JOELLE AU SEX-SHOP fin
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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JOELLE AU SEX-SHOP fin
Ma petite est des plus heureuses. Elle referme son chemisier, et il se colle à ses seins encrèmés pour mieux les faire ressortir. Elle veut reprendre sa culotte et son short mais je refuse :
- Ah non ma petite pute, on avait dit que la bouche, et voilà que tu offres ta chatte, ma chatte. Elle est à moi ton huître, mais puisque ma bite ne lui suffit pas je vais lui donner à bouffer, salope.
Elle s’excuse, cherche à se justifier, mais je ne l’écoute pas, vexé de cette baise au dessus de mes moyens. Il faut que je me venge. Je jette ses dessous sur un siège, la saisie par les cheveux :
- Avance pute, je suis sûr qu’il reste des queues pour satisfaite ta putain de choune.
Je l’emmène à la salle du fonds. Toutes les queues sont occupées à part celle de ma pute en résille et qui ne peut rien pour elle. Je la prend en levrette et l’oblige à regarder ce spectacle de pédés. Le mec soumis a épuisé ses partenaires, mais en a trouvé deux nouveaux qui s’activent dans sa bouche et dans son cul. Les deux autres homos sont toujours dans leur 69. Ils ont dû jouir une ou deux fois déjà et s’activent pour une prochaine tournée. Je baise ma petite chienne de toutes mes forces et me retire à temps. J’évite l’éjaculation de justesse, me calme, et on part pour l’autre salle.
Le grand malabar se fait toujours sucer, mais par un seul mec, l’autre se fait sucer à son tour par le moustachu qui les a rejoint. Le grand enfile un préservatif sur ma demande et s’apprête à baiser enfin une femelle dans ce baisodrome réservé aux hommes. Son manche est moins beau, moins parfait, moins joli que celui du vieux, mais mieux dimensionné, à la fois le plus long et le plus gros de tous les participants à cet après midi insensé. Je rassure ma petite sur la virginité de son cul à laquelle je tiens, et elle se tourne pour se faire mettre en levrette. Il l’enfile, et son suceur privé de sucette se jette sur la mienne. Je le laisse faire sans y penser, suis fasciné par la défonce que se prend ma belle blonde.
Il l’a faite se redresser, la serre dans ses bras, et la soulève à chaque coup de burin. Il la pylône de toutes ses forces, et la fait sauter sur son menhir. Elle jouit comme jamais, puis ne résiste plus, n’est plus qu’un pantin en liquéfaction, soumis à ses impensables pénétrations. Passé ce moment d’extase elle revient à la réalité et son baiseur se retire, essoufflé.
Sur mon ordre elle est à genoux, bouche ouverte, et attend nos offrandes sans rien devoir avaler. Le moustachu et son partenaire se masturbent et jouisses dans la bouche de ma pute bénie qui garde tout. Mon suceur en fait autant. Le grand fait monter la sauce à son tour et déverse une quantité de sperme, épais et jaunâtre, égale à celle des trois précédents réunis.
Elle n’a rien avalé, et je rajoute ma participation généreuse. Elle nous fait voir sa bouche gorgée de sperme, la ferme pour se rincer la bouche avec, l’ouvre à nouveau, se gargarise, nous la remontre encore plus remplie de sa salive, la referme encore, déglutit avec une immense satisfaction, l’ouvre une dernière fois pour nous prouver qu’elle a tout avalé.
On sort de la salle, et les quatre mecs restent pour reprendre leurs activités. Ma petite dégouline et je la broute dans la grande salle déserte, déguste sa mouille délice, avant de lui rendre ses affaires. On repart une dernière fois voir la salle du fonds, avant de partir.
Ils ne sont plus que trois. Les deux du 69, et la pute en résille. Il chevauche un des deux, emmanché sur sa tringle. Le deuxième s’installe derrière et engage sa trique béton pour une double anale. La pute est aux anges, et supplie pour que cela ne s’arrête pas.
