jour de bonté.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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jour de bonté.
Il était tout à fait normal que je propose à Paul de le ramener chez lui. Il n’avait pas cessé de redemander des bières.
Une fois dans son appartement, il me demande de l’attendre dans le couloir que pour sa part il doit se rendre aux toilettes.
-Tu m’attends ! Me lance-t-il.
-Oui, je t’attends !
Alors qu’il disparait de ma vue, une femme brune m’apparait dans l’encadrement, la quarantaine, admirablement maquillée. Je sens mon sang se glacer. Elle ne porte qu’un minuscule slip transparent. Je peux voir la toison noire et les lèvres sombres du sexe. Des bas qui montent haut sur ses cuisses galbées qui soulignent la perfection de ses jambes que cambrent les talons hauts de ses mules. Un soutien-gorge complète l’ensemble. Elle s’arrête net devant moi. J’entendais confusément le vacarme de Paul en train de pisser.
- Oh ! Fit-elle en pouffant, excusez-moi. Je ne savais pas que mon nigaud d’époux n’était pas seul. Je suis désolée de me montrer dans une si légère tenue.
- Moi pas ! Fais je.
- Ah oui… ! Lâche-t-elle.
-Cela te dit de venir dans ma chambre ?
-Pourquoi pas, mais qu’est-ce qu’on fait de Paul ?
-T’inquiète, viens donc…
Ses immenses yeux s’emparent des miens avec une telle intensité qu’il n’est pas question d’en éviter le regard. Et je la suis jusqu’à la chambre. Mi- amusé, la femme contemple avec envie la bosse qui c’est formé à la hauteur de ma braguette. Elle s’approche de moi à me toucher et se frotte contre moi, sans aucune gêne pour son mari pas loin.
Elle empoigne à pleine main ma virilité que cette addition d’évènements a érigée. J’entends la chasse d’eau dans mon dos. Paul a fini de se soulager, d’ailleurs le voilà qui rapplique. La femme se met à lui parler, le prenant en témoin.
- Mais il bande ! Il bande comme un taureau… il a envie de moi… le cochon.
Complètement abasourdi, je bois ses paroles, incapable de la moindre réaction.
- Tu t’en rends compte Paul… il en a une dur ! Qu’est-ce que ça doit être bon Paul de se faire mettre par un machin pareil… de la prendre dans le cul… n’est-ce pas Paul… t’en frémit déjà, je sais… je peux chéri ?
-Mais fait donc, mon amour. C’est bien pour cela que je l’ai fait venir !
Fébrilement, elle déboutonne ma braguette fouille de sa main dans mon pantalon.
- Tu es un amour…
Elle fait sauter l’agrafe du soutien-gorge qui file à terre. Mes yeux se posent sur sa poitrine. Deux globes superbes, généreux aux pointes dressées. La tête rejetée en arrière et les yeux mi-clos, elle emprisonne ses seins volumineux entre ses deux mains, les pressant l’un contre l’autre. Puis, fermant les yeux, elle fait glisser ses doigts sur son ventre. Filant à l’intérieur du slip. Elle est secouée par un violent frisson qui semble la ramener d’un coup à la conscience. Elle redresse la tête, ouvre les yeux et m’offre alors que je la dévore du regard un sourire provocateur presque obscène.
Elle s’affale sur le lit jouxtant, en lâchant de profonds soupirs. Allongée sur le dos, elle place l’édredon sous ses reins et écarte ses cuisses. Les yeux exorbités, j’émets un bredouillage rauque lorsque, elle se débarrasse de son dernier rempart. Une toison noir apparait, dont les poils follets se tortillent sur eux-mêmes.
La voix de Paul me fit sursauter. Je l’avais oublié celui-là. Il est debout appuyé contre le chambranle de la porte. Il me requit mon avis sur son épouse.
- Je la trouve désirable, répondis-je honnêtement. Puisque qu’elle était séduisante.
Il a tout de suite surenchérir, en me proposant de la faire jouir. Pris par mon désir pour cette femme offerte, je me désintéresse de l’époux. Je me déshabille pour me mettre dans l’ambiance. Je la contemple un long moment. Mes yeux apprécient ce fruit délicieux que la nature m’offre.
-Elle te plaît ma chatte ?
-Et comment qu’elle me plaît !
Je lui prodigue du bout des doigts, un massage en règle. Depuis les épaules jusqu’aux pieds, avant de remonter le long de ses chevilles, de ses mollets, puis à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est fine et sensible. Sous la toison, la rondeur des lèvres intimes s’offre. Je joue un peu avec le buisson. J’enfonce doucement mon majeur au cœur de l’écrin, jusqu’à la garde. La femme émet un gémissement et accentue encore l’ouverture de ses cuisses. Longuement je la fouille, joignant l’index au majeur, soulevant et titillant du gras du pouce le clitoris déployé.
