josette et son gendre
Récit érotique écrit par Josette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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josette et son gendre
JOSETTE ET SON GENDRE
Depuis plusieurs mois, je suis partagée entre l'envie de raconter mon histoire et la gêne de devoir ainsi avouer mon comportement. Aujourd'hui j'ose enfin et j'y prends même plaisir.
Voilà : L'été dernier j'ai fait l'amour avec mon gendre et j'en ai gardé un souvenir ébloui
Nous possédons un petit appartement au bord de la mer, dans le Languedoc, où notre fille et son mari étaient venus nous rejoindre pour quelques jours, avec leur bébé de 13 mois. Les modestes dimensions de notre logement nous obligeaient à une certaine promiscuité à laquelle nous n'étions pas habitués mais que nous avions organisée au mieux.
Depuis sa première visite à la maison, quelques années auparavant, je trouvais que mon gendre était ce qu'on appelle '' un beau garçon '' , grand, bien bâti, un visage aux traits réguliers,des yeux clairs et là, pour la première fois, j'avais l'occasion de le voir torse nu, en caleçon ou en slip de bain. J'ai pu vérifier, au volume avantageux de son entrecuisse, que c'était aussi un jeune mâle bien monté.
J'étais confuse de constater que de le côtoyer dans ces tenues révélatrices, ses attributs virils à peine voilés et même, parfois, parfaitement dessinés et modelés par le mince tissu, cela me troublait et m'émouvait. Je me reprochais d'admirer son corps bien découpé, ses larges épaules et surtout de trop m'attarder sur le renflement si prometteur de son sexe que j'essayais, malgré moi, de me représenter nu et en érection. Je m'en voulais de penser des choses pareilles, à mon âge et sur mon gendre en plus. A 46 ans, c'était folie de fantasmer sur un jeune homme. Non seulement il avait 20 ans de moins que moi mais en plus c'était mon beau-fils.
C'est fortuitement que nous nous sommes trouvés seuls un après-midi. Une piqûre de vive au pied empêchait provisoirement mon gendre de conduire et ma fille voulait absolument profiter de la relative proximité de l'Espagne et de ses prix imbattables pour s'approvisionner à meilleur compte en whisky et autres boissons fortes. Elle partit donc avec son père en nous confiant, jusqu'à son retour, la charge du bébé Le petit ange dormait tranquillement. Un bel après-midi s'annonçait.
Après un passage à la piscine de la résidence où j'avais pu, discrètement, admirer les fesses rondes de mon gendre et le galbe intéressant de son maillot quand il sortait de l'eau, nous nous sommes installés sur notre terrasse pour un bon bain de soleil. Nous sommes au 3ème et dernier étage de notre petit immeuble et hors de portée des regards curieux.
Les yeux mi-clos, je ne me gênais plus, cette fois, pour reluquer le corps presque nu du jeune homme allongé à côté de moi. Complice, le tissu encore mouillé de son maillot facilitait mon regard voyeur en épousant fidèlement la forme et la grosseur de ce qui m'intéressait Les yeux fermés, mon gendre respirait calmement. Il était beau, sa peau était lisse, elle devait être douce. Je me sentais tout émue. J'ai eu envie de le toucher et je lui ai proposé, imprudemment, de lui appliquer un produit solaire.
Mes mains tremblaient, mon sang bouillonnait. Mon émotion était peut-être trop perceptible ou mes gestes trop caressants ? Je ne sais pas. Les quelques minutes qui ont suivi m'échappent.
J'ignore comment mais je me suis retrouvée dans ses bras, les seins à l'air. Ses mains couraient déjà partout sur mon corps et sa langue fouillait impérieusement ma bouche.
Complètement affolée par son baiser et ses caresses, je fus parfaitement incapable de l'empêcher de faire glisser la culotte de mon bikini. Quelques secondes avaient suffi pour que nous soyons nus tous les deux et déjà il me présentait la plus majestueuse des bites qu'il m'ait été donné de voir. Je l'admirais, extasiée. Elle était encore plus imposante que ce que j'avais imaginé en rêvant sur son slip gonflé. A la fois, plus grosse et plus longue que celle de mon mari, elle se dressait presque à la verticale, pointant vers moi son museau frémissant....J'eus du mal à reprendre ma respiration !
