Jolis seins en montagne

- Par l'auteur HDS Sexapile33 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Jolis seins en montagne Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2010 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Couleur du fond :
Jolis seins en montagne
A l'origine, c'était un trip en montagne avec ma femme, Laurence.
En définitive, ça a été une vraie compote de cul, ou une « moule party » avec trois nanas avec le
diable au corps.

Tout commence avec un plan des Pyrénées étalé sur la table de la cuisine.
Laurence est partante pour faire une grande ballade dans la montagne pendant 1 semaine.
Coquine comme elle est, elle pense déjà aux nombreux coins tranquilles pour pouvoir se retrouver
avec moi et faire des coquineries avec photos et vidéo dans la nature.
Il est impossible de travailler correctement sans avoir une érection en pensant aux possibilités
offertes.
Laurence a tout préparé et malgré les sacs bien chargés, elle pense à prendre les batteries et les
chargeurs solaires.
Tout est préparé pour pouvoir vivre une semaine presque sans ravitaillement.
Une halte dans un village de haute montagne contenant un petit magasin nous permettra de tenir la
semaine complète.
Tout est bon jusqu’à la météo qui s’annonce superbe toute la semaine.
La voiture est prête et la route se déroule sans heurt.
La pause sur la route est super détendue et le soleil lèche notre peau alors que nous mangeons dans
un petit chemin à peu de distance de la route.
Les premiers reliefs nous donnent du baume au cœur.
Juste en bas de la route montant vers les sommets, deux auto-stoppeuses se débattent avec des sacs
plus gros qu’elles.
Après les avoir dépassées, Laurence me demande si ça me gênerait de les prendre en voitures.
La journée étant belle et vivant avec le plaisir d’être en vacances, j’accepte.
Un demi-tour et nous retournons vers l’endroit où les filles font du stop.
Une voiture est déjà arrêtée et discute avec les filles.
Je dis à Laurence que deux nanas sur le bord de la route ne restent jamais bien longtemps seules.
Laurence semble frustrée et me dit que ça aurait été l’occasion de faire connaissance et peut-être
de faire un délire avec elles en montagne.
On rigole franchement de l’idée car c’est le genre de discussion que nous avons souvent sans jamais
être passé à l’acte.
Franchement, le risque est grand et l’idée ne nous sert qu’à augmenter notre excitation avec des
scénarii, des films ou des photos glanées sur le net.
En faisant le demi-tour, Laurence me fait remarquer que les filles ont quelques soucis avec les gens
de la voiture.
Effectivement, une fille retire son sac violemment de l’arrière de la voiture pendant que l’autre
discute fortement avec le conducteur.
J’arrête la voiture et je sors pour aller donner main forte aux filles.
Au même moment, le conducteur sort aussi de sa voiture mais, voyant qu’il n’est pas seul, préfère
insulter les filles et démarre avec jet de cailloux et de poussière.
L’ambiance est électrique et une des filles regroupe les sacs en pestant alors que l’autre se cache
encore le visage pour ne pas être percutée par un caillou.
Je demande si ça va et celle qui range les sacs m’envoi chier comme il faut.
Je m’excuse et leur dis que nous nous étions arrêter pour les prendre en voiture.
Dans le même temps, je retourne à la voiture, voyant que celle qui a ranger les sacs est dans un
état proche de la crise et qu’elle pourrait bien se jeter sur moi pour m’étriper.
Arrivé à la portière, la fille qui parlait avec le conducteur me demande on peut rester un peu le
temps qu’elles se calment et qu’elles discutent ensemble.
Je la regarde se frotter les yeux d’un revers de manche avant qu’elle ne se dirige vers sa copine.
En entrant dans la voiture, Laurence me demande ce qui se passe. Je lui raconte ce que j’imagine
avec des gars qui ont du leurs proposer des gâteries pour pouvoir les emmener.
Laurence décide de sortir pour aller discuter avec les nanas.
Je reste à ma place car ça devient trop féminin comme situation et je risque de m’en prendre une
sans la voir venir.
Au bout d’un moment, Laurence revient vers la voiture accompagnée de deux compagnes lourdement
chargées.
Je sors de la voiture et les deux nanas me remercie d’être intervenu et s’excuse de l’accueil
qu’elles m’ont offert quelques minutes plus tôt.
