JOURNAL D'UNE SALOPE 2
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2013 dans la catégorie Plus on est
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JOURNAL D'UNE SALOPE 2
MARDI mars
Je suis heureuse, très heureuse, j’ai mes règles, à partir d’aujourd’hui, je
vais compter les jours et faire mon calendrier d’amour.
DIMANCHE avril
Cette semaine j’ai été très sage, pour moi les hommes c’est fini, je suis à la
recherche d’une fille avec laquelle je pourrais avoir autant de plaisir qu’avec
Claire.
VENDREDI mai
J’ai trouvé une fille qui correspond à mes recherches, elle s’appelle Aicha,
elle termine ses études avant de rentrer dans son pays. Ce n’est pas très facile de se
rencontrer seules, elle est toujours sous la surveillance d’un membre de sa famille.
Je pense que la semaine prochaine je pourrais l’inviter à passer une soirée chez moi,
« pour réviser »
DIMANCHE mai
Aicha s’est fait accompagner chez moi hier soir, à peine son frère était parti
qu’on s’est embrassées et caressée en se déshabillant. C’était la première foi qu’on
avait toute la nuit pour nous on voulait en profiter un maximum. On était très bien,
sur mon lit, l’une sur l’autre à se caresser et s’embrasser quand j’ai senti des mains
me prendre les hanches et un phallus s’enfoncer en moi, je ne comprenais pas ce qui se
passait mais je jouissais comme une folle quand des mains ont repoussées ma jambe du
sexe d’Aicha, le chibre mystérieux est sortie de moi pour pénétrer Aicha qui se
débattait en criant
– Non pas ça, je suis vierge
Rien n’y faisait, le phallus diabolique s’enfonçait inexorablement en elle, j’ai collé
ma bouche sur la sienne pour l’empêcher de crier, j’ai bloqué ses mains qui me
frappaient avec les mienne et je l’ai senti se tendre de douleur quand son hymen a
cédé. Au bout d’un petit moment elle s’est relâchée et s’est mise à pleurer pendant
que je sentais l’homme derrière moi onduler de plus en plus fort jusqu’au moment ou il
est ressorti d’Aicha pour replonger en moi. Aicha était inerte, j’ai glissée une main
entre nous pour lui caresser son petit sexe meurtri, elle s’est mise à onduler des
reins sous le plaisir qui montait en elle autant qu’en moi. Le phallus est à nouveau
sorti de moi et de ma main je l’ai guidé au cœur de l’intimité d’Aicha qui ne criait
plus de douleur mai de plaisir. Je sentais le rythme se précipiter, j’étais jalouse
du plaisir que pouvais avoir Aicha, j’ai à nouveau passée mes mains entre nos corps
pour attraper ce phallus indomptable et le guider en moi. C’étais fantastiques,
j’embrassais et caressais Aicha pendant qu’un énorme chibre pilonnait mon intimité, je
criais mon plaisir au moment ou il s’est à nouveau retiré pour plonger dans Aicha qui
ne voulant plus le perdre, a refermé ses jambes autour des fesses de cet inconnu puis
de ses bras elle lui a par-dessus moi attrapé les hanches pour lui donner la cadence.
J’étais frustrée de mon plaisir mais je jouissais de voir ma maîtresse tant se donner
pour le sien. Rapidement l’homme derrière moi s’est tendu, Aicha à criée au rythme des
jets de foutre qui fouettaient le fond de son intimité, l’homme s’est retiré et s’est
éclipsé. J’ai tout de suite conduit Aicha dans la salle de bain pour lui faire une
douche vaginale, elle a refusée et m’a expliqué que l’homme qui nous a fait l’amour
était un de ses amis et que si elle tombait enceinte, elle devra l’épouser. Elle
s’était servie de moi pour pouvoir le rencontrer et faire l’amour avec lui. J’étais
folle de rage, me faire avoir une nouvelle foi, et par une fille en plus, il faut que
je me venge.
MERCREDI mai
Mardi j’ai proposé à Aicha de venir « réviser » samedi soir chez moi, elle
doit en parler a ses parents et me donner la réponse mercredi matin. Ils sont d’accord
samedi matin son frère l’accompagnera. Ma vengeance est en marche, elle aime faire
l’amour, elle veut être enceinte, elle le sera dimanche matin.
DIMANCHE mai
Samedi matin à 8h j’avais Bernard et six de ses copains devant ma porte, je
les fais entrer et leur explique ce qu’ils doivent faire. 9 h ils partent se cacher
dans la salle de bain. 9H30 Aicha arrive avec son frère, des qu’il est parti, elle me
demande l’autorisation d’appeler son copain pour qu’il vienne en fin de journée, après
son travail, j’accepte. Apres ce coup de fil je commence à la déshabiller en
l’embrassant, elle aime ça et me déshabille à mon tour. Nous nous ébattons sur le lit
quand comme le samedi précédent des mains me prennent les hanches mais c’est Aicha qui
se fait pénétrer, elle est toute surprise, elle aime et commence à onduler au rythme
imposé par ce chibre qui la transperce. Je m’avance sur elle pour mettre sa tête entre
mes jambes et la forcer à me sucer sans voir ce qui se passe autour d’elle. Une
ronde infernale se prépare, Aicha jouie comme une folle tout en me suçant le minou,
des qu’un homme a jouie un autre prend sa place et continue à la pilonner bien
profondément. Toute cette jouissance et la langue d’Aicha commence a bien m’exciter,
j’attrape le paquet de préservatif sur la table de nuit puis, je fais signe à un des
hommes qui attend son tour, le chibre a la main, je le pompe un petit peu, lui enfile
le préservatif et me dégageant d’Aicha, je me pose à 4 pattes au-dessus de sa tête
pour me faire prendre comme une chienne. Aicha commence à comprendre le traquenard qui
n’en est qu’à ses débuts. Malgré sa jouissance elle commence à se débattre sous moi.
Quand je sens mon étalon sur le point de jouir, je pousse celui qui est dans Aicha et
en lui retirant le préservatif je le place pour qu’il s’enfonce se libérer au plus
profond d’elle. Déjà 4 hommes ont jouis au fond de son petit sexe quand je remarque
Doudou, un grand noir avec un sexe énorme sur lequel est enfilée une sorte de bouée
je lui demande à quoi peut servir cet accessoire, il me répond qu’il est tellement
long qu’il risque de blesser sa partenaire c’est pour cela qu’il utilise ce truc en
mousse. L’envie est trop grande, je lui demande de me prendre, je me couche à coté de
Aicha qui maintenant se contente de subir les assauts sans réagir, j’écarte mes
jambes, Doudou se présente, mal grés la très grande excitation, la pénétration est
lente et difficile, c’est vrai qu’il est énorme. Il s’arrête de pousser quand il sent
son gland butter au fond de mon vagin, je me cambre voulant en avoir encore plus, il
bouge doucement de droite à gauche et franchit la bouche de mon utérus, c’est divin,
je sens la mousse presser mon clito, son gland forcer mon utérus, je jouie, le
repousse et lui enlève la bouée en mousse en lui disant :
- je te veux entier
Il replonge en moi et au lieu de forcer les lèvres de mon utérus il les franchit et
vient butter au plus profond de mon être Une jouissance incontrôlable s’empare de moi,
Doudou se retire, je le guide moi-même entre les jambes d’Aicha inerte. A la
pénétration de cet énorme machin elle se réveille, crie quand il bute au fond de son
vagin, s’égosille quand il force la bouche de son utérus et vient buter au fond. Je me
mets à lui caresser les couilles et à masturber la partie de son sexe qui dépasse, je
le sens frémir, il se met à onduler, de plus en plus vite, de plus en plus fort, Aicha
crie à chaque foie qu’il bute au fond d’elle, je sens qu’il va bientôt jouir, je le
caresse plus fort, il se contracte, râle, explose au fond d’Aicha qui sous la violence
du jet entre en transe, tétanisée par son plaisir. Ces messieurs n’ont pas fini avec
elle, ils la retournent et se mettent à la sodomiser violemment, l’un après l’autre,
elle redevient complètement inerte entre leurs mains, ils font ce qu’ils veulent avec
elle, elle ne réagie plus. J’attrape Doudou par son instrument, le suce en le
masturbant, pour lui redonner un peut de vigueur, puis le dirige vers la rosette toute
dilatée d’Aicha.
