Jouissances et plasirs alpestres, l'amour dans notre paradis
Récit érotique écrit par Petit montagnard [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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Jouissances et plasirs alpestres, l'amour dans notre paradis
Pour des raisons évidentes, je nommerai ma copine, sous un faux nom. Elle sera donc Marie. Nous avons décidé de partager notre première fois non pas par perversité mais par envie de faire partager notre expérience.
J’ai 21 ans et je viens du pays du mont blanc. Lors de notre premier ébat, nous avions 17 ans tout les deux…
Depuis l’age de 14ans, j’écume la montagne tout les week-end et pendant toutes les vacances été comme hivers. J’y ais collectionné une belle collection de sommets mais aussi de coins perdus et isolés de tout. A l’age de 16 ans, un an avant que je rencontre Marie, nous avons trouvé avec un ami une grotte dans une combe assez éloignée des chemins. Sèche, à l’abri des vents et assez grande. Nous avons décidé de l’aménager (sommairement certes mais confortablement tout de même.) Nous avons écumé les greniers des voisins à la recherche de matelas, coussins, couvertures pas trop usées… A la fin de l’été, c’est devenu notre petit coin de paradis secret.
En janvier de l’année suivante, mon ami a déménagé à Strasbourg. Je me suis retrouvé seul avec cette idylle de jeunesse. J’ai rencontrés Marie en février au cours d’une fête. Ce fut le coup de foudre dans les deux sens. Le genre de coup qui vous rend aveugle a toute autre chose. Et en mars nous sommes sortis ensemble.
Marie ne faisait pas tellement de randonnée contrairement à moi. J’ai finalement réussi à la convaincre de venir se balader un peu en montagne. En fait, le plus dure fut de convaincre nos parents de nous laisser partir 4jours tout les deux en montagnes. Ils étaient plutôt du genre :
« Tu en connais pas suffisamment la montagne pour ça. » ou « Pour que vous nous fassiez un gosse ? Pas question. »
Mais a force de boite de chocolats de « t’inquiète pas au pire je sors toujours couvert », et de « je connais cette montagne comme la poche.... ».Ou encore de « vous nous avez bien éduqué, on se tiendra tranquille » (il a pas tellement marché lui), ils ont fini par nous laisser partir.
On est parti à la nuit pour pouvoir profiter de l’aube sur le mont blanc au niveau des crêtes des aiguilles rouges. On y est arrivé bien avant l'heure dite, on bien profiter de ce lever sublime puis on est aller à ma grotte. En passant, séance fruit des alpages. Puis on est finalement arrivé au crépuscule. On a posé les sac et on s’est écroulés tout les deux dans le tas de coussins (pour donner une petite idée, il doit faire à peu prés 12m². Le pied quoi…) non pas de fatigue mais plutôt du bonheur d’être tout les deux au paradis.
Il a eut alors un instant a jamais encré dans ma mémoire : nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre et nous nous sommes embrassés langoureusement avec l’ardeur de ceux qui s’aiment.
Elle était sur excitée. Elle m’a demandé : « tu veux ? »
Je lui ai répondu un simple : « Oui »
On a continué à s’embrasser encore un temps puis, elle est à enlevé son T-shirt laissant apparaître un soutient gorge en dentelle. J’ai retiré mon T-shirt et lui ai dégrafé son soutient gorge. Nous nous sommes caressé la poitrine. Ma bite était dure comme du bois. Marie s’est approchée de ma poitrine, l’a embrassé doucement puis est descendu au niveau de mon panta-court qu’elle est enlevé doucement.
