Jour de Soldes avec Catherine
Récit érotique écrit par Thierry46a_06 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2005 dans la catégorie Dominants et dominés
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Jour de Soldes avec Catherine
Nous sommes un couple de 36-46 ans, ma compagne est une brune très mignonne de 36 ans avec une très jolie poitrine. Son petit minou est toujours épilé avec soin pour supporter tous types de lingerie. Catherine est très coquine mais pudique, elle préfère garder ses limites secrètes, et ne pas parler des sensations que l'évocation de nos fantasmes fait naître en elle lors de nos ébats. . J'ai 46 ans, très cérébral et j'ai plaisir à l'imaginer au centre de situations érotiques variées.
Il y a deux ans nous nous sommes rendus en région parisienne pour un week-end soldes dans un grand centre de discount vestimentaire. Deux jours de visite étaient nécessaires face au grand nombre de magasins à prospecter.
Catherine, dans son élément semblait comme une gamine dans un rayon de jouets.
Vers la fin de l’après midi du premier jour, nous sommes entrés dans une boutique de produits en cuir assez haut de gamme et nous avons "flashé" sur une robe très courte ainsi que sur une magnifique paire de bottes/cuissardes à lacets pour aller avec. Vu le prix des articles nous avons demandé au vendeur la possibilité d’essayer et c’est avec un petit sourire qu’il nous conduisit vers la cabine. Le vendeur était un homme d’une trentaine d’années, black, très sympa et en apparence très intéressé par l’essayage de Catherine. Je restais donc à l’extérieur en tenant le rideau et il finit par s’éloigner.
Je pouvais enfin regarder à l’intérieur et quel spectacle, Catherine en cuissardes et bas avait ôté son soutien gorge et enfilait la robe. Je constatais que sa culotte gisait également sur le tabouret , incompatible avec l'hallucinant décolleté de bas de dos du vêtement .
Catherine était magnifique, elle semblait un peu gênée tant l'image renvoyée par le miroir lui montrait qu'elle était pour un instant devenue une poupée destinée au plaisir de l'homme.
La couleur noire de l'ensemble mettait en valeur son teint de peau de rousse .
J'en étais là dans mes rêveries lorsqu'elle me fît remarquer qu'il y avait néanmoins un problème au niveau de la taille, que la robe épousait parfaitement les courbes de son corps mais qu'il faudrait lui enlever 2 cm à cet endroit pour qu'elle soit parfaite, de plus un lacet de l'une des cuissardes devait être remplacé. Elle me dit aussi qu'elle était gênée de se montrer ainsi devant le vendeur, mais je compris que l'attrait de la robe lui ferait supporter ce moment délicat, j'allais chercher de l'aide.
A notre retour, c'est une Catherine timide et aux joues empourprées que nous retrouvions toujours aussi irrésistible dans son ensemble robe/ cuissardes. Le vendeur (qui ne souriait plus) lui demanda de tourner sur elle même pour bien se rendre compte, ce que fit Catherine qui n'en menait pas large.
Le vendeur entreprit de bien "placer" la robe et ainsi pu à loisir palper l'ensemble du corps de Catherine tout en faisant de multiples compliments sur sa "plastique exceptionnelle".
Constatant après cet inventaire détaillé qu'il y avait effectivement 2 cm de trop il nous dit que seul le patron savait modifier ce type de vêtement et il s'empressa d'aller le chercher.
Celui ci, un homme d'une cinquantaine d'années, très grand et très gros, black également revint immédiatement flanquée d'un mètre ruban et d'un gros crayon blanc.
Le trouble de mon épouse était visible, telle une marionnette elle se tourna et se retourna selon les désirs de l'homme qui lui aussi ne cessait de la complimenter sur son corps en même temps qu'il l'explorait méthodiquement sans en avoir l’air.
S'apercevant de la présence de la petite culotte sur le tabouret , il m'adressa un sourire entendu qui n'échappa pas à Catherine.
Nous lui expliquons que nous ne sommes pas de la région, et que nous devions repartir le lendemain en province, il nous répondit que la robe et les cuissardes seraient prêtes et disponibles à la caisse du magasin le lendemain et de repasser vers les 13 heures si nous ne voulons éviter l’affluence. Catherine s'est rhabillée sans mot dire et nous sommes rentrés à notre hôtel.
