Julie, ma petite poupée

- Par l'auteur HDS Bgp -
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Récit libertin : Julie, ma petite poupée Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Julie, ma petite poupée
C’était la rentrée universitaire. Je venais d’avoir 18 ans et pour la première fois de ma vie, je quittais ma campagne et la ferme de mes parents pour aller à la fac. J’avais l’impression d’avoir encore grandi pendant les vacances. On m’avait dit que la croissance des femmes pouvait se poursuivre jusqu’à 24 ans et j'espérais de tout mon coeur que ce soit faux. Je faisais déjà 1m95 pour 110 kg ! Tout au long de ma scolarité, j’avais toujours fait une tête de plus que les autres élèves de ma classe, et en temps que fille d’agriculteur, les travaux physiques m’avaient donné une solide carrure. J’étais cependant jolie. Mes quelques kilos en trop me donnaient de belles courbes. Mes longs cheveux bruns et brillants arrivaient au milieux de mon dos. J’avais de bonnes joues et des yeux bleus clairs. Mon opulente poitrine se tenait si haute que les hommes de taille moyenne avait pile le nez dedans ! Il m’était déjà arrivé que dans une bus bondé, un vieux pervers plonge le nez dedans prétextant une perte d'équilibre. Je crois qu’il doit encore se souvenir de ma gifle qui elle, lui avait fait perdre l’équilibre pour de vrai ! Mes hanches bien dessinées affinaient ma taille pas particulièrement mince. J’étais une sorte d’ ”amazone gironde”. Je plaisais à certains hommes qui eux ne me plaisaient pas en général. J’étais de toutes façons attirée par les femmes et plutôt par celles qui avaient un physique à l’opposé du mien, petite et très mince. J’étais vierge sur tous les plans, mais espérais bien que cette nouvelle vie me donne l’occasion de m’épanouir.


Comme d’habitude, tous les regards se tournèrent vers moi quand j’entrai pour la première fois dans l’amphi, et encore je n’avais pas mis de décolleté ! Je percevais des murmures à mon passage :”Elle est immense !”, “Tu crois qu’elle mesure combien ?”, “Quelle carrure !”, “C’est une brute !” . J’avais appris à faire abstraction de ces réflexions, je les trouvais même normales. C’est là que je vis Julie pour la première fois. Elle était seule sur un banc et ce fut un vrai coup de foudre. Elle était suffisamment petite pour qu’ assise, ses pieds ne touchent pas le sol. Elle portait une robe d’été légère qui dévoilait des jambes minces et fines jusqu’à mi cuisse. De petites bretelles soulignaient ses épaules délicates. Ses bras étaient minces mais paraissaient toniques. Elle avait des cheveux châtains dont elle avait fait un chignon, dévoilant ainsi un nuque bien dessinée. Sa peau était blanche et semblait si douce ! Sa poitrine menue se passait de soutien gorge et pointait discrètement derrière le frêle tissus de sa robe. Mon coeur se mit à battre comme jamais quand je dûs prendre mon courage à deux mains pour lui demander si je pouvais m’asseoir à coté d’elle. Elle me répondit oui en se tournant vers moi et elle m’offrit alors la vision du plus beau visage que je n’avais jamais vu ! Il avait une forme ovale parfaite. Une mèche de cheveux retombait sur son front à la peau lisse. Elle avait quelques taches de rousseurs sur ses pommettes. Son sourire aurait pu faire fondre toutes les glaces du pôle nord. Des lèvres fines et purpurines entouraient une dentition parfaite et éclatante. Par dessus tout, ce furent ses magnifiques yeux de braises qui me firent fondre. Ils étaient si noirs que l’on distinguait à peine ses pupilles. J’adorais ça ! Elle me fit tout de suite penser à une poupée de porcelaine, comme celles que ma grand mère avait sur sa cheminée. Elle se poussa un peu pour me faire une place. J’assis avec précautions mes 110kg pour ne pas faire céder le banc qui couina sous mon poids. Elle s’adressa à moi en me tendant une main:
“Bonjour, je m’appelle Julie”
Sa voix était comme elle, fine et douce, reflétant une intelligence aiguë. Je lui répondis d’une voix tremblante:
“Enchantée, je m’appelle Sophie”
Je saisis sa main minuscule du bout de mes doigts. Tout était si fin chez elle ! Elle semblait avoir été fabriquée dans une bijouterie de luxe. Le prof arriva alors et commença son cours.


J’avais du mal à me concentrer et à contenir mon émotion et mon désir. Je laissais parfois traîner mes yeux sur ses cuisses. Ma grande taille me permettait de voir profondément dans son décolleté et j’apercevais parfois un de ses fiers et libres tétons. Elle se tenait toujours très droite et j’admirais la ligne parfaite de son dos qui finissait sur une croupe bien cambrée, surmontant de superbes petites fesses que j’avais envie de croquer.