Une petite discussion s’engage pour définir où nous devons les laisser et nous commençons à charger
les bagages avec difficulté dans ce qui reste de place.
Tout le monde arrive à se caser dans la voiture et je démarre avec une visibilité quasiment nulle.
Les filles se présentent : Julie et Natacha. Deux blondes mais au moins une des deux est une fausse
à voir la couleur de ses cils.
Juste après le départ sur la côte, Julie cru reconnaître la voiture contenant les gars qui les
avaient malmenées mais il n’y eu aucune certitude sur ce point.
Quoi qu’il en soit, elles étaient bien contente d’être avec nous au lieu de se retrouver sur le bord
de la route à la merci de sombres connards se croyant les maîtres.
Chargé comme on était, la voiture avançait doucement et nous avons tout le temps de faire
connaissance.
Julie est la plus charmante avec un minoi très fin et des yeux d’un bleu profond.
Natacha est plus commune avec une coupe courte au carré donnant à son visage un côté sévère.
En disant ce que nous comptions faire, les filles discutent pour faire la même rando.
Perso, je vois ma sortie en amoureux avec ma femme très compromise mais Laurence semble en avoir que
faire.
Avant d’être arrivé à destination, la décision était prise et me voilà embarqué dans une semaine
avec trois nanas à la montagne.
Déçu, je me résigne et les préparatifs s’organisent avec 4 personnes à la place de 2.
Les sacs sont modifiés car les nanas avaient emmené beaucoup trop de choses.
Sur la question de la ou les tentes, le choix se porte sur une seule tente, celle des filles qui est
beaucoup plus grande que la petite deux places que nous avions.
Bêta comme je suis, je n’ai rien vu des regards entre les nanas. En fait, je m’en foutais d’être
dans la même tente puisque, de toutes façons, ma semaine en amoureux était foutu.
Un dernier point avec l’itinéraire, la météo et le matos à embarquer juste avant de prendre le
chemin balisé de jaune.
Le cadre me fait oublié les deux boulettes que je trimballe avec moi et on déconne un peu.
On se perd deux fois sans s’engueuler et j’ai la quasi certitude que la semaine va être bonne malgré
cette présence.
Timide, je fais un peu cavalier seul pendant que les trois nanas lient connaissance. Laurence est
beaucoup plus sociable que moi et elle joue son rôle à merveille.
Pour ma part, je marche, je guide et je suis l’évolution d’après les filles, les difficultés et le
plan de route.
De temps en temps, je demande si tout va bien et j’aide unetelle pour passer des passages périlleux.
Après la pose « goûter », la décision est prise de trouver l’endroit du bivouac. Au loin, on
remarque des petits bois et on décide de chercher dans cet endroit.
Je travaille avec Julie qui prend part activement au suivi de l’itinéraire. J’aime bien parler avec
elle et nous trouvons rapidement dans l’après-midi des sujets nous permettant de sympathiser.
C’est Julie qui trouve un espace légèrement à l’écart du chemin et suffisamment plat pour dresser la
tente.
Laurence part avec Natacha trouver une source pour faire notre petite toilette et avoir de l’eau
fraîche.
Avec Julie, on installe le camp en protégeant les affaires au mieux.
Les filles reviennent avec la gourde souple empli d’eau pour les pâtes.
La soirée se passent bien et Natacha s’excuse encore de sa réaction sur le bord de la route.
On en rigole et on claque un délire sur les mecs qui avaient tenter presque d’enlever les filles.
Elles sont reconnaissantes et on tente tous d’oublier cette bande de cons.
La nuit tombe très vite et on se débrouille pour la première nuit dans la même tente.
C’est laborieux et ça provoque quelques éclats de rire.
A ma surprise, Natacha se met torse nu sans gêne pour passer dans le duvet.
Laurence explose de rire à voir ma tête tentant de regarder ailleurs.
Les deux autres nanas se moquent de moi et me demande si ça me gêne.
Rapidement, j’explique que je suis un homme qui aime les femmes et que j’ai du mal à rester froid
devant un tel spectacle.
Les trois nanas se foutent ouvertement de ma gueule et je ne sais plus où me mettre.
Finalement, j’entre dans la tente le dernier quand tout le monde est dans son sac.
Quelques moqueries fusent encore et Laurence ne m’aide pas du tout, au contraire !
Laurence est torse nu aussi à côté de moi car nous dormons dans le même sac double.
Finalement, elle se blotti contre moi et nous nous endormons rapidement.

