Jocelyne 7 : la demande de Guy
Récit érotique écrit par Emile Hubert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2007 dans la catégorie Plus on est
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Jocelyne 7 : la demande de Guy
En me quittant après cette délicieuse soirée avec Laurent et Stéphanie, Bertrand m'avait précisé, au cas bien improbable ou je ne m'en serais pas douté, que Monsieur Guy attendait mon compte rendu….
Il est vrai qu'au cours de cette soirée j'avais encore franchis un échelon dans l'escalade qui m'était proposée. J'avais été initiée aux rapports saphiques avec Stéphanie. Il est vrai que je m'étais adonnée sans restriction à cette pratique nouvelle pour moi. J'avais aimé… beaucoup aimé, et même si je savais que je ne deviendrai jamais vraiment bi (j'aimais trop les sexes masculins) j'étais certaine que j'adorerais partager d'autres moments avec Stéphanie. Nous nous étions promis de nous accorder quelques "tête à tête" entre filles. Je me demandais aussi si, nullement avare dans mes ébats et comme je l'avais fait avec d'autre hommes, je pourrais faire cela avec une autre inconnue. Il me sembla que le simple fait de me poser la question contenait déjà la réponse… affirmative sans conteste. La question suivante recevrait une même réponse. Monsieur Guy aimerait-il me voir faire l'amour avec une autre femme ? Connaissant son esprit libertin, cela ne faisait aucun doute. J'en aurais bientôt l'assurance puisqu'il me fallait aller lui faire mon rapport, sachant très bien que Bertrand lui aurait fait le sien avant moi. Le lundi, je lui téléphonais pour prendre un rendez-vous pour le surlendemain. Donc le mercredi soir, je décidais de passer ma nouvelle tenue (lavée et repassée de la veille) pour aller le retrouver. Une fois coiffée et maquillée comme à l'habitude, je mis mes bas, puis la tenue offerte par Bertrand : ma minijupe noire moulante et mon chemisier transparent. Je pris quand même à la hâte mon imperméable histoire de traverser la rue. Je pris également le repassage de Monsieur Guy que je continuais à effectuer (ainsi que pour d'autres personnes pour améliorer un peu mes revenus). Arrivé à sa porte je sonnais selon notre code, quatre petits coups rapprochés et entrais. Je déposais linge et imper dans l'entrée et pénétrais dans son salon ou il m'attendait. Il me trouva somptueuse. Il est vrai, sans fausse modestie, qu'ainsi vêtue, je n'étais pas mal du tout. Il me pria de venir s'asseoir sur ses genoux pour que je lui narre mes fredaines. Pendant mon récit, sa main posée sur mes cuisses avait remontée et il avait comme par mégarde glissé un doigt à l'orée de mon sexe. La jupe courte n'ayant pas été longtemps un obstacle, il l'avait relevée à l'arrière et engagé deux phalanges d'un doigt de l'autre main dans mon anus. Toujours pendant que je lui contais mes exploits, j'avais choisi de dénuder l'épaule de son coté. Comme cela il pouvait y déposer quelques baisers. Il ne s'en priva pas. D'ailleurs, il ne se priva pas de déposer également de petits baisers sur mon sein gauche lorsque j'eux dénoué le lacet du corsage. A la fin de mon histoire, je me coulais entre ses jambes et sans prendre le temps de tout quitter (il est vrai que ma jupe était remontée jusqu'à ma taille et mon chemisier baissé jusqu'à… la taille) je l'enserrais entre mes seins opulents. Je le léchais de temps à autres afin de lui permettre de mieux coulisser entre mes rondeurs. Le sentant arriver, je changeais de stratégie. Ma bouche prit le relais de mes nénés et je me mis à le sucer avec volupté et une lenteur calculée. J'allais lui extirper toutes ses parcelles de plaisir. Comme il me le dit dans une bordée autres insanités "il me balança sa purée". Je ne fus pas déçue, elle était abondante, chaude, épaisse et gluante à souhait…. Un régal ! Je ne sais si ce fut à cause de la pipe que je venais de lui faire ou à cause de la relation de ma soirée du samedi précédent, mais Monsieur Guy déclara qu'il état fier de moi. Sans me dire de quoi il retournait il me dit qu'il avait de grands projets pour moi. Assez contente je l'assurais de toujours me comporter comme il le souhaitait et que j'étais enchantée de la manière dont il me faisait découvrir ma seconde nature et dont il me façonnait dans cette univers pervers de vice dont, parait-il j'avais encore beaucoup à découvrir. Il décida ensuite qu'il allait s'occuper de moi. Il commença par mettre un CD dans le lecteur, puis par mettre un fauteuil face l'écran de télévision. Il partit à la cuisine et revint avec un concombre et deux pinces à linges. Il me demanda en me montrant les pinces :
"Tu sais à quoi elle vont servir ?"
J'en avais une vague idée et n'était guère tentée. Je répondis que non.
"Elle vont servir à décorer tes gros nichons…. N'aie pas peur, j'ai desserré les ressorts… un peu…."
Il me demanda de venir derrière le fauteuil et de me pencher en avant, pliée en deux, les mains reposant sur les accoudoirs. Venant sur le côté il me pelota les lolos qui pendaient victimes de l'attraction terrestre en étirant bien les pointes vers le bas. Quand mes tétons furent bien dardés, il y fixa les pinces à linge. Dire que la douleur fut atroce serait mentir. Néanmoins les pinces me serraient bien les tétons. Il me dit :
"Attends ce sera meilleurs quand tu vas bouger !"
Il vint ensuite se placer derrière moi, me lécha minutieusement l'anus et en même temps qui mettait le CD en route avec la télécommande, il entreprit de me sodomiser avec le concombre. Houuuu…. Le diamètre était important…. Quand il l'eut assez enfilé sa bouche vint aspirer délicieusement mon clitoris. Pendant que je regardais la vidéo, il me branlais le cul tout en s'occupant de mon clito et de ma chatte soit avec sa bouche soit avec les doigts de son autre main et parfois les deux. Sur l'écran j'assistait à une partouze ou plutôt un double gang band puisqu'il n'y avait que deux femmes pour environ une dizaine d'hommes déchaînés. L'action avait l'air de se passer dans une sorte de cave aménagée ou les comparses prenaient et reprenaient les femmes de toutes les façons par toutes les ouvertures, variant et les orifices, et les participantes. Il était clair qu'elles finiraient épuisée, remplies de foutre et les orifices dévastés… les veinardes ! En observant bien, je reconnus la femme blonde que j'avais pensé identifier sur une précédente vidéo. Elle avait l'air de prendre un pied terrible et participait à fond dans ce qui lui était proposé ou imposé. Était-ce ma récente initiation lesbienne, mais je la trouvais fort belle… tentante même…. Profitant l'excitation dans lequel me mettait la vidéo, Monsieur Guy en profitait en vérité, pour me poignarder l'oignon avec son concombre. Les saccades qu'il me procurait se répercutaient jusqu'à mes seins et leurs pointes enserrées. Effectivement la sensation de pincement pourvu qu'elle ne soit pas vraiment poussée se révélais plutôt positive. Il est vrai que j'aime bien que l'on me serre les tétons voire même que l'on me les presse ou que l'on me les torde un peu. Le ballottement y faisait beaucoup… et comme Monsieur Guy était un artiste de la langue je jouis bien avant la vidéo. Quand je fus redescendue du septième ciel, nous prîmes une bouteille, deux verres et montâmes dans sa chambre lui par le monte-charge et moi par l'escalier. Il passa sur son lit et je vins m'allonger près de lui. Alanguis nous bûmes un peu de champagne en discutant et nous caressant mutuellement comme le font deux vieux amants après un coït forcené. A nouveau je lui demandais qui était là femme blonde des vidéos. Il ne répondis ne jamais l'avoir rencontré. Il savait qui elle était mais que par discrétion il ne me le dirait pas. Apparemment, cette discrétion était un des critères d'obtention de ces fameuses vidéos. Je n'insistais donc pas, dévorée quand même par curiosité. Monsieur Guy avait envie de me prendre en levrette. Son état ne lui permettait pas encore. Il m'informa qu'il avait repris avec beaucoup de sérieux sa rééducation dans ce but et dès qu'il le pourrait il me prendrait de cette façon. Pour cela il travaillait à pouvoir se tenir sur une jambe. En attendant ce jour, il me fit me mettre sur le coté et lever une jambe. Il se mit également sur le coté derrière moi et délicieusement, glissa en moi. Il me prit longuement, lentement et ce fut très bon surtout que dans cette position ses mains se montraient fort actives sur mes seins rendus si sensibles et sur mon clitoris qu'il avait su bien stimuler tout à l'heure. Notre plaisir simultané fut intense….
Monsieur Guy me reparla ensuite de la soirée qu'il comptait organiser.
"Tu te rappelle, je t'avais dis que je comptais faire une petite fête ici ? "
"Oui, oui je me souviens très bien !"
"Eh bien c'est pour ce samedi ! J'espère que tu es disponible ?"
"Pour vous, toujours, vous le savez bien ! Qu'est ce que vous avez organisé comme fête?"
"Ne sois pas si curieuse … tu verras bien ! Je suis certain d'une chose, tu ne vas pas t'ennuyer ! "
A la façon dont il prononça ses mots, je sentis non pas vraiment une menace, mais plutôt un avertissement. Je crois que cette soirée serait torride….
"Bon je n'insiste pas. Oh, juste un petit détail comment dois-je m'habiller ?"
"As-tu une veste ?"
"Oui, oui j'ai une petite veste blanche, mais c'est plutôt un vêtement d'été et…."
"Ce sera parfait !" coupa-t-il et il continua;
"Donc tu viens samedi à dix huit heures, avec uniquement une veste et une paire de bas noir auto fixant… ce sera amplement suffisant ! Par contre je veux que tu viennes uniquement dans cette tenue ! Je veux te voir traverser ainsi ! C'est bien compris ?"
"Oui Monsieur Guy j'ai bien compris, mais je…."
"Chuuuut ! Fais-toi très belle et ne t'occupe pas du reste !".
Là, limite il dépassait les bornes…. Mais le pire était que je ne pouvais rien lui refuser. Je me demandais même si, en plus d'être son jouet, je n'allais pas devenir son esclave sexuelle….
En parlementant le lendemains, j'arrivais à obtenir un rendez vous chez mon coiffeur pour le samedi matin. Rarement un jeudi et un vendredi passèrent aussi vite. Je n'avais la tête à rien. Une chose que taraudait l'esprit, combien ? Combien de partenaire Monsieur Guy allait-il m'imposer ? Est que d'autres femmes seraient présentes également ? A quelles folies allais-je encore m'abandonner. Le coiffeur fut un magicien, je lui expliquai en mentant effrontément que j'allais un une soirée dont le thème était le cinéma américain et que je voulais ressembler à un starlette. Inutile de rentrer dans les détails et de lui dire que question starlette se serait star de film X. Encore une fois il fut vraiment magique cette fois-ci j'étais blonde ! Sublimement blonde… de trois blond différent, blond doré, blond cendré et blond presque blanc des scandinaves. En sortant du coiffeur, je passais acheter deux paires de bas à couture, puis rentrais vite chez moi. Si les jours qui avaient devancé cette journée avaient passé vite, il n'en fut pas de même pour les heures qui précédèrent mon rendez-vous. Comme saisie de fièvre; il me sembla que je ne pouvais supporter aucun vêtement. Etait-ce cela ou voulais m'exciter encore un peu plus ? Hum… sûrement les deux ! Donc je passais mon après midi nue à traquer et éliminer le moindre poil incongru qui se serait permis de ce cacher dans un recoin de ma personne. Le temps finit par avancer. Il été temps que je me maquille. Monsieur Guy serait content j'allais me faire un tête de salope… comme jamais je ne l'avais fait ! Salope il me voulait, salope il m'aurait ! Je mis même des faux cils et appuyait amplement le maquillage des yeux et de la bouche. Je passais vite une paire de bas et mit les belles chaussures rouges que Bertrand m'avait offertes. Objectif atteint ! J'avais l'air de ce que Monsieur Guy voulait que je sois, j'avais l'air de ce que je voulais être… une belle cochonne, une vraie salope, comme aurait dit Bertrand ! Mais au fait serait-il présent ? Dix sept heure quarante cinq, je pris la veste qui m'attendait sagement sur un cintre. Comme je crois vous l'avoir précisé, il s'agissait d'une veste d'été très légère. Etant faite pour être portée aux beau jours elle était très courte et ne fermait que par un seul bouton. Autrement dit, elle m'arrivait à peine à la moitié des fesses (donc dénudait le bas de mon pubis) et portée sans rien dessous me faisait un décolleté ravageur, si tant est que l'on puisse appeler cela un décolleté. Par l'échancrure mes nénés étaient bien visibles et biens exposés. Le miroir me renvoya mon image…désirable….
