Julie - Une nouvelle vie: l'entretien (Partie 4)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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Julie - Une nouvelle vie: l'entretien (Partie 4)
Ça y est, le moment tant attendu est enfin arrivé, non sans mal ! En effet, après une action digne du site qu’elle a visité ce matin, Julie a tout de même réussi l’exploit d’avaler le sperme de cinq gars différents dans une seule et même série. Mais un petit incident de parcours l’a contrainte à se changer pour une tenue encore plus provoquante. Encore toute transpirante de ses échauffourées et du stress d’être en retard, Julie retire sa petite veste avant de pousser la porte du PMU, et c’est donc littéralement à moitié à poil que notre jeune héroïne se présente à Marco.
-Eh bien ! Eh bien ! Tu dois être notre petite Julie.
Un immense antillais accoudé au bar l’accueil avec son petit accent.
-Oui c’est ça Monsieur Marco. Je viens de la part d’Hector pour la visite de l’appartement.
-Bon au moins, à défaut d’autre chose, on ne peut pas te reprocher d’être en retard.
Une dizaine de clients dans le bar, et un jeune freluquet derrière le comptoir, le regard éberlué, reluquent la jeune bombasse qui vient de faire son apparition à l’entrée de l’établissement. Le géant d’1m95 facile, et d’un bon 120-130kg se déplace pour accueillir chaleureusement la jeune eurasienne. Lorsqu’il s’approche d’elle le contraste de gabarit est flagrant. Même perchée sur ses talons, Julie lui arrive à peine au niveau des pectoraux. C’est tout de même un sacré bébé qui s’approche d’elle, son immense main tendue en signe de bienvenue. Le quinquagénaire aux bras énormes, sa grosse bedaine débordant de son jean sous son marcel gris et tâché par le temps, l’accueil avec son plus beau sourire. Julie lui tend à son tour la main, qu’il attrape d’une poigne douce mais ferme.
-Bon on va quand même se faire la bise, non ? Les amis d’Hector sont aussi les miens.
Il pose sa grosse main sur la taille de Julie le pouce en l’air effleurant comme par hasard la base de son sein droit. Il lui claque une grosse bise sur la joue. Hector avait raison, il a l’air d’aimer les belles poules.
-Tu as dû avoir bien chaud durant le trajet, non ?
Zut ! Il a peut-être senti les relents de sueur et de sperme qu’elle devait encore dégager. Il va falloir la jouer fine sur ce coup-là.
-Oui en effet, et il y avait pas mal de monde, du coup les odeurs se mélangent vite.
Elle espère que son bobard va fonctionner !
-Hahahahaha, oui c’est vrai ça. Je te le concède !
Ouf, ça a l’air d’avoir pris.
-Est-ce qu’on peut te servir avoir à boire avant de commencer ?
Sans attendre de réponse, il commande une pression bien fraiche pour lui et un panaché pour Julie, en direction du jeune freluquet qu’elle devinait être Noé. Puis, il la conduit au comptoir pour discuter de l’appartement. Il la fait donc le précéder en direction du bar. Mais, à peine le seuil de la porte franchi, Julie reçoit l’air froid de la clim, surplombant l’entrée, directement sur le dos. Le choc thermique lui provoque une chair de poule immédiate sur tout le corps, et ses tétons, toujours sensibles à causes des derniers attouchements de Michel, redoublent de volume et de fermeté. Pour couronner le tout, chaque enjambée qu’elle fait relève sa micro jupe. Chaque bond de ses gros seins dans son tout petit top au tissu élastique risque d’exposer toujours un peu plus sa poitrine. Ce tissu est tout de même très agréable mais extrêmement glissant.
Elle aurait l’air fin de se retrouver les seins à l’air au milieu de tous ces mâles. Que faire avec cette tenue trop provoquante ? Elle peut soit se sentir gênée, soit suivre les conseils d’Hector et jouer de cette sensualité. N’écoutant que son courage, elle opte pour la deuxième solution et ma fois si les mecs veulent lui reluquer le cul, qu’ils le fassent. Sa démarche s’affirme un peu, elle se dirige vers le bar le cul à moitié dévoilé et les pointes de seins prêtes à bondir hors de leur prison de tissu, bien en avant. Au grand plaisir de ces messieurs apparemment :
-Eh ben Marco, tu nous présentes pas ta nouvelle serveuse ?
Marco éclate de rire devant la suggestion. Puis son regard change, il mate la belle Julie des pieds à la tête, et la main calée sous le menton comme si l’idée venait de germer de son esprit.
-Hey mais c’est une bonne idée ça ! Lance Marco en proposant un tabouret de bar à Julie.
Cette dernière prend place sur son tabouret, dévoilant à Marco le fin voile transparent couvrant son pubis imberbe.
-Qu’est-ce que vous voulez dire ? Lui répond-elle.
-Eh bien, Hector m’a bien prévenu que tu pourrais payer les premiers mois de loyer, le temps pour toi de trouver du taf. Or le taf dans le coin, y en a pas des masses, même pour une jolie poulette comme toi. Du coup, en plus de l’appartement, je pourrais te proposer un petit boulot de serveuse le soir. J’ai dû renvoyer la précédente parce qu’elle arrivait toujours en retard. Ce qui ne risque pas de t’arriver si tu habites juste au-dessus !
L’idée de décrocher un job et un appartement dans le même entretien est très séduisante pour Julie, elle se laisse tenter et répond qu’elle accepte.
-Hahahaha, oui tu acceptes, mais est-ce qu’au moins tu as des qualifications de serveuse ? Je n’ai pas encore dit que j’acceptais, ce n’est qu’une proposition !
-Tu peux pas lui dire non à ce p’tit cœur, lui sort un autre client.
