Journée exhib avec fin à 3

- Par l'auteur HDS Smilee -
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Journée exhib avec fin à 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Journée exhib avec fin à 3
Ce week-end Alexandre part chez un copain. C'est ce qui est bien quand les enfants grandissent, nous arrivons plus facilement à avoir un peu de temps pour nous. Le samedi matin nous nous préparons donc à déposer Alexandre puis à aller faire un peu de randonnée à deux heures de chez nous. Nous nous sommes réservés une nuit dans un gîte et allons bien profiter de cette belle journée. Vu que nous arriverons directement sur le sentier nous partons habillés pour marcher. J'ai mis mon pantalon de randonnée et un t-shirt. Nina a mis un legging noir qui moule bien ses formes et un débardeur. Comme à son habitude quand nous allons marcher elle n’a pas mis de soutien-gorge. Nous partons et nous arrêtons chez l’ami de notre fils. C’est le père du copain d’Alexandre qui nous reçoit. Je le vois qui regarde régulièrement la poitrine de Nina. En effet elle a les tétons qui pointent bien. À un moment Nina se baisse pour attacher les chaussures d’Alexandre. Ses seins sont totalement visibles par l’ouverture de son débardeur. Je mate allégrement… et je ne suis pas le seul. Puis nous déposons son sac et allons pas tarder à partir. Je fais un câlin à Alexandre puis c’est Nina. Elle se penche et de dos nous avons une belle vue sur son string. Quel magnifique jeu !

Nous partons et Nina me demande si elle peut conduire. C’est rare mais pourquoi pas. Je m’installe côté passager. C’est inhabituel. Je bricole un peu sur mon téléphone puis le pose. Je pose mes mains sur sa cuisse droite. Elle me sourit. J’ai les yeux braqués sur cette magnifique femme qui m’accompagne depuis vingt ans. Elle me sourit de nouveau et me dit :
- Pourquoi tu me regardes comme ça
- Tu es belle
- Merci
- Tu es parfaite
- Il ne faut pas exagérer
- Mais si. Tu as des cheveux magnifiques dis-je en lui passant la main dans les cheveux, des yeux bleus d’une profondeur incroyable, un petit nez tout mignon, de fines lèvres qui donnent envie d’embrasser. Quel visage sublime j’ajoute en caressant sa douce joue.
- Quel flatteur
- Non juste réaliste. Et alors si je te parle de ce corps. Des épaules solides sur lesquelles je peux m’appuyer, de beaux seins à lécher, un ventre rond à caresser. Tiens tes seins ont reconnus que je parlais d’eux ils pointent dis-je tout en passant ma main sur le t-shirt.
- Arrête je conduis. Ne me déconcentre pas.
- Comment ne pas être subjugué par une telle œuvre d’art. Mais le chef d’œuvre arrive. De larges hanches qui ont donné la vie à un être extraordinaire, des cuisses généreuses à palper et confortables pour poser la tête, un puit de plaisir avec une source intarissable et le clou du spectacle des fesses bombées et larges particulièrement mises en valeur par de magnifiques lingeries comme aujourd’hui.
- Tu as déjà remarqué ce que je porte
- Oh que oui. Et je ne lui pas le seul
- C’est-à-dire
- Que le père de Jean l’a remarqué aussi
- Ah bon ?
- Ah oui il ne t’a pas lâché du regard
- Je n’ai pas vu
- Normal c’est quand tu te penches qu’on voit tes voluptueuses formes.
- Et alors ça t’a fait quoi ? dit-elle en posant la main sur mon entrejambe
- De la fierté. Moi j’aime voir les autres hommes te désirer tant que cela reste à cette étape
- En tout cas tu sembles bien dur
- En effet te contempler me fait toujours autant d’effet même vingt ans après
- Et si nous en profitions que je conduise pour une fois pour que tu déboutonnes ton pantalon
- Pourquoi pas. Les rôles sont inversés par rapport à d’habitude.
- Allez, tombe le pantalon mon amour

Je déboutonne mon pantalon et le baisse ainsi que mon caleçon. Nina passe sa main droite sur mon sexe puis mes testicules et attrape ma cuisse qu’elle écarte. Mais elle se retrouve bloquée par mon pantalon sur mes genoux. Elle me demande de libérer ma cuisse. Je baisse mon pantalon jusqu’à mes chevilles et enlève mon pied gauche. Elle peut maintenant écarter ma cuisse et la remonter sur le côté du siège. Elle palpe mes cuisses de rugbyman en me disant :
- Que je les aime ces belles cuisses robustes. Surtout avec ces jolis tatouages.
- Tiens c’est rare que tu me fasses des compliments sur mon corps
- C’est vrai, excuse-moi. Pourtant je l’aime ton corps
- Ah oui et qu’est-ce que tu aimes particulièrement ?
- Tes cuisses comme je viens de te le dire. Ton ventre aussi.
- Ah bon ? Pourtant je n’ai pas de tablettes de chocolat dis-je en soulevant mon t-shirt et en regardant mon ventre légèrement bedonnant
- Je l’aime ton petit bidou et surtout quand je remonte vers ses larges épaules dit-elle en glissant sous mon t-shirt et en tirant dessus pour me faire comprendre de l’enlever
- Je suis déjà à moitié nu tu ne veux quand même pas que j’enlève le haut
- Oh que si j’ai envie de voir ton corps
- Et si quelqu’un me voit
- Il se dira « quel beau gosse »
- Ça je n’en suis pas sûr
- Oh que si. J’ai envie que le monde entier te voie nu et sache quelle chance j’ai d’être avec toi

Je suis touché par cette trop rare déclaration d’amour. Si bien que je m’exécute et enlève mon t-shirt. Me voilà donc entièrement nu dans la voiture. Nina sourit et passe sa main sur mon corps. Elle part de mon torse, descend sur mon ventre, bifurque sur mes cuisses avant d’attraper mon sexe. Elle le caresse du bout des doigts. Je suis déjà humide. Elle le voit et passe ses doigts sur mon gland qui continue de perler. Elle masturbe doucement mon gland et le décalotte petit à petit. Cela doit faire 15 ans que cette situation n’est pas arrivée. Autant je caresse souvent Nina quand elle est sur le siège passager, autant l’inverse n’est pas vrai, vu que c’est toujours moi qui conduis. Je décide alors de débrancher mon cerveau et de me laisser aller à ces caresses.