Le lendemain matin, les oiseaux chantent et toute la tente est dans le calme.
Je regarde vers le duvet des filles et je matte Julie qui a les seins presque sortis du duvet.
Je bande aussitôt à voir cette poitrine presque libre.
Je n’arrive pas à détacher mon regard de Julie et de ses seins qui ont l’air aussi ronds et lourds
que ceux de Laurence.
J’espère qu’elle fera un mouvement et que le bord du duvet pourra glisser et me laisser voir les
tétons.
En y réfléchissant, je suis complètement idiot car j’ai Laurence contre moi avec ses seins libres à
ma vue.
Ma tête fourmille d’idées cochonnes et j’ai envie de faire l’amour. La situation est délicate avec
les deux nanas à côté. Je tente de me calmer mais c’est assez difficile.
Le seul moyen est de bouger et d’aller dehors pour pisser et penser à autre chose.
Avec la gaule comme j’ai, je dois attendre et me calmer.
Au bout de quelques minutes, je range mon sexe dans le slip pour éviter de montrer une poutre
apparente et je me glisse hors du duvet.
J’évite de regarder vers Julie mais, ma curiosité me pousse à le faire quand même.
Elle est superbe avec sa coiffure en vrac et sa peau tâchée de grains de beauté.
Pour forcer le destin, je pose ma main sur le bord de son sac de couchage et je tire dessus
légèrement comme si de rien n’était.
Je gagne deux millimètre mais pas assez pour voir ce que je veux.
Frustré, je sors doucement de la tente et je referme derrière moi.
« Oh putain ! » L’air frais me fait du bien et je vais trouver un coin pour pisser contre un sapin.
Si j’oublie la scène avec Julie, la nature est calme et reposante.
Je sors la carte et je vais sur un promontoire pour étudier le terrain.
La montagne est super belle et j’ai la chance de voir des chamois. Cette vue me fait oublier Julie.
Après un bon moment à vérifier le chemin sur la carte IGN et à noter les points caractéristiques, je
retourne vers le camp.
Natacha revient au même moment d’un endroit à l’écart. Elle porte juste une liquette qui cache tout
juste ses fesses. Je ne peux m’empêcher de remarquer ses seins qui dansent librement derrière le
tissu en dessinant deux belles boules terminées par les pointes de ses tétons.
Je me félicite d’avoir mis le pantalon pour éviter qu’elle ne voit mon sexe gonflé.
Je lui demande si elle a bien dormi tout en faisant comme si je n’avais pas remarqué sa tenue.
Elle me dit qu’elle a bien dormi et me demande si j’ai réussi à m’endormir facilement.
Je ris en lui disant clairement que ça n’a pas été facile avec trois bombes à mes côtés.
Mine de rien, elle rentra dans la tente en me disant qu’elle allait en parler pour arranger ça la
prochaine fois.
Je regarde la fermeture de la tente se baisser en tentant de comprendre ce que je venais d’entendre.
Entre mon envie de vivre du cul avec les nanas et la réalité, je m’efforçais de rester pragmatique
et clair dans ma tête.
Pour continuer à reprendre le cour de ma vie réelle, je prend la gourde souple et je vais vers la
source découverte la veille.
Je fais le plein pour le café ou le chocolat chaud.
De retour au camp, je vois la fermeture de la tente ouverte mais personne autour.
Sans m’en formaliser, je commence à faire chauffer l’eau sur le réchaud.
Les pensées perdues sur la surface de l’eau commençant à frémir, je suis surpris par Laurence qui me
demande si je vais bien.
Après un sursaut me décrochant un sourire de ma bêtise, je répond que oui.
Elle me demande en catimini si je suis tenté par Julie et Natacha.
C’est tellement évident que je lui dis la vérité.
Elle sourit quand je lui dis que j’avais la trique à voir Julie presque les seins à l’air et que
Natacha en liquette le matin avec les pointes dressées avait presque suffit à faire frémir l’eau.
Laurence reste à côté de moi et attend avec moi que l’eau soit chaude.
Elle se colle à moi et me dit que c’est dommage pour notre semaine sexe en montagne.
Sans m’en rendre compte, je tombe comme un gamin dans le piège qu’elle me tend et je lui dis que ce
n’est pas grave, ce sera pour une autre fois.
Connaissant mon goût pour le sexe, elle sourit.
L’eau chaude fini dans le thermos et je range tout l’attirail dans le sac.
Je demande à Laurence ce que font les nanas parce que le chemin est long et qu’il va falloir se
bouger le cul.
Laurence me prend par la main et me dit simplement « Viens, je vais te montrer quelque chose ».
Elle se dirige vers la tente et écarte la toile de la porte.
Laurence entre dans la tente et me demande d’attendre un peu avant d’entrer.
Je reste dehors et dit que l’eau chaude est prête pour le café.
Pas de réponse immédiate, juste Laurence qui me dit : « C’est bon, tu peux entrer ! ».
J’entre à quatre pattes dans l’espace exiguë.
Un duvet couvre l’espace entier de la tente et je ne vois que trois têtes dépasser pour être posées
sur les oreillers gonflables.
Les trois nanas portent le même sourire sur le visage. Je demande ce que je dois faire.
Laurence me dit : « Soit tu vas préparer le café, soit tu viens te coucher avec nous. »
Avant même qu’elle ait fini sa phrase, mon sexe commença à devenir raide.
Je demandais, sans attendre, par où je devais entrer et Laurence écarta le bord du duvet pour me
faire entrer à côté d’elle.

