Jeux coquins
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jeux coquins
Sitôt sortie de chez Barbara, je me précipite à traverser la rue pour pousser la porte du hall du bâtiment d’en face. Celui où doit résider le jeune homme, celui vue en train de se donné un plaisir solitaire. Je profite de monter les marches pour faire travaillé mes méninges afin qu’ils me trouvent comment aborder le gamin. Arrivé au deuxième, l’étage du branleur, je sais déjà comment je vais le jouter.
Là devant mes yeux, j’ai le choix entre deux portes d’entrées. Laquelle choisir ? Je me réfère alors au nom de famille inscrit au-dessus de la sonnette. Mr Julien M… à ma droite, Mme Rosette W… à ma gauche. Mon instinct alors me dicte de choisir la gauche. Je prends alors l’initiative de pesé sur la poignée, même si je sais que ne se fait pas. Mais chez-moi l’excitation me faire des choses insensées. Par chance pour moi, la porte n’est pas verrouillée. Maintenant le plus dur reste à faire, j’espère ne pas m’être trompé d’appartement. Donc c’est sans m’annoncer que je viole le lieu. Il me faut garder l’effet de la surprise, du flagrant délit. Je marche le long d’un couloir. Assumant seconde après seconde le risque de me faire expulser de l’appart avec perte et fracas. C’est alors que sur ma droite, j’aperçois une porte ouverte. J’ai le cœur qui s’emballe. En quatre enjambées j’y suis. Je jette un coup d’œil et bingo !
J’ai devant les yeux, le minet allongé sur le dos sur le lit, en train de donner du plaisir, en toute innocence. Il a gainé ses jambes de bas blancs. Il ne me semblait pas qu’il les avait alors que je l’espionnais de la fenêtre de Barbara. Maintenant c’est à moi d’agir. En prenant bien soin de ne pas rabrouer le jeune homme. Mais je suis tout de même aidé par son excitation.
Le cœur battant la chamade, je compte trois et je me lance. Comme prévisible il est prit de panique, de peur même, en me voyant débouler dans sa chambre.
-Qu’est-ce que vous foutez ici. Hurle-t-il en cachant son intimité à l’aide du couvre lit.
-Oui, je reconnais que je n’ai rien à foutre ici, mais attendez, que je vous explique.
-Vous n’avez rien à m’expliquer, je veux que vous vous caser de ma chambre.
-Oui, je veux bien, mais…mais avant, bafouillé-je, laisser moi vous parler !
-J’ai dis dehors… insiste-t-il. Et sur le champ…
Je savais bien que cette affaire allait mal se passé. Mais je persiste à croire qu’il y a quelque chose à faire.
-Soyez gentil, laisser-moi avant tout vous dire le pourquoi de cette arrivée.
-Je ne veux rien entendre…
-Bon comme vous voulez. Je n’ai alors pas d’autre choix que de faire courir dans le quartier que je vous ai vue portant des bas ! Oui des bas, et croyez-moi cela va faire mauvais genre.
Il n’en faut pas plus pour le calmer.
-Bon…Bon mais après je ne veux plus vous voir. Je vous donner deux minutes.
-Merci ! Voilà, j’ai fait connaissance d’une femme habitant le bâtiment en face. Une femme, qui nous espionne à l’instant où je vous parle. Et avec qui, voilà je cherche depuis belle lurette, avoir des rapports sexuels avec elle. Mais il se trouve que si je veux avoir un rapport avec elle, je dois réaliser un de ses souhaits. Et voila qu’elle vous a vue vous masturber de sa fenêtre et cela lui a donné une drôle d’idée. Et c’est pourquoi je me trouve devant vous.
-Et… et c’est quoi son souhait ? Me questionne-t-il s’attendant à entendre le pire.
-J’y arrive un peu de patience… Elle veut que je vous masturbe.
-Non…mais ça ne va pas…c’est quoi cette blague !