Courageusement, je sortis. L'air frais sur ma poitrine et mes fesses me surprit. Je vis qu'une voiture était garée devant chez Monsieur Guy. Cela me rassura un peu sur le nombre de participants. Vous allez me rétorquer que l'on peut entasser pas mal de monde dans une voiture…mais bon ! Un coup d'œil à droite, puis à gauche… personne dans le rue… hop !... je fonçais et traversais presque en courant, faisant ballotter mon buste. Arrivé devant la porte je repris mon souffle, osais un "Monsieur Guy c'est Jocelyne !" et bravement j'entrais.
Quatre paires d'yeux me dévisagèrent enfin, quand je dis dévisagèrent ce n'est pas tout à fait exact puisque les regards ne n'arrêtèrent pas là…. Disons que quatre paires d'yeux me reluquèrent, se serait plus exact. Monsieur Guy m'accueillis d'un "ah ! Jocelyne… plus belle que jamais". Il demanda leur avis aux autres qui approuvèrent. Il me les présenta tour à tour. J'avoue que ne fis pas très attention troublée que j'étais. Je me sentais tellement honteuse dans ma tenue que je n'aurais voulu qu'une chose : pouvoir cacher mon pubis à le vue de ces inconnus. Je crois que je ne retins qu'un prénom, un certain Fred celui qui avait le regard le plus vicieux de la bande… presque porcin…. Monsieur Guy m'interpella :
"Jocelyne s'il te plait, fais donc le service !"
Dire que cela me plaisait… bof ! Mais je le fis quand même sachant que ce n'était qu'un prétexte pour déclancher encore un peu plus de convoitise chez les trois hommes. Effectivement, ils ne se gênèrent pas pour m'évaluer sous tous les angles, cuisses et pubis…. Il ne se limitaient pas davantage pour lorgner ce que dévoilait l'ouverture de ma veste (là ils en prenaient plein les yeux). Je sentais même leur regard dépourvu d'aménité se poser sur le bas de mes fesses sachant bien que bientôt ils voudraient en voir encore plus. Un des hommes, sûrement désireux de faire évoluer la situation fit cette remarque :
"En plus d'être avenante, je suis sûr qu'elle est très disponible… elle pourrait peut être nous montrer un échantillon de ce qu'elle sait faire."
"Une petite seconde !... attendons Bertrand…. Il ne serait pas correct que nous commencions sans lui !".
Ainsi donc Bertrand serait aussi présent. Cela portait à cinq le nombre d'hommes à satisfaire. Enfin quatre valides plus Monsieur Guy. Quatre, si vous vous souvenez, je l'avais déjà fait, donc je pourrais assurer. Nous entendîmes une voiture stopper devant chez Monsieur Guy. Un "Aaaaaaah !" de soulagement se fit entendre de plusieurs bouches. La fête allait pouvoir commencer… et Bertrand fit son entrée….
Et Bertrand fit son entrée….
Et Bertrand fit son entrée… accompagné de trois hommes… mon Dieu !
Bertrand s'excusa de son retard et directement vint vers moi et me prit par la taille. Le plus tranquillement du monde il fit sauter le bouton de ma veste et en écarta les pans. En guise d'entrée en matière, Monsieur Guy et Bertrand firent une sorte d'éloge de ma petite personne. Une sorte d'éloge qui tenait aussi lieu de programme pour la soirée et qui fut dévoilé pendant que Bertrand me retirait complètement ma veste avant de la jeter sur une chaise.
C'est Monsieur Guy qui commença :
"Je vous présente donc Jocelyne, une amie très chère, une belle salope comme nous les aimons…."
"Comme nous les aimons et comme nous aimons nous en goinfrer…."
"Evidemment !... puisqu'elle est là pour cela. Elle n'aura de cesse que d'avoir à nous vider les couilles…."
"Vous pouvez tous lui faire, Guy vous l'a dit, elle est là pour ça, absolument tout ce que vous voudrez, sans limite…. Vous verrez c'est une bonne petite pute qui ne rechigne pas à l'ouvrage…. "
"Ce soir Jocelyne, tu vas être la pire des salopes…. tu seras notre trou à bites…."
Je demeurait statufiée par tant de grossièreté surtout qu'en face de moi certains se massait l'entrejambe comme pour ponctuer d'un geste obscène ce qui m'attendais. Huit… ils étaient huit….
Ils décrétèrent de mettre un peu d'ordre à l'orgie. Comme pour me faire voir ce qui m'attendait, ils décidèrent de se mettre tous les huit nus. Je dois dire qu'il y en avait pour tous les goûts… à la condition d'être gourmande. En effet il n'y en avait pas de "petites" mais à part cela : des longues, des grosses, des trapues que les mâles présent astiquaient paresseusement histoire de m'offrir une visions particulièrement crue de ce qui allait suivre. Les hommes s'avéraient plutôt bien montés et bien sûr Bertrand était le mieux doté, mais à part lui, trois ou quatre était très bien pourvus et pouvaient presque rivaliser question taille. Il ne restait qu'à voir comment ils s'en servaient. Cela allai m'incomber d'ici peu. Monsieur Guy fit asseoir tout le monde, sauf moi et il m'enjoignit "de piper tous les participants histoire de les faire bien bander". Je regardais autour de moi et marquait un temps d'arrêt comme si je tergiversais. En fait mon choix avait été presque immédiat. Sans l'ombre d'une hésitation, j'avais opté pour celui qui se prénommait Fred et que déjà dans ma tête, je surnommais "le vicieux". C'est donc lui qui allait étrenner ma bouche parfaitement maquillée et essuyer mon rouge à lèvre. Sous les railleries des autres, dépités de n'avoir pas été retenus en premier, je m'agenouillais et pris les choses en mains. De ma langue j'humectais le beau gland turgescent puis ouvrant la bouche en grand je l'embouchais avant de refermer mes lèvres sur plus loin possible sur l'engin. Que j'aimais ce moment… l'absorption d'une grosse bite (en fait il y avait deux instant que j'adorais par-dessus tout : emboucher un beau membre ou le sentir peser et faire céder mon muscle anal). Ma bouche se mit à monter et descendre tout au long du sexe. Au bout d'un petit moment il me fit arrêter :
"Va un peu d'occuper des autres petite pute !"
Il est vrai que c'était là, pour l'instant ce qui m'avait été demandé, sucer un peu tout le monde pour les exciter. Comme je me préparais à passer au suivant, un des hommes fit remarquer que je devais me déplacer à quatre pattes… comme une chienne. C'est donc à quatre pattes, sous les remarques grivoises concernant mon cul et mes seins qui balançaient, que je passais de l'un à l'autre pour pomper des bites et lécher des couilles. Il n'empêche que je commençais à me trouver dans un drôle d'état. J'avais très envie d'être touchée. Jusque là, mes futurs amants ne s'étaient bornés qu'à de furtives caresses sur mon postérieur et mes nichons durcis. Comme vous pouvez l'imaginer je pris un soin tout particulier à me faire une langue de velours lorsqu'il s'agit de passer au membre de Bertrand et encore plus à celui de Monsieur Guy. Une fois le tour de tout le monde passé, le spectacle valait la peine d'être vu. Huit hommes en érection… les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. Un homme me demanda de venir continuer mes activités buccales. Toujours à quatre pattes je me dirigeais vers lui. Cette fois je m'activais sur lui. Rapidement je fus vite entourée. Deux hommes s'assirent près de lui. Je dus les masturber pendant que l'autre faisait aller et venir sa queue dans ma bouche. Je sentis d'autres présences près de moi. Je me plaignais tout à l'autre de n'avoir pas encore été outrageusement pelotée. Mes pensées avaient-elles été devinées ? Des mains me parcoururent, me palpèrent, me tripotèrent, s'immiscèrent, me fouillèrent… lolos, fesses, dos, ventre, con et cul tout y passa. A qui appartenaient-elles ?... aucune idée et puis qu'elle importance puisqu'elles me faisaient un bien fou et augmentais mon désir. Enfin… enfin un homme s'installa derrière moi. Un sexe frotta le mien. Je fus prise énergiquement tentant tant bien que mal de continuer à m'occuper des trois autres. En fait ils m'aidèrent pas mal. Celui que je suçais sans égard pour l'ordonnance de ma coiffure m'avait pris la tête à deux mains et me baisait la bouche m'imposant sa cadence. Et les deux autres avaient pris la main qui les branlaient et m'assistait dans mes mouvements. L'autre derrière… aucun problème, je n'avais qu'à tendre ma croupe vers l'arrière pour qu'il s'enfonce avec volupté. Échauffée par l'attente de cette soirée, puis ma préparation pour "le sacrifice". Encore plus allumée par le début de soirée, je jouis presque immédiatement sous les quolibets de l'assemblée qui constatait mon appétit. Appétit confirmé il est vrai par mes deux mentors. Je n'étais pas la seule à être bien chaude l'homme que je suçais se raidit. Il me prit d'une main par les cheveux afin de maintenir son rythme et de l'autre se branlait fébrilement. Quand il éjacula il me maintint bien la queue enfoncée comme si j'avais voulu échapper à mon destin… que non ! je reçu donc ma première rasade de foutre de la soirée. La seconde ne tarda pas, mais cette fois-ci ce fut mon vagin qui en fut le réceptacle. Sans temps mort un de ce que je caressais me fit monter sur lui. Deux hommes dont le fameux Fred vinrent se poster de par et d'autre de moi. Pas besoin de me faire un dessin je me mis à chevaucher le premier et à pomper alternativement les deux autres…. C'était repartit ! Bientôt, ceux qui utilisaient ma bouche se plaignirent de mon manque d'assiduité dans ma tâche. L'autre leur rétorqua "qu'il s'en foutait… que comme cela il pouvait jouer avec mes nibards"… et il ne s'en privait pas les malaxant à pleines mains. "Le vicieux" lui fit remarquer que si je me mettais dans l'autre sens, il ne perdrait pas au change et que comme cela je serais mieux à même de les satisfaire. L'idée fut adoptée. Jocelyne se leva, se retourna et se planta sur le pieu rigide. L'autre passa ses mains en coupe sous mes seins et les saisissant encore une fois sans délicatesse particulière. Les deux hommes devant moi purent se rapprocher pour que je fasse mieux preuve de mes talents. Mon dieu !... je réalisais qu'ils me jouiraient vraisemblance tous une fois dans la bouche… et dans la… et oooooh dans le… s'il se contentaient d'une fois…. J'allais mourir éventrée et déchirée…. Monsieur Guy m'avait souvent parlé de gang band, j'avais pensé qu'il s'agissait de paroles en l'air. Mais non, il était passé à l'acte… enfin, j'étais en train de passer à l'acte… j'étais en train d'y passer. Tant qu'à se rapprocher Fred et son compère décidèrent qu'il fallait que je les pompe ensemble (dans ma bouche de pute… bien sûr !). Je ne me fis pas prier, au fond j'aimais bien me sentir la bouche déformée par deux beaux glands cramoisis. Désireux de varier les genres Fred me pria de prendre sa bite entre mes deux grosses mamelles et de lui pratiquer une branlette espagnole. L'autre derrière se montra un peu déçu il dut abandonner mes seins. Il se consola en me mettant bien profondément un doigt dans le fondement. Je pris donc la belle tige entre mes seins après avoir bien salivé dessus. Le troisième larron me fit tourner la tête pour que je reprenne ma succion. Je me sentais à nouveau partir et me contractait pour bien sentir la queue qui coulissait en moi. Les mouvements de celle-ci se firent aussi plus saccadés. L'orgasme nous prit tous les deux quasiment dans un bel ensemble. Dans ce genre de séance, la femme à rarement de répit. Moi, ce fut pratiquement pas du tout car Fred se montra impatient en s'écriant :
"Suces… mais suces saaaalope… je giiiiiicle…."
Je fus contrainte à une deuxième ingurgitation qui fut bien abondante. Tellement qu'il m'en coula sur le menton et les seins. D'ailleurs, ils furent bien souillés puisqu'il finit de s'essuyer dessus. Celui que je suçais en même temps que Fred avait finit par s'asseoir pour regarder la suite. Gentiment, il me demanda de bien vouloir venir le finir de cette façon. Me dégageant j'allais m'agenouiller entre ses cuisses écartées. Ce que voyant un homme (le dernier ?) sollicita de Monsieur Guy la permission de me sodomiser.
" Assurément ! Tu vas voir comme elle aime ça ! Mets lui bien profond ! Il faut bien qu'il y en ait un qui commence… n'est ce pas Jocelyne ?"