Mon gendre m'allongea sur le sol, écarta mes jambes, posa sa main sur mon ventre et.entama une caresse qui me liquéfia. C'était fou !! Mon gendre !!! Une heure avant cela m'aurait paru inconcevable, du domaine du pur fantasme.. Maintenant c'était bien la main de mon gendre qui prenait possession de mon sexe, c'était bien son doigt qu'il glissait lentement à l'intérieur de mon vagin. J'entendais distinctement le bruit des battements demon coeur qui s'affolait. Je me sentais devenir toute molle. Le doigt de mon gendre faisait naître dans mon ventre de délicieuses ondes de chaleur. Le désir montait, irrépressible.
J'ai bien essayé d'utiliser la dernière lueur de raison qui me restait pour tenter, vainement, de résister à cette vague de désir qui m'entraînait, gémissant d'hypocrites '' Non ! Non ! Il ne faut pas...'' mais en même temps je réalisais bien qui était celui qui s'installait entre mes cuisses et qui était sur le point de me posséder et cette idée lubrique emportait tout.
Quand je me suis sentie pénétrée, avec vigueur, par mon jeune partenaire, je me suis envolée aussitôt et j'ai fantasmé sans retenue sur ce qui m'arrivait. C'était invraisemblable, incroyable !! J'étais en train de faire l'amour avec mon gendre, mon presque fils et ...j'aimais ça !! Je m'accrochai comme une noyée à son corps puissant et m'abandonnai à la houle qui me poussait toujours plus vers le plaisir. Quelques coups de reins lui ont suffi pour me faire jouir comme une folle dans un éclatement formidable.
Mon orgasme était tellement fort que j'ai cru tomber en syncope et qu'il m'a fallu un moment pour reprendre mes esprits et ma respiration. Jamais je n'avais connu cela avec mon mari, même à nos débuts. La bite de mon gendre faisait vraiment des merveilles. Gênée, un peu honteuse de ce que nous venions de faire, je ne savais trop quelle attitude prendre. Je n'osai pas parler, il ne m'en laissa d'ailleurs pas le temps !
Comme affamé, il m'a reprise ensuite, plusieurs fois, sur le lit où il m'avait entraînée pour fuir la morsure du soleil. Je fus surprise de la docilité avec laquelle j'ai accepté toutes les positions qu'il m'a fait prendre, même les plus insolites et plus il me pénétrait, plus je jouissais. Je voyais bien que lui aussi jouissait avidement,.. comme si cela lui avait manqué. A chacune de ses éjaculations il m'a gratifiée de copieuses giclées. J'étais trempée.
Quand, épuisé, il m'a laissée, sanglotante de bonheur, il m'avait donné du plaisir comme jamais. Dans ses bras j'avais dépassé des limites inconnues et découvert l'ivresse bouleversante de certaines caresses que je n'avais jamais pratiquées avec personne, avant lui.
Il avait joui dans ma bouche !!! ....et moi... j'avais joui dans la sienne !!! . Cela ne m'était jamais arrivé ! J'en restai stupéfaite car j'y avais pris un plaisir aussi violent qu'inattendu et découvert, par la même occasion, le goût, pas désagréable, du sperme d'un homme.
Nus, allongés sur la terrasse, à l'abri des regards, nous avons passé à nous caresser le peu de temps de liberté qui nous restait avant le retour de mon mari et de ma fille. Bébé, complice de notre bonheur, dormait toujours à poings fermés..Le soleil, déclinant, nous caressait la peau en ami bienveillant. Mes mains et surtout ma bouche ne se lassaient pas de la jolie queue de mon gendre enfin à ma disposition. Lui explorait du doigt et de la langue la moindre parcelle de mon corps de femme qu'il venait de conquérir de haute lutte et dont je lui reconnaissais déjà pleine et entière jouissance.
Repu, confiant, mais visiblement gêné de me l'avouer, il a fini par me confier la froideur de sa femme depuis la naissance du bébé, son refus de faire l'amour avec lui et les frustrations qu'il avait de plus en plus de mal à supporter.Toute attendrie, encore fondante de volupté, je lui promis d' être celle qui saurait lui donner le plaisir dont il avait besoin et auquel il avait droit.. Mon coeur débordait de tendresse et je n'étais pas loin de penser, hypocritement, que j'allais me dévouer pour lui éviter les frustrations et les tentations d'aller chercher ailleurs, auxquelles il échapperait grâce à moi.