-Aller mec, fais-ça pour moi. tu ne peux savoir à quel point je la désire la salope…
-Non…non… C’est catégorique, NON ! Mais…Mais vous vous entendez là ? Vous êtes sans aucun doute ivre, oui c’est ça vous avez trop bu…
-Je suis parfaitement saint d’esprit, et sache pour ta gouverne que je ferais n’importe quoi pour me faire ta voisine, et mais si pour cela je dois te branler. D’ailleurs qu’est-ce que tu en a, à foutre. C’est moi qui te branle. Après c’est juré je me tire et tu ne me vois plus. C’est les bas de ta mère qui gaine tes jambes ?
-Non, ceux de ma tante…
-Elle se trouve dans l’appartement en ce moment ?
-Non, elle travaille.
-Et ta mère ?
-Chez elle à Metz.
-Tu es alors chez ta tante, là ?
-Oui…
-Alors comme ça tu profites de son absence pour satisfaire tes besoins de… enfin à te passer ses sous-vêtements.
-Qu’est-ce que cela peut vous faire, après tout je ne vous doit rien, je suis libre de faire ce que je veux, non ?
-Parfaitement, mais est-ce que ta tante est au courante de tes extravagances ?
Il ne répond pas.
-Tu sais que de mon temps j’ai, moi aussi éprouvé le même besoin que toi.
-C’est-à-dire ? S’intéresse-t-il.
-Et bien de me travestir avec les vêtements féminins. Avec ceux de ma mère, de ma sœur et plus tard ceux de ma tante. J’aimais bien les humer après qu’elles les aient portées.
-Moi aussi…
-Tu ne m’étonnes pas là ! Comme tu peux le voir, en ce ressemble. Je suis sûr que tu espionne ta tante dans sa chambre, voir dans la salle de bains ? A essayer d’en voir un peu plus sur elle, sur son intimité !
-Parfaitement.
-Et tu la déjà aperçu nue ?
-Plusieurs fois, oui !
-Et alors ?
-Jouissif !
-Sa chatte, comment est-elle ?
-C’est-à-dire ?
-Epilé, poilue !
-Poilue !
-Putain comme je les aime. Tu es en vacance chez ta tante.
-Non, elle me loge, je suis en apprentissage.
-Elle est mariée ta tata ?
-Oui, mais son mari est en déplacement en ce moment.
-Tu n’es pas tenté de te la faire.
-Couché avec ma tante, ça ne va pas !
-Et pourquoi ?
-C’est ma tante, la sœur de mon père…
-Si je te dis que c’est une de mes tantes qui m’a dépucelé, un jour d’été 76, tu me crois ?
-Ce n’est pas moral !
-Il y a bien des tas de chose qui ne sont pas morale dans le monde où on vit et qui ne nous empêche pas de continuer à vivre. Alors tu vois moi c’est un pipi de chien comparer à d’autre chose. Surtout qu’elle comme moi nous avons trouvé notre compte ! Je pense même que grâce à moi elle a sauvé son mariage de quelques années supplémentaire.
-Même… je dis bien même si je le voulais ma tante ne le voudrait pas.
-Va savoir ? Et comme il se dit qui ne tente rien n’a rien, c’est bien connu. Qu’est-ce que tu risque en le faisant ? Vas-y, une baffe, et alors, ça va te piquer sur l’instant et après plus rien. Et au moins tu auras tenté.
-Oui, mais si elle le chante partout ?
-Crois-moi, elle ne dira rien à personne. Cela restera dans son jardin d’amour. Elle serait même contente de plaire encore, crois-moi, même qu’elle se fera une petite gâterie le soir seule dans son lit on s’imaginant une suite à cette tentative, voir même qu’elle viendra te provoquer. Va savoir ?
-Tu crois ?
Passant lui-aussi au tutoiement.
-Fais-moi confiance. Bon, et si on revenait sur l’affaire qui nous rassemble. Tu veux ?
-C’est que c’est un peu gênant ton affaire ! Surtout si elle nous regarde. Qu’est-ce qui me dit qu’elle n’ira pas le balancer à qui veut l’entendre.
