Josette et Fabrice
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Josette et Fabrice
Comme il est bon de changé de crémerie, je frappe ce matin là, à la porte de Josette, sachant très bien que le neveu Fabrice est en cour, donc absent. Elle m’ouvre en peignoir.
-Toi ! Dit-elle, je ne comptais plus te voir.
-Je peux entrer.
-Puisque tu es là, entre !
Elle me fait passer devant elle.
-J’espère que tu es là pour me baiser ? Me fait-elle en prenant un air secrètement amusé.
Elle caresse l’arête du meuble à chaussures en souriant.
-Pourquoi pas !
Alors elle me précède, et m’entraîne dans la chambre. Elle se laisse tomber lourdement sur le lit. Elle s’amuse à rebondir un peu sur le derrière, en gloussant comme une folle. Là, elle écarte les deux pans de son peignoir. Elle ne porte rien dessous.
-Tu attendais quelqu’un ?
-Pourquoi cette question ?
-Ta tenue !
-J’ai fait la grâce matinée.
-Et Fabrice ?
Elle écarte largement les cuisses et m’ordonne :
-Viens plutôt me lécher ! J’en rêve !
Je m’installe à genoux au bord du lit et Josette pose ses cuisses sur mes épaules. De mes mains j’écarte ses fesses et scrute son anus. Je soulève ses fesses et chatouille son anus du bout de ma langue.
-Il n’y a que toi pour bouffer un cul de bon matin !
Je pose ma bouche sur le sexe gluant et ma langue cherche l’entrée du vagin. Je lèche aussitôt, ne m’interrompant qu’une fois pour dire avec gratitude.
- Comme ta chatte est parfumée, tu me gâte !
- Je ne me suis pas encore lavée.
Je plonge à nouveau entre les cuisses. Elle me saisit la tête juste avant de pousser un gémissement de bonheur. Elle soulève ses hanches en ondulant. Elle halète de plus belle.
-Oui… oui, bouffe-moi bien la chatte comme tu sais si bien me le faire. ta langue m’a manqué, tu ne peux pas savoir !
Soudain, son corps est pris de tremblements. Je lape une mouille plus acide. Je m’acharne sur le bourgeon enflé du clitoris, tandis qu’elle s’immobilise, me broyant la tête entre ses cuisses.
-Oui… putain oui, je pars… oui je pars…
Je crois suffoquer, la bouche et le nez plaqués contre sa chatte enivrante. L’étau se desserre, je peux reprendre ma respiration, mais comme ses mains me tiennent toujours la nuque, je reste le visage contre l’entrejambe moite, me soûlant des senteurs fortes qui s’en dégagent. Ma verge était tellement tendue que j’en avais mal.
-Putain, hurle-t-elle, que ça fait du bien ce faire bouffer la chatte !
-Cela vaut bien un petit café.
-Tout ce que tu veux mon chéri. Je te dois bien ça après ce que tu viens de me donner. Mais dis-moi, tu n’as pas pris ton plaisir, toi !
-Je garde ça pour un peu plus tard, si cela ne te dérange pas.
-Avec moi, j’espère !
-Bien sûr Josette.
-Bien, je suis preneuse. Bon, pour la peine je te propose mieux qu’un simple expresso, mais seulement si tu me laisses le temps de passer quelques vêtements.
-J’espère que s’est du sexy.
-Tu verras ça petit vicieux ! Je te propose de m’attendre dans le salon.
-Le message est pris ! Fais-je m’engageant en direction du lieu choisi.
Josette me revient quelques minutes plus tard, vêtue d’un body rouge échancré aux hanches et passé sur un collant transparent qui lui recouvre les jambes jusqu’aux chevilles.
Déjà lorsqu’elle se déplace, ses fesses ressortent presque entières. Je trouve cela excitant.
Sous sa gorge, deux globes appétissants débordent de l’échancrure du body.
Je ne peux m’empêcher de plonger mon regard à l’endroit fatidique où le body rouge s’engouffre dans une fente profonde.
Là, la transparence du collant laisse deviner une abondant toison qui saille de chaque côté, au niveau du pubis. Un gros poil sombre, dru, frisé. Au-dessous, l’enfleure des deux replis symétriques, s’atténuant dans la direction des fessiers, dessine un volume terriblement suggestif.
-Eh bien ? Qu’est-ce que tu regarde de cette façon ? Ma chatte ?
En main, un plateau sur lequel il y a une bouteille de champagne.
-Alors ? Me fait-elle.
-Et bien… je suis assourdi.
Après avoir fait sauter le bouchon, elle empli les verres avec aisance. Josette affiche un sourire gourmand et amusé, alors qu’elle s’installe à côté de moi. Je sens sa cuisse contre la mienne et sa bouche frôle ma joue. Sans aucune hésitation comme quelques jours plus tôt avec Madame G… dans la cave, alors qu’elle chargeait des pommes de terre dans des sacs, je pose ma main sur sa cuisse et remontre lentement vers sa culotte. Pour faciliter l’approche Josette écarte les genoux.