Après avoir enlevé mon boxer, elle s’est mise à me branler avec douceur puis s’est approché et a donné des petits coups de langues sur ma verge. Celle-ci a fini par disparaître dans sa bouche. Je lui caressais les cheveux, c’était tellement bon. Le vas et vient est allé plus vite puis j’ai senti une chaleur venir du ventre jusque dans la bite. Je lui ai éjaculé dans la bouche. Marie a tout avalé puis elle a relevé la tête vers moi d’u air de dire : « Encore… j’aime ton sperme ! ». Je l’ai alors prise par le bras, l’ai attiré vers moi. J’ai commencé à lui lécher son clito en folie. Elle a gémi :
« Aaaaaa, oui…. Honn, encore…. J’aime ! »
Je me suis redressé et j’ai commencé à lui pincer un peu les tétons tout durs. Elle se mordillais les lèvres tandis que je lui enfoncé mon doigt dans sa chatte. Elle s’est cambrée quand je lui en ai enfoncé deux autres. Sa petite chatte serré ce dilatait. Elle aimait.
Après un temps de gémissement et de plaisir, j’ai attrapé un préservatif que
Marie m’a mis. Elle s’est ré allonger sur le dos et je l’ai pénétré violement. Elle s’est cambrée d’un seul coup. J’ai commencé vite par un vas et vient rapide. C’était trop bon. Je lui ai flaqué de violents coups de rein qui l’ont fait crier puis ne pouvant plus tenir, j’ai éjaculé et je me suis effondré sur elle la tête au niveau des seins.
Je pouvais sentir son cœur battre la chamade tandis qu’elle me caressait les cheveux.
Nous avons passé prés d’une heure dans cette position. Lorsque la nuit s’est fait très pressente, je me suis levé et sans prendre la peine de me rhabiller, je suis aller chercher de quoi faire du feu.
Au retour, en rentrant dans la grotte, je l’ai revu nue, ma bite s’est redressée d’un coup. J’ai posé mon tas de bois puis elle m’a pris par la main en m’entraînant vers les coussins. Nous avons refait l’amour sans préservatif et au moment ou j’ai lâché mon sperme, nous avons crié: l’Orgasme.
Durant les trois jours suivants, ce ne fut que caresses et baise. Quel bonheur et quel chance que d’avoir se que tout les enfants rêvent d’avoir : un petit coin de paradis ou l’on peut se retiré pour connaître le bonheur.
C’était la première fois pour nous deux. Aujourd’hui, nous sommes fiancés et à chaque fois que nous le pouvons, nous remontons dans ce qui est désormais la grotte des plaisirs.
J’ai 21 ans et je viens du pays du mont blanc. Lors de notre premier ébat, nous avions 17 ans tout les deux…
Depuis l’age de 14ans, j’écume la montagne tout les week-end et pendant toutes les vacances été comme hivers. J’y ais collectionné une belle collection de sommets mais aussi de coins perdus et isolés de tout. A l’age de 16 ans, un an avant que je rencontre Marie, nous avons trouvé avec un ami une grotte dans une combe assez éloignée des chemins. Sèche, à l’abri des vents et assez grande. Nous avons décidé de l’aménager (sommairement certes mais confortablement tout de même.) Nous avons écumé les greniers des voisins à la recherche de matelas, coussins, couvertures pas trop usées… A la fin de l’été, c’est devenu notre petit coin de paradis secret.
En janvier de l’année suivante, mon ami a déménagé à Strasbourg. Je me suis retrouvé seul avec cette idylle de jeunesse. J’ai rencontrés Marie en février au cours d’une fête. Ce fut le coup de foudre dans les deux sens. Le genre de coup qui vous rend aveugle a toute autre chose. Et en mars nous sommes sortis ensemble.
Marie ne faisait pas tellement de randonnée contrairement à moi. J’ai finalement réussi à la convaincre de venir se balader un peu en montagne. En fait, le plus dure fut de convaincre nos parents de nous laisser partir 4jours tout les deux en montagnes. Ils étaient plutôt du genre :
« Tu en connais pas suffisamment la montagne pour ça. » ou « Pour que vous nous fassiez un gosse ? Pas question. »
Mais a force de boite de chocolats de « t’inquiète pas au pire je sors toujours couvert », et de « je connais cette montagne comme la poche.... ».Ou encore de « vous nous avez bien éduqué, on se tiendra tranquille » (il a pas tellement marché lui), ils ont fini par nous laisser partir.
