Joyeux Noël !
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Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Joyeux Noël !
Un conte de Noël ? peut être...
- Nicolas, viens ici, tu vas nous faire repérer
- Ils arrivent maman, ils sont au bout de la rue et il ya un char avec eux
- Viens ici toute de suite !
A peine le garçon eut il rejoint sa mère que la murette sur laquelle il était perché explosa
- Voilà, bravo, ils savent que nous sommes là, il faut partir par derrière
Le jeune homme fit le tour de la maison en courant et revint aussi vite en disant
- Ils sont aussi dans la rue derrière, ils arrivent
- Alors, il faut nous cacher, fit elle en prenant son fils par le bras, viens !
Ils entrèrent dans la maison, se dirigèrent vers la cuisine, et là, Clara se baissa pour ouvrir le placard sous la gazinière, débrancha la bouteille de butane et dit à Nicolas :
- jette ça dans le jardin !
- le garçon obtempéra sans discuter et revint près de la femme, a quatre pattes sous le meuble.
- Qu'est ce que tu fais ?
Elle repoussa un panneau contre le mur et dit :
- Viens, rentre là dedans avec moi ! dépêche toi, il faut que je referme…
Le garçon s'installa avec difficulté et dit en chuchotant :
- Où sommes nous là ?
- C'est une cache que ton grand père paternel m'a montrée. Ton arrière grand père trafiquait un peu et cachait sa contrebande ici… fit elle en refermant soigneusement le panneau mobile.
- C'est vachement petit là dedans …
- J'espère que ça sera suffisant pour qu'ils ne nous trouvent pas, sinon, c'est la fin du voyage …
- Tu crois qu'ils vont fouiller la maison ?
- C'est possible, viens sur mes genoux, nous serons moins serrés …
Dans l'obscurité, Nicolas se tortilla pour se décoincer et s'installer sur les genoux de sa mère. En voulant prendre appui sur la cloison, il posa sa main sur la poitrine de la femme.
- Oh excuses moi maman, j'ai pas fait exprès
- C'est pas grave, es tu bien installé ?
- Ça va, mais c'est pas un quatre étoiles, il n'y a pas beaucoup de place …
- Tant que ça nous sauve la vie …
A l'extérieur, un soldat venait d'entrer dans le jardin un lance flammes en ordre de marche dans les mains. Avisant la bombonne de butane, il eut l'idée saugrenue de la brûler. Le sergent qui pilotait le groupe se mit à l'invectiver, mais il avait réagi trop tard. Dans une explosion formidable, le soldat fut propulsé dans les airs par un geyser de feu. Ses camarades foncèrent pour lui porter secours, mais ils ne purent que constater sa mort. Dans une colère noire, le sous-officier ordonna à un des autres porteurs de lance-flamme de mettre le feu à la maison. Le soldat exécuta l'ordre et la maison se mit à brûler. Au bout de quelques minutes, la section repris son chemin le long de la rue.
Dans leur cachette, Nicolas et sa mère ont sursauté en entendant l'explosion.
- Qu'est ce c'est demanda Nicolas…
- Je ne sais pas. Peut être ont-ils tiré contre la maison.
Nicolas tenta d'ouvrir le panneau de fermeture et n'y parvint pas. Clara lui demanda de la laisser passer et se tortilla pour passer devant lui. Elle ouvrit le passage, et le referma très vite en reculant.
- Mince, la maison brûle !
- Il faut sortir vite !
- Non, ne bougeons pas d'ici, dit elle en s'asseyant sur les genoux de son fils. Il est fort probable qu'ils soient encore dans la rue. De plus, la maison est très solide et nous ne risquons rien pour le moment, toutes les fenêtres sont ouvertes et les fumées vont partir… Mais il fait terriblement chaud …
- Penches toi sur l'avant maman, que je puisse enlever mon blouson
- D'accord, profites en pour m'aider à enlever ma veste
Elle déboutonna sa veste et se pencha sur les cuisses de son fils. Le garçon avait plié ses jambes trop longues pour tenir dans le réduit exigu, et la femme était assise sur le haut de ses cuisses, un pied de chaque côté des pieds de son garçon. Le jeune homme, glissa ses mains sous les bras de sa mère, frôlant à nouveau la poitrine marmoréenne de la femme. Clara en profita pour faire passer son pullover par-dessus sa tête, ce qui fit remonter son chemisier jusqu'à ses épaules.