-Tu sais, ce n’est pas si simple de s’occuper de la clientèle d’un bar comme le mien. Les clients du soir sont un peu particuliers, c’est pour ça que j’ai besoin d’une serveuse le soir. Mon bon Nono ne fait l’affaire qu’en journée. Le soir il relâche la pression avec le cuistot. Si tu vois ce que je veux dire.
Oui, cela semblait aussi un peu trop beau pour être vrai. En même temps, elle venait de sucer et avaler le sperme de six mecs, si elle comptait le sale coup que lui avait fait Issa, « son » petit arabe. Qu’est-ce que des vieux pervers alcolos pouvaient bien lui faire avec leurs queues toutes molles, sinon lui toucher les fesses de temps en temps et surtout lui reluquer les seins.
-Je veux bien relever le défi Monsieur Marco, dites-moi ce que je dois faire pour décrocher le job en plus de l’appart’ ?
-OK, mais dans ce cas, je ne te considère plus comme une amie d’Hector. Tu dois te débrouiller comme si on se connaissait pas ! Deal ?
-Deal ! Et elle lui tend la main comme pour sceller un pacte.
Marco lui apprend alors que la clientèle du soir est complétement différente de celle en journée. Les personnes peuvent être les mêmes, mais c’est leur comportement qui sera différent. Le soir, les gars viennent pour se détendre et sont prêt à payer pour consommer. Le job de Julie sera de tout faire pour les pousser à consommer encore plus, elle devra les aguicher, accepter de boire avec eux. A cet effet, Marco s’assure que Julie a bien 18ans révolu. Elle devra aussi peut-être accepter qu’ils la touchent, bref tout ce qu’il y a à faire pour les faire boire.
-Est-ce que tu es toujours partante ?
Julie pèse de nouveau la question mais reste sur son idée, elle veut bien faire un essai. Marco s’en réjouit, mais elle devra aussi se faire accepter par Nono le barman, et Jeannot le cuistot, qui en compensation des longues heures qu’ils font, ont droit à des petites faveurs de la serveuse. Vu le gabarit de Nono, et pensant que Jeannot comme le reste des clients ne devait pas pouvoir lui faire beaucoup plus de mal que ce qu’elle avait subi dans le bus, elle accepte aussi ces conditions. Marco lui propose alors un contrat pour l’essai stipulant qu’elle est bien consentante et que rien ne lui sera fait en dehors de ce que les clients et le personnel voudront bien lui faire. Elle le signe sans autre forme de procès.
-Bien, alors l’entretien va se passer sous forme de challenges. Je vais fermer l’établissement pour ne pas que l’on ne soit pas dérangé. Les clients que tu vois ici aujourd’hui font de toute façon partie des habitués, tu les serviras donc aussi en soirée.
-OK ! répond Julie toujours confiante.
-OK, alors le premier challenge sera de servir ces quinze lascars en moins d’une demi-heure. Tu dois aller prendre leur commande, répondre à toutes leurs attentes et leur servir ce qu’ils ont commandé.
Une demi-heure, ça lui donne deux minutes par client, ça semble amplement jouable. Elle descend de son tabouret, réajuste sa micro jupe sur ses fesses, attrape un plateau et se dirige vers le premier client. Julie lui demande alors, avec son plus beau sourire, ce qu’il souhaite boire, mais il préfère qu’elle le conseille. Elle lui propose alors un ensemble de boissons, de cocktails mais il refuse toutes ses offres. Merde, le temps passe et elle n’a toujours pas sa première commande. Elle regarde alors un peu désespérée en direction de Marco, qui lui retourne un sourire et un petit clin d’œil en direction de sa poitrine. Elle propose alors à son client de lui amener la boisson qu’il souhaite, seins nus. Le vieux, d’un grand sourire, lui demande alors une bière et lui soulève l’avant de son petit top. Ses gros seins se libèrent de leur carcan dans un joli balancement et il effleure ses gros tétons qui avaient perdu de leur dureté. Le frisson de ce touché futile leur redonne de la vigueur, et ils se mettent de nouveau à durcir et à bander sous le regard amusé du client. Par réflexe, Julie couvre ses seins de sa main libre et lance un petit regard outré au vieux.
-Vieux coquin, je vous avais proposer de VOUS ramener votre boisson les seins nus.
Libérant de nouveau ses seins au regard de l’assemblée, Julie se dirige vers le bar d’un pas pressé, mais déterminé. Les seins se balançant de haut en bas au rythme de ses pas, elle demande la bière pression à Nono qui la lui sert tout en reluquant ses gros nibards.
Une fois sa première commande satisfaite, elle prend tout de même le temps de replacer son top sur sa poitrine et se dirige vers le deuxième client. Il a l’air d’être fait du même bois que le premier. C’est donc naturellement qu’elle lui fait la même proposition. Ce qu’il accepte rapidement cette fois. Comme elle s’en doutait, la clientèle a l’air facile. Cette fois le vieux vicieux lui soulève aussi son petit top pour libérer ses obus et prend même le temps de jouer avec, de les malaxer, de rouler, et pincer les tétons entre ses gros doigts rugueux. Un peu désarçonnée par cette attention un peu brutale, se remémorant le plaisir qu’elle a pris à se faire engluer la bouche de sperme chaud quelques dizaines de minutes plus tôt, elle commence à prendre son pied. Serait-elle en train de virer nympho du quartier ?
Les trois commandes suivantes sont identiques, elle continue tout de même à remettre en place son top entre chacune, ce qui a l’air de plaire à Marco. Elle aussi, commence à aimer se faire tripoter les seins par ces vieux vicieux, ils sont d’ailleurs un peu plus entreprenant à chaque nouvelle commande. Certains lui sucent le bout du sein, d’autre lui passent la main au cul, et même lui frôlent dangereusement la chatte. Les aller et retours au bar ont pour effet de faire rentrer la ficelle de son string dans sa chatte. Et le frottement contre son clitoris la fait mouiller. Elle aime l’idée de se faire peloter par ces vieux vicelards, elle a presque envie de devenir leur chienne. L’idée la fait rougir et mouiller son string encore un peu plus.
