Julie - Une nouvelle vie: les turcs (Partie 15)
Récit érotique écrit par Silveradd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Julie - Une nouvelle vie: les turcs (Partie 15)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Julie a enfin emménagé dans sa nouvelle chambre, et dans sa nouvelle vie. Elle s'est faite aider par le turc et son cousin en échange d'une soirée de festivités et de quatre jours supplémentaires à son service. L'adolescente embrasse sa nouvelle vie avec gourmandise et se fait belle pour l'occasion.
La jeune fille se pomponne pour les cousins. Pour commencer, elle fait tiédir la concoction de Jeannot et se nettoie et lubrifie son petit trou. Après une bonne douche, comme pour Marco, elle enduit son corps de lait parfumé. Puis, afin de ne pas trop abimer ses cheveux, elle les sépare en deux couettes sur le haut du crâne qu'elle coiffe ensuite en nattes très serrées qui lui retombe sur les épaules et dont les extrémités flirtent avec la naissance de ses seins. Pour finir, elle opte pour un maquillage osé. Elle applique un fond de teint mat et du blush pour faire ressortir ses pommettes, puis, dessine le contour de ses lèvres avec un crayon violet et les recouvre d'un rouge à lèvres assorti mat.
Sa bouche paraît encore plus grande et plus pulpeuse. "HUM! Une invitation à la fellation!" Julie s'admire, un sourire coquin sur les lèvres. Elle se farde ensuite les paupières supérieures de violet et de nuances plus claires sur les contours pour un regard plus profond. Pour finir, elle trace sur le contour de ses yeux un épais trait d'eyeliner et charge ses cils de mascara noir. Elle souhaite charmer ses amants d'un regard de biche, ces deux bêtes sauvages ne devraient faire qu'une bouchée de cette petite poupée à pipe.
Elle retourne dans sa nouvelle chambre, entièrement nue, contourne le molosse toujours en train de garder sa collection de sextoys et sort la tenue qu'elle a prévue pour l'occasion. Elle rentre au chausse pied dans le corset qui la sert bien à la taille, ses gros seins rentrent tout juste dans les bonnets bien échancrés et sans bretelles. Elle passe ensuite un string de fines dentelles noir ouvert à l'entrejambe, laissant ainsi libre accès à son intimité. Avec beaucoup de précautions pour le ne pas les filer, elle passe ses bas résilles à la jarretelle elle aussi faite de fine dentelle et autofixant. Bien qu'inutile, elle fixe ensuite les six portes jarretelles pendants de son corset.
Elle parfait sa tenue en enfilant ses escarpins à plateforme et bouts ouverts la perchant sur des talons aiguilles de 14cm. Elle referme la petite bride sur ses fines chevilles. Elle affine les derniers détails avec un petit ras le cou à brillants, ses boucles d'oreilles créoles et ses bracelets. Un trio de bracelets rigides plaqués à l'or blanc, jaune et rose au poignet doit, quant au gauche, elle le décore de son petit bracelet à charms qu'Aurélie lui a offert à son dernier anniversaire "Comme ça tu seras un peu avec moi ma belle!"
L'adolescence est surprise d'entendre le pas lourd de ses invités dans l'escalier, le cœur battant, elle passe un déshabillé de mousseline transparent, à manches courtes, au décolleté plongeant, la drapant jusqu’à la pointe des talons, échancré sur toute la longueur de sa jambe gauche. Alors que les grosses voix s'approchent de son pallier, elle s'admire une dernière fois dans le miroir de son placard. "Oh putin, si avec ça ils me prennent pas comme des brutes, je sais pas ce qui leur faut!"
Le dog aussi a entendu son maître approcher, et, dressé sur ses quatre pattes, remue sa queue de gauche à droite tout excité de le retrouver. Julie a juste le temps de se présenter derrière la porte de sa chambre pour ouvrir à ses invités. Son cœur bas la chamade, elle a des bouffées de chaleur d'anticipation et d'excitation sur ce que vont lui faire ses déménageurs. Affichant son plus beau sourire, le regard gourmand, c'est avec une certaine appréhension qu'elle leur ouvre la porte et les accueille ces deux brutes dans sa chambre, plus sexy que jamais.
-Putin mais qu'est-ce que t'es bandante ma p'tite pute!
-HUM, bonne chienne, vais te baiser profond!
Les deux mâles se présentent dans les mêmes vêtements qu'ils portaient le matin même. Un contraste majeur entre leur apparence crasseuse et luisants de sueur, et la beauté majestueuse de leur jeune salope dans son écrin de mousseline et de dentelles. Ils la complimentent à leur manière. Le gros moustachu l'attire brutalement à lui et colle sa grosse bouche poilue aux relents de bière sur les lèvres charnues de l'adolescente.
Le cousin, pas en reste, se colle derrière la belle, son gros bide poilu et humide appuyé dans le creux de ses reins. Il passe sa grosse paluche gauche sous l'échancrure de la nuisette et lui fouille la vulve. Elle est déjà bien ouverte et humide d'excitation. De sa main droite, il lui attrape le poignet et la force à se cambrer d'une clé de bras. Le turc lui attrape les seins à pleines mains et d'un mouvement brusque, il écarte les deux pans de la nuisette, et les extrait du soutien éphémère de son corset. "Putin les chiens, ils perdent pas de temps, j'ai déjà les nibards à l'air!"
La bouche ouverte et dégoulinante de bave, Julie sent la grosse langue de son tortionnaire en elle. Il la fouille, s'amuse avec sa langue, leurs fluides se mélangent. Le gros doigt du cousin, lui masse le clitoris avec force et vigueur, rien à voir avec la douceur préventive de Marco. Le turc, de son côté, pince et torture ses tétons gonflés.
Le cousin relâche la pression sur le clitoris tout gonflé et s'écarte de la petite. Quant au turc, il relâche les tétons durcis de la belle pour attraper et écarter ses petits lobes fessiers. Toujours en bouche avec le gros porc, les yeux fermés, Julie ne voit rien de ce qui se trame autour d'elle.
Elle est surprise lorsque le cousin, à genoux derrière elle, se met à lui lécher la pastille. Le balafré crache un gros molard, puis s'en sert de lubrifiant pour commencer à lui fouiller les boyaux de son gros doigt. Il la travaille quelques instants avant d'en insérer un deuxième.
-HUM HUM HUM!
La bouche engluée, la petite lâche des petits cris étouffés en cadence avec le pistonnage de son petit trou. Les mains libérées, elle écarte d'elle-même ses lobes fessiers pensant inviter son amant balafré à lui enfiler un troisième doigt. Quelle n'est pas la surprise de l'adolescente lorsque ce dernier se retire. Son contact chaud et brutal est vite remplacé par le contact froid d'une grosse boule métallique.
Le cousin est en train de lui enfoncer la première boule de son chapelet anal. Malgré sa préparation, le trou bien ouvert de la petite reçoit avec un peu de difficultés les 4cm de la première boule d'acier. Le cousin force un peu et hop, elle disparaît soudain dans le petit cul de l'asiatique qui, la bouche enfin libérée, lâche son premier râle de plaisir.
-AAAAAAAAAAAAAAAH
-Attends petite, pas fini!
Le gros balafré lui enfourne les trois dernières boules, laissant pendre la petite cordelette et son anneau entre les cuisses de la belle. Les deux barraques relâchent ensemble la pression sur la petite asiatique. Julie, le souffle court, les jambes tremblantes, perchées sur ses talons aiguilles les regarde sortir de la pièce, suivis par le dog.
-Allez petite, on a soif nous! HA HA HA HA!
Julie, un peu décontenancée par le désintérêt soudain de ses invités à son égard, rassemble ses idées, réajuste sa nuisette et les suit dans le salon. Elle a tenu toute la journée pour se faire fourrer par ces porcs, ils l'ont chauffée toute la matinée, et ils la laissent là la chatte ouverte, quatre boules dans le cul. Elle veut leurs bites, elle est bien décidée à être la meilleure des hôtesses.
Les deux gros sacs sont déjà assis dans le canapé du salon lorsque Julie, d'une démarche très féline, les rejoint, les seins sans soutien bringuebalés de haut en bas sous le tissu transparent de la nuisette. Le turc a déjà dégainé sa grosse queue à moitié bandée et se branle en douceur voyant la belle approcher. Julie s'arrête, appuyée sur le chambranle de la porte, les jambes croisées, l'index entre ses lèvres avec de la gourmandise dans le regard, elle observe le gros gland apparaître et disparaître de la grosse peau sombre du prépuce.
Elle s'approche de la table basse, se penche, les seins pendants, pour servir ses invités de vodka redbull. L'adolescente leur tend un verre chacun et trinque avec eux. Ils célèbrent son arrivée de quelques verres, le turc toujours la queue en main. "Il la lâche jamais?" Julie ne tient plus, elle s'approche du turc et s'agenouille entre ses grosses cuisses. Prenant le relais, elle le branle dans le cliquetis de ses bracelets. De ses grosses lèvres maquillées, elle aspire le gland dans un bruit de succion, lentement, avec désir et dextérité. La grosse queue durcit entre ses jolis doigts fins manucurés, elle accélère le mouvement et la gobe de ses jolies lèvres maquillées. Elle l'aspire avec hésitation tellement il pue la sueur et la pisse. Le gros moustachu l'attrape par les couettes sans ménagement et la force à l'aspirer.
