Journal de vacances (1/2)
Récit érotique écrit par Chloebi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Journal de vacances (1/2)
C’est un effet secondaire du confinement….
En mettant de l’ordre dans d’anciens papiers, j’ai retrouvé un journal de vacances, que j’avais tenu à l’occasion d’un séjour en Algarve. Les souvenirs qu’il a réveillés ont pris une saveur particulière, dans cette période, frustrante, de distanciation sociale. Comme la nostalgie d’une époque qui semble à la fois si lointaine, et si proche.
Ce journal n’est pas une histoire construite, relue, corrigée, mais un texte brut, qui n’avait pas vocation à être publié. J’ai hésité à en reprendre l’écriture, car j’avais simplement relaté les événements de ces jours de détente et de liberté totale, au soleil, pour me les remémorer plus tard, et les mots, parfois crus, m’étaient venus à chaud.
Mais finalement, j’ai décidé de mettre ce texte en ligne, tel quel, en m’excusant à l’avance de ses imperfections, et en espérant que j’arriverai à communiquer aux lecteurs un peu du plaisir qu’il évoque pour moi, en ces jours lugubres et stressants.
Nous sommes au mois d’août...
C’est au dernier moment que Carine, une de mes meilleures copines, m’a proposé de l’accompagner au Portugal, avec Arthur, mon actuel compagnon. Elle avait loué une maison dans le sud, avec un couple, mais celui-ci avait été retenu par un empêchement de dernière minute.
Je pensais ne pas pouvoir partir cette année, et la proposition de Carine était inespérée. Même si je devinais qu’elle était bien décidée à profiter de ce séjour pour "m’emprunter" Arthur. Mais ce ne serait pas la première fois que nous partagerions un mec !
Voilà le journal de ce séjour…
12 août
Nous sommes bien arrivés à Praia do Barril.
L’Algarve est une région magnifique, les Portugais sont adorables, et je sens que je vais apprécier ce soleil qui va donner à ma peau une couleur d’ambre.
La maison est vraiment à notre goût, proche de la plage desservie par un petit train et par un chemin. Cerise sur le gâteau : en nous écartant un peu du débouché du chemin, je pourrai bronzer en tenue d’Eve… J’avais déjà repéré sur internet ce bout de plage où le nudisme est toléré, et je m’étais promis d’en profiter.
Notre jardin est relativement intime, mais deux maisons ont une vue sur la terrasse.
Celle qui est la plus proche, une superbe villa avec piscine, est inoccupée. Mais dans l’autre maison, il y a deux couples, plutôt bcbg et pas vraiment sexy, qui peuvent nous voir à travers les arbustes.
Avec Carine, nous avons décidé de ne pas jouer la provoc. Nous nous contenterons du topless, et nous garderons l’intégral pour la plage.
Pour l’instant, nous récupérons de la fatigue du voyage et nous prenons nos marques.
Ce soir, dîner dans un petit restaurant de Faro, puis nous rentrerons nous coucher sagement.
13 août
Cet après-midi, nous avons fait plage, Carine, Arthur et moi. Nudisme pour tout le monde !
L’endroit est sympa. Quelques voyeurs marchent le long de la plage, pour se rincer l’œil. Ça ne me gêne pas, au contraire…Carine a commencé à chauffer Arthur. (Je ne m’étais pas trompée)Carine est une jolie brune, avec une chevelure en casque. Un peu plus grande que moi, ses superbes seins en poires me rendent jalouse. Côté fesses, elle n’a rien à m’envier, et nos petites chattes sont toute lisses.
Elle a demandé à Arthur de lui passer de l’huile solaire sur le corps. Recto / verso… Je mouillais… Il bandait en la massant, et il était un peu gêné, le pauvre chéri, car deux nanas allongées à côté de nous le regardait à ce moment-là. Il a des progrès à faire, côté exhib !
L’après-midi s’est déroulé dans une ambiance sensuelle, mais nous sommes restés sages, nous contentant d’échanger des propos pleins de sous-entendus.
Je pensais qu’Arthur baiserait Carine le soir-même, mais nous sommes retournés dans un resto, à Tavira cette fois, et la soirée s’est poursuivie en discothèque.
Carine s’est fait draguer par un beau Portugais et son copain, et elle nous a laissés pour partir avec eux.
Elle est rentrée au petit matin. Avec des cernes pas possibles sous les yeux.. Elle est allée dormir un peu, mais avant, je lui ai demandé avec lequel des deux elle avait passé la nuit. Elle m’a répondu qu’elle les avait trouvés sexy tous les deux, et donc, qu’elle avait fait l’amour avec les deux. Ensemble… Elle est incorrigible, et je vais finir par être jalouse.
De mon côté, avec Arthur, la nuit a été chaude aussi. L’air du Portugal et le nudisme lui réussissent ! Il m’a fait jouir… ma chatte et mon petit trou… Ohlala !
14 août
Ce dimanche matin, je suis seule sur la terrasse, en string, et j’en profite pour écrire.
Nous sommes allés grignoter le midi dans un resto du bord de mer. Puis, direction, la partie de plage que nous allons fréquenter assidûment pendant notre séjour.
Avant même d’avoir étalé nos serviettes, Carine et moi étions à poil.
Je crois que je ne me lasserai jamais de cette sensation, quand le soleil et le vent viennent caresser mon corps libre. Ce sont surtout mes seins et ma chatte qui réagissent.
Une longue baignade dans l’eau, mes aréoles qui pointent…. Et retour sur le sable, pour une séance bronzage.
Nous avons proposé à Arthur un massage "à quatre mains", avec l’huile solaire. Il n’a pas refusé, bien entendu.
D’abord, allongé sur le ventre, son dos (bien musclé), ses fesses…Mais au moment de se retourner, il a bloqué. Il bandait trop, et il avait la trouille de le montrer à tout le monde.
Je lui ai promis que, s’il se retournait, Carine nous rejoindrait dans notre lit le soir… Imparable ! Il s’est mis sur le dos, la queue dure et bien dressée.
Avec Carine, nous avons fait durer le plaisir, et nous avons fini en nous occupant longuement de sa superbe bite. Il en a perdu le contrôle, et il a joui. Du sperme partout… Et Carine et moi, mouillant comme deux vraies cochonnes.
Qu’est-ce que j’aurais aimé faire l’amour à ce moment-là. Impossible en public. Nous étions déjà allés très loin dans l’exhib…Nous nous sommes calmés, et l’après-midi s’est écoulé doucement sous le soleil, suivi d’une douche, et d’une soirée resto qui allait devenir aussi une habitude.
