Journée de soumission surprise (2/2)
Récit érotique écrit par Katagena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Journée de soumission surprise (2/2)
Je me glisse dans l’ascenseur juste avant qu’il ne se referme. Un couple est à l’intérieur. L’homme regarde ailleurs, gêné, de peur que sa femme ne le voit me reluquer. Et moi j’en profite pour la regarder elle, je n’ai rien à lui envier. Elle est fine, brune, porte un jean moulant et un chemisier. Je la trouve très sexy. Je jette un regard complice à son mari en sortant. Je crois qu’il m’a compris. Je sens son regard dans mon dos tandis que je m’éloigne.
Le soleil m’éblouit. Je plisse les yeux et attrape mes lunettes de soleil dans mon sac. Tandis que je traverse le parking, je me rends bien compte que les regards s’attardent sur moi. Je ne trouve pourtant pas ma tenue indécente, à peine provocatrice, mais il n’en faut pas plus pour éveiller la curiosité des gens dans une petite ville.
Je monte dans la voiture. Il fait chaud. Je pose mon sac et la boîte sur le siège passager, baisse la vitre et mets le moteur en marche. La robe est remontée sur le haut de mes cuisses. Je roule un instant puis m’arrête à un feu rouge. Une moto s’arrête à ma hauteur. Je vois le regard insistant de l’homme, qui cherche à regarder mon corps dans les moindres détails. Je lui souris, le laisse se régaler du spectacle et fais même mine d’écarter très légèrement les jambes. Puis le feu passe au vert, je démarre le laissant sur place avec ses pensées. J’arrive enfin à l’hôtel. Je me gare, prends mes affaires et descends.
J’entre dans l’hôtel et salue le réceptionniste donc le regard se glisse directement dans mon décolleté. Je le vois faire et souris. Il rougit puis me demande s’il peut me renseigner. Je l’informe que je viens rejoindre quelqu’un et m’éloigne. Je connais le chemin. Nous avons eu quelques rendez-vous torrides ici déjà. Mon cœur s’accélère tandis que je marche le long de ce couloir aux boiseries rouges, je tourne et me trouve face à la porte 402. Je serre la boîte contre moi et frappe à la porte.
J’attends quelques secondes et, alors que je m’apprêtais à vérifier que je ne m’étais pas trompée de chambre, j’entends des pas se diriger vers la porte. Alors qu’elle s’entrouvre, je la pousse. J’entre mais ne te vois nulle part. Alors que je dépose mes affaires sur la table de l’entrée, je te sens te glisser derrière moi. Je m’apprête à me retourner.
« -Non ne te tourne pas. Ne parle pas. Ouvre simplement la boîte qui est devant toi. »
Je soulève alors le couvercle, et découvre toute une collection d’objets : un bandeau, des menottes, un vibromasseur, un œuf vibrant, et une petite cravache. Je souris. Je sens le programme intéressant et excitant.
« -Passe-moi le bandeau »
Je m’exécute et te tends le morceau de tissu, tu le glisses sur mes yeux et le serre, de manière à ce que je ne vois plus rien du tout. Tu commences alors à promener tes mains sur mon corps. Elles glissent sur le tissu, caressent mes seins et descendent sur mon ventre. Tu te colles contre moi, et je sens ton sexe se durcir. Tu sais que j’adore ça. Je me cambre et colle mes fesses contre toi. Tu attrapes mes hanches pour accompagner mon mouvement. Je pose mes mains sur la table et me tiens penchée ainsi, à ta merci. Tes mains partent alors en exploration sous ma robe. Tu glisses quelques doigts entre mes cuisses, qui remontent doucement et peuvent constater que je suis plus que prête à ma donner à toi, excitée depuis un temps qui me semble interminable. Je n’en peux plus et ai envie de te sentir en moi. Je soulève ma jupe afin de te permettre de voir mes fesses et de te donner envie de me prendre là, tout de suite, sans attendre. Tu remets alors ma jupe en place et recule d’un pas.