On les laisse, récupère notre vestiaire dans le placard, s’habille, et revient dans la boutique.
Le patron est au courant des activités de ma protégée par des clients qu’elle a satisfaits, et nous parle à son tour des séances privées bimensuelles. Il souhaiterait que l’on y participe.
Je le préviens que ma belle salope n’offre pas son cul, et ça semble le contrarier. Sa femme et la vielle se font défoncer la rondelle sans modération, et une nouvelle venue doit subir le même traitement. Il nous offre toutes les entrées gratuites, des toys, pour accepter.
Ma pute est prête à m’obéir pour se faire pardonner sa baise avec le vieux, m’implore de refuser avec des yeux de chienne soumise, et attend ma réponse.
Je tiens trop à être le premier à pénétrer son petit œillet, sans la violer, avec son accord, et je refuse. Il s’y attendait, a joué le coup, et va voir avec les participants pour que sa volonté soit respectée si on change d’avis. Il nous offre un petit cadeau et espère nous revoir, au moins un samedi après midi.
On repart en voiture :
- Merci.
- Et de quoi ?
- D’avoir refusé ses partouzes, où je me serais faite sodomiser.
- Tu aurais accepté si j’avais dis oui ?
- Je suis votre pute, et puis j’ai mal agît en me faisant baiser par le vieux.
- Je te l’ai déjà dit, je ne suis pas un monstre. Tu es libre de dire non, quand tu veux. Ce n’est pas parce que j’aurais dit oui au patron, que tu devais te soumettre. Pour ce qui est de ta baise avec le vieux je te demande pardon. Voir comme tu l’as sucé, et ensuite lui offrir ta chatte j’ai vu rouge. J’ai cru que je ne comptais plus pour toi, et que tu allais me larguer pour lui.
- C’est vrai, vous étiez jaloux ?
- Oui, je tiens à toi et ne veux pas te perdre si vite.
- Je tiens à vous moi aussi, mais toutes ces queues ça m’a rendue folle. Vous me pardonnez ?
J’arrête la voiture sur le bas côté et lui roule une pelle pour toute réponse.
A suivre……………………..
- Ah non ma petite pute, on avait dit que la bouche, et voilà que tu offres ta chatte, ma chatte. Elle est à moi ton huître, mais puisque ma bite ne lui suffit pas je vais lui donner à bouffer, salope.
Elle s’excuse, cherche à se justifier, mais je ne l’écoute pas, vexé de cette baise au dessus de mes moyens. Il faut que je me venge. Je jette ses dessous sur un siège, la saisie par les cheveux :
- Avance pute, je suis sûr qu’il reste des queues pour satisfaite ta putain de choune.
Je l’emmène à la salle du fonds. Toutes les queues sont occupées à part celle de ma pute en résille et qui ne peut rien pour elle. Je la prend en levrette et l’oblige à regarder ce spectacle de pédés. Le mec soumis a épuisé ses partenaires, mais en a trouvé deux nouveaux qui s’activent dans sa bouche et dans son cul. Les deux autres homos sont toujours dans leur 69. Ils ont dû jouir une ou deux fois déjà et s’activent pour une prochaine tournée. Je baise ma petite chienne de toutes mes forces et me retire à temps. J’évite l’éjaculation de justesse, me calme, et on part pour l’autre salle.
Le grand malabar se fait toujours sucer, mais par un seul mec, l’autre se fait sucer à son tour par le moustachu qui les a rejoint. Le grand enfile un préservatif sur ma demande et s’apprête à baiser enfin une femelle dans ce baisodrome réservé aux hommes. Son manche est moins beau, moins parfait, moins joli que celui du vieux, mais mieux dimensionné, à la fois le plus long et le plus gros de tous les participants à cet après midi insensé. Je rassure ma petite sur la virginité de son cul à laquelle je tiens, et elle se tourne pour se faire mettre en levrette. Il l’enfile, et son suceur privé de sucette se jette sur la mienne. Je le laisse faire sans y penser, suis fasciné par la défonce que se prend ma belle blonde.