-AH Ouais, c'est ça p'tite pute, pompe moi le dard.
-SLURP SLURP SLURP!
Julie le pompe avec avidité, le rythme toujours imposé par le gros porc, elle lui caresse les boules qui se rétractent à son contact. Elle a enfin retrouvé cette belle bite, et malgré le goût acre et les odeurs, sa chatte frétille à l'idée de se faire labourer par ce beau morceau de chair dur comme une barre de fer. Le gros moustachu la libère et lui laisse l'initiative. Elle le masturbe, relâche le gros gland, et de la langue le lèche sur toute sa longueur, du frein jusqu'à ses bourses pleines de foutre, fixant le regard sombre du moustachu. D'un petit sourire, elle repart à l'assaut de ce pieu et l'aspire de nouveau, cette fois en gorge profonde.
Les deux cousins trinquent de nouveau et boivent en l'honneur de la belle. Julie libère le moustachu pour s'occuper du balafré. Il lui fait peur, elle a du mal à soutenir son regard encore plus dur. Elle s'approche à quatre pattes en bonne chienne, pose ses deux mains sur les genoux poisseux puis glisse le long de ses cuisses poilues. Elle remonte ensuite le long du tissu du short jusqu'à l'élastique tendu sous la bedaine poilue. Encore caché sous le tissu, le sexe du balafré pulse sous le nez de la jeune fille. Elle n'arrive pas encore à en deviner la taille.
Julie tire sur l'élastique pour déballer son paquet, une touffe de poils pubiens apparait, d'où part une tige de chair bien dure. La petite passe ses mains fines sous les fesses du balafré, fait descendre le short le long des cuisses, la tige est maintenant découverte sur déjà 18 à 20cm. Prête à exploser, telle un ressort, la bite est complètement tendue sous l'élastique. Julie atteint enfin la base du gland, le morceau de bidoche apparaît tel une énorme fraise violacée. Comme une catapulte, la longue verge bien dure terminée par cet énorme gland jaillit au visage de l'adolescente la bifflant au passage.
La petite asiatique n'a jamais rien vu d'aussi disproportionné, la tige est longue mais fine, le gland violacé et la paire de bourses gonflées sont démesurés. Une odeur nauséabonde de sperme rance et d'urine agresse les sens de la jeune fille, mais elle est attirée par ce sexe étrange. Elle l'empoigne à son tour pour le masturber, lui caresse ses grosses burnes de la main gauche, et les soulève pour les porter à sa bouche. Julie ouvre la bouche, sort sa petite langue et lèche ces grosses burnes qui se rétractent à son contact humide.
Elle sent la paluche du turc soulever le pan ouvert de sa nuisette pour exposer son joli petit cul. Il glisse ses gros doigts entre ses cuisses, s'immisce jusqu'à son intimité bien ouverte et dégoulinante de mouille. De sa main gauche, il écarte les lèvres de la petite vulve offerte, se lèche le bout des doigts et les insère profondément dans un bruit de mouille. Il commence à la travailler en profondeur insistant sur le point G de la gamine. Il accélère le mouvement, Julie commence à aimer ce traitement et halète de son souffle chaud sur les bourses qu'elle lèche à grands coups de langue.
-HUMPH HUMPH HUMPH! SLURP SLURP SLURP! HUM HUM HUM
La bouche pleine de ces grosses boules poilues, elle gémit de bonheur. Elle lâche les couilles du balafré pour s'attaquer à sa belle queue. A ce moment-là, le turc insère un troisième doigt dans sa chatte et accélère encore le mouvement de va et vient dans la petite vulve distendue.
-AH AH AH AH OUI! Continue! AH AH!
Un instant distraite par la jouissance naissante, elle parvient tout de même vers le gland, et tente de le mettre en bouche. Elle détend sa mâchoire, aspire le bout de la queue, salive abondamment sur la bite pour la lubrifier et en faciliter la masturbation. Le turc se lève et se place derrière la jeune fille, les doigts plantés au fond de son minou. Il la soulève, les jambes tendues et écartées plantées sur les talons aiguilles, et la croupe bien exposée. Le mouvement de balancier plante le gros sexe du balafré dans la bouche pulpeuse et détendue de la jeune fille.
-HUMMMMMMPH!
Le turc tente d'écarter la fine couche de mousseline couvrant le petit cul de Julie. Mais la souplesse du tissu l'énerve, et d'un mouvement brutal arrache la nuisette et la jette derrière lui. Il l'agrippe par les hanches affinées par le corset, lui appuie sur les reins pour lui cambrer la croupe, exposant son petit trou d'où ressort la cordelette du chapelet, et sa petite chatte ouverte. L'adolescente est pliée en deux, le gros gland prisonnier de ses belles lèvres, et les seins pendants hors de la guêpière sous sa poitrine.
Il s'agenouille derrière la belle et écarte la cordelette de sa petite vulve bien ouverte. Il entreprend alors un cunnilingus expert, lui lèche ses belles lèvres trempées, lui titille le bouton, s'aventure vers son petit trou, sa langue experte rend folle la jeune fille, qui pompe le cousin avec encore plus d'envie et d'ardeur.
Après quelques minutes de se traitement, alors qu'elle ferme les yeux appréciant la grosse langue de son moustachu, et la belle bite qu'elle a en bouche, une douleur aigue lui perce les tétons. Elle écarquille les yeux de surprise, les larmes montent, alors que les grosses paluches du balafré lui maintiennent la tête en gorge profonde.
- HUMMMMMMMPH!!!!!!
Le cousin avait bien préparé son coup, pendant que la belle fermait les yeux en proie à la bouche moustachue du turc, il avait profité du moment où il avait attrapé le chapelet anal pour se saisir des pinces à seins et de leurs masselottes. Etrangement, la douleur décuple les sens de Julie qui sent un nouveau type de jouissance naître dans son ventre.
Les petites masses tirent sur les tétons de l'adolescente, qui, les sens exacerbés par ces sensations, se saisit de la belle queue au fond de sa gorge, l'enserrant à la base des couilles. L'effet est quasi immédiat, elle sent les veines du mandrin de chair gonfler contre sa langue. Salivant abondamment, elle extrait la belle queue couverte de bave et la masturbe à grands "FLOC FLOC" visqueux, tout en continuant d'en aspirer le gland.
Maintenant, elle désire plus que tout sentir cette bite lui fouiller la chatte. Elle s'écarte à contre cœur de la grosse langue et tout en grâce, chevauche le balafré vautré sur le canapé. Elle fait face, à califourchon, au balafré et sa longue queue bien gonflées, écarte les cuisses au-dessus de son tortionnaire, et guide sa bite luisante à l'orée de ses lèvres avides d'une bonne queue.
Ses gros seins reprennent place en-dehors du corset attirés vers le bas par les petites masselottes pendant dans le vide. La douleur n'est rien comparé à l'extase qu'elle ressent en se masturbant à l'aide du gros gland turgescent contre son clitoris tout gonflé. Elle couine de plaisir.
-HUN HUN, Oui Oui, Ouuuuuh! Oooooh!
N'y tenant, plus, elle s'empale d'elle-même sur la belle queue, arrachant un gros râle de plaisir à son amant. Lui, en bon mâle, et de par son poids, décide qu'il ne fera aucun effort, si elle veut prendre son pied, elle va devoir se débrouiller toute seule. Julie s'appuie alors de ses deux mains sur son gros bide et, les pieds en appui sur le rebord du canapé, monte et descend à son rythme.
La douleur à la pointe de ses seins, accentuée par le balancement vertical des masselottes, est permanente. Ses cuisses commencent à la brûler à force de monter et descendre, la seule aide que lui apporte le molosse est de lui tenir les chevilles en position, pour qu'elle garde de bons appuis. Il est évident qu'il prend beaucoup plus son pied qu'elle. Pourtant, alors que la petite avait abandonné tout espoir de jouir dans cette position, elle sent soudain une tension écartant sa pastille, et avant qu'elle ne puisse réagir, le turc tire d'un coup franc sur le chapelet anal, sortant d'un trait les quatre boules métalliques.
-AAAAAAAAAAAAAAAH!
La jeune fille est terrassée par la jouissance, les jambes flageolantes, elle n'ose plus bouger de sa position. Le turc en profite, il soulève une Julie complétement désarticulée par dessous les cuisses, et présente son anus encore ouvert au gros gland de son cousin. Sous son propre poids, la petite asiatique s'encule d'elle même dans une sorte de lamentation de jouissance.
Il la fait ensuite pivoter sur son axe de chair pour lui faire face, et tourner le dos à son cousin. Il lui écarte les cuisses pour bien exposer son petit abricot, et y présente sa grosse bite bien dure pulsant de désir pour cette magnifique adolescente. Il l'embroche d'un seul et puissant coup de reins, arrachant un cri à la jeune fille. Ils la besognent alors en double et avec vigueur pendant de longues minutes, jusqu'à ce que le turc baragouine un truc en langage incompréhensible. Le cousin attrape alors les belles cuisses gainées de la jeune fille, alors que le moustachu tire sur les petites chaînes, réveillant ainsi la douleur dans les tétons de Julie.
-AOUUUUUUUUUUUUUUH!
Satisfait de la réaction de la petite, le bourreau redouble d'ardeur et la baise avec plus de puissance.