Elle se met à trembler quand il commence à forcer, doucement il s’enfonce, elle crie,
il s’enfonce toujours, je me jette sur ses fesses et pousse en criant, « a fond, bien
a fond » Aicha crie à pleins poumons je ne sais si c’est de douleur ou de jouissance.
Une foie bien empalée, Doudou la retourne pour qu’un de ses copain puisse la prendre
une nouvelle foie dans le vagin, elle crie de nouveau sous cette double pénétration,
pour la faire taire deux autres montent sur le lit et se mettent à lui faire l’amour a
tour de rôle au fond de la gorge pendant ce temps, je branle les deux derniers au-
dessus de sa tête. Le premier à jouir c’est celui de son sexe il est aussitôt
remplacé par un de ceux que je masturbais ensuite les jouissances se sont enchaînées
au fond de sa gorge, sur sa poitrine puis une nouvelle foi dans son sexe et enfin
Doudou au fond de ses fesses. Il était 16 H ils sont tous repartis, je me suis
rhabillée en laissant Aicha inerte sur le lit. A 17 H30 son copain est arrivé, je
l’ai déshabillé, sucé pour le mettre en forme puis, je l’ai guidé dans aicha qui
dormait sur le dos, les jambes écartées. Quand il s’est enfoncé au plus profond
d’elle elle s’est réveillée, a essayé de le repousser puis l’a emprisonné entre ses
jambes pour accélérer son plaisir. Ma vengeance était totale, Aicha ne jouissait plus,
elle subissait seulement. Son copain a rapidement jouie puis il est parti. Aicha s’est
rhabillée vers 19h son frère est venu la reprendre, je ne l’aie plus jamais revue.
C’est sur elle doit être enceinte maintenant.
DIMANCHE juin
Hier c’étais la fête de la musique nous sommes sortis tous ensemble on s’est
bien amusé toute la soirée vers deux heures du matin on s’est tous retrouvé chez
Claire et Paul, nous étions une dizaine de filles et de garçons, nous avions à boire,
on a poussé les meubles pour faire de la place et on s’est mis à danser. Au bout d’un
moment Maeva complètement Soule a commencé à se déshabiller, quatre garçons ont fait
un cercle autour d’elle, ils la caressaient des qu’elle s’approchait d’eux. Chaque
foie que l’un d’eux pouvait lui toucher le minou il retirait un vêtement, Assez
rapidement, ils se sont tous retrouvés nue à caresser Maeva qui gémissait de plaisir.
Christelle, Julie, et moi ne voulant pas rester sur la touche sommes allés les
rejoindre en nous déshabillant à notre tour. L’ambiance devenait torride, seul Claire
et Paul semblaient rester sage, l’un contre l’autre, sur le canapé. C’est Pierre, le
copain de Christelle qui a tout déclenché en attrapant Maeva par la taille pour la
coucher au milieu de la pièce et la posséder énergiquement. Christelle Jalouse s’est
jetée sur Jacques, mon copain, pour le pomper puis le chevaucher. L’orgie était
lancée, Julie s’est attaquée à Bruno, même Claire et Paul n’ont pas pu résister et se
sont déshabillés pour se mêler à l’orgie. Nous avions tous nos préservatifs il n’y
avait pas de soucis. Ça n’a pas duré très longtemps, Maeva ivre d’alcool et de plaisir
s’est mise à retirer le préservatif de Pierre puis elle a attrapé Jacques en criant :
- Maintenant Pierre a tous les droits il peut prendre n’importe la-quelle d’entre
vous l’homme qui est avec vous devra retirer son préservatif et continuer.
Pierre a choisi sa copine Julie, Jacques a du retirer son préservatif et choisi
Julie, Bruno prend Claire, Paul s’occupe de moi. C’est très agréable mais risqué, je
pense être en zone orange, Claire est en rouge, les autre ne savent pas. Maeva se
relève à nouveau et annonce :
- La premier qui fera jouir son partenaire sera la reine de la soirée et comme chez
les abeilles elle sera le réceptacle de la semence de tous.
Paul très gentiment bouge le moins possible en moi pour éviter de jouir, Julie est à
cotée de nous avec Pierre entre ses jambes, ils font comme nous, ils bougent le moins
possible pour ne pas déclencher la jouissance, seule Maeva S’agite comme une folle sur
son partenaire en criant son plaisir. Une idée me traverse l’esprit, j’en parle
doucement a Paul il est d’accord, attrape mes hanches et nous retourne dans la
direction de Julie et Pierre. Tout en le chevauchant, je passe une main sous les
fesses de Julie et la griffe, elle se cambre pour éviter la douleur. De mon autre main
je caresse les couilles de Pierre qui gémit. Alternativement, je griffe, je caresse,
Pierre ne supporte pas ce manège longtemps, il explose au fond de Julie, notre reine
de la soirée. Tous les hommes sont prêts à jouir en elle, ils se tiennent l’un
derrière l’autre à attendre, le chibre a la main, Julie inconsciente des risques
n’arrête pas de jouir de ces multiples pénétrations elle adore être la reine de la
soirée et se sentir remplie par toutes ces bites bien dures. Seule Maeva semble
regretter de n’avoir pas être élu et se met à pomper les bites qui sortent de Julie
qui maintenant est inerte, les jambes écartées et subit les derniers assauts.
Cette soirée m’a laissé un goût étrange dans la bouche, nous étions tous de
très bons amis, je pense à l’angoisse que devra ressentir Julie quand elle aura dormi,
la peur d’être enceinte à cause d’un moment d’égarement.
LUNDI …. Juillet
Depuis hier je suis en vacances a la campagne chez mes cousins. Leur fille
Christine n’a que 16 ans mai me semble bien délurée. Hier soir nous sommes partis au
village pour la fête locale c’était sinistre, trois manéges, une buvette et un
orchestre, mortel. Enfin Christine m’a présenté sa bande de copines, elles sont
quatre, toutes du même age, elles m’ont invité à sortir avec elles pour un concert
jeudi prochain, a mon avis la seule distraction du coin. J’ai acceptée. Pendant le
trajet de retour vers la ferme j’ai un peu discuté avec Christine j’ai appris que
comme ses copines elle était vierge, qu’elle avait un petit copain très gentil, que
les seules distractions dans le coin étaient : la baignade dans le lac a dix
kilomètres et le club ouvert le jeudi, vendredi et samedi. Je pense qu’a la fin du
mois je serais une none dans ce trou perdu.
VENDREDI …. Juillet
Hier nous étions au concert, elles m’ont toutes présenté leur copain, ils sont
mignon mai pas très futé, elles en font ce qu’elles veulent. Pas question de pelotage,
juste des petits baisers, il va falloir que ça change, j’aie envie de sexe. Justement
en voilà un qui se lance et me drague ouvertement, Christine le remarque et me dit «
tu l’as vue, c’est Peter le fils de la ferme voisine, il est gentil, tu peux flirter
avec lui si tu veux. ». C’est décidé, je vais m’occuper de Peter. Il s’approche, me
sourie, je lui réponds, il me propose une bière, j’accepte, il vient s’asseoir à coté
de moi. Apres un petit moment de silence il passe son bras autour de mon cou, je ne
bouge pas, il se rapproche et timidement pose sa tète sur mon épaule, je ne bouge
toujours pas, mais je sens l’excitation monter en moi, il se lance, relève la tète et
embrasse mon oreille, je tourne la tète et le surprend, je lui mords la lèvre et
l’embrasse goulûment, je le sens tendu, je guide sa main sur ma poitrine pour qu’il me
caresse, il est très maladroit mais c’est agréable. Les autres filles à coté de moi se
contentent de flirter, moi j’en veux plus, je lui propose de venir avec moi dans la
grange derrière la salle, il s’empresse d’accepter, nous nous levons. Une foie dans le
foin, je dégrafe mon corsage pour qu’il embrasse ma poitrine, il est aux anges, je
tends le bras et caresse doucement sa braguette toute tendue, il se met à gémir, la
tète contre ma poitrine il éjacule dans son slip sous ma caresse. Il est très empoté,
je relève ma jupe et guide sa main pour qu’il me masturbe, il est tout rouge, c’est la
première foi de sa vie qu’il touche une fille, il a beaucoup à apprendre, je serais
son guide. J’ai baissé sa braguette et j’ai libéré son sexe à nouveau tout tendu, je
l’ai pris dans ma bouche et je l’ai pompé tout en guidant ses mains dans ma culotte
toute mouillée. Il a jouit à nouveau dans ma bouche en me caressant d’une main la
poitrine, de l’autre mon minou. C’était la fin du concert, on s’est très vite rhabillé
pour rejoindre toute la bande.
