Julie - Une nouvelle vie: les collègues (Partie 5)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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Julie - Une nouvelle vie: les collègues (Partie 5)
Julie, qui tout d’abord était un peu gênée de se montrer en public à moitié à poil, finit par accepter son rôle de chaudasse, et relève le challenge lancé par Marco pour décrocher un job qui lui permettrait de payer son loyer. Elle doit alors servir les clients du bar et les convaincre de consommer. Ceux-ci se montrent très vite entreprenant avec la belle. Ils commencent par lui titiller les seins et le cul. Deux d’entre eux, qui ont bien senti qu’ils pouvaient faire d’elle leur chienne, vont encore plus loin. Ils la prennent sans ménagement devant toute l’assemblée au grand plaisir de la petite qui se régale de leur sperme et conclue son spectacle avec une double masturbation vaginale et anale. Elle fait par ailleurs connaissance avec la torride Noémie, demi-sœur métisse de l’antillais. Malheureusement, elle échoue à son premier challenge et se voit tout de même offerte en pâture à Nono et Jeannot.
Julie est doublement déstabilisée. Une magnifique jeune femme vient de lui rouler une grosse galoche pleine de sperme. Mais, c’est la remarque de Marco qui la surprend le plus.
-Comment ça : « Vous pouvez disposer d’elle comme bon vous semble. » ?
-Eh ben oui, regarde le contrat d’essai que tu as signé. J’ai bien stipulé : « Rien ne lui sera fait en dehors de ce que les clients et le personnel voudront bien lui faire … ».
Merde ! Elle ne l’avait pas vu venir ce coup-là. Ça lui apprendra à mieux lire ses contrats. La voici donc à la merci de Jeannot et de Nono. Qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir lui faire ? En plus, elle n’a même pas encore rencontré le cuistot.
-Ah mon Jeannot, te voilà donc mon bon. Lance soudain Marco se tournant en direction de la cuisine.
Julie se tourne elle aussi en direction de la cuisine, et Noémie, l’enserrant dans ses jolis bras lui susurre à l’oreille.
-Si tu as joui en te doigtant la pastille, prépare-toi à décoller !
Julie voit alors apparaître, sortant de la cuisine, une espèce de lourdaud dégarni, presqu’aussi grand que Marco, le bide poilu débordant de son marcel tâché et trempé de sueur, portant un seau à chaque main. L’un d’eux semble vide, quant au deuxième, il est empli d’un liquide blanchâtre fumant.
-Salut Noémie ! Lance le nouvel arrivant à la demi-sœur de Marco. Montre-moi un peu la marchandise !
Noémie, qui enlace toujours la petite asiatique, lui passe la main droite sous son petit top et dévoile le beau sein gauche au cuistot. Elle le soupèse, le caresse, et commence à en titiller le téton. Elle passe ensuite sa main gauche sous le tissu tendu de la micro jupe, écarte les grandes lèvres entre l’index et l’annulaire, et lui masse le clito de son majeur. C’est reparti, Julie recommence à jouir sous les doigts experts de la métisse, qui vient de lui rentrer le majeur dans la chatte et commence à la branler.
-Hum, ben mon vieux vous allez vous régaler. Elle est déjà toute trempée.
-Vous savez bien ce qui me fait bander les gars. Allongez-la et écartez-lui bien les cuisses. Ordonne le cuisinier à Nono et Noémie.
-Tu vas en prendre pour ton grade ma belle.
C’est Nono qui, pour la première fois, adresse la parole à Julie. Cette dernière, maintenant encadrée par le barman filiforme est l’antillaise envoutante, se laisse porter sur la table qu’elle avait maculé de sperme et de cyprine quelques instants plus tôt, les seins de nouveau à l’air. Ils la soutiennent sous les bras, lui écartant bien les cuisses pour exposer sa chatte lisse comme de la peau de pêche, et déjà luisante de mouille. Une fois allongée, la tête pendant dans le vide, sur le plateau froid et humide de la table, le grand dadais se place juste derrière elle. Il se penche au-dessus d’elle, lui attrape les deux obus de ses deux grandes mains et se met à les masser sans vergogne. De temps à autres, il les claque d’une tap franche, lui pince les tétons, les soulèvent en lui secouant les mamelons.
-Hum ! Ooooh ! Oui, fais-moi mal !
Julie ne se reconnait plus, d’abord elle avale le sperme d’inconnus, ensuite elle se fait baiser comme une chienne par une bande de vieux vicelards, et maintenant elle prend son pied à se faire maltraiter les seins par cette espèce de grande asperge au regard lubrique.