Je pose ma main sur sa grosse cuisse alors qu’elle continue de me caresser tendrement. J’écarte les cuisses de façon à augmenter mes sensations. Nina les caresse puis revient sur mon pénis. Elle le masturbe avec une grande délicatesse. Je ferme les yeux pour mieux ressentir les caresses. Que c’est agréable ! Je sens que mon corps ne supportera pas longtemps ce traitement. Mon gland est humide à souhait. Nina le découvre entièrement et le titille de ses doigts. Puis je sens la voiture ralentir puis s’arrêter. Je m’attends à sentir ses lèvres se poser sur mon membre engorgé. Je garde donc les yeux fermés pour sentir pleinement ce contact. Mais ce contact n’arrive pas et j’entends la vitre de la voiture se baisser. J’ouvre les yeux et vois deux femmes âgées qui regardent dans la voiture avec des yeux ébahis. Tout en maintenant sa main sur mon membre dressé Nina leur demande la route. Je n'y crois pas elle m’exhibe devant ces femmes. Je suis scotché entre un sentiment de honte et d’excitation. En revanche mon sexe n’a jamais été aussi gros et est particulièrement bien mis en valeur avec mon gland décalotté. Nina continue ses mouvements et je sens que l’excitation prend le dessus. Surtout quand Nina leur donne l’autorisation de toucher. La plus jeune des deux qui doit avoir soixante ans se précipite à la fenêtre et pose sa main sur mes cuisses. Elle remonte vers mes testicules qu’elle soupèse puis finit par attraper ma tige. Nina la lâche pour lui laisser la place. J’ai une vue plongeante vers le décolleté de cette sexagénaire. Elle voit mon regard et libère ses seins de plutôt belles dimensions mais un peu fripés. C’est est assez pour moi et j’éjacule entre ses doigts. Mes jets finissent sur mon ventre. Elle en a aussi pas mal sur les doigts. Je reste haletant alors qu’elle lâche mon sexe. Je la vois lécher ses doigts avec gourmandise. Pas sûr qu’elle ait goûté du sperme depuis peu. Nina se détache et se penche vers moi pour prendre mon pénis en bouche. Elle essuie le sperme qui reste dessus et fait quelques légers mouvements pour remettre la peau sur mon gland. Nina remercie les dames pour l’orientation et nous repartons.

J’essuie le liquide collant sur mon ventre alors que Nina est toute sourire. Je prends mon t-shirt pour me rhabiller et Nina me dit :
- Reste nu mon amour. J’ai encore envie de te contempler
- De me contempler ou de m’exhiber ?
- Les deux.
- Ça te plaît que d’autres femmes fantasment sur ce magnifique corps d’Apollon ?
- Oui c’est une fierté pour moi
- Et ça t’a excité ?
- Oh que oui
- Tu es humide là ?
- Humide n’est plus le mot. Je pourrais essorer mon string
- Ah oui ? dis-je en posant ma main sur son entrejambe
- Oh que oui. Je vais avoir du mal à attendre ce soir
- Qui sais peut être que je t’attraperais au détour d'un chemin
- Je ne demande que ça….

Puis nous arrivons bientôt à destination. Je me rhabille avant que nous n’atteignions le parking. Nous sortons pour nous préparer à partir marcher. Nina attrape ses chaussures de marche dans le coffre, les met et pose son pied sur le coffre pour attacher ses lacets. Cela comprime ses cuisses et ses fesses dans son legging et faire sortir les contours de son string. J’en profite pour caresser ses belles fesses et même glisse sur le devant tant qu’elle a les cuisses écartées. Elle finit d’attacher ses chaussures et se retourne. Nous nous embrassons langoureusement alors que mes mains se régalent de ses fesses. Puis nous partons pour la ballade.

La ballade est superbe. Certaines parties sont dans des sentiers boisés magnifiques, d’autres ont des vues dégagées sur la nature environnante. C’est splendide. Il y a pas mal de montées et de descentes. Nina marche lentement mais cela ne me pose pas de problèmes. Si je suis devant je la regarde monter me rejoindre. Je peux ainsi mater la naissance, voire plus parfois, de ses seins ou ses mamelons par transparence avec le jeu de lumière. Alors si ses tétons pointent c’est un pur bonheur. Mais le mieux c’est quand je suis derrière. Là son fessier majestueux obnubile mon regard. Quand elle grimpe elle a le cul légèrement en arrière ce qui fait ressortir les marques de son string. Mais pas comme certains leggings dont on a l’impression que la propriétaire ne porte pas de pantalon. Là on voit bien les marques mais avec une certaine subtilité enivrante. Elle sait que j’ai les yeux rivés sur son derrière et exagère ses mouvements de hanches ou se penche pour ramasser des cailloux. Quel chef d’œuvre ce postérieur. Je ne m’en lasse pas même après vingt ans à l’avoir vu (et pris) dans tous les sens.

Nina a trouvé sur internet un endroit un peu mystique avec une petite cascade et un bel arbre. Cet endroit se trouve à quelques centaines de mètres du sentier balisé. Mais il n’est pas indiqué sur le chemin et seulement connu des gens du coin… ou de ceux qui s’intéressent à l’exotérisme. Nous sortons donc du sentier et galérons un peu à avancer dans cette nature dense. On voit bien que ce lieu veut rester secret. Grâce aux prouesses d’internet et de la géolocalisation nous arrivons à destination. Effectivement c’est splendide. Un ruisseau coule en cascade puis sur des rochers aux reflets bleus verts. Un arbre majestueux surplombe cette cascade. Son tronc s’emmêle et s’entremêle dans des méandres de bois donnant un côté féerique à ce lieu. J’installe le pique-nique alors que Nina prend quelques photos. Puis elle me rejoint et nous mangeons. J’ai fini de manger avant Nina et je viens me placer assis derrière elle en collant mon bassin contre ses fesses.