-AH AH AH AH! Oui prends moi bien, espèce de chien, fait moi bien jouir avec ta grosse queue!
La jeune fille, sentant ces deux belles queues entrer et sortir de ses orifices est sur le point de jouir. De nouvelles sensations montent dans le creux de ses reins, dans son ventre, et à la pointe maltraitée de ses seins. D'un dernier coup violent, le turc bute contre le col de la petite, et arrache un hurlement de jouissance à l'adolescente lorsqu'il tire d'un coup sec sur les deux pinces à seins comme pour mieux s'arrimer à elle.
La gamine s'effondre de plaisir sur le gros balafré qui pourtant maintient ses belles cuisses grandes ouvertes. Dans sa demi conscience, elle l'entend encore prononcer des paroles incompréhensibles, puis sent la grosse bite sortir de son vagin, mais pour se présenter contre sa petite pastille où est encore logé le cousin. "Non, non, qu'est-ce qu'ils font? Ils croient quand même pas qu'ils vont rentrer à deux?"
Prise de panique, Julie tente de se débattre mais elle ne peut pas lutter contre la poigne de fer du cousin. Les suppliant du regard, et se rappelant de la grosse queue de Marco, elle se dit qu'elle va morfler mais que ça pourrait rentrer.
-Je veux bien, mais faites doucement, s'il vous plaît!
Le gros moustachu se redresse, Julie se relâche, soulagée de le voir abandonner l'idée de la double anale. Masturbant son gros sexe luisant de mouille, il se redresse et étend un peu ses jambes dont les cuisses le brûlent à baiser la petite asiatique à moitié accroupi.
-T'inquiètes petite, je suis sûr qu'à deux dans ton p'ti cul d'salope ça passe!
Malgré la supplique qui se lit de nouveau dans le regard de Julie, le turc se repositionne sur le périnée de l'adolescente, la bite raide comme une barre d'acier dans la main. Il pousse pour essayer de faire entrer son gros gland dans le petit orifice déjà plein de la jeune délurée. Le molosse a beau s'abaisser au mieux afin d'aligner sa queue, le cul de Julie est bien plein et n'offre aucune brèche.
Sentir ce gros gland forcer son petit orifice excite maintenant l'adolescente dont la peur s'est évaporée pour faire place à un nouvel élan de perversité. Titillée par la possibilité d'une double anale, Julie veut sentir ces deux belles queues lui ramoner le cul. Elle prend alors ses fesses à pleines mains et les écarte pensant lui faciliter le passage.
Le moustachu redouble alors d'efforts pour satisfaire cette petite chienne qui en redemande. De sa main gauche, il tente d'écarter les muqueuses entre son pouce et son index, pendant que la droite pousse sur le gland pour perforer la petite pastille distendue.
-Putin, ça rentre pas! T'es trop serrée petite!
-Ouh (...) ouh, vas-y, crache sur ma pastille! Et fourre moi tes doigts, je suis sûre que tu peux m'élargir encore!
Raclant bien le fond de sa gorge, le gros sac crache un énorme molard bien épais et bien gluant sur la commissure anale. Avant que le glaviaud ne s'écoule sur la bite de son cousin, le moustachu trifouille le petit trou d'un doigt et le fourre brutalement dans le cul de Julie. Il la branle un peu en rythme avec la queue du balafré qui a repris sa sodomie, toujours vautré sur le divan. Dans le même mouvement, il tire un peu sur la paroi anale bien élastique, pour l'élargir. Bientôt un deuxième, puis un troisième doigt se joignent à la danse, comme encouragés par les cris de l'adolescente.
-Oh ... Oh ... Putin, la vache! Oui vas-y c'est bon! Tu me dilates bien salaud!
-Attends que j'te la mette dans l'cul, salope!
-Oui Oui, vas-y troue moi l'cul! HAAAANNNN!!!!!
L'anus de la petite asiatique est bien détendu par le mouvement des doigts et de la queue, le turc retire sa main et tente une nouvelle fois de pénétrer ce petit cul affamé de belles queues. Julie, le regard gourmand, écarte au maximum ses fesses et observe avidement le gros gland tenter une nouveau forage. Le turc force une nouvelle fois l'entrée du petit trou, accompagnant le mouvement de queue de son cousin. Ça y est le gland est entré.
-AAAAAAAAAAAAAAAH! Oooooooh putin, oui! C'est bon! Argh!
Le turc s'enfonce de quelques centimètres mais peine à aller plus loin la queue tordue par la position, Faisant toujours face à sa petite chienne asiatique, le turc attrape les cuisses de la petite et les lui rabat sur le torse, pour tenter un meilleur alignement de sa bite. Le cousin empoigne les jolies fesses et s'efforce de plus les écarter. Mais rien n'y fait, les reins de la jeune fille bloquent sur le gros bide et elle ne peut pas mieux aligner son bassin.
Julie, qui a pris goût à cette double pénétration veut sentir les deux belles bites lui ravager l'anus. De ses petites mains, elle repousse le turc, qui se laisse guider hors du petit trou. Ensuite, elle reprend appui sur le torse humide du cousin, et sur le bord du canapé, se décule, puis se relève, les cuisses et les genoux endoloris par la position en chien de fusil imposée par ses amants.
D'un petit sourire, elle attrape la grosse main caleuse du balafré, l'invitant à se lever, puis elle s'accroupit sur ses talons, entre ses deux enculeurs, et suce les deux belles queues pour les lubrifier et leur redonner un peu de vigueur. Après quelques "SLURP SLURP" bien baveux, la petite prend les choses en main, et, sûre d'elle, invite le cousin à s'allonger à plat dos sur le sofa.
Inversant sa position, elle enfourche alors son mâle allongé, ses gros seins, toujours lestés de leurs masselottes, fièrement tendus vers son enculeur. En appui sur sa main gauche, la jeune fille se retourne, cambrant bien les reins, puis de sa main libre, dirige le gros gland dans son petit anus détendu. "HUN" Elle se pince les lèvres de plaisir de retrouver cette belle bite dans son cul.
Enfin, le regard gourmand fiché dans celui du turc, elle écarte sa fesse droite pour l'inviter à rejoindre son cousin dans son petit trou tout chaud. Le gros moustachu ne se fait pas prier, il est déjà à genou derrière la belle croupe, la queue à la main, dirigeant son gland vers le petit trou bien ouvert. Il l'appuie contre la rondelle de Julie et pousse, la prenant en une levrette puissante, alors que la bite de son cousin progresse dans le boyau de l'adolescente. Julie sent son cul se dilater sous la pression.
-Ohhh! Hun, oui c'est ça! C'est bon, enculez-moi bien!
Le cousin passe ses grosses mains sous les cuisses de la belle pour bien les écarter, alors que le turc, une fois le gland bien en place dans l'anus dilaté, attrape les deux belles fesses pour les écarter au maximum. "AAAAAH, ils vont me déchirer!" Les deux gros sexes progressent maintenant inexorablement et sans résistance dans le boyau de la jeune fille.
Julie sent son cul s'ouvrir sans problème, la sensation est incroyable. La grosseur de ces deux queues cumulées et la profondeur de la pénétration la font hurler de plaisir. Ca y est, les deux bites sont en butée jusqu’à la garde, au plus profond du cul dilaté de la petite salope.
-Oh putin, c'est trop bon! argghh!
Les turcs, essoufflés et dégoulinant de sueur échangent encore quelques mots incompréhensibles, et entreprennent le pistonage de l'adolescente. Les cuisses et les fesses écartées au maximum, Julie sent les deux barreaux de chairs aller et venir le long de son boyau. Prise en sandwich entre ses deux amants gras et poilus, elle est enivrée par leur odeur de bière, de sueur, et par la moiteur de leur peau crade contre la sienne. Ils lui labourent le cul avec ardeur, arrachant des cris de plaisir à leur chienne.
-Ahhhahh! Encore! Oohhh! Salauds, elles sont bonnes vos queues! Ahhhahh!
Bien en cadence, ils lui démolissent l'anus. Julie est emportée, elle sent les chibres évoluer dans son boyau, la remplir, la dilater. Son cerveau s'enflamme sous les décharges de plaisir qui lui envahissent le bas ventre. Elle transpire dans la torpeur de la chaleur estivale, elle est écrasée sous le poids de son enculeur. Son corps est envahi de vagues d'extases, son cœur bat la chamade, emballé par les sécrétions d'adrénaline produits par l'excitation de la double pénétration.
Malgré la fièvre et des difficultés à respirer, Julie a des frissons, une chair de poule vive et rapide qui part aussi vite qu`elle revient. Fiévreuse, à bout de souffle, Julie adore se faire ramoner par ces deux brutes. Elle plante ses faux ongles dans le dos du cousin tant ils la font jouir.
-HUN ... HUN ... Putin, Oui! Baisez-moi comme une chienne! AAAAAAAAAAAAAAAH
(...)
Eric, le père de Julie, vient de descendre de son uber, complètement dépité de ce qui lui arrive. En effet, après une semaine merdique en déplacement, il était tellement heureux de retrouver sa femme chérie et son petit ange. Ils portaient les deux femmes de sa vie sur un véritable piédestal. Quelle déception de retrouver celle qu'il aime depuis tellement longtemps dans les bras de ce gros connard d'Hector, à se faire sauter par derrière comme la grosse truie qu'elle est. Heureusement, sa fille chérie l'avait tenue au courant de sa nouvelle adresse, et qui de mieux que sa petite Julie pour le réconforter.