Le cours fini, nous nous levâmes pour quitter l’amphi. Ma petite julie ne devait pas faire plus d’1m60, son visage arrivait à peine au niveau de mes seins. Levant la tête pour me regarder, elle m’adressa à nouveau un de ses magnifiques sourires et me dit :


“Qu’est ce que tu es grande ma Belle !”


Elle venait de m’appeler “ma Belle”...Que devais en déduire ? Je lui plaisais ?


Nous quittâmes l’amphi ensemble. Une fois dehors, nous nous rendîmes compte que mon studio était dans la même rue que le sien, juste un peu plus loin. Nous partîmes donc dans la même direction. C’était une chaude journée de septembre. Le temps tournait à l’orage et le tonnerre se faisait déjà entendre au loin. Le vent se levait et venait jouer avec la robe légère de Julie, jusqu’à dévoiler fugitivement sa culotte en dentelle blanche. Je n’avais vu de petites fesses aussi bien dessinées. En discutant, j’appris que Julie était une passionnée de danse classique, ce qui expliquait la perfection et la finesse de son corps. Je me mis à l’imaginer vêtue de collants, d’une petit jupe transparente et d’un juste au corps moulant, faisant des entrechats pour mon plaisir. Les premières gouttes d’eau me sortirent de ma rêverie. Un déluge s’abattit alors sur nous. Julie se colla à moi et je tentai de la protéger en mettant ma main sur son épaule quasi nue. Le contact de sa peau douce et humide me donna des bouffées de désirs. Nous courûmes jusqu’à son immeuble pour nous réfugier dans le hall. Je vis alors la femme la plus désirable qu’il m’ait été donné de voir. Julie était mouillée jusqu’aux os. Sa robe collait à sa peau et révélait son magnifique petit corps. Ses petits tétons dressés se dessinaient en filigrane sous le tissus, comme la dentelle de sa culotte. Les murs du hall étaient constitués de miroirs qui saturaient mes yeux à 360 degrées de la vision idyllique de ma petite princesse qui tremblotait. J’étais trempée moi aussi. Ma robe mouillée moulait mon énorme poitrine dans une gangue semi transparente. Mes énormes tétons dressés par le désir étaient prêts à percer le tissus. J’avais si chaud que des volutes de vapeur montaient de ma peau humide. C’était la première fois que je nous voyais ensemble dans un miroir. Julie paraissait si petite et si fragile à coté de moi ! Mes cuisses étaient plus grosses que tout son corps. Julie fixait ma poitrine en souriant légèrement et s’adressa à moi d’une voix qui révélait un certain émoi d’excitation:
“Tu as des seins superbes ! Quel volume ! Quelle tenue ! Ils ont l’air si fermes !”


A ces mots, mon corps de géante se mit à bouillir et il s’en fallut de peu que ma grande carcasse ne s'effondre d’émotion”


“Montons dans mon appart, j’ai trop froid ici”


Nous nous dirigeâmes vers le minuscule ascenseur. Mes larges épaules y tenaient à peine. Julie se faufila dans le peu de place qui restait. Son visage était coincé entre la paroi et mes seins. A chacune de mes inspirations, ma lourde poitrine frôlait la peau douce de ses joues. Baissant la tête, je regardai son jolie petit minois coincé au fond de la vallée que formaient mes deux énormes mamelles humides. Elle était si belle…


Arrivé au troisième étage, nous entrâmes dans son appartement. Il était lumineux et assez vaste. Autant dans sa manière de parler que de se tenir, on sentait que Julie venait d’une famille aisée. Son parfum troublant y flottait. La décoration était épurée mais relevait toute la classe de son occupante. L’orage se déchaînait à l’extérieur.


Dès la porte fermée, ma petite puce quitta ses chaussures gorgées d’eau. Ses petits pieds de poupée étaient soignés et ses ongles vernis. Sans l’ombre d’un complexe, elle retira sa robe d’un mouvement souple mais rendu lent par l’adhérence de sa peau humide: Elle se baissa légèrement, saisit le bas de sa robe et la remonta en se dandinant gracieusement. Je vis d’abord le haut de ses cuisses fuselées par des années de danse. Ses muscles fins roulaient sous sa peau d'albâtre. Elle dévoila ensuite son pubis masqué par la culotte puis ses hanches finement dessinées. Ce fut le tour de sa taille de guêpe. Ses muscles abdominaux se dessinaient parfois au cours de ses efforts pour s’extirper de sa robe collante. Elle était si mince. Elle n’avait pas une once graisse. Ma respiration s’accéléra quand les deux petits joyaux de sa poitrine apparurent. Ses seins étaient menus mais se dressaient fièrement. Elle jeta alors sa robe au sol. Plaquant la paume de ses mains contre sa taille, elle les descendit, caressant ses hanches jusqu’à ce qu’elles disparaissent sous sa culotte qu’elle fit descendre à ses pieds. Son sexe était totalement épilé. Elle rayonnait de grâce et de sensualité ! Ce magnifique petit corps n’était constitué que de finesse et de délicatesse. On aurait pu la croire sculptée par un artiste de génie qui voulait réaliser la femme parfaite. Croisant légèrement ses jambes et entourant sa poitrine de ses mains, elle me dit d’un air coquin :


