Julien venait d’avoir 18 ans (6)

Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Julien venait d’avoir 18 ans (6)
Julien venait d’avoir 18 ans
Chapitre 6
Célestin !
Célestin, qui l’appelait, quelques secondes à peine après son “ Salut ça va “.
Décidément, ce jeune homme n’était pas timide.
Eric hésita à décrocher, par peur, par lâcheté, alors qu’il brûlait d’envie de voir Célestin, et même de se le taper.
Mais il le craignait aussi. Il craignait la fougue de son tempérament. Ses réactions. Ses excès, comme il l’avait montré le matin même.
L’entrée en matière le réveilla de sa torpeur, et confirma ses craintes :
- Alors, le pédophile, on se soumet ?...
Eric resta sans voix... sans savoir s’il plaisantait ou pas...
Il n’eut le temps de rien dire, car l’autre enchaîna de plus belle, montrant qu’il ne plaisantait pas :
- J’ai cuisiné Julien quand il est rentré, il m’a bien confirmé que tu l’avais pécho mineur... t’as pas honte ???
- Mais c’est pas vrai !!
Là, Eric eut la force, comme le réflexe, de répliquer. Il savait, évidemment, que ce n’était pas vrai, et donc que Célestin mentait, ou du moins bluffait.
Il n’en était pas moins sous la crainte de sa réaction, car sa personnalité lui faisait peur, et ce qu’il venait de lui dire montrait qu’il était prêt à tout.
La suite allait le prouver.
- Bon, écoute, ça fait longtemps que j’ai envie de te baiser, tellement tu m’excites.
Je vais pas me gêner pour profiter de la situation...
Je suis chez moi là, dans l’immeuble, je t’attendrai à 14h30, au premier arrêt de bus dans la montée, tu me récupèreras avec ta caisse, et on ira dans mon petit studio, en ville.
Et t’as intérêt de venir, et de te soumettre, sinon je dis tout à mon père... et tu le connais, s’il apprend ça, il le tue...
La parole était excessive, bien sûr, mais l’argument avait son poids.
Eric connaissait, évidemment, le père des garçons, qui était d’ailleurs un homme charmant et même charismatique, du reste il avait avec lui les meilleures relations du monde, mais cet homme était quelque peu sanguin - les chiens ne font pas des chats - et Eric se souvenait de deux ou trois réactions de sa part, à la piscine, à l’occasion de matches quelque peu ratées par ses fils, et qui montraient son caractère bouillant et ombrageux, et sa main leste...
Non, Eric se disait qu’il était dans de sales draps. Il n’arrivait même pas à se réjouir du plan qu’il allait faire avec Célestin, ce que, même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait pu imaginer...
D’abord il était un peu crevé, et, après sa nuit avec Julien, n’aurait pas été contre une pause. Même si Célestin lui plaisait particulièrement, il ne se voyait pas enchaîner, tout de suite, un plan avec lui. Il avait quand même joui deux fois pendant la nuit avec Julien, et surtout, les conditions de contrainte que lui imposait le jeune homme l’avaient quelque peu refroidi.
Il n’empêche, il n’avait pas le choix, et était obligé de se soumettre au diktat de Célestin.
Il verrait bien ce qui se passerait...
Il prit une bonne douche, bien chaude, qui le requinqua, et se prépara doucement.
Il fit exprès de ne pas mettre de caleçon sous son jeans, ni de tee-shirt sous son polo, ni de veste d’ailleurs, il faisait bon et il n’avait pas envie de se charger.
14h25, le temps d’un dernier coup de peigne, un peu de parfum, et il quittait son appart pour aller chercher sa voiture au sous-sol.
Il fut soulagé de ne croiser personne, et était pile à l’heure au rendez-vous.
Il était là, évidemment, cheveux au vent, tout de noir vêtu, avec un tee-shirt à manches longues en haut, et un jean noir en bas.
Eric constata que lui aussi n’avait pas mis de veste, et se demanda si lui aussi n’avait pas de caleçon sous le jean.
Il ne put s’empêcher de le regarder, souriant, fier, ce jeune dégoulinait de bogossitude et de morgue, mais il devait en convenir, il était sacrément sexy.
Eric ne put s’empêcher de penser que dans quelques minutes, cette chair encore juvénile serait à lui, lui appartiendrait, ne serait-ce que quelques instants. Ça valait le coup quand même...
Lorsqu’il monta dans sa voiture, Célestin le salua d’un tonitruant “Salut !”, comme lancé à la cantonnade, et il entra d’emblée dans le vif du sujet :
- Alors, ça y est ? Tu t’es décidé ? On va baiser ? Enfin ... !
- Tu ne m’as guère laissé le choix...
- Quoi ? Tu me dis que tu viens uniquement parce que tu cèdes au chantage ??
Je dirai rien tu le sais bien, je sais que t’as attendu que mon frère soit majeur, je sais que t’es un mec bien, et que t’es pas un pédophile...
Célestin reprit plus doucement :
- Je voulais que tu viennes, c’est tout. Maintenant que tu es là je veux savoir si tu en as vraiment envie. Je te menace pas. Soit tu en as envie et tu viens. Sinon tu repars.
...
Alors ?
- Oui, j’en ai envie, on y va.
- À la bonne heure... fit Célestin dans un grand sourire.
Il avait gagné, il était parvenu à ses fins. Sans avoir à trop manoeuvrer.
Eric démarra, et, au bout de quelques minutes, ils se retrouvèrent dans le studio de Célestin qui, dès qu’ils entrèrent, baissa le store de la porte-fenêtre.