Quand nous sommes rentrés, il y avait une superbe Audi devant la villa voisine de notre maison. Un couple d’Allemands – un homme d’une quarantaine d’années, sa femme, très belle et sensiblement plus jeune – accompagné d’une fille.
Nous avions hâte, tous les trois, de nous retrouver ensemble au lit.
Arthur a super bien assuré. Et pourtant, Carine et moi, on était plus que chaudes…Quand il récupérait, nous nous caressions toutes les deux.
A un moment, nous étions en 69, Carine au-dessus de moi. Arthur a retrouvé son érection, et il a plongé sa queue dans la chatte de Carine. Juste sous mes yeux. J’ai joui instantanément !!
15 août
Je me lève généralement assez tôt, et j’ai pris l’habitude d’écrire avant que Carine et Arthur émergent.
Ce matin, installée sur la terrasse, je voyais une partie de la piscine de nos nouveaux voisins. Ils se baignaient tous les trois. Manifestement, ils étaient nus, même leur fille…
Carine et Arthur se sont levés très tard, et nous avons pris un petit déjeuner amélioré, avant de retourner à la plage. Même plus besoin de dire que nous nous sommes mis à poil tous les trois. Baignades et bains de soleil. Mais cette fois, nous n’avons pas osé recommencer le "massage à quatre mains". C’est trop risqué.
Cette cochonne de Carine a quand même réussi à me faire jouir, en jouant avec mon clito. J’ai voulu me venger, mais elle est partie en courant et elle s’est jetée à l’eau. Elle nage trop bien, et je n’ai pas pu la rattraper.
En fin d’après-midi, alors que nous étions en train de plier nos serviettes, nos voisins allemands sont passés près de nous. Ils repartaient aussi de la plage.
Ils nous ont reconnus, et ils sont venus nous dire bonjour et se présenter, puis ils nous ont proposé de prendre un verre dans un bar donnant sur la plage.
Ils sont propriétaires de la villa. Lui s’appelle Günther, et il est architecte. Sa femme, Lisbeth – Liz – doit avoir à peu près mon âge, et elle enseigne les arts plastiques.
La jeune fille que j’avais aperçue n’était pas avec eux. C’est la fille de Günther, née d’un premier mariage. Elle a fêté ses 16 ans quelques jours auparavant, et lorsqu’ils viennent à Praia do Barril, elle passe le plus clair de son temps avec ses copains.
En discutant, ils nous ont dit que notre maison était la seule à avoir un peu de vue sur leur jardin. Ils sont souvent nus, et ils nous ont demandé, très poliment, si ça ne nous gênait pas. Devinez notre réponse… Surtout que Günther est bel homme, et que Liz me jetait des regards… gourmands.
Avant de nous séparer, ils nous ont invités le lendemain soir, pour un apéritif.
De retour chez nous, et après les douches, nous sommes allés dîner au restaurant. En ressortant, Carine est tombée sur un des deux Portugais avec lesquels elle avait passé une nuit, et elle nous a laissés pour retourner en discothèque avec lui.
J’ai donc passé la nuit seule avec Arthur. Mais je ne me suis pas ennuyée !
16 août
Carine n’est rentrée qu’à midi. Elle n’a pas voulu raconter devant Arthur ce qu’elle avait fait, mais elle m’a promis de tout me dire plus tard, quand nous serions seules toutes les deux. Ça a du être torride, si j’en juge par sa mine…
Nouvel après-midi plage et nudisme. Carine, crevée, s’est juste baignée, et elle a bullé sur le sable.
Arthur était, lui, en pleine forme ! Il nous a fait jouir toutes les deux en nous doigtant discrètement. Enfin, discrètement… Un couple m’a quand même regardée, au moment où j’atteignais l’orgasme. Il faut dire que je n’ai pas pu me retenir de gémir assez fort.
En début de soirée, après une bonne douche, nous sommes allés prendre l’apéro chez nos voisins allemands.
Carine et moi, nous nous sommes habillées sexy, étant certaines qu’ils ne seraient pas choqués.
Micro short, débardeur court et très ouvert pour Carine, mini robe (très mini) en coton blanc un peu transparent pour moi. Et bien sur, rien dessous. Ni l’une, ni l’autre.
Effectivement, nous ne nous sommes pas senties gênées. Liz nous a accueillis en mini robe, elle aussi, mais faite dans une maille noire très ajourée, genre filet de pêche, sans slip ni soutien-gorge.
Günther était quand même en boxer, mais Samantha, sa fille, était nue, au bord de la piscine.
Si Liz ne me l’avait pas dit, je n’aurais jamais cru qu’elle n’avait que 16 ans.
Je n’ai jamais vu une fille de cet âge se promener à poil devant des inconnus, et être aussi à l’aise. Et en plus, un canon ! Un abricot tout lisse. Des petites fesses cambrées. Et elle a une paire de jolis seins, ronds… Je bave Nous avons discuté de choses et d’autres, banales, en buvant un vieux porto. Puis on a sonné.
- Sam, ça doit être tes copains qui viennent te chercher, lui a dit son père.
Samantha a juste remis une mini robe ultracourte, à fines bretelles, sans slip ni soutif, et des chaussures à semelles compensées et à très hauts talons. J’imagine le succès qu’elle doit avoir, surtout que son bronzage la rend hyper sexy.
Quand elle a été partie, Günther nous a invités au restaurant à Tavira, tous les cinq. Liz est allée se changer, et elle est revenue en minijupe et chemise ouverte, nouée sous les seins. Günther s’est contenté d’une chemise sur son boxer.
Repas délicieux, bien arrosé. La conversation est venue sur le sexe, et Liz nous a confirmé que, comme je m’en doutais, elle formait avec Günther un couple très libre, multipliant les rencontres et les partenaires. Carine et moi, nous avons avoué que nous avions aussi une vie sexuelle… intense. Sans donner trop de détails.
Puis retour à la villa, pour un dernier verre.
En revenant, Liz s’est mise nue, directement, pendant que Günther servait le champagne.
Sans la moindre gêne, avec son accent un peu guttural, elle a déclaré qu’elle me trouvait à son goût, et qu’elle avait envie que nous fassions l’amour devant tout le monde. Ça a été…. génial ! Elle a une collection de godes, et c’est une sacrée salope.
Ma mini robe n’est pas restée longtemps sur moi. Ma belle Allemande était très entreprenante, et elle l’a jetée dans la piscine, provoquant les rires des trois autres.
Ensuite, ça a été un festival.
Liz me caressait, je lui rendais ses caresses, dans un concert de soupirs et de gémissements étouffés. Elle en a profité pour m’exhiber, pour le plus grand plaisir de Günther, puisqu’il était le seul à ne pas m’avoir vue à l’œuvre, dans ces moments-là.