Le huitième client s’en rend compte, et alors qu’il pelote ses gros seins ballottant pendant qu’elle écrit sa commande, il lui passe un doigt sous la jupe et lui caresse la fente bien humidifiée. Il remonte le long de sa chatte, lui écarte les grandes lèvres bien gonflées, décalotte son clito et commence à jouer avec en le faisant tourner contre son pubis. Déstabilisée, Julie doit se pencher pour prendre appui sur la table qui fait face au client pour ne pas tomber. Accoudée à la table, les nibards ballottant dans le vide, Julie cambre les reins et tend la croupe pour aller à la rencontre de ce doigt qui joue avec son petit bouton. Le client continue de faire rouler le clito sous son doigt, puis, écartant le petit bout de ficelle insère son majeur dans la chatte toute humide de sa serveuse. Haletante, elle se fait maintenant doigter devant tout le monde, la croupe bien tendue en arrière, les seins oscillant en rythme avec les pénétrations de cet inconnu. S’il arrive à la faire jouir juste avec un doigt dans la chatte, qu’est-ce qu’il doit savoir faire avec sa queue ? Il lui insère alors un deuxième doigt dans la fente.
-Oh oui ! Continue, fais-moi jouir !
C’est tellement bon que sa jouissance est sortie toute seule ! Il la travaille encore quelques instants, puis retire son deuxième doigt pour le diriger vers son petit trou. Bien humidifier de cyprine, il rentre quasiment tout seul sans forcer. Julie lâche alors son calepin sur la table, empoigne un de ses seins rapproche son téton bien dur et bien allongé de sa bouche et se met à le sucer avidement. La pointe de son sein en bouche, elle gémit sous l’effet de cette double pénétration. Toujours confortablement assis, il accélère le mouvement de ses doigts dans les deux trous de la serveuse, et lui masse de nouveau le clito. N’y tenant plus, elle lâche son sein, se contorsionne en direction de son amant, lui ouvre la braguette pour en sortir une belle queue bien dure au bout de laquelle pendent deux grosses couilles poilues et bien pleines.
Son client toujours en train d’astiquer ses deux trous, tend le bassin en avant et dirige la bouche de la belle asiatique vers sa queue. Elle attrape le morceau de chair bien dur d’une main et se met à le sucer, l’aspirer, l’astiquer sur toute sa longueur. Elle lui masse les couilles et continue de bien aspirer cette bite qui pue l’urine et la sueur. En pleine excitation, la jeune fille essaye de faire face à cette bite. Pliée en deux, les jambes bien tendues elle ouvre au maximum sa gorge pour y engouffrer la queue raide. Pour l’aider, il retire ses deux doigts. Bien humides et couverts de cyprine et de petites tâches marrons, il les sort dans un gros bruit de succion. En appui sur les cuisses du vieux, la bite au fond de la gorge, Julie gémit de jouissance lorsqu’il retire ses doigts. Le cul et la chatte dégagés, elle enjambe la table. Et c’est une croupe bien cambrée et bien ouverte, postée en dévers entre la table et le client, que Julie offre maintenant en spectacle à tout le bar.
Reprenant le pompage de son vieux, enivrée par les odeurs de rance qui se dégagent de cette vieille queue, elle sent une nouvelle paire de main lui caresser la croupe et la débarrasser de son string. Une autre paire de mains vient jouer avec ses grosses loches pendant dans le vide. Le mec derrière elle lui écarte les lobes fessiers et entreprend de lui lécher la chatte, il remonte ensuite la langue vers son petit anus encore ouvert. C’est bon ! La bite dans la bouche, elle émet un nouveau cri sourd de jouissance. Elle éjacule une bonne dose de cyprine tellement il l’a fait jouir. Elle n’a même pas perçu les mouvements qui se tramaient derrière elle. Marco a fait installer une seconde table, et la personne qui lui lèche la chatte et l’anus s’installe dessus. Il retire sa langue pour bien se placer derrière son cul et lui enfiche deux gros doigts dans la chatte. Il s’active et la fait mouiller de nouveau, les doigts bien lubrifiés de cyprine, il les retire et s’attaque à son anus avec autant d’ardeur.
Un nouvel acte se prépare dans la salle du bar, le client qui lui pelotait les seins, le ventre bedonnant, se place à genou sur la table derrière Julie, lui écarte les cuisses de ses deux mains et se met à lui lécher goulument la chatte. Il lui mordille le clito, repart à l’assaut de sa fente et arrive même à y entrer la langue. Son enculeur accélère encore le mouvement de ses doigts et c’est une nouvelle giclée de cyprine qu’elle éjacule dans la bouche de son nouvel amant. Ce dernier se retire, elle arrive à peine à entendre le zip de la braguette, sent malheureusement les doigts s’extirper de son anus en feu pour faire place à une grosse masse de chair qui vient en appui sur sa croupe tendue. Le vieux retire sa queue de la belle bouche pour laisser l’enculeur y insérer ses doigts dégoulinant. Dans son extase, Julie lui aspire les doigts et les lui nettoie. Une fois ce petit traitement terminé, le vieux lui présente à nouveau sa bite devant la bouche. L’attrape par les cheveux, et la guide vers sa queue pour qu’elle reprenne sa fellation.