Les gesticulations de sa mère, assise sur son bas-ventre commençait à produire un effet involontaire sur Nicolas … Le garçon, se colla à sa mère pour enlever son blouson et son pullover lui aussi, puis passant son bras autour de la taille de la femme, il l'attira en arrière pour s'adosser contre le fond du réduit et dit :
- Tu as raison maman, il fait une chaleur à crever …
- C'est mieux que d'avoir froid, surtout que nous sommes en décembre et la neige va arriver très vite…
- Nous sommes la veille de Noël, et j'espère ne pas mourir de faim dans ce placard…
- Moi aussi et je commence à avoir faim …
Clara ne pouvait plus ignorer le début d'érection de son fils, qui avait posé ses mains sur son ventre dénudé par l'enlèvement de son pull. Elle essaya de se faire plus légère, mais Nicolas, caressait doucement son ventre.
- Tu as la peau toute douce maman
- Oui mais là, tu me chatouilles …
- Et là, je te chatouille aussi ? fit il en glissant ses mains le long des flancs en remontant vers les seins de sa mère
- Arrête ! je vais avoir un fou rire et nous allons nous faire repérer …
Clara sentait la virilité durci de son fils entre ses fesses malgré leurs vêtements. Plus d'un an sans activité sexuelle, ajouté à la chaleur et au contact du jeune mâle, elle sentit une bouffée de désir monter dans son ventre.
Nicolas posa quelques petits baisers dans le cou de sa mère et prit ses seins dans ses mains en coques. Clara se raidit et protesta :
- Arrête Nicolas, je suis ta mère !
- Oui maman, excuses moi, mais te sentir là, dans mes bras, posée sur mon ventre, avec ta peu si douce et ta poitrine si ferme …
- Arrête ! Maintenant, il faut aller voir si on peut sortir des ruines sans se faire prendre.
Elle se pencha en avant et fit glisser la paroi coulissante pour sortir. Elle s'avança prudemment à quatre pattes, regardant bien autour d'elle s'il n'y avait pas de danger. La toiture avait du s'écrouler sur l'étage, mais la construction était solide et seuls les meubles et les boiseries avaient brulé. Le garçon la suivit, embarrassé par son énorme érection. Pendant que Clara se glissait furtivement dans le jardinet devant la maison, Nicolas alla voir si les soldats étaient toujours dans la rue derrière la maison. Clara revint et récupéra leurs vêtements chauds dans le réduit en prenant la précaution de bien refermer la cachette.
- Lorsque le garçon revint en annonçant que la rue était vide, elle lui tendit son blouson et lui dit :
- Viens, allons voir à la cave ce que nous pouvons manger, sans l'aide de la gazinière
- A ce propos, l'explosion que nous avons entendue, c'était la bouteille de gaz, et l'explosion a tué le soldat
- Un de moins !
Ils descendirent dans la cave et Clara alluma deux bougies.
- Voyons un peu ce que nous pouvons manger maintenant et ce que nous pouvons emporter. Ils viendront certainement pour tout prendre.
- On pourrait rester ici, nous avons plus de place que dans le petit cagibi
- Non, ils reviendront à coup sûr, et s'ils nous prennent, nous allons passer un moment très désagréable…
Nicolas prit sa mère dans ses bras et posant un baiser sur son front, il dit :
- Je serai là pour te protéger, je suis le seul homme de la famille ….
- C'est vrai, tu es tout ce qui me reste, c'est pour ça qu'il faut fuir, tu ne fera jamais le poids devant des soldats lourdement armés
Nicolas posa sa bouche sur celle de sa mère pour un baiser appuyé
- Sois sage mon Nico, je t'aime beaucoup, mais je suis ta maman …
Le garçon avait passé ses mains sous le chemisier de sa mère et caressait son dos en la serrant contre lui. Délicatement, il fit sauter l'agrafe du soutien gorge, libérant la poitrine gonflée. Il prit sa mère par les fesses et la serra fort contre son érection en forçant les lèvres de la femme de sa langue. Clara lui accorda le baiser en y mettant tout son cœur. Décollant sa bouche de celle de son fils elle s'écarta légèrement et dit:
- Voilà, tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, il faut nous préparer …
- Je sais, mais j'ai très envie de toi. Je sais que depuis que papa a été fusillé, tu n'as laissé aucun homme t'approcher. Je veux faire l'amour avec toi, ça sera notre cadeau de Noël rien qu'à nous deux…
Clara ne répondit pas et donna un baiser brulant à son fils. Nicolas ouvrit le chemisier de sa mère en l'embrassant. Se reculant légèrement, il laissa tomber les vêtements de la femme au sol et dit en caressant les deux globes ainsi offerts:
- Maman, tes seins sont magnifiques, ils sont fermes et en voyant leurs pointes qui durcissent grossissent, je sais que tu as envie…
Il embrassa à nouveau sa mère à pleine bouche en dégrafant la jupe qui tomba aux pieds de la femme. La prenant pas les fesses, il fit glisser la culotte de coton. Clara passa sa main entre eux et retint son dernier vêtement comme pour protéger sa pudeur. Nicolas saisit la main et la fit glisser dans son pantalon sur la verge dressée. Rapidement il se déboutonna et fit glisser son slip et son pantalon le long de ses jambes. Puis refermant les doigts de sa maman sur sa virilité tendue, il la guida pour qu'elle le branle. Clara ferma les yeux et fit coulisser ses doigts sur le membre qui semblait continuer à durcir et grossir.