J'étais assez excité en me rappelant les péripéties de la journée et elle me confia que la situation quoique terriblement gênante l'avait également beaucoup excitée, elle lui rappelait les fois ou en faisant l'amour, je lui chuchotais des histoires ou elle était prise par un grand black .
Dés notre retour à l’hôtel nous avons fait l'amour plus que d'habitude , je lui racontais qu'elle n’était qu’une salope qui rêvait de se faire prendre par tous les vendeurs du magasin etc…" Elle se mit à couler si fort que ma main entière à présent entrait et sortait sans peine de son vagin.
Je compris son trouble dans la cabine d'essayage, elle fantasmait elle aussi mais… en silence.
Le lendemain vers 13 heures, au moment de nous rendre à la boutique pour récupérer sa robe, je prétextais un peu de fatigue et je lui dis d'y aller seule, que j'attendrai son retour dans une cafétéria voisine. Elle refusa tout net , je lui dis qu'il suffisait de passer à la caisse etc.. Elle sourit malicieusement et se leva.
Je la regardais partir d'un pas décidé dans son petit ensemble d’été.
Immédiatement je téléphonais au magasin, demandais le patron et lui expliquais que ma femme arrivait, qu’il n’hésite pas à lui demander d’ essayer de nouveau l'ensemble. Je lui précisait en outre que malgré sa grande timidité apparente, mon épouse avait adoré l’essayage de la veille, que nous en avions parlé ensuite et plus encore… Un « pas de problème» amusé et entendu me rassura sur le fait qu’il avait saisi ma demande 5 sur 5.
5 minutes après, Catherine m'appelait pour me dire qu'il fallait qu'elle essaie de nouveau l'ensemble, je lui répondis qu'elle n'avait qu'à le faire , il y eu un silence et avec un air désinvolte elle me dit :
"Bien, à tout à l'heure alors….",
Je lui répondis de prendre son temps, que j'étais bien installé etc …
Encore un silence et elle me demanda " es tu sur de vouloir rester à la cafet ?"
Je confirmai en lui disant qu’elle fasse attention car elle allait se trouver dans la situation idéale pour réaliser notre fantasme et lui demandait de me prévenir au cas ou, afin que je puisse au moins y assister. Re silence , puis d’ une toute petite voix elle me répondit "viens me chercher alors et ne tarde pas trop ",elle raccrocha sans me laisser le temps de dire un mot.
J'attendis cinq minutes qui me parurent interminables et je fonçais vers le magasin qui était situé à l'étage supérieur de la galerie.
J'entrais le cœur battant, il y avait peu de clients, et encore moins de vendeurs.
Je me dirigeai vers le fond du magasin , le vendeur de la veille vint à ma rencontre et d’un mouvement de tête me fit comprendre de le suivre.
Il me dé signa une porte qui donnait accès à la réserve du magasin. Guidé par le bruit, je pouvais maintenant voir Catherine allongée sur le dos, les fameuses cuissardes aux pieds, les jambes tenues grandes ouvertes par le patron et se faisant pistonner puissamment par un homme d'une quarantaine d'années black lui aussi.
Ma présence hormis un instant de surprise, ne sembla pas les déranger le moins du monde.
Catherine semblait toute molle, et râlait à chaque coup de boutoir de son male du moment.
L'homme se retira, enleva son préservatif, remonta son pantalon et sortit de la réserve.
Catherine gisait là, totalement ouverte les lèvres de son sexe étaient gonflées ,sa vulve restait entrouverte. Elle regardait dans ma direction et me fit un petit sourire avant de tourner la tête.
Le patron se retrouve seul avec elle, il la regarde dans les yeux, elle semble impressionnée, l'homme est très grand , très gros et son âge lui confère une sorte d'autorité qui semble faire son effet sur Catherine.
Lentement il se mit à lui dire qu’à présent elle n’était plus qu'un corps mis à sa disposition par son mari, et qu il allait en profiter pleinement. Il lui expliqua qu'il était marié, père de famille qu'il était sain et qu'il n'allait pas mettre de préservatif , qu'il désirait marquer son corps de sa présence au plus profond d'elle même et sentir son vagin téter son sexe . Catherine silencieuse, semblait fascinée.
Il lui dit que dés la veille il avait senti que sans la présence de son mari elle n'aurait pu refuser le sort qui était le sien aujourd'hui.
