Julie 1
Récit érotique écrit par JulieK [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie 1
Mon nom est Julie. Ce soir j’ai baisé avec Antoine. La soirée a commencé chez des amis autour d’un verre. Il y avait un tas de filles et de gars sympas. Nous fêtions la fin de l’année de boulot pour les uns, la réussite aux exams pour les autres. C’était une soirée sans prise de tête. Vers 21h00, quelqu’un a dit :
-Il y a une soirée au Déklik et le DJ est bon. On me l’a dit.
Alors on y est allé. C’est là que j’ai retrouvé Antoine. Le hasard faisait plutôt bien les choses. On était sorti une ou deux fois ensemble. Et je dois dire que ça l’avait fait grave. C’est un truc, qui ne s’explique pas, la peau, l’odeur, le goût… Bref entre nous, ça l’avait fait au lit. Pas un truc grandiose, façon sportif de la baise, mais une vraie complicité qui donne envie de prolonger. Un truc qui laisse une trace pendant les journées qui suivent. Sauf que ni lui ni moi, on n’avait osé donner suite. Lui pour pas paraître lourdingue, moi par peur de m’engager. C’est vrai que ces fois là on avait picolé un peu. Et qu’une baise un peu alcoolisée ne compte pas vraiment.
En entrant dans le bar, j’ai tout de suite vu qu’il était là à une table à discuter avec des potes et des gonzesses un peu serrées du trou. Moi j’avais envie de danser. De toute façon, il me remarquerait. J’avais mis une robe et légère et courte, pas facile à porter à porter quand on est assise devant des mecs, mais plutôt sympa quand il faut bouger en rythme. Vers 22h30, mon téléphone se mit à sonner. C’était Laurent. J’avais besoin qu’il m’appelle, qu’il me rassure, qu’il me dise quelle voie choisir.
-Ecoute, Julie je ne suis pas là pour te faire rater le train de l’Amour. Si tu sens qu’il est temps de t’engager vas-y. Tu sais que ce qui nous lie est nature différente. J’aimerais tellement être avec toi en ce moment pour pouvoir t’offrir et te guider. Tout ce je te demande c’est de ne pas nous oublier et de te retenir ce soir. C’est le gage que je te demande.
Finalement, Antoine m’a rejoint sur la piste. A la fin du set, on est allé fumer dehors, je me suis blottie contre lui sa main s’est posée sur le bas de mon dos. Nous étions l’un à l’autre.
Chez moi ou chez toi, m’a-t-il demandé.
Chez toi je préfère, j’ai répondu.
Dans son appart la musique de fin soirée était plutôt cool. Sensuelle mais pas trop, de manière à se frôler, sans plus. Bref à faire naître la douce morsure du désir. J’étais bien. J’aimais ses mains aux doigts longs et minces, sa chemise entrouverte, et le regard qu’il posait sur moi quand je me déhanchais les yeux dans les yeux pour l’exciter. Nous sommes vite retrouvés dans le canapé. Ses mains posées sur mes cuisses, les miennes autour de son visage, nos lèvres soudées par un baiser ardent. Je coulais entre les jambes, j’avais envie qu’il me remplisse là maintenant. Pourtant j’arrivai à m’éclipser dans la salle pour me rafraichir tandis que lui nous préparait un cocktail dans la cuisine.
Quand il m’a retrouvée, j’étais allongée sur son lit. J’avais ôté la petite culotte noire en dentelle qu’il avait effleurée quelques minutes auparavant et mon sexe tout lisse et rafraîchi attendait sa langue. Quelques baisers plus loin, ses doigts venaient buter contre mon pubis. Ses doigts cherchaient mon bouton de manière assez directe. Mais ce soir, ce n’est pas comme cela que ça devait marcher. Ce que je voulais c’est directement ses phalanges au fond de moi. D’un coup de bassin je me dégageais de son étreinte.
ça me va pas, je ne le fais pas bien.
Si, si. Ce que je veux maintenant c’est que tu me remplisses avec tes doigts.