Elle sent alors un gros gland se présenter à l’orée de sa chatte et d’une seule poussée, le gros bide plaqué sur ses reins, il la pénètre bien à fond et se met à la limer sans ménagement, ses seins se balançant au rythme des coups de butoirs. Chaque coup de queue secoue les belles mamelles pendues dans le vide, et propulse Julie vers l’avant la forçant à bien enfourner la bite qu’elle a dans la bouche. De ses grosses mains, il la force à se cambrer encore un peu plus. Julie sent le poids et la puissance de ce nouvelle amant. Elle sent le poids de ce gros bide qui lui claque les fesses à chaque coup de rein. Le vieux qui lui baise la bouche se lève de sa chaise, contraignant Julie à prendre appui sur le bord de la table. Il l’attrape par les cheveux, accélère le mouvement de sa bite dans la bouche pulpeuse, et la baise de plus en plus profondément. Julie est perdue dans sa jouissance, elle adore se faire démonter par ces vieux vicieux, elle est totalement soumise, perdue entre le gargouillis de cette bite qui lui fouille le fond de la gorge, et le claquement humide de ce gros bide plein de sueur contre ses fesses. Après quelques minutes de ce traitement, le vieux sort une queue dégoulinante de bave de la bouche de la belle, s’astique le manche devant ce joli minois, et se vide les couilles, de plusieurs giclées chaudes et gluantes, sur son visage et dans ses cheveux. Le gros qui la besognait toujours pendant sa douche de sperme, se retire lui aussi pour se vider les couilles entre les fesses de la belle, et lui couvre la rondelle de jute bien chaude.
Julie se redresse, le visage et les cheveux maculés de sperme bien chaud et bien gluant. Elle reste à genou sur la table, les fesses collées aux talons, la croupe bien cambrée. La jute dégouline de son petit cul, le long de sa chatte toujours bien ouverte, et forme une petite flaque blanchâtre sur la table. Les deux vieux se rhabillent et reprennent chacun leur place. Elle réalise alors que quelques clients sont en train soit de la filmer, soit de prendre des photos sur leurs phones. Jouant le jeu de la chaudasse jusqu’au bout, elle leur propose toute une série de pauses coquines, les seins toujours à l’air, et sa micro jupe toujours relevée sur sa belle croupe. Elle leur lance des regards gourmands, un doigt dans sa bouche pulpeuse. Elle joue avec le sperme qui coule lentement sur son joli minois, en récupère sur un doigt et l’avale avec gourmandise devant les objectifs de tous ces pervers.
Julie se met ensuite à quatre pattes, cambre bien les reins, plaque ses deux grosses loches sur le plateau de la table. D’une moue coquine, elle lèche la petite flaque de sperme encore tiède sur la table. Elle en récupère un peu sur son index droit. Une fois le doigt bien lubrifié, elle le dirige lentement à l’orée de son anus. Elle caresse sa pastille quelques instants, ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure, puis se pénètre très lentement goûtant pleinement ce nouveau plaisir. Elle n’aurait jamais pensé pouvoir jouir de l’anus, mais elle doit se rendre à l’évidence, elle aimerait bien se faire défoncer le cul. Elle se redresse de nouveau, le doigt toujours ancré dans l’anus, et de sa main libre commence à se caresser la poitrine. Elle se pince le téton gauche, le fait bien durcir entre ses doigts fins et délicats. Elle le dirige vers ses lèvres, l’aspire, le suce, le mordille, accélère sa masturbation anale. Elle le sent, elle va bientôt se faire jouir. Elle lâche son sein, puis dirige sa main gauche vers son pubis. Se redressant, elle tend son ventre vers l’avant, écarte ses grandes lèvres encore imbibées de sperme, fait ressortir son clito tout englué de sperme chaud, et commence à le masser. Il ne lui faut pas longtemps pour s’enfiler deux doigts dans la chatte bien trempée. Elle accélère le mouvement de ses deux mains, ferme les yeux, halète de plus en plus fort devant son audience.
-HUM, HUM, HUM ! AH AH AH AH ! Ouiiiiii !
Ça y est, elle jouit de nouveau les doigts enfichés dans ces deux trous. Une nouvelle dose de cyprine gicle sur la table et se mélange aux dernières traces de sperme.
Toute l’assemblée se met à l’applaudir, la siffler. Julie sort petit à petit de sa torpeur, reprend ses esprits. Elle commence à aimer jouer avec tout ce sperme, l’avaler, se caresser avec. Elle aime le contexte de soumission auquel il est associé. Elle n’en revient pas d’avoir lécher les doigts gluant de cyprine et de merde que lui a offert ce gros porc. Dans le feu de l’action elle pense même avoir aimer ça. Ces vieux pervers commencent-ils déjà à l’apprivoiser ?
Elle redescend de la table, replace sa micro jupe sur sa jolie croupe, recouvre ses tétons exacerbés de son mini top, et, le sperme toujours dégoulinant de son joli visage sert une bière aux deux clients qui l’ont tant fait jouir. Emportée par sa jouissance, elle n’a pas vu le temps passé, et n’a pas remarqué la magnifique beauté des îles qui avait rejoint l’antillais pendant que Julie se faisait troncher par ses clients.
Elle était superbe, athlétique, une belle poitrine bien ferme, un joli cul bien galbé, le teint légèrement métissé, une chevelure frisée typique. Elle observait Julie, gourmande, le regard en coin, la tête reposant sur l’épaule massive du quinqua.
-Julie, je te présente ma demi sœur Noémie. Elle devait passer s’occuper du bar pendant que je te faisais visiter les étages. Comme d’habitude elle est arrivée à la bourre, mais comme nous avons changé nos plans, elle a pu admirer ta performance.
-Bonjour ! Julie ? C’est ça ?
-Bonjour, oui c’est bien ça. Je viens de la part d’Hector pour visiter l’appart de votre frère.
-Hum, Hector, hein ? La belle lance un regard complice à son frère et, se retournant vers Julie ajoute : Pas de vouvoiement entre nous ma belle.
Noémie lâche le bras de son frère, se dirige lentement vers Julie, lui prend le visage entre ses mains longues et fines, et l’embrasse langoureusement sur la bouche. D’un doigt, elle récupère une bonne dose de sperme sur la joue de Julie, la dépose sur sa langue et roule une deuxième pelle à la jeune asiatique pour partager ce nectar doux et amer.