“Qu’est ce que tu attends ma belle amazone, enlève ta robe aussi, et va chercher une serviette à la salle de bain pour nous sécher”


Elle venait de m’appeler “ma belle amazone” ! Plus rien n’était équivoque dans son attitude. Son désir pour moi était flagrant, aussi bien dans ses paroles que dans ses gestes. Mon coeur s’emballa à nouveau. Mon visage devait cependant refléter une certaine inquiétude car Julie se sentit obligée de me rassurer. Elle s’approcha d’une démarche féline et se colla à moi.


“Ne t’inquiète pas ma belle, je ne veux que ton plaisir. J’ai vu tout de suite que tu me désirais. Dans l’amphi, tes regards sur ma croupe et dans mon décolleté n’ont fait que confirmer cette perception. Il se trouve que tu m’as plus tout de suite aussi. Ton immense stature, tes courbes voluptueuses, ta poitrine si opulente, tes mains si larges, tu as tout ce que j’ai toujours désiré chez une femme. Tu n’as peut être pas beaucoup d’expérience et je vais t’apprendre.”


Elle saisit le bas de ma robe et commença à la remonter suffisamment pour dévoiler ma grosse culotte en coton. Lorsqu’elle fut à bout de bras, je saisis la robe et la retirai totalement. Je me retrouvai en sous-vêtement face à mon bijou. Elle passa dans mon dos et dégrafa mon soutien gorge qui tomba au sol, éjecté par la pression de mes seins libérés de leur prison. Elle revint devant moi et commença à jouer avec les masses libres. Elle était fascinée par ma poitrine. Ses petites mains caressaient, soulevaient et tâtaient mes seins. Je frémissais de plaisir. Se mettant sur la pointe des pieds, elle engloutit mon téton qu’elle se mit à titiller de sa langue. Mon corps vibrait sous ses caresses. Ma main vint machinalement derrière sa tête pour la presser doucement contre ma lourde mamelle. Une odeur douce et épicée montait de ses cheveux mouillés. J'aimais le contact de sa peau douce sur mon mamelon. Elle agrippa ma grosse culotte qu’elle baissa jusqu’à mes genoux pour la faire tomber à mes pieds. Sa taille si mince frottait alors contre la toison brune de mon pubis. Je sentais mon excitation augmenter et mon sexe devenir humide. Julie passa une main entre mes cuisses et cessant de jouer avec mes seins, elle leva la tête pour me regarder avec son air coquin.


“Je vois que tu es bien excitée ma grande, mais il va vraiment falloir me sécher car j’ai vraiment très froid”


Je me dirigeai alors vers la salle de bain où je pris une serviette. Ma perle m’attendait en grelottant dans le salon. Je posai la serviette sur ses épaules et commençai à la frotter doucement. J’en profitai pour admirer ses fesses rondes comme des pommes. Julie ferma les yeux et se laissa aller. Elle aimait sentir son petit corps ballotté dans mes grandes mains. Je tentai de contrôler ma force au mieux mais elle était si légère que son corps se balançait au gré de mes envies. Même à travers la serviette, je sentais sa silhouette mince et ferme. Mes deux mains étaient suffisamment larges pour entourer sa taille de guêpe. Je pris un plaisir particulier à essuyer sa poitrine qui frémit sous mes doigts. Je m’accroupis pour essuyer le bas de son corps, en commençant pas sa croupe et ses divines petites fesses qui tenaient dans mes paumes. Je finis par ses jambes fuselées et ses petits petons. Je pris une autre serviette pour sécher ses cheveux fins et délicats. Elle avait détaché son chignon et ils tombaient délicatement sur ses épaules. Elle ouvrit les yeux en souriant et se tourna vers moi. Elle ne grelottait plus.


“Merci ma Belle, à moi de te sécher”


Elle saisit la serviette à peine humide et commença à essuyer mon corps de géante. je sentais ses petites mains parcourir ma peau. Elle frotta d’abord ma taille, mes larges fesses puis mes jambes. Julie fut surprise:


“Mais tu es super musclée ! Je ne m’attendais pas à ce que tu sois aussi ferme ! Tu dois être super forte ? J’aime ça ma grande …”


Elle se focalisa alors sur mon pubis qu’elle frotta avec délectation. Des ondes de plaisir se propageaient depuis sa main.