-T’inquiète, de ce côté j’ai confiance à elle.
-Tu t’en portes garant ?
-Parfaitement !
-Bon…qu’on se met d’accord, c’est bien pour te rendre service !
-Oui, c’est entendu ! Pour que ce soit moins affligeant pour toi, je te propose de bander les yeux.
-Non pas la peine, merci, je fermerais les yeux…
-Tu pourrais peut-être t’imaginer que c’est ta tata qui te branle, ce sera moins désagréable pour toi.
-T’occupe, fais-ce que tu as faire et après cela dégage le plancher !
-Comment elle s’appelle ?
La blondeur délicate, les traits fins, le corps longiligne du jeune homme m’excitent au plus haut point. J’ai hâte de le toucher.
-Josette… c’est bien pour te rendre service !
-Je te revaudrais ça, crois-moi !
J’attends qu’il ferme les yeux pour écarter le couvre lit, sans qu’il proteste. Il possède une longue verge gracile, qui oscille, à demi-raidie au-dessus de ses petites couilles glabres. Un pubis blond platine, clairsemé, doux comme un nid, orne la racine de la queue très pâle qui se redresse par à-coups.
Je sens mon sexe grossir dans mon slip. Tout de suite je lui prends la queue, la branle doucement. Il se laisse faire en geignant doucement. Je regarde du côté de la fenêtre de Barbara en espérant qu’elle se gave les yeux de mon hardiesse. Des gouttes suintent de son méat. Je veux lui vider les couilles tout de suite. Appelé par le vice, mais surtout pour épater Barbara voir plus, je prends la queue en bouche, la suce du gland aux couilles.
Il lâche des plaintes, sans chercher de s’éloigner de ma bouche. Je referme mes lèvres sur les boules tièdes. Les faits joués sur ma langue, sous mon palais. Son odeur vulgaire m’excite. Je l’embouche de nouveau. La pompe en creusant les joues. Malgré son dégoût que je devine, de sa peur, il aime. Il affectionne mes lèvres qui enveloppent sa queue. Ma bouche sur son pénis, devient carnivore. Il ne tient pas bien longtemps, il éjacule dans un râle, au fond de ma gorge. Je déglutis le sperme à peine salé. Je suis comme fou de la bite du garçon, svelte et pâle comme un cierge.
Alors qu’il cuve son plaisir, je m’excite à supputer une suite à cette relation. Pour ça, je lui introduis un doigt, puis très vite deux dans l’anus en guise de préliminaire. Aussitôt ma rondelle s’élargit. J’enjambe le jeune homme toujours anesthésié par son orgasme, et me perce la pastille brune avec sa queue, en descendant lentement. Je m’introduis la verge jusqu’à en faire disparaître la moitié. Puis je me bloque. J’ai un peu mal, mais la tentation de m’empaler m’incite à aller plus loin.
Je me laisse pour cela tomber. Brusquement ma gaine avale la queue du jeunot. Une délicieuse douleur m’envahit. Il me remplit. La sensation est énorme. Comme elle l’est toujours à chaque fois qu’on désire ce genre de rapport. J’ai le corps agité par des spasmes. Ma queue coule comme une fontaine et mes sécrétions translucides mouillent mes couilles.
Avec délicatesse je branle sa queue avec mon cul. La pression s’exerce sur ma prostate. Je suis aux anges. J’enroule mes doigts autour de ma queue. Je me caresse doucement. Je fais tourner mes doigts sur mon gland luisant d’excitation. Chaque effleurement me fait tressaillir. Je pousse, encore un peu. Je m’abandonne et laisse mon corps parler pour moi.
D’ailleurs il n’exprime que désir et envie.
-Tu aimes ça, m’enculer ?
Il n’a rien à répondre à ça ! Juste il donne quelques courts allers-retours. Chaque ondulation m’ouvre et me fait gémir. Parfois, il accélère un peu puis reprend tout de suite après la même tranquillité. Je prends un plaisir sublime.
