Jeux coquins dans le TGV
Récit érotique écrit par Manu G. [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jeux coquins dans le TGV
Jeux coquins dans le TGV
Après avoir passé quelques jours à Bâle en Suisse et cette belle aventure à l’hôtel avec Chiara, je devais me rendre de nouveau à Paris pour affaires. Un collègue de travail Marcel devait m’accompagner.
Nous avons pris le dernier TGV qui allait à Paris de 19.34 depuis Bâle et arrivée prévue à 22.49. Nous sommes montés dans notre wagon et avons pris les places face à face, moi vers l’allée et mon collègue Marcel vers la fenêtre. Lors que le train se mit à partir, nous étions les seuls dans ce wagon 1ère classe. Après environs 10 minutes Marcel s’endormi et moi j’ai pris mes airpods et me suis mis à écouter la musique. Moi aussi je commençais à m’assoupir quant à moitié endormi j’aperçu Chiara qui entrait dans le wagon et s’installa au fond du wagon vide. Elle m’avait dit qu’elle devait aussi rentrer à Paris le même jour que moi. Mais elle avait omis de m’indiquer qu’on serait dans le même wagon.
Elle s’assit à un siège où je pouvais bien la voir. La coquine me regardait, me faisait des grands sourires et me provoquait en passant sa langue sur ses lèvres tout en me fixant intensément. Cette situation commençait à me chauffer. Je regardais à chaque fois si Marcel continuait à dormir. Chiara passait ses doigts sur sa poitrine et glissait ses doigts dans le creux de son décolleté. Je sentais mon membre durcir. Chiara commença à monter sa jupe montrant qu’elle ne portait pas de culotte. La belle vue sur son fruit bien épilé me fit frémir d’envie tout mon corps. Je regardais de nouveau mon collègue qui dormait à poings fermés.
Chiara commença à caresser son minou avec délicatesse et passa deux doigts sur ses lèvres vaginales. Elle fermait ses yeux de plaisir, et continua à effleurer son sexe avec ses doigts. Elle glissa les deux doigts dans sa chatte déjà bien dégoulinante et fit des va et vient à l’intérieure de sa chatte. La bouche entre ouverte, elle prenait un réel plaisir à s’exhiber devant moi, qui commençait à transpirer du front. Mon sexe était tellement dur qu’on voyait à travers le pantalon mon envie. Chiara avec son autre main sortit un sein et se caressait le téton bien dressé. La montée de l’orgasme était visible, ses hanches tremblaient de désir. Elle lâcha son téton et avec deux doigts de l’autre main elle se frottait le clito frénétiquement. Elle continuait à se doigter avec vigueur. Après quelques minutes et les doigts bien trempés, elle passe sa mouille sur l’anus tout en le caressant. Ses doigts glissèrent dans son anus et commença à se doigter le cul. Quelle belle vue, les jambes bien écartées, cette chatte bien ouverte et deux doigts dans le cul. Avec son autre main sur la bouche elle se retenait de crier son orgasme. C’était horrible pour moi qui avait tellement envie de sortir mon sexe et me masturber aussi devant elle.
Comme si de rien n’était, Chiara se leva en me faisant un petit clin d’œil. Je regardai Marcel qui n’avait pas bougé d’un poil. Je me suis levé et rejoignis Chiara qui n’a prononcé aucun mot. Elle se dirigea vers les WC du compartiment. Nous rentrâmes et avons passé le verrou. Chiara se retourna en remontant sa jupe, me laissant une vue sensuelle sur ses fesses. Sans demander mon dû, j’ai ouvert la braguette de mon pantalon, glissa un préservatif et sans préliminaires, sauvagement, je pénétrai sa chatte bien humide. Ma queue entra bien au fond et Chiara se mis à bouger en levant une jambe. Je glissais ma main sur son clito tout en lui donnant de bons coups de hanches. Tellement j’étais excité, je devais me concentrer pour ne pas jouir aussi vite. Le spectacle qu’elle m’avait offert avant dans le wagon était si excitant que j’étais au bord de l’extase. Chiara retira mon sexe de sa chatte et le plaça à l’entrée de son anus. Ma queue décidemment connaissait bien le chemin et entra sans contrainte. Quel plaisir de se sentir bien serré dans cette partie de l’anatomie. Je la culbutais avec force. Chiara senti que je n’allais pas mettre beaucoup de temps à jouir. Elle me donnait des coups encore plus fort ce qui procura un orgasme intense à Chiara. Après s’être remise de l’orgasme, elle se retourna, retira mon préservatif et me fit une pipe magistrale. Elle retira ma queue de sa bouche et me masturba avec vigueur ce qui me fit spermer très fort sur son visage. Du sperme gicla également vers la cuvette des WC. Après avoir fini de jouir, Chiara se leva, pris un mouchoir en papier dans son sac à main et s’essuya le visage. Après s’être remis de nos émotions, nous sortimes des WC. Chiara parti vers l’avant du train et moi je suis retourné à ma place. Mon collègue dormait toujours avec sa bouche ouverte.
Nous sommes arrivés à la gare de l’Est et depuis notre petite aventure je n’ai plus vu Chiara. Un petit texto quelques heures plus tard, me confirma qu’elle était bien rentrée et qu’elle avait fait l’amour à son mari, dans la même position habituelle du missionnaire.