« -Non, pas tout de suite. Je sais que tu en meurs d’envie, mais il va falloir attendre encore. Je veux que tu te sentes affamée de sexe, que tu me supplies de te prendre quand tu auras enfin droit à la parole, en attendant, savoure ce que tu as »
Tu m’attrapes alors la main et me dirige vers le lit. Ce sont les lits qui ont fait de cet hôtel notre préféré. Ils sont plus larges que la moyenne et nous permettent toutes sortes de position sans avoir à nous préoccuper de la place. Je m’allonge alors et, pour te provoquer, je m’appuie sur les coudes, replie les jambes et les écarte. J’aime m’offrir à toi de la sorte. J’entends un bip, tu as allumé l’appareil. Tu me demandes d’enlever également ma robe. Je m’exécute. A peine nue, tu attrapes mes poignets et m’attache à la tête du lit. Je t’appartiens totalement, je ne pourrai me soustraire à ta domination, quoi que tu fasses. Je sens mon cœur s’accélérer, l’excitation monter un peu plus en moi. Puis tu commences à promener ton sexe sur mon corps. Tu commences par mes jambes, il remonte le long de mes cuisses. Tu t’attardes au niveau de mon entrejambe. Tu sais à quel point je veux le sentir m’envahir, entrer en moi, et prends donc ton temps. Je laisse échapper un gémissement. Tu glisses alors tes doigts autour de mon cou, tu serres légèrement en lâchant un « chut ». Je dois donc jouir en silence, cela ne va pas être évident, je suis plutôt du genre bruyante.
Tu reprends tes caresses très spéciales, promène ton sexe sur mon ventre, remonte sur mes seins. Tu titilles les tétons jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment durs à ton goût. Puis il passe sur ma gorge et vient caresser mon visage. Il se fait doux sur mes joues, mon front, puis passe sur mes lèvres. Alors qu’il les frôle, j’entrouvre la bouche et le sens entrer jusqu’au fond de ma gorge. Je n’arrive plus à respirer et le sens gonfler encore. Puis tu recules, te places à cheval sur moi et commence les va-et-vient. Ils se font de plus en plus rapides. Je ressens un mélange d’excitation à l’idée de te procurer tant de plaisir, que tu m’utilises ainsi, et en même temps un peu de tension, car j’ai vraiment la sensation d’étouffer. Alors que tu sens que tu vas partir, tu recules. Je sens alors un jet de sperme arroser mes seins, mon cou, et quelques gouttes atteignent mes lèvres. Je me lèche les babines avec délice. J’entends alors que tu prends quelques photos de la scène. J’aime me sentir ainsi « salie ». A ce moment, j’ai l’impression que je pourrai accepter toutes tes demandes sans retenue, tant la perversion m’excite.
Tu t’éloignes un instant, puis reviens, tu détaches mon bandeau, une de mes mains. Tu m’as amené un gant de toilette que je puisse m’essuyer. Alors que je vais pour te remercier, tu déposes un doigt sur mes lèvres. Le jeu n’est pas terminé, il ne fait même que commencer.
« - Maintenant, c’est à toi de jouir. Je vais te détacher l’autre main. Je veux que tu te donnes du plaisir à en défaillir. Et je veux que tu fasses ça sans me quitter du regard. »
Tu défais la menotte, je retrouve la liberté de mes gestes. Tu t’installes au bout du lit, l’appareil à la main, en mode vidéo. Je m’allonge, la tête tournée vers toi. Mes mains sont sur mes seins. Elles les caressent, d’abord doucement puis je commence à les presser. J’en tire un vers le haut et lèche le téton du bout de ma langue. J’aime cette sensation, et j’aime encore plus l’effet que cela a sur toi. J’ai envie de voir si tu bandes à nouveau, mais je ne peux pas. Je ne quitte pas ton visage du regard.