C’est l’instant que choisit Fabrice pour faire son entrée parmi nous.
-Mais dis-moi, fait Josette, surprise de le voir, je te croyais en cour ?
-Pas ce matin, tata ! Je te l’avais pourtant dit ! Mais bien sûr tu ne m’écoutes jamais !
Je la vois alors roussir des joues. Sans doute confuse, de son extériorisation verbale lors de notre rapport sexuel quelques minutes plus tard dans la chambre. Ne se doutant pas un seul instant de la présence de son neveu dans les locaux.
-Tu prendrais bien une coupe ? Bafouille-t-elle.
-Mais tata, où as tu la tête, tu sais bien que je ne prends pas d’alcool.
-A oui… c’est vrai mon chéri ! Il faudrait peut-être que je me passe autre chose. Fait-elle en se levant.
-Mais pourquoi ? Fais-je, je te trouve désirable comme ça, n’est-ce pas Fabrice.
Le neveu n’ose pas donner son avis, mais je constate une déformation révélatrice au centre de son corps. Alors que je suis à ma première coupe, Josette est à son troisième. Elle rit toute seule. Je mets ça sur le compte de l’alcool. Après quoi elle nous regarde longuement sans parler. C’est alors que des fantasmes tournent au-dessus de moi, comme des vautours. Ce qui me rend fou. Alors j’en choisis un et le mets tout de suite en application.
Sans me soucier du gamin, je place ma main, par pu provocation sur un sein de Josette. La vue de son entrejambe doit satisfaire le neveu. Cela n’échappe pas non plus à la tante, vu la direction de son regard, lorsqu’elle se redresse avant de se rendre plus présentable en refermant les cuisses et rabattant sa mini.
-Mais Alain ? Voyant, un peu de tenu. Nous ne sommes plus seuls ! Fait-elle en riant bêtement.
-T’inquiète ton neveu est un grand garçon. Il en a vue bien d’autre.
-Ce n’est pas une raison pour lui en donner encore. Et… et… d’ailleurs imagine qu’il chante cela à ma sœur. Je passe pour quoi, moi ?
-Pour une femme aimant prendre son pied ! Tu n’as aucun compte à rendre à personne.
Cela n’empêche pourtant pas, à la tata, de se laisser serrer entre mes bras, alors qu’elle me sermonne. Je prends plus cela pour le principe, envers son neveu, que pour ses propres caprices à elle. Que je connais être toutes autres. Car le ton n’est pas vraiment aux reproches. Je devine même qu’elle acquiesce ce que je fais. Et que ses trois coupes bu coups pour coups sont pur fantaisies.
D’ailleurs Josette affiche un sourire gourmand et amusé. Je suis submergé par une envie folle. Celle de faire quelque chose de sale avec cette femme. Et surtout devant les yeux témoins de son neveu. Je pense même qu’il serait alors le plus heureux des hommes. Ma main agrippe ses cheveux alors que la gauche remonte vers sa poitrine. Subséquemment, je lui bâillonne sa bouche de mes lèvres. Elle s’abandonne à ma langue, tout en posant une paume sur ma braguette. Je bande dur. Elle trouve la fermeture et la glisse vers le bas. Prompt d’être touché, je l’aide en défaisant mon bouton. Elle extrait ma queue de mon slip tendu. Ma main dans ses cheveux l’amène vers le bas, pour la faire s’installer à genoux. Je guide mon gland, a aller au contact de ses lèvres. Elle le laisse instinctivement la pénétrer. Elle en lustre la surface en y passant sa langue.
Pendant qu’elle me suce, je mets à nu ses seins. J’acquiesce un clin d’œil à Fabrice qui ne perd rien de ce qui se déroule devant ses yeux. D’ailleurs conscient de lui en donner plus, je fais installer sa tante de nouveau près de moi. Je passe un de mes doigts entre ses lèvres à travers les mailles. Elle mouille. Je passe mon index sur son clito, insiste en passant sur l’orée de son antre et étale son jus jusqu’à son anus. Sur lequel je presse pour en tester l’élasticité, entrainant dans le geste le nylon. Contre toute attente, il s’ouvre. J’en ai trop envie de ce trou, à en perdre la tête.
Comme moi, Fabrice vient certainement de voir son petit buisson châtain, j’ai envie de lui offrir une vision directe de sa chatte. Il me vient à l’esprit qu’il est simplement puceau.
-As-tu déjà fait l’amour à une, si belle femme ? Fais-je, en connaissant déjà la réponse.
-Non ! répond-il sans oser regarder sa tante.