"Huummpff"
Cambrée, offerte, j'attendis cet autre moment intense. Mes fesses furent écartées, quelque chose de dur, de chaud se posa sur mon œillet déjà bien "apprêté". Le quelque chose pesa lourdement, la résistance (si tant est qu'il y en eut) céda vite. Huuuuummm une queue glissa me glissa délicieusement dans le fion. Bien que bâillonnée je gémis de ravissement. Pour un début, il ne s'acharna pas trop sur mon petit derrière. Je supposais que tous n'auraient pas la même retenue. Lui, sans doute conscient de ses limites me faisait cela lentement, posément, prenant bien son temps somme s'il souhaitait en profiter le plus longtemps possible. L'autre devant moi rendit les armes et de nouveaux jaillissements me remplirent la bouche. Autre pine, autre goût… aucune n'avait le même… surprenant ! Presque soudainement mon enculeur se fit désordonné. Mince !... il ne m'avais pas fait jouir…. Pour se finir il me secoua beaucoup moins flegmatiquement en me traitant de sale pute. Une fois repus il décula accompagné dans ce retrait par ces bruits toujours si sordides. Ce Bertrand, qui prévenant me tendis la mains pour m'aider à me relever. Au fait, c'était vrai… il restait lui et Monsieur Guy…. Je lui quémandais un mouchoir ou une serviette pour pouvoir m'essuyer. J'avais le bas du visage un peu mouillé de sperme et je sentais que ma chatte allait commencer à restituer un peu. Monsieur Guy arrêta son action en disant :
"Attends ! Ne lui donne pas de serviette ! Donne lui un grand verre ! Ma petite Jocelyne tu vas récupérer tout ce qui sortira de tes trous avec ce verre… et tu le boira en fin de soirée quand tu nous auras vidangé les valseuses….".
Cette décision fut approuvée à l'unanimité… des hommes ! Comme de coutume mon avis ne fut pas recueilli. Pourtant c'est quand même bien moi qui goûterais se cocktail improvisé. Décidément, rien ne me serait épargné. Monsieur Guy mettait la barre très haut. Il avait décidé de me dégrader au maximum devant ses amis. Tant pis !... il avait gagné. Par vice j'allais m'humilier avec servilité et ravissement. Timidement, je pris le verre et commençais par me racler un peu le bas du visage et les seins. Puis je passais le verre entre mes jambes et poussais. Je sentis que quelque chose suintait un peu. En regardant la coupe je vis effectivement une ou deux coulée qui dégouttaient lentement sur la parois du verre. Devant le manque de matière je fus habilement conseillée :
"Pas comme cela ! Va chercher la sauce avec tes doigts et racle-les sur les rebord"
"Oui c'est cela ! Mets-toi bien les doigts dans la chatte…. Allez !.... et dans le cul aussi !"
Consternée, je fis comme indiqué. La récolte fut un peu plus abondante. Il me fut signifié que dès que des hommes auraient éjaculés, je devrais recommencer cette scène déshonorante pour remplir le contenant le plus possible.
Bertrand me prit par la taille et me poussa ver Monsieur Guy. D'une claque sur les fesses il me fit pivoter et comme je l'avais fait tout à l'heure je me fourrais la trique de celui-ci dans le minou. D'une main je pris la grosse queue de Bertrand et l'attirais à moi pour lui aussi le sucer à son tour. Du coin de l'œil, je vis que Fred et un autre homme revenaient avec un matelas qu'ils placèrent au milieu du salon. A n'en pas douter ce serait sur cette estrade improvisée que mon show continuerait. Sans doute plus attentive à ce qui se passait autour de moi, je perçu un petit bruit, une sorte de petit clic que j'avais déjà cru entendre plusieurs fois depuis le début de la soirée. Tournant un peu la tête je vis qu'un des hommes était munis d'un appareil photo numérique et immortalisait les réjouissances.
Monsieur Guy me faisait aller et venir au long de sa bite et rythmais les mouvements en me prenant, lui aussi, par les seins. Il avait une façon très particulière de me les torturer. Je ne saurais comment dire, une manière très singulière de me tordre ou de me vriller les tétons qui m'excitait au plus haut degré. Une brève mais intense sensation de douleur puis immédiatement elle se muait en chaleur puis en un plaisir soutenu. La sensation se mêlait avec celle que j'éprouvais en m'empalant sur son sexe… un délice… qui dura jusqu'à ce que je jouisse. Ce fut ensuite le tour de Monsieur Guy de prendre son pied. Il me conserva dans la même position assise sur lui pendant que je m'occupais de Bertrand. Je lui bouffais sa grosse bite bien comme il le désirait, me la faisant entrer loin jusqu'à ce ma luette titille son gland à l'entrée de ma gorge. Il affectionnait cette technique… deep trhoat… avaleuse de sabre… enfin presque car ce n'était pas un sabre que j'avalais, mais un beau gourdin qui lui aussi ne tarda pas à se liquéfier sur ma langue. Complètement déraisonnable mais consciente des conséquences qu'allait engendrer mon geste et des suites que me feraient subir les mâles encore plus excités. Je décidais de ne pas avaler toute la semence de Bertrand. Je me saisis du verre posé non loin de là et devant toute l'assemblée masculine, j'en laissais s'écouler une partie, comme si je voulais que le verre soit encore plus rempli. Puis ouvrant grand ma bouche et tirant ma langue afin qu'ils constatent que je n'avais tout rejeté, je déglutis en me pourléchant les lèvres. Aussitôt je tournicotais mon doigt dans mon intimité pour y recueillir les restes de Monsieur Guy et le retirait poisseux pour l'essuyer au rebord du verre.
Je vous disait tout à l'heure que la femme avait rarement de répit dans ce genre de soirée. Ce fut exactement cela. A peine eus-je le temps de boire la flûte que l'on me tendais. Le champagne était frais c'est tout ce que j'en appréciais. La suite fut très classique (quoique…) un homme s'allongea sur le matelas, je fus poussée et m'installais sur lui devinant la suite. Suite qui se matérialisa d'une part par un vit désireux qui m'investit par derrière et d'autre part par celui que l'on fourra entre les lèvres. Trois trous… trois queues… qui se mirent en mesure pour me jouer une partition salée accompagnée des mains et des bouches qui se posaient sur mon corps. Pendant que je me faisais mettre sévèrement cette fois, les autres, eux prenaient le temps de boire, de se restaurer au buffet installé sur la table de salle à manger ou contemplaient le spectacle de ma triple pénétration parfois en se touchant. Il se repassait aussi l'appareil photo…. Les trois bites qui me perforaient me rendaient folle, les sensations en tout genre se mêlaient, s'additionnaient, se multipliaient, bouleversant mes sens et je jouis coup sur coup deux fois … très fort, j'en avais trop envie. Il n'y avait pas que moi. Celui de dessous, comme souvent (je l'ai remarqué c'est celui du dessous qui part le premier) se mit à jouir bousculant un peu la belle harmonie de ce qu'ils me faisaient. Fred, mon enculeur du moment et celui que je suçais décidèrent de s'attendre mutuellement pour jouir de concert. Quand se fut le moment ils furent sourd aux gémissement étouffés que j'émettais à cause de la vigueur de leurs méthode. Comme pour un ballet bien réglé ma bouche et mon rectum furent submergés conjointement d'un double flot de sperme. Encore moins que tout à l'heure je n'eus le temps de faire de pause, même pas un verre à boire…. Les quatre hommes étaient comme fous et bandaient terriblement. Ils se jetèrent sur moi. Bertrand s'allongea et m'ordonna de venir m'empaler sur lui dos tourné :
"Tournes-toi… et pas dans ce trou là Jocelyne … dans l'autre !" et s'adressant aux autres :
"Vous allez voir ce qu'elle prend dans le fion cette pouffiasse !"
La "pouffiasse" se retourna et j'attrapais son sexe et le dirigeais vers mon anus désormais bien élargi. Une fois que la grosse bite eut pas mal disparu dans mon boyau, je dus m'asseoir. La verge entra encore plus loin…. Pour parachever mon supplice il me fallut encore me laisser aller en arrière prenant appuis sur le sol avec mes mains et mes talons (jambes largement écartées bien sûr de part et d'autre des cuisses de Bertrand). De cette manière la monstrueuse pine étaient enfoncée jusque je sais où et m'ouvrais en deux. Bertrand plaça ses mains sous mes fesses sui reposaient sur son ventre et me souleva un peu… pour me laisser retomber…. A la grande joie de tous, je pense, je poussais un cri, puis un deuxième quand il recommença, puis un troisième…. Ce fut le dernier les trois hommes se précipitèrent et me prenant par les cheveux m'introduisirent une ou parfois deux queues en bouche pour que je suce, je suce, je suce…. Je me retrouvais donc emmanchée sur Bertrand la tête en arrière en train de me faire enfiler des bites dans la bouche à qui mieux mieux. L'un d'eux eux quand même pitié de ma nuque. Il vint s'agenouiller face à moi, entre les jambes écartées de Bertrand et après une intromission mal aisée se mit à me baiser profitant des mouvements que m'imposait Bertrand. Autour de moi j'entendais toujours le petit clic habituel. J'entendais aussi les types complimenter Monsieur Guy sur mes performances. Dire que les éloges étaient flatteurs et raffiné serait mentir. Il était souvent question de "cul d'enfer", "bouffeuse de bite", "canon mais salope", "pute", "morue" et autre "roulure"…il fut aussi question de "mon cul chaud comme l'enfer" ou de "ma bouche à faire les turlutes"… bref que des louanges de bon goût ! je peux vous dire une chose c'est que là, je ne fus pas ménagée. Bertrand et son acolyte me broyaient le bassin, leurs pénis s'enfonçaient facilement jusqu'en mon tréfonds tellement j'étais ouverte. Je n'étais plus qu'une masse de chair avide des plaisirs qu'ils me faisaient endurer. J'aurais voulu crier, bramer, gueuler ma jouissance… mais les autres ne l'entendaient pas ainsi et m'enfournaient sans rémission leurs queues dans la bouche. Je n'arrêtais pas d'enchaîner les sensations d'orgasme, tout mon corps réclamait du plaisir, j'allais mourir ! En fait non !... car aussi excité qu'ils l'étaient par ma disponibilité il ne purent aller pas beaucoup plus loin. Un premier se mit à se branler au dessus de mon visage. J'avais beau tirer du cou pour l'aspirer, en ricanant il s'éloignait… c'était ma figure qu'il voulait souiller ! Bertrand me maintint enfichée sur lui et dans un concert d'insanité je le sentis gonfler et éclater dans mes intestins lors de ses ultimes secousses. A nouveau des petits jets de foutre virent s'écraser sur les joues et mes yeux et comme dans un sublime achèvement l'autre devant moi termina sa course et m'aspergea l'intérieur de la moule. Je fus relevée par des hommes plutôt goguenards. Ils me promirent à boire que quand j'aurais fait monter le niveau dans mon verre à foutre. Je commençais par récolter les coulées sur ma figure. Une fois ce travail fait, sans aucune dignité je m'introduisis tour à tour deux doigts d'abord dans le vagin, puis le rectum pour y en récupérer le plus possible. Cette fois le niveau avait monté. J'eus droit à deux verres de champagne et cela me fit un bien fou, me réfrigérant l'intérieur de la bouche et la gorge. Deux hommes, les plus costauds je crois, s'approchèrent de moi et me prirent par taille. Que mijotaient-ils ? La réponse vint vite. Toujours an me tenant enlacée, ils placèrent une main à la pliure de mes genoux et me soulevèrent facilement. Je me retrouvais assise dans le vide. Ils reculèrent. Je n'avais toujours pas saisi…. La révélation vint de Fred qui me dit :
"Quand même… tu n'as pas oublié Guy ?... le pauvre si tu voyais dans quel état tu l'as mis petite pute !"
Oh mon Dieu… comme c'était vrai ! Dans toute cette débauche il avait été oublié ! Les deux types reculèrent jusqu'à ce que je me trouve à l'aplomb du membre de Monsieur Guy qui en vérité était raide comme piquet. Ils commencèrent à me faire descendre et là, je compris. Ils allaient profiter de la dilatation que je pensais extrême de mon trou de balle pour me laisser glisser sur Monsieur Guy lui permettant ainsi de m'enculer… pour la première fois. Ils le firent bien graduellement comme pour nous laisser le temps d'apprécier. Ce qui fut le cas pour nous deux. Une fois cette infernale descente achevée ils me lâchèrent. Monsieur Guy était en moi jusqu'à la garde… j'étais heureuse. Prenant appui sur le sol et sur les bras du fauteuil je fis quelques mouvements de haut en bas. Je l'entendis gémir. Il me prit par la taille pour à son tour me faire aller et venir. Ce fut à mon tour de gémir… en définitive, il me prenait sous les fesses, par les seins ou sous les aisselles pour cette fabuleuse enculade. Un de mes rêves se réalisait, Monsieur Guy me sodomisait enfin ! Les sept "mercenaires" observaient. Même si Monsieur Guy n'avait pas la taille de Bertrand je savais, je savais que ma jouissance serait extraordinaire, que le plaisir n'allait pas se cantonner à mon conduit, mais que cela allait exploser dans ma colonne vertébral, mon ventre, ma tête. Et là… comment dire la chose plus inconcevable à se moment se produisit. Je sentais que j'allais dépasser le point de non retour et que Monsieur Guy était aussi dans la dernière ligne droite quand il me murmura à l'oreille :
"Jocelyne … je crois que je t'aime…. Veux tu m'épouser ?"