Elle m’a fait jouir quatre fois.
Le spectacle que nous offrions a excité les autres, et Carine s’est fait prendre par Günther et Arthur.
Petite pause champagne pour récupérer, et ensuite, c’est Günther qui m’a baisée. Ma chatte et mon cul. Liz se partageait entre Arthur et Carine, mais j’étais trop occupée pour tout suivre.
17 août
Le midi, nous avons mangé sur la terrasse. Toujours topless. Les deux couples bcbg de la maison voisine n’ont pas l’air d’apprécier, mais on s’en fout… Heureusement, il y a nos autres voisins ! Liz et Günther étaient aussi sur leur terrasse, avec Samantha. A poil tous les trois.
Après le déjeuner, Liz m’a demandé si nous voulions aller avec eux à la plage. Bien sur, quelle question…Nous sommes partis tous les cinq, par le petit train (Samantha retrouvait ses copains de son côté). Liz n’a pas froid aux yeux : elle avait remis sa petite robe noire en maille ajourée de la veille, avec juste un string en dessous. On voyait parfaitement ses seins et ses fesses… Elle est presque pire que moi, pour l’exhib !
L’après-midi à la plage a été génial. Bronzage intégral, baignades, que du bonheur…Liz est vraiment gonflée : elle a branlé Günther, sans se cacher. Puis elle a demandé à Carine de prendre la suite, pendant qu’elle me massait avec de l’huile solaire. Elle a des mains très douces, ses gestes étaient pleins de sensualité, et elle a réussi à me faire jouir. Avant de demander à Arthur de la masser aussi, et de partir dans un long orgasme.
Dans la conversation, Günther nous a annoncé que Liz et lui partaient en fin d’après-midi, pour rendre visite à des amis qui ont eux aussi une résidence secondaire, à une cinquantaine de kilomètres. Ils seraient absents demain, et ne rentreraient peut-être que vendredi. Sam restait seule à la villa, et il nous a proposé de profiter de leur piscine, autant que nous en avions envie.
Mais il y a eu pire… Nous avons parlé sexe (évidemment…) et Carine a fait allusion à mon penchant récent pour la soumission. Liz a été très intéressée et, en me dévorant des yeux, elle nous a avoué qu’elle adorait jouer les dominatrices. Mais Carine n’en est pas restée là. Elle a parlé d’une soirée "d’intégration", organisée par des gens qu’elle connaît, à laquelle je suis allée (*). Sans tout dévoiler, elle a fait quelques allusions à des choses que j’acceptais et qui me faisaient jouir. La garce !
Je me suis vengée en révélant que Carine y était allée aussi, et à ce moment-là, c’est Günther qui a posé des questions indiscrètes à Carine. Après ces imprudentes confidences, je crains ce qui peut se passer avant la fin de notre séjour…Le soir, nous sommes allés manger dans un petit resto (j’ai engueulé sérieusement Carine pour son indiscrétion, mais elle a rigolé). Au retour, nous avons repensé à la proposition de Günther. Ils étaient partis, Samantha était sortie, et nous avons profité de la piscine tous les trois.
C’est très agréable, de se baigner nus au soleil couchant. Et surtout, de faire l’amour au bord de la piscine, avec Carine et Arthur, jusque tard dans la nuit…
(*) je la raconterai bientôt sur Histoires de Sexe
18 août
Cette journée. C’était… inattendu, doux, sensuel…Je venais de me faire jouir en écrivant dans mon "journal", quand on a sonné à la porte. J’ai juste enfilé une tunique pour ouvrir, et je me suis retrouvée face à Samantha. Elle avait passé elle aussi un grand débardeur, mais on devinait sans peine qu’elle n’avait rien dessous. Ses joues étaient rouges, et ses yeux brillèrent en me regardant.
Je l’ai fait entrer et je l’ai emmenée jusqu’à la terrasse.
Elle parle le français moins bien que son père et Liz, mais son accent ajoute à son charme. Elle m’a avoué qu’elle avait vu que j’étais seule, et qu’elle voulait en profiter pour me demander quelque chose de très personnel et d’un peu gênant. Elle avait du mal à me dire ce qui l’amenait, mais elle a fini par se lâcher.
Je lui plaisais. Elle avait l’habitude que son physique attire sur elle le regard des hommes (tous) et des femmes (beaucoup, mais il y avait souvent de la jalousie dans leurs yeux). Avec moi, c’était différent. Elle avait lu le désir sur mon visage, et moi aussi je l’attirais, malgré notre différence d’âge.
Et surtout, elle voulait vivre une expérience avec une femme bi, connaissant tout du sexe (comme si on pouvait jamais tout savoir !), pour découvrir d’autres plaisirs. En fait, elle me fit comprendre que les partenaires de son âge n’étaient pas à la hauteur.
Bien sur, son père la laissait très libre, et elle multipliait les aventures, mais ses copains étaient souvent maladroits et trop pressés. Elle savait que Liz et son père avaient une vie sexuelle animée et pas vraiment conventionnelle, mais le couple refusait de l’initier ou de lui faire connaître certains de leurs partenaires, car Günther considérait que c’était à sa fille d’avancer à son rythme, sans l’influencer, et qu’elle était trop jeune par rapport à beaucoup de leurs amis.
Je confesse que les propos de Samantha me faisaient plaisir. Devenir son initiatrice… Je lui ai promis de venir chez elle en début d’après-midi, car elle serait plus à l’aise dans ce cadre.
J’ai annoncé le midi à Arthur et Carine que je les abandonnerai, et qu’ils devraient aller à la plage sans moi. Mais sans rien leur dire de plus, pour respecter la discrétion que Samantha m’avait demandée.
Après manger, j’ai passé une mini robe sur mon string, et je suis allée sonner à la porte de la villa. Sam devait m’attendre, car elle ouvrit presque aussitôt, sans même avoir pris le temps de cacher sa nudité. Nous nous sommes dirigées vers la terrasse et la piscine. Arthur et Carine étaient partis en même temps que moi, et nous étions certaines de ne pas nous faire mater.
Maintenant qu’elle était en face de moi, Samantha était presque intimidée. Pour la mettre à l’aise, je lui ai proposé de m’occuper d’abord d’elle. Dans un premier temps, elle pouvait juste me laisser faire, et prendre l’initiative plus tard, en suivant son désir.
J’ai rapproché deux grands bains de soleil, et je les ai mis en position horizontale, pour en faire un lit confortable, et Sam s’est allongée. Elle a fermé les yeux, et elle s’est abandonnée totalement.