Ce matin en me promenant j’ai rencontré Peter, au bord du ruisseau, en me voyant, il
est devenu tout rouge, je l’ai mis en confiance, on s’est embrassé puis il m’a raconté
que, hier soir c’étais la première foi qu’il faisait l’amour a une fille, j’ai éclaté
de rire et je lui ais répondu que nous n’avions pas fait l’amour mais juste un petit
câlin. Il m’a demandé de faire l’amour avec lui, j’ai accepté. On s’est mutuellement
déshabillé, en se caressant. Je me suis allongée dans l’herbe et je l’ai guidé pour
qu’il me pénètre, doucement, quand il a accéléré, je l’ai repoussé puis, je l’ai
chevauché à mon rythme en lui demandant de se calmer pour ne pas jouir tout de suite,
il a essayé mais très vite il s’est contracté, j’ai juste eut le temps de me retirer
avant qu’il éjacule. Je me suis couchée à coté de lui pour me finir à la main, ce
n’étais pas terrible. On a pris rendez-vous pour le lendemain matin au même endroit.
SAMEDI … juillet
Ce matin au bord du ruisseau j’ai appris à Peter le contrôle pour bander
longtemps sans jouir puis, je lui ai montré comment faire beaucoup plaisir a une fille
avec ses mains et sa bouche. On mettra en pratique ce soir au club
DIMANCHE …. Juillet
C’est fou ce que les histoires vont vite dans ces campagnes. Les filles savent
que j’ai fait l’amour avec Peter et me traitent de salope, elles les allumeuses enfin
ce soir je vais m’éclater, j’ai mon paquet de préservatif je vais bien m’amuser avec
Peter et ses copains. Nous allons leur apprendre à s’occuper des filles. Je prépare un
coin dans la grange bien a l’écart des regards indiscrets, deux grosses balles de
paille, de la ficelle et mes préservatifs. Peter va chercher le copain de ma cousine
Christine. Une foi de retours je lui demande s’il n’a pas envie de faire l’amour avec
son amie, il en rêve mais c’est impossible il ne peut même pas la caresser comme tous
ses copains d’ailleurs. Il faut faire quelque chose pour leur apprendre la vie, le mot
d’ordre est passé, faites les boire puis venez dans la grange avec elles. Pendant que
le plan s’exécute, je prépare les balles de paille avec des ficelles, une de chaque
coté. Quand le premier couple arrive, c’est parti Jeanne, une des amie de Christine
est attachée à une balle de paille, un poignet de chaque coté, elle est tellement
saoule qu’elle ne s’en rend même pas compte, elle somnole, je dégrafe son corsage, lui
retire son soutien gorge, sa jupe et sa culotte. Peter prend le relais et montre
comment il faut la caresser pendant qu’un autre couple entre, même manége, c’est
Clara, elle se débat un peu mai pas trop Puis Gisèle et Paule et enfin ma cousine
Christine. Voilà une belle brochette cinq filles a poil attachées à des bales de
pailles qui gémissent de plaisir sous les caresses de leurs copains. Au bout d’un
moment je demande à tous ces hommes de baisser leurs pantalons et leurs slips puis, je
passe dans les rangs pour les couvrir l’un après l’autre de mes préservatifs puis, je
me déshabille pour m’allonger sur les balles de pailles que j’avais préparée Peter me
rejoint et nous leur montrons comment faire l’amour. De sentir ces cinq regards
envieux me fait jouir comme jamais. Je leur explique qu’il faut y aller doucement, ce
sont des vierges. Ils se lancent, juste quelques cris puis de la jouissance. Avec
Peter nous coupons les cordes qui retiennent ces filles en chaleur et elles
continuent, serrant leurs copains entre leur bras et jambes, c’est fantastique une
véritable orgie dans une grange je ne suis plus la seule salope de la région.
Mercredi juillet
Avec Christine et ses copines on s’entend mieux, je leur apprends le
calendrier, la douche vaginale et bien sur le préservatif dont ma réserve diminue à vu
d’œil. Seule Josie la sœur de Peter nous embête, elle est très religion, contre toute
contraception et ne jure que par l’amour après le mariage. Elle nous traite toutes de
vicieuses, suppos de Satan, il nous faut la calmer ou elle va raconter à tout le
village ce que nous faisons. Nous préparons une potence au bord du ruisseau des cordes
pour lui attacher les bras et les jambes écartées puis nous demandons à Peter de la
faire venir pour chercher un outil qu’il a oublié. Elle arrive enfin nous lui sautons
dessus, nous la déshabillons et nous l’attachons à notre potence Même nue devant nous
elle nous nargue, je m’approche d’elle, la caresse doucement, elle frémit, je pousse
ma caresse sur sa poitrine, elle durcit sous le plaisir, Christine passe entre ses
jambes et se met à lécher son clitoris, elle gémie, ma main descend et mes doigts
pénètrent en elle, elle se débat un petit peu puis accepte et jouie pour la première
foi de sa vie. Ce n’est pas fini pour autant, j’envoie Gisèle chercher quelques males
disponibles. Elle part et revient très vite avec Paul son copain, Jacques et Pierre
les copains de Jeanne et de Clara. Tout en caressant Josie qui n’arrête pas de gémir,
je leur demande de se déshabiller puis, je tire sur une corde qui se tend et entraîne
les pieds de josie vers le ciel. Elle se retrouve allongée en l’air retenu par ses
poignets et ses chevilles Paul s’avance le premier, s’agenouille et se met à lécher ce
petit minou qui dégouline de plaisir puis se relever et s’enfonce tout doucement, elle
se contracte pour ne pas crier puis s’abandonne et râle de plaisir. Sans jouir Paul se
retire et laisse la place à Pierre qui continue un bon moment puis cède la place à
Jacques. Josie n’est plus que jouissance malgré les cordes qui lui entaillent les
poignets et les chevilles. Quand Jacques se retire, je lâche les cordes, doucement
elle descend et s’allonge par terre Pierre la retourne et la pénètre une nouvelle foi,
elle ne souhaite pas s’échapper, elle aime le plaisir qu’ils lui procurent. Il la
défonce énergiquement et quand il sent la jouissance arriver, il se retire et lui
arrose les fesses. Paul prêt profite de la lubrification pour s’engouffrer dans sa
rosette, les mains lui cramponnant bien les hanches pour éviter qu’elle esquive, il
s’enfonce à fond, la pylône un peu puis l’entraîne en se couchant sur le dos. Pierre
toujours bien bandé s’avance et la pénètre, elle crie sa jouissance sous cette double
pénétration qui ne s’arrête que quand les deux males explosent au fond de son corps.
Pour terminer la séance Jacques s’avance et lui rempli la bouche avec son chibre qui
reprend de belles proportions l’obligeant à pomper pour qu’il se libère une nouvelle
foi dans sa bouche. Josie reste couchée par terre, ivre de jouissance, épuisée. Je la
prends par la main, la rhabille, l’entraîne vers la ferme. Une foi dans la salle
d’eau, je lui mets le marché en main, soit la douche vaginale, et elle est acceptée
dans notre groupe, soit elle rentre chez elle, et risque une grossesse. Malgré ses
convictions elle accepte la douche et rejoint notre groupe. Je suis ravie.
