Jeux de rôle : l'infirmière

- Par l'auteur HDS Zoorg35 -
Récit érotique écrit par Zoorg35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Jeux de rôle : l'infirmière Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2015 dans la catégorie Plus on est
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Jeux de rôle : l'infirmière
Je trouve que Sophie s'est assagie depuis notre dernier jeu de rôle. Nos ébats sont toujours aussi torrides, mais j'ai l'impression qu'elle a trouvé un équilibre dans notre relation. Elle ne fait plus allusion à des soirées avec d'autres hommes ou d'autres femmes. J'en suis presque un peu déçu, l'un de mes plus grands fantasmes ayant toujours été d'avoir deux femmes pour moi tout seul.

Sophie dort de plus en plus souvent à la maison, pour mon plus grand plaisir. Elle a également commencé à mettre des affaires chez moi ; d'ailleurs, c'est fou ce que peuvent avoir les femmes comme bazar !
Comme elle finit plus tôt que moi, elle est souvent là à m'attendre sagement à mon appartement, et nos retrouvailles sont plutôt chaleureuses. Le matin quand je pars au travail, je pense déjà à la fin de ma journée et ce qui m'attend à la maison.

Ce soir, je suis particulièrement pressé de rentrer à la maison, Sophie n'a pas dormi à la maison la veille ; elle avait une soirée avec des collègues et est rentrée directement chez elle.
Je rentre enfin chez moi. J'accroche ma veste au portemanteau et appelle Sophie :

— Sophie, tu es là ?

Sophie sort en trombe du salon, et là je reste pantois : aujourd'hui, j'ai droit à Sophie l'infirmière. Elle porte une petite blouse blanche trop juste pour elle. Seuls les boutons du bas sont fermés, son soutien-gorge est largement visible à cause de sa tunique trop petite ; il est d'un blanc immaculé avec de la dentelle. La blouse, également trop courte, cache à peine une culotte, blanche elle aussi.
Sophie arbore aussi une paire de bas autofixants blancs qui sont du plus bel effet sur sa peau métissée, ainsi qu'une paire de chaussures à talons blanches.
Bref, ma Sophie arbore la tenue complète de l'infirmière. Je reste scotché dans le couloir à la contempler. Je me mets aussi à bander comme un fou, imaginant sans peine le déroulement de la soirée.
Sophie m'interpelle :

— Alors, Monsieur Durand, vous êtes en retard pour votre opération ; suivez-moi vite !

Sophie se dirige alors vers la chambre ; je la suis docilement. Elle me montre le lit, tapote dessus avec sa main et me dit :

— Allez, Monsieur Durand, déshabillez-vous et allongez-vous sur le lit.

Sans aucune hésitation, j’obéis à ma charmante infirmière. Je me dévêts en toute hâte, tout en faisant voler un à un mes vêtements dans la pièce ; je la déshabille vicieusement du regard. Sa tenue m'excite vraiment beaucoup : j'ai toujours eu un gros faible pour le corps médical.
Je suis maintenant allongé sur lit, une large bosse déforme mon boxer. Sophie la remarque ; je la vois sourire discrètement.

— Monsieur Durand, je vous ai demandé de vous déshabiller complètement. Il faut enlever ça aussi, me dit-elle en désignant mon boxer du regard.

En une fraction de seconde, je me sépare de cet ultime obstacle. Sophie fait les yeux ronds et s'exclame :

— Mooonsieur Durand... Oh là là ! Mais ça ne va pas, on ne peut pas vous opérer comme ça.

Puis, joignant le geste à la parole, elle s'empare de ma queue déjà bien dure qu'elle tâte et pétrit fermement.

— Ah mais non, ça ne va vraiment pas : c'est beaucoup trop risqué de vous opérer dans cet état.

Sophie s'adresse ensuite à moi :

— Cela dépasse mes compétences, je vais avoir besoin d'un peu d'aide ; il faut que j'appelle un médecin.

Elle se met alors à crier :

— Docteur ! Docteur ! Venez vite, j'ai un problème !