Nono abandonne les belles mamelles pour glisser ses mains sur le ventre nu de la belle asiatique. Elle se cambre en anticipation de se faire maltraiter la chatte par ces grands doigts musclés, mais est presque déçue lorsque ce dernier lui soulève les cuisses de l’intérieur pour lui attraper ensuite les mollets au lieu de s’occuper de sa chatte grande ouverte. Il les soulève, les écarte bien pour exposer la chatte et l’anus de la belle, puis amène les genoux de Julie au niveau de ses épaules. La voici presque dans la même position que celle qu’elle utilisait ce matin pour se branler la chatte et l’anus. Mais cette fois, elle ne maitrise plus rien, elle est totalement soumise à ses nouveaux tortionnaires. Noémie, qui a l’air d’être sous le charme de notre belle héroïne, ne peut s’empêcher de l’embrasser goulument à pleine langue. Ce qui ne déplait pas à Julie, c’est qu’elle sait y faire la salope. Les yeux fermés à apprécier ce baiser bien baveux, Julie entend le zip au-dessus de sa tête. Elle ouvre d’un coup les yeux pour voir Noémie déballer la grande queue toute molle et les grosses boules velues de Nono au-dessus de son joli visage toujours couvert du sperme de ses vieux. Noémie abandonne la bouche de Julie, au profit de la belle queue, digne de celle de Michel, qu’elle aspire goulument pour la faire bander. Nono, quant à lui, en profite pour placer ses grosses balloches au-dessus de la bouche ouverte de Julie qui les attrape entre ses doigts, les malaxe, les lèche. Elle essaie d’en gober une, mais elle est trop grosse pour entrer dans sa bouche. Enivrée par les effluves qui se dégagent de cette étreinte, elle commence à lui lécher le périnée, et attrape le vît toujours prisonnier des lèvres de Noémie pour le masturber en synchronisation avec la pipe de cette dernière. Noémie cale sa tête entre les deux obus, tend la main droite en direction de la chatte de Julie, et reprend la branlette de Julie en lui insérant deux doigts dans la chatte, elle passe sa main gauche sous sa propre jupe et commence à se masturber elle aussi. Nono attrape la tête de Noémie et s’active en lui baisant la bouche pendant que Julie lui lèche le périnée et l’anus poilus.
-Quel spectacle ces trois-là. Lance Marco à Jeannot qui est en train de préparer une grosse seringue en la remplissant du liquide blanc et fumant qu’il avait apporté dans son seau.
-Tu m’étonnes, mais il faut que je prépare la petite si moi aussi je veux en profiter.
Il approche l’embout de sa seringue de la petite pastille à peine dépucelée de Julie, récupère d’un doigt la mouille qui lui dégouline de la chatte que Noémie travaille toujours avec vigueur. Lubrifie l’orée de l’anus dont les muqueuses réagissent instantanément en se contractant sous ses caresses.
-Cette fois, je crois qu’elle est prête.
Jeannot appuie sur l’embout de la seringue qui pénètre l’intimité de Julie. Celle-ci réagit par un petit « HUM » de plaisir. Il lui injecte alors la totalité de son contenu dans le cul, ressort la seringue, la remplit de nouveau et répète l’opération de gavage anal trois fois de plus. Le ventre de Julie se distend un peu sous la pression. Jeannot approche alors le seau vide de la table, juste en dessous des fesses de Julie, puis il lui appuie sur le ventre pour le vider intégralement dans le seau. Un nouveau « HUM » de plaisir ou de satisfaction de la part de Julie se fait entendre.
-Voilà, maintenant elle a le cul bien propre, bien chaud et bien lubrifié. C’est une recette que j’avais mis au point pour la petite dernière avant qu’elle ne parte. Avec ça je pouvais bien la besogner.
-Oui je me souviens, on pouvait lui bouffer le cul. Ça avait un joli goût de vanille, c’est ça ?
-Ouais, exactement patron !
Jeannot est content que cela plaise aussi à son boss. Il avait concocté cette recette à base de lait, d’huile de karité ou de vanille et de vasodilatateur pour nettoyer et lubrifier le petit cul de la précédente serveuse et l’enculer à souhait. Il n’allait surement pas se priver de s’en servir pour cette nouvelle petite chienne.
Voyant que le cuisinier avait fini de préparer le petit cul de Julie, Nono relâche les mollets pour attraper sa queue, la sortir de la bouche baveuse de Noémie et la présenter à Julie. Le petite, ainsi libérée, se retourne à quatre pattes sur la table, aspire le gros gland bien gonflé entre ses lèvres, joue avec les grosses couilles d’une main, et branle le grand dard bien dur et lubrifié de salive de son autre main. Noémie se déplace subtilement au-dessus de Julie, lui écarte les lobes fessiers et lui lèche l’anus bien préparé par Jeannot. Nono ne tarde pas à jouir dans la bouche de Julie, et la lui remplit de bon sperme bien chaud et bien gluant. Noémie abandonne son anulingus, elle est remplacée immédiatement par la grosse langue de Jeannot qui se met à lécher le petit trou avec beaucoup de dextérité. Elle se replace devant Julie, l’embrasse de nouveau ardemment sur la bouche pour partager le sperme de Nono dans un long baiser baveux et gluant de foutre.