-Je présume que ça te ferait plaisir de voir la chatte de ta tante mieux que sous le nylon ?
-Eh ! Réagit la tante en me donnant un léger coup de coude.
Plus pour le principe que par révolte. Le neveu, prit au dépourvu, ne sait comment réagir en nous regardant. Mais je sais parfaitement qu’il en rêve. Comme il m’en avait confessé, plusieurs semaines avant. Je devine qu’il aurait aimé être à ma place. Et de pouvoir mettre sa main à la place de la mienne.
Pour lui prouver qu’il ne rêve pas, je vais lui offrir cette émotion. Je demande à la tante d’écarter ses cuisses. Et à la force de mes doigts, après avoir fait sauter la pression du body à l’entrejambe, je déchire pas sans mal le collant à l’entrejambe. Josette ne cherche même pas à m’en empêcher. Comme elle ne cherche pas à dissimuler son entrejambe. Même si elle n’exhibe pas vraiment son buisson qui recouvre la naissance de la vulve, qu’elle divulgue à la vue du neveu.
Elle accepte même cette exhibition en souriant. Je devine qu’à cet instant, qu’elle se trouve dans le même trip que moi. C’est donc gagné pour une partie de jambe en l’air.
Je demande à Josette qui ne peu plus rien me refuser d’aller s’asseoir sur les genoux de son neveu. Pour ma plus grande joie, elle s’exécute. Le neveu, un peu gauche peut-être du fait de la tournure des événements, réussit tout de même à poser sa main sur la cuisse toujours gainée de sa tante en regardant de près sa poitrine. Jouant le jeu, elle se laisse caresser la peau et va même jusqu’à passer son bras derrière la tête du jeunot pour lui caresser les cheveux, ce qui semble lui donner confiance.
Du coup, la main du neveu se faufile vers sa fourche assez rapidement. Bien entendu, j’observe la tante, qui se laisser faire en ouvrant les cuisses.
Cette dernière me souriant de manière complice, laisse tomber :
-L’alcool me fait faire n’importe quoi !
Je me dis pour moi-même, que l’alcool avait bon dos !
-Comment trouves-tu la poitrine de ta tante Fabrice ?
Ma manœuvre a pour but de lui faire toucher les seins de sa tante.
-Belle !
-Merci mon neveu !
-Tu sais Fabrice, qu’elle aime qu’en la lui masse !
-Alain… je t’en prie ! Lâche Josette.
Il ne lui en faut pas plus au neveu, pour lui palper le sein, évaluant le galbe de la paume de sa main. Il soupèse le sein avant de le prendre en bouche. Elle laisse profiter quelques instants son neveu avant de se lever. Elle nous prend chacun par la main et nous transporte jusqu’à sa chambre.
La tante se pend à mon cou en frottant sa poitrine contre moi pour m’embrasser. Puis, après un mouvement de rotation et un sourire engageant, elle dirige sa bouche vers celle de son neveu qui s’interroge un peu avant de lui rendre son baiser, vraisemblablement du fait qu’il a affaire à son tante.
Elle repose ses lèvres sur les siennes et se pend à son cou pour se frotter la poitrine contre son torse. Le jeune répond au baiser, mais semble hésiter avant de poser ses mains sur le corps de sa tante qui le regarde de très près, se faisant chatte contre son sexe dressé.
Je m’approche de l’oreille du jeunot et lui chuchote un encouragement pour ploter sa tante. Il se décide enfin à la prendre par la taille d’une main, et à caresser un sein de l’autre. La tante savoure et lui redonne sa bouche pour de petits effleurements sensuels, répondant aux caresses, dirige sa main vers la protubérance du neveu pour tâter son érection. D’abord au-dessus le pantalon, et très vite sa main trouve l’ouverture pour se glisser à l’intérieur du slip. Pas besoin de le voir pour savoir qu’elle s’empare de la queue. Me sentant derrière elle, la tante tourne la tête en continuant de branler doucement le fils de sa sœur et me donne sa bouche à embrasser.
Fabrice, comprenant alors, que tout lui est permis, il engage sa main en direction de la fourche de tata. Il s’applique à la satisfaire tout en parcourant la vulve excitée. La tante brise naturellement notre baiser alors que je lui caresse les deux seins par derrière. Déguste nos mains sur son corps. Ses yeux se fermant progressivement sous l’action de cette main amicale devenue curieuse.
La coquine à la bonne idée de prendre nos sexes dans chacune de ses mains. Qu’elle garde bien de nous masturber, pour ne pas nous faire dégainer trop vite. Toujours derrière elle, je roule ses deux tétons entre mes doigts en la serrant contre moi pour qu’elle sente mon excitation. J’approche ma bouche de son oreille et lui chuchote :
-Josette, aller suce-le !
-Alain…je suis saoule mais pas à ce point !