Il m’enfonçait deux doigts dans la chatte. Et j’aimais cela. Je me retenais de bouger. Ce soir, je n’avais pas l’autorisation de jouir. Et pourtant j’en avais salement envie. Je gémissais, je sentais mon sexe gonfler et se contracter sous ses doigts. J’entendais le clapotement impudique de ma mouille sous le pistonnement de sa main. Il les a sorti de moi et me les a présenté à la bouche et j’ai sucé ses doigts imprégnés de mon goût de chienne. Pendant se temps il avait descendu la bouche au contact de ma fente. Il essayait de me lécher le bouton.
Mets ta langue bien au fond, bois mon jus.
Ces mots impudiques que je prononce pendant l’amour, m’ont toujours excité au plus point. Et je sais que mes partenaires l’apprécient au plus haut point. Sa langue s’enfonçait dans mes chairs gonflées. Je me frottais contre son visage. Je m’agitais tant et si bien qu’une ou deux fois langue a effleuré mon petit trou ce qui n’a fait que renforcer mon excitation. J’étais sur le point de me laisser aller. Mon ventre était pris de soubresauts de plus en plus incontrôlables. Je savais ce que cela signifiait. Je dégageais mon sexe de sa bouche. Nos langues se sont mélangées. J’aimais ce goût de salive et de sexe mélangés.
Ses mains touchaient maintenant mon ventre, mes seins et mon dos. Je voulais qu’il me caresse, qu’il me pétrisse. C’est tout mon corps qui vibrait sous ses mains, plus uniquement mes zones génitales. Le plaisir se diffusait dans tout mon être. Les spasmes s’étaient éloignés pour donner lieu à un bien-être profond et général.
Je ne savais comment il s’était débarrassé de son pantalon. En tout cas je sentais sa virilité se frotter ma cuisse. Je le voulais en moi. Et tandis qu’il étirait mes mamelons, j’écartais les cuisses. Il en profita pour revenir attaquer, ma bébête avec ses doigts. Il y tenait le bougre !
-Viens en moi maintenant, je t’en prie. Prends-moi maintenant.
Il m’enjamba et vint placer son sexe contre ma fente mouillée. Son dard s’égarait trop haut pour trouver l’entrée de mon petit paradis. Cette maladresse, m’a touchée. Je m’emparai que son membre hyper durci et le plaçai à l’entrée de ma grotte. Sa poussée était ferme, pas brutale. Je m’ouvrais petit à petit à son intrusion. Je m’étonnais que cela soit aussi difficile, car j’avais l’impression d’être suffisamment excitée et mouillée. Ca y est, il était en moi et entamait ses mouvements. Je le sentais à merveille, il coulissait juste comme il faut et son recul induisait dans mon ventre un vide frustrant quand il sortait de moi pour mieux me réinvestir. J’étais soudée à lui, il me baisait merveilleusement. J’aurais bien voulu qu’il me finisse, mais j’avais fait la promesse de me retenir. C’était la contrepartie que je devais à celui qui m’a fait devenir femme et amante.
Je le chevauchais désormais et ses mains sur mes fesses me donnaient le rythme de son plaisir. Dans cette position je maîtrisais mieux mes sensations et j’étais entièrement occupée à lui donner du plaisir. J’entendais à son souffle et ses gémissements qu’il ne maîtrisait plus grand-chose. J’étais son amante et sa maitresse.
C’est alors que j’ai décidé de lui offrir ma bouche. C’est en tentant d’emboucher son pieu que je me suis aperçu qu’il était particulièrement gros. Je n’ai pas l’habitude de m’appesantir sur les détails anatomiques des hommes, mais ici, j’avais affaire à un organe, pas particulièrement long mais suffisamment gros pour que l’intromission dans ma bouche soit délicate. Il est vrai que je fais partie des ces femmes qui ont une bouche pas très grande.