Julie est complétement perdue dans son extase, elle embrasse une magnifique créature la bouche pleine de sperme, elle se fait lécher l’anus par une langue experte qui l’amène au bord de la jouissance. Les clients qu’elle n’a pas encore servis se sont maintenant approchés de la table où elle s’exhibe sans vergogne, elle sent maintenant leurs mains baladeuses lui masser les seins, lui pincer les tétons, lui besogner la chatte à deux, trois, maintenant quatre doigts.
-HUM HUM ! GUM Oui En’o’e. Arrive-t ’elle à marmonner la langue gluante de sperme entortillée avec celle de Noémie.
Le gros Jeannot, qui commence tout juste avec elle dégage les clients qui branlaient encore la belle. Il lui appui de tout son poids sur les reins pour la cambrer un maximum, il tire son petit cul en arrière pour le baisser au bon niveau. Là, encore un peu, ça y est, il est satisfait, elle est à la bonne hauteur et dans le bon angle pour une bonne bourre. Noémie libère la bouche de la belle et se dirige vers Jeannot dont elle adore l’énorme bite, encore bien vigoureuse pour son âge. Julie a un peu de mal à reprendre son souffle. Toute excitée qu’elle est à l’idée de se faire défoncer à nouveau, elle propose à ses derniers clients :
-Si vous prenez une nouvelle bière chacun, je vous offre ma bouche comme vide couille. Je vous laisse me la besogner comme bon vous semble (pour reprendre les termes de son contrat).
Ils commandent alors tous une nouvelle tournée à Nono qui avait rejoint son poste. Ils se positionnent tous autour de la table de la belle, braguette ouverte à s’astiquer la queue pour elle. Noémie, qui sait très bien ce qu’il faut pour le faire durcir, eut tôt fait de déballer l’énorme morceau de chair encore tout mou de Jeannot. Elle le présente, avant tous les autres, à la bouche de Julie, qui les yeux éberlués par la taille de l’engin encore au repos, essaye tant bien que mal de la faire entrer dans sa bouche. Maintenant le cul de la jeune asiatique dans sa position basse et cambrée, elle se lubrifie quatre doigts en lui astiquant la chatte humide, pour ensuite s’attaquer à la petite pastille encore vierge de toute verge. Elle y insère deux doigts, la branle violemment pendant que la petite suce la grosse queue du vieux cuisinier, puis insère un troisième et enfin un quatrième doigt. Noémie transforme alors sa main en une sorte de cône et force à nouveau l’entrée du petit sphincter avec ses cinq doigts. Elle y est presque, sa main est bientôt complétement avalée par le petit anus. Grâce à ce spectacle, la queue de Jeannot commence à bien durcir dans la bouche de Julie.
-HUM ! HUM ! HUUUUUUUUM !
Julie a maintenant la bouche et l’anus complétement dilatés par cette double pénétration hors norme. Elle est perdue entre la jouissance et la douleur. Noémie lui branle maintenant le cul, et la douleur initiale s’est transformée en jouissance pure. Elle vient même de s’insérer deux doigts dans la chatte et se masturbe en cadence avec Noémie. Jeannot qui n’en peut plus de cette bouche trop serrée s’est retiré pour laisser la place aux six derniers clients. Deux d’entre eux se présentent à la bouche de Julie, qui s’empresse de les avaler goulument. Jeannot écarte gentiment la main de Noémie du petit trou qu’elle lui a préparé, positionne son gros gland contre la petite pastille qui se rétracte déjà. Il crache un énorme molard entre son gland et l’anus de la petite, alors que Noémie, toute fière qu’elle est d’avoir préparé la petite à recevoir cette grosse queue, rejoint son frère au bar. Julie, elle, travaille toujours ses clients. Ou plutôt leurs bites, elle alterne entre les deux, en masturbe un pendant qu’elle suce l’autre. Jeannot, de son côté, lui écarte bien les lobes fessiers et pousse pour faire entrer son gros gland dans le petit trou.
-Vas-y ma belle, pousse comme si tu voulais chier. Tu verras, ça rentre tout seul.