Toujours à quatre pattes, je passe sur le bord du duvet et commence à me glisser dans la chaleur du
nid.
Laurence me demande de retirer le pantalon parce que ça ne va pas du tout.
Je le retire en faisant attention de ne pas montrer la trique longue et dure qui remplace mon sexe.
En me glissant dans le duvet, je vois tout de suite que Laurence ne porte pas de haut.
Elle me demande de passer sur elle pour se mettre à côté de Natacha.
Je dois être rouge comme une pivoine et je passe au dessus de Laurence comme si je faisais les
pompes.
Je ne peux m’empêcher de voir les seins de Natacha, aussi libre que ceux de ma femme.
Natacha me sourit, absolument pas pudique et gênée que je la vois presque nue.
Laurence prend la parole : « Voilà mon chéri, Julie et Natacha sont libres et veulent passer de
bonnes vacances. Pour cette semaine, on va faire équipe et tu vas pouvoir faire ce que tu fais avec
moi à nos deux invitées. Nous avions prévu une semaine de sexe en montagne, eh bien, nous allons
l’avoir. Tu dois seulement faire attention à Julie qui est encore vierge. Ne t’inquiète pas pour
moi. »
Devant la situation, je ne sais pas quoi dire et c’est Julie qui prend la parole : « Vierge n’est
pas vraiment le mot. Je n’ai jamais fais ça avec un garçon. C’est tout ! ».
« Ok, ok, ok… Et bien, me voilà dans de beaux draps ! Premièrement, je vous remercie de votre
confiance et j’espère que je vous décevrai pas dans tous les sens du terme ».
Natacha n’attend pas que ma phrase se termine et glisse sa main sur mon sexe.
Ce contact est électrique et un jet de sperme inonde d’un coup mon caleçon.
Je m’excuse mais Laurence vient à mon aide en le retirant après avoir essuyé et nettoyé mon sexe.
Absolument pas dégoûtée, Natacha m’attrape le sexe et le caresse avec douceur. Je soulève le duvet
et regarde les seins lourds de Natacha. Je me redresse et lui attrape un téton dans la bouche.
Aussitôt, Natacha pousse un soupir et c’est le point de départ de cette superbe matinée.
Julie se redresse et je vois ses seins ronds et lourds.
Julie rejoins Natacha sur mon sexe dans une caresse à deux mains.
Je dis qu’elles sont super belles et que j’ai la chance d’avoir des filles avec des seins aussi
beaux.
Laurence ajoute que je suis un adepte des poitrines généreuses.
Natacha se redresse et retire sa culotte. Je la regarde à peine faire car j’ai le plaisir de lécher
à plein langue une des loches de Julie. Elle commence aussi à gémir.
Natacha me chevauche et enfile mon sexe en elle.
Je glisse ma main vers le sexe de Julie et elle écarte le tissu pour m’offrir l’accès à sa chatte
douce et soyeuse.
Natacha ondule du bassin et je masturbe Julie avec douceur.
Julie me donne le sein et Laurence attrape l’autre et commence à le sucer et le lécher.
Laurence relâche le sein de Julie et me dit « Maintenant, je comprend pourquoi tu aimes me sucer les
seins. C’est super bon » et elle reprend son travail avec Julie.
Dans la matinée, Natacha attrapa un orgasme et cela me fit venir en elle.
Julie et Laurence on fini par s’embrasser à pleine bouche avec moi. Un gros baiser à trois.
Julie lécha les seins de Laurence avec moi.
Julie eut aussi un orgasme en se masturbant pendant que je la caressais.
Ma femme se fit venir en s’écrasant le clito avec l’aide de Natacha qui s’attarda à lui caresser les
fesses et la chatte.
Natacha ne me laissa pas sortir d’elle.
La matinée se prolongea en discutant avec des caresses de temps en temps.
Midi arriva et nous n’avions pas bougé d’un pouce dans cette montagne.
Une décision fut prise de ne pas bouger de la journée mais que les jours prochains allaient être
chargé pour rattraper le retard.
Dans la journée, Julie fut ma partenaire avec beaucoup de douceur. Laurence et Natacha se
caressaient et venaient de temps en temps participer à nos baisers et caresses.
Juste avant de dormir pour une deuxième nuit en montagne, Laurence reçu au fond de son ventre un jet
vaillant mais fatigué de ma personne.
C’est étonnant comment quatre personnes peuvent se donner autant d’amour sans se connaître. A la fin
de cette journée, c’était un peu comme si nous nous connaissions depuis fort longtemps.