-Dis-moi ce qui te plaît, roucoule la femme en passant sa main sur le pubis.
-J’aime ton derrière.
Grisée par la situation, elle fait volte-face pour présenter ses fesses.
-Alors ? Me fit-elle.
-Splendide, fais je d’une voix qui trahit mon excitation.
Prise d’une exaltation malsaine, elle se courbe.
-Et mon trou ? Fit-elle avec une mine vicieuse.
-J’adore !
Elle a un regard trouble.
-Caresse-moi les nichons, j’en meurs d’envie ! M’ordonne-t-elle d’une voix enrouée, en se retournant.
Je m’empare des chairs rebondies, les pétris avec fébrilité, tripote les tétons.
-Oh, vas-y, pince-moi les ! Fait-elle m’offrant son buste.
Je malaxe ses seins, insistant sur les bouts que je presse entre mes doigts. Ses tétons se dressent au centre de ses aréoles contractées. Elle m’exhibe sa chatte toute poisseuse de sécrétions.
-Cela te dit de me goûter ?
Ravi de cette proposition je m’agenouille. Mes doigts s’activent dans la faille détrempée en produisant des clapotements obscènes. Par moment je fais glisser un doigt dans l’anus. Le clitoris darde au sommet de la fente rose vif. Les yeux vitreux, elle tend les mains, attire ma tête dans son entrecuisse.
- Mange-moi-la ! Fit-elle d’un ton impérieux.
Je me jette sur sa chatte. Me délectant des sécrétions grasses. J’aspire la chatte, puis mordille le clitoris qui pointe hors de sa cachette. La respiration saccadée, elle se caresse les seins, pendant que ma langue s’active à l’intérieur de son sexe odorant.
-Oui Alain, bouffe-moi la chatte, c’est merveilleux ! Lâche-t-elle d’une voix chevrotante.
Les mains cramponnées à ses hanches, je la lèche avec fougue. Je m’enivre de la forte odeur de femme en rut. Les yeux révulsés elle projette son ventre à la rencontre de mes lèvres. Elle est secouée par une jouissance trop longtemps retenue. Mais elle n’est pas apaisée, loin de là. D’une main fébrile, elle presse le gland contre son anus.
- Encule-moi fort !
Ou d’excitation je la plante dans son cul et me mets à la sodomiser à coup de reins profonds. Haletante, elle savoure. Je l’encule vicieusement, explorant les moindres recoins de son anus mouillé et chaud. Mes coups sont de plus en plus forts, mes couilles tapent sur son cul. Elle respire vite.
Un cri, puis un autre, avant de hurler comme une possédée, jusqu’à ne plus avoir de souffle.
- Oh ! Tu me tues…
Ce qu’elle dit par la suite est de nouveau incompréhensible. Une série de mots dénués de sens qui émergent de sa folie lubrique, qui m’excitent encore plus. Mon pénis torturé se perd dans son anus devenu grotte des mille sensations. Je danse sur elle, fouillant ses entrailles avant d’y propulser de longues saccades de ma liqueur séminales.
Alors que je suis immobile, toujours enfouis dans l’anus de la femme, je sens une langue chaude sur mes couilles. Celle du mari. Je laisse faire. Il me suce. Même que j’éprouve un plaisir fou. Surtout que sa main vient à son tour me caresser les fesses, dévalant dans le tendre sillon.
- Fais ce que tu veux de moi, me surpris-je de lui murmurer.
Je tombe sous son emprise. Sentant que je renonce à toute résistance, il appuie ses caresses, tout en continuant cependant à me pomper délicieusement.
De son doigt fureteur, il agace ma rondelle, tournant tout autour, l’effleurant, l’ouvrant, s’y glissant à peine. Je ne peux m’empêcher de gémir.
Peu à peu, son doigt se fait plus inquisiteur. Mon cul l’accueille avec joie. Je me tords de bonheur. Je sens que je suis en pleine mutation.
Certes, mon membre reprend de la vigueur dans la bouche de Paul. Il n’empêche que je me lâche aussi. J’ondule du bassin. Mon trou vaincu, qui cède, qui s’ouvre, qui se fait chatte, qui mouille de désir, qui admet, un peu abjectement, son désir d’être analysé à son tour.
Puis je me laisse prendre par le cul. Il a un sexe qui passe comme une lettre à la poste. Il ne met pas longtemps pour baptiser mon cul, de sa semence brûlante.