DIMANCHE juillet
Notre groupe est maintenant bien rodé, la grange est devenue notre point de
ralliement pour les cours et les nouvelles expériences, nous nous y retrouvons presque
tous les soirs. Hier soir nous avons décidées de faire une grande partie pour fêter la
fin de mes vacances, je rentre lundi matin. Samedi matin, Pierre m’a accompagné à la
ville la plus proche pour faire quelques achats très importants. Des préservatifs et
différents autres produits. Notre fête sera fantastique. Pour briser les habitudes,
j’ai demandée à chaque filles présentes de venir avec un nouveau mec et à chaque
hommes de venir avec une nouvelle fille. A l’entrée de la grange Josie et Pierre sont
chargé de mettre un bandeau jaune fluo au bras des puceaux de manière à les repérer
plus vite dans la foule. La soirée commence bien, je me charge personnellement de
faire boire des aphrodisiaques aux garçons et aux filles équipés du bandeau jaune.
Quand ils en ont tous pris un ou deux verres la fête peut vraiment commencer par un
premier concours. Je prends cinq hommes, ils se déshabillent et vont s’asseoir
derrière une pile de botte de paille puis, je prends leurs copines, l’une après
l’autre, pour qu’elles reconnaissent leur mec, les yeux bandés, juste a leurs parties,
en palpant, en goûtant, comme elles veulent. Quand une fille à reconnu son homme, elle
passe derrière lui et se déshabille tout en gardant le bandeau. Tout le monde se mare
bien, les cinq couples sont rapidement formés, les filles doivent maintenant
s’allonger dans la paille, les jambes écartées et se faire sucer par celui qu’elles
ont pris pour leur mec. Les gémissements commencent à chauffer l’ambiance. Maintenant
les hommes doivent prendre les filles puis leur retirer leurs bandeaux, et la, grosse
rigolade, elles se sont toutes trompées mais jouissent quand même de ces chibres qui
les transpercent. Ce spectacle inquiète pas mal la petite Charlotte, très fille de
ferme, avec un bandeau jaune, elle cherche à s’éclipser, je la bloque avec Paul et la
déshabille prestement pour l’offrir aux caresses de ceux qui le désirent. Ils sont
quatre à se jeter sur elle et à la caresser de partout, elle n’arrête pas de crier,
nom pas de peur ou de douleur mais de jouissance, une future adepte du groupe, j’en
suis sure. C’est Pierre qui se lance pour la déflorer, sur les balles de paille, en
levrette, quand il commence à la pénétrer, elle ne crie pas, c’est même elle qui
s’empale sur Pierre d’un mouvement violent et qui s’agite pour faire monter la
jouissance. Pierre en est presque déçu et cherche du regard une autre fille avec un
bandeau jaune. Christine, Clara, Jeanne s’occupe des garçons au bandeau jaune,
l’ambiance est des plus torrides, je suis la seule à être encore vêtue, il faut que ça
change, je me déshabille vite et attrape le premier chibre qui passe à coté de moi,
pour le chevaucher fougueusement. Je sens la jouissance monter en moi quand des mains
poussent sur mon dos et un autre chibre s’enfonce dans mes fesses. L’homme que je
chevauche se contracte et éjacule, celui de derrière moi se relève, me tenant par les
cuisses, toujours planté en moi, il me présente à un autre qui sans hésiter me pénètre
à nouveau. Je ne suis plus qu’une poupée qui s’agite en jouissant d’un chibre à un
autre, ça dure longtemps, très longtemps. Au petit matin je suis épuisée mais
heureuse, ma soirée a été une réussite.
MERCREDI aout
Ça y est, je suis rentrée chez moi, il n’y a pas beaucoup de monde en ville, j’ai
quand même rencontré Bernard, il travaille tout l’été je lui ais demandé le n° de
téléphone de Doudou, pour enfin profiter de son énorme machin et hier soir enfin
Doudou est venue chez moi. Des son arrivée je l’ai embrassé et déshabillé, je suis
dans ma zone verte, il me faut en profiter un maximum. J’ai fait tomber ma nuisette et
je l’ai entraîné sur le lit, il m’a d’abord bien caressé puis sucé et enfin il m’a
possédé, lentement, profondément, je jouissais à chaque butée de ce chibre monstrueux
au fond de mon utérus, j’étais aux anges, je l’ai retenu avec mes jambes autour de son
dos quand il a voulu se retirer, j’ai glissé ma main pour tirer sur ses bourses, il
m’a inondé de son foutre brûlant, de grandes giclées fouettaient le plus profond de
mon intimité, Jamais je n’avais eut une telle sensation, c’étais merveilleux, je
comprend maintenant la jouissance d’Aicha quand il avait jouis en elle, c’étais
tellement bon que j’en suis tombée dans les pommes. A mon réveil il était toujours en
moi, doucement il débandait. Je l’ai poussé sur le coté pour le sucer et lui redonner
vie. Quand ce fut fait, je l’ai bien lubrifié pour qu’il me prenne par derrière,
malgré la lubrification abondante, son entrée fut assez douloureuse mais je voulais
savoir si c’étais aussi jouissif par derrière, de sa main il me caressait le clito et
l’entrée de du vagin tout en s’enfonçant doucement dans mon fondement. Quand j’ai
senti ses couilles buter sur mon sexe j’ai compris qu’il était entièrement en moi, il
ne bougeait plus, c’est moi qui ais commencé à avancer et reculer sur cet énorme
chibre qui m’empalait au même rythme que ses doigts entraient et sortaient de mon
sexe, je sentais une nouvelle foi, une jouissance extrême monter en moi, j’accélérais
le mouvement de plus en plus, je le sentais se contracter derrière moi, puis a nouveau
il m’à inondé et j’ai jouis. C’étais fantastiques, j’aimais sentir le sperme brûlant
fouetter mon intérieur, il faut dire qu’a part la foi ou Bernard et ses copains m’ont
prise, je n’avais jamais fait l’amour sans préservatif, je me suis privée de bien des
plaisirs. De toute manière, Doudou est un super amant. Il faut que Je garde ses
coordonnées pour plus tard, le faire connaître à ma cousine.
JEUDI aout
Cette semaine j’ai rencontré Claire, elle est célibataire, Paul est parti en vacances
sans elle, elle en profite pour faire de nouvelles expériences, elle m’a emmené hier
dans un nouveau club très branché, à l’entrée un grand vestiaire ou tous les membres
se déshabillent, puis une foi nue, on prend un bracelet avec un n° c’est notre code
pour payer les consommations, et retirer nos vêtements avant de partir puis on entre
dans le club proprement dit, partout de grandes banquettes ou les couples s’enlacent,
au centre une piste de danse, bondée, au fond le bar. Je me sens un peu gênée mai
après deux petits verres au bar, plus de craintes tout est fait pour un maximum de
baise en un minimum de temps. Il n’y avait pas cinq minutes que j’étais sur la piste
que des mains m’ont prisent par derrière la poitrine pour me la caresser et qu’une
fille s’est agenouillée devant moi pour me passer une pommade sur le sexe, j’ai senti
mes lèvres intimes chauffer, se gonfler, je n’avais plus qu’une envie, me faire
prendre, je dégoulinais de désir, la fille s’est fait aider par une autre et elles
m’ont soulevée pour m’empaler sur un homme qui dansait à coté de nous. J’ai aussitôt
serré mes jambes dans son dos et mis mes bras autour de son cou et sur le typo de la
sono il m’a fait l’amour pendant que les mains inconnues continuaient de me caresser
la poitrine, je n’étais plus que jouissance, ils m’ont porté vers une banquette ou je
me suis allongée et les males en rut se sont succédés je jouissais tellement que j’en
avais mal au ventre. Quand ils ont fini, je me suis endormie, c’est Claire qui m’a
réveillée en me suçant avidement le minou tout en se faisant défoncer, elle était
méconnaissable, le visage déforme par le plaisir et la jouissance elle a attrapé un
homme qui passait à coté pour le prendre dans sa bouche puis lui enfiler un
préservatif et le guider en moi pour une nouvelle partie de plaisir. Quand nous sommes
partis, ce matin, je n’ai pas eut la force de rentrer chez moi, j’ai dormie chez
Claire. Au réveil après un bon petit déjeuner, avant de rentrer chez moi, je lui ai
raconté ma soirée avec Doudou, la voyant envieuse je lui aie laissé son n° de
téléphone. Je pense que ce soir elle doit être avec lui.