Hélas, le retour de nos conjoints vers la fin de l'après-midi puis la fin de leur trop courte semaine de vacances , nous ont empêchés de renouveler notre si agréable duo. Les autres jours, nous dûmes nous contenter de furtives et insatisfaisantes caresses . Heureusement nous resta, en consolation, le plaisir des yeux que les sorties de douche et les tenues de plage exiguës favorisèrent malicieusement.
Depuis cet été, mon sexe n'a pas oublié la brûlure délicieuse de cette première fois avec mon gendre, ni ma bouche la raideur si douce de son pénis et la saveur épicée de son sperme.
A la rentrée, la vie a repris son train-train. J'ai retrouvé, faute de mieux, le membre, honnête, sans plus, de mon mari mais la queue si belle de mon gendre, si raide, si arrogante et qui m'a donné tant de plaisir cet été-là, me manque et me hante.
Heureusement, malgré le danger et la distance, mon gendre est venu depuis me voir régulièrement. Cela lui est possible. Son circuit de visiteur médical lui permet d'organiser son temps et de se ménager de discrètes demi-journées de liberté. Et l'embrasement occasionnel des vacances s'est transformé en une liaison très chaude dans laquelle, lui et moi, trouvons l'occasion d'assouvir pleinement nos envies et nos fantasmes.
Nous avons réussi à surmonter les remords de l'adultère pour goûter pleinement notre relation et je pense que ce sont les satisfactions physiques qu'il trouve dans mes bras qui ont permis à mon gendre, en soulageant et en comblant sa libido, de s'accommoder de la froideur de sa femme et de sauvegarder ainsi l'équilibre de son couple.
Pour lui plaire j'ai repris goût aux dessous sexy et affriolants, au grand étonnement de mon mari mais que mon gendre, lui, adore. Comme j'aime la lueur de son regard quand il me déshabille et qu'il fait lentement glisser ma culotte ! Depuis le premier jour il m'a avoué combien ce simple geste l'excite et combien cette petite phrase: '' C'est la culotte de belle-maman que j'enlève '' qui trotte dans sa tête, enflamme ses sens.
Pour profiter encore plus des rondeurs de mon derrière qu'il trouve '' bandantes '' il m'a même fait adopter le string, si osé et strictement réservé à nos ébats. Mon mari serait horrifié de me voir ainsi, les fesses nues. Mon gendre au contraire, s'en régale et quand, dans le secret de ma chambre, nous nous livrons à nos petits jeux érotiques, c'est ainsi qu'il aime me regarder marcher devant lui:...perchée sur mes hauts talons, les cuisses gainées de bas très fins et les fesses offertes à son regard concupiscent. Il en tremble d'excitation .
Quel plaisir j'ai ensuite de lui enlever, un à un, ses vêtements et de le voir nu à son tour, si beau avec sa grosse queue splendidement dressée, rien que pour moi. C'est la partie de son corps que je préfère. Elle est toute à ma disposition dorénavant et je n'ai plus besoin de fantasmer sur sa taille. J'en ai plein les yeux et ...plein les mains ! Je pourrais passer des heures à la câliner, la caresser, la sucer. Elle m'attendrit quand, après l'effort, elle se replie modestement, elle m'émerveille quand elle se redresse fièrement, dure et longue sous ma caresse.
Entre nous c'est toujours formidable. Sa jeunesse et sa vigueur m'enchantent. Privilège de son âge,quelques minutes lui suffisent pour bander à nouveau, dur et ferme. Il n'est jamais lassé de me faire l'amour, de me prendre et de me reprendre. Je vole d'orgasme en orgasme. Je n'ai jamais connu de telles satisfactions physiques avec un autre. A 46 ans je découvre le vrai plaisir !!! Comment ai-je pu l'ignorer jusque là ! Le fait que ce soit en cachette de mon mari et dans les bras de mon gendre y est certainement pour beaucoup, la vitalité de mon jeune amant fait le reste. Lui, on dirait qu'il est inépuisable et moi, il me laisse, à chaque fois,...délicieusement épuisée.