Alors là, je suis complètement pris au dépourvu ; pendant quelques secondes je prends peur. A-t-elle invité un autre homme ? J'entends des pas dans le couloir et je vois apparaître une charmante brune dans l'encadrement de la porte.
Elle pénètre dans la chambre et passe de l'autre côté du lit, en face de Sophie.

— Eh bien, infirmière Sophie, que se passe-t-il ?

Sophie lui désigne du regard mon érection et lui dit :

— Regardez : on ne peut pas l’opérer dans cet état-là. C’est trop risqué ; il risque de faire un malaise pendant l’intervention chirurgicale.

La charmante doctoresse se saisit à son tour négligemment de mon sexe et se met à faire des allers et retours avec ses doigts sur ma tige. J'en profite pour l’examiner de plus près. Je ne l'ai jamais vue auparavant ; il faut dire que je ne connais pas toutes les copines de Sophie. Elle a le visage très doux, et sa chevelure est nouée à l'arrière de la tête par une sorte de chignon. Ses lunettes très fines lui donnent un air mutin.
Tout comme Sophie, elle porte une blouse blanche. Les boutons du haut ne sont pas fermés. Bien que sa poitrine soit moins opulente que celle de Sophie, j'entrevois un soutien-gorge noir. Elle porte également un stéthoscope autour du cou. Je reconnais bien là Sophie et son souci du détail.
Sa blouse est par contre trop courte ; elle laisse apparaître des jarretelles noires qui tiennent des bas à couture également noirs.

Pendant que je reluque ma doctoresse, celle-ci continue ses palpations sur l'objet du délit, pour mon plus grand plaisir. Elle prend son stéthoscope et le pose sur l'inquiétante grosseur. Le contact de cet objet froid et métallique me fait sursauter. Je me laisse ausculter docilement ; le médecin examine mon membre, mes testicules, et examine une dernière fois ma queue toute dure. Le verdict finit par tomber :

— Eh bien, Sophie, nous n'avons pas le choix : il va falloir lui faire partir cette vilaine grosseur.

Et là, j'ai l'impression de rêver. Sophie et sa comparse se penchent toutes deux vers mon sexe. La doctoresse le tient toujours en main, et leur visage est juste au-dessus de mon érection. Elles me regardent toutes deux d'un air vicieux, puis elles se fixent intensément et se mettent à s'embrasser langoureusement.
Je me mets à bander encore plus dur tellement je suis excité ; j'en ai même affreusement mal. Je vois leurs langues se mêler et s’entremêler juste là, sous mes yeux. Alors que les deux femmes continuent de s’embrasser, la doctoresse continuer de me branler doucement tout en empoignant fermement mon sexe.
Elle interrompt son baiser et dit à Sophie :

— Il est vraiment très dur ; je pense qu'il va falloir s’y reprendre à plusieurs fois si l'on veut éviter tout risque pendant l'opération.

Sophie lui répond d'une voix coquine :

— Effectivement, nous avons beaucoup de travail. D’ailleurs, nous devrions nous y mettre rapidement ; tu ne crois pas, Tatiana ?

Ainsi donc, ma doctoresse se nomme Tatiana. En guise de réponse, celle-ci se penche et se met à laper directement mon gland. Elle donne une multitude de petits coups de langue sur le haut de mon sexe en venant s'amuser avec mon méat.
Elle me regarde lubriquement tout en jouant avec mon gland. Sophie se penche à son tour et vient flatter la tige de mon sexe avec sa langue. C'est la première fois que je me fais faire une fellation par deux femmes en même temps ; c'est divin.

Tatiana a maintenant gobé mon sexe ; ses lèvres enserrent mon membre, lui offrant un délicieux carcan. Sa bouche fait des allers et retours tout en laissant au passage un peu de rouge à lèvres. Sophie s'occupe de mes testicules ; je sens sa langue agile les lécher et les aspirer. Puis, n'étant sans doute pas satisfaite de ce qu'elle avait à se mettre sous la dent, elle vient se saisir de ma tige et se remet à embrasser Tatiana à pleine bouche.
Les deux langues viennent ensuite se poser sur mon gland et se mettent à le flatter et le lécher. Je pousse de grands soupirs ; je suis si excité que je sens que je ne vais pas tarder à jouir si elles continuent comme ça.