Un flash éclata dans ma tête, j'étais tétanisée par la jouissance et complètement arquée sur mon amant. Je me mis à brailler :
"Ouiiiiiiii Monsieur Guyyyyyyy…. Je vous aiiiiiiiiiiiimeee ! Aaaahhhh aaaahhhh AAAhhhh ! Salaud oui je, je veux bien t'épouseeeeeeer ! Vas-y plus fort, tu entends plus foooooort…. Bourrez-moi le cul ! Je vous aimeeeeeee ! Oui viens me défoncer le cul ! Ouiiiii…. J'aime ta biiiiite…. Ta grosse bite …Aarrh , elle est grosse et elle me fait mal …. Enfoncez-la moi….. Encooooore ! Oui je veux être votre femme, votre puuuute ! Je vous aiiiime !Aarrrhhrrrrr, ouiiiiiiiiii !"
Dans mon délire je perçus le gonflement de la verge de Monsieur Guy jamais elle ne m'avait parut aussi énorme. En criant, lui aussi, il éjacula ma gratifiant de jets comme il ne m'en avait jamais balancé, comme s'il avait une jouissance contenue. Pourtant il avait déjà joui dans mes orifices mais jamais si abondamment.
Devant nos ébats et cette demande en mariage inhabituelle et l'accord que suivit, les sept hommes devant nous se mirent à applaudir et à nous congratuler.
Je fus arrachée de sur Monsieur Guy, pliée au dessus de lui. On me demanda de nettoyer la bite de mon "mari". J'entendis Monsieur Guy demander à la cantonade :
"Est ce que tout le monde est passé dessus ?"
Il y eut des voix pour dire non. Pourtant si j'avais bien compté ! Oh les menteurs ! Des hommes dirent :
"Tu vas voir on va s'en occuper de la fiancée !"
Je fus emmenée vers le canapé. L'un d'eux s'y assit. On me fit monter à genoux sur le canapé les cuisses écartées à l'extérieur des siennes. Il faisait partie de ceux qui avait une queue longue, pas forcément d'un gros diamètre, mais longue. Il m'attira contre lui entoura ma taille d'un bras et de son autre main introduisit sa bite dans mon anus. Ouuuuh combien de fois avais-je été sodomisée depuis le début ? Je crois qu'il était le cinquième… et déjà mon cul me cuisait déjà un peu…. De toute façon !.... Il me fit monter et descendre sur lui et je me frottais les seins contre son torse et ma vulve (et mon clito) contre son ventre. Deux hommes de l'autre coté du canapé m'avais fait tendre les bras et m'avaient mis leur sexe dans les mains. Finalement à conditions (et c'était le cas) que le partenaire ait une trique assez longue, la position était intéressante.
Du moins je le croyais.
Mon enculeur passa ses deux bras autour de mes reins comme si je devais me cambrer à l'extrême. Je devinais un homme approcher. J'allais avoir droit à un changement de poste du premier et un enculage du second. Je m'y attendais…. Je mis un moment à comprendre que le premier ne se retirait pas, mais que le second avait collé son pénis contre le premier et qu'il était en train de pousser à l'effet de s'introduire également dans mon cul. Je paniquais :
"Noooonnnn, s'il vous plait pas çaaaa ! Pitié…pas les deux dans le cul ! Arrêtez…. Vous allez me fait mal… nooon, s'il vous plait....".
Je songeais une minute me débattre mais en fait j'était fermement tenue par celui de devant et ses deux bras qui m'enserraient et puis aussi pas les deux autre que je branlais l'instant d'avant et qui me tenaient maintenant par les poignets. Le coup de grâce me fit donné par Monsieur Guy qui s'approchant susurra d'une voix hypocrite:
"Eh bien, eh bien ma chérie ! Que vois-je ? Allons, allons… ma petite femme serait pas docile ? Elle ne voudrait pas combler mes amis et se laisser faire ?"
J'entendis Fred, car s'était lui le second candidat à la dévastation de mon postérieur me dire
"Ecoutes salope, laisse –toi faire sinon tu vas déguster !"
Verbalement on aurait dit le frère jumeau de Bertrand. J'avais bien jugé. J'étais certaine d'avoir reconnu un vicelard ! En attendant, il ne manquait pas de toupet. Il s'accordait un deuxième tour entre mes reins alors que d'autre ne les avait peut être pas encore investit.
Comme lors de mon premier double vaginal, je n'osais plus bouger. Un peu effarée, j'essayais d'analyser ce qui se passait. Ce qui se passait ?... je sentais un écartèlement terrifiant. Je m'attendais à un moment ou un autre à sentir la brûlure de la déchirure, mais non, je devais l'avoir assez solide. Il pliait (ou plutôt se pliait) mais ne rompais pas. Les deux salauds progressaient et gagnaient du terrain. Je sentais cet énorme truc entrer en moi mais finalement, je n'avais de sensation de douleur à proprement dit. Mes muqueuses avaient déjà (heureusement) fort sollicitées, ceci expliquait peut être cela. Ils arrêtèrent de me tourmenter quand ils se furent bien infiltrés en moi, aussi loin que la position le leur permettait. Jamais je n'avais été emmanchée de cette façon. Voyant que je me ne débattais plus depuis longtemps les deux qui me tenaient les poignets me remirent leur queue dans la main. Comme cela ne leur suffisait pas, ils enjambèrent le dossier pour me donner leur bite à lécher. La position sur le canapé, ne le permettait pas. Ce qu'ils auraient voulu, c'est que je prenne deux sexes en même temps dans la bouche en même temps que deux dans le fondement. Se trouvant "à l'aise" désormais les deux autres tentèrent quelques mouvements. D'abord ensemble ils firent machine arrière, puis en avant toute… et quand ils eurent plus de facilité, ils se coordonnèrent comme pour un double classique ou l'un avance et l'autre recule. Cela devait leur faire de l'effet d'être enserrés par mon boyau culier et en fait de s'y frotter l'un contre l'autre en râlant et soufflant. Ayant peur des représailles je me tus, mais dans mon fort intérieur je leurs aurais bien fait quelque remarques sur leurs tendances homo. Je jouis deux fois mais pas de façon extrêmement grandiose. J'avais peur et je ne me laissais perdre le contrôle. Je ne voulais pas trop serrer sous le coup de l'orgasme. Un deux ceux que je suçais choisit une fois de plus ma bouche comme réceptacle. Puis les deux salauds qui me bourraient le fion éjaculèrent de conjointement en prenant soin de ne pas se laisser aller à trop de vigueur. Je m'en sortais bien…lasse, mais bien….
Mais lassitude ou pas… Monsieur Guy me rappela à l'ordre et le verre me fut à nouveau tendu pour que j'y restitue son foutre et celui des autres. Les yeux écarquillés je me rendais bien compte qu'il y en avait encore quatre qui étaient en semi érection. J'espérais de la compassion. Elle ne vint pas. En parfait maître de maison Monsieur Guy demanda "si quelqu'un voulait encore se faire sucer ?". Il y eu un volontaire et je dus me traîner jusqu'à lui et le prendre en bouche. J'allais avoir les lèvres usées à force ! Un des hommes vint vers moi et se plaça derrière moi. Peut être par égard mon postérieur, il me pénétra le vagin avec douceur. Pipe plus levrette, on était revenu à des choses plus "classique". Malgré le talent de mon baiseur, je n'eus qu'un orgasme certainement à cause de la fatigue. Les deux hommes me prirent lentement, presque tendrement on était loin de la furie des premières étreintes. Ce fut bien agréable…. Ce qui le fut moins c'était que Bertrand et l'ultime guerrier n'étaient pas rassasiés et qu'il désiraient à nouveau me piner. L'homme me fit mettre de dos sur un gros pouf et m'ayant écarté les cuisses me prit aussi farouchement que s'il ne m'avait jamais touchée. Bertrand vint s'agenouiller à hauteur de mon visage. Je me tournais vers lui. Je me doutais qu'il me fallait le sucer encore une fois. J'étais à nouveau prise entre deux feux et malgré ma relative inertie due à la fatigue j'avoue que j'aimais bien. Ma tête dépassant du pouf avait tendance à partir en arrière. Bertrand demanda à mon baiseur de me pousser un peu vers l'avant pour accentuer cette tendance. Vous l'aurez compris, cette demande n'avait qu'un but, placer ma bouche dans l'axe de ma gorge en effaçant l'angle naturel. Cela permit tout bonnement à Bertrand de pouvoir m'enfoncer sa queue loin dans la gorge et de pour voir se faire absorber le plus possible. Parfois il se retirait de ma bouche pour me faire surplomber par ses grosses couilles épilées. Lors de ces instants je les lui léchais ou les lui gobais à son plus grand ravissement. C'est peut-être en voyant cela que l'autre sollicita un changement désireux "de jouir dans ma bouche de salope" dit-il. Bertrand n'y vit aucun inconvénient et se positionna devant moi. Pourtant il ne s'enfonça pas tout de suite en moi. Il me fit encor glisser jusqu'à ce que j'aie les épaules reposant sur le sol et les reins appuyés sur le pouf. Dans cette position il me fit écarter les jambes et le les replia vers les épaules. Quand il me commanda d'écarter les fesses je compris ce qu'il allait faire. Il enjamba le pouf et dirigeant son sexe vers le bas vint l'introduire dans mon anus béant et boursouflé. Dès lors il se mit de nouveau à m'enculer, mais cette fois de haut en bas. Bien que je fusse recroquevillée sur moi-même, l'autre se plaça perpendiculairement à moi et parvint à loger sa pine entre mes lèvres. Me tordant un peu la tête sur le coté je m'aperçus que je pouvais le sucer à peu près correctement. Sans doute à cause de ma lassitude, je trouvais la position très inconfortable. Je me promis de la réessayer plus fraîche. Les deux hommes, eux, y trouvaient leur compte et je les entendais ahaner en me partouzant. Vraiment trop épuisée je savais que je ne pourrais plus jouir, j'étais usée. Mais bonne fille je leur laissais m'utiliser selon leurs vœux. Cela me parut un siècle mais Bertrand finit par éjaculer en grommelant je ne sais quelle obscénité. Mon orifice se distendus fut encore le réceptacle de son foutre. Pouvant reprendre une posture moins contraignante je me hâtais de "finir" l'autre qui me barbouilla le visage avec soin et sa queue.
Lorsque ce fut fais, je pris conscience d'avoir bien "assuré". Visiblement les hommes étaient un peu KO et il leur faudrait du temps pour leur faire redresser leur virilité en berne. J'étais épuisée mais assez contente de moi et de ma performance. Toutefois, j'avais omis un petit détail qui devait parachever la soirée…..
Le verre…, Monsieur Guy me le fit remarquer. Bertrand me fit constater que de mon anus très dilaté en coulait encore du sperme. Plusieurs fois, je passais mes doigts entre mes fesses pour récupérer le foutre qui coulait de ma rondelle pour le mettre dans le verre. En vérité j’en avais recueilli un peu plus des trois quart du verre. Je ne savais pas si c'était une performance mais je trouvais que ça en faisait pas mal. En bon maître de cérémonie, Monsieur Guy ordonna ce que tous attendaient (moi exceptée).
"Allez ma petite Jocelyne adorée…mon joli petit sac à foutre… tu as certainement une petite soif… aller ma salope chérie… avale…!"
Je contemplais le récipient et son surtout son contenu, cette substance épaisse, blanchâtre, parfois jaunâtre, glaireuse et visqueuse à souhait. Bien que connaissant la provenance du liquide et d'ou je l'avais récupéré, malgré cela, je m’exécutais, sous les yeux de ces huit salauds. Comme le liquide était dense et gluant au possible il ne s'écoulait que lentement et je ne pus le boire d'un trait. J'eus le temps de bien le… déguster. Vu la consistance les parois et le fond du verre en restèrent tapissé. Décidément rien ne me serait épargné car une des homme me commande de et de racler le reste et me lécher les doigts.
Une fois cette formalité accomplie, j'eus droit cette fois-ci au champagne et là seulement je réalisait mon état. Je n’en pouvais plus mes jambes me faisaient mal, ainsi que mes reins. Mon corps était couvert de rougeurs qui témoignaient des caresses que mes partenaires m'avaient prodigués. Mes seins douloureux étaient particulièrement rouges, ce qui semblait normal ayant été particulièrement sollicités. Ma chatte était irritée et mon cul j'ose à peine en parler, il devait être distendu de belle façon. Il faut dire qu'il n'avait jamais autant servi. Éteinte, je m’assis sur un fauteuil lorsqu'ils virent tous venus me dire au revoir avec beaucoup de gentillesse. Fred me dit à l’oreille qu’il attendait de me revoir avec impatience…
Restée seul avec Monsieur Guy il me proposa de rester avec lui et de prendre une douche. Vu mon état j’acceptais cette douche bienvenue. Bien entendu il y assista. Il me redemanda ensuite loin de toute excitation sexuelle si je voulais être son épouse. Je lui répondis affirmativement et que je m'étais rendu compte depuis longtemps que je l'aimais. Je vis le bonheur dans ses yeux. Il le vit également dans les miens. Il me dit :
"Demain, il sera temps que nous envisagions notre vie commune… De beaux jours nous attendent mais pour l'instant tu dois te reposer, tu as été magnifique… reste avec moi ce soir :"
J'acceptais… il me demanda de venir avec lui dans la chambre, il se mit au lit, moi aussi. Ma tête n'avait pas encore touché l'oreiller que je dormais déjà….