Il l’a faite se redresser, la serre dans ses bras, et la soulève à chaque coup de burin. Il la pylône de toutes ses forces, et la fait sauter sur son menhir. Elle jouit comme jamais, puis ne résiste plus, n’est plus qu’un pantin en liquéfaction, soumis à ses impensables pénétrations. Passé ce moment d’extase elle revient à la réalité et son baiseur se retire, essoufflé.
Sur mon ordre elle est à genoux, bouche ouverte, et attend nos offrandes sans rien devoir avaler. Le moustachu et son partenaire se masturbent et jouisses dans la bouche de ma pute bénie qui garde tout. Mon suceur en fait autant. Le grand fait monter la sauce à son tour et déverse une quantité de sperme, épais et jaunâtre, égale à celle des trois précédents réunis.
Elle n’a rien avalé, et je rajoute ma participation généreuse. Elle nous fait voir sa bouche gorgée de sperme, la ferme pour se rincer la bouche avec, l’ouvre à nouveau, se gargarise, nous la remontre encore plus remplie de sa salive, la referme encore, déglutit avec une immense satisfaction, l’ouvre une dernière fois pour nous prouver qu’elle a tout avalé.
On sort de la salle, et les quatre mecs restent pour reprendre leurs activités. Ma petite dégouline et je la broute dans la grande salle déserte, déguste sa mouille délice, avant de lui rendre ses affaires. On repart une dernière fois voir la salle du fonds, avant de partir.
Ils ne sont plus que trois. Les deux du 69, et la pute en résille. Il chevauche un des deux, emmanché sur sa tringle. Le deuxième s’installe derrière et engage sa trique béton pour une double anale. La pute est aux anges, et supplie pour que cela ne s’arrête pas.
On les laisse, récupère notre vestiaire dans le placard, s’habille, et revient dans la boutique.
Le patron est au courant des activités de ma protégée par des clients qu’elle a satisfaits, et nous parle à son tour des séances privées bimensuelles. Il souhaiterait que l’on y participe.
Je le préviens que ma belle salope n’offre pas son cul, et ça semble le contrarier. Sa femme et la vielle se font défoncer la rondelle sans modération, et une nouvelle venue doit subir le même traitement. Il nous offre toutes les entrées gratuites, des toys, pour accepter.
Ma pute est prête à m’obéir pour se faire pardonner sa baise avec le vieux, m’implore de refuser avec des yeux de chienne soumise, et attend ma réponse.
Je tiens trop à être le premier à pénétrer son petit œillet, sans la violer, avec son accord, et je refuse. Il s’y attendait, a joué le coup, et va voir avec les participants pour que sa volonté soit respectée si on change d’avis. Il nous offre un petit cadeau et espère nous revoir, au moins un samedi après midi.
On repart en voiture :
- Merci.
- Et de quoi ?
- D’avoir refusé ses partouzes, où je me serais faite sodomiser.
- Tu aurais accepté si j’avais dis oui ?
- Je suis votre pute, et puis j’ai mal agît en me faisant baiser par le vieux.
- Je te l’ai déjà dit, je ne suis pas un monstre. Tu es libre de dire non, quand tu veux. Ce n’est pas parce que j’aurais dit oui au patron, que tu devais te soumettre. Pour ce qui est de ta baise avec le vieux je te demande pardon. Voir comme tu l’as sucé, et ensuite lui offrir ta chatte j’ai vu rouge. J’ai cru que je ne comptais plus pour toi, et que tu allais me larguer pour lui.
- C’est vrai, vous étiez jaloux ?
- Oui, je tiens à toi et ne veux pas te perdre si vite.
- Je tiens à vous moi aussi, mais toutes ces queues ça m’a rendue folle. Vous me pardonnez ?
J’arrête la voiture sur le bas côté et lui roule une pelle pour toute réponse.
A suivre……………………..
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