Je passe mes mains sur ses cuisses puis je décide de l’embêter un peu. Je remonte mes mains sous son débardeur jusqu’à découvrir ses seins. Je les caresse tendrement et ils réagissent sous mes doigts. Nina s’appuie le dos contre moi profitant de mes caresses. Un rayon de soleil passe à travers les feuilles et lèche son doux visage et sa poitrine dénudée. Le moment est exquis. Mais j’ai envie de plus donc je décide de la chauffer :
- Alors comme ça tu aimes me voir caresser par une autre femme lui dis-je en pinçant légèrement ses tétons
- Oui c’est vrai que ça me plaît bien
- Toi qui étais si jalouse à nos débuts
- Je lui suis toujours. Mais tant que je sais que c’est purement physique cela ne me gêne pas. C’est si ça devenait sentimental que ça me poserait un problème
- Alors que tu vois pour moi, même que physique c’est dur
- Pourtant nous avons passé un bon moment l’autre jour avec les jeunes auto-stoppeurs
- Ça a été compliqué au début puis j’ai pris ça comme un jeu. Tu vois je préfère largement un moment comme ça. Je peux caresser ton merveilleux corps
- Alors caresse je suis tout à toi me dit-elle en s’appuyant contre moi et en écartant les cuisses comme une invitation.
- Et là aussi je suppose je lui réponds en glissant ma main dans son legging et son string
- Oh oui surtout là
- Ah oui quand même lui dis-je en sentant sa rivière abondante. Tu es comme ça depuis ce matin ?
- Non, dit-elle en rigolant. Je me suis fait un petit film tout à l’heure
- Ah oui raconte moi je lui susurre tout en la pénétrant de deux doigts
- Nous étions ici. Je prenais de photos de toi en tenue d’Adam dans cet endroit paradisiaque
- Ah oui et ça t’excitait ? lui dis-je tout en titillant son clitoris
- Oh oui. Tu étais si beau. Puis après t’avoir mitraillé je m’avançais vers toi et m’agenouillais pour te prendre dans la bouche
- Ça, ça me plaît je l’interromps en accélérant le mouvement de mes caresses
- Je te mangeais sans vergogne puis tu arrachais mes vêtements et me prenait par derrière contre cet arbre. La prise était à la fois douce et ferme jusqu’à ce que tu jouisses en moi dans un orgasme simultané continue-t-elle avec le souffle de plus en plus court

Je la masturbe comme je sais qu’elle préfère tout en effleurant ses seins toujours nus. Elle serre les jambes emprisonnant ma main mais je ne m’arrête pas. Je lui tourne la tête pour l’embrasser et elle finit par avoir des convulsions. Elle manque de me mordre au moment où l’orgasme la submerge. Elle reste un peu groggy alors que mes mains passent sur son corps avec tendresse. Elle est dans les vapes. Je crois que j’y suis allé un peu trop fort. Moi qui voulais la prendre en levrette à même le sol ou debout contre l’arbre c’est loupé. Dans cet état je ne pourrais avoir qu’un missionnaire sans participation. A moins que…

J’ai une idée pour relancer la machine. Je la laisse bien reprendre ses esprits puis me lève je lui dis :
- Alors comme ça tu fantasmais sur le fait de me prendre en photo. C’était où par-là ?
- Oui entre autres. Mais…. Pas dans cette tenue
- Ah bon et comment alors ?
- Avec moins de vêtements
- Montre-moi alors

Nina me regarde d’abord un peu dubitative. Puis je lui souris et elle comprend que je suis prêt à rentrer dans son jeu. Elle se lève et vient vers moi. Elle attrape le bas de mon t-shirt et me l’enlève en disant déjà sans ça. Puis elle passe ses bras autour de mon cou, m’embrasse puis descend ses mains sur mon torse. Elle arrive à mon pantalon, le déboutonne et le baisse ainsi que mon caleçon. Mon sexe bien dressé jaillit au niveau de son visage. Satisfaite de ce qu’elle trouve elle attrape mon pénis d’une main, lui fait un bisou puis se relève en me disant que c’est dans cette tenue qu’elle m’imaginait. Puis elle me demande d’aller me placer à côté de la cascade. Je le fais et démarre alors une séance photo nu dans la nature. Nina me dirige sur les endroits où elle veut que je me mette ainsi que sur les poses. Elle me prend sous tous les angles avec la cascade, le ruisseau ou l’arbre. L’instant est plutôt plaisant pour moi malgré ma nudité sur laquelle je ne suis jamais trop à l’aise. Mais devant la femme de ma vie et pour son plaisir, ce n’est pas désagréable. Je ne sais pas combien de temps dure le shooting mais Nina doit prendre des milliers de photos de moi. Je l’imagine ruisselante et pense à comment je vais la prendre en suivant.

Nina me fait grimper dans l’arbre et continue de me photographier. Elle se prend au jeu et je dois l’avouer moi aussi. Tellement que nous n’avons pas entendu des personnes arriver. C’est quand ils arrivent à la hauteur de Nina que nous les repérons. Il s’agit d’un couple de cinquantenaires. La femme porte un short beige, un t-shirt rouge qui semble compresser une poitrine déjà peu généreuse. L’homme porte un short de sport bleu foncé et un t-shirt marron. Tous deux me regardent perché dans mon arbre sans vêtements. Nina leur explique que la féerie de l’endroit nous avait donné envie d’improviser une séance photo. Dans ma position et ma hauteur ils ne voient pas mon intimité. Je demande à Nina de m’envoyer mon caleçon mais elle refuse avec un sourire malicieux. Je vois qu’elle veut continuer à m’exhiber. Je descends donc de mon arbre comme je peux, cache mon sexe dans mes mains et vais vers mes vêtements. Nina attrape mon caleçon et le met au-dessus de sa tête en me disant qu’il faut payer le droit de péage. Je l’embrasse furtivement mais elle attrape mes fesses, me colle contre elle et m’embrasse langoureusement. Je décide de rentrer dans son jeu et l’embrasse en passant mes mains sur ses fesses. Mon sexe est collé contre elle et n’est toujours pas visible.

