Jouissances (02) : Ma Muse s’amuse
Récit érotique écrit par Flam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Jouissances (02) : Ma Muse s’amuse
Un sourire m’échappa quand je remarquais tes joues rouges et tes yeux brillants. Tu étais dans le même état que moi… Jolie ? Bien sûr. Mais surtout carrément indécente…
T'étais là, juste en face de moi, les cuisses ouvertes et ce regard ardent.
Tu m'allumais. J'en étais consciente.
Tu m'allumais... Et ça m'excitait.
Oh, tu allais en avoir pour ton compte ! C'était une promesse...
__________________________________________________________________________________________________________________________________
(A Manon, ma muse qui s'amuse, ma muse qui m'allume...)
Il était tôt ! Trop tôt pour moi et mes quelques heures de sommeil à plancher sur un cours s’obstinant à rester obscur. J’étais entrée dans ce bus avec la ferme intention de profiter du bercement des coups de freins pour plonger dans un demi-sommeil bienfaisant.
Sans réelle volonté de ma part, j’avais pris place en face de toi. Elle n’a pas froid songeais-je en m’asseyant et remarquant ta mini jupe…
Les yeux tantôt fermés, concentrée sur la musique que déversaient mes écouteurs. Tantôt ouverts, observant du coin de l’œil ton étrange manège, juste en face de moi. Toi ? Tes prunelles fixées sur moi. Tu avais surpris mes regards. Tu avais sans doute vu mon sourire aussi.
Et, tu as accentué ton jeu en même temps que l’ouverture de tes jambes. Tes dents apparentes contre ta lèvre inférieure.
J’avais une belle vue. Et j’étais désormais complètement réveillée !
Je ne sais pas toi… Mais je commençais à avoir vraiment chaud… Alors que quelques minutes auparavant, je frissonnais encore sous ma chemise simplement couverte de ma veste en cuir que je m’acharnais à porter ouverte.
Un sourire m’échappa quand je remarquais tes joues rouges et tes yeux brillants. Tu étais dans le même état que moi… Jolie ? Bien sûr. Mais surtout carrément indécente…
T'étais là, juste en face de moi, les cuisses ouvertes et ce regard ardent.
Tu m'allumais. J'en étais consciente.
Tu m'allumais... Et ça m'excitait.
Oh, tu allais en avoir pour ton compte ! C'était une promesse...
Je t'ai vu préparer tes affaires, t'apprêter à sortir. L’air déçu de mon inaction. Je n’avais pourtant pas dit mon dernier mot ! Je savais que tu mourrais d'envie que je te suive.
Et j'allais le faire. Mais j'allais attendre le dernier moment pour le faire. Te faire attendre. Te surprendre.
Attendre que tu me dépasses. Enlever mes écouteurs, les glisser dans mon sac.
Attendre que tu passes les portes.
Attendre ton regard, par dessus ton épaule, qui semblait déçu.
Patience. Je n’ai pas fini de jouer, j’ai à peine commencé !
Et alors que la file des gens descendant du bus diminue, je me glisse dehors.
Dans le flot des travailleurs pressés, je te cherche des yeux quelques secondes. Ça y est je te vois !
Tu t’éloignes lentement, te dirigeant vers une rue moins passante.
Je te rejoins en quelques foulées. Je t'attrape par le bras pour t'emmener dans la petite ruelle.
D'abord surprise, tu souris "je ne pensais plus te voir !"
Ne plus me voir ? Tu me chauffes depuis que je suis entrée dans ce bus… C’est mal me connaître ! Mais je ne réponds pas. Pressée par le temps et mon désir.
Je t’entraine au fond de cette ruelle.
Je te plaque contre le mur, ton corps bloqué entre le mur et le mien.
Les yeux dans les tiens, ma main descend directement sous ta jupe. Non, pas de caresses.
Tu te tends, tu gémis.