Il jouit avec moi. Je m’amuse de ses soupirs, fous de son excitation. Il ne m’en faut pas plus à ma semence de surgir de mon méat, et finir sa course sur le couvre lit.
Une heure après, je le quitte.
Là devant mes yeux, j’ai le choix entre deux portes d’entrées. Laquelle choisir ? Je me réfère alors au nom de famille inscrit au-dessus de la sonnette. Mr Julien M… à ma droite, Mme Rosette W… à ma gauche. Mon instinct alors me dicte de choisir la gauche. Je prends alors l’initiative de pesé sur la poignée, même si je sais que ne se fait pas. Mais chez-moi l’excitation me faire des choses insensées. Par chance pour moi, la porte n’est pas verrouillée. Maintenant le plus dur reste à faire, j’espère ne pas m’être trompé d’appartement. Donc c’est sans m’annoncer que je viole le lieu. Il me faut garder l’effet de la surprise, du flagrant délit. Je marche le long d’un couloir. Assumant seconde après seconde le risque de me faire expulser de l’appart avec perte et fracas. C’est alors que sur ma droite, j’aperçois une porte ouverte. J’ai le cœur qui s’emballe. En quatre enjambées j’y suis. Je jette un coup d’œil et bingo !
J’ai devant les yeux, le minet allongé sur le dos sur le lit, en train de donner du plaisir, en toute innocence. Il a gainé ses jambes de bas blancs. Il ne me semblait pas qu’il les avait alors que je l’espionnais de la fenêtre de Barbara. Maintenant c’est à moi d’agir. En prenant bien soin de ne pas rabrouer le jeune homme. Mais je suis tout de même aidé par son excitation.
Le cœur battant la chamade, je compte trois et je me lance. Comme prévisible il est prit de panique, de peur même, en me voyant débouler dans sa chambre.
-Qu’est-ce que vous foutez ici. Hurle-t-il en cachant son intimité à l’aide du couvre lit.
-Oui, je reconnais que je n’ai rien à foutre ici, mais attendez, que je vous explique.
-Vous n’avez rien à m’expliquer, je veux que vous vous caser de ma chambre.
-Oui, je veux bien, mais…mais avant, bafouillé-je, laisser moi vous parler !
-J’ai dis dehors… insiste-t-il. Et sur le champ…
Je savais bien que cette affaire allait mal se passé. Mais je persiste à croire qu’il y a quelque chose à faire.
-Soyez gentil, laisser-moi avant tout vous dire le pourquoi de cette arrivée.
-Je ne veux rien entendre…
-Bon comme vous voulez. Je n’ai alors pas d’autre choix que de faire courir dans le quartier que je vous ai vue portant des bas ! Oui des bas, et croyez-moi cela va faire mauvais genre.
Il n’en faut pas plus pour le calmer.
-Bon…Bon mais après je ne veux plus vous voir. Je vous donner deux minutes.
-Merci ! Voilà, j’ai fait connaissance d’une femme habitant le bâtiment en face. Une femme, qui nous espionne à l’instant où je vous parle. Et avec qui, voilà je cherche depuis belle lurette, avoir des rapports sexuels avec elle. Mais il se trouve que si je veux avoir un rapport avec elle, je dois réaliser un de ses souhaits. Et voila qu’elle vous a vue vous masturber de sa fenêtre et cela lui a donné une drôle d’idée. Et c’est pourquoi je me trouve devant vous.
-Et… et c’est quoi son souhait ? Me questionne-t-il s’attendant à entendre le pire.
-J’y arrive un peu de patience… Elle veut que je vous masturbe.
-Non…mais ça ne va pas…c’est quoi cette blague !