Ne sachant pas trop où trouver l'entrée de l'immeuble où loge sa fille, il entre directement dans le bar de Marco pour la localiser. Il se présente directement à Noé qui tient la boutique en l'absence du patron. Ce dernier l'oriente vers l'arrière court un étrange sourire en coin.
-Vous trouverez la p'tite sal.. (une pause), euh votre fille au deuxième étage, M'sieur!
Pas certain d'avoir compris les allusions du jeune homme, Eric, longe le couloir adjacent à la cuisine, repère du coin de l'œil le vieux Jeannot et son clébard, puis se dirige vers la cage d'escalier. Il aperçoit la lumière allumée du deuxième et se réjouit de retrouver son petit ange. Il sait qu'elle est pratiquement une adulte maintenant, mais il la voit toujours comme la pré-ado qu'elle était il n'y pas si longtemps.
-HUN..HUN..tin..ui..aisez..oi..ienne..AAAAAAAAAAAAAAAH
Un petit rictus au coin de la lèvre, Eric imagine bien une jeune fille en train de se faire prendre par son copain dans un appartement voisin et qui aurait oublié de fermer sa fenêtre dans l'excitation du moment. "Ah la jeunesse! Eh ben y en a qui ne se gênent pas dans le coin! Elle pourrait être plus discrète cette petite garce! J'espère que ma petite Julie ne l'entend pas brailler!"
Mais son sourire disparaît à mesure qu'il s'approche du second pallier. Les cris de jouissance se font plus fort et bien plus précis.
-HAN HAN, Oui prenez moi comme une chienne! Putin, qu'est-ce que c'est bon! Ouiiii défoncez moi bien le cul, bande de porcs!
Il la reconnaît, il n'en revient pas, est-ce que c'est sa petite Julie, son petit ange qui braille comme une truie en chaleur? La mort dans l'âme, gagné par le désespoir de ce qu'il va découvrir en franchissant le seuil grand ouvert de cet appartement de la débauche, il franchit le seuil. Et là c'est le choc, son esprit semble flotter au-dessus de son corps inerte. Il s'arrête au niveau de la porte ouverte de la chambre, et observe incrédule, les deux turcs hideux, au corps luisant de sueur, en train de prendre en sandwich sa petite fille, les seins lestés, à l'air, secoués dans tous les sens sous les coups de bite.
Instinctivement, son regard se tourne vers la chambre dans laquelle il aperçoit une incroyable collection de sextoys étalés sur le lit. Qu'est devenue sa petite fille qui hier encore jouait avec ses poupées et venait le voir pour ses corrections de maths? Où est passée l'innocente adolescente qui s'habillait en jogging hideux pour que les mecs du lycée ne "l'emmerde pas"? Pour Eric, c'est le choc de trop, il en laisse tomber sa valise au sol.
"BOUM!"
-HUN ... (silence) Papa?
Julie, coincée entre ces deux amants, met un peu de temps à réaliser la présence de son père. Les deux compères déculent l'adolescente dans un bruit de succion, et le turc s'installe nonchalamment aux côtés de son cousin. Les deux montagnes de muscles et de graisses se servent une nouvelle vodka redbull et la sirotent la queue à l'air, et toujours bien dure.
Pathétiquement, Julie tente de se relever et se dirige douloureusement vers son père adoptif, les seins à l'air dans son corset, les masselottes pendant nonchalamment au bout de ses gros seins, perchée sur ses plateformes aux talons aiguilles, la chatte et l'anus dégoulinant entre ses belles jambes gainées de résilles.
-Papa, mais (...) Qu'est-ce que (...) Pourquoi (...)
"VLAM" La gifle, surprend l'adolescence autant qu'elle lui fait mal. Mal physiquement parce que son père, bien que moins baraqué qu'Hector, Marco ou le turc, a une sacrée poigne, mais aussi mal psychologiquement de s'être fait surprendre dans cet état de débauche par le seul homme qui ait toujours été là pour elle. Elle assume totalement son statut de chienne en chaleur, surtout après les expériences de ces derniers jours, mais elle aurait préféré l'annoncer à ses parents dans ses propres termes.
Blessée de s'être faite surprendre de la sorte, quasiment à poil, elle tente de prendre son père dans ses bras sans aucune pudeur, naturellement comme une fille ferait un câlin à son papa. Mais le déclic a été plus profond que ne l'avait imaginé Eric. Au contact de l'énorme poitrine nue de sa fille sur son torse, au travers de sa chemisette, il sent les effluves de cyprine et de sexe émaner de cette magnifique jeune fille. Il laisse alors exprimer les désirs enfouis qu'il a pour sa petite Julie. Il glisse sa main droite le long du corset, et laisse sa main gauche descendre sur les chairs charnues de son petit cul, il attrape son gros sein gauche à pleine main et doucement, tendrement, l'embrasse sur ses lèvres pulpeuses.
-Oy man, te gêne pas surtout mets-y la langue, elle baise comme une pro! Ha ha ha
-SLURP. Ne se faisant pas prié, il roule une pelle bien baveuse à sa fille tout en dirigeant son majeur droit entre les fesses encore luisantes des assauts du gros balafré.
Il s'approche doucement de la petite rondelle déjà en train de se refermer. Le contact de ce doigt fait réagir la petite, c'est son père qui approche son intimité, provoquant un vague de frissons sur tout son corps.
Ses tétons sensibilisés par le traitement des petites pinces, durcissent. Julie inspire un grand coup et se raidit au moment où d'un geste synchronisé, Eric pénètre l'anus de sa fille et tire violemment sur la chaînette pinçant la pointe de sein gorgée de sang. Elle se détend instantanément se délectant de ce contact à la fois doux et brutal.
"CLAC" Julie se raidit de nouveau, une troisième main vient de lui asséner une énorme fessée, c'est le balafré qui s'est refroqué et qui passe à proximité des deux amants, la queue encore à moitié durcie oscillant nonchalamment sous le tissu de son short.
-Vais chercher bières et pizza, grouille toi d'la sauter, ai pas fini avec elle! Au pied Maestro!
Le gros dog, qui était resté sagement dans la chambre, effleure la cuisse de l'adolescente de sa grosse truffe humide. D'instinct, il renifle la gamine en chaleur en train de se faire doigter par son père.
-Ha ha ha, vas-y tourne là un peu vieux!
Eric ne se fait pas prié, il a bien compris où voulait en venir cette brute. Il lâche le sein et la bouche pulpeuse de sa fille, et lui doigtant l'anus à la verticale avec ardeur, se place sur le côté. Julie aime se faire doigter par son père, elle ferme les yeux et ouvre la bouche de plaisir, s'appuie sur cet homme qui l'a élevée et, la tête penchée en arrière en appui sur son épaule musclée, se laisse guider aveuglément croisant les mains derrière la nuque de son père. Il glisse sa main libre sous la cuisse musclée de Julie, descend jusque derrière son genou et le soulève lentement pour en exposer la petite vulve.
Le chien plaque alors sa grosse truffe humide sur la petite chatte bien ouverte et luisante de mouille, et se met à la lécher de sa grosse langue rugueuse. Julie panique, son cœur s'emballe, ce molosse l'effraye, elle en a une peur bleue. Elle tente de se libérer mais le balafré maintient ses mains fermement derrière la nuque de son père. Eric lui aussi retient sa fille, il soulève encore plus sa cuisse pour l'empêcher de se débattre, et lui plante un deuxième puis un troisième doigt dans le cul.
-Détend toi ma puce, laisse toi faire, ne lutte pas! Tu vas prendre un méga pied!
Quelque chose de rassurant dans la voix de son père l'empêche de paniquer. Comme tout ce qui lui arrive depuis ces derniers jours, Julie prend malgré elle son pied à se faire fouiller l'anus par son père, et elle commence à ressentir les bienfaits de cette grosse langue chaude, humide et rugueuse qui lui lèche la vulve et le clitoris comme aucun homme auparavant. Et au moment où elle commence à vraiment prendre son pied...
-Allez Maestro, assez! Moi la dalle, vais chercher à bouffer!
La pression se relâche sur ses poignets, le museau canin lui libère le minou, et la petite se retrouve de nouveau sur sa faim, pantelante, dégoulinante de cyprine, flageolante en équilibre sur un talon et en appui sur son père. Elle est sur le point de défaillir. C'est une vraie torture que lui infligent les deux turcs depuis le début de la soirée, et elle n'a encore avalé aucune une goutte de sperme.
Son père libère sa cuisse et retire ses doigts de l'anus dilaté. Cherchant un peu de réconfort, elle tente de se blottir dans ses bras, mais ce dernier ne lui retourne pas la pareille. Elle tente de le comprendre mais note une nouvelle froideur dans son regard devenu sombre.
-Oy l'ami, viens me rejoindre! Et ramène c'te p'tite pute qu'elle s'occupe un peu de nous!
Eric se détourne de sa fille, et attrape les petites chaînes pincées sur les tétons de sa fille. Il se dirige vers le salon, tirant d'un coup sec sur les chaînes, signalant à la petite chienne de le suivre. Leur relation est en train d'évoluer et prend une tournure que Julie n'avait pas anticipée. Un peu perdue, et encore flageolante des derniers traitements qu'elle vient de subir, elle le suit sans résistance.
