Julie et le secret d'état

- Par l'auteur HDS Luco49 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Julie et le secret d'état Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Julie et le secret d'état
JULIE ET LE SECRET D'ÉTAT (suite de Julie la salope, Julie la pute et Julie la petite enculée)

Julie est une vraie salope doublée d'une pute adepte sans réserve de la sodomie. Sa soif de sexe est impressionnante. Ce qui explique son grand intérêt pour les clubs libertins.

En ce dimanche matin, le chef de cabinet du ministre de l'Intérieur, rentré précipitamment de son week-end, semble bien ennuyé. Il vient d'être avisé par le Préfet de … qu'une information cachée depuis des mois, classifiée « secret défense », pourrait être détenue par une commerçante exerçant dans la ville du chef lieu du département. Selon les services de police, elle aurait été mise dans la confidence à l'occasion d'une soirée passée dans un club libertin du département voisin, dans la nuit de samedi à dimanche. Elle aurait obtenu le secret après qu'elle se soit adonnée à l'un de ses plaisirs favoris, se faire caresser par plusieurs hommes à la fois, en dansant entièrement nue, dans l'un des coins câlins de l'établissement. L'un des hommes participants à cette partie fine, serait un des témoins de l'événement secret qu'il convient absolument de dissimuler. Fort de son désir irrésistible d'aller plus loin avec elle, il lui aurait proposé subrepticement à l'oreille un marché : « je te fais une confidence sur X... et tu te donnes entièrement à moi ». Il savait ce qu'il faisait, car il connaissait l'irrésistible envie de Julie d'être au courant de tout. Elle était d'une incroyable curiosité, et plus particulièrement portée sur les détails croustillants.

Julie avait accepté la proposition indécente. Le couple s'était isolé dans une chambre offrant toute la discrétion indispensable, sauf la présence des voyeurs habituels scotchés aux hublots installés sur la porte. Nul ne savait ce qui se disait dans la chambre. Mais on imagine bien l'homme racontant toute l'histoire en même temps qu'il entreprenait Julie. Les hublots permettaient de voir l'homme allongé sur le dos, en train de parler à Julie. Elle était à genoux sur lui, empalée sur son engin à la limite de la démesure, ne disant mot, paraissant même très attentive, mais donnant du rythme avec sa croupe bougeant dans tous les sens, comme si elle aurait voulu assurer un ouvrage bien fait. Visiblement le plaisir était décuplé par l'émoustillante histoire en train d'être révélée. Toujours est-il que la jouissance partagée ne tarda pas vu la cadence imprimée en accéléré par les deux amants et vu les cris parfaitement perceptibles de Julie à cet instant. Elle avait su joindre l'utile à l'agréable. L'utile avec la révélation d'un vrai secret d'état et l'agréable, après tout, en s'étant envoyée en l'air sur une bite d'exception dont elle venait de faire l'apprentissage
La connaissance de la divulgation du secret était due à l'un des participants à cette soirée, un informateur de la police, réputé pour son efficacité, à qui rien n'avait échappé en ce samedi soir. Il était d'ailleurs surnommé « petite souris ». Le secret d'état, totalement verrouillé à l'origine, commençait sérieusement à se diluer : le préfet et sûrement certains de ses collaborateurs, les policiers locaux, l'homme à la bite de cheval, petite souris et Julie étaient donc au parfum.
Les consignes du ministre de l'Intérieur, mis au courant par son chef de cabinet, étaient claires : il fallait remettre un tour de clé sur le verrou pour garantir absolument la confidentialité de l’événement. Le haut fonctionnaire décida de se rendre sur place pour procéder aux opérations nécessaires. Était-il besoin de demander au préfet d'oublier l'information et d'inviter fermement ses adjoints et les policiers à faire de même ? Il fallait aussi convaincre petite souris de ne plus se mêler de ça, en le menaçant notamment de justes représailles dans ses affaires pas toujours régulières. Il fallait encore identifier l'homme si bien monté. Qui était-il ? Comment avait-il pu obtenir une telle information ? Il convenait de le stopper.