Après avoir passé quelques jours à Bâle en Suisse et cette belle aventure à l’hôtel avec Chiara, je devais me rendre de nouveau à Paris pour affaires. Un collègue de travail Marcel devait m’accompagner.
Nous avons pris le dernier TGV qui allait à Paris de 19.34 depuis Bâle et arrivée prévue à 22.49. Nous sommes montés dans notre wagon et avons pris les places face à face, moi vers l’allée et mon collègue Marcel vers la fenêtre. Lors que le train se mit à partir, nous étions les seuls dans ce wagon 1ère classe. Après environs 10 minutes Marcel s’endormi et moi j’ai pris mes airpods et me suis mis à écouter la musique. Moi aussi je commençais à m’assoupir quant à moitié endormi j’aperçu Chiara qui entrait dans le wagon et s’installa au fond du wagon vide. Elle m’avait dit qu’elle devait aussi rentrer à Paris le même jour que moi. Mais elle avait omis de m’indiquer qu’on serait dans le même wagon.
Elle s’assit à un siège où je pouvais bien la voir. La coquine me regardait, me faisait des grands sourires et me provoquait en passant sa langue sur ses lèvres tout en me fixant intensément. Cette situation commençait à me chauffer. Je regardais à chaque fois si Marcel continuait à dormir. Chiara passait ses doigts sur sa poitrine et glissait ses doigts dans le creux de son décolleté. Je sentais mon membre durcir. Chiara commença à monter sa jupe montrant qu’elle ne portait pas de culotte. La belle vue sur son fruit bien épilé me fit frémir d’envie tout mon corps. Je regardais de nouveau mon collègue qui dormait à poings fermés.
Chiara commença à caresser son minou avec délicatesse et passa deux doigts sur ses lèvres vaginales. Elle fermait ses yeux de plaisir, et continua à effleurer son sexe avec ses doigts. Elle glissa les deux doigts dans sa chatte déjà bien dégoulinante et fit des va et vient à l’intérieure de sa chatte. La bouche entre ouverte, elle prenait un réel plaisir à s’exhiber devant moi, qui commençait à transpirer du front. Mon sexe était tellement dur qu’on voyait à travers le pantalon mon envie. Chiara avec son autre main sortit un sein et se caressait le téton bien dressé. La montée de l’orgasme était visible, ses hanches tremblaient de désir. Elle lâcha son téton et avec deux doigts de l’autre main elle se frottait le clito frénétiquement. Elle continuait à se doigter avec vigueur. Après quelques minutes et les doigts bien trempés, elle passe sa mouille sur l’anus tout en le caressant. Ses doigts glissèrent dans son anus et commença à se doigter le cul. Quelle belle vue, les jambes bien écartées, cette chatte bien ouverte et deux doigts dans le cul. Avec son autre main sur la bouche elle se retenait de crier son orgasme. C’était horrible pour moi qui avait tellement envie de sortir mon sexe et me masturber aussi devant elle.
Comme si de rien n’était, Chiara se leva en me faisant un petit clin d’œil. Je regardai Marcel qui n’avait pas bougé d’un poil. Je me suis levé et rejoignis Chiara qui n’a prononcé aucun mot. Elle se dirigea vers les WC du compartiment. Nous rentrâmes et avons passé le verrou. Chiara se retourna en remontant sa jupe, me laissant une vue sensuelle sur ses fesses. Sans demander mon dû, j’ai ouvert la braguette de mon pantalon, glissa un préservatif et sans préliminaires, sauvagement, je pénétrai sa chatte bien humide. Ma queue entra bien au fond et Chiara se mis à bouger en levant une jambe. Je glissais ma main sur son clito tout en lui donnant de bons coups de hanches. Tellement j’étais excité, je devais me concentrer pour ne pas jouir aussi vite. Le spectacle qu’elle m’avait offert avant dans le wagon était si excitant que j’étais au bord de l’extase. Chiara retira mon sexe de sa chatte et le plaça à l’entrée de son anus. Ma queue décidemment connaissait bien le chemin et entra sans contrainte. Quel plaisir de se sentir bien serré dans cette partie de l’anatomie. Je la culbutais avec force. Chiara senti que je n’allais pas mettre beaucoup de temps à jouir. Elle me donnait des coups encore plus fort ce qui procura un orgasme intense à Chiara. Après s’être remise de l’orgasme, elle se retourna, retira mon préservatif et me fit une pipe magistrale. Elle retira ma queue de sa bouche et me masturba avec vigueur ce qui me fit spermer très fort sur son visage. Du sperme gicla également vers la cuvette des WC. Après avoir fini de jouir, Chiara se leva, pris un mouchoir en papier dans son sac à main et s’essuya le visage. Après s’être remis de nos émotions, nous sortimes des WC. Chiara parti vers l’avant du train et moi je suis retourné à ma place. Mon collègue dormait toujours avec sa bouche ouverte.
Nous sommes arrivés à la gare de l’Est et depuis notre petite aventure je n’ai plus vu Chiara. Un petit texto quelques heures plus tard, me confirma qu’elle était bien rentrée et qu’elle avait fait l’amour à son mari, dans la même position habituelle du missionnaire.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore vos commentaires merci
Baiser dans le train, un plaisir rare!
Histoire sympa, moi j'aime bien exciter un homme dans le train surtout s'il est accompagné de madame qui me fusille du regard quand je croise et décroise mes belles jambes au nez et à la barbe de son chéri