Le lendemain, je me réveillais avec Julie contre moi et Laurence me tournant le dos.
Tout le monde se réveilla en même temps et la nudité nous posa beaucoup moins de problème que le
réveille précédent.
Natacha et Laurence se lèvent en premier et Julie me force à rester un peu avec elle.
Ma petite érection du matin devient vite un acte amoureux avec Julie qui me dirige en elle.
Ses seins dans les mains, je la pénètre par derrière en glissant dans un fourreau doux et chaud.
Julie me dirige et me garde en elle pendant que je glisse.
Rapidement, j’explose en elle avant même qu’elle ne trouve le chemin de l’orgasme.
Elle laisse échappé un « Je t’aime » qui me touche profondément et nous restons serré l’un contre
l’autre jusqu’au moment où Laurence secoue la tente pour nous faire venir.
La matinée est beaucoup plus sportive que la précédente car en une heure, tout est rangé dans les
sacs.
Julie reste toute la matinée avec moi sur le chemin pour suivre l’itinéraire.
Laurence vérifie régulièrement on est notre couple. A plusieurs reprises, je croise son regard et
elle me sourit à chaque fois. Ca me rassure car j’ai toujours peur qu’elle soit jalouse.
Si je m’aperçois que ma femme a le moindre doute sur l’amour que j’ai pour elle, la solution sera
radicale et nous finirons à deux cette balade en montagne.
Pour le moment, j’ai l’impression que Laurence s’amuse de cette aventure et qu’elle y trouve de
nombreux plaisirs.
Pour preuve, lors d’une pause, elle embrasse délicatement Natacha qui lui rendit le baiser.
La journée est rude et nous devons même forcer la marche pour atteindre un promontoire pour la nuit.
A la lampe frontal, nous installons la tente dans une crevasse. Après la nuit dans une petite
clairière, c’est une nuit sur des cailloux avec plus d’une heure pour que tout le monde trouve sa
place sur ce relief accidenté.
La journée éreintante ne nous laisse pas le choix que de dormir rapidement. La fatigue nous emporte
tous sans aucune idée de faire des câlins.
Le matin du troisième jour est brumeux. C’est la pire journée de cette semaine car nous rangeons les
affaires humides et toute la journée se déroule dans un îlot de coton mettant les nerfs à dure
épreuve. Laurence et Natacha s’occupent de la carte avec Julie et moi. Il est hors de question de
nous perdre dans ce passage car il n’y a aucun moyen de se retrouver dans cette purée.
Nous ne voyons pas le soleil de la journée et c’est seulement vers le crépuscule que nous trouvons
un endroit pour la nuit légèrement en dehors de la piste.
Encore une nuit où tout le monde écrase sans demander son reste.
Normalement, le lendemain, nous devons trouver un village mais nous crayons de ne pas trouver nos
repères.
Le matin, nous sommes réveillé par les cloches des vaches paissant autour de nous.
C’est le fou rire quand Natacha hurle en ouvrant la tente et se retrouvant nez à nez avec une vache
qui détale vers l’extrémité de la prairie.
Le soleil est revenu et le moral aussi.
Julie, toujours avec moi pour la cartographie, me rejoins pour prendre les repères et nous avons
l’agréable surprise de voir le village juste en dessous dans la vallée.
Pendant la descente, la décision est prise de faire une nuit dans un hôtel s’il y en a un.
Nous sommes dégueulasses et une douche nous manque.
Une fois dans le village après une grosse matinée de marche, nous trouvons de quoi acheter quelques
nourritures consistantes. Ensuite, nous nous évadons sur les alentours et mettons à sécher le
matériel.
Natacha et Julie vont chercher un hôtel pour la prochaine nuit et reviennent quelques temps après
pour nous dire qu’elles n’ont trouvé qu’un restaurateur qui veut bien nous donner accès à la douche.
Par contre, nous dormirons dans la tente car le seul hôtel du village n’est ouvert que pendant la
période estivale.
Le restaurateur est super sympa et nous mangeons avec lui le soir.
Nous laissons un joli pourboire et nous allons nous coucher dans la tente que nous avons placé dans
un espace « jardin » à côté du restaurant.
La nuit est superbe et notre quatuor va beaucoup mieux.
Le lendemain, nous traçons vers la suite de notre périple avec la forme retrouvée.
Il reste deux jours pour rejoindre la voiture et nous sommes obligés de forcer l’allure.
La nuit suivante, nous sommes un peu triste car c’est notre dernière nuit ensemble.
Je fait l’amour à Natacha qui est rejointe par Julie. J’honore les deux jeunes femmes et nous nous
promettons de nous revoir après cette semaine. Nous habitons à Valence et les filles viennent de
Montélimar, donc moins d’une heure de route pour retrouver notre équipe au complet, c’est pas la
mort.
Laurence se lâche sur les projet cul avec des idées très portées sur la découverte des plaisirs
lesbiens.
Natacha est intéressée et Julie veut bien essayer. Pour ma part, j’ai comme idée de lécher tout le
monde et d’inventer plein de trucs pour le plaisir.
Nous partons dans un sommeil empli de projets.
Le lendemain, nous retrouvons la voiture après une grosse journée de marche. Les pieds sont chauds
et nous sommes crevé.
Nous prenons la route pour 3 heures de voiture.
Les filles décident de venir chez nous pour le week-end et tout le monde est content.
Arrivé à minuit, on s’effondre dans le lit et le canapé sans chercher à réfléchir.
Le lendemain, nous passons la journée enfermé à nous refaire une santé et à faire l’amour à tour de
rôle.
Laurence lèche Natacha et les deux trouvent un immense plaisir à les entendre gémir et crier de
plaisir.
Pour ma part, je m’occupe de Julie et de ma femme en les léchant en même temps.
Ce week-end fut un vrai délice et dimanche a son lot de larmes même si on sait que nous nous
reverrons bientôt.