Devant l’épaisseur du membre je craignais que mon ouverture ne soit pas suffisante pour que mes dents n’abîment pas l’énorme gland que je voulais engloutir. J’ai commencé à lécher l’énorme fraise rose qui avait le goût prononcé de nos sécrétions mélangées puis recouvrant le gland du prépuce, je me l’introduisis au fond de la cavité buccale en ouvrant la mâchoire autant qu’il était possible. Je décalottai ensuite l’engin et me mis à le téter d’abord timidement puis à faire bouger ma langue autour. Je m’y prenais bien prudemment de peur de le blesser. J’entendais les gémissements d’Antoine et son ventre se creuser pour faire bouger son membre dans ma bouche. N’y tenant plus je recrachai l’engin en me mis à le branler. Sa queue était tellement raide que le bout de peau ne parvenait plus à recouvrir complètement le gland sa main guida la mienne pour lui donner le rythme nécessaire à son plaisir. Ses gémissements s’étaient transformés en cris et quand ma langue lui lécha les couilles, son sperme jaillit en jets tièdes jusqu’au milieu de la poitrine. Je recueillis un peu de jus avec la langue puis l’embrassait fougueusement, renvoyant dans sa bouche une partie de sa liqueur. Si à ce moment il avait pris l’initiative de me pincer le bouton je serais assurément partie d’un plaisir violent tant j’étais amoureuse et excitée.
Désormais, c’est moi te ferai jouir, Antoine. C’est toi qui sera mon amant et peut-être plus.
Ces mots on a du mal les dire, et le plaisir de la jouissance nous autorise à les prononcer. Et c’est ainsi que notre relation a commencé pour de bon. Après quelques heures de sommeil, j’ai prétexté un travail à faire lendemain et je me suis éclipsée du lit laissant étendu le corps de mon amant. Dehors, dans l’aube grise, je rentrais chez moi le corps léger, la tête pleine de cette nuit fabuleuse.
A mon bureau, assis devant mon ordinateur, j’ai transcrit les détails de cette nuit en m’appliquant à en faire le compte rendu. Je suis nue, le jour se lève. J’ai inséré dans mon cul le plug que tu m’as appris à porter. Cette présence au fond moi me rappelle que je t‘appartiens, Laurent. Cette nuit m’a-t-elle éloignée de toi en me donnant à un autre pour lequel j’éprouve plus que du désir? Je ne saurais répondre sincèrement à la question. Il me tarde tant que tu rentres.
-Il y a une soirée au Déklik et le DJ est bon. On me l’a dit.
Alors on y est allé. C’est là que j’ai retrouvé Antoine. Le hasard faisait plutôt bien les choses. On était sorti une ou deux fois ensemble. Et je dois dire que ça l’avait fait grave. C’est un truc, qui ne s’explique pas, la peau, l’odeur, le goût… Bref entre nous, ça l’avait fait au lit. Pas un truc grandiose, façon sportif de la baise, mais une vraie complicité qui donne envie de prolonger. Un truc qui laisse une trace pendant les journées qui suivent. Sauf que ni lui ni moi, on n’avait osé donner suite. Lui pour pas paraître lourdingue, moi par peur de m’engager. C’est vrai que ces fois là on avait picolé un peu. Et qu’une baise un peu alcoolisée ne compte pas vraiment.
En entrant dans le bar, j’ai tout de suite vu qu’il était là à une table à discuter avec des potes et des gonzesses un peu serrées du trou. Moi j’avais envie de danser. De toute façon, il me remarquerait. J’avais mis une robe et légère et courte, pas facile à porter à porter quand on est assise devant des mecs, mais plutôt sympa quand il faut bouger en rythme. Vers 22h30, mon téléphone se mit à sonner. C’était Laurent. J’avais besoin qu’il m’appelle, qu’il me rassure, qu’il me dise quelle voie choisir.
-Ecoute, Julie je ne suis pas là pour te faire rater le train de l’Amour. Si tu sens qu’il est temps de t’engager vas-y. Tu sais que ce qui nous lie est nature différente. J’aimerais tellement être avec toi en ce moment pour pouvoir t’offrir et te guider. Tout ce je te demande c’est de ne pas nous oublier et de te retenir ce soir. C’est le gage que je te demande.