Mes mains descendent ensuite sur mes côtes, mon ventre. Mes jambes se replient par réflexe, avides du plaisir que je vais me donner. Il devient difficile d’étouffer les gémissements qui me viennent. Je descends sur mon bas ventre, me griffe en remontant jusqu’à mes seins. Je fais ainsi quelques passages puis, quand cela devient trop douloureux, mes mains descendent les long de mes cuisses, remontent ensuite jusqu’à mon sexe. Deux de mes doigts écartent mes lèvres. Un premier doigt entre alors en moi, puis un deuxième le rejoint, et enfin un troisième. A chaque doigt que je rajoute, je sens la plaisir monter, l’orgasme est là, prêt à jaillir. Mes va-et-vient font trembler mes jambes de plaisir, pendant que ma première main relâche alors mes lèvres, et commencent à aller titiller mon clitoris. Je me mords la lèvre, c’est trop bon, je voudrais le crier… J’ai soudain l’impression de ne plus me contrôler. Tu le perçois et me demande :
« - Qui va tout faire pour être la meilleure des soumises aujourd’hui ? Tu peux répondre à mes questions, juste répondre, je ne veux rien entendre d’autre… »
Je réponds alors dans un souffle :
« - C’est moi »
« - Et qui adore se comporter comme une salope, exciter les gens autour d’elle ? »
« - C’est moi aussi »
C’est vrai que j’aime ça, le fait que tu me filmes m’excite, l’idée qu’une autre personne pourrait être en train de me regarder, par l’intermédiaire de cet appareil, contribue à augmenter l’excitation de la scène. C’est à ce moment, à cette pensée d’un inconnu m’épiant, que je sens cette vague de chaleur m’envahir. Je la laisse me parcourir, et j’en ai mal à la gorge de devoir retenir ce râle. J’appuie alors sur mes pieds et soulève mon bassin, la main toujours sur mon clitoris. Je reste ainsi, tendue quelques secondes, puis retombe, comme épuisée de ce trop-plein d’émotion.
Tu éteins alors l’appareil. Je baisse le regard et voit que tu es prêt à t’occuper encore de moi, ton sexe fièrement dressé dans les airs, visiblement ces dernières minutes t’ont autant excité que moi.
Tu me dis alors :
« - Tu ne devais pas me quitter du regard, ton maître va te punir. Tourne-toi et mets-toi à 4 pattes. »
Je m’exécute, excitée par tout ce que tu pourrais faire dans mon dos. Tu attrapes alors la petite cravache qui se trouvait dans la boîte, tu commences par me caresser les fesses avec. Je trouve cela très doux, très agréable. Je ferme les yeux afin de me concentrer sur cette sensation. C’est le moment que tu choisis pour me donner le premier coup sur la fesse droite. Je ne peux empêcher un gémissement de s’échapper de ma bouche, mélange de douleur et de plaisir. Tu me donnes encore un coup puis change de fesse. Chaque coup est plus intense que le précédent. Je me sens parfois gênée d’aimer cela, comme si c’était mal. Et d’un autre côté, j’ai la sensation que c’est justement le fait que ce soit mal qui m’excite ainsi…
Tu reposes alors la cravache et attrape mes fesses à pleines mains. Tu les malaxes, les presses, puis les embrasse. Tu les écartes alors légèrement, puis je sens ton gland se présenter juste à l’entrée. Tu le promènes entre mes jambes, afin de le lubrifier de ce liquide qui y coule, trempées par l’excitation de cette journée. Tu le représentes puis pousse un peu. Je te sens entrer en moi. Tu remplis tout l’espace, je te sens à l’étroit, mais la sensation n’en est que plus intense. Tu entres d’abord doucement, attentif à l’expression de mon visage. En aucun cas tu ne voudrais me faire souffrir et, bien que tu ne me demandes pas mon avis, tu fais tout de même attention à ne pas me faire trop mal. Tu peux alors voir sur mon visage ce mélange de crispation, de douleur et de plaisir. La douleur disparaît rapidement pour ne plus laisser place qu’au plaisir. J’appuie sur ta fesse d’une main pour t’inciter à venir tout au fond de moi, de me prendre entièrement, ce pour quoi tu ne te fais pas prier. Je me sens comme prise au piège, incapable de bouger. Tu appuies sur moi de tout ton poids et je me retrouve allongée sous toi, sans échappatoire. Qu’est-ce que cette sensation est grisante ! Tu ressors alors, et me demande de te lécher. Ma langue se promène tout le long de ton sexe, tendu comme jamais, puis descend jusqu’à tes testicules que je prends un par un dans ma bouche. Je t’enfourne ensuite à pleine bouche, laissant ma langue tourner autour de ton sexe frénétiquement. J’ai mis un piercing aux billes plus imposantes que d’ordinaire aujourd’hui, et tu sembles particulièrement apprécier la sensation…
Tu me stoppes, avant de déverser dans ma bouche, et va chercher la bouteille de champagne qui est sur la table basse. Tu me demandes de me lever et me donnes une coupe. Je la bois par petites gorgées, interrompues par des baisers enflammés, à l’image de notre désir. Une de mes mains te caresse, tu dois la retenir pour ne pas finir trop tôt, tu as encore tellement de choses prévues.