En attendant de pouvoir l'identifier, restait le cas de Julie, plutôt naïve sur le coup. Le représentant du ministère de l'intérieur décida de la rencontrer. Contactée sur son téléphone portable, dont le numéro avait rapidement été identifié par la police, Julie expliqua qu'elle n'était pas chez elle, ayant raccompagné le hardeur chez lui pour y boire un dernier verre et ayant terminé la nuit avec lui. Il dormait maintenant profondément. Le fonctionnaire n'était pas mécontent de son initiative. Il venait en fait d'identifier le propagateur. Les quelques policiers initiés reçurent mission d'aller cueillir le pékin à l'adresse fournie par Julie.
Elle fut raccompagnée à son domicile par le directeur de cabinet. Elle avait quelques craintes, comprenant que ce qu'elle savait était d'un très haut niveau de vérité. En même temps, une certaine excitation l'envahit à cet instant, toujours apte à déguster les plaisirs défendus. En plus ce représentant de l’État, agissant au nom du ministre de l'Intérieur, familier des arcanes du pouvoir, en charge d'une mission secrète et d'importance était bel homme. Alors, bien sur, arrivés en bas de chez elle, elle lui proposa de monter, sans autre forme ni autre prétexte, que celui qui apparaissait désormais à l'évidence : faire l'amour.
Il était en mission et aurait dû s'abstenir de toute velléité répondant aux prétentions de la jeune femme. Mais le charme de son accompagnatrice le rendait fragile et soumis. D'autant que Julie était toujours vêtue des effets de la veille, c'est à dire pas grand chose sauf des escarpins aux talons vertigineux qui lui prolongeait ses jambes fines. Et sauf une micro jupe qui aurait pu être la ceinture d'une robe banale, et qui ne cachait presque rien de son intimité, et surtout rien de son galbe lisse. Et sauf un chemisier totalement transparent qui mettait en valeur ses petits seins bien fermes et libres. En résumé, elle était comme d'habitude : bandante. D'ailleurs, son nouveau prétendant ne faisait pas exception. Il bandait.
Tout en montant les escaliers vers l'appartement de Julie, le fonctionnaire se dit avoir bonne conscience puisqu'il agissait pour une cause légitime, et de surcroît sur ordre de son ministre. Toutefois il était un peu étourdi en suivant Julie qui lui offrait en entier sa superbe croupe. Il ne put s'empêcher de glisser sa main entre ses fesses rebondies. Julie fit l'étonnée, comme si c'était la première fois qu'on osait ce geste sur elle. Tout en continuant à monter les marches, elle releva complètement sa micro jupe et retira son chemisier. A chaque marche elle se déhanchait exagérément pour mieux mettre en valeur ses fesses totalement offertes. Arrivée sur le palier, Julie retira sa jupe qui était enroulée sous sa poitrine. Elle était ainsi complètement nue, perchée sur ses chaussures à très haut talon. Comment pouvait-elle garder l'équilibre. Julie se retourna et commença à caresser le sexe de son désormais partenaire. Puis un tour de clé et voilà le couple improbable dans l'entrée de l'appartement. Elle s'agenouilla, dégrafa le pantalon à la bosse proéminente, se saisit du sexe déjà bien dur de son amant et l’avala d'un seul coup, jusqu'au fond de la gorge. Elle le conserva tel que pendant de longues secondes, bien ancré dans ses profondeurs puis lui imprima un mouvement de va et vient dont notre homme ne se remis pas : il explosa. La quantité de sperme était à la hauteur de l'importance de sa jouissance. Julie n'esquiva pas. Elle assura le bien être de son amant pendant toute son éjaculation, ainsi que le service après vente, en léchant sa queue et en avalant tout. L'homme ne débandait pas. Alors elle l'attira vers le canapé où elle l'invita à s’asseoir, se présenta sur lui à genoux pour s'empaler sur le sexe devenu énorme. Elle se rappela de la position identique plutôt dans la soirée et de la révélation du secret. Elle se mit à donner des grands coups avec sa croupe tout en s'adressant à son amant pour lui dire qu'elle s'engageait à ne parler à personne de ce qu'elle savait. Mais parler de ce fameux secret l'excita encore plus. Elle pris son pied encore une fois.