Finalement, Antoine m’a rejoint sur la piste. A la fin du set, on est allé fumer dehors, je me suis blottie contre lui sa main s’est posée sur le bas de mon dos. Nous étions l’un à l’autre.
Chez moi ou chez toi, m’a-t-il demandé.
Chez toi je préfère, j’ai répondu.
Dans son appart la musique de fin soirée était plutôt cool. Sensuelle mais pas trop, de manière à se frôler, sans plus. Bref à faire naître la douce morsure du désir. J’étais bien. J’aimais ses mains aux doigts longs et minces, sa chemise entrouverte, et le regard qu’il posait sur moi quand je me déhanchais les yeux dans les yeux pour l’exciter. Nous sommes vite retrouvés dans le canapé. Ses mains posées sur mes cuisses, les miennes autour de son visage, nos lèvres soudées par un baiser ardent. Je coulais entre les jambes, j’avais envie qu’il me remplisse là maintenant. Pourtant j’arrivai à m’éclipser dans la salle pour me rafraichir tandis que lui nous préparait un cocktail dans la cuisine.
Quand il m’a retrouvée, j’étais allongée sur son lit. J’avais ôté la petite culotte noire en dentelle qu’il avait effleurée quelques minutes auparavant et mon sexe tout lisse et rafraîchi attendait sa langue. Quelques baisers plus loin, ses doigts venaient buter contre mon pubis. Ses doigts cherchaient mon bouton de manière assez directe. Mais ce soir, ce n’est pas comme cela que ça devait marcher. Ce que je voulais c’est directement ses phalanges au fond de moi. D’un coup de bassin je me dégageais de son étreinte.
ça me va pas, je ne le fais pas bien.
Si, si. Ce que je veux maintenant c’est que tu me remplisses avec tes doigts.
Il m’enfonçait deux doigts dans la chatte. Et j’aimais cela. Je me retenais de bouger. Ce soir, je n’avais pas l’autorisation de jouir. Et pourtant j’en avais salement envie. Je gémissais, je sentais mon sexe gonfler et se contracter sous ses doigts. J’entendais le clapotement impudique de ma mouille sous le pistonnement de sa main. Il les a sorti de moi et me les a présenté à la bouche et j’ai sucé ses doigts imprégnés de mon goût de chienne. Pendant se temps il avait descendu la bouche au contact de ma fente. Il essayait de me lécher le bouton.
Mets ta langue bien au fond, bois mon jus.
Ces mots impudiques que je prononce pendant l’amour, m’ont toujours excité au plus point. Et je sais que mes partenaires l’apprécient au plus haut point. Sa langue s’enfonçait dans mes chairs gonflées. Je me frottais contre son visage. Je m’agitais tant et si bien qu’une ou deux fois langue a effleuré mon petit trou ce qui n’a fait que renforcer mon excitation. J’étais sur le point de me laisser aller. Mon ventre était pris de soubresauts de plus en plus incontrôlables. Je savais ce que cela signifiait. Je dégageais mon sexe de sa bouche. Nos langues se sont mélangées. J’aimais ce goût de salive et de sexe mélangés.
Ses mains touchaient maintenant mon ventre, mes seins et mon dos. Je voulais qu’il me caresse, qu’il me pétrisse. C’est tout mon corps qui vibrait sous ses mains, plus uniquement mes zones génitales. Le plaisir se diffusait dans tout mon être. Les spasmes s’étaient éloignés pour donner lieu à un bien-être profond et général.
Je ne savais comment il s’était débarrassé de son pantalon. En tout cas je sentais sa virilité se frotter ma cuisse. Je le voulais en moi. Et tandis qu’il étirait mes mamelons, j’écartais les cuisses. Il en profita pour revenir attaquer, ma bébête avec ses doigts. Il y tenait le bougre !
-Viens en moi maintenant, je t’en prie. Prends-moi maintenant.