Nina demande à la dame si ça la dérange de prendre une photo. Elle dit que non au contraire elle adore prendre des photos. Nina passe ses mains derrière mon cou et nous nous embrassons sensuellement. La femme nous prend en photo alors que le mari semble agacé de la situation. Puis me vient l’idée de piéger Nina à son propre jeu. Je remonte de ses fesses vers le bas de son débardeur que j’attrape et lui enlève. Elle me regarde surprise mais je colle nos torses et continue de l’embrasser. Notre photographe du jour continue de nous mitrailler. Puis j’attrape le legging de Nina et le baisse. La voici en string dans la nature. Je me tourne vers le couple et alors que la femme continue de prendre des photos, je vois que le regard de l’homme a changé et est d’un coup plus intéressé. Nous prenons des photos dans différents angles et positions de câlins. Mais toujours avec beaucoup de sensualité et de glamour. Le paysage change aussi avec un coup la cascade dans les bras l’un de l’autre ou l’arbre en se prenant dans les bras par derrière. Je pense que les photos seront magnifiques. Enfin j’attrape les deux côtés du string de Nina et le retire pour prendre des photos de nous entièrement nus. Je regarde notre photographe et alors qu’elle est accroupie pour prendre un angle je vois une tâche au milieu de son short. Le mari a lui une bosse qui déforme son short. Je crois que ce soir il n’y a pas que nous qui feront l’amour.

Après quelques clichés nus nous finissons par nous rhabiller. Nous remercions le couple et repartons. Décidément je n’aurais pas réussi à prendre Nina dans cet endroit paradisiaque. Nous atteignons après quelques minutes le sentier puis Nina se rend compte qu’elle a oublié son sac qu’elle avait posé là où nous avons mangé. Je râle mais repars en arrière le chercher. J’arrive près du lieu et surprends le couple en train de faire l’amour. Ils sont tous deux nus et l’homme prend sa femme en levrette debout contre l’arbre. Exactement comme je voulais faire. La femme a les mains posées sur l’arbre et l’homme la pilonne comme un forcené. Les seins de la quinquagénaire, plus généreux que ce que je pensais, se balancent largement. Je prends mon téléphone et filme la scène. La femme finit par jouir en tremblant. Elle tombe sur le sol laissant le sexe de son mari dressé. Il est plutôt de taille impressionnante. Cela aurait plu à Nina. Le mari, qui n’a pas fini, se positionne au-dessus de sa femme et la pénètre à même le sol. Je ne perds pas une miette de la scène. Je bande bien dur et glisse une main dans mon pantalon pour me caresser un peu. Puis je suis intrigué par leur position je zoome et vois qu’en fait il est en train de la sodomiser. Et vu la taille du pénis elle doit bien le sentir passé. Après quelques mouvements j’entends l’homme gémir. Je pense qu’il a éjaculé dans son anus. Je coupe le téléphone, ramasse discrètement le sac de Nina et repars. Je ne pense pas qu’ils m’aient vu.

J’arrive au sentier où Nina m’attend. Elle voit que j’ai un peu de difficulté à marcher et me demande pourquoi j’ai mis autant de temps. Je sors mon téléphone et lui montre la vidéo. Elle me dit :
- Ah oui ils n’ont pas perdu de temps. La chance !
- A qui le dis-tu. C’est exactement ce dont j’avais envie
- Elle encaisse bien la mamie
- Mamie tu n’exagères pas un peu ?
- Non en revanche j’aimerais bien avoir sa poitrine à son âge
- C’est vrai qu’ils sont jolis
- Ah ça y est-elle a eu son orgasme. Plutôt rapide. Oh pas mal le sexe du papi !
- Je savais que ça te plairait
- Oh que oui. Et il a l’air de savoir s’en servir
- Oui surtout par où il la prend
- Quoi il lui a mis dans le cul ?
- Oui et il jouit même dedans
- Purée. Déjà que j’étais chaude là je suis en feu. Tu ne veux pas que nous trouvions un coin tranquille j’ai envie de toi
- Si moi aussi j’ai envie de toi. Tu veux que nous rentrions au logement
- Non j’ai envie de le faire dehors. J’aurais même envie de trouver un coin de rivière tranquille où nous puissions se baigner nus et faire l’amour sur la plage
- Sympa comme proposition. Attends je regarde sur internet.

Je regarde et trouve le point le plus proche de la rivière. Nous nous mettons en route et finissons par l’atteindre. Il s’agit d’une petite plage plutôt sympathique et surtout pas facile d’accès. Nous ne devrions pas être dérangé. Nous posons nos affaires sur la plage. Nina se déshabille aussitôt et rentre dans l’eau. Qu’elle est belle ! Mais l’eau semble toutefois un peu froide vu la forme qu’ont pris ses seins. Elle me regarde dans un sourire d’invitation. J’enlève mes vêtements et commence à rentrer dans l’eau. Effectivement elle est un peu froide mais ça va. Il reste toujours les parties les plus sensibles à passer. Je prends mon courage à deux mains et plonge. Quand je ressors mon sexe a rétréci. Nina le voit et sourit. Elle s’approche de moi et le prend dans ses mains soi-disant pour le réchauffer.