Je suis heureuse, très heureuse, j’ai mes règles, à partir d’aujourd’hui, je
vais compter les jours et faire mon calendrier d’amour.
DIMANCHE avril
Cette semaine j’ai été très sage, pour moi les hommes c’est fini, je suis à la
recherche d’une fille avec laquelle je pourrais avoir autant de plaisir qu’avec
Claire.
VENDREDI mai
J’ai trouvé une fille qui correspond à mes recherches, elle s’appelle Aicha,
elle termine ses études avant de rentrer dans son pays. Ce n’est pas très facile de se
rencontrer seules, elle est toujours sous la surveillance d’un membre de sa famille.
Je pense que la semaine prochaine je pourrais l’inviter à passer une soirée chez moi,
« pour réviser »
DIMANCHE mai
Aicha s’est fait accompagner chez moi hier soir, à peine son frère était parti
qu’on s’est embrassées et caressée en se déshabillant. C’était la première foi qu’on
avait toute la nuit pour nous on voulait en profiter un maximum. On était très bien,
sur mon lit, l’une sur l’autre à se caresser et s’embrasser quand j’ai senti des mains
me prendre les hanches et un phallus s’enfoncer en moi, je ne comprenais pas ce qui se
passait mais je jouissais comme une folle quand des mains ont repoussées ma jambe du
sexe d’Aicha, le chibre mystérieux est sortie de moi pour pénétrer Aicha qui se
débattait en criant
– Non pas ça, je suis vierge
Rien n’y faisait, le phallus diabolique s’enfonçait inexorablement en elle, j’ai collé
ma bouche sur la sienne pour l’empêcher de crier, j’ai bloqué ses mains qui me
frappaient avec les mienne et je l’ai senti se tendre de douleur quand son hymen a
cédé. Au bout d’un petit moment elle s’est relâchée et s’est mise à pleurer pendant
que je sentais l’homme derrière moi onduler de plus en plus fort jusqu’au moment ou il
est ressorti d’Aicha pour replonger en moi. Aicha était inerte, j’ai glissée une main
entre nous pour lui caresser son petit sexe meurtri, elle s’est mise à onduler des
reins sous le plaisir qui montait en elle autant qu’en moi. Le phallus est à nouveau
sorti de moi et de ma main je l’ai guidé au cœur de l’intimité d’Aicha qui ne criait
plus de douleur mai de plaisir. Je sentais le rythme se précipiter, j’étais jalouse
du plaisir que pouvais avoir Aicha, j’ai à nouveau passée mes mains entre nos corps
pour attraper ce phallus indomptable et le guider en moi. C’étais fantastiques,
j’embrassais et caressais Aicha pendant qu’un énorme chibre pilonnait mon intimité, je
criais mon plaisir au moment ou il s’est à nouveau retiré pour plonger dans Aicha qui
ne voulant plus le perdre, a refermé ses jambes autour des fesses de cet inconnu puis
de ses bras elle lui a par-dessus moi attrapé les hanches pour lui donner la cadence.
J’étais frustrée de mon plaisir mais je jouissais de voir ma maîtresse tant se donner
pour le sien. Rapidement l’homme derrière moi s’est tendu, Aicha à criée au rythme des
jets de foutre qui fouettaient le fond de son intimité, l’homme s’est retiré et s’est
éclipsé. J’ai tout de suite conduit Aicha dans la salle de bain pour lui faire une
douche vaginale, elle a refusée et m’a expliqué que l’homme qui nous a fait l’amour
était un de ses amis et que si elle tombait enceinte, elle devra l’épouser. Elle
s’était servie de moi pour pouvoir le rencontrer et faire l’amour avec lui. J’étais
folle de rage, me faire avoir une nouvelle foi, et par une fille en plus, il faut que
je me venge.
MERCREDI mai
Mardi j’ai proposé à Aicha de venir « réviser » samedi soir chez moi, elle
doit en parler a ses parents et me donner la réponse mercredi matin. Ils sont d’accord
samedi matin son frère l’accompagnera. Ma vengeance est en marche, elle aime faire
l’amour, elle veut être enceinte, elle le sera dimanche matin.
DIMANCHE mai
Samedi matin à 8h j’avais Bernard et six de ses copains devant ma porte, je
les fais entrer et leur explique ce qu’ils doivent faire. 9 h ils partent se cacher
dans la salle de bain. 9H30 Aicha arrive avec son frère, des qu’il est parti, elle me
demande l’autorisation d’appeler son copain pour qu’il vienne en fin de journée, après
son travail, j’accepte. Apres ce coup de fil je commence à la déshabiller en
l’embrassant, elle aime ça et me déshabille à mon tour. Nous nous ébattons sur le lit
quand comme le samedi précédent des mains me prennent les hanches mais c’est Aicha qui
se fait pénétrer, elle est toute surprise, elle aime et commence à onduler au rythme
imposé par ce chibre qui la transperce. Je m’avance sur elle pour mettre sa tête entre
mes jambes et la forcer à me sucer sans voir ce qui se passe autour d’elle. Une
ronde infernale se prépare, Aicha jouie comme une folle tout en me suçant le minou,
des qu’un homme a jouie un autre prend sa place et continue à la pilonner bien
profondément. Toute cette jouissance et la langue d’Aicha commence a bien m’exciter,
j’attrape le paquet de préservatif sur la table de nuit puis, je fais signe à un des
hommes qui attend son tour, le chibre a la main, je le pompe un petit peu, lui enfile
le préservatif et me dégageant d’Aicha, je me pose à 4 pattes au-dessus de sa tête
pour me faire prendre comme une chienne. Aicha commence à comprendre le traquenard qui
n’en est qu’à ses débuts. Malgré sa jouissance elle commence à se débattre sous moi.
Quand je sens mon étalon sur le point de jouir, je pousse celui qui est dans Aicha et
en lui retirant le préservatif je le place pour qu’il s’enfonce se libérer au plus
profond d’elle. Déjà 4 hommes ont jouis au fond de son petit sexe quand je remarque
Doudou, un grand noir avec un sexe énorme sur lequel est enfilée une sorte de bouée
je lui demande à quoi peut servir cet accessoire, il me répond qu’il est tellement
long qu’il risque de blesser sa partenaire c’est pour cela qu’il utilise ce truc en
mousse. L’envie est trop grande, je lui demande de me prendre, je me couche à coté de
Aicha qui maintenant se contente de subir les assauts sans réagir, j’écarte mes
jambes, Doudou se présente, mal grés la très grande excitation, la pénétration est
lente et difficile, c’est vrai qu’il est énorme. Il s’arrête de pousser quand il sent
son gland butter au fond de mon vagin, je me cambre voulant en avoir encore plus, il
bouge doucement de droite à gauche et franchit la bouche de mon utérus, c’est divin,
je sens la mousse presser mon clito, son gland forcer mon utérus, je jouie, le
repousse et lui enlève la bouée en mousse en lui disant :
- je te veux entier
Il replonge en moi et au lieu de forcer les lèvres de mon utérus il les franchit et
vient butter au plus profond de mon être Une jouissance incontrôlable s’empare de moi,
Doudou se retire, je le guide moi-même entre les jambes d’Aicha inerte. A la
pénétration de cet énorme machin elle se réveille, crie quand il bute au fond de son
vagin, s’égosille quand il force la bouche de son utérus et vient buter au fond. Je me
mets à lui caresser les couilles et à masturber la partie de son sexe qui dépasse, je
le sens frémir, il se met à onduler, de plus en plus vite, de plus en plus fort, Aicha
crie à chaque foie qu’il bute au fond d’elle, je sens qu’il va bientôt jouir, je le
caresse plus fort, il se contracte, râle, explose au fond d’Aicha qui sous la violence
du jet entre en transe, tétanisée par son plaisir. Ces messieurs n’ont pas fini avec
elle, ils la retournent et se mettent à la sodomiser violemment, l’un après l’autre,
elle redevient complètement inerte entre leurs mains, ils font ce qu’ils veulent avec
elle, elle ne réagie plus. J’attrape Doudou par son instrument, le suce en le
masturbant, pour lui redonner un peut de vigueur, puis le dirige vers la rosette toute
dilatée d’Aicha.