-Bon c’est bien beau tout ça, mais le temps imparti est écoulé et Il te reste tout de même six clients à servir ! Lui lance Marco, le regard impassible, toujours accoudé au bar. Mettant fin à cette scène lesbienne.
-Il est temps de passer à la dernière épreuve. Jeannot, Nono, c’est votre tour. Vous pouvez disposer d’elle comme bon vous semble.
-Eh bien ! Eh bien ! Tu dois être notre petite Julie.
Un immense antillais accoudé au bar l’accueil avec son petit accent.
-Oui c’est ça Monsieur Marco. Je viens de la part d’Hector pour la visite de l’appartement.
-Bon au moins, à défaut d’autre chose, on ne peut pas te reprocher d’être en retard.
Une dizaine de clients dans le bar, et un jeune freluquet derrière le comptoir, le regard éberlué, reluquent la jeune bombasse qui vient de faire son apparition à l’entrée de l’établissement. Le géant d’1m95 facile, et d’un bon 120-130kg se déplace pour accueillir chaleureusement la jeune eurasienne. Lorsqu’il s’approche d’elle le contraste de gabarit est flagrant. Même perchée sur ses talons, Julie lui arrive à peine au niveau des pectoraux. C’est tout de même un sacré bébé qui s’approche d’elle, son immense main tendue en signe de bienvenue. Le quinquagénaire aux bras énormes, sa grosse bedaine débordant de son jean sous son marcel gris et tâché par le temps, l’accueil avec son plus beau sourire. Julie lui tend à son tour la main, qu’il attrape d’une poigne douce mais ferme.
-Bon on va quand même se faire la bise, non ? Les amis d’Hector sont aussi les miens.
Il pose sa grosse main sur la taille de Julie le pouce en l’air effleurant comme par hasard la base de son sein droit. Il lui claque une grosse bise sur la joue. Hector avait raison, il a l’air d’aimer les belles poules.
-Tu as dû avoir bien chaud durant le trajet, non ?
Zut ! Il a peut-être senti les relents de sueur et de sperme qu’elle devait encore dégager. Il va falloir la jouer fine sur ce coup-là.
-Oui en effet, et il y avait pas mal de monde, du coup les odeurs se mélangent vite.
Elle espère que son bobard va fonctionner !
-Hahahahaha, oui c’est vrai ça. Je te le concède !
Ouf, ça a l’air d’avoir pris.
-Est-ce qu’on peut te servir avoir à boire avant de commencer ?
Sans attendre de réponse, il commande une pression bien fraiche pour lui et un panaché pour Julie, en direction du jeune freluquet qu’elle devinait être Noé. Puis, il la conduit au comptoir pour discuter de l’appartement. Il la fait donc le précéder en direction du bar. Mais, à peine le seuil de la porte franchi, Julie reçoit l’air froid de la clim, surplombant l’entrée, directement sur le dos. Le choc thermique lui provoque une chair de poule immédiate sur tout le corps, et ses tétons, toujours sensibles à causes des derniers attouchements de Michel, redoublent de volume et de fermeté. Pour couronner le tout, chaque enjambée qu’elle fait relève sa micro jupe. Chaque bond de ses gros seins dans son tout petit top au tissu élastique risque d’exposer toujours un peu plus sa poitrine. Ce tissu est tout de même très agréable mais extrêmement glissant.
Elle aurait l’air fin de se retrouver les seins à l’air au milieu de tous ces mâles. Que faire avec cette tenue trop provoquante ? Elle peut soit se sentir gênée, soit suivre les conseils d’Hector et jouer de cette sensualité. N’écoutant que son courage, elle opte pour la deuxième solution et ma fois si les mecs veulent lui reluquer le cul, qu’ils le fassent. Sa démarche s’affirme un peu, elle se dirige vers le bar le cul à moitié dévoilé et les pointes de seins prêtes à bondir hors de leur prison de tissu, bien en avant. Au grand plaisir de ces messieurs apparemment :
-Eh ben Marco, tu nous présentes pas ta nouvelle serveuse ?
Marco éclate de rire devant la suggestion. Puis son regard change, il mate la belle Julie des pieds à la tête, et la main calée sous le menton comme si l’idée venait de germer de son esprit.
-Hey mais c’est une bonne idée ça ! Lance Marco en proposant un tabouret de bar à Julie.
Cette dernière prend place sur son tabouret, dévoilant à Marco le fin voile transparent couvrant son pubis imberbe.
-Qu’est-ce que vous voulez dire ? Lui répond-elle.
-Eh bien, Hector m’a bien prévenu que tu pourrais payer les premiers mois de loyer, le temps pour toi de trouver du taf. Or le taf dans le coin, y en a pas des masses, même pour une jolie poulette comme toi. Du coup, en plus de l’appartement, je pourrais te proposer un petit boulot de serveuse le soir. J’ai dû renvoyer la précédente parce qu’elle arrivait toujours en retard. Ce qui ne risque pas de t’arriver si tu habites juste au-dessus !
L’idée de décrocher un job et un appartement dans le même entretien est très séduisante pour Julie, elle se laisse tenter et répond qu’elle accepte.
-Hahahaha, oui tu acceptes, mais est-ce qu’au moins tu as des qualifications de serveuse ? Je n’ai pas encore dit que j’acceptais, ce n’est qu’une proposition !
-Tu peux pas lui dire non à ce p’tit cœur, lui sort un autre client.
-Tu sais, ce n’est pas si simple de s’occuper de la clientèle d’un bar comme le mien. Les clients du soir sont un peu particuliers, c’est pour ça que j’ai besoin d’une serveuse le soir. Mon bon Nono ne fait l’affaire qu’en journée. Le soir il relâche la pression avec le cuistot. Si tu vois ce que je veux dire.