Une fois dans son appartement, il me demande de l’attendre dans le couloir que pour sa part il doit se rendre aux toilettes.
-Tu m’attends ! Me lance-t-il.
-Oui, je t’attends !
Alors qu’il disparait de ma vue, une femme brune m’apparait dans l’encadrement, la quarantaine, admirablement maquillée. Je sens mon sang se glacer. Elle ne porte qu’un minuscule slip transparent. Je peux voir la toison noire et les lèvres sombres du sexe. Des bas qui montent haut sur ses cuisses galbées qui soulignent la perfection de ses jambes que cambrent les talons hauts de ses mules. Un soutien-gorge complète l’ensemble. Elle s’arrête net devant moi. J’entendais confusément le vacarme de Paul en train de pisser.
- Oh ! Fit-elle en pouffant, excusez-moi. Je ne savais pas que mon nigaud d’époux n’était pas seul. Je suis désolée de me montrer dans une si légère tenue.
- Moi pas ! Fais je.
- Ah oui… ! Lâche-t-elle.
-Cela te dit de venir dans ma chambre ?
-Pourquoi pas, mais qu’est-ce qu’on fait de Paul ?
-T’inquiète, viens donc…
Ses immenses yeux s’emparent des miens avec une telle intensité qu’il n’est pas question d’en éviter le regard. Et je la suis jusqu’à la chambre. Mi- amusé, la femme contemple avec envie la bosse qui c’est formé à la hauteur de ma braguette. Elle s’approche de moi à me toucher et se frotte contre moi, sans aucune gêne pour son mari pas loin.
Elle empoigne à pleine main ma virilité que cette addition d’évènements a érigée. J’entends la chasse d’eau dans mon dos. Paul a fini de se soulager, d’ailleurs le voilà qui rapplique. La femme se met à lui parler, le prenant en témoin.
- Mais il bande ! Il bande comme un taureau… il a envie de moi… le cochon.
Complètement abasourdi, je bois ses paroles, incapable de la moindre réaction.
- Tu t’en rends compte Paul… il en a une dur ! Qu’est-ce que ça doit être bon Paul de se faire mettre par un machin pareil… de la prendre dans le cul… n’est-ce pas Paul… t’en frémit déjà, je sais… je peux chéri ?
-Mais fait donc, mon amour. C’est bien pour cela que je l’ai fait venir !
Fébrilement, elle déboutonne ma braguette fouille de sa main dans mon pantalon.
- Tu es un amour…
Elle fait sauter l’agrafe du soutien-gorge qui file à terre. Mes yeux se posent sur sa poitrine. Deux globes superbes, généreux aux pointes dressées. La tête rejetée en arrière et les yeux mi-clos, elle emprisonne ses seins volumineux entre ses deux mains, les pressant l’un contre l’autre. Puis, fermant les yeux, elle fait glisser ses doigts sur son ventre. Filant à l’intérieur du slip. Elle est secouée par un violent frisson qui semble la ramener d’un coup à la conscience. Elle redresse la tête, ouvre les yeux et m’offre alors que je la dévore du regard un sourire provocateur presque obscène.
Elle s’affale sur le lit jouxtant, en lâchant de profonds soupirs. Allongée sur le dos, elle place l’édredon sous ses reins et écarte ses cuisses. Les yeux exorbités, j’émets un bredouillage rauque lorsque, elle se débarrasse de son dernier rempart. Une toison noir apparait, dont les poils follets se tortillent sur eux-mêmes.
La voix de Paul me fit sursauter. Je l’avais oublié celui-là. Il est debout appuyé contre le chambranle de la porte. Il me requit mon avis sur son épouse.
- Je la trouve désirable, répondis-je honnêtement. Puisque qu’elle était séduisante.
Il a tout de suite surenchérir, en me proposant de la faire jouir. Pris par mon désir pour cette femme offerte, je me désintéresse de l’époux. Je me déshabille pour me mettre dans l’ambiance. Je la contemple un long moment. Mes yeux apprécient ce fruit délicieux que la nature m’offre.
-Elle te plaît ma chatte ?
-Et comment qu’elle me plaît !
Je lui prodigue du bout des doigts, un massage en règle. Depuis les épaules jusqu’aux pieds, avant de remonter le long de ses chevilles, de ses mollets, puis à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est fine et sensible. Sous la toison, la rondeur des lèvres intimes s’offre. Je joue un peu avec le buisson. J’enfonce doucement mon majeur au cœur de l’écrin, jusqu’à la garde. La femme émet un gémissement et accentue encore l’ouverture de ses cuisses. Longuement je la fouille, joignant l’index au majeur, soulevant et titillant du gras du pouce le clitoris déployé.
