Julia 3
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2015 dans la catégorie Plus on est
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Julia 3
Julia – 3
Mon mari revient d'une inspection dans un domaine, pas loin de Carthage. Au fond peu m'importe. Je suis largement compensée avec ma voisine : nous nous voyons souvent chez elle ou chez moi. D'abord elle est belle, en plus nous faisons l'amour comme des déesses.
J'ai un faible pour elle, ça ressemble un peu à l'amour.
Il n'empêche qu'elle a un nouvel esclave. Son mari est bien pour les choix des esclaves à sa femme destinés.
Le dernier n'est pas terriblement monté. Parait-il qu'il sodomie mieux qu'un de ces dieux de l'Olympe : sa queue est fine et longue, pas très grosse. Je voudrais l'essayer moi qui aime les gros machins dans mon cul, surtout si elle est là, que nous puissions partager nos orgasmes comme toujours.
J'aime quand elle jouit, quand elle se tord avec une bite dans le cul.
Son mari connaît bien ses goûts, nos goûts même.
Hier nous nous sommes aimées devant son mari. Nous nous sommes rapidement mises en 69: notre position préférée, mise à par le con à con évidemment.
Cette fois elle voulait me goûter le cul. Nous nous sommes avancées plus que les autre fois pour avoir les anus à a portée de nos langues. J'avoue que rien que de savoir que sa bouche allait venir sur mon cul m'excitait pas mal.
Mais elle tenait à se faire mettre par son nouvel esclave offert par son époux.
Voir cette nouvelle queue me donnait une envie inconnue encore de me faire mettre.
Son menton perdu dans mon sexe, sa langue sur l'anus me donnait des orgasmes sans fin. Moi je léchais aussi cet endroit symbolique. J'arrivais avec sa complicité à entrer un peu le bout de ma langue dans son boyau.
L’idée qu'elle déféquait par là ne m’écœurait pas. Nous nous léchions comme si nous avions faim de l'autre, ce qui en un sens était vrai.
L'esclave ne nous servait à rien dans l'immédiat. Pourtant il nous regardait en bandant. Un autre qui pour une fois bandait était le mari.
Il lui devenait important de se servir de la bitte inutilisée. Habituellement quand il nous regardait, il se branlait, et là il voulait plus.
C'est encore Julia qui prend le désir de son mari au sérieux. Elle demande à son mari de se mettre nu devant nous. C'est vrai qu'il bande, en plus il a une belle queue qui ferait mon affaire, même là , avec sa femme qui regarderait.
Elle fait un signe à l'esclave qui comprend. Il s'agenouille devant la bite raide, la met dans sa bouche. Il l'aspire presque en entier. Et le mari de Julia tend son bas ventre vers la bouche qui le suce.
C'est excitant le regarder la pine disparaître dans la bouche de l'esclave. Il sait bien sucer en caressant les couilles. Un main se faufile entre les jambes. Sans qu'on le lui demande, il arrive sur l'anus de son maître. Visiblement il aime se faire caresser le cul, comme beaucoup d'hommes.
La bite de l'esclave reste inemployée. Après tout ce n'est qu'un esclave. Pour moi, esclave ou non, il reste un mâle. Ma main vole vers sa bite. Je suis léchée par mon amante, je la lèche. Mais je vois cette queue qui balance un peu, j'ai aussi envie de la lui mordre à pleine dents, comme un fruit mur.
Je jouis enfin. J'en veux plus.
J'allais la prendre dans ma bouche quand Julia la veut aussi. Nous nous mettons à deux bouches autour de la bite tendue. Julie la voudrait sans son sexe. Moi je suis moins gourmande, je le veux dans le cul.
Mais voilà, je suis l'invitée. Julia m lasse la bite.
Je me mets en levrette, Julia guide la bite avec une main en la branlant un peu. Je sens entre mes fesses, d'abord la main de Julia puis le gland de l'esclave qui ne mesure pas la chance qu'il a de me baiser.
Il se penche vers moi, il entre sa queue profond dans mon cul. J'entends la voix de Julia qui me dit qu'elle encule aussi l'esclave avec trois doigts. De savoir qu'à son tour il est sodomisé, me fais partir. Je jouis un long moment.
Il me semble être un peut évanouie sous le plaisir. C'est un baiser sur la bouche de Julia qui me réveille pour recommencer avec elle notre danse de l'amour au féminin, cette fois con à con.