Détachant sa bouche de celle de son fils, la femme s'accroupit devant lui et prit le sexe du garçon en bouche pour une fellation. Quand il sentit que son plaisir venait, le jeune homme repoussa sa mère, puis il la fit pivoter et l'allongea sur leurs vêtements.
Quand il passa sa langue tout au long de la fente maternelle, Clara écarta largement ses jambes et les replia en les prenant derrière ses genoux. Elle était totalement offerte.
Lorsque Nicolas suça son clitoris tendu, Clara ne put résister et se laissant emporter par un puissant orgasme dans un profond grognement. Nicolas mouilla son gland en passant le long du sexe de sa mère, puis il la pénétra d'un mouvement lent, jusqu'à ce qu'il soit complètement eu fond d'elle. Clara contracta plusieurs fois son vagin sur la virilité de son fils et se laissa emporter par un nouvel orgasme.
Nicolas la pilonnait avec ferveur, et il ne put résister longtemps. A son tour, il se laissa emporter parle plaisir et se vida au fond du vagin maternel.
Les deux amants reprirent leur souffle et Clara roula sur le côté pour chevaucher son fils, menant cette fois leur éteinte. Rapidement ils partagèrent un nouvel orgasme et Clara se redressant sur son partenaire le regarda au fond des yeux et lui dit :
- Joyeux Noël mon garçon !
- Nicolas allait répondre, lorsqu'ils entendirent un léger bruit près d'eux tournant la tête sur le côté, ils eurent juste le temps de voir arriver la grenade qui les emporta, soudés l'un à l'autre pour l'éternité.
- Nicolas, viens ici, tu vas nous faire repérer
- Ils arrivent maman, ils sont au bout de la rue et il ya un char avec eux
- Viens ici toute de suite !
A peine le garçon eut il rejoint sa mère que la murette sur laquelle il était perché explosa
- Voilà, bravo, ils savent que nous sommes là, il faut partir par derrière
Le jeune homme fit le tour de la maison en courant et revint aussi vite en disant
- Ils sont aussi dans la rue derrière, ils arrivent
- Alors, il faut nous cacher, fit elle en prenant son fils par le bras, viens !
Ils entrèrent dans la maison, se dirigèrent vers la cuisine, et là, Clara se baissa pour ouvrir le placard sous la gazinière, débrancha la bouteille de butane et dit à Nicolas :
- jette ça dans le jardin !
- le garçon obtempéra sans discuter et revint près de la femme, a quatre pattes sous le meuble.
- Qu'est ce que tu fais ?
Elle repoussa un panneau contre le mur et dit :
- Viens, rentre là dedans avec moi ! dépêche toi, il faut que je referme…
Le garçon s'installa avec difficulté et dit en chuchotant :
- Où sommes nous là ?
- C'est une cache que ton grand père paternel m'a montrée. Ton arrière grand père trafiquait un peu et cachait sa contrebande ici… fit elle en refermant soigneusement le panneau mobile.
- C'est vachement petit là dedans …
- J'espère que ça sera suffisant pour qu'ils ne nous trouvent pas, sinon, c'est la fin du voyage …
- Tu crois qu'ils vont fouiller la maison ?
- C'est possible, viens sur mes genoux, nous serons moins serrés …
Dans l'obscurité, Nicolas se tortilla pour se décoincer et s'installer sur les genoux de sa mère. En voulant prendre appui sur la cloison, il posa sa main sur la poitrine de la femme.
- Oh excuses moi maman, j'ai pas fait exprès
- C'est pas grave, es tu bien installé ?