Le fonctionnaire, jusqu'ici parfaitement intègre, osa une proposition : il oubliait la détentrice du secret, s'arrangeant vis à vis de son ministre pour minimiser son rôle, voire même pour faire croire qu'elle ne savait rien, afin d'éviter les éventuelles actions de représailles ou même d'élimination de la part des services secrets. En échange, il exigeait qu'elle devint sa maîtresse à plein temps, c'est à dire son exclusivité. Il précisa qu'il la voulait totalement soumise et respectueuse d'un certain nombres de principes permanents qu'il lui énuméra : manucure, coiffure et maquillage éclatants, épilation totale du pubis, interdiction formelle de porter des sous-vêtements, port de chaussures à talons hauts supérieurs à dix centimètres, jupe ou robe ne pouvant couvrir qu'un quart des cuisses, chemisier ou autre haut soit décolleté soit transparent, bas auto-fixant ou avec porte jarretelles. Il précisa qu'il s'agissait d'obligations à tenir hors et en sa présence. Il rajouta le port d'un vibromasseur à télécommande lorsqu'ils seraient ensemble en public. Il voulait ainsi pouvoir la contrôler et lui donner les vibrations qu'elle espérait sans doute, sous réserve qu'elle n'aurait pas démérité.
Julie accepta la proposition indécente. Elle devenait ainsi un jouet sexuel. Elle le savait bien. Elle se disait que de toute façon elle l'était déjà. Sauf qu'elle perdait la pluralité de ses amants et surtout la direction des opérations. Les jours passèrent au rythme des convocations adressées à Julie par son maître, auxquelles elle répondait sans faillir. Julie était obéissante et se pliait aux termes du contrat. Son homme unique lui passait dessus une à deux fois par jour. Plus le week-end. Elle était en quelque sorte fonctionnarisée.
Changement de gouvernement quelques semaines après ! Julie n'avait pas intégré ce risque. Le maître fonctionnaire s'en alla sous d'autres cieux, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire en Azerbaïdjan, à titre de remerciement pour avoir si bien conseillé le ministre et surtout avoir su construire une chape de plomb sur le secret d'état. Du coup, Julie retrouvait sa liberté. Mais en même temps la peur d'être livrée à des décisions nouvelles en provenance du nouveau gouvernement. Elle pris enfin conscience qu'elle ne pourrait jamais se défaire de ce terrible secret. Et qu'elle serait toujours soumise à ceux qui décident, qui désignent, qui nomment, qui écartent, qui éliminent. D'autant qu'elle avait appris que le préfet avait été nommé quelque part en outre-mer, avec compétence spéciale sur l’île de Kerguelen et que les policiers initiés avaient été promus et mutés aux quatre coins de la France. Petite Souris avait eu un accident de parachute ascensionnel en disparaissant dans les cieux après une supposée rupture du câble qui le reliait au bateau. Quant à l'homme trop bien monté et propagateur du secret, incarcéré à la maison d'arrêt des Beaumettes à Marseille, il avait reçu une dizaine de coups de fourchette dans les douches et il en était mort. Alors comment faire ?
Après réflexion elle décida de révéler le secret au plus grand nombre. Un secret connu de tous n'est plus un secret. Il fallait donc diffuser l'information à des personnes susceptibles de la relayer aussitôt et à grande échelle. Elle espérait aussi être physiquement protégée par la médiatisation. Il était obligatoire d'être efficace. Elle choisit donc d'opérer dans un club libertin de la capitale, le Candélabre, reconnu pour être fréquenté par des hommes et des femmes appartenant au monde politique, journalistique, médiatique. Si Julie ignorait le microcosme nocturne de cette boîte, en revanche, elle maîtrisait parfaitement le libertinage.