Je dormis… dormis… dormis….
Il est vrai qu'au cours de cette soirée j'avais encore franchis un échelon dans l'escalade qui m'était proposée. J'avais été initiée aux rapports saphiques avec Stéphanie. Il est vrai que je m'étais adonnée sans restriction à cette pratique nouvelle pour moi. J'avais aimé… beaucoup aimé, et même si je savais que je ne deviendrai jamais vraiment bi (j'aimais trop les sexes masculins) j'étais certaine que j'adorerais partager d'autres moments avec Stéphanie. Nous nous étions promis de nous accorder quelques "tête à tête" entre filles. Je me demandais aussi si, nullement avare dans mes ébats et comme je l'avais fait avec d'autre hommes, je pourrais faire cela avec une autre inconnue. Il me sembla que le simple fait de me poser la question contenait déjà la réponse… affirmative sans conteste. La question suivante recevrait une même réponse. Monsieur Guy aimerait-il me voir faire l'amour avec une autre femme ? Connaissant son esprit libertin, cela ne faisait aucun doute. J'en aurais bientôt l'assurance puisqu'il me fallait aller lui faire mon rapport, sachant très bien que Bertrand lui aurait fait le sien avant moi. Le lundi, je lui téléphonais pour prendre un rendez-vous pour le surlendemain. Donc le mercredi soir, je décidais de passer ma nouvelle tenue (lavée et repassée de la veille) pour aller le retrouver. Une fois coiffée et maquillée comme à l'habitude, je mis mes bas, puis la tenue offerte par Bertrand : ma minijupe noire moulante et mon chemisier transparent. Je pris quand même à la hâte mon imperméable histoire de traverser la rue. Je pris également le repassage de Monsieur Guy que je continuais à effectuer (ainsi que pour d'autres personnes pour améliorer un peu mes revenus). Arrivé à sa porte je sonnais selon notre code, quatre petits coups rapprochés et entrais. Je déposais linge et imper dans l'entrée et pénétrais dans son salon ou il m'attendait. Il me trouva somptueuse. Il est vrai, sans fausse modestie, qu'ainsi vêtue, je n'étais pas mal du tout. Il me pria de venir s'asseoir sur ses genoux pour que je lui narre mes fredaines. Pendant mon récit, sa main posée sur mes cuisses avait remontée et il avait comme par mégarde glissé un doigt à l'orée de mon sexe. La jupe courte n'ayant pas été longtemps un obstacle, il l'avait relevée à l'arrière et engagé deux phalanges d'un doigt de l'autre main dans mon anus. Toujours pendant que je lui contais mes exploits, j'avais choisi de dénuder l'épaule de son coté. Comme cela il pouvait y déposer quelques baisers. Il ne s'en priva pas. D'ailleurs, il ne se priva pas de déposer également de petits baisers sur mon sein gauche lorsque j'eux dénoué le lacet du corsage. A la fin de mon histoire, je me coulais entre ses jambes et sans prendre le temps de tout quitter (il est vrai que ma jupe était remontée jusqu'à ma taille et mon chemisier baissé jusqu'à… la taille) je l'enserrais entre mes seins opulents. Je le léchais de temps à autres afin de lui permettre de mieux coulisser entre mes rondeurs. Le sentant arriver, je changeais de stratégie. Ma bouche prit le relais de mes nénés et je me mis à le sucer avec volupté et une lenteur calculée. J'allais lui extirper toutes ses parcelles de plaisir. Comme il me le dit dans une bordée autres insanités "il me balança sa purée". Je ne fus pas déçue, elle était abondante, chaude, épaisse et gluante à souhait…. Un régal ! Je ne sais si ce fut à cause de la pipe que je venais de lui faire ou à cause de la relation de ma soirée du samedi précédent, mais Monsieur Guy déclara qu'il état fier de moi. Sans me dire de quoi il retournait il me dit qu'il avait de grands projets pour moi. Assez contente je l'assurais de toujours me comporter comme il le souhaitait et que j'étais enchantée de la manière dont il me faisait découvrir ma seconde nature et dont il me façonnait dans cette univers pervers de vice dont, parait-il j'avais encore beaucoup à découvrir. Il décida ensuite qu'il allait s'occuper de moi. Il commença par mettre un CD dans le lecteur, puis par mettre un fauteuil face l'écran de télévision. Il partit à la cuisine et revint avec un concombre et deux pinces à linges. Il me demanda en me montrant les pinces :
"Tu sais à quoi elle vont servir ?"
J'en avais une vague idée et n'était guère tentée. Je répondis que non.
"Elle vont servir à décorer tes gros nichons…. N'aie pas peur, j'ai desserré les ressorts… un peu…."
Il me demanda de venir derrière le fauteuil et de me pencher en avant, pliée en deux, les mains reposant sur les accoudoirs. Venant sur le côté il me pelota les lolos qui pendaient victimes de l'attraction terrestre en étirant bien les pointes vers le bas. Quand mes tétons furent bien dardés, il y fixa les pinces à linge. Dire que la douleur fut atroce serait mentir. Néanmoins les pinces me serraient bien les tétons. Il me dit :
"Attends ce sera meilleurs quand tu vas bouger !"
Il vint ensuite se placer derrière moi, me lécha minutieusement l'anus et en même temps qui mettait le CD en route avec la télécommande, il entreprit de me sodomiser avec le concombre. Houuuu…. Le diamètre était important…. Quand il l'eut assez enfilé sa bouche vint aspirer délicieusement mon clitoris. Pendant que je regardais la vidéo, il me branlais le cul tout en s'occupant de mon clito et de ma chatte soit avec sa bouche soit avec les doigts de son autre main et parfois les deux. Sur l'écran j'assistait à une partouze ou plutôt un double gang band puisqu'il n'y avait que deux femmes pour environ une dizaine d'hommes déchaînés. L'action avait l'air de se passer dans une sorte de cave aménagée ou les comparses prenaient et reprenaient les femmes de toutes les façons par toutes les ouvertures, variant et les orifices, et les participantes. Il était clair qu'elles finiraient épuisée, remplies de foutre et les orifices dévastés… les veinardes ! En observant bien, je reconnus la femme blonde que j'avais pensé identifier sur une précédente vidéo. Elle avait l'air de prendre un pied terrible et participait à fond dans ce qui lui était proposé ou imposé. Était-ce ma récente initiation lesbienne, mais je la trouvais fort belle… tentante même…. Profitant l'excitation dans lequel me mettait la vidéo, Monsieur Guy en profitait en vérité, pour me poignarder l'oignon avec son concombre. Les saccades qu'il me procurait se répercutaient jusqu'à mes seins et leurs pointes enserrées. Effectivement la sensation de pincement pourvu qu'elle ne soit pas vraiment poussée se révélais plutôt positive. Il est vrai que j'aime bien que l'on me serre les tétons voire même que l'on me les presse ou que l'on me les torde un peu. Le ballottement y faisait beaucoup… et comme Monsieur Guy était un artiste de la langue je jouis bien avant la vidéo. Quand je fus redescendue du septième ciel, nous prîmes une bouteille, deux verres et montâmes dans sa chambre lui par le monte-charge et moi par l'escalier. Il passa sur son lit et je vins m'allonger près de lui. Alanguis nous bûmes un peu de champagne en discutant et nous caressant mutuellement comme le font deux vieux amants après un coït forcené. A nouveau je lui demandais qui était là femme blonde des vidéos. Il ne répondis ne jamais l'avoir rencontré. Il savait qui elle était mais que par discrétion il ne me le dirait pas. Apparemment, cette discrétion était un des critères d'obtention de ces fameuses vidéos. Je n'insistais donc pas, dévorée quand même par curiosité. Monsieur Guy avait envie de me prendre en levrette. Son état ne lui permettait pas encore. Il m'informa qu'il avait repris avec beaucoup de sérieux sa rééducation dans ce but et dès qu'il le pourrait il me prendrait de cette façon. Pour cela il travaillait à pouvoir se tenir sur une jambe. En attendant ce jour, il me fit me mettre sur le coté et lever une jambe. Il se mit également sur le coté derrière moi et délicieusement, glissa en moi. Il me prit longuement, lentement et ce fut très bon surtout que dans cette position ses mains se montraient fort actives sur mes seins rendus si sensibles et sur mon clitoris qu'il avait su bien stimuler tout à l'heure. Notre plaisir simultané fut intense….
Monsieur Guy me reparla ensuite de la soirée qu'il comptait organiser.
"Tu te rappelle, je t'avais dis que je comptais faire une petite fête ici ? "
"Oui, oui je me souviens très bien !"
"Eh bien c'est pour ce samedi ! J'espère que tu es disponible ?"
"Pour vous, toujours, vous le savez bien ! Qu'est ce que vous avez organisé comme fête?"
"Ne sois pas si curieuse … tu verras bien ! Je suis certain d'une chose, tu ne vas pas t'ennuyer ! "
A la façon dont il prononça ses mots, je sentis non pas vraiment une menace, mais plutôt un avertissement. Je crois que cette soirée serait torride….
"Bon je n'insiste pas. Oh, juste un petit détail comment dois-je m'habiller ?"
"As-tu une veste ?"
"Oui, oui j'ai une petite veste blanche, mais c'est plutôt un vêtement d'été et…."
"Ce sera parfait !" coupa-t-il et il continua;
"Donc tu viens samedi à dix huit heures, avec uniquement une veste et une paire de bas noir auto fixant… ce sera amplement suffisant ! Par contre je veux que tu viennes uniquement dans cette tenue ! Je veux te voir traverser ainsi ! C'est bien compris ?"
"Oui Monsieur Guy j'ai bien compris, mais je…."
"Chuuuut ! Fais-toi très belle et ne t'occupe pas du reste !".
Là, limite il dépassait les bornes…. Mais le pire était que je ne pouvais rien lui refuser. Je me demandais même si, en plus d'être son jouet, je n'allais pas devenir son esclave sexuelle….
En parlementant le lendemains, j'arrivais à obtenir un rendez vous chez mon coiffeur pour le samedi matin. Rarement un jeudi et un vendredi passèrent aussi vite. Je n'avais la tête à rien. Une chose que taraudait l'esprit, combien ? Combien de partenaire Monsieur Guy allait-il m'imposer ? Est que d'autres femmes seraient présentes également ? A quelles folies allais-je encore m'abandonner. Le coiffeur fut un magicien, je lui expliquai en mentant effrontément que j'allais un une soirée dont le thème était le cinéma américain et que je voulais ressembler à un starlette. Inutile de rentrer dans les détails et de lui dire que question starlette se serait star de film X. Encore une fois il fut vraiment magique cette fois-ci j'étais blonde ! Sublimement blonde… de trois blond différent, blond doré, blond cendré et blond presque blanc des scandinaves. En sortant du coiffeur, je passais acheter deux paires de bas à couture, puis rentrais vite chez moi. Si les jours qui avaient devancé cette journée avaient passé vite, il n'en fut pas de même pour les heures qui précédèrent mon rendez-vous. Comme saisie de fièvre; il me sembla que je ne pouvais supporter aucun vêtement. Etait-ce cela ou voulais m'exciter encore un peu plus ? Hum… sûrement les deux ! Donc je passais mon après midi nue à traquer et éliminer le moindre poil incongru qui se serait permis de ce cacher dans un recoin de ma personne. Le temps finit par avancer. Il été temps que je me maquille. Monsieur Guy serait content j'allais me faire un tête de salope… comme jamais je ne l'avais fait ! Salope il me voulait, salope il m'aurait ! Je mis même des faux cils et appuyait amplement le maquillage des yeux et de la bouche. Je passais vite une paire de bas et mit les belles chaussures rouges que Bertrand m'avait offertes. Objectif atteint ! J'avais l'air de ce que Monsieur Guy voulait que je sois, j'avais l'air de ce que je voulais être… une belle cochonne, une vraie salope, comme aurait dit Bertrand ! Mais au fait serait-il présent ? Dix sept heure quarante cinq, je pris la veste qui m'attendait sagement sur un cintre. Comme je crois vous l'avoir précisé, il s'agissait d'une veste d'été très légère. Etant faite pour être portée aux beau jours elle était très courte et ne fermait que par un seul bouton. Autrement dit, elle m'arrivait à peine à la moitié des fesses (donc dénudait le bas de mon pubis) et portée sans rien dessous me faisait un décolleté ravageur, si tant est que l'on puisse appeler cela un décolleté. Par l'échancrure mes nénés étaient bien visibles et biens exposés. Le miroir me renvoya mon image…désirable….
Courageusement, je sortis. L'air frais sur ma poitrine et mes fesses me surprit. Je vis qu'une voiture était garée devant chez Monsieur Guy. Cela me rassura un peu sur le nombre de participants. Vous allez me rétorquer que l'on peut entasser pas mal de monde dans une voiture…mais bon ! Un coup d'œil à droite, puis à gauche… personne dans le rue… hop !... je fonçais et traversais presque en courant, faisant ballotter mon buste. Arrivé devant la porte je repris mon souffle, osais un "Monsieur Guy c'est Jocelyne !" et bravement j'entrais.