- Ça va, mais c'est pas un quatre étoiles, il n'y a pas beaucoup de place …
- Tant que ça nous sauve la vie …
A l'extérieur, un soldat venait d'entrer dans le jardin un lance flammes en ordre de marche dans les mains. Avisant la bombonne de butane, il eut l'idée saugrenue de la brûler. Le sergent qui pilotait le groupe se mit à l'invectiver, mais il avait réagi trop tard. Dans une explosion formidable, le soldat fut propulsé dans les airs par un geyser de feu. Ses camarades foncèrent pour lui porter secours, mais ils ne purent que constater sa mort. Dans une colère noire, le sous-officier ordonna à un des autres porteurs de lance-flamme de mettre le feu à la maison. Le soldat exécuta l'ordre et la maison se mit à brûler. Au bout de quelques minutes, la section repris son chemin le long de la rue.
Dans leur cachette, Nicolas et sa mère ont sursauté en entendant l'explosion.
- Qu'est ce c'est demanda Nicolas…
- Je ne sais pas. Peut être ont-ils tiré contre la maison.
Nicolas tenta d'ouvrir le panneau de fermeture et n'y parvint pas. Clara lui demanda de la laisser passer et se tortilla pour passer devant lui. Elle ouvrit le passage, et le referma très vite en reculant.
- Mince, la maison brûle !
- Il faut sortir vite !
- Non, ne bougeons pas d'ici, dit elle en s'asseyant sur les genoux de son fils. Il est fort probable qu'ils soient encore dans la rue. De plus, la maison est très solide et nous ne risquons rien pour le moment, toutes les fenêtres sont ouvertes et les fumées vont partir… Mais il fait terriblement chaud …
- Penches toi sur l'avant maman, que je puisse enlever mon blouson
- D'accord, profites en pour m'aider à enlever ma veste
Elle déboutonna sa veste et se pencha sur les cuisses de son fils. Le garçon avait plié ses jambes trop longues pour tenir dans le réduit exigu, et la femme était assise sur le haut de ses cuisses, un pied de chaque côté des pieds de son garçon. Le jeune homme, glissa ses mains sous les bras de sa mère, frôlant à nouveau la poitrine marmoréenne de la femme. Clara en profita pour faire passer son pullover par-dessus sa tête, ce qui fit remonter son chemisier jusqu'à ses épaules.
Les gesticulations de sa mère, assise sur son bas-ventre commençait à produire un effet involontaire sur Nicolas … Le garçon, se colla à sa mère pour enlever son blouson et son pullover lui aussi, puis passant son bras autour de la taille de la femme, il l'attira en arrière pour s'adosser contre le fond du réduit et dit :
- Tu as raison maman, il fait une chaleur à crever …
- C'est mieux que d'avoir froid, surtout que nous sommes en décembre et la neige va arriver très vite…
- Nous sommes la veille de Noël, et j'espère ne pas mourir de faim dans ce placard…
- Moi aussi et je commence à avoir faim …
Clara ne pouvait plus ignorer le début d'érection de son fils, qui avait posé ses mains sur son ventre dénudé par l'enlèvement de son pull. Elle essaya de se faire plus légère, mais Nicolas, caressait doucement son ventre.
- Tu as la peau toute douce maman
- Oui mais là, tu me chatouilles …
- Et là, je te chatouille aussi ? fit il en glissant ses mains le long des flancs en remontant vers les seins de sa mère
- Arrête ! je vais avoir un fou rire et nous allons nous faire repérer …
Clara sentait la virilité durci de son fils entre ses fesses malgré leurs vêtements. Plus d'un an sans activité sexuelle, ajouté à la chaleur et au contact du jeune mâle, elle sentit une bouffée de désir monter dans son ventre.
Nicolas posa quelques petits baisers dans le cou de sa mère et prit ses seins dans ses mains en coques. Clara se raidit et protesta :
- Arrête Nicolas, je suis ta mère !
- Oui maman, excuses moi, mais te sentir là, dans mes bras, posée sur mon ventre, avec ta peu si douce et ta poitrine si ferme …
- Arrête ! Maintenant, il faut aller voir si on peut sortir des ruines sans se faire prendre.
Elle se pencha en avant et fit glisser la paroi coulissante pour sortir. Elle s'avança prudemment à quatre pattes, regardant bien autour d'elle s'il n'y avait pas de danger. La toiture avait du s'écrouler sur l'étage, mais la construction était solide et seuls les meubles et les boiseries avaient brulé. Le garçon la suivit, embarrassé par son énorme érection. Pendant que Clara se glissait furtivement dans le jardinet devant la maison, Nicolas alla voir si les soldats étaient toujours dans la rue derrière la maison. Clara revint et récupéra leurs vêtements chauds dans le réduit en prenant la précaution de bien refermer la cachette.
- Lorsque le garçon revint en annonçant que la rue était vide, elle lui tendit son blouson et lui dit :
- Viens, allons voir à la cave ce que nous pouvons manger, sans l'aide de la gazinière
- A ce propos, l'explosion que nous avons entendue, c'était la bouteille de gaz, et l'explosion a tué le soldat
- Un de moins !