-Aller, il n’attend que ça…
-Bon…bon, c’est bien pour te faire plaisir !
Fabrice surpris de voir sa tante s’agenouillée à ses pieds. Après avoir décalotté et embrassé son gland, la tante ouvre la bouche pour gober uniquement le gland et effectuer quelques lents allers-retours. Pour un homme qui n’a pas joui depuis longtemps c’est déjà un supplice, mais pour un jeune puceau c’est un risque d’éjaculation immédiate supplémentaire. Je suis passé par là pour bien le savoir.
Heureusement elle semble savoir y faire et exerce une pression sur la circonférence du pénis pour ne pas avoir de surprise. Fabrice me regarde avec des yeux embués qui m’incitent à lui en offrir plus qu’une simple pipe de la part de tata. Je fais pour cela relever la tante, pour la faire s’allongée sur le lit.
Comme ce fut mon cas jadis devant la chatte à ma tante Christiane, Fabrice observe celle de Josette.
-Il est temps mon neveu de devenir un homme tu ne crois pas ? Fait la tante en écartant les cuisses.
De tel propos ne peut que l’encourager à s’exécuter. Il me jette toutefois un petit regard. Juste un clin d’œil de ma part et le voilà qu’il enjambe la tante et à orienter son gland turgescent contre la vulve enflée qui n’attend que cette intromission. Le visage réjoui du neveu fait plaisir à voir, alors qu’il sent son gland s’insérer entre les muqueuses gonflées. Comme moi, il regarde sa verge disparaître puis réapparaître entre les lèvres vaginales recouvertes de quelques poils. Chauffé à bloc, comme c’est prévisible il explose bien trop tôt pour donner un orgasme à sa tante mais peu importe.
Lorsqu’il se retire du con de sa tante, je le sens un peu confus. Je me fais un devoir de le rassurer en lui disant que c’est normal, que nous sommes tous passé par là un jour. Qu’il va vite retrouver de la vigueur et qu’il sera plus endurant que lors de sa première relation.
La tante, après s’être essuyée, vient se blottir amoureusement contre moi pour m’embrasser. Nous nous caressons mutuellement. Puis le neveu
se penche pour embrasser sa tante en prenant son téton érigé entre ses doigts. Je profite de l’instant pour offrir à tata une caresse buccale. Sachant très bien qu’avec cette caresse je vais lui donner du plaisir. Je me concentre sur son bouton. Le jeunot est admiratif. La tante jouit assez violement. Par un rapide pivot, la tante reprend le gland du neveu en bouche en vue de lui administrer une fellation dont elle veut qu’il se souvienne. Je profite pour la pénétrer en levrette. Fabrice explose dans sa bouche en lui tenant sans exagération la tête tout en la regardant. Elle le boit, en le masturbant jusqu’à la dernière goutte, ce qui me laisse le temps de jouir à mon tour en elle. Nous sommes assoiffés, souillés.
Alors que je reprends mes esprits je constate que le jeunot semble de plus en plus attiré par la découverte du vagin de la tata.
-Lèche-la !
J’entends Josette dire à son neveu. D’abord maladroit, il s’améliore graduellement car la tante se met progressivement à gémir. Les gémissements se transforment en spasmes lorsqu’il insère de son propre chef, plusieurs doigts en elle. Proche de la jouissance, voilà la tante qui repousse son neveu, pour l’enjamber. Vicieusement elle oriente elle-même le pénis en elle, puis s’active doucement sur le pieu dressé en s’appuyant sur la poitrine de son jeune amant.
Ce dernier la tient par les fesses et cherche à lui faire accélérer le rythme. Mais la tata veut le dominer et impose sa cadence. Il accepte de la laisser faire et se contente de stimuler sa poitrine qui danse sous nos yeux.
Comme moi, le jeunot cherche à observer à travers leurs poils l’union de son pénis avec la vulve qui lui donne du plaisir. La tante, fière d’elle, me regarde en jubilant alors que je me masturbe doucement pour lui montrer que je partage son plaisir.
Le bonheur me vient progressivement. Mais je me retiens pour ne pas éjaculer ailleurs que dans sa bouche de Josette, alors qu’elle chevauche toujours son neveu. Elle s’en aperçoit, et s’active de plus en plus sur le pieu qui la pénètre sûrement profondément. Car le jeune homme, comme je le sais si bien pour l’avoir essayer, a un sexe fin et long.
Parvenu à sa troisième jouissance, Fabrice déclare forfait. Ce qui conduit la tante à revenir vers moi. Alors que je suis en attente, en situation d’observateur debout à côté du lit.
Après m’avoir embrassé sur la bouche, à genoux sur le lit, la tante se met à quatre pattes et, se servant de sa main et de sa bouche, me gratifie d’une fellation. Le neveu observe mais ne participe pas, se contentant juste de lui caresser les seins ou les fesses d’une main.