Elle se met à trembler quand il commence à forcer, doucement il s’enfonce, elle crie,
il s’enfonce toujours, je me jette sur ses fesses et pousse en criant, « a fond, bien
a fond » Aicha crie à pleins poumons je ne sais si c’est de douleur ou de jouissance.
Une foie bien empalée, Doudou la retourne pour qu’un de ses copain puisse la prendre
une nouvelle foie dans le vagin, elle crie de nouveau sous cette double pénétration,
pour la faire taire deux autres montent sur le lit et se mettent à lui faire l’amour a
tour de rôle au fond de la gorge pendant ce temps, je branle les deux derniers au-
dessus de sa tête. Le premier à jouir c’est celui de son sexe il est aussitôt
remplacé par un de ceux que je masturbais ensuite les jouissances se sont enchaînées
au fond de sa gorge, sur sa poitrine puis une nouvelle foi dans son sexe et enfin
Doudou au fond de ses fesses. Il était 16 H ils sont tous repartis, je me suis
rhabillée en laissant Aicha inerte sur le lit. A 17 H30 son copain est arrivé, je
l’ai déshabillé, sucé pour le mettre en forme puis, je l’ai guidé dans aicha qui
dormait sur le dos, les jambes écartées. Quand il s’est enfoncé au plus profond
d’elle elle s’est réveillée, a essayé de le repousser puis l’a emprisonné entre ses
jambes pour accélérer son plaisir. Ma vengeance était totale, Aicha ne jouissait plus,
elle subissait seulement. Son copain a rapidement jouie puis il est parti. Aicha s’est
rhabillée vers 19h son frère est venu la reprendre, je ne l’aie plus jamais revue.
C’est sur elle doit être enceinte maintenant.
DIMANCHE juin
Hier c’étais la fête de la musique nous sommes sortis tous ensemble on s’est
bien amusé toute la soirée vers deux heures du matin on s’est tous retrouvé chez
Claire et Paul, nous étions une dizaine de filles et de garçons, nous avions à boire,
on a poussé les meubles pour faire de la place et on s’est mis à danser. Au bout d’un
moment Maeva complètement Soule a commencé à se déshabiller, quatre garçons ont fait
un cercle autour d’elle, ils la caressaient des qu’elle s’approchait d’eux. Chaque
foie que l’un d’eux pouvait lui toucher le minou il retirait un vêtement, Assez
rapidement, ils se sont tous retrouvés nue à caresser Maeva qui gémissait de plaisir.
Christelle, Julie, et moi ne voulant pas rester sur la touche sommes allés les
rejoindre en nous déshabillant à notre tour. L’ambiance devenait torride, seul Claire
et Paul semblaient rester sage, l’un contre l’autre, sur le canapé. C’est Pierre, le
copain de Christelle qui a tout déclenché en attrapant Maeva par la taille pour la
coucher au milieu de la pièce et la posséder énergiquement. Christelle Jalouse s’est
jetée sur Jacques, mon copain, pour le pomper puis le chevaucher. L’orgie était
lancée, Julie s’est attaquée à Bruno, même Claire et Paul n’ont pas pu résister et se
sont déshabillés pour se mêler à l’orgie. Nous avions tous nos préservatifs il n’y
avait pas de soucis. Ça n’a pas duré très longtemps, Maeva ivre d’alcool et de plaisir
s’est mise à retirer le préservatif de Pierre puis elle a attrapé Jacques en criant :
- Maintenant Pierre a tous les droits il peut prendre n’importe la-quelle d’entre
vous l’homme qui est avec vous devra retirer son préservatif et continuer.
Pierre a choisi sa copine Julie, Jacques a du retirer son préservatif et choisi
Julie, Bruno prend Claire, Paul s’occupe de moi. C’est très agréable mais risqué, je
pense être en zone orange, Claire est en rouge, les autre ne savent pas. Maeva se
relève à nouveau et annonce :
- La premier qui fera jouir son partenaire sera la reine de la soirée et comme chez
les abeilles elle sera le réceptacle de la semence de tous.
Paul très gentiment bouge le moins possible en moi pour éviter de jouir, Julie est à
cotée de nous avec Pierre entre ses jambes, ils font comme nous, ils bougent le moins
possible pour ne pas déclencher la jouissance, seule Maeva S’agite comme une folle sur
son partenaire en criant son plaisir. Une idée me traverse l’esprit, j’en parle
doucement a Paul il est d’accord, attrape mes hanches et nous retourne dans la
direction de Julie et Pierre. Tout en le chevauchant, je passe une main sous les
fesses de Julie et la griffe, elle se cambre pour éviter la douleur. De mon autre main
je caresse les couilles de Pierre qui gémit. Alternativement, je griffe, je caresse,
Pierre ne supporte pas ce manège longtemps, il explose au fond de Julie, notre reine
de la soirée. Tous les hommes sont prêts à jouir en elle, ils se tiennent l’un
derrière l’autre à attendre, le chibre a la main, Julie inconsciente des risques
n’arrête pas de jouir de ces multiples pénétrations elle adore être la reine de la
soirée et se sentir remplie par toutes ces bites bien dures. Seule Maeva semble
regretter de n’avoir pas être élu et se met à pomper les bites qui sortent de Julie
qui maintenant est inerte, les jambes écartées et subit les derniers assauts.
Cette soirée m’a laissé un goût étrange dans la bouche, nous étions tous de
très bons amis, je pense à l’angoisse que devra ressentir Julie quand elle aura dormi,
la peur d’être enceinte à cause d’un moment d’égarement.
LUNDI …. Juillet
Depuis hier je suis en vacances a la campagne chez mes cousins. Leur fille
Christine n’a que 16 ans mai me semble bien délurée. Hier soir nous sommes partis au
village pour la fête locale c’était sinistre, trois manéges, une buvette et un
orchestre, mortel. Enfin Christine m’a présenté sa bande de copines, elles sont
quatre, toutes du même age, elles m’ont invité à sortir avec elles pour un concert
jeudi prochain, a mon avis la seule distraction du coin. J’ai acceptée. Pendant le
trajet de retour vers la ferme j’ai un peu discuté avec Christine j’ai appris que
comme ses copines elle était vierge, qu’elle avait un petit copain très gentil, que
les seules distractions dans le coin étaient : la baignade dans le lac a dix
kilomètres et le club ouvert le jeudi, vendredi et samedi. Je pense qu’a la fin du
mois je serais une none dans ce trou perdu.
VENDREDI …. Juillet
Hier nous étions au concert, elles m’ont toutes présenté leur copain, ils sont
mignon mai pas très futé, elles en font ce qu’elles veulent. Pas question de pelotage,
juste des petits baisers, il va falloir que ça change, j’aie envie de sexe. Justement
en voilà un qui se lance et me drague ouvertement, Christine le remarque et me dit «
tu l’as vue, c’est Peter le fils de la ferme voisine, il est gentil, tu peux flirter
avec lui si tu veux. ». C’est décidé, je vais m’occuper de Peter. Il s’approche, me
sourie, je lui réponds, il me propose une bière, j’accepte, il vient s’asseoir à coté
de moi. Apres un petit moment de silence il passe son bras autour de mon cou, je ne
bouge pas, il se rapproche et timidement pose sa tète sur mon épaule, je ne bouge
toujours pas, mais je sens l’excitation monter en moi, il se lance, relève la tète et
embrasse mon oreille, je tourne la tète et le surprend, je lui mords la lèvre et
l’embrasse goulûment, je le sens tendu, je guide sa main sur ma poitrine pour qu’il me
caresse, il est très maladroit mais c’est agréable. Les autres filles à coté de moi se
contentent de flirter, moi j’en veux plus, je lui propose de venir avec moi dans la
grange derrière la salle, il s’empresse d’accepter, nous nous levons. Une foie dans le
foin, je dégrafe mon corsage pour qu’il embrasse ma poitrine, il est aux anges, je
tends le bras et caresse doucement sa braguette toute tendue, il se met à gémir, la
tète contre ma poitrine il éjacule dans son slip sous ma caresse. Il est très empoté,
je relève ma jupe et guide sa main pour qu’il me masturbe, il est tout rouge, c’est la
première foi de sa vie qu’il touche une fille, il a beaucoup à apprendre, je serais
son guide. J’ai baissé sa braguette et j’ai libéré son sexe à nouveau tout tendu, je
l’ai pris dans ma bouche et je l’ai pompé tout en guidant ses mains dans ma culotte
toute mouillée. Il a jouit à nouveau dans ma bouche en me caressant d’une main la
poitrine, de l’autre mon minou. C’était la fin du concert, on s’est très vite rhabillé
pour rejoindre toute la bande.