Je l’ai embrassée, et j’ai senti ses lèvres s’entrouvrir pour laisser le passage à ma langue. J’ai fait durer ce premier baiser, pour lui laisser goûter la volupté de ce moment. Et progressivement, j’ai commencé à la caresser. Ses épaules, la naissance de ses seins, son ventre, le haut de ses cuisses. Putain, qu’est ce que sa peau était lisse et douce !
Puis ma main est remontée sur sa poitrine. Elle était dure comme du bois. Ses tétons pointaient. J’ai pris les aréoles dardées entre mes doigts. Je les ai caressées, pincées doucement, étirées… Sam gémissait, et moi, je mouillais.
Puis mon autre main est descendue entre ses cuisses. Je n’ai rien eu à lui dire, elle les a écartées, posant ses pieds au sol de chaque côté du bain de soleil. J’ai retardé le moment où je toucherai les points les plus sensibles, me contentant d’abord d’écarter ses grandes lèvres, de les masser, de débusquer son clito, qui était déjà sorti de son étui. Elle aussi mouillait…Lorsqu’elle m’a supplié d’une voix étouffée de la faire jouir, je lui ai ordonné de se retenir, et ma main s’est faite plus insistante. Elle a crié de plaisir quand j’ai touché son petit bouton. Crié encore, quand mes doigts ont pénétré sa grotte. Chaque centimètre carré de sa peau, de son sexe, était souple et ferme.
Tous mes gestes étaient d’une douceur et d’une lenteur mesurées, pour exacerber son attente. Et elle a joui une première fois, dans un râle plus rauque que ce que j’attendais d’une fille aussi jeune.
Je ne l’ai pas laissée reprendre son souffle. J’ai plongé ma tête entre ses cuisses. Ma bouche s’est écrasée sur son sexe, et ma langue a pris possession de sa chatte. Elle s’est cambrée, et s’est offerte totalement. A mon tour, j’avais du mal à contrôler mon excitation. Je sentais des larmes de cyprine dégouliner sur mes cuisses. Lorsque je perdais haleine, mes doigts prenaient le relais, et Sam a joui encore en criant, avec une force incroyable, au bord de l’évanouissement.
Son corps ruisselait de sueur – le mien aussi – et je l’ai laissée se reprendre. Puis je lui ai proposé de nager un peu, avant qu’elle s’occupe de moi à son tour. Le contact de l’eau sur nos corps nus nous a revigorées. Sam récupérait à une vitesse extraordinaire, et je sentais le désir dans son regard posé sur moi.
Je suis sortie de la piscine et j’ai regagné nos bains de soleil, en ondulant des hanches pour l’exciter. Je me suis faite la plus provocante possible, et Samantha m’a rejointe.
Pendant de longues minutes, elle m’a embrassée, caressée, doigtée, avec un ravissement évident. Ses mains et sa bouche, d’abord timides et hésitantes, se sont faites progressivement audacieuses et fébriles. Elle est vraiment très douée ! J’ai joui aussi, j’ai giclé, et elle a poussé un petit cri de surprise et de plaisir quand j’ai coulé sur son visage et dans sa bouche.
Mais je n’étais pas rassasiée. Je l’ai fait venir sur moi, en 69. Pendant qu’elle fouillait de plus belle ma fente, je l’ai léchée à nouveau. Elle coulait elle aussi comme une fontaine, et j’ai glissé un doigt enduit de sa mouille entre ses fesses bronzées. J’ai caressé longuement sa rosette, mon doigt appuyant de plus en plus fort, jusqu’à sentir son petit œillet plissé s’ouvrir.
Avant de la pénétrer, je lui ai demandé si elle en avait envie. Elle m’a répondu "oui, tout ce que tu veux…" d’une voix étouffée. Alors j’ai enfoncé mon doigt franchement. Elle a poussé un cri de petite fille surprise, et elle s’est cambrée encore plus, écartant ses fesses de sa main libre pour m’en faciliter l’accès.
Pendant que j’allais et venais dans son petit cul, elle m’a rendu la pareille. J’ai introduit un deuxième doigt, puis un troisième. Nous nous doigtions de plus en plus fort, de plus en plus profond. Elle a joui la première. Je l’ai suivie de près. Elle a eu un autre orgasme, et moi aussi, avant de s’écrouler sur moi de tout son poids.
Nous sommes retournées nager. Longtemps. Et nous avons passé ensuite plus d’une heure sur les bains de soleil, à papoter, en nous caressant. Samantha voulait tout savoir de mes expériences, surtout de mes "premières fois", de mes rapports avec plusieurs partenaires ensemble, et l’excitation faisait souvent gonfler sa poitrine. La mienne aussi. Et je ne parle pas de la mouille qui coulait entre nos cuisses…Plusieurs fois, la conversation est venue sur les godes et sur les sextoys en général, et Samantha était très curieuse. J’en avais emporté quelques uns en vacances (on ne sait jamais) : mon œuf vibrant, des boules de geisha, et mon gros gode à ventouse. Elle m’a demandé si je voulais bien lui montrer, et je suis allée les chercher dans notre maison.
A mon retour, une surprise m’attendait : Samantha avait cherché dans les affaires de Liz, et elle avait trouvé un superbe gode ceinture, très long, gros et noir.
Elle a voulu tout essayer. Elle a marché plusieurs minutes sur la terrasse, avec les boules de geisha dans sa chatte. Ses seins qui pointaient, et le rythme court de sa respiration en disaient long sur ses sensations, et je coulais comme une fontaine en la regardant.
J’ai récupéré ensuite mes boules de geisha, et je les ai remplacées par mon œuf vibrant. En gardant la commande… Et j’ai demandé à Samantha de marcher encore, pendant que je faisais vibrer l’œuf. Elle a fini par jouir debout, et tomber à genoux, secouée par des orgasmes en chaîne. Et j’ai joui, juste en la voyant.
Elle s’est rallongée pour récupérer, et nous avons continué à bavarder. Et, pour finir cet après-midi de rêve, on a essayé le gode ceinture, en "alternance". Je ne savais plus où j’en étais, et Samantha non plus.
Je lui ai demandé de m’enculer avec le gode. J’ai joui tellement fort, qu’elle a voulu que je la prenne par son petit trou. Vu la taille de l’engin, j’avais peur et mal pour elle, mais elle a insisté… et elle a joui aussi, en se tordant sur la terrasse. C’est un sacré tempérament, et quand je pense qu’elle n’a que 16 ans… Elle va faire le bonheur de plein de mecs et de filles !
Nous avons mis fin à ces ébats, quand nous avons aperçu Carine et Arthur sur notre terrasse. Et de plus, Samantha attendait ses copains, avec qui elle sortait pour la soirée. Quelle santé !
Moi, j’étais épuisée.
Carine est allée en boîte, et je suis restée avec Arthur. Il m’a raconté son après-midi sur la plage, et nous avons fait l’amour. Doucement. Tendrement.