Sur ce petit conseil de Noémie, Julie aspire sur la belle queue qui se vide dans sa bouche, tout en poussant comme si elle chiait. « HAN », d’une belle poussée, le cuistot a fini par entrer son gros gland. Il commence à besogner le petit anus allant toujours plus profond à chaque nouvelle poussée. En quelques coups de reins, il s’est enfoncé jusqu’à la garde. Il profite quelques instants de ce petit cul tout serré autour de sa grosse queue. Ses grosses couilles en contact avec la chatte humide de Julie, il se retire doucement du petit trou. Son gros gland à peine sorti du petit sphincter, il part à nouveau à l’assaut de ce petit cul. Chaque coup de rein qu’il donne est plus fort que le précédent. A chaque coup de butoir au fond de la petite, ses grosses burnes viennent claquer contre la chatte de Julie et lui tire un nouveau cri de jouissance. Il se démène maintenant entre ces deux petites fesses. Il les lui lâche pour s’avancer et lui attraper les grosses loches de ses grandes paluches puissantes, son gros bide poilus et mouillé de sueur appuyé sur la cambrure des reins de la jeune fille. Julie écarte encore un peu plus les cuisses pour lui permettre une pénétration plus profonde. Dans cette nouvelle position encore plus ouverte et bien agrippé à ces belles mamelles, le cuistot besogne la petite avec encore plus de force et d’amplitude.
Julie jouit comme une folle sous les assauts puissants et répétés de son enculeur. Un deuxième client déverse son sperme visqueux au fond de la gorge de la belle, qui jouit la bouche pleine dans un gargouillis de sperme. Il retire sa queue, et elle avale tant bien que mal le foutre entre deux cris de jouissance. Un troisième puis un quatrième client se vident les couilles simultanément sur son petit minois, déformé par la jouissance de se faire besogner le derrière par ce monstre.
-HA ! HA ! HA ! HA ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! C’est bon ! Défonce moi bien l’cul gros porc !
Est-ce que c’est bien la petite fille sage qui, il y quelques mois encore, allait passer son bac en jogging bouffant et basket, et qui maintenant se faisait défoncer la chatte et l’anus par tous ces inconnus, et qui avalait tout ce sperme quasiment à poil dans un bar de banlieue ?
Encore quelques giclés dans la bouche par les deux derniers clients, et Jeannot se retire de son petit trou, puis la retourne à plat dos comme un fétu de paille. Il contourne la table et vide à son tour ses grosses bourses dans la bouche ouverte de la belle. Julie essaye d’avaler le flot de sperme, au goût vanille, qui se déverse au fond de sa gorge. Qu’est-ce que c’est bon, cinq, six giclés, ça y est ça se calme, il déverse les dernières gouttes sur les belles lèvres pulpeuses qui se referment sur le gland déjà en train de dégonfler. Julie, les jambes bien écartées et les reins cambrés, se branle la chatte et attrape la bite qui ramollit de sa main libre. Elle se calme, la bouche toujours pleine de foutre, elle retire les doigts de sa chatte, lui fait un petit bisou sur le gland, comme pour le remercier de l’avoir si bien défoncée. Elle s’assoit sur la table, en appui sur la main droite, les jambes toujours écartées, l’index gauche sur la bouche fermée et encore pleine de sperme. Elle déglutit et avale tout d’un coup, puis d’un sourire et d’un regard coquin, le visage dégoulinant de foutre, et le doigt sur les lèvres, elle dit :
-Merci à tous !
Elle conclue cette séance d’essai par un petit clin d’œil à l’attention de Marco.
-Eh ben dis-moi, ça c’était une belle séance. Comment te sens-tu, ma belle ? Lui demande Marco qui s’était approché de la table pour l’aider à redescendre.
Julie se remet difficilement de ses émotions, et se dresse les jambes un peu flageolantes. Elle a encore le visage plein de foutre dégoulinant, qu’elle récupère de ses doigts pour l’avaler et ne pas en perdre une goutte. Elle repositionne sa micro jupe sur ses reins, et son petit top sur ses seins. Elle pue la sueur, le sperme et la vanille mélangés, mais est satisfaite de sa prestation.
-Oui tu peux être fière de toi, tu as su contenter tous les clients. Belle initiative sur la fin d’ailleurs ! Tu as rendu le sourire à Nono qui était tout triste depuis le départ de ma dernière serveuse. Et tu as même pu encaisser le pilonnage de ce gros sac de Jeannot. Nan, franchement, très belle prestation. Si tu es toujours d’accord pour le job, il ne nous reste plus qu’à visiter l’appart’ au troisième et je pense qu’on pourra s’entendre.
-Merci ! Lui répond Julie d’un grand sourire. Mais je pensais que vous seriez le troisième challenge, M’sieur Marco. Lui dit-elle d’une petite moue un peu déçue.