-Aller mec, fais-ça pour moi. tu ne peux savoir à quel point je la désire la salope…
-Non…non… C’est catégorique, NON ! Mais…Mais vous vous entendez là ? Vous êtes sans aucun doute ivre, oui c’est ça vous avez trop bu…
-Je suis parfaitement saint d’esprit, et sache pour ta gouverne que je ferais n’importe quoi pour me faire ta voisine, et mais si pour cela je dois te branler. D’ailleurs qu’est-ce que tu en a, à foutre. C’est moi qui te branle. Après c’est juré je me tire et tu ne me vois plus. C’est les bas de ta mère qui gaine tes jambes ?
-Non, ceux de ma tante…
-Elle se trouve dans l’appartement en ce moment ?
-Non, elle travaille.
-Et ta mère ?
-Chez elle à Metz.
-Tu es alors chez ta tante, là ?
-Oui…
-Alors comme ça tu profites de son absence pour satisfaire tes besoins de… enfin à te passer ses sous-vêtements.
-Qu’est-ce que cela peut vous faire, après tout je ne vous doit rien, je suis libre de faire ce que je veux, non ?
-Parfaitement, mais est-ce que ta tante est au courante de tes extravagances ?
Il ne répond pas.
-Tu sais que de mon temps j’ai, moi aussi éprouvé le même besoin que toi.
-C’est-à-dire ? S’intéresse-t-il.
-Et bien de me travestir avec les vêtements féminins. Avec ceux de ma mère, de ma sœur et plus tard ceux de ma tante. J’aimais bien les humer après qu’elles les aient portées.
-Moi aussi…
-Tu ne m’étonnes pas là ! Comme tu peux le voir, en ce ressemble. Je suis sûr que tu espionne ta tante dans sa chambre, voir dans la salle de bains ? A essayer d’en voir un peu plus sur elle, sur son intimité !
-Parfaitement.
-Et tu la déjà aperçu nue ?
-Plusieurs fois, oui !
-Et alors ?
-Jouissif !
-Sa chatte, comment est-elle ?
-C’est-à-dire ?
-Epilé, poilue !
-Poilue !
-Putain comme je les aime. Tu es en vacance chez ta tante.
-Non, elle me loge, je suis en apprentissage.
-Elle est mariée ta tata ?
-Oui, mais son mari est en déplacement en ce moment.
-Tu n’es pas tenté de te la faire.
-Couché avec ma tante, ça ne va pas !
-Et pourquoi ?
-C’est ma tante, la sœur de mon père…
-Si je te dis que c’est une de mes tantes qui m’a dépucelé, un jour d’été 76, tu me crois ?
-Ce n’est pas moral !
-Il y a bien des tas de chose qui ne sont pas morale dans le monde où on vit et qui ne nous empêche pas de continuer à vivre. Alors tu vois moi c’est un pipi de chien comparer à d’autre chose. Surtout qu’elle comme moi nous avons trouvé notre compte ! Je pense même que grâce à moi elle a sauvé son mariage de quelques années supplémentaire.
-Même… je dis bien même si je le voulais ma tante ne le voudrait pas.
-Va savoir ? Et comme il se dit qui ne tente rien n’a rien, c’est bien connu. Qu’est-ce que tu risque en le faisant ? Vas-y, une baffe, et alors, ça va te piquer sur l’instant et après plus rien. Et au moins tu auras tenté.
-Oui, mais si elle le chante partout ?
-Crois-moi, elle ne dira rien à personne. Cela restera dans son jardin d’amour. Elle serait même contente de plaire encore, crois-moi, même qu’elle se fera une petite gâterie le soir seule dans son lit on s’imaginant une suite à cette tentative, voir même qu’elle viendra te provoquer. Va savoir ?
-Tu crois ?
Passant lui-aussi au tutoiement.
-Fais-moi confiance. Bon, et si on revenait sur l’affaire qui nous rassemble. Tu veux ?
-C’est que c’est un peu gênant ton affaire ! Surtout si elle nous regarde. Qu’est-ce qui me dit qu’elle n’ira pas le balancer à qui veut l’entendre.
-T’inquiète, de ce côté j’ai confiance à elle.
-Tu t’en portes garant ?
-Parfaitement !
-Bon…qu’on se met d’accord, c’est bien pour te rendre service !