Je contemple le corps de mon infirmière et de ma doctoresse pendant qu'elles me sucent ; elles sont si sexy et sensuelles... Penchées comme elles le sont, leur blouse est remontée sur le haut de leurs fesses. Je peux admirer leur lingerie.
Sophie porte en fait un string blanc. De face, je croyais que c'était une culotte, mais en fait non. Ses bas blancs lui font des jambes magnifiques. Tatiana porte quant à elle un ensemble noir avec une culotte et un porte-jarretelles. Je suis du regard la sublime ligne de ses bas à couture. Je tends la main pour caresser ses jambes. Elle la repousse d'une petite tape et interrompt sa fellation :

— Monsieur Durand, ne nous dérangez pas : nous réalisons une intervention délicate. Mais ne vous inquiétez pas, nous avons les choses – disons « la chose » en main. Laissez-nous faire.

Puis elles reprennent leur fellation de plus belle, les langues se battant presque pour prendre possession de mon sexe. Tatiana me branle alors que Sophie me malaxe les couilles. Parfois les bouches quittent ma queue pendant quelques secondes pour se rejoindre pour un baiser torride. Puis, tout en continuant à s'embrasser, elles invitent à nouveau mon gland dans leur tango torride.

Le plaisir visuel se mêle au plaisir tactile ; je sens que je vais venir. Je pousse de profonds soupirs, annonciateurs de ma jouissance. Tatiana me caresse de plus en plus vite… Je n'en peux plus : je me répands dans la bouche de Sophie qui s'était emparée de mon sexe. Elle m'aspire littéralement, récoltant jusqu'à l'ultime goutte de ma semence.
Sophie embrasse ensuite Tatiana, lui faisant goûter mon jus. Un filet de sperme coule au coin de la lèvre de Sophie ; Tatiana s'en aperçoit et vient le cueillir avec sa langue.

Je viens de subir la plus belle fellation de ma vie ; c'est incroyable ! Le plus fou, c’est que je n'ai quasiment pas débandé : je suis déjà prêt à repartir au front.
Les deux femmes suçotent négligemment mon sexe tout en discutant :

— Eh bien, Docteur, ses analyses m'ont l'air tout à fait normales.
— Oui ; on va pouvoir passer à la suite, je pense.
— Mais sa grosseur persiste ! Que faut-il faire, Docteur ?
— Il va falloir passer à la vitesse supérieure ; vous savez quoi faire, infirmière Sophie.

Je me serais cru dans un film pornographique : le jeu de langues de ces dames est parfait, mais leur jeu d'actrices est à perfectionner.

Sophie se redresse et se met debout à coté du lit. Elle défait un à un les boutons de sa blouse et la laisse tomber à terre. Elle défait ensuite son soutien-gorge et se sépare également de son string. Elle n'a conservé que ses bas. J'admire sa sublime plastique ; qu'est ce qu'elle m'excite !
Elle fait maintenant le tour du lit et vient se placer derrière Tatiana. Cette dernière avait repris mon sexe en bouche et se redresse momentanément pour que Sophie puisse la délester de sa blouse. Elle la fait descendre le long de son dos, accompagnant la chute progressive du vêtement de baisers humides sur la peau de sa collègue.

Tatiana est maintenant à quatre pattes sur le lit en train de déguster mon sexe. Elle se situe en travers du lit alors que moi je suis allongé normalement. Je peux l'admirer de profil : ses courbes, sa lingerie, tout est un véritable appel au sexe et à la luxure. Je me dis que j'ai une chance incroyable d'être en compagnie de deux si belles coquines.

Sophie vient enlever le soutien-gorge de Tatiana. J'observe ses seins qui pendent sous l'effet de la gravité. Ils sont plutôt petits mais très jolis. Ils se balancent dans le vide au rythme de ses coups de langue. Sophie passe ensuite derrière la doctoresse et lui baisse sa culotte. Tatiana interrompt de nouveau sa fellation pour que Sophie la mette à l'aise.
Ma charmante doctoresse ne porte maintenant plus que son porte-jarretelles, ses bas et ses chaussures à talons. Sophie vient se placer derrière elle et commence à déposer plein de petits bisous sur ses fesses. D'un seul coup, je vois sa bouche s'engouffrer entre celles-ci.