De lui j'accepte tout. Depuis qu'il vient me voir et que je m'abandonne dans ses bras, , il m'a fait découvrir tout un monde de caresses troublantes que je n'avais jamais reçues, ni données, auparavant et dont je ne soupçonnais même pas pas la saveur bouleversante. Je suis comblée.
Quand ses mains écartent mes genoux et que ses lèvres progressent le long de ma cuisse, mon ventre se crispe et mon vagin est traversé d'ineffables frissons. Pantelante je m'ouvre alors, tant que je peux, à son baiser ravageur qui à chaque fois incendie mon ventre. Ecartelée sous sa bouche, je le laisse me dévorer et je jouis à perdre haleine.
Ensuite il me donne sa queue à sucer. Passée la surprise des premières fois où je ne savais trop quoi faire, j'y ai pris goût et j'ai même acquis avec ma langue, une dextérité très enveloppante à laquelle il ne résiste pas. J'aime le garder, doux et chaud, dans ma bouche quand il éjacule et qu'il me fait le don émouvant de son sperme, épais et savoureux, de jeune homme. J'avale tout maintenant. Je m'en régale et même j'en redemande.
Avantage de son âge, je sais qu'après, malgré mes '' gâteries '', il lui reste encore assez de ressource pour me satisfaire pleinement. Il rebande très vite et il me baise divinement.
Dès que je sens sa bite, à la fois si raide et si douce, écarter de sa grosse tête les lèvres baveuses de ma chatte, me pénétrer et s'enfoncer lentement dans mon ventre, je m'envole vers le bonheur. Avec lui je jouis à chaque fois, intensément, alors que cela m'arrivait si rarement avant. Plus encore,.. quand il n'est pas là et que je pense à lui, il m'arrive aussi de me masturber, geste nouveau pour moi, et, je suis gênée de l'avouer,....c'est bon..!!!
A petites étapes attentionnées, il m'a initiée à la sodomie. J'ai aimé et depuis j'y prends un plaisir très fort, une jouissance trouble, autant physique que cérébrale. Surtout à l'idée que c'est mon gendre qui m'encule et que c'est sa belle queue que j'aime tant que je sens bouger tout au fond de moi.
De ce côté-là, il sera mon seul amant, mon anus lui est réservé et lui seulement en aura la clé !
Comment ai-je pu attendre d'avoir 46 ans pour accéder à pareil bonheur charnel ? Je n'avais jamais trompé mon mari en 25 ans de mariage et si, au début, je me sentais coupable de prendre du plaisir avec mon gendre, les satisfactions que j'en retire ont fait que égoïstement ( et vicieusement ) j'ai muselé mon remords.
Dans ses bras je ne vois pas le temps passer et quand il doit me quitter, trop vite à mon gré, je ne suis pas rassasiée et mon corps a encore faim du sien. C'est à ce moment là, surtout, que je regrette de ne pas avoir eu plus tôt l'occasion de lui proposer un produit solaire
Si son sexe est si savoureux maintenant qu'il a 26 ans, quel nectar n'aurais-je pas dégusté si j'avais eu la chance de pouvoir le goûter dans la fraîcheur de ses 20 ans ! O regret !
En famille nous ne nous permettons que des regards,...discrets mais brûlants. Pas de gestes, surtout, ce serait trop tentant et tellement dangereux. Nul ne doit soupçonner quoi que ce soit.
Nous ne voulons en aucun cas faire de peine à nos conjoints, bien sûr, mais nous ne voulons pas, mais pas du tout, que cessent nos voluptueuses relations. Du moins pas pour le moment et pas tant q'elles nous procureront les satisfactions que nous y trouvons tous les deux. .
Les jours où il sait que je suis seule à la maison, et dès que mon mari est parti, je me mets à guetter la sonnerie du téléphone, prête à courir dans ma chambre me parer, pour mon gendre, de la lingerie qu'il aime.
Pour lui je suis toujours disponible et rien que d'y penser, je mouille !
Il arrive !.. J'ai mis le string en dentelle blanche qu'il vient de m'offrir.
Il aimera !!