Julie a enfin emménagé dans sa nouvelle chambre, et dans sa nouvelle vie. Elle s'est faite aider par le turc et son cousin en échange d'une soirée de festivités et de quatre jours supplémentaires à son service. L'adolescente embrasse sa nouvelle vie avec gourmandise et se fait belle pour l'occasion.
La jeune fille se pomponne pour les cousins. Pour commencer, elle fait tiédir la concoction de Jeannot et se nettoie et lubrifie son petit trou. Après une bonne douche, comme pour Marco, elle enduit son corps de lait parfumé. Puis, afin de ne pas trop abimer ses cheveux, elle les sépare en deux couettes sur le haut du crâne qu'elle coiffe ensuite en nattes très serrées qui lui retombe sur les épaules et dont les extrémités flirtent avec la naissance de ses seins. Pour finir, elle opte pour un maquillage osé. Elle applique un fond de teint mat et du blush pour faire ressortir ses pommettes, puis, dessine le contour de ses lèvres avec un crayon violet et les recouvre d'un rouge à lèvres assorti mat.
Sa bouche paraît encore plus grande et plus pulpeuse. "HUM! Une invitation à la fellation!" Julie s'admire, un sourire coquin sur les lèvres. Elle se farde ensuite les paupières supérieures de violet et de nuances plus claires sur les contours pour un regard plus profond. Pour finir, elle trace sur le contour de ses yeux un épais trait d'eyeliner et charge ses cils de mascara noir. Elle souhaite charmer ses amants d'un regard de biche, ces deux bêtes sauvages ne devraient faire qu'une bouchée de cette petite poupée à pipe.
Elle retourne dans sa nouvelle chambre, entièrement nue, contourne le molosse toujours en train de garder sa collection de sextoys et sort la tenue qu'elle a prévue pour l'occasion. Elle rentre au chausse pied dans le corset qui la sert bien à la taille, ses gros seins rentrent tout juste dans les bonnets bien échancrés et sans bretelles. Elle passe ensuite un string de fines dentelles noir ouvert à l'entrejambe, laissant ainsi libre accès à son intimité. Avec beaucoup de précautions pour le ne pas les filer, elle passe ses bas résilles à la jarretelle elle aussi faite de fine dentelle et autofixant. Bien qu'inutile, elle fixe ensuite les six portes jarretelles pendants de son corset.
Elle parfait sa tenue en enfilant ses escarpins à plateforme et bouts ouverts la perchant sur des talons aiguilles de 14cm. Elle referme la petite bride sur ses fines chevilles. Elle affine les derniers détails avec un petit ras le cou à brillants, ses boucles d'oreilles créoles et ses bracelets. Un trio de bracelets rigides plaqués à l'or blanc, jaune et rose au poignet doit, quant au gauche, elle le décore de son petit bracelet à charms qu'Aurélie lui a offert à son dernier anniversaire "Comme ça tu seras un peu avec moi ma belle!"
L'adolescence est surprise d'entendre le pas lourd de ses invités dans l'escalier, le cœur battant, elle passe un déshabillé de mousseline transparent, à manches courtes, au décolleté plongeant, la drapant jusqu’à la pointe des talons, échancré sur toute la longueur de sa jambe gauche. Alors que les grosses voix s'approchent de son pallier, elle s'admire une dernière fois dans le miroir de son placard. "Oh putin, si avec ça ils me prennent pas comme des brutes, je sais pas ce qui leur faut!"
Le dog aussi a entendu son maître approcher, et, dressé sur ses quatre pattes, remue sa queue de gauche à droite tout excité de le retrouver. Julie a juste le temps de se présenter derrière la porte de sa chambre pour ouvrir à ses invités. Son cœur bas la chamade, elle a des bouffées de chaleur d'anticipation et d'excitation sur ce que vont lui faire ses déménageurs. Affichant son plus beau sourire, le regard gourmand, c'est avec une certaine appréhension qu'elle leur ouvre la porte et les accueille ces deux brutes dans sa chambre, plus sexy que jamais.
-Putin mais qu'est-ce que t'es bandante ma p'tite pute!
-HUM, bonne chienne, vais te baiser profond!
Les deux mâles se présentent dans les mêmes vêtements qu'ils portaient le matin même. Un contraste majeur entre leur apparence crasseuse et luisants de sueur, et la beauté majestueuse de leur jeune salope dans son écrin de mousseline et de dentelles. Ils la complimentent à leur manière. Le gros moustachu l'attire brutalement à lui et colle sa grosse bouche poilue aux relents de bière sur les lèvres charnues de l'adolescente.
Le cousin, pas en reste, se colle derrière la belle, son gros bide poilu et humide appuyé dans le creux de ses reins. Il passe sa grosse paluche gauche sous l'échancrure de la nuisette et lui fouille la vulve. Elle est déjà bien ouverte et humide d'excitation. De sa main droite, il lui attrape le poignet et la force à se cambrer d'une clé de bras. Le turc lui attrape les seins à pleines mains et d'un mouvement brusque, il écarte les deux pans de la nuisette, et les extrait du soutien éphémère de son corset. "Putin les chiens, ils perdent pas de temps, j'ai déjà les nibards à l'air!"
La bouche ouverte et dégoulinante de bave, Julie sent la grosse langue de son tortionnaire en elle. Il la fouille, s'amuse avec sa langue, leurs fluides se mélangent. Le gros doigt du cousin, lui masse le clitoris avec force et vigueur, rien à voir avec la douceur préventive de Marco. Le turc, de son côté, pince et torture ses tétons gonflés.
Le cousin relâche la pression sur le clitoris tout gonflé et s'écarte de la petite. Quant au turc, il relâche les tétons durcis de la belle pour attraper et écarter ses petits lobes fessiers. Toujours en bouche avec le gros porc, les yeux fermés, Julie ne voit rien de ce qui se trame autour d'elle.
Elle est surprise lorsque le cousin, à genoux derrière elle, se met à lui lécher la pastille. Le balafré crache un gros molard, puis s'en sert de lubrifiant pour commencer à lui fouiller les boyaux de son gros doigt. Il la travaille quelques instants avant d'en insérer un deuxième.
-HUM HUM HUM!
La bouche engluée, la petite lâche des petits cris étouffés en cadence avec le pistonnage de son petit trou. Les mains libérées, elle écarte d'elle-même ses lobes fessiers pensant inviter son amant balafré à lui enfiler un troisième doigt. Quelle n'est pas la surprise de l'adolescente lorsque ce dernier se retire. Son contact chaud et brutal est vite remplacé par le contact froid d'une grosse boule métallique.
Le cousin est en train de lui enfoncer la première boule de son chapelet anal. Malgré sa préparation, le trou bien ouvert de la petite reçoit avec un peu de difficultés les 4cm de la première boule d'acier. Le cousin force un peu et hop, elle disparaît soudain dans le petit cul de l'asiatique qui, la bouche enfin libérée, lâche son premier râle de plaisir.
-AAAAAAAAAAAAAAAH
-Attends petite, pas fini!
Le gros balafré lui enfourne les trois dernières boules, laissant pendre la petite cordelette et son anneau entre les cuisses de la belle. Les deux barraques relâchent ensemble la pression sur la petite asiatique. Julie, le souffle court, les jambes tremblantes, perchées sur ses talons aiguilles les regarde sortir de la pièce, suivis par le dog.
-Allez petite, on a soif nous! HA HA HA HA!
Julie, un peu décontenancée par le désintérêt soudain de ses invités à son égard, rassemble ses idées, réajuste sa nuisette et les suit dans le salon. Elle a tenu toute la journée pour se faire fourrer par ces porcs, ils l'ont chauffée toute la matinée, et ils la laissent là la chatte ouverte, quatre boules dans le cul. Elle veut leurs bites, elle est bien décidée à être la meilleure des hôtesses.
Les deux gros sacs sont déjà assis dans le canapé du salon lorsque Julie, d'une démarche très féline, les rejoint, les seins sans soutien bringuebalés de haut en bas sous le tissu transparent de la nuisette. Le turc a déjà dégainé sa grosse queue à moitié bandée et se branle en douceur voyant la belle approcher. Julie s'arrête, appuyée sur le chambranle de la porte, les jambes croisées, l'index entre ses lèvres avec de la gourmandise dans le regard, elle observe le gros gland apparaître et disparaître de la grosse peau sombre du prépuce.
Elle s'approche de la table basse, se penche, les seins pendants, pour servir ses invités de vodka redbull. L'adolescente leur tend un verre chacun et trinque avec eux. Ils célèbrent son arrivée de quelques verres, le turc toujours la queue en main. "Il la lâche jamais?" Julie ne tient plus, elle s'approche du turc et s'agenouille entre ses grosses cuisses. Prenant le relais, elle le branle dans le cliquetis de ses bracelets. De ses grosses lèvres maquillées, elle aspire le gland dans un bruit de succion, lentement, avec désir et dextérité. La grosse queue durcit entre ses jolis doigts fins manucurés, elle accélère le mouvement et la gobe de ses jolies lèvres maquillées. Elle l'aspire avec hésitation tellement il pue la sueur et la pisse. Le gros moustachu l'attrape par les couettes sans ménagement et la force à l'aspirer.
