Josie, la fermière
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2008 dans la catégorie Plus on est
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Josie, la fermière
Comme tous les samedi je me rends dans ma ferme où je rencontre toujours Josie qui depuis le matin attend ma visite. Elle est toujours seule et les seuls plaisirs qu'elle prend c'est avec les godes et autre plugs que je lui ai offerts, et une fois avec sa cousine avec laquelle a eu pas mal de rapports lesbien. Aujourd'hui je lui offre un nouveau peignoir encore plus transparent que les autres.
Celui ci ne cache rien : la dentelle dont il est constitué ne cache rien. Je pourrais voir sa poitrine et son con sans aucun problème.
En arrivant, vers 11 heures je lui offre mon cadeau: elle enlève le vieux peignoir transparent mais sans plus et porte le neuf. Elle se voit dans la glace de la salle à manger et se voyant ainsi dévêtue elle est aussitôt excitée. Elle veut faire l'amour maintenant, là, comme d'habitude sur la table. Je refuse: elle relève le bas du vêtement et s'appuie sur le bord de la table. Elle écarte les jambes me montrant son con velu, comme pour me narguer et y pose une main qu'elle branle jusqu'à jouissance. Ayant jouit, elle vient m'embrasser pour me remercier. Nous mangeons comme d'habitude une bonne bouffe. Au moment du dessert: une crème chantilly elle se lève et étend la crème sur ses seins et son cul. C'est une invite à venir la sucer: je commence à la connaître très bien. Je lui demande où elle a mit son plug: Dans mon cul pardi ! Et précise-t-elle je le porte sans arrêt, comme les boules de geisha que tu m’as offertes; même devant les ouvriers je jouis certaines fois et n'en ai pas honte. Je jouis surtout quand je conduis le tracteur pour les labours: ça remue bien. Ca me fait toujours jouir dans ces cas là. Je ne la fait pas attendre: je lui lèche les seins et lui mordille les tétons: ça l'excite. Mais elle voudrait que je lui passe ma langue sur le cul. Je le fait et au bout d'un instant elles s'enlève les plugs pour que ma langue s'insinue dans son trou.Si ma langue est occupée à rentrer un peu dans le cul, sa main elle s'occupe de son con: elle se branle encore et encore. Elle jouit beaucoup, d'une façon presque animale. Je lui demande de se coucher sur la table pour la baise: elle s'installe et à mon tour je prends mon pied tout simplement. Je vais jouir, lorsqu'une main frappe à la porte C'est le facteur qui est en retard: Josie sans plus penser qu'elle est nue, va ouvrir la porte et le facteur tout surpris la regarde en détail: elle en vaut la peine, c'est une femme très bien faite tant pour la vue que pour l'amour. Il rentre me voit et veux partir. Josie le retient: après tout elle est la dernière de la tournée. Sans me demander mon avis, elle désire faire l'amour à trois: la dernière fois c'était nous deux et sa cousine, cette fois se sera elle et deux hommes: elle a deux bites à sa disposition et elle veut en profiter. Le facteur commence à bander. Josie lui sort la pine et la branle un peu. Elle lui demande de se mettre tout nu. Excité de nous voir tous deux nus, il le fait. Josie répartit les rôles et les faits: d'abord elle sucera le facteur qui va vite jouir et après je pourrais la baiser devant l'autre qui bandera encore plus, enfin elle se fera baiser et enculer en même temps pour jouir par les deux cotés; Elle innove pour elle. Elle demande au facteur de s'appuyer à la table, la bite bien droite et elle se met à le sucer: je la regarde faire et ne peux m'empêcher de me branler: elle sait sucer très bien Le facteur jouit très vite, trop au gré de la fermière, Elle vient vers moi et me demande de la sucer pour qu'elle soit en forme, comme si elle ne l'était pas suffisamment. Je la suce comme elle aime, en lui mettant plusieurs doigts dans le cul. Entre temps le facteur a repris des forces. Elle me demande de me coucher sur le dos, par terre, elle vient sur moi rentre ma bite dans son con et demande au facteur de venir l'enculer. Elle se trouve en sandwich, avec une pine devant et une autre derrière. Elle se plaint de plaisir Et brusquement elle jouit comme a son habitude fortement: les deux hommes, nous jouissons. Le Facteur se rhabille et part. Avec Josie nous reprenons nos jeux pendant lesquels elle me dit s'être éclatée: tu ne peux pas savoir ce que c'est agréable d'avoir une bite dans le cul et une autre dans le con. Je rajoute et si tu en avait eu une dans la bouche ? Pourquoi pas ? J’en aurais fait jouir un autre. Une autre fois peut être. J'aimerai bien essayer. Pour l'immédiat je lui demande d'oublier les autres et de penser à nous deux. Dans son délire de baise, elle veut que je goûte à une bite au cul: elle va prendre son gode préféré et veux me le mettre. Je proteste: qu'elle se le mette elle même: qu'à cela ne tienne: elle se met en levrette, me demande de la sucer par dessous et s'encule elle même: je vois sa main s'agiter sur son cul.