Josette
Depuis plusieurs mois, je suis partagée entre l'envie de raconter mon histoire et la gêne de devoir ainsi avouer mon comportement. Aujourd'hui j'ose enfin et j'y prends même plaisir.
Voilà : L'été dernier j'ai fait l'amour avec mon gendre et j'en ai gardé un souvenir ébloui
Nous possédons un petit appartement au bord de la mer, dans le Languedoc, où notre fille et son mari étaient venus nous rejoindre pour quelques jours, avec leur bébé de 13 mois. Les modestes dimensions de notre logement nous obligeaient à une certaine promiscuité à laquelle nous n'étions pas habitués mais que nous avions organisée au mieux.
Depuis sa première visite à la maison, quelques années auparavant, je trouvais que mon gendre était ce qu'on appelle '' un beau garçon '' , grand, bien bâti, un visage aux traits réguliers,des yeux clairs et là, pour la première fois, j'avais l'occasion de le voir torse nu, en caleçon ou en slip de bain. J'ai pu vérifier, au volume avantageux de son entrecuisse, que c'était aussi un jeune mâle bien monté.
J'étais confuse de constater que de le côtoyer dans ces tenues révélatrices, ses attributs virils à peine voilés et même, parfois, parfaitement dessinés et modelés par le mince tissu, cela me troublait et m'émouvait. Je me reprochais d'admirer son corps bien découpé, ses larges épaules et surtout de trop m'attarder sur le renflement si prometteur de son sexe que j'essayais, malgré moi, de me représenter nu et en érection. Je m'en voulais de penser des choses pareilles, à mon âge et sur mon gendre en plus. A 46 ans, c'était folie de fantasmer sur un jeune homme. Non seulement il avait 20 ans de moins que moi mais en plus c'était mon beau-fils.
C'est fortuitement que nous nous sommes trouvés seuls un après-midi. Une piqûre de vive au pied empêchait provisoirement mon gendre de conduire et ma fille voulait absolument profiter de la relative proximité de l'Espagne et de ses prix imbattables pour s'approvisionner à meilleur compte en whisky et autres boissons fortes. Elle partit donc avec son père en nous confiant, jusqu'à son retour, la charge du bébé Le petit ange dormait tranquillement. Un bel après-midi s'annonçait.
Après un passage à la piscine de la résidence où j'avais pu, discrètement, admirer les fesses rondes de mon gendre et le galbe intéressant de son maillot quand il sortait de l'eau, nous nous sommes installés sur notre terrasse pour un bon bain de soleil. Nous sommes au 3ème et dernier étage de notre petit immeuble et hors de portée des regards curieux.
Les yeux mi-clos, je ne me gênais plus, cette fois, pour reluquer le corps presque nu du jeune homme allongé à côté de moi. Complice, le tissu encore mouillé de son maillot facilitait mon regard voyeur en épousant fidèlement la forme et la grosseur de ce qui m'intéressait Les yeux fermés, mon gendre respirait calmement. Il était beau, sa peau était lisse, elle devait être douce. Je me sentais tout émue. J'ai eu envie de le toucher et je lui ai proposé, imprudemment, de lui appliquer un produit solaire.
Mes mains tremblaient, mon sang bouillonnait. Mon émotion était peut-être trop perceptible ou mes gestes trop caressants ? Je ne sais pas. Les quelques minutes qui ont suivi m'échappent.
J'ignore comment mais je me suis retrouvée dans ses bras, les seins à l'air. Ses mains couraient déjà partout sur mon corps et sa langue fouillait impérieusement ma bouche.
Complètement affolée par son baiser et ses caresses, je fus parfaitement incapable de l'empêcher de faire glisser la culotte de mon bikini. Quelques secondes avaient suffi pour que nous soyons nus tous les deux et déjà il me présentait la plus majestueuse des bites qu'il m'ait été donné de voir. Je l'admirais, extasiée. Elle était encore plus imposante que ce que j'avais imaginé en rêvant sur son slip gonflé. A la fois, plus grosse et plus longue que celle de mon mari, elle se dressait presque à la verticale, pointant vers moi son museau frémissant....J'eus du mal à reprendre ma respiration !