On est parti à la nuit pour pouvoir profiter de l’aube sur le mont blanc au niveau des crêtes des aiguilles rouges. On y est arrivé bien avant l'heure dite, on bien profiter de ce lever sublime puis on est aller à ma grotte. En passant, séance fruit des alpages. Puis on est finalement arrivé au crépuscule. On a posé les sac et on s’est écroulés tout les deux dans le tas de coussins (pour donner une petite idée, il doit faire à peu prés 12m². Le pied quoi…) non pas de fatigue mais plutôt du bonheur d’être tout les deux au paradis.
Il a eut alors un instant a jamais encré dans ma mémoire : nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre et nous nous sommes embrassés langoureusement avec l’ardeur de ceux qui s’aiment.
Elle était sur excitée. Elle m’a demandé : « tu veux ? »
Je lui ai répondu un simple : « Oui »
On a continué à s’embrasser encore un temps puis, elle est à enlevé son T-shirt laissant apparaître un soutient gorge en dentelle. J’ai retiré mon T-shirt et lui ai dégrafé son soutient gorge. Nous nous sommes caressé la poitrine. Ma bite était dure comme du bois. Marie s’est approchée de ma poitrine, l’a embrassé doucement puis est descendu au niveau de mon panta-court qu’elle est enlevé doucement.
Après avoir enlevé mon boxer, elle s’est mise à me branler avec douceur puis s’est approché et a donné des petits coups de langues sur ma verge. Celle-ci a fini par disparaître dans sa bouche. Je lui caressais les cheveux, c’était tellement bon. Le vas et vient est allé plus vite puis j’ai senti une chaleur venir du ventre jusque dans la bite. Je lui ai éjaculé dans la bouche. Marie a tout avalé puis elle a relevé la tête vers moi d’u air de dire : « Encore… j’aime ton sperme ! ». Je l’ai alors prise par le bras, l’ai attiré vers moi. J’ai commencé à lui lécher son clito en folie. Elle a gémi :
« Aaaaaa, oui…. Honn, encore…. J’aime ! »
Je me suis redressé et j’ai commencé à lui pincer un peu les tétons tout durs. Elle se mordillais les lèvres tandis que je lui enfoncé mon doigt dans sa chatte. Elle s’est cambrée quand je lui en ai enfoncé deux autres. Sa petite chatte serré ce dilatait. Elle aimait.
Après un temps de gémissement et de plaisir, j’ai attrapé un préservatif que
Marie m’a mis. Elle s’est ré allonger sur le dos et je l’ai pénétré violement. Elle s’est cambrée d’un seul coup. J’ai commencé vite par un vas et vient rapide. C’était trop bon. Je lui ai flaqué de violents coups de rein qui l’ont fait crier puis ne pouvant plus tenir, j’ai éjaculé et je me suis effondré sur elle la tête au niveau des seins.
Je pouvais sentir son cœur battre la chamade tandis qu’elle me caressait les cheveux.
Nous avons passé prés d’une heure dans cette position. Lorsque la nuit s’est fait très pressente, je me suis levé et sans prendre la peine de me rhabiller, je suis aller chercher de quoi faire du feu.
Au retour, en rentrant dans la grotte, je l’ai revu nue, ma bite s’est redressée d’un coup. J’ai posé mon tas de bois puis elle m’a pris par la main en m’entraînant vers les coussins. Nous avons refait l’amour sans préservatif et au moment ou j’ai lâché mon sperme, nous avons crié: l’Orgasme.
Durant les trois jours suivants, ce ne fut que caresses et baise. Quel bonheur et quel chance que d’avoir se que tout les enfants rêvent d’avoir : un petit coin de paradis ou l’on peut se retiré pour connaître le bonheur.
C’était la première fois pour nous deux. Aujourd’hui, nous sommes fiancés et à chaque fois que nous le pouvons, nous remontons dans ce qui est désormais la grotte des plaisirs.
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