C'est tellement excitant qu'elle jouit deux fois et moi.... aussi.
Celui ci ne cache rien : la dentelle dont il est constitué ne cache rien. Je pourrais voir sa poitrine et son con sans aucun problème.
En arrivant, vers 11 heures je lui offre mon cadeau: elle enlève le vieux peignoir transparent mais sans plus et porte le neuf. Elle se voit dans la glace de la salle à manger et se voyant ainsi dévêtue elle est aussitôt excitée. Elle veut faire l'amour maintenant, là, comme d'habitude sur la table. Je refuse: elle relève le bas du vêtement et s'appuie sur le bord de la table. Elle écarte les jambes me montrant son con velu, comme pour me narguer et y pose une main qu'elle branle jusqu'à jouissance. Ayant jouit, elle vient m'embrasser pour me remercier. Nous mangeons comme d'habitude une bonne bouffe. Au moment du dessert: une crème chantilly elle se lève et étend la crème sur ses seins et son cul. C'est une invite à venir la sucer: je commence à la connaître très bien. Je lui demande où elle a mit son plug: Dans mon cul pardi ! Et précise-t-elle je le porte sans arrêt, comme les boules de geisha que tu m’as offertes; même devant les ouvriers je jouis certaines fois et n'en ai pas honte. Je jouis surtout quand je conduis le tracteur pour les labours: ça remue bien. Ca me fait toujours jouir dans ces cas là. Je ne la fait pas attendre: je lui lèche les seins et lui mordille les tétons: ça l'excite. Mais elle voudrait que je lui passe ma langue sur le cul. Je le fait et au bout d'un instant elles s'enlève les plugs pour que ma langue s'insinue dans son trou.Si ma langue est occupée à rentrer un peu dans le cul, sa main elle s'occupe de son con: elle se branle encore et encore. Elle jouit beaucoup, d'une façon presque animale. Je lui demande de se coucher sur la table pour la baise: elle s'installe et à mon tour je prends mon pied tout simplement. Je vais jouir, lorsqu'une main frappe à la porte C'est le facteur qui est en retard: Josie sans plus penser qu'elle est nue, va ouvrir la porte et le facteur tout surpris la regarde en détail: elle en vaut la peine, c'est une femme très bien faite tant pour la vue que pour l'amour. Il rentre me voit et veux partir. Josie le retient: après tout elle est la dernière de la tournée. Sans me demander mon avis, elle désire faire l'amour à trois: la dernière fois c'était nous deux et sa cousine, cette fois se sera elle et deux hommes: elle a deux bites à sa disposition et elle veut en profiter. Le facteur commence à bander. Josie lui sort la pine et la branle un peu. Elle lui demande de se mettre tout nu. Excité de nous voir tous deux nus, il le fait. Josie répartit les rôles et les faits: d'abord elle sucera le facteur qui va vite jouir et après je pourrais la baiser devant l'autre qui bandera encore plus, enfin elle se fera baiser et enculer en même temps pour jouir par les deux cotés; Elle innove pour elle. Elle demande au facteur de s'appuyer à la table, la bite bien droite et elle se met à le sucer: je la regarde faire et ne peux m'empêcher de me branler: elle sait sucer très bien Le facteur jouit très vite, trop au gré de la fermière, Elle vient vers moi et me demande de la sucer pour qu'elle soit en forme, comme si elle ne l'était pas suffisamment. Je la suce comme elle aime, en lui mettant plusieurs doigts dans le cul. Entre temps le facteur a repris des forces. Elle me demande de me coucher sur le dos, par terre, elle vient sur moi rentre ma bite dans son con et demande au facteur de venir l'enculer. Elle se trouve en sandwich, avec une pine devant et une autre derrière. Elle se plaint de plaisir Et brusquement elle jouit comme a son habitude fortement: les deux hommes, nous jouissons. Le Facteur se rhabille et part. Avec Josie nous reprenons nos jeux pendant lesquels elle me dit s'être éclatée: tu ne peux pas savoir ce que c'est agréable d'avoir une bite dans le cul et une autre dans le con. Je rajoute et si tu en avait eu une dans la bouche ? Pourquoi pas ? J’en aurais fait jouir un autre. Une autre fois peut être. J'aimerai bien essayer. Pour l'immédiat je lui demande d'oublier les autres et de penser à nous deux. Dans son délire de baise, elle veut que je goûte à une bite au cul: elle va prendre son gode préféré et veux me le mettre. Je proteste: qu'elle se le mette elle même: qu'à cela ne tienne: elle se met en levrette, me demande de la sucer par dessous et s'encule elle même: je vois sa main s'agiter sur son cul.
C'est tellement excitant qu'elle jouit deux fois et moi.... aussi.
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