Mon gendre m'allongea sur le sol, écarta mes jambes, posa sa main sur mon ventre et.entama une caresse qui me liquéfia. C'était fou !! Mon gendre !!! Une heure avant cela m'aurait paru inconcevable, du domaine du pur fantasme.. Maintenant c'était bien la main de mon gendre qui prenait possession de mon sexe, c'était bien son doigt qu'il glissait lentement à l'intérieur de mon vagin. J'entendais distinctement le bruit des battements demon coeur qui s'affolait. Je me sentais devenir toute molle. Le doigt de mon gendre faisait naître dans mon ventre de délicieuses ondes de chaleur. Le désir montait, irrépressible.
J'ai bien essayé d'utiliser la dernière lueur de raison qui me restait pour tenter, vainement, de résister à cette vague de désir qui m'entraînait, gémissant d'hypocrites '' Non ! Non ! Il ne faut pas...'' mais en même temps je réalisais bien qui était celui qui s'installait entre mes cuisses et qui était sur le point de me posséder et cette idée lubrique emportait tout.
Quand je me suis sentie pénétrée, avec vigueur, par mon jeune partenaire, je me suis envolée aussitôt et j'ai fantasmé sans retenue sur ce qui m'arrivait. C'était invraisemblable, incroyable !! J'étais en train de faire l'amour avec mon gendre, mon presque fils et ...j'aimais ça !! Je m'accrochai comme une noyée à son corps puissant et m'abandonnai à la houle qui me poussait toujours plus vers le plaisir. Quelques coups de reins lui ont suffi pour me faire jouir comme une folle dans un éclatement formidable.
Mon orgasme était tellement fort que j'ai cru tomber en syncope et qu'il m'a fallu un moment pour reprendre mes esprits et ma respiration. Jamais je n'avais connu cela avec mon mari, même à nos débuts. La bite de mon gendre faisait vraiment des merveilles. Gênée, un peu honteuse de ce que nous venions de faire, je ne savais trop quelle attitude prendre. Je n'osai pas parler, il ne m'en laissa d'ailleurs pas le temps !
Comme affamé, il m'a reprise ensuite, plusieurs fois, sur le lit où il m'avait entraînée pour fuir la morsure du soleil. Je fus surprise de la docilité avec laquelle j'ai accepté toutes les positions qu'il m'a fait prendre, même les plus insolites et plus il me pénétrait, plus je jouissais. Je voyais bien que lui aussi jouissait avidement,.. comme si cela lui avait manqué. A chacune de ses éjaculations il m'a gratifiée de copieuses giclées. J'étais trempée.
Quand, épuisé, il m'a laissée, sanglotante de bonheur, il m'avait donné du plaisir comme jamais. Dans ses bras j'avais dépassé des limites inconnues et découvert l'ivresse bouleversante de certaines caresses que je n'avais jamais pratiquées avec personne, avant lui.
Il avait joui dans ma bouche !!! ....et moi... j'avais joui dans la sienne !!! . Cela ne m'était jamais arrivé ! J'en restai stupéfaite car j'y avais pris un plaisir aussi violent qu'inattendu et découvert, par la même occasion, le goût, pas désagréable, du sperme d'un homme.
Nus, allongés sur la terrasse, à l'abri des regards, nous avons passé à nous caresser le peu de temps de liberté qui nous restait avant le retour de mon mari et de ma fille. Bébé, complice de notre bonheur, dormait toujours à poings fermés..Le soleil, déclinant, nous caressait la peau en ami bienveillant. Mes mains et surtout ma bouche ne se lassaient pas de la jolie queue de mon gendre enfin à ma disposition. Lui explorait du doigt et de la langue la moindre parcelle de mon corps de femme qu'il venait de conquérir de haute lutte et dont je lui reconnaissais déjà pleine et entière jouissance.
Repu, confiant, mais visiblement gêné de me l'avouer, il a fini par me confier la froideur de sa femme depuis la naissance du bébé, son refus de faire l'amour avec lui et les frustrations qu'il avait de plus en plus de mal à supporter.Toute attendrie, encore fondante de volupté, je lui promis d' être celle qui saurait lui donner le plaisir dont il avait besoin et auquel il avait droit.. Mon coeur débordait de tendresse et je n'étais pas loin de penser, hypocritement, que j'allais me dévouer pour lui éviter les frustrations et les tentations d'aller chercher ailleurs, auxquelles il échapperait grâce à moi.