Tatiana commence à avoir des difficultés pour poursuivre sa fellation correctement. Elle pose de plus en plus souvent la tête sur ma cuisse, se contentant de me masturber. Sa bouche est entrouverte, elle gémit doucement. Sophie s'active toujours derrière Tatiana ; elle a passé une main entre les jambes de sa consœur, et vu les mouvements qu'elle fait avec sa tête, je suppose que Sophie lèche de manière appliquée la fente de Tatiana.
Sophie m'avait souvent parlé de son attirance pour les femmes au début de notre relation. Je peux constater qu'effectivement elle aime beaucoup les femmes, vu l'enthousiasme qu'elle met dans chacun de ses gestes.
Sophie s'adresse à moi :

— Monsieur Durand, venez par ici ; on va essayer de traiter votre grosseur.

J'obéis à mon infirmière sans sourciller ; je saute du lit et viens auprès d'elle. Elle s'empare de ma queue et m'attire vers elle. Elle se met à genoux et enfourne mon sexe dans sa bouche. De son autre main, elle tire un peu Tatiana qui est toujours à quatre pattes sur le lit pour qu'elle se rapproche du bord. Une fois Tatiana bien installée, Sophie délaisse ma queue pour passer quelques coups de langue sur la fente de sa collègue, puis elle me reprend en bouche. Elle joue avec nous deux ; tantôt elle me suce, tantôt elle lèche Tatiana. Nos soupirs et gémissements se succèdent et se répondent.
Je vois la langue de ma douce Sophie explorer l'intimité d'une autre femme. Pendant qu'elle fait ça, elle me regarde droit dans les yeux. Qu'est ce qu'elle est coquine ! Je l'adore. Je crois qu'après avoir goûté à ses envies et sa façon d'aborder la sexualité, je ne pourrai plus jamais m'en passer...

Sophie s'interrompt un instant et fouille dans les poches de la blouse que portait Tatiana ; elle en sort plusieurs préservatifs. Elle en prend un et déchire soigneusement le sachet. Elle pose le bout de latex sur mon gland, et avec sa bouche le déroule sur ma tige. Une fois la protection bien en place, elle lèche une dernière fois la fente de Tatiana, non sans lui arracher quelques soupirs, se saisit de mon sexe et le pose à l'entrée de la chatte de Tatiana, puis elle me chuchote tout bas :

— Vas-y, mon chéri, baise-la ...

Je m'introduis doucement dans la fente de Tatiana ; cette dernière se met aussitôt à pousser des petits râles de plaisir. Sophie se relève et vient se coller à moi. Elle me caresse et me pousse les fesses comme pour me donner le rythme des coups de reins que j'assène à Tatiana. Elle m’embrasse ensuite passionnément. Sa bouche a le goût de l'intimité de sa comparse.
Tout en pistonnant mon médecin d'un jour, je passe une main sur la chute de reins de Sophie ; mes doigts se fraient un chemin le long du sillon de ses fesses. Mon majeur atteint tant bien que mal sa fente déjà gorgée de plaisir. Je flatte son doux écrin qui recouvre mon doigt de son enivrante liqueur.
Sophie continue de palper mon postérieur ; son autre main s'est aventurée sur mon bas-ventre. Elle passe ses ongles dans la courte toison qui surplombe mon sexe et me griffe tendrement la base du sexe tout en me susurrant à l'oreille :

— Vas-y, mon chéri ; fais-la jouir, cette petite salope.

Elle revient m'embrasser, puis d'un seul coup elle saisit ma lèvre inférieure entre ses dents et la tire doucement. Elle finit par la lâcher et tend sa langue vers ma bouche. Je viens à la rencontre de sa langue avec la mienne ; j'ai à peine le temps de l'effleurer qu'elle la retire. Sophie s'amuse avec moi.
Moi aussi j'ai envie de jouer avec elle, et au prix de contorsions que je n'aurais jamais cru possibles, j'arrive à me baisser un peu pour planter en entier mon doigt dans sa chatte.
J'arrache un petit cri de surprise à Sophie ; elle me regarde avec les yeux écarquillés. Tout en remuant vigoureusement mon majeur dans son fourreau, je lui dis :

— Va t'allonger sur le lit, j'ai envie de te voir te faire manger la chatte.
— Mmm... J'adore être ta chose, mon chéri...