« -Mets-toi à genoux, face à moi, et ouvre la bouche »
Je m’exécute, et tu alternes alors entre le goulot de la bouteille et ton sexe sur mes lèvres, j’aime ce va-et-vient, je bois une gorgée et te suce. Très agréable. J’aime les nouvelles expériences. Puis tu me verses du champagne sur la tête. C’est glacé, et je ne sais pourquoi, mais cela fait bondir mon excitation d’un coup.
« - Tu as de nouveau droit de parler. Ça te plait ? »
« - Mmm oui j’adore ça, j’ai vraiment envie que tu me prennes là tout de suite ! »
« - Pas tout de suite, mais je vais t’aider à patienter… Va chercher le jouet que je t’ai ramené dans la boîte, le noir, et reviens ici»
Je me lève, et attrape le vibromasseur, je reviens et m’agenouille devant toi.
« - Fais-toi encore jouir »
Décidément, je vais être vidée ! Je le mets en marche, et commence à le promener sur mon clitoris, encore sensible de mes caresses. J’alterne entre lui et le faire pénétrer en moi, alors que je continue à boire et à te sucer. La tête me tourne, un mélange du champagne et de cette sensation d’être soumise à tous tes désirs, tout ce qui te traverseras l’esprit. Je sens un nouvel orgasme qui monte en moi et, ayant droit à la parole, je me permets de pousser un long cri jouissif. Tu me relèves en m’attrapant par les épaules, mon vibro m’en échappe des mains, tu me projettes sur le lit, face contre le matelas. Tu t’installes derrière moi et me pénètres brutalement, comme j’aime. Tu attrapes mes cheveux, et me prends, d’une façon presque animale. Dans un grognement, je te sens éjaculer en moi, tu t’écroules alors sur mon dos et nous restons là, allongés l’un sur l’autre, avec pour seule musique le bruit de mon vibromasseur qui tremble sur le sol.
« - Tu pourras aller à la salle de bains, te doucher. Une tenue t’y attend. Tu mettras également ton œuf vibrant et me donneras la télécommande, je nous ai réservé un restaurant pour ce soir… »
Le soleil m’éblouit. Je plisse les yeux et attrape mes lunettes de soleil dans mon sac. Tandis que je traverse le parking, je me rends bien compte que les regards s’attardent sur moi. Je ne trouve pourtant pas ma tenue indécente, à peine provocatrice, mais il n’en faut pas plus pour éveiller la curiosité des gens dans une petite ville.
Je monte dans la voiture. Il fait chaud. Je pose mon sac et la boîte sur le siège passager, baisse la vitre et mets le moteur en marche. La robe est remontée sur le haut de mes cuisses. Je roule un instant puis m’arrête à un feu rouge. Une moto s’arrête à ma hauteur. Je vois le regard insistant de l’homme, qui cherche à regarder mon corps dans les moindres détails. Je lui souris, le laisse se régaler du spectacle et fais même mine d’écarter très légèrement les jambes. Puis le feu passe au vert, je démarre le laissant sur place avec ses pensées. J’arrive enfin à l’hôtel. Je me gare, prends mes affaires et descends.
J’entre dans l’hôtel et salue le réceptionniste donc le regard se glisse directement dans mon décolleté. Je le vois faire et souris. Il rougit puis me demande s’il peut me renseigner. Je l’informe que je viens rejoindre quelqu’un et m’éloigne. Je connais le chemin. Nous avons eu quelques rendez-vous torrides ici déjà. Mon cœur s’accélère tandis que je marche le long de ce couloir aux boiseries rouges, je tourne et me trouve face à la porte 402. Je serre la boîte contre moi et frappe à la porte.
J’attends quelques secondes et, alors que je m’apprêtais à vérifier que je ne m’étais pas trompée de chambre, j’entends des pas se diriger vers la porte. Alors qu’elle s’entrouvre, je la pousse. J’entre mais ne te vois nulle part. Alors que je dépose mes affaires sur la table de l’entrée, je te sens te glisser derrière moi. Je m’apprête à me retourner.