Il m’enjamba et vint placer son sexe contre ma fente mouillée. Son dard s’égarait trop haut pour trouver l’entrée de mon petit paradis. Cette maladresse, m’a touchée. Je m’emparai que son membre hyper durci et le plaçai à l’entrée de ma grotte. Sa poussée était ferme, pas brutale. Je m’ouvrais petit à petit à son intrusion. Je m’étonnais que cela soit aussi difficile, car j’avais l’impression d’être suffisamment excitée et mouillée. Ca y est, il était en moi et entamait ses mouvements. Je le sentais à merveille, il coulissait juste comme il faut et son recul induisait dans mon ventre un vide frustrant quand il sortait de moi pour mieux me réinvestir. J’étais soudée à lui, il me baisait merveilleusement. J’aurais bien voulu qu’il me finisse, mais j’avais fait la promesse de me retenir. C’était la contrepartie que je devais à celui qui m’a fait devenir femme et amante.
Je le chevauchais désormais et ses mains sur mes fesses me donnaient le rythme de son plaisir. Dans cette position je maîtrisais mieux mes sensations et j’étais entièrement occupée à lui donner du plaisir. J’entendais à son souffle et ses gémissements qu’il ne maîtrisait plus grand-chose. J’étais son amante et sa maitresse.
C’est alors que j’ai décidé de lui offrir ma bouche. C’est en tentant d’emboucher son pieu que je me suis aperçu qu’il était particulièrement gros. Je n’ai pas l’habitude de m’appesantir sur les détails anatomiques des hommes, mais ici, j’avais affaire à un organe, pas particulièrement long mais suffisamment gros pour que l’intromission dans ma bouche soit délicate. Il est vrai que je fais partie des ces femmes qui ont une bouche pas très grande.
Devant l’épaisseur du membre je craignais que mon ouverture ne soit pas suffisante pour que mes dents n’abîment pas l’énorme gland que je voulais engloutir. J’ai commencé à lécher l’énorme fraise rose qui avait le goût prononcé de nos sécrétions mélangées puis recouvrant le gland du prépuce, je me l’introduisis au fond de la cavité buccale en ouvrant la mâchoire autant qu’il était possible. Je décalottai ensuite l’engin et me mis à le téter d’abord timidement puis à faire bouger ma langue autour. Je m’y prenais bien prudemment de peur de le blesser. J’entendais les gémissements d’Antoine et son ventre se creuser pour faire bouger son membre dans ma bouche. N’y tenant plus je recrachai l’engin en me mis à le branler. Sa queue était tellement raide que le bout de peau ne parvenait plus à recouvrir complètement le gland sa main guida la mienne pour lui donner le rythme nécessaire à son plaisir. Ses gémissements s’étaient transformés en cris et quand ma langue lui lécha les couilles, son sperme jaillit en jets tièdes jusqu’au milieu de la poitrine. Je recueillis un peu de jus avec la langue puis l’embrassait fougueusement, renvoyant dans sa bouche une partie de sa liqueur. Si à ce moment il avait pris l’initiative de me pincer le bouton je serais assurément partie d’un plaisir violent tant j’étais amoureuse et excitée.
Désormais, c’est moi te ferai jouir, Antoine. C’est toi qui sera mon amant et peut-être plus.
Ces mots on a du mal les dire, et le plaisir de la jouissance nous autorise à les prononcer. Et c’est ainsi que notre relation a commencé pour de bon. Après quelques heures de sommeil, j’ai prétexté un travail à faire lendemain et je me suis éclipsée du lit laissant étendu le corps de mon amant. Dehors, dans l’aube grise, je rentrais chez moi le corps léger, la tête pleine de cette nuit fabuleuse.
A mon bureau, assis devant mon ordinateur, j’ai transcrit les détails de cette nuit en m’appliquant à en faire le compte rendu. Je suis nue, le jour se lève. J’ai inséré dans mon cul le plug que tu m’as appris à porter. Cette présence au fond moi me rappelle que je t‘appartiens, Laurent. Cette nuit m’a-t-elle éloignée de toi en me donnant à un autre pour lequel j’éprouve plus que du désir? Je ne saurais répondre sincèrement à la question. Il me tarde tant que tu rentres.
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