Toujours les yeux dans les yeux il lui ordonna de se masturber, il lui demanda si elle avait été excitée la veille en pensant à sa grosse bite noire.
Catherine dit un « oui monsieur » étranglé, le regard fixe et le corps ondulant de plus en plus .
L'homme sortait à présent son sexe, le membre était impressionnant, très gros, parcouru de grosses veines, et terminé par un énorme gland large et luisant , Catherine semblait hypnotisée par cette image .
L'homme s'approcha et lui demanda de l'embrasser , elle fermait les yeux et ouvrit ses lèvres, l'homme prenait possession de sa proie, sa langue épaisse était à présent accueillie avec passion , Catherine se frottait à l'homme et celui ci explorait son intimité avec ses doigts.
Catherine déchaînée, l'implorait à présent de la posséder , de la prendre toute…
Le patron plaqua la main sur la poitrine de ma femme qui remonta d'elle même ses jolies jambes son corps ondulait et cherchait le contact avec le sexe de l'homme. Lentement celui ci se plaça à l'entrée de la petite chatte rose et entra d'un seule et puissante poussée. Catherine hurla, l'homme se mit à la besogner , lui ordonnant de continuer à lui dire combien elle aimait sa queue. Immédiatement un puissant orgasme la saisit, elle était littéralement déchaînée et se propulsait violemment à la rencontre de la queue.
L'homme se tétanisa et se vida longuement dans ce corps qu'il possédait et qui semblait si petit comparé à lui .Il se retira, je vis le sperme s'écouler lentement de la chatte de Catherine qui semblait vibrer mais qui ne bougeait plus.
"Tu reviendras me voir" lui dit il" et tu m'offriras tes fesses , maintenant je n'ai plus le temps, ton mari va te ramener".
J'entendis Catherine répondre un "Oui monsieur".
Après quelques instants de récupération passés en silence et une sommaire toilette, nous avons repris le chemin de l’hôtel, il était 13h 30 et tout serait irrémédiablement différent à l’avenir.
Après m’avoir copieusement traité de « salaud », elle avoua enfin que l’expérience avait été très enrichissante . Elle m’annonça aussi que malgré une peur intense elle était décidée à passer à l’acte quoiqu’il arrive en partant récupérer sa robe. Elle confia aussi que lors de son appel, elle était déjà en train de se faire déshabiller par le patron dans la réserve et qu’il avait déjà donné des instructions à ses vendeurs me concernant.
Et pour terminer en beauté, m’annonça en riant ?! que ses déplacements professionnels en région parisienne allaient lui paraître moins ennuyeux à l’avenir.
Il y a deux ans nous nous sommes rendus en région parisienne pour un week-end soldes dans un grand centre de discount vestimentaire. Deux jours de visite étaient nécessaires face au grand nombre de magasins à prospecter.
Catherine, dans son élément semblait comme une gamine dans un rayon de jouets.
Vers la fin de l’après midi du premier jour, nous sommes entrés dans une boutique de produits en cuir assez haut de gamme et nous avons "flashé" sur une robe très courte ainsi que sur une magnifique paire de bottes/cuissardes à lacets pour aller avec. Vu le prix des articles nous avons demandé au vendeur la possibilité d’essayer et c’est avec un petit sourire qu’il nous conduisit vers la cabine. Le vendeur était un homme d’une trentaine d’années, black, très sympa et en apparence très intéressé par l’essayage de Catherine. Je restais donc à l’extérieur en tenant le rideau et il finit par s’éloigner.
Je pouvais enfin regarder à l’intérieur et quel spectacle, Catherine en cuissardes et bas avait ôté son soutien gorge et enfilait la robe. Je constatais que sa culotte gisait également sur le tabouret , incompatible avec l'hallucinant décolleté de bas de dos du vêtement .
Catherine était magnifique, elle semblait un peu gênée tant l'image renvoyée par le miroir lui montrait qu'elle était pour un instant devenue une poupée destinée au plaisir de l'homme.
La couleur noire de l'ensemble mettait en valeur son teint de peau de rousse .
J'en étais là dans mes rêveries lorsqu'elle me fît remarquer qu'il y avait néanmoins un problème au niveau de la taille, que la robe épousait parfaitement les courbes de son corps mais qu'il faudrait lui enlever 2 cm à cet endroit pour qu'elle soit parfaite, de plus un lacet de l'une des cuissardes devait être remplacé. Elle me dit aussi qu'elle était gênée de se montrer ainsi devant le vendeur, mais je compris que l'attrait de la robe lui ferait supporter ce moment délicat, j'allais chercher de l'aide.