Hélas, le retour de nos conjoints vers la fin de l'après-midi puis la fin de leur trop courte semaine de vacances , nous ont empêchés de renouveler notre si agréable duo. Les autres jours, nous dûmes nous contenter de furtives et insatisfaisantes caresses . Heureusement nous resta, en consolation, le plaisir des yeux que les sorties de douche et les tenues de plage exiguës favorisèrent malicieusement.
Depuis cet été, mon sexe n'a pas oublié la brûlure délicieuse de cette première fois avec mon gendre, ni ma bouche la raideur si douce de son pénis et la saveur épicée de son sperme.
A la rentrée, la vie a repris son train-train. J'ai retrouvé, faute de mieux, le membre, honnête, sans plus, de mon mari mais la queue si belle de mon gendre, si raide, si arrogante et qui m'a donné tant de plaisir cet été-là, me manque et me hante.
Heureusement, malgré le danger et la distance, mon gendre est venu depuis me voir régulièrement. Cela lui est possible. Son circuit de visiteur médical lui permet d'organiser son temps et de se ménager de discrètes demi-journées de liberté. Et l'embrasement occasionnel des vacances s'est transformé en une liaison très chaude dans laquelle, lui et moi, trouvons l'occasion d'assouvir pleinement nos envies et nos fantasmes.
Nous avons réussi à surmonter les remords de l'adultère pour goûter pleinement notre relation et je pense que ce sont les satisfactions physiques qu'il trouve dans mes bras qui ont permis à mon gendre, en soulageant et en comblant sa libido, de s'accommoder de la froideur de sa femme et de sauvegarder ainsi l'équilibre de son couple.
Pour lui plaire j'ai repris goût aux dessous sexy et affriolants, au grand étonnement de mon mari mais que mon gendre, lui, adore. Comme j'aime la lueur de son regard quand il me déshabille et qu'il fait lentement glisser ma culotte ! Depuis le premier jour il m'a avoué combien ce simple geste l'excite et combien cette petite phrase: '' C'est la culotte de belle-maman que j'enlève '' qui trotte dans sa tête, enflamme ses sens.
Pour profiter encore plus des rondeurs de mon derrière qu'il trouve '' bandantes '' il m'a même fait adopter le string, si osé et strictement réservé à nos ébats. Mon mari serait horrifié de me voir ainsi, les fesses nues. Mon gendre au contraire, s'en régale et quand, dans le secret de ma chambre, nous nous livrons à nos petits jeux érotiques, c'est ainsi qu'il aime me regarder marcher devant lui:...perchée sur mes hauts talons, les cuisses gainées de bas très fins et les fesses offertes à son regard concupiscent. Il en tremble d'excitation .
Quel plaisir j'ai ensuite de lui enlever, un à un, ses vêtements et de le voir nu à son tour, si beau avec sa grosse queue splendidement dressée, rien que pour moi. C'est la partie de son corps que je préfère. Elle est toute à ma disposition dorénavant et je n'ai plus besoin de fantasmer sur sa taille. J'en ai plein les yeux et ...plein les mains ! Je pourrais passer des heures à la câliner, la caresser, la sucer. Elle m'attendrit quand, après l'effort, elle se replie modestement, elle m'émerveille quand elle se redresse fièrement, dure et longue sous ma caresse.
Entre nous c'est toujours formidable. Sa jeunesse et sa vigueur m'enchantent. Privilège de son âge,quelques minutes lui suffisent pour bander à nouveau, dur et ferme. Il n'est jamais lassé de me faire l'amour, de me prendre et de me reprendre. Je vole d'orgasme en orgasme. Je n'ai jamais connu de telles satisfactions physiques avec un autre. A 46 ans je découvre le vrai plaisir !!! Comment ai-je pu l'ignorer jusque là ! Le fait que ce soit en cachette de mon mari et dans les bras de mon gendre y est certainement pour beaucoup, la vitalité de mon jeune amant fait le reste. Lui, on dirait qu'il est inépuisable et moi, il me laisse, à chaque fois,...délicieusement épuisée.