-Hahahahahaha, non je ne me tape pas les employées. C’est mauvais pour les affaires. Par contre si l’appart’ te convient, tu pourras prendre une petite douche avant de repartir. Je ne pense pas que tes parents vont apprécier de te voir rentrer dans un tel état.
-Hihihihihi, oui en effet ce ne serait pas du luxe.
-Bon, ben on va monter que tu puisses visiter et me donner ta réponse définitive.
Suivant le mouvement de bras de Marco qui l’invite à prendre un petit couloir sur le côté de son bar, Julie le précède un petit sourire au coin des lèvres, et une idée en tête. Elle compte bien se faire monter par le gros antillais !
Julie est doublement déstabilisée. Une magnifique jeune femme vient de lui rouler une grosse galoche pleine de sperme. Mais, c’est la remarque de Marco qui la surprend le plus.
-Comment ça : « Vous pouvez disposer d’elle comme bon vous semble. » ?
-Eh ben oui, regarde le contrat d’essai que tu as signé. J’ai bien stipulé : « Rien ne lui sera fait en dehors de ce que les clients et le personnel voudront bien lui faire … ».
Merde ! Elle ne l’avait pas vu venir ce coup-là. Ça lui apprendra à mieux lire ses contrats. La voici donc à la merci de Jeannot et de Nono. Qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir lui faire ? En plus, elle n’a même pas encore rencontré le cuistot.
-Ah mon Jeannot, te voilà donc mon bon. Lance soudain Marco se tournant en direction de la cuisine.
Julie se tourne elle aussi en direction de la cuisine, et Noémie, l’enserrant dans ses jolis bras lui susurre à l’oreille.
-Si tu as joui en te doigtant la pastille, prépare-toi à décoller !
Julie voit alors apparaître, sortant de la cuisine, une espèce de lourdaud dégarni, presqu’aussi grand que Marco, le bide poilu débordant de son marcel tâché et trempé de sueur, portant un seau à chaque main. L’un d’eux semble vide, quant au deuxième, il est empli d’un liquide blanchâtre fumant.
-Salut Noémie ! Lance le nouvel arrivant à la demi-sœur de Marco. Montre-moi un peu la marchandise !
Noémie, qui enlace toujours la petite asiatique, lui passe la main droite sous son petit top et dévoile le beau sein gauche au cuistot. Elle le soupèse, le caresse, et commence à en titiller le téton. Elle passe ensuite sa main gauche sous le tissu tendu de la micro jupe, écarte les grandes lèvres entre l’index et l’annulaire, et lui masse le clito de son majeur. C’est reparti, Julie recommence à jouir sous les doigts experts de la métisse, qui vient de lui rentrer le majeur dans la chatte et commence à la branler.
-Hum, ben mon vieux vous allez vous régaler. Elle est déjà toute trempée.
-Vous savez bien ce qui me fait bander les gars. Allongez-la et écartez-lui bien les cuisses. Ordonne le cuisinier à Nono et Noémie.
-Tu vas en prendre pour ton grade ma belle.
C’est Nono qui, pour la première fois, adresse la parole à Julie. Cette dernière, maintenant encadrée par le barman filiforme est l’antillaise envoutante, se laisse porter sur la table qu’elle avait maculé de sperme et de cyprine quelques instants plus tôt, les seins de nouveau à l’air. Ils la soutiennent sous les bras, lui écartant bien les cuisses pour exposer sa chatte lisse comme de la peau de pêche, et déjà luisante de mouille. Une fois allongée, la tête pendant dans le vide, sur le plateau froid et humide de la table, le grand dadais se place juste derrière elle. Il se penche au-dessus d’elle, lui attrape les deux obus de ses deux grandes mains et se met à les masser sans vergogne. De temps à autres, il les claque d’une tap franche, lui pince les tétons, les soulèvent en lui secouant les mamelons.
-Hum ! Ooooh ! Oui, fais-moi mal !
Julie ne se reconnait plus, d’abord elle avale le sperme d’inconnus, ensuite elle se fait baiser comme une chienne par une bande de vieux vicelards, et maintenant elle prend son pied à se faire maltraiter les seins par cette espèce de grande asperge au regard lubrique.