Je te mordille l'oreille. Je te souffle doucement "Tu m'allumais petite salope... Je te promets que je vais te faire jouir, là, dans la rue, plaquée contre ce mur. Tu voudrais ?"
Je suspends mon geste en attendant ta réponse.
Tu grognes de dépit. Tu gigotes. Je te maintiens contre le mur.
Finalement, tu lâches, à bout de souffle, "Baise moi ! Je veux jouir !"
Je souris. Ma langue pénètre ta bouche. Ma main masse ton sexe détrempé.
Je suce ta langue. Mord ta lèvre.
Je joue avec ton clito. Glisse deux doigts dans ton intimité.
Je me colle contre toi. Me frotte contre ton corps. Tes bras entourent mon cou, tu me serres fort.
Tu vibres. Tu te cambres.
Je m'applique contre ton clito gonflé.
Tu te tends encore.
Tu fermes les yeux, t'accroches à mon cou.
Tu jouis ! Tes jambes tremblent. Ton corps entier aussi...
Je ne te lâche pas. Et ma main continue de masser ton vagin.
Deux, puis trois doigts.
Tu coules.
J'embrasse ta gorge découverte.
Tu rejettes la tête en arrière.
Tu as du mal à retenir tes gémissements...
Tu souffles "encore ! encore ! Oh, putain !"
Je te sens au bord de l'orgasme. Alors, j'accélère mon mouvement.
Tu pars ! Tout ton corps se contracte brusquement.
Tu te libères. Tu jouis fort.
Tu pousses un cri d'extase.
Tu rouvres les yeux. Brillants.
J'embrasse doucement tes lèvres offertes et tremblantes.
"Merci pour ce joli moment, ma belle !"
Je te laisse récupérer alors que je m'évade de cette ruelle, le sourire aux lèvres... Et le string détrempé !
T'étais là, juste en face de moi, les cuisses ouvertes et ce regard ardent.
Tu m'allumais. J'en étais consciente.
Tu m'allumais... Et ça m'excitait.
Oh, tu allais en avoir pour ton compte ! C'était une promesse...
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(A Manon, ma muse qui s'amuse, ma muse qui m'allume...)
Il était tôt ! Trop tôt pour moi et mes quelques heures de sommeil à plancher sur un cours s’obstinant à rester obscur. J’étais entrée dans ce bus avec la ferme intention de profiter du bercement des coups de freins pour plonger dans un demi-sommeil bienfaisant.
Sans réelle volonté de ma part, j’avais pris place en face de toi. Elle n’a pas froid songeais-je en m’asseyant et remarquant ta mini jupe…
Les yeux tantôt fermés, concentrée sur la musique que déversaient mes écouteurs. Tantôt ouverts, observant du coin de l’œil ton étrange manège, juste en face de moi. Toi ? Tes prunelles fixées sur moi. Tu avais surpris mes regards. Tu avais sans doute vu mon sourire aussi.
Et, tu as accentué ton jeu en même temps que l’ouverture de tes jambes. Tes dents apparentes contre ta lèvre inférieure.
J’avais une belle vue. Et j’étais désormais complètement réveillée !
Je ne sais pas toi… Mais je commençais à avoir vraiment chaud… Alors que quelques minutes auparavant, je frissonnais encore sous ma chemise simplement couverte de ma veste en cuir que je m’acharnais à porter ouverte.
Un sourire m’échappa quand je remarquais tes joues rouges et tes yeux brillants. Tu étais dans le même état que moi… Jolie ? Bien sûr. Mais surtout carrément indécente…
T'étais là, juste en face de moi, les cuisses ouvertes et ce regard ardent.
Tu m'allumais. J'en étais consciente.
Tu m'allumais... Et ça m'excitait.
Oh, tu allais en avoir pour ton compte ! C'était une promesse...
Je t'ai vu préparer tes affaires, t'apprêter à sortir. L’air déçu de mon inaction. Je n’avais pourtant pas dit mon dernier mot ! Je savais que tu mourrais d'envie que je te suive.