“J’aime ta toison. Elle est si douce”


Elle se pencha légèrement et commença à lécher ma fente. Mon corps vibrait et des gouttes de cyprine commençaient à ruisseler entre mes cuisses. Elle se concentra ensuite sur mes seins qu’elles essuya fermement. Elle me dit alors:


“Je suis trop petite pour essuyer tes cheveux, il va falloir que tu me soulèves”


Elle avait levé son genoux droit contre ma cuisse gauche. L’idée d’avoir son petit corps contre le mien me plut sauvagement. Je me baissai légèrement pour mettre mes mains sous ses adorables petites fesses et je soulevai ma princesse contre mon sein, soutenant tout son poids dans mes paumes. Elle était si légère ! Julie gémit d’excitation en se retrouvant contre moi.


“Tu es si forte ! J’adore ça ma belle amazone”


Je la tenais contre moi. Mon volumineux sein gauche s’étalait contre sa taille fine comme s’il voulait l'absorber. Elle avait mis ses jambes de part et d’autre de ma cage thoracique, ce qui l’obligeait à écarter ses cuisses largement. Je sentais son petit sexe humide contre ma peau. Son visage n’avais jamais été aussi proche du mien. Je voyais sa peau parfaite et son odeur m'enivrait. Ma main droite vint se placer derrière son dos pour approcher son petit visage du mien. Quand nos bouches furent l’une contre l’autre, elle ouvrit la sienne et fit pénétrer sa douce langue dans ma bouche. Je lui rendis son baiser langoureusement. Son rouge à lèvre avait un goût sucré. Je sentais son coeur battre contre mon sein que son corps comprimait. Elle approcha sa bouche de mon oreille et me susurra:


“Porte moi jusqu’à la chambre, j’ai très envie de toi...”

Elle enfouit sa tête dans mon cou qu’elle couvrit de baisers. Je marchai jusqu’à la chambre avec mon petit paquet de douceur dans les mains. Arrivée jusqu’au lit, je me penchai pour la poser délicatement sur le dos face à moi. Elle roula sur le coté pour se mettre à genoux et m’invita du bout du doigt:


“Vient t’allonger ma belle, je vais te faire l’amour”


J’allongeai ma grande carcasse sur le lit de Julie qui vint s’installer à quatre pattes entre mes jambes. J’écartai mes cuisses en remontant mes genoux pour lui permettre d’accéder facilement à ma chatte. Elle me faisait penser à une jeune guerrière qui partait à l’assaut d’une forteresse de tendresse. Toujours sur ses genoux, elle baissa sa bouche jusqu’à mon sexe ruisselant d’excitation, m’offrant ainsi une vue torride sur sa croupe. Elle se mit à lécher mes lèvres jusqu’à atteindre mon clitoris. Une vague de plaisir déferla sur mon corps. Je jetai ma tête à l’arrière cambrant mon dos pour m’offrir un peu plus à ma belle amante. Elle ondulait sa taille fine avec souplesse. Les muscles fins de son dos se dessinaient puis disparaissaient à chaque ondulation. Elle savait bien s’y prendre et je jouis rapidement, hurlant de plaisir. Julie se remit à genoux pour me regarder prendre mon plaisir et haleter. Elle penchait la tête avec un léger sourire, tenant ses cheveux dans ses mains. Elle se jeta alors à plat ventre sur mon torse pour atterrir sur mon énorme poitrine et m’embrasser fougueusement. Je passai ma main dans son dos pour toucher et palper ses magnifique petites fesses. Elle était allongée sur moi, battant des jambes d’excitation. Je serrai mon petit bijou dont tout le corps était allongé sur le mien, tel un chaton qui ronronnait de plaisir.


A suivre … (si cette première partie plaît suffisamment ... )

Les avis des lecteurs

j'ai vraiment vraiment adoré, je vous serai gré de nous donner la suite gracieuse dame

Histoire Erotique
super histoire.ca ma fait un grand plaisir.j'attent la suite....

Belle histoire, une pointe d'érotisme qui va se développer j'espère...

Histoire Erotique
Superbe, vite la suite

Histoire Libertine
L'histoire est très jolie,Julie est plus experte et plus vicieuse,mais faire l'amour avec Sophie cela me plairait beaucoup, goutter a sa toison bien fournie !J'aime les chattes bien poilues.La mienne est très humide Bise a toi Sophie.

Histoire Erotique
encore, plus érotique



Texte coquin : Julie, ma petite poupée
Histoire sexe : Une rose rouge
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