Nono abandonne les belles mamelles pour glisser ses mains sur le ventre nu de la belle asiatique. Elle se cambre en anticipation de se faire maltraiter la chatte par ces grands doigts musclés, mais est presque déçue lorsque ce dernier lui soulève les cuisses de l’intérieur pour lui attraper ensuite les mollets au lieu de s’occuper de sa chatte grande ouverte. Il les soulève, les écarte bien pour exposer la chatte et l’anus de la belle, puis amène les genoux de Julie au niveau de ses épaules. La voici presque dans la même position que celle qu’elle utilisait ce matin pour se branler la chatte et l’anus. Mais cette fois, elle ne maitrise plus rien, elle est totalement soumise à ses nouveaux tortionnaires. Noémie, qui a l’air d’être sous le charme de notre belle héroïne, ne peut s’empêcher de l’embrasser goulument à pleine langue. Ce qui ne déplait pas à Julie, c’est qu’elle sait y faire la salope. Les yeux fermés à apprécier ce baiser bien baveux, Julie entend le zip au-dessus de sa tête. Elle ouvre d’un coup les yeux pour voir Noémie déballer la grande queue toute molle et les grosses boules velues de Nono au-dessus de son joli visage toujours couvert du sperme de ses vieux. Noémie abandonne la bouche de Julie, au profit de la belle queue, digne de celle de Michel, qu’elle aspire goulument pour la faire bander. Nono, quant à lui, en profite pour placer ses grosses balloches au-dessus de la bouche ouverte de Julie qui les attrape entre ses doigts, les malaxe, les lèche. Elle essaie d’en gober une, mais elle est trop grosse pour entrer dans sa bouche. Enivrée par les effluves qui se dégagent de cette étreinte, elle commence à lui lécher le périnée, et attrape le vît toujours prisonnier des lèvres de Noémie pour le masturber en synchronisation avec la pipe de cette dernière. Noémie cale sa tête entre les deux obus, tend la main droite en direction de la chatte de Julie, et reprend la branlette de Julie en lui insérant deux doigts dans la chatte, elle passe sa main gauche sous sa propre jupe et commence à se masturber elle aussi. Nono attrape la tête de Noémie et s’active en lui baisant la bouche pendant que Julie lui lèche le périnée et l’anus poilus.
-Quel spectacle ces trois-là. Lance Marco à Jeannot qui est en train de préparer une grosse seringue en la remplissant du liquide blanc et fumant qu’il avait apporté dans son seau.
-Tu m’étonnes, mais il faut que je prépare la petite si moi aussi je veux en profiter.
Il approche l’embout de sa seringue de la petite pastille à peine dépucelée de Julie, récupère d’un doigt la mouille qui lui dégouline de la chatte que Noémie travaille toujours avec vigueur. Lubrifie l’orée de l’anus dont les muqueuses réagissent instantanément en se contractant sous ses caresses.
-Cette fois, je crois qu’elle est prête.
Jeannot appuie sur l’embout de la seringue qui pénètre l’intimité de Julie. Celle-ci réagit par un petit « HUM » de plaisir. Il lui injecte alors la totalité de son contenu dans le cul, ressort la seringue, la remplit de nouveau et répète l’opération de gavage anal trois fois de plus. Le ventre de Julie se distend un peu sous la pression. Jeannot approche alors le seau vide de la table, juste en dessous des fesses de Julie, puis il lui appuie sur le ventre pour le vider intégralement dans le seau. Un nouveau « HUM » de plaisir ou de satisfaction de la part de Julie se fait entendre.
-Voilà, maintenant elle a le cul bien propre, bien chaud et bien lubrifié. C’est une recette que j’avais mis au point pour la petite dernière avant qu’elle ne parte. Avec ça je pouvais bien la besogner.
-Oui je me souviens, on pouvait lui bouffer le cul. Ça avait un joli goût de vanille, c’est ça ?
-Ouais, exactement patron !
Jeannot est content que cela plaise aussi à son boss. Il avait concocté cette recette à base de lait, d’huile de karité ou de vanille et de vasodilatateur pour nettoyer et lubrifier le petit cul de la précédente serveuse et l’enculer à souhait. Il n’allait surement pas se priver de s’en servir pour cette nouvelle petite chienne.
Voyant que le cuisinier avait fini de préparer le petit cul de Julie, Nono relâche les mollets pour attraper sa queue, la sortir de la bouche baveuse de Noémie et la présenter à Julie. Le petite, ainsi libérée, se retourne à quatre pattes sur la table, aspire le gros gland bien gonflé entre ses lèvres, joue avec les grosses couilles d’une main, et branle le grand dard bien dur et lubrifié de salive de son autre main. Noémie se déplace subtilement au-dessus de Julie, lui écarte les lobes fessiers et lui lèche l’anus bien préparé par Jeannot. Nono ne tarde pas à jouir dans la bouche de Julie, et la lui remplit de bon sperme bien chaud et bien gluant. Noémie abandonne son anulingus, elle est remplacée immédiatement par la grosse langue de Jeannot qui se met à lécher le petit trou avec beaucoup de dextérité. Elle se replace devant Julie, l’embrasse de nouveau ardemment sur la bouche pour partager le sperme de Nono dans un long baiser baveux et gluant de foutre.