De lui j'accepte tout. Depuis qu'il vient me voir et que je m'abandonne dans ses bras, , il m'a fait découvrir tout un monde de caresses troublantes que je n'avais jamais reçues, ni données, auparavant et dont je ne soupçonnais même pas pas la saveur bouleversante. Je suis comblée.
Quand ses mains écartent mes genoux et que ses lèvres progressent le long de ma cuisse, mon ventre se crispe et mon vagin est traversé d'ineffables frissons. Pantelante je m'ouvre alors, tant que je peux, à son baiser ravageur qui à chaque fois incendie mon ventre. Ecartelée sous sa bouche, je le laisse me dévorer et je jouis à perdre haleine.
Ensuite il me donne sa queue à sucer. Passée la surprise des premières fois où je ne savais trop quoi faire, j'y ai pris goût et j'ai même acquis avec ma langue, une dextérité très enveloppante à laquelle il ne résiste pas. J'aime le garder, doux et chaud, dans ma bouche quand il éjacule et qu'il me fait le don émouvant de son sperme, épais et savoureux, de jeune homme. J'avale tout maintenant. Je m'en régale et même j'en redemande.
Avantage de son âge, je sais qu'après, malgré mes '' gâteries '', il lui reste encore assez de ressource pour me satisfaire pleinement. Il rebande très vite et il me baise divinement.
Dès que je sens sa bite, à la fois si raide et si douce, écarter de sa grosse tête les lèvres baveuses de ma chatte, me pénétrer et s'enfoncer lentement dans mon ventre, je m'envole vers le bonheur. Avec lui je jouis à chaque fois, intensément, alors que cela m'arrivait si rarement avant. Plus encore,.. quand il n'est pas là et que je pense à lui, il m'arrive aussi de me masturber, geste nouveau pour moi, et, je suis gênée de l'avouer,....c'est bon..!!!
A petites étapes attentionnées, il m'a initiée à la sodomie. J'ai aimé et depuis j'y prends un plaisir très fort, une jouissance trouble, autant physique que cérébrale. Surtout à l'idée que c'est mon gendre qui m'encule et que c'est sa belle queue que j'aime tant que je sens bouger tout au fond de moi.
De ce côté-là, il sera mon seul amant, mon anus lui est réservé et lui seulement en aura la clé !
Comment ai-je pu attendre d'avoir 46 ans pour accéder à pareil bonheur charnel ? Je n'avais jamais trompé mon mari en 25 ans de mariage et si, au début, je me sentais coupable de prendre du plaisir avec mon gendre, les satisfactions que j'en retire ont fait que égoïstement ( et vicieusement ) j'ai muselé mon remords.
Dans ses bras je ne vois pas le temps passer et quand il doit me quitter, trop vite à mon gré, je ne suis pas rassasiée et mon corps a encore faim du sien. C'est à ce moment là, surtout, que je regrette de ne pas avoir eu plus tôt l'occasion de lui proposer un produit solaire
Si son sexe est si savoureux maintenant qu'il a 26 ans, quel nectar n'aurais-je pas dégusté si j'avais eu la chance de pouvoir le goûter dans la fraîcheur de ses 20 ans ! O regret !
En famille nous ne nous permettons que des regards,...discrets mais brûlants. Pas de gestes, surtout, ce serait trop tentant et tellement dangereux. Nul ne doit soupçonner quoi que ce soit.
Nous ne voulons en aucun cas faire de peine à nos conjoints, bien sûr, mais nous ne voulons pas, mais pas du tout, que cessent nos voluptueuses relations. Du moins pas pour le moment et pas tant q'elles nous procureront les satisfactions que nous y trouvons tous les deux. .
Les jours où il sait que je suis seule à la maison, et dès que mon mari est parti, je me mets à guetter la sonnerie du téléphone, prête à courir dans ma chambre me parer, pour mon gendre, de la lingerie qu'il aime.
Pour lui je suis toujours disponible et rien que d'y penser, je mouille !
Il arrive !.. J'ai mis le string en dentelle blanche qu'il vient de m'offrir.
Il aimera !!
Josette
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Les avis des lecteurs
Je rêve de vivre la même histoire avec ma belle mère qui hante mon esprit depuis 16ans et je c'est que je là laisse pas indifférent 🥰