Sophie me quitte et va sur le lit. Elle se met sur le dos et écarte les jambes pour que Tatiana puisse accéder à sa fente. Cette dernière, sans se faire prier, se penche et se met aussitôt à lécher le sexe l'infirmière. Sophie met sa tête en arrière et ferme les yeux. Elle a saisi ses seins et se caresse les mamelons pendant que Tatiana déguste son abricot. De mon côté, je suis surexcité : je vois ma compagne se faire manger par une autre femme, que moi-même je suis en train de baiser.

Je vais et viens dans la chatte de Tatiana ; je ne suis pas trop brusque pour qu'elle puisse lécher Sophie correctement. J'admire le corps des deux femmes qui sont sous mes yeux. Je caresse le fessier de ma doctoresse, je flatte ses délicieuses jambes gainées de bas. Le bruit du glissement de mes doigts sur cette fine étoffe est un régal et résonne jusqu'au plus profond des mes entrailles. Je quitte parfois les douces jambes de Tatiana pour profiter de la charmante petite poitrine et j'attrape ses seins pour en exciter les tétons.
Les gémissements de mes soignantes résonnent dans la pièce ; elles ont l'air d’apprécier ce petit jeu de rôle. Sophie se met à relever un peu plus le fessier. Tatiana comprend immédiatement et lui fait alors une délicieuse feuille de rose. Mon infirmière gémit de plus belle et commence à se caresser le clitoris.

J'ai d'un seul coup une furieuse envie de sodomiser Sophie ; j'attends encore un peu que Tatiana finisse d'exciter son œillet afin que je puisse m'immiscer facilement. Je quitte finalement à contrecœur la chatte de Tatiana. Cette dernière se met alors à butiner Sophie de plus belle. La langue de la doctoresse s'affole sur le clitoris de l'infirmière. Je vois également qu'un doigt de Tatiana a pris possession du cul de mon infirmière.

J’ôte mon préservatif et viens à mon tour sur le lit. Je viens près de Sophie et je pose ma queue sur ses lèvres. Aussitôt elle gobe mon gland, qu'elle suce avec envie. Tatiana regarde d'un air lubrique sa collègue me sucer. Elle redouble d'ardeur sur le clitoris de Sophie. Le bassin de cette dernière commence à tressauter, elle a l'air au bord de la jouissance, tout comme moi. Je lui dis :

— Viens, j'ai envie de te prendre le cul...

Je m'allonge sur le dos. Sophie a compris et vient s'asseoir à califourchon sur moi ; elle saisit ma queue et vient poser son petit trou dessus. Elle s’empale tout doucement mais en une seule fois sur mon pieu. Elle reste quelques instants avec mon membre planté au plus profond d'elle puis, progressivement, elle se met en action et fait aller et venir son bassin.
Je sens mon sexe qui coulisse dans son étroit fourreau. Sophie est sur moi, elle me chevauche telle une Walkyrie. Je la regarde avec passion et caresse son corps. Mes mains parcourent ses jambes vêtues de ses bas blancs ; elle est si sensuelle, vêtue comme ça...

Tatiana nous a rejoints et vient s'accroupir à côté d'elle. Elles s'embrassent de nouveau à pleine bouche. Ma doctoresse glisse une main vers le bas-ventre de Sophie, et tout en continuant à l'embrasser, elle vient caresser sa chatte et exciter son clitoris. Mon infirmière pousse des gémissements étouffés, sa cadence est de plus en plus rapide. Elle s'emballe même et est obligée d’abandonner les lèvres de Tatiana.
Mon médecin se retrouve abandonné et vient s'accroupir sur moi, face à Sophie pour que je m'occupe de sa fente. Je me retrouve nez à nez avec ses deux orifices. Hésitant lequel flatter, je m'occupe finalement des deux pour ne pas faire de jaloux. Ma langue parcourt la fente de Tatiana jusqu'à son petit trou. Au bout de quelques allers et retours, le bassin de Tatiana vient de lui-même à ma rencontre. Je ne bouge même plus : elle vient d'elle-même se faire lécher par ma langue désormais immobile.