Julie est complétement perdue dans son extase, elle embrasse une magnifique créature la bouche pleine de sperme, elle se fait lécher l’anus par une langue experte qui l’amène au bord de la jouissance. Les clients qu’elle n’a pas encore servis se sont maintenant approchés de la table où elle s’exhibe sans vergogne, elle sent maintenant leurs mains baladeuses lui masser les seins, lui pincer les tétons, lui besogner la chatte à deux, trois, maintenant quatre doigts.
-HUM HUM ! GUM Oui En’o’e. Arrive-t ’elle à marmonner la langue gluante de sperme entortillée avec celle de Noémie.
Le gros Jeannot, qui commence tout juste avec elle dégage les clients qui branlaient encore la belle. Il lui appui de tout son poids sur les reins pour la cambrer un maximum, il tire son petit cul en arrière pour le baisser au bon niveau. Là, encore un peu, ça y est, il est satisfait, elle est à la bonne hauteur et dans le bon angle pour une bonne bourre. Noémie libère la bouche de la belle et se dirige vers Jeannot dont elle adore l’énorme bite, encore bien vigoureuse pour son âge. Julie a un peu de mal à reprendre son souffle. Toute excitée qu’elle est à l’idée de se faire défoncer à nouveau, elle propose à ses derniers clients :
-Si vous prenez une nouvelle bière chacun, je vous offre ma bouche comme vide couille. Je vous laisse me la besogner comme bon vous semble (pour reprendre les termes de son contrat).
Ils commandent alors tous une nouvelle tournée à Nono qui avait rejoint son poste. Ils se positionnent tous autour de la table de la belle, braguette ouverte à s’astiquer la queue pour elle. Noémie, qui sait très bien ce qu’il faut pour le faire durcir, eut tôt fait de déballer l’énorme morceau de chair encore tout mou de Jeannot. Elle le présente, avant tous les autres, à la bouche de Julie, qui les yeux éberlués par la taille de l’engin encore au repos, essaye tant bien que mal de la faire entrer dans sa bouche. Maintenant le cul de la jeune asiatique dans sa position basse et cambrée, elle se lubrifie quatre doigts en lui astiquant la chatte humide, pour ensuite s’attaquer à la petite pastille encore vierge de toute verge. Elle y insère deux doigts, la branle violemment pendant que la petite suce la grosse queue du vieux cuisinier, puis insère un troisième et enfin un quatrième doigt. Noémie transforme alors sa main en une sorte de cône et force à nouveau l’entrée du petit sphincter avec ses cinq doigts. Elle y est presque, sa main est bientôt complétement avalée par le petit anus. Grâce à ce spectacle, la queue de Jeannot commence à bien durcir dans la bouche de Julie.
-HUM ! HUM ! HUUUUUUUUM !
Julie a maintenant la bouche et l’anus complétement dilatés par cette double pénétration hors norme. Elle est perdue entre la jouissance et la douleur. Noémie lui branle maintenant le cul, et la douleur initiale s’est transformée en jouissance pure. Elle vient même de s’insérer deux doigts dans la chatte et se masturbe en cadence avec Noémie. Jeannot qui n’en peut plus de cette bouche trop serrée s’est retiré pour laisser la place aux six derniers clients. Deux d’entre eux se présentent à la bouche de Julie, qui s’empresse de les avaler goulument. Jeannot écarte gentiment la main de Noémie du petit trou qu’elle lui a préparé, positionne son gros gland contre la petite pastille qui se rétracte déjà. Il crache un énorme molard entre son gland et l’anus de la petite, alors que Noémie, toute fière qu’elle est d’avoir préparé la petite à recevoir cette grosse queue, rejoint son frère au bar. Julie, elle, travaille toujours ses clients. Ou plutôt leurs bites, elle alterne entre les deux, en masturbe un pendant qu’elle suce l’autre. Jeannot, de son côté, lui écarte bien les lobes fessiers et pousse pour faire entrer son gros gland dans le petit trou.
-Vas-y ma belle, pousse comme si tu voulais chier. Tu verras, ça rentre tout seul.
Sur ce petit conseil de Noémie, Julie aspire sur la belle queue qui se vide dans sa bouche, tout en poussant comme si elle chiait. « HAN », d’une belle poussée, le cuistot a fini par entrer son gros gland. Il commence à besogner le petit anus allant toujours plus profond à chaque nouvelle poussée. En quelques coups de reins, il s’est enfoncé jusqu’à la garde. Il profite quelques instants de ce petit cul tout serré autour de sa grosse queue. Ses grosses couilles en contact avec la chatte humide de Julie, il se retire doucement du petit trou. Son gros gland à peine sorti du petit sphincter, il part à nouveau à l’assaut de ce petit cul. Chaque coup de rein qu’il donne est plus fort que le précédent. A chaque coup de butoir au fond de la petite, ses grosses burnes viennent claquer contre la chatte de Julie et lui tire un nouveau cri de jouissance. Il se démène maintenant entre ces deux petites fesses. Il les lui lâche pour s’avancer et lui attraper les grosses loches de ses grandes paluches puissantes, son gros bide poilus et mouillé de sueur appuyé sur la cambrure des reins de la jeune fille. Julie écarte encore un peu plus les cuisses pour lui permettre une pénétration plus profonde. Dans cette nouvelle position encore plus ouverte et bien agrippé à ces belles mamelles, le cuistot besogne la petite avec encore plus de force et d’amplitude.