Ce matin en me promenant j’ai rencontré Peter, au bord du ruisseau, en me voyant, il
est devenu tout rouge, je l’ai mis en confiance, on s’est embrassé puis il m’a raconté
que, hier soir c’étais la première foi qu’il faisait l’amour a une fille, j’ai éclaté
de rire et je lui ais répondu que nous n’avions pas fait l’amour mais juste un petit
câlin. Il m’a demandé de faire l’amour avec lui, j’ai accepté. On s’est mutuellement
déshabillé, en se caressant. Je me suis allongée dans l’herbe et je l’ai guidé pour
qu’il me pénètre, doucement, quand il a accéléré, je l’ai repoussé puis, je l’ai
chevauché à mon rythme en lui demandant de se calmer pour ne pas jouir tout de suite,
il a essayé mais très vite il s’est contracté, j’ai juste eut le temps de me retirer
avant qu’il éjacule. Je me suis couchée à coté de lui pour me finir à la main, ce
n’étais pas terrible. On a pris rendez-vous pour le lendemain matin au même endroit.
SAMEDI … juillet
Ce matin au bord du ruisseau j’ai appris à Peter le contrôle pour bander
longtemps sans jouir puis, je lui ai montré comment faire beaucoup plaisir a une fille
avec ses mains et sa bouche. On mettra en pratique ce soir au club
DIMANCHE …. Juillet
C’est fou ce que les histoires vont vite dans ces campagnes. Les filles savent
que j’ai fait l’amour avec Peter et me traitent de salope, elles les allumeuses enfin
ce soir je vais m’éclater, j’ai mon paquet de préservatif je vais bien m’amuser avec
Peter et ses copains. Nous allons leur apprendre à s’occuper des filles. Je prépare un
coin dans la grange bien a l’écart des regards indiscrets, deux grosses balles de
paille, de la ficelle et mes préservatifs. Peter va chercher le copain de ma cousine
Christine. Une foi de retours je lui demande s’il n’a pas envie de faire l’amour avec
son amie, il en rêve mais c’est impossible il ne peut même pas la caresser comme tous
ses copains d’ailleurs. Il faut faire quelque chose pour leur apprendre la vie, le mot
d’ordre est passé, faites les boire puis venez dans la grange avec elles. Pendant que
le plan s’exécute, je prépare les balles de paille avec des ficelles, une de chaque
coté. Quand le premier couple arrive, c’est parti Jeanne, une des amie de Christine
est attachée à une balle de paille, un poignet de chaque coté, elle est tellement
saoule qu’elle ne s’en rend même pas compte, elle somnole, je dégrafe son corsage, lui
retire son soutien gorge, sa jupe et sa culotte. Peter prend le relais et montre
comment il faut la caresser pendant qu’un autre couple entre, même manége, c’est
Clara, elle se débat un peu mai pas trop Puis Gisèle et Paule et enfin ma cousine
Christine. Voilà une belle brochette cinq filles a poil attachées à des bales de
pailles qui gémissent de plaisir sous les caresses de leurs copains. Au bout d’un
moment je demande à tous ces hommes de baisser leurs pantalons et leurs slips puis, je
passe dans les rangs pour les couvrir l’un après l’autre de mes préservatifs puis, je
me déshabille pour m’allonger sur les balles de pailles que j’avais préparée Peter me
rejoint et nous leur montrons comment faire l’amour. De sentir ces cinq regards
envieux me fait jouir comme jamais. Je leur explique qu’il faut y aller doucement, ce
sont des vierges. Ils se lancent, juste quelques cris puis de la jouissance. Avec
Peter nous coupons les cordes qui retiennent ces filles en chaleur et elles
continuent, serrant leurs copains entre leur bras et jambes, c’est fantastique une
véritable orgie dans une grange je ne suis plus la seule salope de la région.
Mercredi juillet
Avec Christine et ses copines on s’entend mieux, je leur apprends le
calendrier, la douche vaginale et bien sur le préservatif dont ma réserve diminue à vu
d’œil. Seule Josie la sœur de Peter nous embête, elle est très religion, contre toute
contraception et ne jure que par l’amour après le mariage. Elle nous traite toutes de
vicieuses, suppos de Satan, il nous faut la calmer ou elle va raconter à tout le
village ce que nous faisons. Nous préparons une potence au bord du ruisseau des cordes
pour lui attacher les bras et les jambes écartées puis nous demandons à Peter de la
faire venir pour chercher un outil qu’il a oublié. Elle arrive enfin nous lui sautons
dessus, nous la déshabillons et nous l’attachons à notre potence Même nue devant nous
elle nous nargue, je m’approche d’elle, la caresse doucement, elle frémit, je pousse
ma caresse sur sa poitrine, elle durcit sous le plaisir, Christine passe entre ses
jambes et se met à lécher son clitoris, elle gémie, ma main descend et mes doigts
pénètrent en elle, elle se débat un petit peu puis accepte et jouie pour la première
foi de sa vie. Ce n’est pas fini pour autant, j’envoie Gisèle chercher quelques males
disponibles. Elle part et revient très vite avec Paul son copain, Jacques et Pierre
les copains de Jeanne et de Clara. Tout en caressant Josie qui n’arrête pas de gémir,
je leur demande de se déshabiller puis, je tire sur une corde qui se tend et entraîne
les pieds de josie vers le ciel. Elle se retrouve allongée en l’air retenu par ses
poignets et ses chevilles Paul s’avance le premier, s’agenouille et se met à lécher ce
petit minou qui dégouline de plaisir puis se relever et s’enfonce tout doucement, elle
se contracte pour ne pas crier puis s’abandonne et râle de plaisir. Sans jouir Paul se
retire et laisse la place à Pierre qui continue un bon moment puis cède la place à
Jacques. Josie n’est plus que jouissance malgré les cordes qui lui entaillent les
poignets et les chevilles. Quand Jacques se retire, je lâche les cordes, doucement
elle descend et s’allonge par terre Pierre la retourne et la pénètre une nouvelle foi,
elle ne souhaite pas s’échapper, elle aime le plaisir qu’ils lui procurent. Il la
défonce énergiquement et quand il sent la jouissance arriver, il se retire et lui
arrose les fesses. Paul prêt profite de la lubrification pour s’engouffrer dans sa
rosette, les mains lui cramponnant bien les hanches pour éviter qu’elle esquive, il
s’enfonce à fond, la pylône un peu puis l’entraîne en se couchant sur le dos. Pierre
toujours bien bandé s’avance et la pénètre, elle crie sa jouissance sous cette double
pénétration qui ne s’arrête que quand les deux males explosent au fond de son corps.
Pour terminer la séance Jacques s’avance et lui rempli la bouche avec son chibre qui
reprend de belles proportions l’obligeant à pomper pour qu’il se libère une nouvelle
foi dans sa bouche. Josie reste couchée par terre, ivre de jouissance, épuisée. Je la
prends par la main, la rhabille, l’entraîne vers la ferme. Une foi dans la salle
d’eau, je lui mets le marché en main, soit la douche vaginale, et elle est acceptée
dans notre groupe, soit elle rentre chez elle, et risque une grossesse. Malgré ses
convictions elle accepte la douche et rejoint notre groupe. Je suis ravie.