Oui, cela semblait aussi un peu trop beau pour être vrai. En même temps, elle venait de sucer et avaler le sperme de six mecs, si elle comptait le sale coup que lui avait fait Issa, « son » petit arabe. Qu’est-ce que des vieux pervers alcolos pouvaient bien lui faire avec leurs queues toutes molles, sinon lui toucher les fesses de temps en temps et surtout lui reluquer les seins.
-Je veux bien relever le défi Monsieur Marco, dites-moi ce que je dois faire pour décrocher le job en plus de l’appart’ ?
-OK, mais dans ce cas, je ne te considère plus comme une amie d’Hector. Tu dois te débrouiller comme si on se connaissait pas ! Deal ?
-Deal ! Et elle lui tend la main comme pour sceller un pacte.
Marco lui apprend alors que la clientèle du soir est complétement différente de celle en journée. Les personnes peuvent être les mêmes, mais c’est leur comportement qui sera différent. Le soir, les gars viennent pour se détendre et sont prêt à payer pour consommer. Le job de Julie sera de tout faire pour les pousser à consommer encore plus, elle devra les aguicher, accepter de boire avec eux. A cet effet, Marco s’assure que Julie a bien 18ans révolu. Elle devra aussi peut-être accepter qu’ils la touchent, bref tout ce qu’il y a à faire pour les faire boire.
-Est-ce que tu es toujours partante ?
Julie pèse de nouveau la question mais reste sur son idée, elle veut bien faire un essai. Marco s’en réjouit, mais elle devra aussi se faire accepter par Nono le barman, et Jeannot le cuistot, qui en compensation des longues heures qu’ils font, ont droit à des petites faveurs de la serveuse. Vu le gabarit de Nono, et pensant que Jeannot comme le reste des clients ne devait pas pouvoir lui faire beaucoup plus de mal que ce qu’elle avait subi dans le bus, elle accepte aussi ces conditions. Marco lui propose alors un contrat pour l’essai stipulant qu’elle est bien consentante et que rien ne lui sera fait en dehors de ce que les clients et le personnel voudront bien lui faire. Elle le signe sans autre forme de procès.
-Bien, alors l’entretien va se passer sous forme de challenges. Je vais fermer l’établissement pour ne pas que l’on ne soit pas dérangé. Les clients que tu vois ici aujourd’hui font de toute façon partie des habitués, tu les serviras donc aussi en soirée.
-OK ! répond Julie toujours confiante.
-OK, alors le premier challenge sera de servir ces quinze lascars en moins d’une demi-heure. Tu dois aller prendre leur commande, répondre à toutes leurs attentes et leur servir ce qu’ils ont commandé.
Une demi-heure, ça lui donne deux minutes par client, ça semble amplement jouable. Elle descend de son tabouret, réajuste sa micro jupe sur ses fesses, attrape un plateau et se dirige vers le premier client. Julie lui demande alors, avec son plus beau sourire, ce qu’il souhaite boire, mais il préfère qu’elle le conseille. Elle lui propose alors un ensemble de boissons, de cocktails mais il refuse toutes ses offres. Merde, le temps passe et elle n’a toujours pas sa première commande. Elle regarde alors un peu désespérée en direction de Marco, qui lui retourne un sourire et un petit clin d’œil en direction de sa poitrine. Elle propose alors à son client de lui amener la boisson qu’il souhaite, seins nus. Le vieux, d’un grand sourire, lui demande alors une bière et lui soulève l’avant de son petit top. Ses gros seins se libèrent de leur carcan dans un joli balancement et il effleure ses gros tétons qui avaient perdu de leur dureté. Le frisson de ce touché futile leur redonne de la vigueur, et ils se mettent de nouveau à durcir et à bander sous le regard amusé du client. Par réflexe, Julie couvre ses seins de sa main libre et lance un petit regard outré au vieux.
-Vieux coquin, je vous avais proposer de VOUS ramener votre boisson les seins nus.
Libérant de nouveau ses seins au regard de l’assemblée, Julie se dirige vers le bar d’un pas pressé, mais déterminé. Les seins se balançant de haut en bas au rythme de ses pas, elle demande la bière pression à Nono qui la lui sert tout en reluquant ses gros nibards.
Une fois sa première commande satisfaite, elle prend tout de même le temps de replacer son top sur sa poitrine et se dirige vers le deuxième client. Il a l’air d’être fait du même bois que le premier. C’est donc naturellement qu’elle lui fait la même proposition. Ce qu’il accepte rapidement cette fois. Comme elle s’en doutait, la clientèle a l’air facile. Cette fois le vieux vicieux lui soulève aussi son petit top pour libérer ses obus et prend même le temps de jouer avec, de les malaxer, de rouler, et pincer les tétons entre ses gros doigts rugueux. Un peu désarçonnée par cette attention un peu brutale, se remémorant le plaisir qu’elle a pris à se faire engluer la bouche de sperme chaud quelques dizaines de minutes plus tôt, elle commence à prendre son pied. Serait-elle en train de virer nympho du quartier ?
Les trois commandes suivantes sont identiques, elle continue tout de même à remettre en place son top entre chacune, ce qui a l’air de plaire à Marco. Elle aussi, commence à aimer se faire tripoter les seins par ces vieux vicieux, ils sont d’ailleurs un peu plus entreprenant à chaque nouvelle commande. Certains lui sucent le bout du sein, d’autre lui passent la main au cul, et même lui frôlent dangereusement la chatte. Les aller et retours au bar ont pour effet de faire rentrer la ficelle de son string dans sa chatte. Et le frottement contre son clitoris la fait mouiller. Elle aime l’idée de se faire peloter par ces vieux vicelards, elle a presque envie de devenir leur chienne. L’idée la fait rougir et mouiller son string encore un peu plus.