-Oui, c’est entendu ! Pour que ce soit moins affligeant pour toi, je te propose de bander les yeux.
-Non pas la peine, merci, je fermerais les yeux…
-Tu pourrais peut-être t’imaginer que c’est ta tata qui te branle, ce sera moins désagréable pour toi.
-T’occupe, fais-ce que tu as faire et après cela dégage le plancher !
-Comment elle s’appelle ?
La blondeur délicate, les traits fins, le corps longiligne du jeune homme m’excitent au plus haut point. J’ai hâte de le toucher.
-Josette… c’est bien pour te rendre service !
-Je te revaudrais ça, crois-moi !
J’attends qu’il ferme les yeux pour écarter le couvre lit, sans qu’il proteste. Il possède une longue verge gracile, qui oscille, à demi-raidie au-dessus de ses petites couilles glabres. Un pubis blond platine, clairsemé, doux comme un nid, orne la racine de la queue très pâle qui se redresse par à-coups.
Je sens mon sexe grossir dans mon slip. Tout de suite je lui prends la queue, la branle doucement. Il se laisse faire en geignant doucement. Je regarde du côté de la fenêtre de Barbara en espérant qu’elle se gave les yeux de mon hardiesse. Des gouttes suintent de son méat. Je veux lui vider les couilles tout de suite. Appelé par le vice, mais surtout pour épater Barbara voir plus, je prends la queue en bouche, la suce du gland aux couilles.
Il lâche des plaintes, sans chercher de s’éloigner de ma bouche. Je referme mes lèvres sur les boules tièdes. Les faits joués sur ma langue, sous mon palais. Son odeur vulgaire m’excite. Je l’embouche de nouveau. La pompe en creusant les joues. Malgré son dégoût que je devine, de sa peur, il aime. Il affectionne mes lèvres qui enveloppent sa queue. Ma bouche sur son pénis, devient carnivore. Il ne tient pas bien longtemps, il éjacule dans un râle, au fond de ma gorge. Je déglutis le sperme à peine salé. Je suis comme fou de la bite du garçon, svelte et pâle comme un cierge.
Alors qu’il cuve son plaisir, je m’excite à supputer une suite à cette relation. Pour ça, je lui introduis un doigt, puis très vite deux dans l’anus en guise de préliminaire. Aussitôt ma rondelle s’élargit. J’enjambe le jeune homme toujours anesthésié par son orgasme, et me perce la pastille brune avec sa queue, en descendant lentement. Je m’introduis la verge jusqu’à en faire disparaître la moitié. Puis je me bloque. J’ai un peu mal, mais la tentation de m’empaler m’incite à aller plus loin.
Je me laisse pour cela tomber. Brusquement ma gaine avale la queue du jeunot. Une délicieuse douleur m’envahit. Il me remplit. La sensation est énorme. Comme elle l’est toujours à chaque fois qu’on désire ce genre de rapport. J’ai le corps agité par des spasmes. Ma queue coule comme une fontaine et mes sécrétions translucides mouillent mes couilles.
Avec délicatesse je branle sa queue avec mon cul. La pression s’exerce sur ma prostate. Je suis aux anges. J’enroule mes doigts autour de ma queue. Je me caresse doucement. Je fais tourner mes doigts sur mon gland luisant d’excitation. Chaque effleurement me fait tressaillir. Je pousse, encore un peu. Je m’abandonne et laisse mon corps parler pour moi.
D’ailleurs il n’exprime que désir et envie.
-Tu aimes ça, m’enculer ?
Il n’a rien à répondre à ça ! Juste il donne quelques courts allers-retours. Chaque ondulation m’ouvre et me fait gémir. Parfois, il accélère un peu puis reprend tout de suite après la même tranquillité. Je prends un plaisir sublime.
Il jouit avec moi. Je m’amuse de ses soupirs, fous de son excitation. Il ne m’en faut pas plus à ma semence de surgir de mon méat, et finir sa course sur le couvre lit.
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