-Dis-moi ce qui te plaît, roucoule la femme en passant sa main sur le pubis.
-J’aime ton derrière.
Grisée par la situation, elle fait volte-face pour présenter ses fesses.
-Alors ? Me fit-elle.
-Splendide, fais je d’une voix qui trahit mon excitation.
Prise d’une exaltation malsaine, elle se courbe.
-Et mon trou ? Fit-elle avec une mine vicieuse.
-J’adore !
Elle a un regard trouble.
-Caresse-moi les nichons, j’en meurs d’envie ! M’ordonne-t-elle d’une voix enrouée, en se retournant.
Je m’empare des chairs rebondies, les pétris avec fébrilité, tripote les tétons.
-Oh, vas-y, pince-moi les ! Fait-elle m’offrant son buste.
Je malaxe ses seins, insistant sur les bouts que je presse entre mes doigts. Ses tétons se dressent au centre de ses aréoles contractées. Elle m’exhibe sa chatte toute poisseuse de sécrétions.
-Cela te dit de me goûter ?
Ravi de cette proposition je m’agenouille. Mes doigts s’activent dans la faille détrempée en produisant des clapotements obscènes. Par moment je fais glisser un doigt dans l’anus. Le clitoris darde au sommet de la fente rose vif. Les yeux vitreux, elle tend les mains, attire ma tête dans son entrecuisse.
- Mange-moi-la ! Fit-elle d’un ton impérieux.
Je me jette sur sa chatte. Me délectant des sécrétions grasses. J’aspire la chatte, puis mordille le clitoris qui pointe hors de sa cachette. La respiration saccadée, elle se caresse les seins, pendant que ma langue s’active à l’intérieur de son sexe odorant.
-Oui Alain, bouffe-moi la chatte, c’est merveilleux ! Lâche-t-elle d’une voix chevrotante.
Les mains cramponnées à ses hanches, je la lèche avec fougue. Je m’enivre de la forte odeur de femme en rut. Les yeux révulsés elle projette son ventre à la rencontre de mes lèvres. Elle est secouée par une jouissance trop longtemps retenue. Mais elle n’est pas apaisée, loin de là. D’une main fébrile, elle presse le gland contre son anus.
- Encule-moi fort !
Ou d’excitation je la plante dans son cul et me mets à la sodomiser à coup de reins profonds. Haletante, elle savoure. Je l’encule vicieusement, explorant les moindres recoins de son anus mouillé et chaud. Mes coups sont de plus en plus forts, mes couilles tapent sur son cul. Elle respire vite.
Un cri, puis un autre, avant de hurler comme une possédée, jusqu’à ne plus avoir de souffle.
- Oh ! Tu me tues…
Ce qu’elle dit par la suite est de nouveau incompréhensible. Une série de mots dénués de sens qui émergent de sa folie lubrique, qui m’excitent encore plus. Mon pénis torturé se perd dans son anus devenu grotte des mille sensations. Je danse sur elle, fouillant ses entrailles avant d’y propulser de longues saccades de ma liqueur séminales.
Alors que je suis immobile, toujours enfouis dans l’anus de la femme, je sens une langue chaude sur mes couilles. Celle du mari. Je laisse faire. Il me suce. Même que j’éprouve un plaisir fou. Surtout que sa main vient à son tour me caresser les fesses, dévalant dans le tendre sillon.
- Fais ce que tu veux de moi, me surpris-je de lui murmurer.
Je tombe sous son emprise. Sentant que je renonce à toute résistance, il appuie ses caresses, tout en continuant cependant à me pomper délicieusement.
De son doigt fureteur, il agace ma rondelle, tournant tout autour, l’effleurant, l’ouvrant, s’y glissant à peine. Je ne peux m’empêcher de gémir.
Peu à peu, son doigt se fait plus inquisiteur. Mon cul l’accueille avec joie. Je me tords de bonheur. Je sens que je suis en pleine mutation.
Certes, mon membre reprend de la vigueur dans la bouche de Paul. Il n’empêche que je me lâche aussi. J’ondule du bassin. Mon trou vaincu, qui cède, qui s’ouvre, qui se fait chatte, qui mouille de désir, qui admet, un peu abjectement, son désir d’être analysé à son tour.
Puis je me laisse prendre par le cul. Il a un sexe qui passe comme une lettre à la poste. Il ne met pas longtemps pour baptiser mon cul, de sa semence brûlante.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas mal du tout, peut-être un peu plus lent et plus précis, un peu plus de paroles des ressentis... U/10.