Je me suis laissé dire qu’ils ont passé d’agréables soirées, par la suite !
-Toi ! Dit-elle, je ne comptais plus te voir.
-Je peux entrer.
-Puisque tu es là, entre !
Elle me fait passer devant elle.
-J’espère que tu es là pour me baiser ? Me fait-elle en prenant un air secrètement amusé.
Elle caresse l’arête du meuble à chaussures en souriant.
-Pourquoi pas !
Alors elle me précède, et m’entraîne dans la chambre. Elle se laisse tomber lourdement sur le lit. Elle s’amuse à rebondir un peu sur le derrière, en gloussant comme une folle. Là, elle écarte les deux pans de son peignoir. Elle ne porte rien dessous.
-Tu attendais quelqu’un ?
-Pourquoi cette question ?
-Ta tenue !
-J’ai fait la grâce matinée.
-Et Fabrice ?
Elle écarte largement les cuisses et m’ordonne :
-Viens plutôt me lécher ! J’en rêve !
Je m’installe à genoux au bord du lit et Josette pose ses cuisses sur mes épaules. De mes mains j’écarte ses fesses et scrute son anus. Je soulève ses fesses et chatouille son anus du bout de ma langue.
-Il n’y a que toi pour bouffer un cul de bon matin !
Je pose ma bouche sur le sexe gluant et ma langue cherche l’entrée du vagin. Je lèche aussitôt, ne m’interrompant qu’une fois pour dire avec gratitude.
- Comme ta chatte est parfumée, tu me gâte !
- Je ne me suis pas encore lavée.
Je plonge à nouveau entre les cuisses. Elle me saisit la tête juste avant de pousser un gémissement de bonheur. Elle soulève ses hanches en ondulant. Elle halète de plus belle.
-Oui… oui, bouffe-moi bien la chatte comme tu sais si bien me le faire. ta langue m’a manqué, tu ne peux pas savoir !
Soudain, son corps est pris de tremblements. Je lape une mouille plus acide. Je m’acharne sur le bourgeon enflé du clitoris, tandis qu’elle s’immobilise, me broyant la tête entre ses cuisses.
-Oui… putain oui, je pars… oui je pars…
Je crois suffoquer, la bouche et le nez plaqués contre sa chatte enivrante. L’étau se desserre, je peux reprendre ma respiration, mais comme ses mains me tiennent toujours la nuque, je reste le visage contre l’entrejambe moite, me soûlant des senteurs fortes qui s’en dégagent. Ma verge était tellement tendue que j’en avais mal.
-Putain, hurle-t-elle, que ça fait du bien ce faire bouffer la chatte !
-Cela vaut bien un petit café.
-Tout ce que tu veux mon chéri. Je te dois bien ça après ce que tu viens de me donner. Mais dis-moi, tu n’as pas pris ton plaisir, toi !
-Je garde ça pour un peu plus tard, si cela ne te dérange pas.
-Avec moi, j’espère !
-Bien sûr Josette.
-Bien, je suis preneuse. Bon, pour la peine je te propose mieux qu’un simple expresso, mais seulement si tu me laisses le temps de passer quelques vêtements.
-J’espère que s’est du sexy.
-Tu verras ça petit vicieux ! Je te propose de m’attendre dans le salon.
-Le message est pris ! Fais-je m’engageant en direction du lieu choisi.
Josette me revient quelques minutes plus tard, vêtue d’un body rouge échancré aux hanches et passé sur un collant transparent qui lui recouvre les jambes jusqu’aux chevilles.
Déjà lorsqu’elle se déplace, ses fesses ressortent presque entières. Je trouve cela excitant.
Sous sa gorge, deux globes appétissants débordent de l’échancrure du body.
Je ne peux m’empêcher de plonger mon regard à l’endroit fatidique où le body rouge s’engouffre dans une fente profonde.
Là, la transparence du collant laisse deviner une abondant toison qui saille de chaque côté, au niveau du pubis. Un gros poil sombre, dru, frisé. Au-dessous, l’enfleure des deux replis symétriques, s’atténuant dans la direction des fessiers, dessine un volume terriblement suggestif.
-Eh bien ? Qu’est-ce que tu regarde de cette façon ? Ma chatte ?
En main, un plateau sur lequel il y a une bouteille de champagne.
-Alors ? Me fait-elle.
-Et bien… je suis assourdi.
Après avoir fait sauter le bouchon, elle empli les verres avec aisance. Josette affiche un sourire gourmand et amusé, alors qu’elle s’installe à côté de moi. Je sens sa cuisse contre la mienne et sa bouche frôle ma joue. Sans aucune hésitation comme quelques jours plus tôt avec Madame G… dans la cave, alors qu’elle chargeait des pommes de terre dans des sacs, je pose ma main sur sa cuisse et remontre lentement vers sa culotte. Pour faciliter l’approche Josette écarte les genoux.