A notre retour, c'est une Catherine timide et aux joues empourprées que nous retrouvions toujours aussi irrésistible dans son ensemble robe/ cuissardes. Le vendeur (qui ne souriait plus) lui demanda de tourner sur elle même pour bien se rendre compte, ce que fit Catherine qui n'en menait pas large.
Le vendeur entreprit de bien "placer" la robe et ainsi pu à loisir palper l'ensemble du corps de Catherine tout en faisant de multiples compliments sur sa "plastique exceptionnelle".
Constatant après cet inventaire détaillé qu'il y avait effectivement 2 cm de trop il nous dit que seul le patron savait modifier ce type de vêtement et il s'empressa d'aller le chercher.
Celui ci, un homme d'une cinquantaine d'années, très grand et très gros, black également revint immédiatement flanquée d'un mètre ruban et d'un gros crayon blanc.
Le trouble de mon épouse était visible, telle une marionnette elle se tourna et se retourna selon les désirs de l'homme qui lui aussi ne cessait de la complimenter sur son corps en même temps qu'il l'explorait méthodiquement sans en avoir l’air.
S'apercevant de la présence de la petite culotte sur le tabouret , il m'adressa un sourire entendu qui n'échappa pas à Catherine.
Nous lui expliquons que nous ne sommes pas de la région, et que nous devions repartir le lendemain en province, il nous répondit que la robe et les cuissardes seraient prêtes et disponibles à la caisse du magasin le lendemain et de repasser vers les 13 heures si nous ne voulons éviter l’affluence. Catherine s'est rhabillée sans mot dire et nous sommes rentrés à notre hôtel.
J'étais assez excité en me rappelant les péripéties de la journée et elle me confia que la situation quoique terriblement gênante l'avait également beaucoup excitée, elle lui rappelait les fois ou en faisant l'amour, je lui chuchotais des histoires ou elle était prise par un grand black .
Dés notre retour à l’hôtel nous avons fait l'amour plus que d'habitude , je lui racontais qu'elle n’était qu’une salope qui rêvait de se faire prendre par tous les vendeurs du magasin etc…" Elle se mit à couler si fort que ma main entière à présent entrait et sortait sans peine de son vagin.
Je compris son trouble dans la cabine d'essayage, elle fantasmait elle aussi mais… en silence.
Le lendemain vers 13 heures, au moment de nous rendre à la boutique pour récupérer sa robe, je prétextais un peu de fatigue et je lui dis d'y aller seule, que j'attendrai son retour dans une cafétéria voisine. Elle refusa tout net , je lui dis qu'il suffisait de passer à la caisse etc.. Elle sourit malicieusement et se leva.
Je la regardais partir d'un pas décidé dans son petit ensemble d’été.
Immédiatement je téléphonais au magasin, demandais le patron et lui expliquais que ma femme arrivait, qu’il n’hésite pas à lui demander d’ essayer de nouveau l'ensemble. Je lui précisait en outre que malgré sa grande timidité apparente, mon épouse avait adoré l’essayage de la veille, que nous en avions parlé ensuite et plus encore… Un « pas de problème» amusé et entendu me rassura sur le fait qu’il avait saisi ma demande 5 sur 5.
5 minutes après, Catherine m'appelait pour me dire qu'il fallait qu'elle essaie de nouveau l'ensemble, je lui répondis qu'elle n'avait qu'à le faire , il y eu un silence et avec un air désinvolte elle me dit :
"Bien, à tout à l'heure alors….",
Je lui répondis de prendre son temps, que j'étais bien installé etc …
Encore un silence et elle me demanda " es tu sur de vouloir rester à la cafet ?"
Je confirmai en lui disant qu’elle fasse attention car elle allait se trouver dans la situation idéale pour réaliser notre fantasme et lui demandait de me prévenir au cas ou, afin que je puisse au moins y assister. Re silence , puis d’ une toute petite voix elle me répondit "viens me chercher alors et ne tarde pas trop ",elle raccrocha sans me laisser le temps de dire un mot.
J'attendis cinq minutes qui me parurent interminables et je fonçais vers le magasin qui était situé à l'étage supérieur de la galerie.
J'entrais le cœur battant, il y avait peu de clients, et encore moins de vendeurs.