-AH Ouais, c'est ça p'tite pute, pompe moi le dard.
-SLURP SLURP SLURP!
Julie le pompe avec avidité, le rythme toujours imposé par le gros porc, elle lui caresse les boules qui se rétractent à son contact. Elle a enfin retrouvé cette belle bite, et malgré le goût acre et les odeurs, sa chatte frétille à l'idée de se faire labourer par ce beau morceau de chair dur comme une barre de fer. Le gros moustachu la libère et lui laisse l'initiative. Elle le masturbe, relâche le gros gland, et de la langue le lèche sur toute sa longueur, du frein jusqu'à ses bourses pleines de foutre, fixant le regard sombre du moustachu. D'un petit sourire, elle repart à l'assaut de ce pieu et l'aspire de nouveau, cette fois en gorge profonde.
Les deux cousins trinquent de nouveau et boivent en l'honneur de la belle. Julie libère le moustachu pour s'occuper du balafré. Il lui fait peur, elle a du mal à soutenir son regard encore plus dur. Elle s'approche à quatre pattes en bonne chienne, pose ses deux mains sur les genoux poisseux puis glisse le long de ses cuisses poilues. Elle remonte ensuite le long du tissu du short jusqu'à l'élastique tendu sous la bedaine poilue. Encore caché sous le tissu, le sexe du balafré pulse sous le nez de la jeune fille. Elle n'arrive pas encore à en deviner la taille.
Julie tire sur l'élastique pour déballer son paquet, une touffe de poils pubiens apparait, d'où part une tige de chair bien dure. La petite passe ses mains fines sous les fesses du balafré, fait descendre le short le long des cuisses, la tige est maintenant découverte sur déjà 18 à 20cm. Prête à exploser, telle un ressort, la bite est complètement tendue sous l'élastique. Julie atteint enfin la base du gland, le morceau de bidoche apparaît tel une énorme fraise violacée. Comme une catapulte, la longue verge bien dure terminée par cet énorme gland jaillit au visage de l'adolescente la bifflant au passage.
La petite asiatique n'a jamais rien vu d'aussi disproportionné, la tige est longue mais fine, le gland violacé et la paire de bourses gonflées sont démesurés. Une odeur nauséabonde de sperme rance et d'urine agresse les sens de la jeune fille, mais elle est attirée par ce sexe étrange. Elle l'empoigne à son tour pour le masturber, lui caresse ses grosses burnes de la main gauche, et les soulève pour les porter à sa bouche. Julie ouvre la bouche, sort sa petite langue et lèche ces grosses burnes qui se rétractent à son contact humide.
Elle sent la paluche du turc soulever le pan ouvert de sa nuisette pour exposer son joli petit cul. Il glisse ses gros doigts entre ses cuisses, s'immisce jusqu'à son intimité bien ouverte et dégoulinante de mouille. De sa main gauche, il écarte les lèvres de la petite vulve offerte, se lèche le bout des doigts et les insère profondément dans un bruit de mouille. Il commence à la travailler en profondeur insistant sur le point G de la gamine. Il accélère le mouvement, Julie commence à aimer ce traitement et halète de son souffle chaud sur les bourses qu'elle lèche à grands coups de langue.
-HUMPH HUMPH HUMPH! SLURP SLURP SLURP! HUM HUM HUM
La bouche pleine de ces grosses boules poilues, elle gémit de bonheur. Elle lâche les couilles du balafré pour s'attaquer à sa belle queue. A ce moment-là, le turc insère un troisième doigt dans sa chatte et accélère encore le mouvement de va et vient dans la petite vulve distendue.
-AH AH AH AH OUI! Continue! AH AH!
Un instant distraite par la jouissance naissante, elle parvient tout de même vers le gland, et tente de le mettre en bouche. Elle détend sa mâchoire, aspire le bout de la queue, salive abondamment sur la bite pour la lubrifier et en faciliter la masturbation. Le turc se lève et se place derrière la jeune fille, les doigts plantés au fond de son minou. Il la soulève, les jambes tendues et écartées plantées sur les talons aiguilles, et la croupe bien exposée. Le mouvement de balancier plante le gros sexe du balafré dans la bouche pulpeuse et détendue de la jeune fille.
-HUMMMMMMPH!
Le turc tente d'écarter la fine couche de mousseline couvrant le petit cul de Julie. Mais la souplesse du tissu l'énerve, et d'un mouvement brutal arrache la nuisette et la jette derrière lui. Il l'agrippe par les hanches affinées par le corset, lui appuie sur les reins pour lui cambrer la croupe, exposant son petit trou d'où ressort la cordelette du chapelet, et sa petite chatte ouverte. L'adolescente est pliée en deux, le gros gland prisonnier de ses belles lèvres, et les seins pendants hors de la guêpière sous sa poitrine.
Il s'agenouille derrière la belle et écarte la cordelette de sa petite vulve bien ouverte. Il entreprend alors un cunnilingus expert, lui lèche ses belles lèvres trempées, lui titille le bouton, s'aventure vers son petit trou, sa langue experte rend folle la jeune fille, qui pompe le cousin avec encore plus d'envie et d'ardeur.
Après quelques minutes de se traitement, alors qu'elle ferme les yeux appréciant la grosse langue de son moustachu, et la belle bite qu'elle a en bouche, une douleur aigue lui perce les tétons. Elle écarquille les yeux de surprise, les larmes montent, alors que les grosses paluches du balafré lui maintiennent la tête en gorge profonde.
- HUMMMMMMMPH!!!!!!
Le cousin avait bien préparé son coup, pendant que la belle fermait les yeux en proie à la bouche moustachue du turc, il avait profité du moment où il avait attrapé le chapelet anal pour se saisir des pinces à seins et de leurs masselottes. Etrangement, la douleur décuple les sens de Julie qui sent un nouveau type de jouissance naître dans son ventre.
Les petites masses tirent sur les tétons de l'adolescente, qui, les sens exacerbés par ces sensations, se saisit de la belle queue au fond de sa gorge, l'enserrant à la base des couilles. L'effet est quasi immédiat, elle sent les veines du mandrin de chair gonfler contre sa langue. Salivant abondamment, elle extrait la belle queue couverte de bave et la masturbe à grands "FLOC FLOC" visqueux, tout en continuant d'en aspirer le gland.
Maintenant, elle désire plus que tout sentir cette bite lui fouiller la chatte. Elle s'écarte à contre cœur de la grosse langue et tout en grâce, chevauche le balafré vautré sur le canapé. Elle fait face, à califourchon, au balafré et sa longue queue bien gonflées, écarte les cuisses au-dessus de son tortionnaire, et guide sa bite luisante à l'orée de ses lèvres avides d'une bonne queue.
Ses gros seins reprennent place en-dehors du corset attirés vers le bas par les petites masselottes pendant dans le vide. La douleur n'est rien comparé à l'extase qu'elle ressent en se masturbant à l'aide du gros gland turgescent contre son clitoris tout gonflé. Elle couine de plaisir.
-HUN HUN, Oui Oui, Ouuuuuh! Oooooh!
N'y tenant, plus, elle s'empale d'elle-même sur la belle queue, arrachant un gros râle de plaisir à son amant. Lui, en bon mâle, et de par son poids, décide qu'il ne fera aucun effort, si elle veut prendre son pied, elle va devoir se débrouiller toute seule. Julie s'appuie alors de ses deux mains sur son gros bide et, les pieds en appui sur le rebord du canapé, monte et descend à son rythme.
La douleur à la pointe de ses seins, accentuée par le balancement vertical des masselottes, est permanente. Ses cuisses commencent à la brûler à force de monter et descendre, la seule aide que lui apporte le molosse est de lui tenir les chevilles en position, pour qu'elle garde de bons appuis. Il est évident qu'il prend beaucoup plus son pied qu'elle. Pourtant, alors que la petite avait abandonné tout espoir de jouir dans cette position, elle sent soudain une tension écartant sa pastille, et avant qu'elle ne puisse réagir, le turc tire d'un coup franc sur le chapelet anal, sortant d'un trait les quatre boules métalliques.
-AAAAAAAAAAAAAAAH!
La jeune fille est terrassée par la jouissance, les jambes flageolantes, elle n'ose plus bouger de sa position. Le turc en profite, il soulève une Julie complétement désarticulée par dessous les cuisses, et présente son anus encore ouvert au gros gland de son cousin. Sous son propre poids, la petite asiatique s'encule d'elle même dans une sorte de lamentation de jouissance.
Il la fait ensuite pivoter sur son axe de chair pour lui faire face, et tourner le dos à son cousin. Il lui écarte les cuisses pour bien exposer son petit abricot, et y présente sa grosse bite bien dure pulsant de désir pour cette magnifique adolescente. Il l'embroche d'un seul et puissant coup de reins, arrachant un cri à la jeune fille. Ils la besognent alors en double et avec vigueur pendant de longues minutes, jusqu'à ce que le turc baragouine un truc en langage incompréhensible. Le cousin attrape alors les belles cuisses gainées de la jeune fille, alors que le moustachu tire sur les petites chaînes, réveillant ainsi la douleur dans les tétons de Julie.
-AOUUUUUUUUUUUUUUH!
Satisfait de la réaction de la petite, le bourreau redouble d'ardeur et la baise avec plus de puissance.
-AH AH AH AH! Oui prends moi bien, espèce de chien, fait moi bien jouir avec ta grosse queue!