Le résultat est sans appel. Instantanément mon pénis retrouve une taille décente. Nina sourit de son efficacité et s’accroupit dans l’eau afin de l’embrasser. Au contact de ses douces lèvres celui-ci retrouve une belle vigueur. Alors quand elle plonge sa bouche dessus il récupère toute l’excitation de la séance photo. Nina est satisfaite et attaque une fellation dans l’eau. Mais, toutefois malgré un contexte innovant, ce n’est pas très confortable pour elle. Elle se relève et me traîne par le sexe sur le bord de l’eau. Je regarde autour, personne à l’horizon. Là je m’allonge sur l’herbe et Nina se met à genoux afin de continuer ses caresses buccales. Mais vu mon niveau d’excitation je l’arrête rapidement car sinon je ne serai plus en état de lui faire l’amour. Elle sourit en me chevauchant car elle adore me savoir au bord de la rupture. Elle s’empale sans aucune préparation pour elle mais vu la facilité d’insertion cela aurait juste pour le plaisir. Elle rebondit fièrement sur moi étalant son plaisir sans pudeur. J’attrape ses seins bondissants puis fermement ses hanches. Puis rapidement cette position me fait mal au dos. Je veux alors bouger Nina mais elle me plaque et intensifie ses mouvements. Peu de temps après elle jouit et s’effondre sur moi. Mais finalement je ne suis pas arrivé au bout.

Je m’extraie de dessous et Nina tombe sur le sol. Je me place derrière elle et lui tire les hanches pour lui relever les fesses mais elle reste groggy et grogne même un peu. Mais je n’ai pas envie de rester comme ça j’ai besoin de finir. Je glisse donc ma main sous elle et récupère de son abondante cyprine sur les doigts et enduit son anus. Puis je présente mon sexe devant cette entrée plus accessible et la pénètre. Elle souffle, mais vu les gémissements, semble apprécier. J’attrape ses belles fesses et la prends à même le sol. Dans cette situation particulière et après la scène ultra excitante de la séance photo je jouis rapidement. Je sors et veux éjaculer sur ses fesses. Mais je suis surpris par la puissance des jets qui couvrent certes ses fesses mais aussi son dos et même l’arrière de sa tête.

J’entends quelque chose bouger dans les fourrés. Est-ce un animal ou un voyeur ? J’observe mais ne vois rien. Je me couche à côté de Nina et nous restons quelque peu comme ça. Puis je retourne dans l’eau pour me rincer et vais m’habiller. Je ne suis quand même pas super à l’aise nu à l’extérieur contrairement à Nina qui ne semble pas s’en préoccuper. Même avec du sperme sur elle, elle est sereine. Je me couche à côté d’elle. Puis j’entends du bruit et des voix derrière nous. Un groupe de 6/7 personnes arrive. Je secoue Nina pour qu’elle se rhabille. Elle se lève, nullement gênée même avec tout ce sperme sur son dos et ses fesses et va se rincer dans l’eau sous le regard ébahi des arrivants. Les garçons semblent bien intéressés, les filles un peu plus outrées. Mais Nina continue de se baigner nue puis remonte sans pudeur. Elle se sèche, s’habille et nous partons. Décidément ces derniers temps l’élève a dépassé le maître et pas qu’un peu… et je ne suis pas sûr que cela me plaise beaucoup. En passant devant les fourrés qui avaient bougé tout à l’heure je vois du sperme sur les feuilles. Quelqu’un était bien en train de nous mater et s’est fait un petit plaisir.

Nous rejoignons le sentier et finissons notre balade sans trop parler. Nous arrivons à la voiture, changeons de chaussures et allons au logement. La propriétaire n’est pas là mais nous a laissé les clés pour accéder à notre chambre. Éprouvé par la journée je pars directement à la douche. Pendant ma douche je repense aux derniers événements et notamment ceux de cette journée. Autant la séance photo ou faire l’amour sur la plage entrent parfaitement dans les jeux qui m’excite, autant le côté exhibe qui se fait masturber par des inconnues ou le fait de se montrer nue le corps couvert de sperme est au-delà de mes envies. J’ai l’impression que Nina se libère de plus en plus dans le domaine sexuel mais je crains de ne pas suivre. Pendant longtemps j’étais très excité et un peu gêné, mais là la balance penche dans l’autre sens. Je finis ma douche et me plonge dans les draps, nu. Quelle douceur. Je finis par m’endormir.