Le huitième client s’en rend compte, et alors qu’il pelote ses gros seins ballottant pendant qu’elle écrit sa commande, il lui passe un doigt sous la jupe et lui caresse la fente bien humidifiée. Il remonte le long de sa chatte, lui écarte les grandes lèvres bien gonflées, décalotte son clito et commence à jouer avec en le faisant tourner contre son pubis. Déstabilisée, Julie doit se pencher pour prendre appui sur la table qui fait face au client pour ne pas tomber. Accoudée à la table, les nibards ballottant dans le vide, Julie cambre les reins et tend la croupe pour aller à la rencontre de ce doigt qui joue avec son petit bouton. Le client continue de faire rouler le clito sous son doigt, puis, écartant le petit bout de ficelle insère son majeur dans la chatte toute humide de sa serveuse. Haletante, elle se fait maintenant doigter devant tout le monde, la croupe bien tendue en arrière, les seins oscillant en rythme avec les pénétrations de cet inconnu. S’il arrive à la faire jouir juste avec un doigt dans la chatte, qu’est-ce qu’il doit savoir faire avec sa queue ? Il lui insère alors un deuxième doigt dans la fente.
-Oh oui ! Continue, fais-moi jouir !
C’est tellement bon que sa jouissance est sortie toute seule ! Il la travaille encore quelques instants, puis retire son deuxième doigt pour le diriger vers son petit trou. Bien humidifier de cyprine, il rentre quasiment tout seul sans forcer. Julie lâche alors son calepin sur la table, empoigne un de ses seins rapproche son téton bien dur et bien allongé de sa bouche et se met à le sucer avidement. La pointe de son sein en bouche, elle gémit sous l’effet de cette double pénétration. Toujours confortablement assis, il accélère le mouvement de ses doigts dans les deux trous de la serveuse, et lui masse de nouveau le clito. N’y tenant plus, elle lâche son sein, se contorsionne en direction de son amant, lui ouvre la braguette pour en sortir une belle queue bien dure au bout de laquelle pendent deux grosses couilles poilues et bien pleines.
Son client toujours en train d’astiquer ses deux trous, tend le bassin en avant et dirige la bouche de la belle asiatique vers sa queue. Elle attrape le morceau de chair bien dur d’une main et se met à le sucer, l’aspirer, l’astiquer sur toute sa longueur. Elle lui masse les couilles et continue de bien aspirer cette bite qui pue l’urine et la sueur. En pleine excitation, la jeune fille essaye de faire face à cette bite. Pliée en deux, les jambes bien tendues elle ouvre au maximum sa gorge pour y engouffrer la queue raide. Pour l’aider, il retire ses deux doigts. Bien humides et couverts de cyprine et de petites tâches marrons, il les sort dans un gros bruit de succion. En appui sur les cuisses du vieux, la bite au fond de la gorge, Julie gémit de jouissance lorsqu’il retire ses doigts. Le cul et la chatte dégagés, elle enjambe la table. Et c’est une croupe bien cambrée et bien ouverte, postée en dévers entre la table et le client, que Julie offre maintenant en spectacle à tout le bar.
Reprenant le pompage de son vieux, enivrée par les odeurs de rance qui se dégagent de cette vieille queue, elle sent une nouvelle paire de main lui caresser la croupe et la débarrasser de son string. Une autre paire de mains vient jouer avec ses grosses loches pendant dans le vide. Le mec derrière elle lui écarte les lobes fessiers et entreprend de lui lécher la chatte, il remonte ensuite la langue vers son petit anus encore ouvert. C’est bon ! La bite dans la bouche, elle émet un nouveau cri sourd de jouissance. Elle éjacule une bonne dose de cyprine tellement il l’a fait jouir. Elle n’a même pas perçu les mouvements qui se tramaient derrière elle. Marco a fait installer une seconde table, et la personne qui lui lèche la chatte et l’anus s’installe dessus. Il retire sa langue pour bien se placer derrière son cul et lui enfiche deux gros doigts dans la chatte. Il s’active et la fait mouiller de nouveau, les doigts bien lubrifiés de cyprine, il les retire et s’attaque à son anus avec autant d’ardeur.
Un nouvel acte se prépare dans la salle du bar, le client qui lui pelotait les seins, le ventre bedonnant, se place à genou sur la table derrière Julie, lui écarte les cuisses de ses deux mains et se met à lui lécher goulument la chatte. Il lui mordille le clito, repart à l’assaut de sa fente et arrive même à y entrer la langue. Son enculeur accélère encore le mouvement de ses doigts et c’est une nouvelle giclée de cyprine qu’elle éjacule dans la bouche de son nouvel amant. Ce dernier se retire, elle arrive à peine à entendre le zip de la braguette, sent malheureusement les doigts s’extirper de son anus en feu pour faire place à une grosse masse de chair qui vient en appui sur sa croupe tendue. Le vieux retire sa queue de la belle bouche pour laisser l’enculeur y insérer ses doigts dégoulinant. Dans son extase, Julie lui aspire les doigts et les lui nettoie. Une fois ce petit traitement terminé, le vieux lui présente à nouveau sa bite devant la bouche. L’attrape par les cheveux, et la guide vers sa queue pour qu’elle reprenne sa fellation.
Elle sent alors un gros gland se présenter à l’orée de sa chatte et d’une seule poussée, le gros bide plaqué sur ses reins, il la pénètre bien à fond et se met à la limer sans ménagement, ses seins se balançant au rythme des coups de butoirs. Chaque coup de queue secoue les belles mamelles pendues dans le vide, et propulse Julie vers l’avant la forçant à bien enfourner la bite qu’elle a dans la bouche. De ses grosses mains, il la force à se cambrer encore un peu plus. Julie sent le poids et la puissance de ce nouvelle amant. Elle sent le poids de ce gros bide qui lui claque les fesses à chaque coup de rein. Le vieux qui lui baise la bouche se lève de sa chaise, contraignant Julie à prendre appui sur le bord de la table. Il l’attrape par les cheveux, accélère le mouvement de sa bite dans la bouche pulpeuse, et la baise de plus en plus profondément. Julie est perdue dans sa jouissance, elle adore se faire démonter par ces vieux vicieux, elle est totalement soumise, perdue entre le gargouillis de cette bite qui lui fouille le fond de la gorge, et le claquement humide de ce gros bide plein de sueur contre ses fesses. Après quelques minutes de ce traitement, le vieux sort une queue dégoulinante de bave de la bouche de la belle, s’astique le manche devant ce joli minois, et se vide les couilles, de plusieurs giclées chaudes et gluantes, sur son visage et dans ses cheveux. Le gros qui la besognait toujours pendant sa douche de sperme, se retire lui aussi pour se vider les couilles entre les fesses de la belle, et lui couvre la rondelle de jute bien chaude.