En mettant de l’ordre dans d’anciens papiers, j’ai retrouvé un journal de vacances, que j’avais tenu à l’occasion d’un séjour en Algarve. Les souvenirs qu’il a réveillés ont pris une saveur particulière, dans cette période, frustrante, de distanciation sociale. Comme la nostalgie d’une époque qui semble à la fois si lointaine, et si proche.
Ce journal n’est pas une histoire construite, relue, corrigée, mais un texte brut, qui n’avait pas vocation à être publié. J’ai hésité à en reprendre l’écriture, car j’avais simplement relaté les événements de ces jours de détente et de liberté totale, au soleil, pour me les remémorer plus tard, et les mots, parfois crus, m’étaient venus à chaud.
Mais finalement, j’ai décidé de mettre ce texte en ligne, tel quel, en m’excusant à l’avance de ses imperfections, et en espérant que j’arriverai à communiquer aux lecteurs un peu du plaisir qu’il évoque pour moi, en ces jours lugubres et stressants.
Nous sommes au mois d’août...
C’est au dernier moment que Carine, une de mes meilleures copines, m’a proposé de l’accompagner au Portugal, avec Arthur, mon actuel compagnon. Elle avait loué une maison dans le sud, avec un couple, mais celui-ci avait été retenu par un empêchement de dernière minute.
Je pensais ne pas pouvoir partir cette année, et la proposition de Carine était inespérée. Même si je devinais qu’elle était bien décidée à profiter de ce séjour pour "m’emprunter" Arthur. Mais ce ne serait pas la première fois que nous partagerions un mec !
Voilà le journal de ce séjour…
12 août
Nous sommes bien arrivés à Praia do Barril.
L’Algarve est une région magnifique, les Portugais sont adorables, et je sens que je vais apprécier ce soleil qui va donner à ma peau une couleur d’ambre.
La maison est vraiment à notre goût, proche de la plage desservie par un petit train et par un chemin. Cerise sur le gâteau : en nous écartant un peu du débouché du chemin, je pourrai bronzer en tenue d’Eve… J’avais déjà repéré sur internet ce bout de plage où le nudisme est toléré, et je m’étais promis d’en profiter.
Notre jardin est relativement intime, mais deux maisons ont une vue sur la terrasse.
Celle qui est la plus proche, une superbe villa avec piscine, est inoccupée. Mais dans l’autre maison, il y a deux couples, plutôt bcbg et pas vraiment sexy, qui peuvent nous voir à travers les arbustes.
Avec Carine, nous avons décidé de ne pas jouer la provoc. Nous nous contenterons du topless, et nous garderons l’intégral pour la plage.
Pour l’instant, nous récupérons de la fatigue du voyage et nous prenons nos marques.
Ce soir, dîner dans un petit restaurant de Faro, puis nous rentrerons nous coucher sagement.
13 août
Cet après-midi, nous avons fait plage, Carine, Arthur et moi. Nudisme pour tout le monde !
L’endroit est sympa. Quelques voyeurs marchent le long de la plage, pour se rincer l’œil. Ça ne me gêne pas, au contraire…Carine a commencé à chauffer Arthur. (Je ne m’étais pas trompée)Carine est une jolie brune, avec une chevelure en casque. Un peu plus grande que moi, ses superbes seins en poires me rendent jalouse. Côté fesses, elle n’a rien à m’envier, et nos petites chattes sont toute lisses.
Elle a demandé à Arthur de lui passer de l’huile solaire sur le corps. Recto / verso… Je mouillais… Il bandait en la massant, et il était un peu gêné, le pauvre chéri, car deux nanas allongées à côté de nous le regardait à ce moment-là. Il a des progrès à faire, côté exhib !
L’après-midi s’est déroulé dans une ambiance sensuelle, mais nous sommes restés sages, nous contentant d’échanger des propos pleins de sous-entendus.
Je pensais qu’Arthur baiserait Carine le soir-même, mais nous sommes retournés dans un resto, à Tavira cette fois, et la soirée s’est poursuivie en discothèque.
Carine s’est fait draguer par un beau Portugais et son copain, et elle nous a laissés pour partir avec eux.
Elle est rentrée au petit matin. Avec des cernes pas possibles sous les yeux.. Elle est allée dormir un peu, mais avant, je lui ai demandé avec lequel des deux elle avait passé la nuit. Elle m’a répondu qu’elle les avait trouvés sexy tous les deux, et donc, qu’elle avait fait l’amour avec les deux. Ensemble… Elle est incorrigible, et je vais finir par être jalouse.
De mon côté, avec Arthur, la nuit a été chaude aussi. L’air du Portugal et le nudisme lui réussissent ! Il m’a fait jouir… ma chatte et mon petit trou… Ohlala !
14 août
Ce dimanche matin, je suis seule sur la terrasse, en string, et j’en profite pour écrire.
Nous sommes allés grignoter le midi dans un resto du bord de mer. Puis, direction, la partie de plage que nous allons fréquenter assidûment pendant notre séjour.
Avant même d’avoir étalé nos serviettes, Carine et moi étions à poil.
Je crois que je ne me lasserai jamais de cette sensation, quand le soleil et le vent viennent caresser mon corps libre. Ce sont surtout mes seins et ma chatte qui réagissent.
Une longue baignade dans l’eau, mes aréoles qui pointent…. Et retour sur le sable, pour une séance bronzage.
Nous avons proposé à Arthur un massage "à quatre mains", avec l’huile solaire. Il n’a pas refusé, bien entendu.
D’abord, allongé sur le ventre, son dos (bien musclé), ses fesses…Mais au moment de se retourner, il a bloqué. Il bandait trop, et il avait la trouille de le montrer à tout le monde.
Je lui ai promis que, s’il se retournait, Carine nous rejoindrait dans notre lit le soir… Imparable ! Il s’est mis sur le dos, la queue dure et bien dressée.
Avec Carine, nous avons fait durer le plaisir, et nous avons fini en nous occupant longuement de sa superbe bite. Il en a perdu le contrôle, et il a joui. Du sperme partout… Et Carine et moi, mouillant comme deux vraies cochonnes.
Qu’est-ce que j’aurais aimé faire l’amour à ce moment-là. Impossible en public. Nous étions déjà allés très loin dans l’exhib…Nous nous sommes calmés, et l’après-midi s’est écoulé doucement sous le soleil, suivi d’une douche, et d’une soirée resto qui allait devenir aussi une habitude.
Quand nous sommes rentrés, il y avait une superbe Audi devant la villa voisine de notre maison. Un couple d’Allemands – un homme d’une quarantaine d’années, sa femme, très belle et sensiblement plus jeune – accompagné d’une fille.