Je me dirigeai vers le fond du magasin , le vendeur de la veille vint à ma rencontre et d’un mouvement de tête me fit comprendre de le suivre.
Il me dé signa une porte qui donnait accès à la réserve du magasin. Guidé par le bruit, je pouvais maintenant voir Catherine allongée sur le dos, les fameuses cuissardes aux pieds, les jambes tenues grandes ouvertes par le patron et se faisant pistonner puissamment par un homme d'une quarantaine d'années black lui aussi.
Ma présence hormis un instant de surprise, ne sembla pas les déranger le moins du monde.
Catherine semblait toute molle, et râlait à chaque coup de boutoir de son male du moment.
L'homme se retira, enleva son préservatif, remonta son pantalon et sortit de la réserve.
Catherine gisait là, totalement ouverte les lèvres de son sexe étaient gonflées ,sa vulve restait entrouverte. Elle regardait dans ma direction et me fit un petit sourire avant de tourner la tête.
Le patron se retrouve seul avec elle, il la regarde dans les yeux, elle semble impressionnée, l'homme est très grand , très gros et son âge lui confère une sorte d'autorité qui semble faire son effet sur Catherine.
Lentement il se mit à lui dire qu’à présent elle n’était plus qu'un corps mis à sa disposition par son mari, et qu il allait en profiter pleinement. Il lui expliqua qu'il était marié, père de famille qu'il était sain et qu'il n'allait pas mettre de préservatif , qu'il désirait marquer son corps de sa présence au plus profond d'elle même et sentir son vagin téter son sexe . Catherine silencieuse, semblait fascinée.
Il lui dit que dés la veille il avait senti que sans la présence de son mari elle n'aurait pu refuser le sort qui était le sien aujourd'hui.
Toujours les yeux dans les yeux il lui ordonna de se masturber, il lui demanda si elle avait été excitée la veille en pensant à sa grosse bite noire.
Catherine dit un « oui monsieur » étranglé, le regard fixe et le corps ondulant de plus en plus .
L'homme sortait à présent son sexe, le membre était impressionnant, très gros, parcouru de grosses veines, et terminé par un énorme gland large et luisant , Catherine semblait hypnotisée par cette image .
L'homme s'approcha et lui demanda de l'embrasser , elle fermait les yeux et ouvrit ses lèvres, l'homme prenait possession de sa proie, sa langue épaisse était à présent accueillie avec passion , Catherine se frottait à l'homme et celui ci explorait son intimité avec ses doigts.
Catherine déchaînée, l'implorait à présent de la posséder , de la prendre toute…
Le patron plaqua la main sur la poitrine de ma femme qui remonta d'elle même ses jolies jambes son corps ondulait et cherchait le contact avec le sexe de l'homme. Lentement celui ci se plaça à l'entrée de la petite chatte rose et entra d'un seule et puissante poussée. Catherine hurla, l'homme se mit à la besogner , lui ordonnant de continuer à lui dire combien elle aimait sa queue. Immédiatement un puissant orgasme la saisit, elle était littéralement déchaînée et se propulsait violemment à la rencontre de la queue.
L'homme se tétanisa et se vida longuement dans ce corps qu'il possédait et qui semblait si petit comparé à lui .Il se retira, je vis le sperme s'écouler lentement de la chatte de Catherine qui semblait vibrer mais qui ne bougeait plus.
"Tu reviendras me voir" lui dit il" et tu m'offriras tes fesses , maintenant je n'ai plus le temps, ton mari va te ramener".
J'entendis Catherine répondre un "Oui monsieur".
Après quelques instants de récupération passés en silence et une sommaire toilette, nous avons repris le chemin de l’hôtel, il était 13h 30 et tout serait irrémédiablement différent à l’avenir.
Après m’avoir copieusement traité de « salaud », elle avoua enfin que l’expérience avait été très enrichissante . Elle m’annonça aussi que malgré une peur intense elle était décidée à passer à l’acte quoiqu’il arrive en partant récupérer sa robe. Elle confia aussi que lors de son appel, elle était déjà en train de se faire déshabiller par le patron dans la réserve et qu’il avait déjà donné des instructions à ses vendeurs me concernant.
Et pour terminer en beauté, m’annonça en riant ?! que ses déplacements professionnels en région parisienne allaient lui paraître moins ennuyeux à l’avenir.
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