La jeune fille, sentant ces deux belles queues entrer et sortir de ses orifices est sur le point de jouir. De nouvelles sensations montent dans le creux de ses reins, dans son ventre, et à la pointe maltraitée de ses seins. D'un dernier coup violent, le turc bute contre le col de la petite, et arrache un hurlement de jouissance à l'adolescente lorsqu'il tire d'un coup sec sur les deux pinces à seins comme pour mieux s'arrimer à elle.
La gamine s'effondre de plaisir sur le gros balafré qui pourtant maintient ses belles cuisses grandes ouvertes. Dans sa demi conscience, elle l'entend encore prononcer des paroles incompréhensibles, puis sent la grosse bite sortir de son vagin, mais pour se présenter contre sa petite pastille où est encore logé le cousin. "Non, non, qu'est-ce qu'ils font? Ils croient quand même pas qu'ils vont rentrer à deux?"
Prise de panique, Julie tente de se débattre mais elle ne peut pas lutter contre la poigne de fer du cousin. Les suppliant du regard, et se rappelant de la grosse queue de Marco, elle se dit qu'elle va morfler mais que ça pourrait rentrer.
-Je veux bien, mais faites doucement, s'il vous plaît!
Le gros moustachu se redresse, Julie se relâche, soulagée de le voir abandonner l'idée de la double anale. Masturbant son gros sexe luisant de mouille, il se redresse et étend un peu ses jambes dont les cuisses le brûlent à baiser la petite asiatique à moitié accroupi.
-T'inquiètes petite, je suis sûr qu'à deux dans ton p'ti cul d'salope ça passe!
Malgré la supplique qui se lit de nouveau dans le regard de Julie, le turc se repositionne sur le périnée de l'adolescente, la bite raide comme une barre d'acier dans la main. Il pousse pour essayer de faire entrer son gros gland dans le petit orifice déjà plein de la jeune délurée. Le molosse a beau s'abaisser au mieux afin d'aligner sa queue, le cul de Julie est bien plein et n'offre aucune brèche.
Sentir ce gros gland forcer son petit orifice excite maintenant l'adolescente dont la peur s'est évaporée pour faire place à un nouvel élan de perversité. Titillée par la possibilité d'une double anale, Julie veut sentir ces deux belles queues lui ramoner le cul. Elle prend alors ses fesses à pleines mains et les écarte pensant lui faciliter le passage.
Le moustachu redouble alors d'efforts pour satisfaire cette petite chienne qui en redemande. De sa main gauche, il tente d'écarter les muqueuses entre son pouce et son index, pendant que la droite pousse sur le gland pour perforer la petite pastille distendue.
-Putin, ça rentre pas! T'es trop serrée petite!
-Ouh (...) ouh, vas-y, crache sur ma pastille! Et fourre moi tes doigts, je suis sûre que tu peux m'élargir encore!
Raclant bien le fond de sa gorge, le gros sac crache un énorme molard bien épais et bien gluant sur la commissure anale. Avant que le glaviaud ne s'écoule sur la bite de son cousin, le moustachu trifouille le petit trou d'un doigt et le fourre brutalement dans le cul de Julie. Il la branle un peu en rythme avec la queue du balafré qui a repris sa sodomie, toujours vautré sur le divan. Dans le même mouvement, il tire un peu sur la paroi anale bien élastique, pour l'élargir. Bientôt un deuxième, puis un troisième doigt se joignent à la danse, comme encouragés par les cris de l'adolescente.
-Oh ... Oh ... Putin, la vache! Oui vas-y c'est bon! Tu me dilates bien salaud!
-Attends que j'te la mette dans l'cul, salope!
-Oui Oui, vas-y troue moi l'cul! HAAAANNNN!!!!!
L'anus de la petite asiatique est bien détendu par le mouvement des doigts et de la queue, le turc retire sa main et tente une nouvelle fois de pénétrer ce petit cul affamé de belles queues. Julie, le regard gourmand, écarte au maximum ses fesses et observe avidement le gros gland tenter une nouveau forage. Le turc force une nouvelle fois l'entrée du petit trou, accompagnant le mouvement de queue de son cousin. Ça y est le gland est entré.
-AAAAAAAAAAAAAAAH! Oooooooh putin, oui! C'est bon! Argh!
Le turc s'enfonce de quelques centimètres mais peine à aller plus loin la queue tordue par la position, Faisant toujours face à sa petite chienne asiatique, le turc attrape les cuisses de la petite et les lui rabat sur le torse, pour tenter un meilleur alignement de sa bite. Le cousin empoigne les jolies fesses et s'efforce de plus les écarter. Mais rien n'y fait, les reins de la jeune fille bloquent sur le gros bide et elle ne peut pas mieux aligner son bassin.
Julie, qui a pris goût à cette double pénétration veut sentir les deux belles bites lui ravager l'anus. De ses petites mains, elle repousse le turc, qui se laisse guider hors du petit trou. Ensuite, elle reprend appui sur le torse humide du cousin, et sur le bord du canapé, se décule, puis se relève, les cuisses et les genoux endoloris par la position en chien de fusil imposée par ses amants.
D'un petit sourire, elle attrape la grosse main caleuse du balafré, l'invitant à se lever, puis elle s'accroupit sur ses talons, entre ses deux enculeurs, et suce les deux belles queues pour les lubrifier et leur redonner un peu de vigueur. Après quelques "SLURP SLURP" bien baveux, la petite prend les choses en main, et, sûre d'elle, invite le cousin à s'allonger à plat dos sur le sofa.
Inversant sa position, elle enfourche alors son mâle allongé, ses gros seins, toujours lestés de leurs masselottes, fièrement tendus vers son enculeur. En appui sur sa main gauche, la jeune fille se retourne, cambrant bien les reins, puis de sa main libre, dirige le gros gland dans son petit anus détendu. "HUN" Elle se pince les lèvres de plaisir de retrouver cette belle bite dans son cul.
Enfin, le regard gourmand fiché dans celui du turc, elle écarte sa fesse droite pour l'inviter à rejoindre son cousin dans son petit trou tout chaud. Le gros moustachu ne se fait pas prier, il est déjà à genou derrière la belle croupe, la queue à la main, dirigeant son gland vers le petit trou bien ouvert. Il l'appuie contre la rondelle de Julie et pousse, la prenant en une levrette puissante, alors que la bite de son cousin progresse dans le boyau de l'adolescente. Julie sent son cul se dilater sous la pression.
-Ohhh! Hun, oui c'est ça! C'est bon, enculez-moi bien!
Le cousin passe ses grosses mains sous les cuisses de la belle pour bien les écarter, alors que le turc, une fois le gland bien en place dans l'anus dilaté, attrape les deux belles fesses pour les écarter au maximum. "AAAAAH, ils vont me déchirer!" Les deux gros sexes progressent maintenant inexorablement et sans résistance dans le boyau de la jeune fille.
Julie sent son cul s'ouvrir sans problème, la sensation est incroyable. La grosseur de ces deux queues cumulées et la profondeur de la pénétration la font hurler de plaisir. Ca y est, les deux bites sont en butée jusqu’à la garde, au plus profond du cul dilaté de la petite salope.
-Oh putin, c'est trop bon! argghh!
Les turcs, essoufflés et dégoulinant de sueur échangent encore quelques mots incompréhensibles, et entreprennent le pistonage de l'adolescente. Les cuisses et les fesses écartées au maximum, Julie sent les deux barreaux de chairs aller et venir le long de son boyau. Prise en sandwich entre ses deux amants gras et poilus, elle est enivrée par leur odeur de bière, de sueur, et par la moiteur de leur peau crade contre la sienne. Ils lui labourent le cul avec ardeur, arrachant des cris de plaisir à leur chienne.
-Ahhhahh! Encore! Oohhh! Salauds, elles sont bonnes vos queues! Ahhhahh!
Bien en cadence, ils lui démolissent l'anus. Julie est emportée, elle sent les chibres évoluer dans son boyau, la remplir, la dilater. Son cerveau s'enflamme sous les décharges de plaisir qui lui envahissent le bas ventre. Elle transpire dans la torpeur de la chaleur estivale, elle est écrasée sous le poids de son enculeur. Son corps est envahi de vagues d'extases, son cœur bat la chamade, emballé par les sécrétions d'adrénaline produits par l'excitation de la double pénétration.
Malgré la fièvre et des difficultés à respirer, Julie a des frissons, une chair de poule vive et rapide qui part aussi vite qu`elle revient. Fiévreuse, à bout de souffle, Julie adore se faire ramoner par ces deux brutes. Elle plante ses faux ongles dans le dos du cousin tant ils la font jouir.
-HUN ... HUN ... Putin, Oui! Baisez-moi comme une chienne! AAAAAAAAAAAAAAAH
(...)
Eric, le père de Julie, vient de descendre de son uber, complètement dépité de ce qui lui arrive. En effet, après une semaine merdique en déplacement, il était tellement heureux de retrouver sa femme chérie et son petit ange. Ils portaient les deux femmes de sa vie sur un véritable piédestal. Quelle déception de retrouver celle qu'il aime depuis tellement longtemps dans les bras de ce gros connard d'Hector, à se faire sauter par derrière comme la grosse truie qu'elle est. Heureusement, sa fille chérie l'avait tenue au courant de sa nouvelle adresse, et qui de mieux que sa petite Julie pour le réconforter.