Et j'allais le faire. Mais j'allais attendre le dernier moment pour le faire. Te faire attendre. Te surprendre.
Attendre que tu me dépasses. Enlever mes écouteurs, les glisser dans mon sac.
Attendre que tu passes les portes.
Attendre ton regard, par dessus ton épaule, qui semblait déçu.
Patience. Je n’ai pas fini de jouer, j’ai à peine commencé !
Et alors que la file des gens descendant du bus diminue, je me glisse dehors.
Dans le flot des travailleurs pressés, je te cherche des yeux quelques secondes. Ça y est je te vois !
Tu t’éloignes lentement, te dirigeant vers une rue moins passante.
Je te rejoins en quelques foulées. Je t'attrape par le bras pour t'emmener dans la petite ruelle.
D'abord surprise, tu souris "je ne pensais plus te voir !"
Ne plus me voir ? Tu me chauffes depuis que je suis entrée dans ce bus… C’est mal me connaître ! Mais je ne réponds pas. Pressée par le temps et mon désir.
Je t’entraine au fond de cette ruelle.
Je te plaque contre le mur, ton corps bloqué entre le mur et le mien.
Les yeux dans les tiens, ma main descend directement sous ta jupe. Non, pas de caresses.
Tu te tends, tu gémis.
Je te mordille l'oreille. Je te souffle doucement "Tu m'allumais petite salope... Je te promets que je vais te faire jouir, là, dans la rue, plaquée contre ce mur. Tu voudrais ?"
Je suspends mon geste en attendant ta réponse.
Tu grognes de dépit. Tu gigotes. Je te maintiens contre le mur.
Finalement, tu lâches, à bout de souffle, "Baise moi ! Je veux jouir !"
Je souris. Ma langue pénètre ta bouche. Ma main masse ton sexe détrempé.
Je suce ta langue. Mord ta lèvre.
Je joue avec ton clito. Glisse deux doigts dans ton intimité.
Je me colle contre toi. Me frotte contre ton corps. Tes bras entourent mon cou, tu me serres fort.
Tu vibres. Tu te cambres.
Je m'applique contre ton clito gonflé.
Tu te tends encore.
Tu fermes les yeux, t'accroches à mon cou.
Tu jouis ! Tes jambes tremblent. Ton corps entier aussi...
Je ne te lâche pas. Et ma main continue de masser ton vagin.
Deux, puis trois doigts.
Tu coules.
J'embrasse ta gorge découverte.
Tu rejettes la tête en arrière.
Tu as du mal à retenir tes gémissements...
Tu souffles "encore ! encore ! Oh, putain !"
Je te sens au bord de l'orgasme. Alors, j'accélère mon mouvement.
Tu pars ! Tout ton corps se contracte brusquement.
Tu te libères. Tu jouis fort.
Tu pousses un cri d'extase.
Tu rouvres les yeux. Brillants.
J'embrasse doucement tes lèvres offertes et tremblantes.
"Merci pour ce joli moment, ma belle !"
Je te laisse récupérer alors que je m'évade de cette ruelle, le sourire aux lèvres... Et le string détrempé !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A cette Manon toujours aussi émue quand les doigts d'une femme viennent la caresser. Quant à Flam le vice la tenaille comme une seconde peau, mais que c'est bien écrit !!!
Flam se conduit comme le pire mec machiste pour notre plus grand plaisir, à nous les hommes. Bravo pour ce récit qui fera plaisir autant à la gente masculine qu'à la féminine. Toujours aussi bien écrit et à l'érotisme volupteusement insolent
"ma muse qui s'amuse, ma muse qui m'allume..." J'aime bien ... mais je crois que ça se conjugue ... non ? ^-^
comment ne pas aimer un tel texte ... Je l'aime ! et il m'en FLAM !
comment ne pas aimer un tel texte ... Je l'aime ! et il m'en FLAM !