Quatre paires d'yeux me dévisagèrent enfin, quand je dis dévisagèrent ce n'est pas tout à fait exact puisque les regards ne n'arrêtèrent pas là…. Disons que quatre paires d'yeux me reluquèrent, se serait plus exact. Monsieur Guy m'accueillis d'un "ah ! Jocelyne… plus belle que jamais". Il demanda leur avis aux autres qui approuvèrent. Il me les présenta tour à tour. J'avoue que ne fis pas très attention troublée que j'étais. Je me sentais tellement honteuse dans ma tenue que je n'aurais voulu qu'une chose : pouvoir cacher mon pubis à le vue de ces inconnus. Je crois que je ne retins qu'un prénom, un certain Fred celui qui avait le regard le plus vicieux de la bande… presque porcin…. Monsieur Guy m'interpella :
"Jocelyne s'il te plait, fais donc le service !"
Dire que cela me plaisait… bof ! Mais je le fis quand même sachant que ce n'était qu'un prétexte pour déclancher encore un peu plus de convoitise chez les trois hommes. Effectivement, ils ne se gênèrent pas pour m'évaluer sous tous les angles, cuisses et pubis…. Il ne se limitaient pas davantage pour lorgner ce que dévoilait l'ouverture de ma veste (là ils en prenaient plein les yeux). Je sentais même leur regard dépourvu d'aménité se poser sur le bas de mes fesses sachant bien que bientôt ils voudraient en voir encore plus. Un des hommes, sûrement désireux de faire évoluer la situation fit cette remarque :
"En plus d'être avenante, je suis sûr qu'elle est très disponible… elle pourrait peut être nous montrer un échantillon de ce qu'elle sait faire."
"Une petite seconde !... attendons Bertrand…. Il ne serait pas correct que nous commencions sans lui !".
Ainsi donc Bertrand serait aussi présent. Cela portait à cinq le nombre d'hommes à satisfaire. Enfin quatre valides plus Monsieur Guy. Quatre, si vous vous souvenez, je l'avais déjà fait, donc je pourrais assurer. Nous entendîmes une voiture stopper devant chez Monsieur Guy. Un "Aaaaaaah !" de soulagement se fit entendre de plusieurs bouches. La fête allait pouvoir commencer… et Bertrand fit son entrée….
Et Bertrand fit son entrée….
Et Bertrand fit son entrée… accompagné de trois hommes… mon Dieu !
Bertrand s'excusa de son retard et directement vint vers moi et me prit par la taille. Le plus tranquillement du monde il fit sauter le bouton de ma veste et en écarta les pans. En guise d'entrée en matière, Monsieur Guy et Bertrand firent une sorte d'éloge de ma petite personne. Une sorte d'éloge qui tenait aussi lieu de programme pour la soirée et qui fut dévoilé pendant que Bertrand me retirait complètement ma veste avant de la jeter sur une chaise.
C'est Monsieur Guy qui commença :
"Je vous présente donc Jocelyne, une amie très chère, une belle salope comme nous les aimons…."
"Comme nous les aimons et comme nous aimons nous en goinfrer…."
"Evidemment !... puisqu'elle est là pour cela. Elle n'aura de cesse que d'avoir à nous vider les couilles…."
"Vous pouvez tous lui faire, Guy vous l'a dit, elle est là pour ça, absolument tout ce que vous voudrez, sans limite…. Vous verrez c'est une bonne petite pute qui ne rechigne pas à l'ouvrage…. "
"Ce soir Jocelyne, tu vas être la pire des salopes…. tu seras notre trou à bites…."
Je demeurait statufiée par tant de grossièreté surtout qu'en face de moi certains se massait l'entrejambe comme pour ponctuer d'un geste obscène ce qui m'attendais. Huit… ils étaient huit….
Ils décrétèrent de mettre un peu d'ordre à l'orgie. Comme pour me faire voir ce qui m'attendait, ils décidèrent de se mettre tous les huit nus. Je dois dire qu'il y en avait pour tous les goûts… à la condition d'être gourmande. En effet il n'y en avait pas de "petites" mais à part cela : des longues, des grosses, des trapues que les mâles présent astiquaient paresseusement histoire de m'offrir une visions particulièrement crue de ce qui allait suivre. Les hommes s'avéraient plutôt bien montés et bien sûr Bertrand était le mieux doté, mais à part lui, trois ou quatre était très bien pourvus et pouvaient presque rivaliser question taille. Il ne restait qu'à voir comment ils s'en servaient. Cela allai m'incomber d'ici peu. Monsieur Guy fit asseoir tout le monde, sauf moi et il m'enjoignit "de piper tous les participants histoire de les faire bien bander". Je regardais autour de moi et marquait un temps d'arrêt comme si je tergiversais. En fait mon choix avait été presque immédiat. Sans l'ombre d'une hésitation, j'avais opté pour celui qui se prénommait Fred et que déjà dans ma tête, je surnommais "le vicieux". C'est donc lui qui allait étrenner ma bouche parfaitement maquillée et essuyer mon rouge à lèvre. Sous les railleries des autres, dépités de n'avoir pas été retenus en premier, je m'agenouillais et pris les choses en mains. De ma langue j'humectais le beau gland turgescent puis ouvrant la bouche en grand je l'embouchais avant de refermer mes lèvres sur plus loin possible sur l'engin. Que j'aimais ce moment… l'absorption d'une grosse bite (en fait il y avait deux instant que j'adorais par-dessus tout : emboucher un beau membre ou le sentir peser et faire céder mon muscle anal). Ma bouche se mit à monter et descendre tout au long du sexe. Au bout d'un petit moment il me fit arrêter :
"Va un peu d'occuper des autres petite pute !"
Il est vrai que c'était là, pour l'instant ce qui m'avait été demandé, sucer un peu tout le monde pour les exciter. Comme je me préparais à passer au suivant, un des hommes fit remarquer que je devais me déplacer à quatre pattes… comme une chienne. C'est donc à quatre pattes, sous les remarques grivoises concernant mon cul et mes seins qui balançaient, que je passais de l'un à l'autre pour pomper des bites et lécher des couilles. Il n'empêche que je commençais à me trouver dans un drôle d'état. J'avais très envie d'être touchée. Jusque là, mes futurs amants ne s'étaient bornés qu'à de furtives caresses sur mon postérieur et mes nichons durcis. Comme vous pouvez l'imaginer je pris un soin tout particulier à me faire une langue de velours lorsqu'il s'agit de passer au membre de Bertrand et encore plus à celui de Monsieur Guy. Une fois le tour de tout le monde passé, le spectacle valait la peine d'être vu. Huit hommes en érection… les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. Un homme me demanda de venir continuer mes activités buccales. Toujours à quatre pattes je me dirigeais vers lui. Cette fois je m'activais sur lui. Rapidement je fus vite entourée. Deux hommes s'assirent près de lui. Je dus les masturber pendant que l'autre faisait aller et venir sa queue dans ma bouche. Je sentis d'autres présences près de moi. Je me plaignais tout à l'autre de n'avoir pas encore été outrageusement pelotée. Mes pensées avaient-elles été devinées ? Des mains me parcoururent, me palpèrent, me tripotèrent, s'immiscèrent, me fouillèrent… lolos, fesses, dos, ventre, con et cul tout y passa. A qui appartenaient-elles ?... aucune idée et puis qu'elle importance puisqu'elles me faisaient un bien fou et augmentais mon désir. Enfin… enfin un homme s'installa derrière moi. Un sexe frotta le mien. Je fus prise énergiquement tentant tant bien que mal de continuer à m'occuper des trois autres. En fait ils m'aidèrent pas mal. Celui que je suçais sans égard pour l'ordonnance de ma coiffure m'avait pris la tête à deux mains et me baisait la bouche m'imposant sa cadence. Et les deux autres avaient pris la main qui les branlaient et m'assistait dans mes mouvements. L'autre derrière… aucun problème, je n'avais qu'à tendre ma croupe vers l'arrière pour qu'il s'enfonce avec volupté. Échauffée par l'attente de cette soirée, puis ma préparation pour "le sacrifice". Encore plus allumée par le début de soirée, je jouis presque immédiatement sous les quolibets de l'assemblée qui constatait mon appétit. Appétit confirmé il est vrai par mes deux mentors. Je n'étais pas la seule à être bien chaude l'homme que je suçais se raidit. Il me prit d'une main par les cheveux afin de maintenir son rythme et de l'autre se branlait fébrilement. Quand il éjacula il me maintint bien la queue enfoncée comme si j'avais voulu échapper à mon destin… que non ! je reçu donc ma première rasade de foutre de la soirée. La seconde ne tarda pas, mais cette fois-ci ce fut mon vagin qui en fut le réceptacle. Sans temps mort un de ce que je caressais me fit monter sur lui. Deux hommes dont le fameux Fred vinrent se poster de par et d'autre de moi. Pas besoin de me faire un dessin je me mis à chevaucher le premier et à pomper alternativement les deux autres…. C'était repartit ! Bientôt, ceux qui utilisaient ma bouche se plaignirent de mon manque d'assiduité dans ma tâche. L'autre leur rétorqua "qu'il s'en foutait… que comme cela il pouvait jouer avec mes nibards"… et il ne s'en privait pas les malaxant à pleines mains. "Le vicieux" lui fit remarquer que si je me mettais dans l'autre sens, il ne perdrait pas au change et que comme cela je serais mieux à même de les satisfaire. L'idée fut adoptée. Jocelyne se leva, se retourna et se planta sur le pieu rigide. L'autre passa ses mains en coupe sous mes seins et les saisissant encore une fois sans délicatesse particulière. Les deux hommes devant moi purent se rapprocher pour que je fasse mieux preuve de mes talents. Mon dieu !... je réalisais qu'ils me jouiraient vraisemblance tous une fois dans la bouche… et dans la… et oooooh dans le… s'il se contentaient d'une fois…. J'allais mourir éventrée et déchirée…. Monsieur Guy m'avait souvent parlé de gang band, j'avais pensé qu'il s'agissait de paroles en l'air. Mais non, il était passé à l'acte… enfin, j'étais en train de passer à l'acte… j'étais en train d'y passer. Tant qu'à se rapprocher Fred et son compère décidèrent qu'il fallait que je les pompe ensemble (dans ma bouche de pute… bien sûr !). Je ne me fis pas prier, au fond j'aimais bien me sentir la bouche déformée par deux beaux glands cramoisis. Désireux de varier les genres Fred me pria de prendre sa bite entre mes deux grosses mamelles et de lui pratiquer une branlette espagnole. L'autre derrière se montra un peu déçu il dut abandonner mes seins. Il se consola en me mettant bien profondément un doigt dans le fondement. Je pris donc la belle tige entre mes seins après avoir bien salivé dessus. Le troisième larron me fit tourner la tête pour que je reprenne ma succion. Je me sentais à nouveau partir et me contractait pour bien sentir la queue qui coulissait en moi. Les mouvements de celle-ci se firent aussi plus saccadés. L'orgasme nous prit tous les deux quasiment dans un bel ensemble. Dans ce genre de séance, la femme à rarement de répit. Moi, ce fut pratiquement pas du tout car Fred se montra impatient en s'écriant :
"Suces… mais suces saaaalope… je giiiiiicle…."
Je fus contrainte à une deuxième ingurgitation qui fut bien abondante. Tellement qu'il m'en coula sur le menton et les seins. D'ailleurs, ils furent bien souillés puisqu'il finit de s'essuyer dessus. Celui que je suçais en même temps que Fred avait finit par s'asseoir pour regarder la suite. Gentiment, il me demanda de bien vouloir venir le finir de cette façon. Me dégageant j'allais m'agenouiller entre ses cuisses écartées. Ce que voyant un homme (le dernier ?) sollicita de Monsieur Guy la permission de me sodomiser.
" Assurément ! Tu vas voir comme elle aime ça ! Mets lui bien profond ! Il faut bien qu'il y en ait un qui commence… n'est ce pas Jocelyne ?"
"Huummpff"
Cambrée, offerte, j'attendis cet autre moment intense. Mes fesses furent écartées, quelque chose de dur, de chaud se posa sur mon œillet déjà bien "apprêté". Le quelque chose pesa lourdement, la résistance (si tant est qu'il y en eut) céda vite. Huuuuummm une queue glissa me glissa délicieusement dans le fion. Bien que bâillonnée je gémis de ravissement. Pour un début, il ne s'acharna pas trop sur mon petit derrière. Je supposais que tous n'auraient pas la même retenue. Lui, sans doute conscient de ses limites me faisait cela lentement, posément, prenant bien son temps somme s'il souhaitait en profiter le plus longtemps possible. L'autre devant moi rendit les armes et de nouveaux jaillissements me remplirent la bouche. Autre pine, autre goût… aucune n'avait le même… surprenant ! Presque soudainement mon enculeur se fit désordonné. Mince !... il ne m'avais pas fait jouir…. Pour se finir il me secoua beaucoup moins flegmatiquement en me traitant de sale pute. Une fois repus il décula accompagné dans ce retrait par ces bruits toujours si sordides. Ce Bertrand, qui prévenant me tendis la mains pour m'aider à me relever. Au fait, c'était vrai… il restait lui et Monsieur Guy…. Je lui quémandais un mouchoir ou une serviette pour pouvoir m'essuyer. J'avais le bas du visage un peu mouillé de sperme et je sentais que ma chatte allait commencer à restituer un peu. Monsieur Guy arrêta son action en disant :
"Attends ! Ne lui donne pas de serviette ! Donne lui un grand verre ! Ma petite Jocelyne tu vas récupérer tout ce qui sortira de tes trous avec ce verre… et tu le boira en fin de soirée quand tu nous auras vidangé les valseuses….".