Nous avions hâte, tous les trois, de nous retrouver ensemble au lit.
Arthur a super bien assuré. Et pourtant, Carine et moi, on était plus que chaudes…Quand il récupérait, nous nous caressions toutes les deux.
A un moment, nous étions en 69, Carine au-dessus de moi. Arthur a retrouvé son érection, et il a plongé sa queue dans la chatte de Carine. Juste sous mes yeux. J’ai joui instantanément !!
15 août
Je me lève généralement assez tôt, et j’ai pris l’habitude d’écrire avant que Carine et Arthur émergent.
Ce matin, installée sur la terrasse, je voyais une partie de la piscine de nos nouveaux voisins. Ils se baignaient tous les trois. Manifestement, ils étaient nus, même leur fille…
Carine et Arthur se sont levés très tard, et nous avons pris un petit déjeuner amélioré, avant de retourner à la plage. Même plus besoin de dire que nous nous sommes mis à poil tous les trois. Baignades et bains de soleil. Mais cette fois, nous n’avons pas osé recommencer le "massage à quatre mains". C’est trop risqué.
Cette cochonne de Carine a quand même réussi à me faire jouir, en jouant avec mon clito. J’ai voulu me venger, mais elle est partie en courant et elle s’est jetée à l’eau. Elle nage trop bien, et je n’ai pas pu la rattraper.
En fin d’après-midi, alors que nous étions en train de plier nos serviettes, nos voisins allemands sont passés près de nous. Ils repartaient aussi de la plage.
Ils nous ont reconnus, et ils sont venus nous dire bonjour et se présenter, puis ils nous ont proposé de prendre un verre dans un bar donnant sur la plage.
Ils sont propriétaires de la villa. Lui s’appelle Günther, et il est architecte. Sa femme, Lisbeth – Liz – doit avoir à peu près mon âge, et elle enseigne les arts plastiques.
La jeune fille que j’avais aperçue n’était pas avec eux. C’est la fille de Günther, née d’un premier mariage. Elle a fêté ses 16 ans quelques jours auparavant, et lorsqu’ils viennent à Praia do Barril, elle passe le plus clair de son temps avec ses copains.
En discutant, ils nous ont dit que notre maison était la seule à avoir un peu de vue sur leur jardin. Ils sont souvent nus, et ils nous ont demandé, très poliment, si ça ne nous gênait pas. Devinez notre réponse… Surtout que Günther est bel homme, et que Liz me jetait des regards… gourmands.
Avant de nous séparer, ils nous ont invités le lendemain soir, pour un apéritif.
De retour chez nous, et après les douches, nous sommes allés dîner au restaurant. En ressortant, Carine est tombée sur un des deux Portugais avec lesquels elle avait passé une nuit, et elle nous a laissés pour retourner en discothèque avec lui.
J’ai donc passé la nuit seule avec Arthur. Mais je ne me suis pas ennuyée !
16 août
Carine n’est rentrée qu’à midi. Elle n’a pas voulu raconter devant Arthur ce qu’elle avait fait, mais elle m’a promis de tout me dire plus tard, quand nous serions seules toutes les deux. Ça a du être torride, si j’en juge par sa mine…
Nouvel après-midi plage et nudisme. Carine, crevée, s’est juste baignée, et elle a bullé sur le sable.
Arthur était, lui, en pleine forme ! Il nous a fait jouir toutes les deux en nous doigtant discrètement. Enfin, discrètement… Un couple m’a quand même regardée, au moment où j’atteignais l’orgasme. Il faut dire que je n’ai pas pu me retenir de gémir assez fort.
En début de soirée, après une bonne douche, nous sommes allés prendre l’apéro chez nos voisins allemands.
Carine et moi, nous nous sommes habillées sexy, étant certaines qu’ils ne seraient pas choqués.
Micro short, débardeur court et très ouvert pour Carine, mini robe (très mini) en coton blanc un peu transparent pour moi. Et bien sur, rien dessous. Ni l’une, ni l’autre.
Effectivement, nous ne nous sommes pas senties gênées. Liz nous a accueillis en mini robe, elle aussi, mais faite dans une maille noire très ajourée, genre filet de pêche, sans slip ni soutien-gorge.
Günther était quand même en boxer, mais Samantha, sa fille, était nue, au bord de la piscine.
Si Liz ne me l’avait pas dit, je n’aurais jamais cru qu’elle n’avait que 16 ans.
Je n’ai jamais vu une fille de cet âge se promener à poil devant des inconnus, et être aussi à l’aise. Et en plus, un canon ! Un abricot tout lisse. Des petites fesses cambrées. Et elle a une paire de jolis seins, ronds… Je bave Nous avons discuté de choses et d’autres, banales, en buvant un vieux porto. Puis on a sonné.
- Sam, ça doit être tes copains qui viennent te chercher, lui a dit son père.
Samantha a juste remis une mini robe ultracourte, à fines bretelles, sans slip ni soutif, et des chaussures à semelles compensées et à très hauts talons. J’imagine le succès qu’elle doit avoir, surtout que son bronzage la rend hyper sexy.
Quand elle a été partie, Günther nous a invités au restaurant à Tavira, tous les cinq. Liz est allée se changer, et elle est revenue en minijupe et chemise ouverte, nouée sous les seins. Günther s’est contenté d’une chemise sur son boxer.
Repas délicieux, bien arrosé. La conversation est venue sur le sexe, et Liz nous a confirmé que, comme je m’en doutais, elle formait avec Günther un couple très libre, multipliant les rencontres et les partenaires. Carine et moi, nous avons avoué que nous avions aussi une vie sexuelle… intense. Sans donner trop de détails.
Puis retour à la villa, pour un dernier verre.
En revenant, Liz s’est mise nue, directement, pendant que Günther servait le champagne.
Sans la moindre gêne, avec son accent un peu guttural, elle a déclaré qu’elle me trouvait à son goût, et qu’elle avait envie que nous fassions l’amour devant tout le monde. Ça a été…. génial ! Elle a une collection de godes, et c’est une sacrée salope.
Ma mini robe n’est pas restée longtemps sur moi. Ma belle Allemande était très entreprenante, et elle l’a jetée dans la piscine, provoquant les rires des trois autres.
Ensuite, ça a été un festival.
Liz me caressait, je lui rendais ses caresses, dans un concert de soupirs et de gémissements étouffés. Elle en a profité pour m’exhiber, pour le plus grand plaisir de Günther, puisqu’il était le seul à ne pas m’avoir vue à l’œuvre, dans ces moments-là.
Elle m’a fait jouir quatre fois.