Julie jouit comme une folle sous les assauts puissants et répétés de son enculeur. Un deuxième client déverse son sperme visqueux au fond de la gorge de la belle, qui jouit la bouche pleine dans un gargouillis de sperme. Il retire sa queue, et elle avale tant bien que mal le foutre entre deux cris de jouissance. Un troisième puis un quatrième client se vident les couilles simultanément sur son petit minois, déformé par la jouissance de se faire besogner le derrière par ce monstre.
-HA ! HA ! HA ! HA ! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! C’est bon ! Défonce moi bien l’cul gros porc !
Est-ce que c’est bien la petite fille sage qui, il y quelques mois encore, allait passer son bac en jogging bouffant et basket, et qui maintenant se faisait défoncer la chatte et l’anus par tous ces inconnus, et qui avalait tout ce sperme quasiment à poil dans un bar de banlieue ?
Encore quelques giclés dans la bouche par les deux derniers clients, et Jeannot se retire de son petit trou, puis la retourne à plat dos comme un fétu de paille. Il contourne la table et vide à son tour ses grosses bourses dans la bouche ouverte de la belle. Julie essaye d’avaler le flot de sperme, au goût vanille, qui se déverse au fond de sa gorge. Qu’est-ce que c’est bon, cinq, six giclés, ça y est ça se calme, il déverse les dernières gouttes sur les belles lèvres pulpeuses qui se referment sur le gland déjà en train de dégonfler. Julie, les jambes bien écartées et les reins cambrés, se branle la chatte et attrape la bite qui ramollit de sa main libre. Elle se calme, la bouche toujours pleine de foutre, elle retire les doigts de sa chatte, lui fait un petit bisou sur le gland, comme pour le remercier de l’avoir si bien défoncée. Elle s’assoit sur la table, en appui sur la main droite, les jambes toujours écartées, l’index gauche sur la bouche fermée et encore pleine de sperme. Elle déglutit et avale tout d’un coup, puis d’un sourire et d’un regard coquin, le visage dégoulinant de foutre, et le doigt sur les lèvres, elle dit :
-Merci à tous !
Elle conclue cette séance d’essai par un petit clin d’œil à l’attention de Marco.
-Eh ben dis-moi, ça c’était une belle séance. Comment te sens-tu, ma belle ? Lui demande Marco qui s’était approché de la table pour l’aider à redescendre.
Julie se remet difficilement de ses émotions, et se dresse les jambes un peu flageolantes. Elle a encore le visage plein de foutre dégoulinant, qu’elle récupère de ses doigts pour l’avaler et ne pas en perdre une goutte. Elle repositionne sa micro jupe sur ses reins, et son petit top sur ses seins. Elle pue la sueur, le sperme et la vanille mélangés, mais est satisfaite de sa prestation.
-Oui tu peux être fière de toi, tu as su contenter tous les clients. Belle initiative sur la fin d’ailleurs ! Tu as rendu le sourire à Nono qui était tout triste depuis le départ de ma dernière serveuse. Et tu as même pu encaisser le pilonnage de ce gros sac de Jeannot. Nan, franchement, très belle prestation. Si tu es toujours d’accord pour le job, il ne nous reste plus qu’à visiter l’appart’ au troisième et je pense qu’on pourra s’entendre.
-Merci ! Lui répond Julie d’un grand sourire. Mais je pensais que vous seriez le troisième challenge, M’sieur Marco. Lui dit-elle d’une petite moue un peu déçue.
-Hahahahahaha, non je ne me tape pas les employées. C’est mauvais pour les affaires. Par contre si l’appart’ te convient, tu pourras prendre une petite douche avant de repartir. Je ne pense pas que tes parents vont apprécier de te voir rentrer dans un tel état.
-Hihihihihi, oui en effet ce ne serait pas du luxe.
-Bon, ben on va monter que tu puisses visiter et me donner ta réponse définitive.
Suivant le mouvement de bras de Marco qui l’invite à prendre un petit couloir sur le côté de son bar, Julie le précède un petit sourire au coin des lèvres, et une idée en tête. Elle compte bien se faire monter par le gros antillais !
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