A un moment je suis réveillé par des voix. Nina doit discuter avec la propriétaire. Elles ont l’air de rigoler. Tant mieux si la proprio est sympa. Je me rendors puis me réveille plus tard. J’entends le bruit de l’eau de la douche. Nina doit prendre sa douche. Puis je me rendors de nouveau. Je sens pendant mon sommeil le délicieux corps de Nina contre le mien. De manière non contrôlée mon sexe se dresse contre ses fesses nues. Je la prends dans mes bras et me rendors de nouveau. Je suis ensuite réveillée par un contact doux sur mon sexe. Je reconnais la langue de Nina qui parcourt mon pénis. Celui-ci réagit à cette caresse et se dresse. Je soulève le drap et Nina me regarde avec un grand sourire avant de plonger sur mon membre gonflé. Elle me prodigue une fellation dont elle a le secret. Elle glisse la langue vers mon anus. J’enlève alors le drap et relève les jambes pour lui laisser un accès plus facile. Elle lèche ma rondelle tout en caressant mes testicules. Elle se caresse un peu et revient vers mon anus. Je comprends qu’elle a enduit ses doigts de cyprine pour faciliter l’insertion. Elle me doigte alors qu’elle reprend mon sexe en bouche. Quel super réveil surtout après les pensées que j’ai eu pendant la douche. Je me laisse complètement aller à ses caresses. Je suis bien entre ses doigts et sa bouche. Vu que j’ai déjà joui deux fois aujourd’hui je suis plutôt résistant et profite de ce moment extraordinaire. Tout en maintenant ses doigts en moi Nina me grimpe dessus m’offrant son postérieur. Je le caresse et apprécie la belle vue mais je n’ai pas envie de la lécher. Je préfère me concentrer sur mon plaisir. D’ailleurs celui-ci arrive sans trop tarder. Je bouge mon bassin pour mieux ressentir la douceur de sa bouche et finit par jouir. Cela n’arrête pas Nina qui continue de me sucer et de masser ma prostate. L’orgasme se prolonge pour moi et je n’en finis plus d’éjaculer. Une fois complètement vidé Nina se relève et vient se coucher contre moi. Je pose mes mains sur son merveilleux corps et lui dit :
- Merci pour ce super réveil. Ça fait du bien
- Avec plaisir. Ton sexe a réagi à ma présence et je n’ai pas pu résister
- Ne résiste pas dans ces cas là
- Oui surtout que je suis bien chaude aujourd’hui
- J’ai pu voir ça effectivement
- Encore plus depuis que nous sommes revenus
- Ah bon ?
- Oui dans la douche j’ai repensé à notre journée et n’ai pas pu m’empêcher de me masturber.
- C’est bien
- Oui et aussi en pensant au reste de la soirée
- C’est-à-dire
- J’ai discuté avec la propriétaire tout à l’heure et en fait nous la connaissons
- Ah bon ! Qui c’est ?
- Tu te rappelles la femme qui nous a indiqué la route ce matin ?
- Oui dis-je d’un ton dubitatif
- Eh bien nous sommes chez elle
- No way. Je ne descends pas de la soirée
- Pourtant il va bien falloir elle nous a invité à dîner
- Pardon ?
- Oui et j’ai accepté
- Je ne peux pas me montrer devant cette femme. J’ai trop honte
- Tu n’as pas à avoir honte. Elle garde un super souvenir de toi. Mais je ne t’ai pas tout dit
- Quoi encore ?
- Ce dîner est… un peu particulier. Elle a invité aussi quelques copines et… c’est un dîner naturiste
- Tu rêves. Tu comptes m’exhiber devant des vieilles ?
- C’est un peu l’idée oui
- Mais ça ne va pas dans ta tête !
- Pourquoi. Ça m’excite de savoir que toutes ses femmes vont fantasmer sur toi
- Et quoi de plus. Tu ne voudrais pas aussi que je les baise
- Non ! Juste que tu les laisse palper la marchandise
- La marchandise. On dirait que je suis à vendre. Tu me prends pour un gigolo ?
- Non il n’y a pas d’argent. Juste un fantasme pour moi…
- Encore heureux qu’il n’y ait pas d’argent. Il ne manquerait plus que ça. Mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
- Je te demande d’assouvir un fantasme
- Et c’est lequel ?
- Celui de voir des femmes m’envier car je suis avec l’homme le plus extraordinaire du monde
- La flatterie ne marche pas
- Mince me dit-elle dans un sourire. Mais si tu fais ça j’accepterai d’assouvir le plus enfoui de tes fantasmes quel qu’il soit
- Je ne sais pas si ça vaut le coup
- Pense à tout ce que tu n’as jamais voulu me demander et je le ferais
- Ça te fait vraiment plaisir ?
- Oh oui !
- Et je n’ai pas à coucher avec ces femmes ?
- Non. Elles risquent juste de te mettre la main aux fesses ou de te toucher devant
- J’accepte de te faire plaisir
- Merci mon amour. Je t’aime
- Moi aussi car sinon je ne ferai pas ça. A quelle heure devons-nous descendre ?
- Pour 19h30
- Ça va nous avons encore le temps tu veux que nous nous posions dans le lit ?
- Un peu si tu veux et après j’irai me maquiller

Nous nous enlaçons dans le lit peau contre peau. J’ai du mal à réaliser que j’ai accepté cette demande. Je réfléchis à cette soirée qui risque d’être particulière. Puis Nina se lève pour se préparer et je réfléchis à ce que je vais pouvoir lui demander. Mais comme ça je suis un peu sec. Tous mes fantasmes ont été réalisé au fur et à mesure et à l’heure actuelle je ne vois pas. Nina revient dans la chambre alors que je suis debout en train de ranger des affaires. Elle s’est maquillée les yeux avec un mascara qui fait ressortir ses jolis yeux bleus, un fond de teint très léger qui ne dénature pas son magnifique visage et un rouge-à-lèvres rouge vif qui renforce le côté coquin de la situation. A peine je la vois je bande. Elle le voit et sourit contente de l’effet qu’elle provoque en moi. Elle s’approche et pose ses mains sur mon sexe et le caresse tendrement. Puis elle s’accroupit et pose délicatement ses lèvres dessus. Elle le lèche sur tout son long puis l’enfourne au plus profond de sa gorge. Je suis aux anges. Comme motivation il n’y a pas mieux. Elle me caresse ainsi puis remonte m’embrasser. En regardant mon sexe je vois des traces de rouge à lèvres dessus. Nina rigole et me dit que comme ça elles sauront que je suis à elle. C’est l’heure de descendre dans la fosse aux lionnes…

Nina passe devant moi. Elle descend l’escalier la tête bien haute. Tout le contraire de moi qui commence même à avoir le sexe en berne. J’arrive en bas de l’escalier et là surprise. Moi qui m’attendais à avoir 2/3 femmes c’est 8 paires de yeux qui me scrutent. J’ai devant moi toutes formes de femmes. Certaines minces voire maigres, d’autres plus enveloppées et une même obèse. Tous le types de seins sont aussi représentés : des œufs au plat, des poires, des qui tombent sur le ventre ou de beaux seins qui tiennent bien. Enfin j’ai aussi de tout au niveau toison pubienne : des entretenues aux sauvages et même une sans rien. Dans l’attitude certaines ont l’air gênées, d’autres pas du tout. Le seul point commun est leur âge plutôt avancé. La plus jeune semble avoir au mieux 55 ans et la plus âgée a dû passer les 70 ans. Nina remarque mon arrêt et mon mal être. Elle revient vers moi, m’embrasse en me mettant les mains aux fesses. Inexorablement mon sexe se redresse et Nina le sent contre elle. Satisfaite de pouvoir me montrer sous mon meilleur jour elle me prend par la main et m’emmène dans l’arène.