« -Non ne te tourne pas. Ne parle pas. Ouvre simplement la boîte qui est devant toi. »
Je soulève alors le couvercle, et découvre toute une collection d’objets : un bandeau, des menottes, un vibromasseur, un œuf vibrant, et une petite cravache. Je souris. Je sens le programme intéressant et excitant.
« -Passe-moi le bandeau »
Je m’exécute et te tends le morceau de tissu, tu le glisses sur mes yeux et le serre, de manière à ce que je ne vois plus rien du tout. Tu commences alors à promener tes mains sur mon corps. Elles glissent sur le tissu, caressent mes seins et descendent sur mon ventre. Tu te colles contre moi, et je sens ton sexe se durcir. Tu sais que j’adore ça. Je me cambre et colle mes fesses contre toi. Tu attrapes mes hanches pour accompagner mon mouvement. Je pose mes mains sur la table et me tiens penchée ainsi, à ta merci. Tes mains partent alors en exploration sous ma robe. Tu glisses quelques doigts entre mes cuisses, qui remontent doucement et peuvent constater que je suis plus que prête à ma donner à toi, excitée depuis un temps qui me semble interminable. Je n’en peux plus et ai envie de te sentir en moi. Je soulève ma jupe afin de te permettre de voir mes fesses et de te donner envie de me prendre là, tout de suite, sans attendre. Tu remets alors ma jupe en place et recule d’un pas.
« -Non, pas tout de suite. Je sais que tu en meurs d’envie, mais il va falloir attendre encore. Je veux que tu te sentes affamée de sexe, que tu me supplies de te prendre quand tu auras enfin droit à la parole, en attendant, savoure ce que tu as »
Tu m’attrapes alors la main et me dirige vers le lit. Ce sont les lits qui ont fait de cet hôtel notre préféré. Ils sont plus larges que la moyenne et nous permettent toutes sortes de position sans avoir à nous préoccuper de la place. Je m’allonge alors et, pour te provoquer, je m’appuie sur les coudes, replie les jambes et les écarte. J’aime m’offrir à toi de la sorte. J’entends un bip, tu as allumé l’appareil. Tu me demandes d’enlever également ma robe. Je m’exécute. A peine nue, tu attrapes mes poignets et m’attache à la tête du lit. Je t’appartiens totalement, je ne pourrai me soustraire à ta domination, quoi que tu fasses. Je sens mon cœur s’accélérer, l’excitation monter un peu plus en moi. Puis tu commences à promener ton sexe sur mon corps. Tu commences par mes jambes, il remonte le long de mes cuisses. Tu t’attardes au niveau de mon entrejambe. Tu sais à quel point je veux le sentir m’envahir, entrer en moi, et prends donc ton temps. Je laisse échapper un gémissement. Tu glisses alors tes doigts autour de mon cou, tu serres légèrement en lâchant un « chut ». Je dois donc jouir en silence, cela ne va pas être évident, je suis plutôt du genre bruyante.
Tu reprends tes caresses très spéciales, promène ton sexe sur mon ventre, remonte sur mes seins. Tu titilles les tétons jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment durs à ton goût. Puis il passe sur ma gorge et vient caresser mon visage. Il se fait doux sur mes joues, mon front, puis passe sur mes lèvres. Alors qu’il les frôle, j’entrouvre la bouche et le sens entrer jusqu’au fond de ma gorge. Je n’arrive plus à respirer et le sens gonfler encore. Puis tu recules, te places à cheval sur moi et commence les va-et-vient. Ils se font de plus en plus rapides. Je ressens un mélange d’excitation à l’idée de te procurer tant de plaisir, que tu m’utilises ainsi, et en même temps un peu de tension, car j’ai vraiment la sensation d’étouffer. Alors que tu sens que tu vas partir, tu recules. Je sens alors un jet de sperme arroser mes seins, mon cou, et quelques gouttes atteignent mes lèvres. Je me lèche les babines avec délice. J’entends alors que tu prends quelques photos de la scène. J’aime me sentir ainsi « salie ». A ce moment, j’ai l’impression que je pourrai accepter toutes tes demandes sans retenue, tant la perversion m’excite.