Le spectacle que nous offrions a excité les autres, et Carine s’est fait prendre par Günther et Arthur.
Petite pause champagne pour récupérer, et ensuite, c’est Günther qui m’a baisée. Ma chatte et mon cul. Liz se partageait entre Arthur et Carine, mais j’étais trop occupée pour tout suivre.
17 août
Le midi, nous avons mangé sur la terrasse. Toujours topless. Les deux couples bcbg de la maison voisine n’ont pas l’air d’apprécier, mais on s’en fout… Heureusement, il y a nos autres voisins ! Liz et Günther étaient aussi sur leur terrasse, avec Samantha. A poil tous les trois.
Après le déjeuner, Liz m’a demandé si nous voulions aller avec eux à la plage. Bien sur, quelle question…Nous sommes partis tous les cinq, par le petit train (Samantha retrouvait ses copains de son côté). Liz n’a pas froid aux yeux : elle avait remis sa petite robe noire en maille ajourée de la veille, avec juste un string en dessous. On voyait parfaitement ses seins et ses fesses… Elle est presque pire que moi, pour l’exhib !
L’après-midi à la plage a été génial. Bronzage intégral, baignades, que du bonheur…Liz est vraiment gonflée : elle a branlé Günther, sans se cacher. Puis elle a demandé à Carine de prendre la suite, pendant qu’elle me massait avec de l’huile solaire. Elle a des mains très douces, ses gestes étaient pleins de sensualité, et elle a réussi à me faire jouir. Avant de demander à Arthur de la masser aussi, et de partir dans un long orgasme.
Dans la conversation, Günther nous a annoncé que Liz et lui partaient en fin d’après-midi, pour rendre visite à des amis qui ont eux aussi une résidence secondaire, à une cinquantaine de kilomètres. Ils seraient absents demain, et ne rentreraient peut-être que vendredi. Sam restait seule à la villa, et il nous a proposé de profiter de leur piscine, autant que nous en avions envie.
Mais il y a eu pire… Nous avons parlé sexe (évidemment…) et Carine a fait allusion à mon penchant récent pour la soumission. Liz a été très intéressée et, en me dévorant des yeux, elle nous a avoué qu’elle adorait jouer les dominatrices. Mais Carine n’en est pas restée là. Elle a parlé d’une soirée "d’intégration", organisée par des gens qu’elle connaît, à laquelle je suis allée (*). Sans tout dévoiler, elle a fait quelques allusions à des choses que j’acceptais et qui me faisaient jouir. La garce !
Je me suis vengée en révélant que Carine y était allée aussi, et à ce moment-là, c’est Günther qui a posé des questions indiscrètes à Carine. Après ces imprudentes confidences, je crains ce qui peut se passer avant la fin de notre séjour…Le soir, nous sommes allés manger dans un petit resto (j’ai engueulé sérieusement Carine pour son indiscrétion, mais elle a rigolé). Au retour, nous avons repensé à la proposition de Günther. Ils étaient partis, Samantha était sortie, et nous avons profité de la piscine tous les trois.
C’est très agréable, de se baigner nus au soleil couchant. Et surtout, de faire l’amour au bord de la piscine, avec Carine et Arthur, jusque tard dans la nuit…
(*) je la raconterai bientôt sur Histoires de Sexe
18 août
Cette journée. C’était… inattendu, doux, sensuel…Je venais de me faire jouir en écrivant dans mon "journal", quand on a sonné à la porte. J’ai juste enfilé une tunique pour ouvrir, et je me suis retrouvée face à Samantha. Elle avait passé elle aussi un grand débardeur, mais on devinait sans peine qu’elle n’avait rien dessous. Ses joues étaient rouges, et ses yeux brillèrent en me regardant.
Je l’ai fait entrer et je l’ai emmenée jusqu’à la terrasse.
Elle parle le français moins bien que son père et Liz, mais son accent ajoute à son charme. Elle m’a avoué qu’elle avait vu que j’étais seule, et qu’elle voulait en profiter pour me demander quelque chose de très personnel et d’un peu gênant. Elle avait du mal à me dire ce qui l’amenait, mais elle a fini par se lâcher.
Je lui plaisais. Elle avait l’habitude que son physique attire sur elle le regard des hommes (tous) et des femmes (beaucoup, mais il y avait souvent de la jalousie dans leurs yeux). Avec moi, c’était différent. Elle avait lu le désir sur mon visage, et moi aussi je l’attirais, malgré notre différence d’âge.
Et surtout, elle voulait vivre une expérience avec une femme bi, connaissant tout du sexe (comme si on pouvait jamais tout savoir !), pour découvrir d’autres plaisirs. En fait, elle me fit comprendre que les partenaires de son âge n’étaient pas à la hauteur.
Bien sur, son père la laissait très libre, et elle multipliait les aventures, mais ses copains étaient souvent maladroits et trop pressés. Elle savait que Liz et son père avaient une vie sexuelle animée et pas vraiment conventionnelle, mais le couple refusait de l’initier ou de lui faire connaître certains de leurs partenaires, car Günther considérait que c’était à sa fille d’avancer à son rythme, sans l’influencer, et qu’elle était trop jeune par rapport à beaucoup de leurs amis.
Je confesse que les propos de Samantha me faisaient plaisir. Devenir son initiatrice… Je lui ai promis de venir chez elle en début d’après-midi, car elle serait plus à l’aise dans ce cadre.
J’ai annoncé le midi à Arthur et Carine que je les abandonnerai, et qu’ils devraient aller à la plage sans moi. Mais sans rien leur dire de plus, pour respecter la discrétion que Samantha m’avait demandée.
Après manger, j’ai passé une mini robe sur mon string, et je suis allée sonner à la porte de la villa. Sam devait m’attendre, car elle ouvrit presque aussitôt, sans même avoir pris le temps de cacher sa nudité. Nous nous sommes dirigées vers la terrasse et la piscine. Arthur et Carine étaient partis en même temps que moi, et nous étions certaines de ne pas nous faire mater.
Maintenant qu’elle était en face de moi, Samantha était presque intimidée. Pour la mettre à l’aise, je lui ai proposé de m’occuper d’abord d’elle. Dans un premier temps, elle pouvait juste me laisser faire, et prendre l’initiative plus tard, en suivant son désir.
J’ai rapproché deux grands bains de soleil, et je les ai mis en position horizontale, pour en faire un lit confortable, et Sam s’est allongée. Elle a fermé les yeux, et elle s’est abandonnée totalement.
Je l’ai embrassée, et j’ai senti ses lèvres s’entrouvrir pour laisser le passage à ma langue. J’ai fait durer ce premier baiser, pour lui laisser goûter la volupté de ce moment. Et progressivement, j’ai commencé à la caresser. Ses épaules, la naissance de ses seins, son ventre, le haut de ses cuisses. Putain, qu’est ce que sa peau était lisse et douce !