Elle venait de donner le top départ de l'opération : elle se présentait, en ce samedi soir, devant la porte du club. Elle n'avait quasiment rien sur elle, sauf ses éternels talons aiguille, et une robe rouge, de style blouse, très courte, avec des boutons sur le devant dont elle avait décidé de ne pas faire usage. C'était tout ! De cette manière elle exhibait la totalité de sa poitrine, son ventre, son sexe et ses jambes. Elle était sûre de capter l'attention sur elle. Donc sûre de s'isoler dans les coins calins avec l'homme ou la femme qu'elle aura dragué préalablement. Elle s'installa au bar, perchée sur un tabouret, les fesses au contact du coussin en cuir, sa robe grande ouverte, la fente de son sexe visiblement ouverte et humide. Elle commanda un cocktail. Elle lança un grand sourire à une blonde bien foutue, assise elle aussi au bar, mais accompagnée. Pour le moins, entourée de deux hommes bien gaulés eux aussi. Le trio avait l'air très proche. Nouveau sourire de Julie. Sourire éclatant et clin d’œil de la blonde. Julie se leva et invita sa proie à venir danser. Elle accepta. Les deux femmes montèrent sur le podium et se mirent à danser très proches l'une de l'autre. Julie se débarrassa de son chiffon rouge. Sa partenaire fit de même avec sa mini jupe et son chemisier transparent. Elles étaient ainsi entièrement nues, collées l'une à l'autre, se caressant mutuellement, se déhanchant au rythme de la musique, offrant un spectacle de toute première qualité à un public quelque peu médusé. Puis elle s'embrassèrent, bouche contre bouche, langue contre langue, et très très amoureusement, seins contre seins, sexe contre sexe, chacune avec leurs mains collées à la croupe adverse.
Elles se parlèrent, visiblement, pour s'accorder sur la suite à donner. Ce qui fut fait puisqu'elles quittèrent la piste de danse pour aller dans un coin câlin. C'était une chambre vaste avec, au beau milieu et comme seul mobilier, un grand lit rond. Elles s'y installèrent face à face et se caressèrent devant cinq ou six voyeurs installés sur le pas de la porte laissée ouverte. Ils se branlaient, la queue à l'air. Puis elles prirent la position 69, et là, sans retenue, à pleine bouche, elles se bouffèrent le minou comme deux véritables assoiffées. Au bout d'un quart d'heure de caresses et frottements divers, elles se concertèrent à nouveau et décision fut prise d'inviter sur le lit les deux plus grosses bites voyeuses. Et de fermer la porte. La blonde s’empala sur une des deux queues. Julie fit de même sur l'autre et commença à raconter dans le détail son histoire secrète, au rythme des coups de butoir que lui réservait son étalon. La blonde, n'en pouvant plus, se mit à jouir en criant très fort. Son mec réserva son plaisir en se branlant au dessus d'elle et en la bombardant de jets de sperme sur tout son visage. Julie, encore une fois, était doublement excitée, profitant de l'énorme bite qui la transperçait, et racontant le secret qu'elle détenait. Elle exigea de son partenaire qu'il lui arrose son entre-cuisse avec sa semence. Le mec, après trente secondes de masturbation, inonda les deux orifices de Julie. Elle se caressa la chatte et le cul et se mit à jouir intensément.
Elle revint sur terre, ne perdant pas le fil de son projet. Elle expliqua aux voyeurs qu'elle voulait la présence d'un maximum de messieurs dans la chambre pour une une branle collective et pour honorer son corps. L'information circula rapidement et en moins de cinq minutes une dizaine d'hommes se pressaient autour de Julie. Elle demanda aux candidats de s'agenouiller sur le lit autour d'elle, de se saisir de leur queue et de se branler, le but étant de recevoir sur son corps un maximum de sperme. Elle prit des poses lascives, se caressa les seins, le sexe, les fesses, pour exciter les mâles qui l'entouraient. Puis elle expliqua qu'elle avait des révélations à faire et bis repetita, elle raconta son secret. Elle déclina l'histoire avec sérieux comme à son habitude. Mais décidément ce fameux secret était porteur d'excitation. Julie accéléra son mouvement de masturbation en se pénétrant le plus profondément possible avec ses doigts. Cette salope était hyper bandante et les bites, gonflées à bloc, bout rouge totalement décollé, se mirent à cracher la purée tant attendue. Les giclées de sperme atterrissaient partout sur son corps, mais principalement sur ses seins et sur son visage. Elle continuait à se caresser, étalant partout la crème naturelle de ses contributeurs. Elle ne put s'empêcher de jouir à nouveau. Elle s'installa au bord du lit et demanda à ses hommes de défiler devant elle : perfectionniste, elle avala goulûment chaque queue pour la nettoyer sans jamais rien recracher. Quelle énergie ! Quel appétit.
Julie savait que l’excellence de ses prestations sexuelles faisait de ses amants des alliés sûrs qui ne manqueraient pas de diffuser le secret. Celui-ci était sans nul doute en voie de déclassification … Julie était-elle pour autant libérée ? Mais de quoi s'agit-il ?

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