Cette décision fut approuvée à l'unanimité… des hommes ! Comme de coutume mon avis ne fut pas recueilli. Pourtant c'est quand même bien moi qui goûterais se cocktail improvisé. Décidément, rien ne me serait épargné. Monsieur Guy mettait la barre très haut. Il avait décidé de me dégrader au maximum devant ses amis. Tant pis !... il avait gagné. Par vice j'allais m'humilier avec servilité et ravissement. Timidement, je pris le verre et commençais par me racler un peu le bas du visage et les seins. Puis je passais le verre entre mes jambes et poussais. Je sentis que quelque chose suintait un peu. En regardant la coupe je vis effectivement une ou deux coulée qui dégouttaient lentement sur la parois du verre. Devant le manque de matière je fus habilement conseillée :
"Pas comme cela ! Va chercher la sauce avec tes doigts et racle-les sur les rebord"
"Oui c'est cela ! Mets-toi bien les doigts dans la chatte…. Allez !.... et dans le cul aussi !"
Consternée, je fis comme indiqué. La récolte fut un peu plus abondante. Il me fut signifié que dès que des hommes auraient éjaculés, je devrais recommencer cette scène déshonorante pour remplir le contenant le plus possible.
Bertrand me prit par la taille et me poussa ver Monsieur Guy. D'une claque sur les fesses il me fit pivoter et comme je l'avais fait tout à l'heure je me fourrais la trique de celui-ci dans le minou. D'une main je pris la grosse queue de Bertrand et l'attirais à moi pour lui aussi le sucer à son tour. Du coin de l'œil, je vis que Fred et un autre homme revenaient avec un matelas qu'ils placèrent au milieu du salon. A n'en pas douter ce serait sur cette estrade improvisée que mon show continuerait. Sans doute plus attentive à ce qui se passait autour de moi, je perçu un petit bruit, une sorte de petit clic que j'avais déjà cru entendre plusieurs fois depuis le début de la soirée. Tournant un peu la tête je vis qu'un des hommes était munis d'un appareil photo numérique et immortalisait les réjouissances.
Monsieur Guy me faisait aller et venir au long de sa bite et rythmais les mouvements en me prenant, lui aussi, par les seins. Il avait une façon très particulière de me les torturer. Je ne saurais comment dire, une manière très singulière de me tordre ou de me vriller les tétons qui m'excitait au plus haut degré. Une brève mais intense sensation de douleur puis immédiatement elle se muait en chaleur puis en un plaisir soutenu. La sensation se mêlait avec celle que j'éprouvais en m'empalant sur son sexe… un délice… qui dura jusqu'à ce que je jouisse. Ce fut ensuite le tour de Monsieur Guy de prendre son pied. Il me conserva dans la même position assise sur lui pendant que je m'occupais de Bertrand. Je lui bouffais sa grosse bite bien comme il le désirait, me la faisant entrer loin jusqu'à ce ma luette titille son gland à l'entrée de ma gorge. Il affectionnait cette technique… deep trhoat… avaleuse de sabre… enfin presque car ce n'était pas un sabre que j'avalais, mais un beau gourdin qui lui aussi ne tarda pas à se liquéfier sur ma langue. Complètement déraisonnable mais consciente des conséquences qu'allait engendrer mon geste et des suites que me feraient subir les mâles encore plus excités. Je décidais de ne pas avaler toute la semence de Bertrand. Je me saisis du verre posé non loin de là et devant toute l'assemblée masculine, j'en laissais s'écouler une partie, comme si je voulais que le verre soit encore plus rempli. Puis ouvrant grand ma bouche et tirant ma langue afin qu'ils constatent que je n'avais tout rejeté, je déglutis en me pourléchant les lèvres. Aussitôt je tournicotais mon doigt dans mon intimité pour y recueillir les restes de Monsieur Guy et le retirait poisseux pour l'essuyer au rebord du verre.
Je vous disait tout à l'heure que la femme avait rarement de répit dans ce genre de soirée. Ce fut exactement cela. A peine eus-je le temps de boire la flûte que l'on me tendais. Le champagne était frais c'est tout ce que j'en appréciais. La suite fut très classique (quoique…) un homme s'allongea sur le matelas, je fus poussée et m'installais sur lui devinant la suite. Suite qui se matérialisa d'une part par un vit désireux qui m'investit par derrière et d'autre part par celui que l'on fourra entre les lèvres. Trois trous… trois queues… qui se mirent en mesure pour me jouer une partition salée accompagnée des mains et des bouches qui se posaient sur mon corps. Pendant que je me faisais mettre sévèrement cette fois, les autres, eux prenaient le temps de boire, de se restaurer au buffet installé sur la table de salle à manger ou contemplaient le spectacle de ma triple pénétration parfois en se touchant. Il se repassait aussi l'appareil photo…. Les trois bites qui me perforaient me rendaient folle, les sensations en tout genre se mêlaient, s'additionnaient, se multipliaient, bouleversant mes sens et je jouis coup sur coup deux fois … très fort, j'en avais trop envie. Il n'y avait pas que moi. Celui de dessous, comme souvent (je l'ai remarqué c'est celui du dessous qui part le premier) se mit à jouir bousculant un peu la belle harmonie de ce qu'ils me faisaient. Fred, mon enculeur du moment et celui que je suçais décidèrent de s'attendre mutuellement pour jouir de concert. Quand se fut le moment ils furent sourd aux gémissement étouffés que j'émettais à cause de la vigueur de leurs méthode. Comme pour un ballet bien réglé ma bouche et mon rectum furent submergés conjointement d'un double flot de sperme. Encore moins que tout à l'heure je n'eus le temps de faire de pause, même pas un verre à boire…. Les quatre hommes étaient comme fous et bandaient terriblement. Ils se jetèrent sur moi. Bertrand s'allongea et m'ordonna de venir m'empaler sur lui dos tourné :
"Tournes-toi… et pas dans ce trou là Jocelyne … dans l'autre !" et s'adressant aux autres :
"Vous allez voir ce qu'elle prend dans le fion cette pouffiasse !"
La "pouffiasse" se retourna et j'attrapais son sexe et le dirigeais vers mon anus désormais bien élargi. Une fois que la grosse bite eut pas mal disparu dans mon boyau, je dus m'asseoir. La verge entra encore plus loin…. Pour parachever mon supplice il me fallut encore me laisser aller en arrière prenant appuis sur le sol avec mes mains et mes talons (jambes largement écartées bien sûr de part et d'autre des cuisses de Bertrand). De cette manière la monstrueuse pine étaient enfoncée jusque je sais où et m'ouvrais en deux. Bertrand plaça ses mains sous mes fesses sui reposaient sur son ventre et me souleva un peu… pour me laisser retomber…. A la grande joie de tous, je pense, je poussais un cri, puis un deuxième quand il recommença, puis un troisième…. Ce fut le dernier les trois hommes se précipitèrent et me prenant par les cheveux m'introduisirent une ou parfois deux queues en bouche pour que je suce, je suce, je suce…. Je me retrouvais donc emmanchée sur Bertrand la tête en arrière en train de me faire enfiler des bites dans la bouche à qui mieux mieux. L'un d'eux eux quand même pitié de ma nuque. Il vint s'agenouiller face à moi, entre les jambes écartées de Bertrand et après une intromission mal aisée se mit à me baiser profitant des mouvements que m'imposait Bertrand. Autour de moi j'entendais toujours le petit clic habituel. J'entendais aussi les types complimenter Monsieur Guy sur mes performances. Dire que les éloges étaient flatteurs et raffiné serait mentir. Il était souvent question de "cul d'enfer", "bouffeuse de bite", "canon mais salope", "pute", "morue" et autre "roulure"…il fut aussi question de "mon cul chaud comme l'enfer" ou de "ma bouche à faire les turlutes"… bref que des louanges de bon goût ! je peux vous dire une chose c'est que là, je ne fus pas ménagée. Bertrand et son acolyte me broyaient le bassin, leurs pénis s'enfonçaient facilement jusqu'en mon tréfonds tellement j'étais ouverte. Je n'étais plus qu'une masse de chair avide des plaisirs qu'ils me faisaient endurer. J'aurais voulu crier, bramer, gueuler ma jouissance… mais les autres ne l'entendaient pas ainsi et m'enfournaient sans rémission leurs queues dans la bouche. Je n'arrêtais pas d'enchaîner les sensations d'orgasme, tout mon corps réclamait du plaisir, j'allais mourir ! En fait non !... car aussi excité qu'ils l'étaient par ma disponibilité il ne purent aller pas beaucoup plus loin. Un premier se mit à se branler au dessus de mon visage. J'avais beau tirer du cou pour l'aspirer, en ricanant il s'éloignait… c'était ma figure qu'il voulait souiller ! Bertrand me maintint enfichée sur lui et dans un concert d'insanité je le sentis gonfler et éclater dans mes intestins lors de ses ultimes secousses. A nouveau des petits jets de foutre virent s'écraser sur les joues et mes yeux et comme dans un sublime achèvement l'autre devant moi termina sa course et m'aspergea l'intérieur de la moule. Je fus relevée par des hommes plutôt goguenards. Ils me promirent à boire que quand j'aurais fait monter le niveau dans mon verre à foutre. Je commençais par récolter les coulées sur ma figure. Une fois ce travail fait, sans aucune dignité je m'introduisis tour à tour deux doigts d'abord dans le vagin, puis le rectum pour y en récupérer le plus possible. Cette fois le niveau avait monté. J'eus droit à deux verres de champagne et cela me fit un bien fou, me réfrigérant l'intérieur de la bouche et la gorge. Deux hommes, les plus costauds je crois, s'approchèrent de moi et me prirent par taille. Que mijotaient-ils ? La réponse vint vite. Toujours an me tenant enlacée, ils placèrent une main à la pliure de mes genoux et me soulevèrent facilement. Je me retrouvais assise dans le vide. Ils reculèrent. Je n'avais toujours pas saisi…. La révélation vint de Fred qui me dit :
"Quand même… tu n'as pas oublié Guy ?... le pauvre si tu voyais dans quel état tu l'as mis petite pute !"
Oh mon Dieu… comme c'était vrai ! Dans toute cette débauche il avait été oublié ! Les deux types reculèrent jusqu'à ce que je me trouve à l'aplomb du membre de Monsieur Guy qui en vérité était raide comme piquet. Ils commencèrent à me faire descendre et là, je compris. Ils allaient profiter de la dilatation que je pensais extrême de mon trou de balle pour me laisser glisser sur Monsieur Guy lui permettant ainsi de m'enculer… pour la première fois. Ils le firent bien graduellement comme pour nous laisser le temps d'apprécier. Ce qui fut le cas pour nous deux. Une fois cette infernale descente achevée ils me lâchèrent. Monsieur Guy était en moi jusqu'à la garde… j'étais heureuse. Prenant appui sur le sol et sur les bras du fauteuil je fis quelques mouvements de haut en bas. Je l'entendis gémir. Il me prit par la taille pour à son tour me faire aller et venir. Ce fut à mon tour de gémir… en définitive, il me prenait sous les fesses, par les seins ou sous les aisselles pour cette fabuleuse enculade. Un de mes rêves se réalisait, Monsieur Guy me sodomisait enfin ! Les sept "mercenaires" observaient. Même si Monsieur Guy n'avait pas la taille de Bertrand je savais, je savais que ma jouissance serait extraordinaire, que le plaisir n'allait pas se cantonner à mon conduit, mais que cela allait exploser dans ma colonne vertébral, mon ventre, ma tête. Et là… comment dire la chose plus inconcevable à se moment se produisit. Je sentais que j'allais dépasser le point de non retour et que Monsieur Guy était aussi dans la dernière ligne droite quand il me murmura à l'oreille :
"Jocelyne … je crois que je t'aime…. Veux tu m'épouser ?"
Un flash éclata dans ma tête, j'étais tétanisée par la jouissance et complètement arquée sur mon amant. Je me mis à brailler :
"Ouiiiiiiii Monsieur Guyyyyyyy…. Je vous aiiiiiiiiiiiimeee ! Aaaahhhh aaaahhhh AAAhhhh ! Salaud oui je, je veux bien t'épouseeeeeeer ! Vas-y plus fort, tu entends plus foooooort…. Bourrez-moi le cul ! Je vous aimeeeeeee ! Oui viens me défoncer le cul ! Ouiiiii…. J'aime ta biiiiite…. Ta grosse bite …Aarrh , elle est grosse et elle me fait mal …. Enfoncez-la moi….. Encooooore ! Oui je veux être votre femme, votre puuuute ! Je vous aiiiime !Aarrrhhrrrrr, ouiiiiiiiiii !"
