. Nous partageons la même femme, c’était très excitant. J’étais d’ailleurs étonné qu’il n’ait pas déjà lâché sa semence pour une première fois, il était endurant. J’avais préparé le trou de sa belle-mère, il n’avait plus qu’à s’y insérer et la culbuter. Je plaçais alors en face de Marie et lui présenta mon sexe qu’elle eu du mal à gober. Mes mains sur ses temps lui intimaient des mouvements rapides. Elle prit sur elle et me fit une gorge profonde qui me combla de plaisir.
N’y tenant plus avec cette magnifique pipe, elle me branla à la main et baissa la tête lorsque j’éjaculai pour que ma semence lui tapisse le dos. Mes jets étaient puissants et bien épais, si puissants que l’un d’eux atterris sur l’aine d’Arthur, juste au-dessus de son sexe. Surpris je m’excusais pourtant il me regarda droit dans les yeux, pris sont doigts pour enlever le liquide visqueux, le scruta pendant quelques secondes et le lécha. Je ne comprenais pas pourquoi il faisait ça, j’étais abasourdi pendant que sa belle-mère me nettoyait avec sa langue. Il se déchargea sur son dos quelques secondes plus tard. Il prit ses affaires sans un mot et quitta la pièce…
Pourquoi avait-il lécher MON sperme au cours d’un plan à trois ? Il fallait que j’en ai le cœur net. Après une bonne douche je me rhabillais en vitesse avec la ferme intention de connaitre ses intentions. Je n’étais pas au bout de mes surprises, mais ça, c’est une autre histoire …
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