Mon mari revient d'une inspection dans un domaine, pas loin de Carthage. Au fond peu m'importe. Je suis largement compensée avec ma voisine : nous nous voyons souvent chez elle ou chez moi. D'abord elle est belle, en plus nous faisons l'amour comme des déesses.
J'ai un faible pour elle, ça ressemble un peu à l'amour.
Il n'empêche qu'elle a un nouvel esclave. Son mari est bien pour les choix des esclaves à sa femme destinés.
Le dernier n'est pas terriblement monté. Parait-il qu'il sodomie mieux qu'un de ces dieux de l'Olympe : sa queue est fine et longue, pas très grosse. Je voudrais l'essayer moi qui aime les gros machins dans mon cul, surtout si elle est là, que nous puissions partager nos orgasmes comme toujours.
J'aime quand elle jouit, quand elle se tord avec une bite dans le cul.
Son mari connaît bien ses goûts, nos goûts même.
Hier nous nous sommes aimées devant son mari. Nous nous sommes rapidement mises en 69: notre position préférée, mise à par le con à con évidemment.
Cette fois elle voulait me goûter le cul. Nous nous sommes avancées plus que les autre fois pour avoir les anus à a portée de nos langues. J'avoue que rien que de savoir que sa bouche allait venir sur mon cul m'excitait pas mal.
Mais elle tenait à se faire mettre par son nouvel esclave offert par son époux.
Voir cette nouvelle queue me donnait une envie inconnue encore de me faire mettre.
Son menton perdu dans mon sexe, sa langue sur l'anus me donnait des orgasmes sans fin. Moi je léchais aussi cet endroit symbolique. J'arrivais avec sa complicité à entrer un peu le bout de ma langue dans son boyau.
L’idée qu'elle déféquait par là ne m’écœurait pas. Nous nous léchions comme si nous avions faim de l'autre, ce qui en un sens était vrai.
L'esclave ne nous servait à rien dans l'immédiat. Pourtant il nous regardait en bandant. Un autre qui pour une fois bandait était le mari.
Il lui devenait important de se servir de la bitte inutilisée. Habituellement quand il nous regardait, il se branlait, et là il voulait plus.
C'est encore Julia qui prend le désir de son mari au sérieux. Elle demande à son mari de se mettre nu devant nous. C'est vrai qu'il bande, en plus il a une belle queue qui ferait mon affaire, même là , avec sa femme qui regarderait.
Elle fait un signe à l'esclave qui comprend. Il s'agenouille devant la bite raide, la met dans sa bouche. Il l'aspire presque en entier. Et le mari de Julia tend son bas ventre vers la bouche qui le suce.
C'est excitant le regarder la pine disparaître dans la bouche de l'esclave. Il sait bien sucer en caressant les couilles. Un main se faufile entre les jambes. Sans qu'on le lui demande, il arrive sur l'anus de son maître. Visiblement il aime se faire caresser le cul, comme beaucoup d'hommes.
La bite de l'esclave reste inemployée. Après tout ce n'est qu'un esclave. Pour moi, esclave ou non, il reste un mâle. Ma main vole vers sa bite. Je suis léchée par mon amante, je la lèche. Mais je vois cette queue qui balance un peu, j'ai aussi envie de la lui mordre à pleine dents, comme un fruit mur.
Je jouis enfin. J'en veux plus.
J'allais la prendre dans ma bouche quand Julia la veut aussi. Nous nous mettons à deux bouches autour de la bite tendue. Julie la voudrait sans son sexe. Moi je suis moins gourmande, je le veux dans le cul.
Mais voilà, je suis l'invitée. Julia m lasse la bite.
Je me mets en levrette, Julia guide la bite avec une main en la branlant un peu. Je sens entre mes fesses, d'abord la main de Julia puis le gland de l'esclave qui ne mesure pas la chance qu'il a de me baiser.
Il se penche vers moi, il entre sa queue profond dans mon cul. J'entends la voix de Julia qui me dit qu'elle encule aussi l'esclave avec trois doigts. De savoir qu'à son tour il est sodomisé, me fais partir. Je jouis un long moment.
Il me semble être un peut évanouie sous le plaisir. C'est un baiser sur la bouche de Julia qui me réveille pour recommencer avec elle notre danse de l'amour au féminin, cette fois con à con.
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toujours des histoires de folie et quelle production ....