Dans mon délire je perçus le gonflement de la verge de Monsieur Guy jamais elle ne m'avait parut aussi énorme. En criant, lui aussi, il éjacula ma gratifiant de jets comme il ne m'en avait jamais balancé, comme s'il avait une jouissance contenue. Pourtant il avait déjà joui dans mes orifices mais jamais si abondamment.
Devant nos ébats et cette demande en mariage inhabituelle et l'accord que suivit, les sept hommes devant nous se mirent à applaudir et à nous congratuler.
Je fus arrachée de sur Monsieur Guy, pliée au dessus de lui. On me demanda de nettoyer la bite de mon "mari". J'entendis Monsieur Guy demander à la cantonade :
"Est ce que tout le monde est passé dessus ?"
Il y eut des voix pour dire non. Pourtant si j'avais bien compté ! Oh les menteurs ! Des hommes dirent :
"Tu vas voir on va s'en occuper de la fiancée !"
Je fus emmenée vers le canapé. L'un d'eux s'y assit. On me fit monter à genoux sur le canapé les cuisses écartées à l'extérieur des siennes. Il faisait partie de ceux qui avait une queue longue, pas forcément d'un gros diamètre, mais longue. Il m'attira contre lui entoura ma taille d'un bras et de son autre main introduisit sa bite dans mon anus. Ouuuuh combien de fois avais-je été sodomisée depuis le début ? Je crois qu'il était le cinquième… et déjà mon cul me cuisait déjà un peu…. De toute façon !.... Il me fit monter et descendre sur lui et je me frottais les seins contre son torse et ma vulve (et mon clito) contre son ventre. Deux hommes de l'autre coté du canapé m'avais fait tendre les bras et m'avaient mis leur sexe dans les mains. Finalement à conditions (et c'était le cas) que le partenaire ait une trique assez longue, la position était intéressante.
Du moins je le croyais.
Mon enculeur passa ses deux bras autour de mes reins comme si je devais me cambrer à l'extrême. Je devinais un homme approcher. J'allais avoir droit à un changement de poste du premier et un enculage du second. Je m'y attendais…. Je mis un moment à comprendre que le premier ne se retirait pas, mais que le second avait collé son pénis contre le premier et qu'il était en train de pousser à l'effet de s'introduire également dans mon cul. Je paniquais :
"Noooonnnn, s'il vous plait pas çaaaa ! Pitié…pas les deux dans le cul ! Arrêtez…. Vous allez me fait mal… nooon, s'il vous plait....".
Je songeais une minute me débattre mais en fait j'était fermement tenue par celui de devant et ses deux bras qui m'enserraient et puis aussi pas les deux autre que je branlais l'instant d'avant et qui me tenaient maintenant par les poignets. Le coup de grâce me fit donné par Monsieur Guy qui s'approchant susurra d'une voix hypocrite:
"Eh bien, eh bien ma chérie ! Que vois-je ? Allons, allons… ma petite femme serait pas docile ? Elle ne voudrait pas combler mes amis et se laisser faire ?"
J'entendis Fred, car s'était lui le second candidat à la dévastation de mon postérieur me dire
"Ecoutes salope, laisse –toi faire sinon tu vas déguster !"
Verbalement on aurait dit le frère jumeau de Bertrand. J'avais bien jugé. J'étais certaine d'avoir reconnu un vicelard ! En attendant, il ne manquait pas de toupet. Il s'accordait un deuxième tour entre mes reins alors que d'autre ne les avait peut être pas encore investit.
Comme lors de mon premier double vaginal, je n'osais plus bouger. Un peu effarée, j'essayais d'analyser ce qui se passait. Ce qui se passait ?... je sentais un écartèlement terrifiant. Je m'attendais à un moment ou un autre à sentir la brûlure de la déchirure, mais non, je devais l'avoir assez solide. Il pliait (ou plutôt se pliait) mais ne rompais pas. Les deux salauds progressaient et gagnaient du terrain. Je sentais cet énorme truc entrer en moi mais finalement, je n'avais de sensation de douleur à proprement dit. Mes muqueuses avaient déjà (heureusement) fort sollicitées, ceci expliquait peut être cela. Ils arrêtèrent de me tourmenter quand ils se furent bien infiltrés en moi, aussi loin que la position le leur permettait. Jamais je n'avais été emmanchée de cette façon. Voyant que je me ne débattais plus depuis longtemps les deux qui me tenaient les poignets me remirent leur queue dans la main. Comme cela ne leur suffisait pas, ils enjambèrent le dossier pour me donner leur bite à lécher. La position sur le canapé, ne le permettait pas. Ce qu'ils auraient voulu, c'est que je prenne deux sexes en même temps dans la bouche en même temps que deux dans le fondement. Se trouvant "à l'aise" désormais les deux autres tentèrent quelques mouvements. D'abord ensemble ils firent machine arrière, puis en avant toute… et quand ils eurent plus de facilité, ils se coordonnèrent comme pour un double classique ou l'un avance et l'autre recule. Cela devait leur faire de l'effet d'être enserrés par mon boyau culier et en fait de s'y frotter l'un contre l'autre en râlant et soufflant. Ayant peur des représailles je me tus, mais dans mon fort intérieur je leurs aurais bien fait quelque remarques sur leurs tendances homo. Je jouis deux fois mais pas de façon extrêmement grandiose. J'avais peur et je ne me laissais perdre le contrôle. Je ne voulais pas trop serrer sous le coup de l'orgasme. Un deux ceux que je suçais choisit une fois de plus ma bouche comme réceptacle. Puis les deux salauds qui me bourraient le fion éjaculèrent de conjointement en prenant soin de ne pas se laisser aller à trop de vigueur. Je m'en sortais bien…lasse, mais bien….
Mais lassitude ou pas… Monsieur Guy me rappela à l'ordre et le verre me fut à nouveau tendu pour que j'y restitue son foutre et celui des autres. Les yeux écarquillés je me rendais bien compte qu'il y en avait encore quatre qui étaient en semi érection. J'espérais de la compassion. Elle ne vint pas. En parfait maître de maison Monsieur Guy demanda "si quelqu'un voulait encore se faire sucer ?". Il y eu un volontaire et je dus me traîner jusqu'à lui et le prendre en bouche. J'allais avoir les lèvres usées à force ! Un des hommes vint vers moi et se plaça derrière moi. Peut être par égard mon postérieur, il me pénétra le vagin avec douceur. Pipe plus levrette, on était revenu à des choses plus "classique". Malgré le talent de mon baiseur, je n'eus qu'un orgasme certainement à cause de la fatigue. Les deux hommes me prirent lentement, presque tendrement on était loin de la furie des premières étreintes. Ce fut bien agréable…. Ce qui le fut moins c'était que Bertrand et l'ultime guerrier n'étaient pas rassasiés et qu'il désiraient à nouveau me piner. L'homme me fit mettre de dos sur un gros pouf et m'ayant écarté les cuisses me prit aussi farouchement que s'il ne m'avait jamais touchée. Bertrand vint s'agenouiller à hauteur de mon visage. Je me tournais vers lui. Je me doutais qu'il me fallait le sucer encore une fois. J'étais à nouveau prise entre deux feux et malgré ma relative inertie due à la fatigue j'avoue que j'aimais bien. Ma tête dépassant du pouf avait tendance à partir en arrière. Bertrand demanda à mon baiseur de me pousser un peu vers l'avant pour accentuer cette tendance. Vous l'aurez compris, cette demande n'avait qu'un but, placer ma bouche dans l'axe de ma gorge en effaçant l'angle naturel. Cela permit tout bonnement à Bertrand de pouvoir m'enfoncer sa queue loin dans la gorge et de pour voir se faire absorber le plus possible. Parfois il se retirait de ma bouche pour me faire surplomber par ses grosses couilles épilées. Lors de ces instants je les lui léchais ou les lui gobais à son plus grand ravissement. C'est peut-être en voyant cela que l'autre sollicita un changement désireux "de jouir dans ma bouche de salope" dit-il. Bertrand n'y vit aucun inconvénient et se positionna devant moi. Pourtant il ne s'enfonça pas tout de suite en moi. Il me fit encor glisser jusqu'à ce que j'aie les épaules reposant sur le sol et les reins appuyés sur le pouf. Dans cette position il me fit écarter les jambes et le les replia vers les épaules. Quand il me commanda d'écarter les fesses je compris ce qu'il allait faire. Il enjamba le pouf et dirigeant son sexe vers le bas vint l'introduire dans mon anus béant et boursouflé. Dès lors il se mit de nouveau à m'enculer, mais cette fois de haut en bas. Bien que je fusse recroquevillée sur moi-même, l'autre se plaça perpendiculairement à moi et parvint à loger sa pine entre mes lèvres. Me tordant un peu la tête sur le coté je m'aperçus que je pouvais le sucer à peu près correctement. Sans doute à cause de ma lassitude, je trouvais la position très inconfortable. Je me promis de la réessayer plus fraîche. Les deux hommes, eux, y trouvaient leur compte et je les entendais ahaner en me partouzant. Vraiment trop épuisée je savais que je ne pourrais plus jouir, j'étais usée. Mais bonne fille je leur laissais m'utiliser selon leurs vœux. Cela me parut un siècle mais Bertrand finit par éjaculer en grommelant je ne sais quelle obscénité. Mon orifice se distendus fut encore le réceptacle de son foutre. Pouvant reprendre une posture moins contraignante je me hâtais de "finir" l'autre qui me barbouilla le visage avec soin et sa queue.
Lorsque ce fut fais, je pris conscience d'avoir bien "assuré". Visiblement les hommes étaient un peu KO et il leur faudrait du temps pour leur faire redresser leur virilité en berne. J'étais épuisée mais assez contente de moi et de ma performance. Toutefois, j'avais omis un petit détail qui devait parachever la soirée…..
Le verre…, Monsieur Guy me le fit remarquer. Bertrand me fit constater que de mon anus très dilaté en coulait encore du sperme. Plusieurs fois, je passais mes doigts entre mes fesses pour récupérer le foutre qui coulait de ma rondelle pour le mettre dans le verre. En vérité j’en avais recueilli un peu plus des trois quart du verre. Je ne savais pas si c'était une performance mais je trouvais que ça en faisait pas mal. En bon maître de cérémonie, Monsieur Guy ordonna ce que tous attendaient (moi exceptée).
"Allez ma petite Jocelyne adorée…mon joli petit sac à foutre… tu as certainement une petite soif… aller ma salope chérie… avale…!"
Je contemplais le récipient et son surtout son contenu, cette substance épaisse, blanchâtre, parfois jaunâtre, glaireuse et visqueuse à souhait. Bien que connaissant la provenance du liquide et d'ou je l'avais récupéré, malgré cela, je m’exécutais, sous les yeux de ces huit salauds. Comme le liquide était dense et gluant au possible il ne s'écoulait que lentement et je ne pus le boire d'un trait. J'eus le temps de bien le… déguster. Vu la consistance les parois et le fond du verre en restèrent tapissé. Décidément rien ne me serait épargné car une des homme me commande de et de racler le reste et me lécher les doigts.
Une fois cette formalité accomplie, j'eus droit cette fois-ci au champagne et là seulement je réalisait mon état. Je n’en pouvais plus mes jambes me faisaient mal, ainsi que mes reins. Mon corps était couvert de rougeurs qui témoignaient des caresses que mes partenaires m'avaient prodigués. Mes seins douloureux étaient particulièrement rouges, ce qui semblait normal ayant été particulièrement sollicités. Ma chatte était irritée et mon cul j'ose à peine en parler, il devait être distendu de belle façon. Il faut dire qu'il n'avait jamais autant servi. Éteinte, je m’assis sur un fauteuil lorsqu'ils virent tous venus me dire au revoir avec beaucoup de gentillesse. Fred me dit à l’oreille qu’il attendait de me revoir avec impatience…
Restée seul avec Monsieur Guy il me proposa de rester avec lui et de prendre une douche. Vu mon état j’acceptais cette douche bienvenue. Bien entendu il y assista. Il me redemanda ensuite loin de toute excitation sexuelle si je voulais être son épouse. Je lui répondis affirmativement et que je m'étais rendu compte depuis longtemps que je l'aimais. Je vis le bonheur dans ses yeux. Il le vit également dans les miens. Il me dit :
"Demain, il sera temps que nous envisagions notre vie commune… De beaux jours nous attendent mais pour l'instant tu dois te reposer, tu as été magnifique… reste avec moi ce soir :"
J'acceptais… il me demanda de venir avec lui dans la chambre, il se mit au lit, moi aussi. Ma tête n'avait pas encore touché l'oreiller que je dormais déjà….
Je dormis… dormis… dormis….
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