Ne sachant pas trop où trouver l'entrée de l'immeuble où loge sa fille, il entre directement dans le bar de Marco pour la localiser. Il se présente directement à Noé qui tient la boutique en l'absence du patron. Ce dernier l'oriente vers l'arrière court un étrange sourire en coin.
-Vous trouverez la p'tite sal.. (une pause), euh votre fille au deuxième étage, M'sieur!
Pas certain d'avoir compris les allusions du jeune homme, Eric, longe le couloir adjacent à la cuisine, repère du coin de l'œil le vieux Jeannot et son clébard, puis se dirige vers la cage d'escalier. Il aperçoit la lumière allumée du deuxième et se réjouit de retrouver son petit ange. Il sait qu'elle est pratiquement une adulte maintenant, mais il la voit toujours comme la pré-ado qu'elle était il n'y pas si longtemps.
-HUN..HUN..tin..ui..aisez..oi..ienne..AAAAAAAAAAAAAAAH
Un petit rictus au coin de la lèvre, Eric imagine bien une jeune fille en train de se faire prendre par son copain dans un appartement voisin et qui aurait oublié de fermer sa fenêtre dans l'excitation du moment. "Ah la jeunesse! Eh ben y en a qui ne se gênent pas dans le coin! Elle pourrait être plus discrète cette petite garce! J'espère que ma petite Julie ne l'entend pas brailler!"
Mais son sourire disparaît à mesure qu'il s'approche du second pallier. Les cris de jouissance se font plus fort et bien plus précis.
-HAN HAN, Oui prenez moi comme une chienne! Putin, qu'est-ce que c'est bon! Ouiiii défoncez moi bien le cul, bande de porcs!
Il la reconnaît, il n'en revient pas, est-ce que c'est sa petite Julie, son petit ange qui braille comme une truie en chaleur? La mort dans l'âme, gagné par le désespoir de ce qu'il va découvrir en franchissant le seuil grand ouvert de cet appartement de la débauche, il franchit le seuil. Et là c'est le choc, son esprit semble flotter au-dessus de son corps inerte. Il s'arrête au niveau de la porte ouverte de la chambre, et observe incrédule, les deux turcs hideux, au corps luisant de sueur, en train de prendre en sandwich sa petite fille, les seins lestés, à l'air, secoués dans tous les sens sous les coups de bite.
Instinctivement, son regard se tourne vers la chambre dans laquelle il aperçoit une incroyable collection de sextoys étalés sur le lit. Qu'est devenue sa petite fille qui hier encore jouait avec ses poupées et venait le voir pour ses corrections de maths? Où est passée l'innocente adolescente qui s'habillait en jogging hideux pour que les mecs du lycée ne "l'emmerde pas"? Pour Eric, c'est le choc de trop, il en laisse tomber sa valise au sol.
"BOUM!"
-HUN ... (silence) Papa?
Julie, coincée entre ces deux amants, met un peu de temps à réaliser la présence de son père. Les deux compères déculent l'adolescente dans un bruit de succion, et le turc s'installe nonchalamment aux côtés de son cousin. Les deux montagnes de muscles et de graisses se servent une nouvelle vodka redbull et la sirotent la queue à l'air, et toujours bien dure.
Pathétiquement, Julie tente de se relever et se dirige douloureusement vers son père adoptif, les seins à l'air dans son corset, les masselottes pendant nonchalamment au bout de ses gros seins, perchée sur ses plateformes aux talons aiguilles, la chatte et l'anus dégoulinant entre ses belles jambes gainées de résilles.
-Papa, mais (...) Qu'est-ce que (...) Pourquoi (...)
"VLAM" La gifle, surprend l'adolescence autant qu'elle lui fait mal. Mal physiquement parce que son père, bien que moins baraqué qu'Hector, Marco ou le turc, a une sacrée poigne, mais aussi mal psychologiquement de s'être fait surprendre dans cet état de débauche par le seul homme qui ait toujours été là pour elle. Elle assume totalement son statut de chienne en chaleur, surtout après les expériences de ces derniers jours, mais elle aurait préféré l'annoncer à ses parents dans ses propres termes.
Blessée de s'être faite surprendre de la sorte, quasiment à poil, elle tente de prendre son père dans ses bras sans aucune pudeur, naturellement comme une fille ferait un câlin à son papa. Mais le déclic a été plus profond que ne l'avait imaginé Eric. Au contact de l'énorme poitrine nue de sa fille sur son torse, au travers de sa chemisette, il sent les effluves de cyprine et de sexe émaner de cette magnifique jeune fille. Il laisse alors exprimer les désirs enfouis qu'il a pour sa petite Julie. Il glisse sa main droite le long du corset, et laisse sa main gauche descendre sur les chairs charnues de son petit cul, il attrape son gros sein gauche à pleine main et doucement, tendrement, l'embrasse sur ses lèvres pulpeuses.
-Oy man, te gêne pas surtout mets-y la langue, elle baise comme une pro! Ha ha ha
-SLURP. Ne se faisant pas prié, il roule une pelle bien baveuse à sa fille tout en dirigeant son majeur droit entre les fesses encore luisantes des assauts du gros balafré.
Il s'approche doucement de la petite rondelle déjà en train de se refermer. Le contact de ce doigt fait réagir la petite, c'est son père qui approche son intimité, provoquant un vague de frissons sur tout son corps.
Ses tétons sensibilisés par le traitement des petites pinces, durcissent. Julie inspire un grand coup et se raidit au moment où d'un geste synchronisé, Eric pénètre l'anus de sa fille et tire violemment sur la chaînette pinçant la pointe de sein gorgée de sang. Elle se détend instantanément se délectant de ce contact à la fois doux et brutal.
"CLAC" Julie se raidit de nouveau, une troisième main vient de lui asséner une énorme fessée, c'est le balafré qui s'est refroqué et qui passe à proximité des deux amants, la queue encore à moitié durcie oscillant nonchalamment sous le tissu de son short.
-Vais chercher bières et pizza, grouille toi d'la sauter, ai pas fini avec elle! Au pied Maestro!
Le gros dog, qui était resté sagement dans la chambre, effleure la cuisse de l'adolescente de sa grosse truffe humide. D'instinct, il renifle la gamine en chaleur en train de se faire doigter par son père.
-Ha ha ha, vas-y tourne là un peu vieux!
Eric ne se fait pas prié, il a bien compris où voulait en venir cette brute. Il lâche le sein et la bouche pulpeuse de sa fille, et lui doigtant l'anus à la verticale avec ardeur, se place sur le côté. Julie aime se faire doigter par son père, elle ferme les yeux et ouvre la bouche de plaisir, s'appuie sur cet homme qui l'a élevée et, la tête penchée en arrière en appui sur son épaule musclée, se laisse guider aveuglément croisant les mains derrière la nuque de son père. Il glisse sa main libre sous la cuisse musclée de Julie, descend jusque derrière son genou et le soulève lentement pour en exposer la petite vulve.
Le chien plaque alors sa grosse truffe humide sur la petite chatte bien ouverte et luisante de mouille, et se met à la lécher de sa grosse langue rugueuse. Julie panique, son cœur s'emballe, ce molosse l'effraye, elle en a une peur bleue. Elle tente de se libérer mais le balafré maintient ses mains fermement derrière la nuque de son père. Eric lui aussi retient sa fille, il soulève encore plus sa cuisse pour l'empêcher de se débattre, et lui plante un deuxième puis un troisième doigt dans le cul.
-Détend toi ma puce, laisse toi faire, ne lutte pas! Tu vas prendre un méga pied!
Quelque chose de rassurant dans la voix de son père l'empêche de paniquer. Comme tout ce qui lui arrive depuis ces derniers jours, Julie prend malgré elle son pied à se faire fouiller l'anus par son père, et elle commence à ressentir les bienfaits de cette grosse langue chaude, humide et rugueuse qui lui lèche la vulve et le clitoris comme aucun homme auparavant. Et au moment où elle commence à vraiment prendre son pied...
-Allez Maestro, assez! Moi la dalle, vais chercher à bouffer!
La pression se relâche sur ses poignets, le museau canin lui libère le minou, et la petite se retrouve de nouveau sur sa faim, pantelante, dégoulinante de cyprine, flageolante en équilibre sur un talon et en appui sur son père. Elle est sur le point de défaillir. C'est une vraie torture que lui infligent les deux turcs depuis le début de la soirée, et elle n'a encore avalé aucune une goutte de sperme.
Son père libère sa cuisse et retire ses doigts de l'anus dilaté. Cherchant un peu de réconfort, elle tente de se blottir dans ses bras, mais ce dernier ne lui retourne pas la pareille. Elle tente de le comprendre mais note une nouvelle froideur dans son regard devenu sombre.
-Oy l'ami, viens me rejoindre! Et ramène c'te p'tite pute qu'elle s'occupe un peu de nous!
Eric se détourne de sa fille, et attrape les petites chaînes pincées sur les tétons de sa fille. Il se dirige vers le salon, tirant d'un coup sec sur les chaînes, signalant à la petite chienne de le suivre. Leur relation est en train d'évoluer et prend une tournure que Julie n'avait pas anticipée. Un peu perdue, et encore flageolante des derniers traitements qu'elle vient de subir, elle le suit sans résistance.
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