Tu t’éloignes un instant, puis reviens, tu détaches mon bandeau, une de mes mains. Tu m’as amené un gant de toilette que je puisse m’essuyer. Alors que je vais pour te remercier, tu déposes un doigt sur mes lèvres. Le jeu n’est pas terminé, il ne fait même que commencer.
« - Maintenant, c’est à toi de jouir. Je vais te détacher l’autre main. Je veux que tu te donnes du plaisir à en défaillir. Et je veux que tu fasses ça sans me quitter du regard. »
Tu défais la menotte, je retrouve la liberté de mes gestes. Tu t’installes au bout du lit, l’appareil à la main, en mode vidéo. Je m’allonge, la tête tournée vers toi. Mes mains sont sur mes seins. Elles les caressent, d’abord doucement puis je commence à les presser. J’en tire un vers le haut et lèche le téton du bout de ma langue. J’aime cette sensation, et j’aime encore plus l’effet que cela a sur toi. J’ai envie de voir si tu bandes à nouveau, mais je ne peux pas. Je ne quitte pas ton visage du regard.
Mes mains descendent ensuite sur mes côtes, mon ventre. Mes jambes se replient par réflexe, avides du plaisir que je vais me donner. Il devient difficile d’étouffer les gémissements qui me viennent. Je descends sur mon bas ventre, me griffe en remontant jusqu’à mes seins. Je fais ainsi quelques passages puis, quand cela devient trop douloureux, mes mains descendent les long de mes cuisses, remontent ensuite jusqu’à mon sexe. Deux de mes doigts écartent mes lèvres. Un premier doigt entre alors en moi, puis un deuxième le rejoint, et enfin un troisième. A chaque doigt que je rajoute, je sens la plaisir monter, l’orgasme est là, prêt à jaillir. Mes va-et-vient font trembler mes jambes de plaisir, pendant que ma première main relâche alors mes lèvres, et commencent à aller titiller mon clitoris. Je me mords la lèvre, c’est trop bon, je voudrais le crier… J’ai soudain l’impression de ne plus me contrôler. Tu le perçois et me demande :
« - Qui va tout faire pour être la meilleure des soumises aujourd’hui ? Tu peux répondre à mes questions, juste répondre, je ne veux rien entendre d’autre… »
Je réponds alors dans un souffle :
« - C’est moi »
« - Et qui adore se comporter comme une salope, exciter les gens autour d’elle ? »
« - C’est moi aussi »
C’est vrai que j’aime ça, le fait que tu me filmes m’excite, l’idée qu’une autre personne pourrait être en train de me regarder, par l’intermédiaire de cet appareil, contribue à augmenter l’excitation de la scène. C’est à ce moment, à cette pensée d’un inconnu m’épiant, que je sens cette vague de chaleur m’envahir. Je la laisse me parcourir, et j’en ai mal à la gorge de devoir retenir ce râle. J’appuie alors sur mes pieds et soulève mon bassin, la main toujours sur mon clitoris. Je reste ainsi, tendue quelques secondes, puis retombe, comme épuisée de ce trop-plein d’émotion.
Tu éteins alors l’appareil. Je baisse le regard et voit que tu es prêt à t’occuper encore de moi, ton sexe fièrement dressé dans les airs, visiblement ces dernières minutes t’ont autant excité que moi.