C’est l’instant que choisit Fabrice pour faire son entrée parmi nous.
-Mais dis-moi, fait Josette, surprise de le voir, je te croyais en cour ?
-Pas ce matin, tata ! Je te l’avais pourtant dit ! Mais bien sûr tu ne m’écoutes jamais !
Je la vois alors roussir des joues. Sans doute confuse, de son extériorisation verbale lors de notre rapport sexuel quelques minutes plus tard dans la chambre. Ne se doutant pas un seul instant de la présence de son neveu dans les locaux.
-Tu prendrais bien une coupe ? Bafouille-t-elle.
-Mais tata, où as tu la tête, tu sais bien que je ne prends pas d’alcool.
-A oui… c’est vrai mon chéri ! Il faudrait peut-être que je me passe autre chose. Fait-elle en se levant.
-Mais pourquoi ? Fais-je, je te trouve désirable comme ça, n’est-ce pas Fabrice.
Le neveu n’ose pas donner son avis, mais je constate une déformation révélatrice au centre de son corps. Alors que je suis à ma première coupe, Josette est à son troisième. Elle rit toute seule. Je mets ça sur le compte de l’alcool. Après quoi elle nous regarde longuement sans parler. C’est alors que des fantasmes tournent au-dessus de moi, comme des vautours. Ce qui me rend fou. Alors j’en choisis un et le mets tout de suite en application.
Sans me soucier du gamin, je place ma main, par pu provocation sur un sein de Josette. La vue de son entrejambe doit satisfaire le neveu. Cela n’échappe pas non plus à la tante, vu la direction de son regard, lorsqu’elle se redresse avant de se rendre plus présentable en refermant les cuisses et rabattant sa mini.
-Mais Alain ? Voyant, un peu de tenu. Nous ne sommes plus seuls ! Fait-elle en riant bêtement.
-T’inquiète ton neveu est un grand garçon. Il en a vue bien d’autre.
-Ce n’est pas une raison pour lui en donner encore. Et… et… d’ailleurs imagine qu’il chante cela à ma sœur. Je passe pour quoi, moi ?
-Pour une femme aimant prendre son pied ! Tu n’as aucun compte à rendre à personne.
Cela n’empêche pourtant pas, à la tata, de se laisser serrer entre mes bras, alors qu’elle me sermonne. Je prends plus cela pour le principe, envers son neveu, que pour ses propres caprices à elle. Que je connais être toutes autres. Car le ton n’est pas vraiment aux reproches. Je devine même qu’elle acquiesce ce que je fais. Et que ses trois coupes bu coups pour coups sont pur fantaisies.
D’ailleurs Josette affiche un sourire gourmand et amusé. Je suis submergé par une envie folle. Celle de faire quelque chose de sale avec cette femme. Et surtout devant les yeux témoins de son neveu. Je pense même qu’il serait alors le plus heureux des hommes. Ma main agrippe ses cheveux alors que la gauche remonte vers sa poitrine. Subséquemment, je lui bâillonne sa bouche de mes lèvres. Elle s’abandonne à ma langue, tout en posant une paume sur ma braguette. Je bande dur. Elle trouve la fermeture et la glisse vers le bas. Prompt d’être touché, je l’aide en défaisant mon bouton. Elle extrait ma queue de mon slip tendu. Ma main dans ses cheveux l’amène vers le bas, pour la faire s’installer à genoux. Je guide mon gland, a aller au contact de ses lèvres. Elle le laisse instinctivement la pénétrer. Elle en lustre la surface en y passant sa langue.
Pendant qu’elle me suce, je mets à nu ses seins. J’acquiesce un clin d’œil à Fabrice qui ne perd rien de ce qui se déroule devant ses yeux. D’ailleurs conscient de lui en donner plus, je fais installer sa tante de nouveau près de moi. Je passe un de mes doigts entre ses lèvres à travers les mailles. Elle mouille. Je passe mon index sur son clito, insiste en passant sur l’orée de son antre et étale son jus jusqu’à son anus. Sur lequel je presse pour en tester l’élasticité, entrainant dans le geste le nylon. Contre toute attente, il s’ouvre. J’en ai trop envie de ce trou, à en perdre la tête.
Comme moi, Fabrice vient certainement de voir son petit buisson châtain, j’ai envie de lui offrir une vision directe de sa chatte. Il me vient à l’esprit qu’il est simplement puceau.
-As-tu déjà fait l’amour à une, si belle femme ? Fais-je, en connaissant déjà la réponse.
-Non ! répond-il sans oser regarder sa tante.
-Je présume que ça te ferait plaisir de voir la chatte de ta tante mieux que sous le nylon ?
-Eh ! Réagit la tante en me donnant un léger coup de coude.