Je ne vois pas ce qui se passe plus haut, mais j'entends des gémissements, des bruits de succions, de baisers. L'ambiance est hautement érogène et ne fait qu'amplifier mon désir. Je vais bientôt m'abandonner et inonder les entrailles de Sophie. Encore quelques coups de reins de mon infirmière et je pousse un soupir de délivrance. Je me répands en elle. Sophie l'a senti ; elle me chevauche une ultime fois dans une folle cavalcade, s’empalant au maximum sur ma queue.
Elle reste ensuite immobile, mon pieu planté dans son fondement. J'entends toujours des bruits de succions, mais leur rythme semble plus calme. Tatiana balance toujours son bassin au-dessus de mon visage, cherchant le contact de ma langue sur ses trésors.

Sophie finit par mettre un terme à notre étreinte ; Tatiana l'imite. Elles s'allongent toutes les deux sur le lit et aussitôt se remettent à s'échanger de doux baisers. Elles restent quelques minutes ainsi et à se taquiner et faire voyager leur langue et leurs doigts sur leurs corps respectifs. Au bout d'un moment, Sophie se lève et sort de la chambre. J’entends le robinet de la salle de bain couler. Elle revient avec un gant de toilette. C'est notre petit rituel lorsqu'elle a encore envie de moins après une sodomie. Elle s'agenouille devant moi et enserre mon sexe dans le gant de toilette chaud. Une bonne odeur de savon commence à envahir la chambre. J'adore quand elle me fait ça, c'est terriblement sensuel et relaxant, un petit moment de calme avant la tempête à venir.

Tatiana vient derrière Sophie et l'embrasse tendrement dans le cou. Pendant que mon infirmière nettoie mon outil, sa collègue joue avec sa poitrine tout en lui léchant le lobe de l'oreille. Sophie change ensuite le gant de toilette de côté pour enlever le surplus de mousse et de savon de mon sexe. Elle me branle ensuite doucement, commençant à redonner vie à mon sexe. Voyant qu'elle a réussi à le ranimer, Sophie se sépare du gant et va s'allonger sur le lit. Tatiana vient se positionner tête-bêche au-dessus d'elle. Puis très vite, elles se mettent à se déguster mutuellement.

J'ai face à moi le postérieur de ma doctoresse avec juste en dessous d'elle mon infirmière qui fouille consciencieusement chaque repli de son intimité avec sa langue. J’observe ensuite le délicieux ballet que me proposent mes deux soignantes. Face à ce spectacle, mon érection est de retour en quelques secondes ; j'ai une envie folle de les rejoindre, mais je préfère pour l'instant savourer cet instant magique. Je regarde Sophie avec amour lécher sa coquine de copine.
Mon regard navigue entre les deux jeunes femmes. Il s'attarde sur les jarretelles tendues de Tatiana qui retiennent ses délicieux bas. Mes yeux suivent de manière hypnotique la couture de ce délicieux voile qui suit les méandres de ses courbes.

Les deux jeunes femmes se rendent coup de langue pour coup de langue, si l'on peut dire. À croire que chacune essaie de faire jouir l'autre en premier. J’admire ce combat d'un incroyable érotisme ; je me masturbe tranquillement en les regardant. Sophie essaie de mettre à mal son adversaire en commençant à jouer avec son petit trou. Je vois un doigt de Sophie qui s'enfonce dans la fente de Tatiana et en ressort enduit de cyprine. Sophie caresse ensuite doucement l’œillet de ma doctoresse en décrivant des petits cercles tout atour. Elle recommence plusieurs fois l'opération, puis sentant que l'anneau commence à se détendre, elle pousse son doigt dans l'étroit conduit et se met à le faire coulisser doucement.
Tatiana, sonnée par ce coup-bas, sort la tête quelques instants de l'entrejambe de l’infirmière en lâchant : « Ah, la salope ... » Une fois l'instant de surprise passé, elle replonge aussi son visage entre les cuisses de Sophie. Quelques instants plus tard, Sophie pousse également un petit cri de plaisir ; j'en déduis que son adversaire lui rend coup pour coup.

