Joël, mon amant d'ébène. - histoire érotique

Les visites de Franck, Bernard, Fred et Petru me comblaient énormément, c'était idéal parce qu'elles étaient imprévues et espacées, à l'opposé des venues journalières de Fabrice.
C'était plus facile à gérer pour mes fesses, et pour mon couple.
Depuis quelques temps, ma femme passait de plus en plus de journées ou soirées avec sa copine, quelques fois des nuits entières.
Je n'étais pas dupe et me doutais que ce n'était que des fausses excuses.
Elle le savait, mais c'était notre façon à nous de respecter la vie extraconjugale de l'autre.
On faisait semblant de croire nos alibis.
Je devinais quand elle se couchait plus tôt en soirée, surtout en prenant une douche en rentrant, en osant à peine m'embrasser, que c'était une fatigue sexuelle.
Sa qualité était aussi un défaut, elle était hypersexuelle, jouissant à répétition et très souvent. Mais ces répétitions orgasmiques l'épuisaient.
De mon coté, ce qui était gênant, surtout vers cette époque, ce sont les pénétrations extrêmes, qui me laissaient de légères douleurs au bas ventre durant deux jours, j'usais beaucoup d'anti-douleurs, ce qui fonctionnait très bien.
Notre nouveau jeu, était qu'elle filmait parfois ses rencontres, pour mon plaisir de voyeur.
Cela éveillait toujours un puissant désir de lui faire l'amour ensuite, pendant quelques jours.
Malgré ce retour de ma libido hétéro, je ne refusais jamais les propositions de la bande de copains que formaient Franck et ses acolytes.
Mais, je trouvais navrant que Joël, le grand black, n'ait jamais osé revenir. J'en avais fais la remarque à Franck.
Toutefois, dans l'après-midi, je reçois un appel:"Allo, P...?".
"Oui! C'est qui?".
"C'est Joël! C'est Franck qui m'a passé ton téléphone! Tu vas bien?".
"Oui, super! ça fait plaisir de t'entendre, tu veux quoi?".
"Devine?".
"Hummm, quand tu veux! Avec plaisir!".
"Ok, alors ce soir, à 7 heures? c'est bon?".
"Super!".
Je ferme quelques minutes en laissant un petit mot pour me faire une toilette anale, puis reprends mes activités, excité comme un fou.
Lorsque sa longue silhouette franchit la porte, j'ai une boule au ventre d'excitation.
Je nous enferme en baissant le rideau, et lui demande ou il veut que l'on baise.
Il choisit l'étage.
En arrivant, il s'appuie sur la table et sort sa très longue queue noire qui pend et demande:"Allez excites-moi! Fous toi à poil!".
Il se branle en me regardant me dévêtir.
"Approches-toi! A genoux!".
Je suis à ses pieds, il saisit sa queue et me flagelle le visage, puis me baise la bouche avec la moitié de bite qui dépasse de sa main.
"Alors comme ça, je t'ai manqué!".
"Mmmmmmmmmmm, Oui!".
"Il avait raison Fabrice, t'es une vraie salope!".
"Oui!".
Sa queue s'est durcie et me défonce la gorge, me faisant saliver abondamment.
"Mets toi en position, le cul en l'air, prépares-toi à me recevoir! je vais me désaper".
Je prend le gel dans le sac à dos de Franck, pour m'enduire l'anus et attendre ses assauts.
Il remarque les jouets qui sont à l'intérieur.
"Eh, je vois que tu as de beaux gros godes, salope!".
"C'est le sac de Franck, il aime jouer avec eux sur moi!".
"Ah bon, voyons voir!".
Il sort le plus long et me colle son gland de plastique contre l'anus.
Il appuie en mouvements de pénétrations répétés, ce qui m'ouvre inexorablement l'anus qui reçoit l'objet jusqu'au coccyx.
Je râle de plaisir, il m'encule avec le gode de plus en plus fort, puis s'attarde en forçant contre mon coccyx.
Le gode trouve le passage et Joël fait disparaitre l'énorme sexe de latex dans mon cul, jusqu'aux faux testicules.
"J'hallucine! Quel cul!".
Il me fait jouir sans discontinuer, en faisant glisser les 40cm du gode, sur toute la longueur dans mon cul.
Il retrouve le plaisir de me faire gicler de la cyprine abondamment.
Il pose le gode au sol en utilisant sa ventouse, puis dit:"allez, enfonce toi dessus!".
Je suis planté sur le phallus jusqu'aux couilles, en me défonçant l'anus, pendant qu'il me baise la bouche.