Plus pour le principe que par révolte. Le neveu, prit au dépourvu, ne sait comment réagir en nous regardant. Mais je sais parfaitement qu’il en rêve. Comme il m’en avait confessé, plusieurs semaines avant. Je devine qu’il aurait aimé être à ma place. Et de pouvoir mettre sa main à la place de la mienne.
Pour lui prouver qu’il ne rêve pas, je vais lui offrir cette émotion. Je demande à la tante d’écarter ses cuisses. Et à la force de mes doigts, après avoir fait sauter la pression du body à l’entrejambe, je déchire pas sans mal le collant à l’entrejambe. Josette ne cherche même pas à m’en empêcher. Comme elle ne cherche pas à dissimuler son entrejambe. Même si elle n’exhibe pas vraiment son buisson qui recouvre la naissance de la vulve, qu’elle divulgue à la vue du neveu.
Elle accepte même cette exhibition en souriant. Je devine qu’à cet instant, qu’elle se trouve dans le même trip que moi. C’est donc gagné pour une partie de jambe en l’air.
Je demande à Josette qui ne peu plus rien me refuser d’aller s’asseoir sur les genoux de son neveu. Pour ma plus grande joie, elle s’exécute. Le neveu, un peu gauche peut-être du fait de la tournure des événements, réussit tout de même à poser sa main sur la cuisse toujours gainée de sa tante en regardant de près sa poitrine. Jouant le jeu, elle se laisse caresser la peau et va même jusqu’à passer son bras derrière la tête du jeunot pour lui caresser les cheveux, ce qui semble lui donner confiance.
Du coup, la main du neveu se faufile vers sa fourche assez rapidement. Bien entendu, j’observe la tante, qui se laisser faire en ouvrant les cuisses.
Cette dernière me souriant de manière complice, laisse tomber :
-L’alcool me fait faire n’importe quoi !
Je me dis pour moi-même, que l’alcool avait bon dos !
-Comment trouves-tu la poitrine de ta tante Fabrice ?
Ma manœuvre a pour but de lui faire toucher les seins de sa tante.
-Belle !
-Merci mon neveu !
-Tu sais Fabrice, qu’elle aime qu’en la lui masse !
-Alain… je t’en prie ! Lâche Josette.
Il ne lui en faut pas plus au neveu, pour lui palper le sein, évaluant le galbe de la paume de sa main. Il soupèse le sein avant de le prendre en bouche. Elle laisse profiter quelques instants son neveu avant de se lever. Elle nous prend chacun par la main et nous transporte jusqu’à sa chambre.
La tante se pend à mon cou en frottant sa poitrine contre moi pour m’embrasser. Puis, après un mouvement de rotation et un sourire engageant, elle dirige sa bouche vers celle de son neveu qui s’interroge un peu avant de lui rendre son baiser, vraisemblablement du fait qu’il a affaire à son tante.
Elle repose ses lèvres sur les siennes et se pend à son cou pour se frotter la poitrine contre son torse. Le jeune répond au baiser, mais semble hésiter avant de poser ses mains sur le corps de sa tante qui le regarde de très près, se faisant chatte contre son sexe dressé.
Je m’approche de l’oreille du jeunot et lui chuchote un encouragement pour ploter sa tante. Il se décide enfin à la prendre par la taille d’une main, et à caresser un sein de l’autre. La tante savoure et lui redonne sa bouche pour de petits effleurements sensuels, répondant aux caresses, dirige sa main vers la protubérance du neveu pour tâter son érection. D’abord au-dessus le pantalon, et très vite sa main trouve l’ouverture pour se glisser à l’intérieur du slip. Pas besoin de le voir pour savoir qu’elle s’empare de la queue. Me sentant derrière elle, la tante tourne la tête en continuant de branler doucement le fils de sa sœur et me donne sa bouche à embrasser.
Fabrice, comprenant alors, que tout lui est permis, il engage sa main en direction de la fourche de tata. Il s’applique à la satisfaire tout en parcourant la vulve excitée. La tante brise naturellement notre baiser alors que je lui caresse les deux seins par derrière. Déguste nos mains sur son corps. Ses yeux se fermant progressivement sous l’action de cette main amicale devenue curieuse.
La coquine à la bonne idée de prendre nos sexes dans chacune de ses mains. Qu’elle garde bien de nous masturber, pour ne pas nous faire dégainer trop vite. Toujours derrière elle, je roule ses deux tétons entre mes doigts en la serrant contre moi pour qu’elle sente mon excitation. J’approche ma bouche de son oreille et lui chuchote :
-Josette, aller suce-le !
-Alain…je suis saoule mais pas à ce point !
-Aller, il n’attend que ça…
-Bon…bon, c’est bien pour te faire plaisir !