Sophie pilonne maintenant allégrement le cul de sa collègue avec son doigt ; sa langue est toujours affairée sur sa fente, et de son autre main je vois qu'elle excite frénétiquement le clitoris de Tatiana. Cette dernière a lâché prise et a posé son visage contre la cuisse de Sophie, se contentant de baisers et de coups de langue sur celle ci. Sophie, coincée sous mon médecin m'interpelle :

— Viens là, mon chéri ; j'ai envie que tu lui prennes le cul...

J'obtempère immédiatement ; depuis tout à l'heure, je fixais avec envie cet orifice. Je vais pouvoir m'y plonger désormais. Je me lève, et fiévreusement je fouille dans les poches des blouses pour trouver un préservatif. Je trouve enfin un petit sachet et l'ouvre précipitamment. Je pose le préservatif sur mon gland violacé et me met à dérouler la membrane en latex le long de ma tige. Je suis prêt.

Je viens me positionner derrière Tatiana, un peu honteux d'offrir une vue de mon anatomie un peu particulière à Sophie. J'allais poser mon sexe sur le petit trou de ma doctoresse quand mon infirmière se saisit de ma queue pour l'engouffrer dans sa bouche. Sophie attire ma queue ; ainsi installés, je peux aller loin dans sa gorge. Je m'enfonce tout doucement, étonné qu'elle puisse m'engloutir totalement. Sophie a une main posée sur mon bassin pour contrôler ma progression. Elle finit par me repousser d'un seul coup. Mon sexe ressort de sa bouche bien lubrifié, avec beaucoup de salive. Elle empoigne ensuite mon sexe et pose mon gland à l'entrée de la porte de service. Tatiana se cambre un peu plus et vient à ma rencontre. Je force le passage de son sphincter pour prendre possession de ses entrailles.

Je la contemple, la bouche entrouverte, le visage affalé contre la cuisse de Sophie. Elle grimace un peu, je la sens un peu crispée. Je la pénètre alors en douceur, faisant entrer ma queue millimètre par millimètre. Je vois Sophie essayer d'apaiser sa collègue en lui léchant la fente. La quasi-totalité de mon sexe a désormais disparu entre les fesses de mon médecin ; je reste immobile plusieurs longues secondes. Des bruits de succion remontent jusqu’à mes oreilles : Sophie doit être en train de se régaler.

Les traits du visage de Tatiana s'adoucissent petit à petit, elle se remet à pousser des petits gémissements. J’en déduis qu'elle s'est habituée à ma présence. Je me retire alors tout doucement de son cul, puis une fois que j'en suis complètement sorti, je le réinvestis aussitôt. Je fais ça plusieurs fois. Tatiana ne se crispe plus du tout quand je la pénètre. Je décide alors de rester en elle et de faire coulisser mon sexe doucement.
Tatiana commence à apprécier ; des soupirs de plaisir sortent de sa bouche au même rythme que celui de mes coups de bassin. Je sens d'un seul coup les doigts de Sophie se poser sur mes testicules. Elle les empoigne et commence à me donner la cadence. Elle accélère le rythme, elle me tire bien les couilles pour que mon bassin vienne taper fort contre les fesses de Tatiana. Cette dernière pousse des petits cris à chaque fois que je la culbute.

Au bout d'un moment, Sophie, toujours en m’empoignant par les testicules, me maintient enfoncé au plus profond de Tatiana. Puis je sens une langue venir lécher et gober mes boules. Sa langue remonte inexorablement vers mon anus, mais elle s’arrête sur la zone entre celui-ci et mes testicules. Mon petit trou se réchauffe. C’est étrange, comme sensation ; jamais je n'aurais imaginé ressentir ça un jour. Elle abandonne ensuite ses délicieuses caresses buccales pour empoigner de nouveau mes testicules et me donner le rythme des coups de boutoir que j'assène à ma charmante doctoresse.