DIMANCHE juillet
Notre groupe est maintenant bien rodé, la grange est devenue notre point de
ralliement pour les cours et les nouvelles expériences, nous nous y retrouvons presque
tous les soirs. Hier soir nous avons décidées de faire une grande partie pour fêter la
fin de mes vacances, je rentre lundi matin. Samedi matin, Pierre m’a accompagné à la
ville la plus proche pour faire quelques achats très importants. Des préservatifs et
différents autres produits. Notre fête sera fantastique. Pour briser les habitudes,
j’ai demandée à chaque filles présentes de venir avec un nouveau mec et à chaque
hommes de venir avec une nouvelle fille. A l’entrée de la grange Josie et Pierre sont
chargé de mettre un bandeau jaune fluo au bras des puceaux de manière à les repérer
plus vite dans la foule. La soirée commence bien, je me charge personnellement de
faire boire des aphrodisiaques aux garçons et aux filles équipés du bandeau jaune.
Quand ils en ont tous pris un ou deux verres la fête peut vraiment commencer par un
premier concours. Je prends cinq hommes, ils se déshabillent et vont s’asseoir
derrière une pile de botte de paille puis, je prends leurs copines, l’une après
l’autre, pour qu’elles reconnaissent leur mec, les yeux bandés, juste a leurs parties,
en palpant, en goûtant, comme elles veulent. Quand une fille à reconnu son homme, elle
passe derrière lui et se déshabille tout en gardant le bandeau. Tout le monde se mare
bien, les cinq couples sont rapidement formés, les filles doivent maintenant
s’allonger dans la paille, les jambes écartées et se faire sucer par celui qu’elles
ont pris pour leur mec. Les gémissements commencent à chauffer l’ambiance. Maintenant
les hommes doivent prendre les filles puis leur retirer leurs bandeaux, et la, grosse
rigolade, elles se sont toutes trompées mais jouissent quand même de ces chibres qui
les transpercent. Ce spectacle inquiète pas mal la petite Charlotte, très fille de
ferme, avec un bandeau jaune, elle cherche à s’éclipser, je la bloque avec Paul et la
déshabille prestement pour l’offrir aux caresses de ceux qui le désirent. Ils sont
quatre à se jeter sur elle et à la caresser de partout, elle n’arrête pas de crier,
nom pas de peur ou de douleur mais de jouissance, une future adepte du groupe, j’en
suis sure. C’est Pierre qui se lance pour la déflorer, sur les balles de paille, en
levrette, quand il commence à la pénétrer, elle ne crie pas, c’est même elle qui
s’empale sur Pierre d’un mouvement violent et qui s’agite pour faire monter la
jouissance. Pierre en est presque déçu et cherche du regard une autre fille avec un
bandeau jaune. Christine, Clara, Jeanne s’occupe des garçons au bandeau jaune,
l’ambiance est des plus torrides, je suis la seule à être encore vêtue, il faut que ça
change, je me déshabille vite et attrape le premier chibre qui passe à coté de moi,
pour le chevaucher fougueusement. Je sens la jouissance monter en moi quand des mains
poussent sur mon dos et un autre chibre s’enfonce dans mes fesses. L’homme que je
chevauche se contracte et éjacule, celui de derrière moi se relève, me tenant par les
cuisses, toujours planté en moi, il me présente à un autre qui sans hésiter me pénètre
à nouveau. Je ne suis plus qu’une poupée qui s’agite en jouissant d’un chibre à un
autre, ça dure longtemps, très longtemps. Au petit matin je suis épuisée mais
heureuse, ma soirée a été une réussite.
MERCREDI aout
Ça y est, je suis rentrée chez moi, il n’y a pas beaucoup de monde en ville, j’ai
quand même rencontré Bernard, il travaille tout l’été je lui ais demandé le n° de
téléphone de Doudou, pour enfin profiter de son énorme machin et hier soir enfin
Doudou est venue chez moi. Des son arrivée je l’ai embrassé et déshabillé, je suis
dans ma zone verte, il me faut en profiter un maximum. J’ai fait tomber ma nuisette et
je l’ai entraîné sur le lit, il m’a d’abord bien caressé puis sucé et enfin il m’a
possédé, lentement, profondément, je jouissais à chaque butée de ce chibre monstrueux
au fond de mon utérus, j’étais aux anges, je l’ai retenu avec mes jambes autour de son
dos quand il a voulu se retirer, j’ai glissé ma main pour tirer sur ses bourses, il
m’a inondé de son foutre brûlant, de grandes giclées fouettaient le plus profond de
mon intimité, Jamais je n’avais eut une telle sensation, c’étais merveilleux, je
comprend maintenant la jouissance d’Aicha quand il avait jouis en elle, c’étais
tellement bon que j’en suis tombée dans les pommes. A mon réveil il était toujours en
moi, doucement il débandait. Je l’ai poussé sur le coté pour le sucer et lui redonner
vie. Quand ce fut fait, je l’ai bien lubrifié pour qu’il me prenne par derrière,
malgré la lubrification abondante, son entrée fut assez douloureuse mais je voulais
savoir si c’étais aussi jouissif par derrière, de sa main il me caressait le clito et
l’entrée de du vagin tout en s’enfonçant doucement dans mon fondement. Quand j’ai
senti ses couilles buter sur mon sexe j’ai compris qu’il était entièrement en moi, il
ne bougeait plus, c’est moi qui ais commencé à avancer et reculer sur cet énorme
chibre qui m’empalait au même rythme que ses doigts entraient et sortaient de mon
sexe, je sentais une nouvelle foi, une jouissance extrême monter en moi, j’accélérais
le mouvement de plus en plus, je le sentais se contracter derrière moi, puis a nouveau
il m’à inondé et j’ai jouis. C’étais fantastiques, j’aimais sentir le sperme brûlant
fouetter mon intérieur, il faut dire qu’a part la foi ou Bernard et ses copains m’ont
prise, je n’avais jamais fait l’amour sans préservatif, je me suis privée de bien des
plaisirs. De toute manière, Doudou est un super amant. Il faut que Je garde ses
coordonnées pour plus tard, le faire connaître à ma cousine.
JEUDI aout
Cette semaine j’ai rencontré Claire, elle est célibataire, Paul est parti en vacances
sans elle, elle en profite pour faire de nouvelles expériences, elle m’a emmené hier
dans un nouveau club très branché, à l’entrée un grand vestiaire ou tous les membres
se déshabillent, puis une foi nue, on prend un bracelet avec un n° c’est notre code
pour payer les consommations, et retirer nos vêtements avant de partir puis on entre
dans le club proprement dit, partout de grandes banquettes ou les couples s’enlacent,
au centre une piste de danse, bondée, au fond le bar. Je me sens un peu gênée mai
après deux petits verres au bar, plus de craintes tout est fait pour un maximum de
baise en un minimum de temps. Il n’y avait pas cinq minutes que j’étais sur la piste
que des mains m’ont prisent par derrière la poitrine pour me la caresser et qu’une
fille s’est agenouillée devant moi pour me passer une pommade sur le sexe, j’ai senti
mes lèvres intimes chauffer, se gonfler, je n’avais plus qu’une envie, me faire
prendre, je dégoulinais de désir, la fille s’est fait aider par une autre et elles
m’ont soulevée pour m’empaler sur un homme qui dansait à coté de nous. J’ai aussitôt
serré mes jambes dans son dos et mis mes bras autour de son cou et sur le typo de la
sono il m’a fait l’amour pendant que les mains inconnues continuaient de me caresser
la poitrine, je n’étais plus que jouissance, ils m’ont porté vers une banquette ou je
me suis allongée et les males en rut se sont succédés je jouissais tellement que j’en
avais mal au ventre. Quand ils ont fini, je me suis endormie, c’est Claire qui m’a
réveillée en me suçant avidement le minou tout en se faisant défoncer, elle était
méconnaissable, le visage déforme par le plaisir et la jouissance elle a attrapé un
homme qui passait à coté pour le prendre dans sa bouche puis lui enfiler un
préservatif et le guider en moi pour une nouvelle partie de plaisir. Quand nous sommes
partis, ce matin, je n’ai pas eut la force de rentrer chez moi, j’ai dormie chez
Claire. Au réveil après un bon petit déjeuner, avant de rentrer chez moi, je lui ai
raconté ma soirée avec Doudou, la voyant envieuse je lui aie laissé son n° de
téléphone. Je pense que ce soir elle doit être avec lui.
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