Quelques minutes de ce traitement, me font jouir à nouveau en giclant, puis il me dit de m'allonger sur la table avec les fesses offertes.
Sa queue me pénètre d'une traite, en prenant la place du gode, resté au sol.
Il est directement allé jusqu'au fond de mon intestin, et m'encule profondément comme une salope.
Les plaisirs s'enchainent, jusqu'à l'annonce de sa jouissance.
Il fait le tour de la table et s'enfonce dans ma gorge, son jus me comble aussitôt, j'avale au fur et à mesure, j'en aime le goût.
Je n'ai d'ailleurs pas le choix, tant il me maintient enfoncé sur sa bite en râlant.
Nous reprenons nos esprits, et décidons de nous reposer sur le canapé dans l'arrière boutique.
Joël emporte le sac avec les deux godes et le gel.
Je lui demande:"Pourquoi, t'es pas revenu plus tôt?".
"J'ai pas osé, pour moi, t'étais le mec de Fabrice, et après, Franck s'est incrusté, voilà!".
"J'appartiens à personne, et, même si j'aime bien Franck, tu m'excites beaucoup plus!".
"Eh, c'est sympa ça! Merci! Bon, ne t'attends pas non plus à me voir souvent, j'aime plus baiser les femmes, sans pouvoir me passer d'un mec de temps en temps, surtout avec un cul comme le tien".
"Eh, c'est sympa ça! Merci!".
On rit comme deux idiots.
Nos mains se baladent de temps à autre sur le corps de l'autre, lui sur mon cul et moi sur sa bite.
Je ne résiste plus longtemps à le sucer tendrement.
Sa longue queue reprend forme lentement dans ma bouche humide.
"Tu me suces bien!".
"J'adore la sucer!".
"On va s'amuser encore, attends!".
Il sort les godes et les posent au sol l'un à coté de l'autre, en laissant un peu d'écartement.
Il les lubrifie, puis me dit:"Mets toi sur le plus long".
"T'aimes ça toi aussi, salaud!".
Je m'empale en râlant de plaisir sur le phallus de 40cm.
Vicieusement, il appuie sur mes épaules pour que je m'enfonce l'objet jusqu'à la base, et me donne sa queue à sucer.
Je gémis comme un dingue, la gorge remplie et l'anus comblé.
Je jouis analement, sans gicler, apparemment, j'ai vidé mes réserves de jus translucide.
"Allez change de gode! Je veux voir comment t'arrives à te prendre ce gros truc énorme dans le cul!".
Je me relève pour me défaire du long gode, puis me déplace pour présenter mon anus au dessus de l'énorme jouet de 8,5 cm de large.
Mon œillet, s'écartèle lentement, j'ai besoin de nombreuses tentatives de pénétrations pour arriver à mes fins.
Joël, s'impatiente en appuyant sur mon corps, pour m'empaler plus vite, mon anus lâche et il arrive à m'enfoncer sur le phallus énorme.
"Ahhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrr!".
Il se baisse pour admirer cette pénétration extrême.
"J'adore! Allez défonces toi le cul!".
Je me détruit les fesses face à lui, qui reprends plaisir à me baiser la bouche.
Nous pratiquons cette défonce anale et buccale pendant un long moment délicieux, j'ai un orgasme anal énorme.
Il recule en se branlant énergiquement.
"Eh, t'as jouis salope!".
En effet, du sperme coule de mon gland.
"Remets toi sur l'autre!".
J'obéis, en m'empalant encore complètement sur les 40 cm du gode.
Il se place derrière moi et colle sa queue contre le gode, il ne lui faut pas beaucoup forcer pour rejoindre le long gode dans mon anus.
Il passe lui aussi mon coccyx et s'affaire comme un excité en me faisant hurler de plaisir.
La pénétration extrême est trop puissante, pour lui, comme pour moi.
J'ai déjà atteins l'orgasme anal quand il éjacule son foutre chaud au fond de mon intestin.
Ses râles me remplissent de bonheur.
"Joël, s'il te plais, sort, j'en peux plus, c'est trop!".
Il m'écoute, puis ôte aussi le long phallus couvert de sécrétions anales et un peu de son sperme.
Je m'écroule sur le canapé, épuisé.
Il se rhabille en disant:"Bon, P..., c'était excellent! Mais je dois te laisser! Ma femme va me tuer! A plus!".
"A plus!".
Il soulève le rideau, puis le referme derrière lui.
Je m'endors une bonne demi-heure, puis me nettoie rapidement, et rentre sans effacer les traces de nos ébats.
Je le ferai, le lendemain, en arrivant.