Les yeux sont rivés sur mon pénis ce qui me met très mal à l’aise. Notre hôte du soir vient me faire la bise en me disant qu’elle est ravie de me revoir. Elle ne manque pas de coller son corps contre moi et mon sexe touche son ventre alors qu’elle pose sa main sur mes fesses. Ses copines sourient et viennent toutes les unes après les autres me faire la bise en laissant traîner leurs mains sur mes hanches, mes fesses et même ma verge. Je ne débande pas de ce moment plutôt excitant. Puis nous prenons l’apéro comme si de rien n’était. Je ne peux m’empêcher de regarder ces visages et corps ridés. J’arrive à trouver en chacune quelque chose de beau : les yeux, les seins ou encore les fesses. Nina est fière de m’exhiber comme ça et ça se voit. Régulièrement elle vient me caresser aux endroits stratégiques pour maintenir mon sexe dans un état présentable.

Puis nous passons à table et là c’est moi qui mate toutes ses paires de seins. Certaines pointent encore d’excitation, d’autres sont retombés ce qui amplifie le côté tombant. Nina pose ses mains sur mes cuisses et même parfois caresse mon sexe. J’ai également ma main sur sa cuisse et glisse parfois prendre son humidité qui reste constamment haute. Le repas est plutôt sympathique malgré la nudité inhabituelle. Puis vient l’heure du dessert. Il s’agit d’un gâteau fait maison type brioche. Il n’est pas très bon et surtout très sec. Nina pose sa main sur ma cuisse et remonte vers mon sexe en me disant qu’elle y mettrait bien un peu de crème. Elle attrape délicatement mon pénis qui grossit de nouveau entre ses mains. Mais contrairement au reste du repas elle ne lâche pas sa prise. Les autres femmes le voient bien et ne nous lâchent pas du regard.

Nina continue de me caresser tendrement et voit que mon sexe bave de cette situation. Elle prend ça pour un signe et pousse ma chaise m’éloignant de la table. Elle se lève et se penche sur ma verge. Elle la prend dans sa bouche dans un sourire. Elle la fait coulisser entre ses douces lèvres écarlates. Puis elle sort sa langue qu’elle passe sur mon gland turgescent. Nos spectatrices ont du mal à voir correctement, gênées par les grosses fesses de Nina. Je la fais s’agenouiller devant moi afin de leur laisser une vision claire. Nina continue de s’amuser avec mon membre gorgé de plaisir. Elle passe sa langue sur toute sa circonférence puis descend sur mes testicules. Elle remonte mes cuisses et les écarte. Elle enduit ma rondelle de salive puis y glisse un doigt devant le regard ébahi de nos hôtes. Elle reprend mon sexe en bouche tout en me doigtant. L’instant est exquis. Nina sort mon pénis de sa bouche et me regarde avec un immense sourire tout en léchant mon gland. Elle s’éclate réellement. Et je dois avouer que je ne boude pas mon plaisir. Je profite longuement de ce moment bien aidé dans mon endurance par cette journée déjà riche en éjaculations. Je regarde les autres femmes qui sont captivées par cette extraordinaire fellation. Je vois même certaines qui semblent avoir leur main entre leurs cuisses. Je les imagine toutes mouiller abondamment. Elles veulent du spectacle… elles vont en avoir.

Je fais lever Nina et la retourne. Elle se penche sur la table et je lui écarte les cuisses. Je descends mon visage à hauteur de ses fesses. Je glisse ma langue sur le bas de son dos, parcours sa raie des fesses jusqu’à atteindre son vagin. Celui-ci est au bord de l’explosion tellement il est gorgé de cyprine. Je goûte à cette excitation qui me fait toujours perdre la raison. Nina soupire, soulagée de ce premier contact. Je me délecte de ce nectar puis insère deux doigts d’un coup en elle. Elle est tellement excitée que je suis aspiré au fond sans effort. Alors que je la masturbe, ma langue vient titiller son anus. Je l’ouvre de mes caresses et y engouffre un doigt. Elle est maintenant remplie des deux côtés pour son plus grand plaisir.

Après cette courte mais excellente préparation (je ne veux pas qu’elle jouisse trop vite) je dirige mon sexe entre ses fesses. Mais contrairement à l’habitude et à ce qu’elle attend c’est sur son anus que j’exerce une pression. Son niveau d’excitation et d’envie fait que je rentre facilement dans ce trou habituellement étroit. Nina se redresse et lâche un cri de surprise. Je la défonce sans ménagement devant les visages stupéfaits de nos voyeuses du jour. J’entends dans les cris de Nina qu’elle prend son pied comme rarement. Elle passe une main sous elle et se caresse le clitoris. Je sens que sa masturbation combinée à la sodomie lui fait monter le plaisir. Mais ce n’est pas comme ça que je veux la faire jouir.

Je sors de son anus et la retourne. Je pousse tout ce qu’il y a sur la table pour allonger Nina dessus. Je lui écarte les jambes et vois son vagin détrempé de cyprine. Elle mouille comme rarement surtout après uniquement du sexe anal. Je m’introduis dans ce cocon douillet. C’est chaud et tellement humide. Après son anus cela me semble si large et confortable. Mais je ne suis pas là pour divaguer mais pour donner des souvenirs inoubliables à nos spectatrices. J’attrape donc l’arrière des genoux de Nina, lui écarte grand les cuisses que je remonte vers son ventre. Je la pénètre dans cette position qui me permet d’atteindre les profondeurs de son être et reprends un rythme soutenu. Nina hurle son plaisir. Je regarde autour et pas mal de nos mamies ont une main entre leurs cuisses et s’activent énergiquement sur leurs vagins trop longtemps oubliés. Voulant maximiser les chances d’orgasme tonitruant je prends une main de Nina et la pose sur son clitoris. Elle comprend le message et reprend ses caresses là où elle les avait laissés. J’attrape fermement ses hanches et la pénètre avec une véhémence animale. Nina hurle de plus en plus laissant poindre l’arrivée imminente de son orgasme. Celui-ci arrive dans un cri à péter les tympans et ne s’arrête pas. Elle se contracte du yoni et mon lingam n’arrive plus à se retenir. Je me déverse alors en elle tandis que ses spasmes se calment un peu. Je ressors et vois que mon sperme va être expulsé de son vagin. J’attrape une assiette avec une part de gâteau et la met sous elle de façon à recouvrir le gâteau de crème. Nina reste quelque peu allongée sur la table avant de se relever. Elle sourit en regardant le gâteau crémé mais ne se démonte pas et en prend une bouchée. Puis elle tend l’assiette à la propriétaire qui en prend aussi un peu et l’assiette tourne entre les mains de ces grannies. Vient pour moi ensuite l’heure de les laisser avant que mon sexe ne prenne une dimension minuscule. Je souhaite bonne nuit à toutes ses dames imaginant la fête qu’elles font faire à leurs maris en rentrant.