Sophie est déchaînée ; elle me fait enculer sa collègue sauvagement. Les cris de cette dernière résonnent dans la chambre. D’où je suis, je vois le coude de Sophie remuer rapidement : j'en déduis qu'elle doit exciter le clitoris de Tatiana également. Le visage de Tatiana est cramoisi, des mèches de cheveux viennent commencent à venir se coller à sa peau moite, sa bouche est ouverte, elle halète comme si l'air lui manquait. Je la sens d'un seul coup se raidir et se cambrer. Je vais à l’encontre du rythme imprimé par Sophie et viens me ficher au plus profond d'elle. Elle appuie fort ses fesses contre mon bassin, elle se tortille pour bien sentir mon membre dans sa chair.
Elle finit par relâcher ses muscles et retombe sur Sophie. Cette dernière la fait glisser un peu sur elle ; Sophie a désormais un accès total à mon sexe. Toujours en dessous de moi, elle saisit ma queue, et comme une furie elle m’ôte le préservatif. Elle se met ensuite à me branler très fort au-dessus de son visage. Elle me fait même presque mal tellement elle me serre fort.

Ma respiration s’accélère ; je vais bientôt céder moi aussi. Mon infirmière le sent : elle accélère encore plus et finit par me faire mettre un genou à terre. Je finis par expulser plusieurs jets qui lui maculent le bas du visage et les seins de Sophie. Mes jambes flageolent ; je pose une main sur le lit pour me maintenir. Les caresses de Sophie sont maintenant plus douces ; elle masturbe tendrement mon sexe en gobant le bout pour y récolter avec sa langue les restes de ma semence.
Tatiana vient s'allonger à côté de Sophie. Elle vient masser la poitrine de Sophie en étalant mon sperme partout sur ses seins et son ventre. Elle passe ensuite sa langue sur chacun des mamelons, en prenant soin de me fixer droit dans les yeux. Elle finit par se joindre à elle pour suçoter négligemment mon sexe qui, rattrapé par les lois de la gravité, commence maintenant à baisser pavillon.

Je m’assois en haut du lit, assis en tailleur. Je suis essoufflé et dégouline de sueur. Je reprends mes esprits en regardant les deux jeunes femmes s'embrasser tendrement.
Tatiana se lève et tend la main à Sophie :

— Tu viens, on va se prendre une douche ?

Sophie se lève pour la suivre. J'en fais de même ; j'imagine déjà deux paires de mains en train de me savonner sous une pluie d'eau brûlante, mais Sophie me coupe dans mon élan :

— Non, mon chéri : juste toutes les deux. C'était la condition de Tatiana pour cette petite surprise ; je lui ai promis un instant rien que pour elle.

Elle vient ensuite se pencher vers moi et m'embrasse fougueusement.

— À tout de suite, sois sage...

Je contemple les deux jeunes femmes en observant leurs jambes soyeuses se mettre en action pour les transporter hors de la pièce. Je me mets aussitôt à les imaginer sous la douche, les langues se mélanger, les corps s'unir. Je suis de nouveau en érection...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Attends toujours " Embauche et Débauche 4 " histoire passionnante dont tes admirateurs veulent connaître la suite....A + de te lire

Histoire Libertine
Hum.....amour, j'ai relu ce matin.. je me suis réveillée toute chaude...

Tu sais où me trouver si tu veux que je te raconte la suite....
Je t'aime

S

Histoire Erotique
Bravo je n'ai pas pu mempecher de me caresser inconciament cest un melange de fantasmes masculin si bien raconte que lon croit cette histoire reele hum...

Histoire Libertine
Mon amour,

la suite de notre histoire fantasmagorique éternelle publiée en ce jour particulier
Oh ouiiii <3

Un chapitre d'une intensité sexuelle comme tu sais si bien faire en encore plus plus fort....

Miammmm je me suis régalée, mon chapitre préférée. Ton imagination est mienne, tu es juste parfait.

A la lecture le corps à chaud, la mimi se contracte toute seule et on aimerait être dans cette histoire pour vivre ce trio sensuel en vrai.

Merci pour les orgasmes que tu nourris!

Love U
Je t'embrasse

Ta sophie

Toujours aussi doué

Excellent. Bravo. J'adore.



Texte coquin : Jeux de rôle : l'infirmière
Histoire sexe : Une rose rouge
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