Ils descendirent dans la cave et Clara alluma deux bougies.
- Voyons un peu ce que nous pouvons manger maintenant et ce que nous pouvons emporter. Ils viendront certainement pour tout prendre.
- On pourrait rester ici, nous avons plus de place que dans le petit cagibi
- Non, ils reviendront à coup sûr, et s'ils nous prennent, nous allons passer un moment très désagréable…
Nicolas prit sa mère dans ses bras et posant un baiser sur son front, il dit :
- Je serai là pour te protéger, je suis le seul homme de la famille ….
- C'est vrai, tu es tout ce qui me reste, c'est pour ça qu'il faut fuir, tu ne fera jamais le poids devant des soldats lourdement armés
Nicolas posa sa bouche sur celle de sa mère pour un baiser appuyé
- Sois sage mon Nico, je t'aime beaucoup, mais je suis ta maman …
Le garçon avait passé ses mains sous le chemisier de sa mère et caressait son dos en la serrant contre lui. Délicatement, il fit sauter l'agrafe du soutien gorge, libérant la poitrine gonflée. Il prit sa mère par les fesses et la serra fort contre son érection en forçant les lèvres de la femme de sa langue. Clara lui accorda le baiser en y mettant tout son cœur. Décollant sa bouche de celle de son fils elle s'écarta légèrement et dit:
- Voilà, tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, il faut nous préparer …
- Je sais, mais j'ai très envie de toi. Je sais que depuis que papa a été fusillé, tu n'as laissé aucun homme t'approcher. Je veux faire l'amour avec toi, ça sera notre cadeau de Noël rien qu'à nous deux…
Clara ne répondit pas et donna un baiser brulant à son fils. Nicolas ouvrit le chemisier de sa mère en l'embrassant. Se reculant légèrement, il laissa tomber les vêtements de la femme au sol et dit en caressant les deux globes ainsi offerts:
- Maman, tes seins sont magnifiques, ils sont fermes et en voyant leurs pointes qui durcissent grossissent, je sais que tu as envie…
Il embrassa à nouveau sa mère à pleine bouche en dégrafant la jupe qui tomba aux pieds de la femme. La prenant pas les fesses, il fit glisser la culotte de coton. Clara passa sa main entre eux et retint son dernier vêtement comme pour protéger sa pudeur. Nicolas saisit la main et la fit glisser dans son pantalon sur la verge dressée. Rapidement il se déboutonna et fit glisser son slip et son pantalon le long de ses jambes. Puis refermant les doigts de sa maman sur sa virilité tendue, il la guida pour qu'elle le branle. Clara ferma les yeux et fit coulisser ses doigts sur le membre qui semblait continuer à durcir et grossir.
Détachant sa bouche de celle de son fils, la femme s'accroupit devant lui et prit le sexe du garçon en bouche pour une fellation. Quand il sentit que son plaisir venait, le jeune homme repoussa sa mère, puis il la fit pivoter et l'allongea sur leurs vêtements.
Quand il passa sa langue tout au long de la fente maternelle, Clara écarta largement ses jambes et les replia en les prenant derrière ses genoux. Elle était totalement offerte.
Lorsque Nicolas suça son clitoris tendu, Clara ne put résister et se laissant emporter par un puissant orgasme dans un profond grognement. Nicolas mouilla son gland en passant le long du sexe de sa mère, puis il la pénétra d'un mouvement lent, jusqu'à ce qu'il soit complètement eu fond d'elle. Clara contracta plusieurs fois son vagin sur la virilité de son fils et se laissa emporter par un nouvel orgasme.
Nicolas la pilonnait avec ferveur, et il ne put résister longtemps. A son tour, il se laissa emporter parle plaisir et se vida au fond du vagin maternel.
Les deux amants reprirent leur souffle et Clara roula sur le côté pour chevaucher son fils, menant cette fois leur éteinte. Rapidement ils partagèrent un nouvel orgasme et Clara se redressant sur son partenaire le regarda au fond des yeux et lui dit :
- Joyeux Noël mon garçon !
- Nicolas allait répondre, lorsqu'ils entendirent un léger bruit près d'eux tournant la tête sur le côté, ils eurent juste le temps de voir arriver la grenade qui les emporta, soudés l'un à l'autre pour l'éternité.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle mais tragique histoire. Un érotisme incestueux en pleine guerre, il fallait oser. Lecture agréable et prenante.
Continuez Maitrechat2 !
Continuez Maitrechat2 !
Belle histoire.

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