Puis ma main est remontée sur sa poitrine. Elle était dure comme du bois. Ses tétons pointaient. J’ai pris les aréoles dardées entre mes doigts. Je les ai caressées, pincées doucement, étirées… Sam gémissait, et moi, je mouillais.
Puis mon autre main est descendue entre ses cuisses. Je n’ai rien eu à lui dire, elle les a écartées, posant ses pieds au sol de chaque côté du bain de soleil. J’ai retardé le moment où je toucherai les points les plus sensibles, me contentant d’abord d’écarter ses grandes lèvres, de les masser, de débusquer son clito, qui était déjà sorti de son étui. Elle aussi mouillait…Lorsqu’elle m’a supplié d’une voix étouffée de la faire jouir, je lui ai ordonné de se retenir, et ma main s’est faite plus insistante. Elle a crié de plaisir quand j’ai touché son petit bouton. Crié encore, quand mes doigts ont pénétré sa grotte. Chaque centimètre carré de sa peau, de son sexe, était souple et ferme.
Tous mes gestes étaient d’une douceur et d’une lenteur mesurées, pour exacerber son attente. Et elle a joui une première fois, dans un râle plus rauque que ce que j’attendais d’une fille aussi jeune.
Je ne l’ai pas laissée reprendre son souffle. J’ai plongé ma tête entre ses cuisses. Ma bouche s’est écrasée sur son sexe, et ma langue a pris possession de sa chatte. Elle s’est cambrée, et s’est offerte totalement. A mon tour, j’avais du mal à contrôler mon excitation. Je sentais des larmes de cyprine dégouliner sur mes cuisses. Lorsque je perdais haleine, mes doigts prenaient le relais, et Sam a joui encore en criant, avec une force incroyable, au bord de l’évanouissement.
Son corps ruisselait de sueur – le mien aussi – et je l’ai laissée se reprendre. Puis je lui ai proposé de nager un peu, avant qu’elle s’occupe de moi à son tour. Le contact de l’eau sur nos corps nus nous a revigorées. Sam récupérait à une vitesse extraordinaire, et je sentais le désir dans son regard posé sur moi.
Je suis sortie de la piscine et j’ai regagné nos bains de soleil, en ondulant des hanches pour l’exciter. Je me suis faite la plus provocante possible, et Samantha m’a rejointe.
Pendant de longues minutes, elle m’a embrassée, caressée, doigtée, avec un ravissement évident. Ses mains et sa bouche, d’abord timides et hésitantes, se sont faites progressivement audacieuses et fébriles. Elle est vraiment très douée ! J’ai joui aussi, j’ai giclé, et elle a poussé un petit cri de surprise et de plaisir quand j’ai coulé sur son visage et dans sa bouche.
Mais je n’étais pas rassasiée. Je l’ai fait venir sur moi, en 69. Pendant qu’elle fouillait de plus belle ma fente, je l’ai léchée à nouveau. Elle coulait elle aussi comme une fontaine, et j’ai glissé un doigt enduit de sa mouille entre ses fesses bronzées. J’ai caressé longuement sa rosette, mon doigt appuyant de plus en plus fort, jusqu’à sentir son petit œillet plissé s’ouvrir.
Avant de la pénétrer, je lui ai demandé si elle en avait envie. Elle m’a répondu "oui, tout ce que tu veux…" d’une voix étouffée. Alors j’ai enfoncé mon doigt franchement. Elle a poussé un cri de petite fille surprise, et elle s’est cambrée encore plus, écartant ses fesses de sa main libre pour m’en faciliter l’accès.
Pendant que j’allais et venais dans son petit cul, elle m’a rendu la pareille. J’ai introduit un deuxième doigt, puis un troisième. Nous nous doigtions de plus en plus fort, de plus en plus profond. Elle a joui la première. Je l’ai suivie de près. Elle a eu un autre orgasme, et moi aussi, avant de s’écrouler sur moi de tout son poids.
Nous sommes retournées nager. Longtemps. Et nous avons passé ensuite plus d’une heure sur les bains de soleil, à papoter, en nous caressant. Samantha voulait tout savoir de mes expériences, surtout de mes "premières fois", de mes rapports avec plusieurs partenaires ensemble, et l’excitation faisait souvent gonfler sa poitrine. La mienne aussi. Et je ne parle pas de la mouille qui coulait entre nos cuisses…Plusieurs fois, la conversation est venue sur les godes et sur les sextoys en général, et Samantha était très curieuse. J’en avais emporté quelques uns en vacances (on ne sait jamais) : mon œuf vibrant, des boules de geisha, et mon gros gode à ventouse. Elle m’a demandé si je voulais bien lui montrer, et je suis allée les chercher dans notre maison.
A mon retour, une surprise m’attendait : Samantha avait cherché dans les affaires de Liz, et elle avait trouvé un superbe gode ceinture, très long, gros et noir.
Elle a voulu tout essayer. Elle a marché plusieurs minutes sur la terrasse, avec les boules de geisha dans sa chatte. Ses seins qui pointaient, et le rythme court de sa respiration en disaient long sur ses sensations, et je coulais comme une fontaine en la regardant.
J’ai récupéré ensuite mes boules de geisha, et je les ai remplacées par mon œuf vibrant. En gardant la commande… Et j’ai demandé à Samantha de marcher encore, pendant que je faisais vibrer l’œuf. Elle a fini par jouir debout, et tomber à genoux, secouée par des orgasmes en chaîne. Et j’ai joui, juste en la voyant.
Elle s’est rallongée pour récupérer, et nous avons continué à bavarder. Et, pour finir cet après-midi de rêve, on a essayé le gode ceinture, en "alternance". Je ne savais plus où j’en étais, et Samantha non plus.
Je lui ai demandé de m’enculer avec le gode. J’ai joui tellement fort, qu’elle a voulu que je la prenne par son petit trou. Vu la taille de l’engin, j’avais peur et mal pour elle, mais elle a insisté… et elle a joui aussi, en se tordant sur la terrasse. C’est un sacré tempérament, et quand je pense qu’elle n’a que 16 ans… Elle va faire le bonheur de plein de mecs et de filles !
Nous avons mis fin à ces ébats, quand nous avons aperçu Carine et Arthur sur notre terrasse. Et de plus, Samantha attendait ses copains, avec qui elle sortait pour la soirée. Quelle santé !
Moi, j’étais épuisée.
Carine est allée en boîte, et je suis restée avec Arthur. Il m’a raconté son après-midi sur la plage, et nous avons fait l’amour. Doucement. Tendrement.
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