Julie se redresse, le visage et les cheveux maculés de sperme bien chaud et bien gluant. Elle reste à genou sur la table, les fesses collées aux talons, la croupe bien cambrée. La jute dégouline de son petit cul, le long de sa chatte toujours bien ouverte, et forme une petite flaque blanchâtre sur la table. Les deux vieux se rhabillent et reprennent chacun leur place. Elle réalise alors que quelques clients sont en train soit de la filmer, soit de prendre des photos sur leurs phones. Jouant le jeu de la chaudasse jusqu’au bout, elle leur propose toute une série de pauses coquines, les seins toujours à l’air, et sa micro jupe toujours relevée sur sa belle croupe. Elle leur lance des regards gourmands, un doigt dans sa bouche pulpeuse. Elle joue avec le sperme qui coule lentement sur son joli minois, en récupère sur un doigt et l’avale avec gourmandise devant les objectifs de tous ces pervers.
Julie se met ensuite à quatre pattes, cambre bien les reins, plaque ses deux grosses loches sur le plateau de la table. D’une moue coquine, elle lèche la petite flaque de sperme encore tiède sur la table. Elle en récupère un peu sur son index droit. Une fois le doigt bien lubrifié, elle le dirige lentement à l’orée de son anus. Elle caresse sa pastille quelques instants, ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure, puis se pénètre très lentement goûtant pleinement ce nouveau plaisir. Elle n’aurait jamais pensé pouvoir jouir de l’anus, mais elle doit se rendre à l’évidence, elle aimerait bien se faire défoncer le cul. Elle se redresse de nouveau, le doigt toujours ancré dans l’anus, et de sa main libre commence à se caresser la poitrine. Elle se pince le téton gauche, le fait bien durcir entre ses doigts fins et délicats. Elle le dirige vers ses lèvres, l’aspire, le suce, le mordille, accélère sa masturbation anale. Elle le sent, elle va bientôt se faire jouir. Elle lâche son sein, puis dirige sa main gauche vers son pubis. Se redressant, elle tend son ventre vers l’avant, écarte ses grandes lèvres encore imbibées de sperme, fait ressortir son clito tout englué de sperme chaud, et commence à le masser. Il ne lui faut pas longtemps pour s’enfiler deux doigts dans la chatte bien trempée. Elle accélère le mouvement de ses deux mains, ferme les yeux, halète de plus en plus fort devant son audience.
-HUM, HUM, HUM ! AH AH AH AH ! Ouiiiiii !
Ça y est, elle jouit de nouveau les doigts enfichés dans ces deux trous. Une nouvelle dose de cyprine gicle sur la table et se mélange aux dernières traces de sperme.
Toute l’assemblée se met à l’applaudir, la siffler. Julie sort petit à petit de sa torpeur, reprend ses esprits. Elle commence à aimer jouer avec tout ce sperme, l’avaler, se caresser avec. Elle aime le contexte de soumission auquel il est associé. Elle n’en revient pas d’avoir lécher les doigts gluant de cyprine et de merde que lui a offert ce gros porc. Dans le feu de l’action elle pense même avoir aimer ça. Ces vieux pervers commencent-ils déjà à l’apprivoiser ?
Elle redescend de la table, replace sa micro jupe sur sa jolie croupe, recouvre ses tétons exacerbés de son mini top, et, le sperme toujours dégoulinant de son joli visage sert une bière aux deux clients qui l’ont tant fait jouir. Emportée par sa jouissance, elle n’a pas vu le temps passé, et n’a pas remarqué la magnifique beauté des îles qui avait rejoint l’antillais pendant que Julie se faisait troncher par ses clients.
Elle était superbe, athlétique, une belle poitrine bien ferme, un joli cul bien galbé, le teint légèrement métissé, une chevelure frisée typique. Elle observait Julie, gourmande, le regard en coin, la tête reposant sur l’épaule massive du quinqua.
-Julie, je te présente ma demi sœur Noémie. Elle devait passer s’occuper du bar pendant que je te faisais visiter les étages. Comme d’habitude elle est arrivée à la bourre, mais comme nous avons changé nos plans, elle a pu admirer ta performance.
-Bonjour ! Julie ? C’est ça ?
-Bonjour, oui c’est bien ça. Je viens de la part d’Hector pour visiter l’appart de votre frère.
-Hum, Hector, hein ? La belle lance un regard complice à son frère et, se retournant vers Julie ajoute : Pas de vouvoiement entre nous ma belle.
Noémie lâche le bras de son frère, se dirige lentement vers Julie, lui prend le visage entre ses mains longues et fines, et l’embrasse langoureusement sur la bouche. D’un doigt, elle récupère une bonne dose de sperme sur la joue de Julie, la dépose sur sa langue et roule une deuxième pelle à la jeune asiatique pour partager ce nectar doux et amer.
-Bon c’est bien beau tout ça, mais le temps imparti est écoulé et Il te reste tout de même six clients à servir ! Lui lance Marco, le regard impassible, toujours accoudé au bar. Mettant fin à cette scène lesbienne.
-Il est temps de passer à la dernière épreuve. Jeannot, Nono, c’est votre tour. Vous pouvez disposer d’elle comme bon vous semble.
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