Le résultat de cette aventure est simple : Nous n’avons aucune photo de montagne mais nous avons
découvert l’amour entre filles avec aucune jalousie et aucune préférence de quoi que ce soit.
Cette découverte est un vrai plaisir que nous recommençons dès que nous pouvons.
Il n’est pas question de changer nos métiers, nos habitats et notre vie.

Après 7 mois, Natacha se détache un peu et seule Julie revient régulièrement. Laurence est une
bisexuelle comme Julie qui est vraiment douce.
Laurence a découvert l’amour avec une femme. Julie a découvert l’amour avec un homme. Moi, j’ai
découvert l’amour avec deux femmes.

Voilà une aventure qui rend tout le monde heureux dans un plaisir partagé.

Comme les mères qui aiment tout leurs enfants sans différence, nous prouvons que l’amour physique et
moral est possible dans les mêmes dispositions.

Les voisins sont les seuls qui nous font des gros yeux. La famille n’est au courant de rien sinon,
on serait les pires personnages de cette triste planète.

L’avenir… tout est à faire, donc pas de plan en particulier.

Les avis des lecteurs

Très belle histoire, très bien racontée.
J'ai bandé pendant toute ma lecture!
Vivement la suite de tes amours avec laurence et Julie...



Texte coquin : Jolis seins en montagne
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