Tu me dis alors :
« - Tu ne devais pas me quitter du regard, ton maître va te punir. Tourne-toi et mets-toi à 4 pattes. »
Je m’exécute, excitée par tout ce que tu pourrais faire dans mon dos. Tu attrapes alors la petite cravache qui se trouvait dans la boîte, tu commences par me caresser les fesses avec. Je trouve cela très doux, très agréable. Je ferme les yeux afin de me concentrer sur cette sensation. C’est le moment que tu choisis pour me donner le premier coup sur la fesse droite. Je ne peux empêcher un gémissement de s’échapper de ma bouche, mélange de douleur et de plaisir. Tu me donnes encore un coup puis change de fesse. Chaque coup est plus intense que le précédent. Je me sens parfois gênée d’aimer cela, comme si c’était mal. Et d’un autre côté, j’ai la sensation que c’est justement le fait que ce soit mal qui m’excite ainsi…
Tu reposes alors la cravache et attrape mes fesses à pleines mains. Tu les malaxes, les presses, puis les embrasse. Tu les écartes alors légèrement, puis je sens ton gland se présenter juste à l’entrée. Tu le promènes entre mes jambes, afin de le lubrifier de ce liquide qui y coule, trempées par l’excitation de cette journée. Tu le représentes puis pousse un peu. Je te sens entrer en moi. Tu remplis tout l’espace, je te sens à l’étroit, mais la sensation n’en est que plus intense. Tu entres d’abord doucement, attentif à l’expression de mon visage. En aucun cas tu ne voudrais me faire souffrir et, bien que tu ne me demandes pas mon avis, tu fais tout de même attention à ne pas me faire trop mal. Tu peux alors voir sur mon visage ce mélange de crispation, de douleur et de plaisir. La douleur disparaît rapidement pour ne plus laisser place qu’au plaisir. J’appuie sur ta fesse d’une main pour t’inciter à venir tout au fond de moi, de me prendre entièrement, ce pour quoi tu ne te fais pas prier. Je me sens comme prise au piège, incapable de bouger. Tu appuies sur moi de tout ton poids et je me retrouve allongée sous toi, sans échappatoire. Qu’est-ce que cette sensation est grisante ! Tu ressors alors, et me demande de te lécher. Ma langue se promène tout le long de ton sexe, tendu comme jamais, puis descend jusqu’à tes testicules que je prends un par un dans ma bouche. Je t’enfourne ensuite à pleine bouche, laissant ma langue tourner autour de ton sexe frénétiquement. J’ai mis un piercing aux billes plus imposantes que d’ordinaire aujourd’hui, et tu sembles particulièrement apprécier la sensation…
Tu me stoppes, avant de déverser dans ma bouche, et va chercher la bouteille de champagne qui est sur la table basse. Tu me demandes de me lever et me donnes une coupe. Je la bois par petites gorgées, interrompues par des baisers enflammés, à l’image de notre désir. Une de mes mains te caresse, tu dois la retenir pour ne pas finir trop tôt, tu as encore tellement de choses prévues.
« -Mets-toi à genoux, face à moi, et ouvre la bouche »
Je m’exécute, et tu alternes alors entre le goulot de la bouteille et ton sexe sur mes lèvres, j’aime ce va-et-vient, je bois une gorgée et te suce. Très agréable. J’aime les nouvelles expériences. Puis tu me verses du champagne sur la tête. C’est glacé, et je ne sais pourquoi, mais cela fait bondir mon excitation d’un coup.
« - Tu as de nouveau droit de parler. Ça te plait ? »
« - Mmm oui j’adore ça, j’ai vraiment envie que tu me prennes là tout de suite ! »
« - Pas tout de suite, mais je vais t’aider à patienter… Va chercher le jouet que je t’ai ramené dans la boîte, le noir, et reviens ici»
Je me lève, et attrape le vibromasseur, je reviens et m’agenouille devant toi.
« - Fais-toi encore jouir »
Décidément, je vais être vidée ! Je le mets en marche, et commence à le promener sur mon clitoris, encore sensible de mes caresses. J’alterne entre lui et le faire pénétrer en moi, alors que je continue à boire et à te sucer. La tête me tourne, un mélange du champagne et de cette sensation d’être soumise à tous tes désirs, tout ce qui te traverseras l’esprit. Je sens un nouvel orgasme qui monte en moi et, ayant droit à la parole, je me permets de pousser un long cri jouissif. Tu me relèves en m’attrapant par les épaules, mon vibro m’en échappe des mains, tu me projettes sur le lit, face contre le matelas. Tu t’installes derrière moi et me pénètres brutalement, comme j’aime. Tu attrapes mes cheveux, et me prends, d’une façon presque animale. Dans un grognement, je te sens éjaculer en moi, tu t’écroules alors sur mon dos et nous restons là, allongés l’un sur l’autre, avec pour seule musique le bruit de mon vibromasseur qui tremble sur le sol.
« - Tu pourras aller à la salle de bains, te doucher. Une tenue t’y attend. Tu mettras également ton œuf vibrant et me donneras la télécommande, je nous ai réservé un restaurant pour ce soir… »
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