Fabrice surpris de voir sa tante s’agenouillée à ses pieds. Après avoir décalotté et embrassé son gland, la tante ouvre la bouche pour gober uniquement le gland et effectuer quelques lents allers-retours. Pour un homme qui n’a pas joui depuis longtemps c’est déjà un supplice, mais pour un jeune puceau c’est un risque d’éjaculation immédiate supplémentaire. Je suis passé par là pour bien le savoir.
Heureusement elle semble savoir y faire et exerce une pression sur la circonférence du pénis pour ne pas avoir de surprise. Fabrice me regarde avec des yeux embués qui m’incitent à lui en offrir plus qu’une simple pipe de la part de tata. Je fais pour cela relever la tante, pour la faire s’allongée sur le lit.
Comme ce fut mon cas jadis devant la chatte à ma tante Christiane, Fabrice observe celle de Josette.
-Il est temps mon neveu de devenir un homme tu ne crois pas ? Fait la tante en écartant les cuisses.
De tel propos ne peut que l’encourager à s’exécuter. Il me jette toutefois un petit regard. Juste un clin d’œil de ma part et le voilà qu’il enjambe la tante et à orienter son gland turgescent contre la vulve enflée qui n’attend que cette intromission. Le visage réjoui du neveu fait plaisir à voir, alors qu’il sent son gland s’insérer entre les muqueuses gonflées. Comme moi, il regarde sa verge disparaître puis réapparaître entre les lèvres vaginales recouvertes de quelques poils. Chauffé à bloc, comme c’est prévisible il explose bien trop tôt pour donner un orgasme à sa tante mais peu importe.
Lorsqu’il se retire du con de sa tante, je le sens un peu confus. Je me fais un devoir de le rassurer en lui disant que c’est normal, que nous sommes tous passé par là un jour. Qu’il va vite retrouver de la vigueur et qu’il sera plus endurant que lors de sa première relation.
La tante, après s’être essuyée, vient se blottir amoureusement contre moi pour m’embrasser. Nous nous caressons mutuellement. Puis le neveu
se penche pour embrasser sa tante en prenant son téton érigé entre ses doigts. Je profite de l’instant pour offrir à tata une caresse buccale. Sachant très bien qu’avec cette caresse je vais lui donner du plaisir. Je me concentre sur son bouton. Le jeunot est admiratif. La tante jouit assez violement. Par un rapide pivot, la tante reprend le gland du neveu en bouche en vue de lui administrer une fellation dont elle veut qu’il se souvienne. Je profite pour la pénétrer en levrette. Fabrice explose dans sa bouche en lui tenant sans exagération la tête tout en la regardant. Elle le boit, en le masturbant jusqu’à la dernière goutte, ce qui me laisse le temps de jouir à mon tour en elle. Nous sommes assoiffés, souillés.
Alors que je reprends mes esprits je constate que le jeunot semble de plus en plus attiré par la découverte du vagin de la tata.
-Lèche-la !
J’entends Josette dire à son neveu. D’abord maladroit, il s’améliore graduellement car la tante se met progressivement à gémir. Les gémissements se transforment en spasmes lorsqu’il insère de son propre chef, plusieurs doigts en elle. Proche de la jouissance, voilà la tante qui repousse son neveu, pour l’enjamber. Vicieusement elle oriente elle-même le pénis en elle, puis s’active doucement sur le pieu dressé en s’appuyant sur la poitrine de son jeune amant.
Ce dernier la tient par les fesses et cherche à lui faire accélérer le rythme. Mais la tata veut le dominer et impose sa cadence. Il accepte de la laisser faire et se contente de stimuler sa poitrine qui danse sous nos yeux.
Comme moi, le jeunot cherche à observer à travers leurs poils l’union de son pénis avec la vulve qui lui donne du plaisir. La tante, fière d’elle, me regarde en jubilant alors que je me masturbe doucement pour lui montrer que je partage son plaisir.
Le bonheur me vient progressivement. Mais je me retiens pour ne pas éjaculer ailleurs que dans sa bouche de Josette, alors qu’elle chevauche toujours son neveu. Elle s’en aperçoit, et s’active de plus en plus sur le pieu qui la pénètre sûrement profondément. Car le jeune homme, comme je le sais si bien pour l’avoir essayer, a un sexe fin et long.
Parvenu à sa troisième jouissance, Fabrice déclare forfait. Ce qui conduit la tante à revenir vers moi. Alors que je suis en attente, en situation d’observateur debout à côté du lit.
Après m’avoir embrassé sur la bouche, à genoux sur le lit, la tante se met à quatre pattes et, se servant de sa main et de sa bouche, me gratifie d’une fellation. Le neveu observe mais ne participe pas, se contentant juste de lui caresser les seins ou les fesses d’une main.
Je me suis laissé dire qu’ils ont passé d’agréables soirées, par la suite !
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