Je monte me coucher et m’endors plutôt rapidement après cette journée épuisante mais inoubliable. Je suis réveillé par une sensation familière une langue sur mon sexe. Décidément Nina est insatiable aujourd’hui. Comme moi, mon pénis a du mal à émerger et à prendre une taille raisonnable. Puis une autre sensation connue arrive : une deuxième langue sur ma verge. Je soulève les draps et découvre que Nina a invité la propriétaire dans notre lit. Les deux passent leurs langues sur ma tige qui n’a cette fois aucun mal à se dresser. Nina remonte m’embrasser alors que notre hôte prend mon pénis en bouche. La douceur des baisers de Nina contraste avec la fellation maladroite de Françoise. Nina sent dans mes réactions mon inconfort et descend prêter main forte à notre partenaire qui n’a pas dû faire ça depuis longtemps. Je reconnais la langue habile de Nina qui se perd dans les méandres de peau. Elle indique à Françoise comment faire et c’est maintenant deux langues qui me parcourent pour mon plaisir. C’est une des sensations que je préfère de savoir plusieurs femmes voulant me faire du bien par leurs langues. Je profite de cette double fellation inattendue. Puis Nina remonte de nouveau pour que nous mêlions nos langues dans de sensuels baisers. Les conseils de Nina auprès de Françoise portent leurs fruits et le moment est exquis. Je caresse le délicieux corps de Nina. Je le découvre encore dans un état avancé d’excitation que ce soit au niveau de ses seins ou de son yoni.

Elle ne tarde pas à me grimper dessus et m’offrir son abricot savoureux à lécher. Je me donne à cœur joie dans cet acte magnifique. Je sens que Françoise me chevauche également et me positionne devant son intimité. Mais l’introduction est difficile et je l’arrête car ça me fait mal. Elle ressort et se masturbe mais cela ne semble pas fonctionner… tout le contraire de la rivière abondante de Nina. Nina se relève et va chercher dans notre sac le lubrifiant. Elle le tend à Françoise qui s’en enduit avec une moue dépitée. Elle revient à la charge. Cette fois la pénétration est plus facile même si pas tout à fait fluide. Nina reprend aussi sa place sur mon nez.

Françoise me chevauche et je m’insère de plus en plus profond jusqu’à ce que mes hanches soient en contact avec son entrejambe. Elle rebondit sur moi alors que Nina ondule son bassin sur mon visage. Je sens la cyprine qui recouvre mon visage alors que je continue de stimuler son clitoris de ma langue. Françoise semble apprécier aussi son sort vu les cris qu’elle lâche. Cela doit faire tellement longtemps qu’elle n’a pas touché un sexe d’homme ! Je vais lui montrer ce que c’est de se faire baiser.

Je repousse Nina et sors Françoise. Je la mets à quatre pattes sur le lit et la pénètre d’un coup. J’entreprends de la prendre avec ardeur. Elle hurle tout ce qu’elle peut alors que Nina se masturbe énergiquement en nous regardant. Je défonce cette grand-mère comme si elle avait vingt ans. Mais elle encaisse bien malgré un corps fripé. Je la pilonne jusqu’à ce qu’elle s’effondre de plaisir et de fatigue. J’attrape alors haut ses hanches pour lui donner le coup de grâce. Je regarde Nina se masturber pour faire monter l’excitation en moi. Et comme toujours cela fonctionne plutôt bien. Qu’elle est belle nue en train de se donner du plaisir. Malgré cela j’ai du mal à faire monter la sauce. Surtout que Françoise est maintenant complètement apathique et n’a plus beaucoup de réaction.

J’attrape le tube de lubrifiant, me mets une bonne noisette sur les doigts et les rentre dans son cul. Toujours pas de réactions. Une fois bien préparée je présente mon sexe capoté devant cette entrée interdite. L’insertion est difficile mais entre le lubrifiant et le préservatif j’y arrive. Françoise relève la tête en hurlant. Je crois que c’est la première fois qu’elle se fait prendre par ce trou. Nina attrape la tête de Françoise et la colle sur son vagin. Le conduit est très étroit et je sens que cela va m’aider à finir pour une cinquième fois aujourd’hui. D’ailleurs je ne vais pas trop faire traîner car mon sexe commence à me faire mal.

Je regarde Nina et son visage radieux. Je la regarde bien dans les yeux en attrapant les hanches flasques de la sexagénaire. Elle me sourit en appuyant le visage de Françoise entre ses jambes. Je sens que la sève monte enfin. Je reste plongé dans les yeux de Nina. Qu’est-ce que je l’aime ma femme. Même si je trouve que parfois comme aujourd’hui cela va trop loin je n’envisage pas ma vie et mes expériences sans elle. Envoûté par son regard je sens que je vais jouir. Mais je veux offrir une fin de spectacle digne de cette journée. Je sors donc en express, enlève le préservatif et vient à hauteur des filles. J’embrasse Nina tout en me masturbant. Nina glisse aussi sa main sur son vagin alors que Françoise se recule légèrement et se retrouve en face de ma verge au bord de l’explosion. J’éjacule abondamment tout en gardant ma bouche connectée à celle de Nina. Je sens qu’elle se contracte et jouit également. Quand nous stoppons nos baisers endiablés nous remarquons que nos giclées respectives ont fini sur le visage de Françoise. Elle est repeinte de cyprine et de sperme.

Françoise sort de la chambre et nous nous endormons tendrement l’un contre l’autre éreintés par cette journée.

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Texte coquin : Journée exhib avec fin à 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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