Très vite, le jeune homme fut entreprenant.
Il colla Eric contre le mur de sa pièce à vivre, et reprit la pelle là où elle s’était arrêtée le matin même.
Eric répondit avec fougue au baiser de Célestin, et brûlait d’envie de connaître, enfin, ce corps qui le fascinait depuis déjà plusieurs années.
A suivre...
Chapitre 6
Célestin !
Célestin, qui l’appelait, quelques secondes à peine après son “ Salut ça va “.
Décidément, ce jeune homme n’était pas timide.
Eric hésita à décrocher, par peur, par lâcheté, alors qu’il brûlait d’envie de voir Célestin, et même de se le taper.
Mais il le craignait aussi. Il craignait la fougue de son tempérament. Ses réactions. Ses excès, comme il l’avait montré le matin même.
L’entrée en matière le réveilla de sa torpeur, et confirma ses craintes :
- Alors, le pédophile, on se soumet ?...
Eric resta sans voix... sans savoir s’il plaisantait ou pas...
Il n’eut le temps de rien dire, car l’autre enchaîna de plus belle, montrant qu’il ne plaisantait pas :
- J’ai cuisiné Julien quand il est rentré, il m’a bien confirmé que tu l’avais pécho mineur... t’as pas honte ???
- Mais c’est pas vrai !!
Là, Eric eut la force, comme le réflexe, de répliquer. Il savait, évidemment, que ce n’était pas vrai, et donc que Célestin mentait, ou du moins bluffait.
Il n’en était pas moins sous la crainte de sa réaction, car sa personnalité lui faisait peur, et ce qu’il venait de lui dire montrait qu’il était prêt à tout.
La suite allait le prouver.
- Bon, écoute, ça fait longtemps que j’ai envie de te baiser, tellement tu m’excites.
Je vais pas me gêner pour profiter de la situation...
Je suis chez moi là, dans l’immeuble, je t’attendrai à 14h30, au premier arrêt de bus dans la montée, tu me récupèreras avec ta caisse, et on ira dans mon petit studio, en ville.
Et t’as intérêt de venir, et de te soumettre, sinon je dis tout à mon père... et tu le connais, s’il apprend ça, il le tue...
La parole était excessive, bien sûr, mais l’argument avait son poids.
Eric connaissait, évidemment, le père des garçons, qui était d’ailleurs un homme charmant et même charismatique, du reste il avait avec lui les meilleures relations du monde, mais cet homme était quelque peu sanguin - les chiens ne font pas des chats - et Eric se souvenait de deux ou trois réactions de sa part, à la piscine, à l’occasion de matches quelque peu ratées par ses fils, et qui montraient son caractère bouillant et ombrageux, et sa main leste...
Non, Eric se disait qu’il était dans de sales draps. Il n’arrivait même pas à se réjouir du plan qu’il allait faire avec Célestin, ce que, même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait pu imaginer...
D’abord il était un peu crevé, et, après sa nuit avec Julien, n’aurait pas été contre une pause. Même si Célestin lui plaisait particulièrement, il ne se voyait pas enchaîner, tout de suite, un plan avec lui. Il avait quand même joui deux fois pendant la nuit avec Julien, et surtout, les conditions de contrainte que lui imposait le jeune homme l’avaient quelque peu refroidi.
Il n’empêche, il n’avait pas le choix, et était obligé de se soumettre au diktat de Célestin.
Il verrait bien ce qui se passerait...
Il prit une bonne douche, bien chaude, qui le requinqua, et se prépara doucement.
Il fit exprès de ne pas mettre de caleçon sous son jeans, ni de tee-shirt sous son polo, ni de veste d’ailleurs, il faisait bon et il n’avait pas envie de se charger.
14h25, le temps d’un dernier coup de peigne, un peu de parfum, et il quittait son appart pour aller chercher sa voiture au sous-sol.
Il fut soulagé de ne croiser personne, et était pile à l’heure au rendez-vous.
Il était là, évidemment, cheveux au vent, tout de noir vêtu, avec un tee-shirt à manches longues en haut, et un jean noir en bas.
Eric constata que lui aussi n’avait pas mis de veste, et se demanda si lui aussi n’avait pas de caleçon sous le jean.
Il ne put s’empêcher de le regarder, souriant, fier, ce jeune dégoulinait de bogossitude et de morgue, mais il devait en convenir, il était sacrément sexy.
Eric ne put s’empêcher de penser que dans quelques minutes, cette chair encore juvénile serait à lui, lui appartiendrait, ne serait-ce que quelques instants. Ça valait le coup quand même...
Lorsqu’il monta dans sa voiture, Célestin le salua d’un tonitruant “Salut !”, comme lancé à la cantonnade, et il entra d’emblée dans le vif du sujet :
- Alors, ça y est ? Tu t’es décidé ? On va baiser ? Enfin ... !
- Tu ne m’as guère laissé le choix...
- Quoi ? Tu me dis que tu viens uniquement parce que tu cèdes au chantage ??
Je dirai rien tu le sais bien, je sais que t’as attendu que mon frère soit majeur, je sais que t’es un mec bien, et que t’es pas un pédophile...
Célestin reprit plus doucement :
- Je voulais que tu viennes, c’est tout. Maintenant que tu es là je veux savoir si tu en as vraiment envie. Je te menace pas. Soit tu en as envie et tu viens. Sinon tu repars.
...
Alors ?
- Oui, j’en ai envie, on y va.
- À la bonne heure... fit Célestin dans un grand sourire.
Il avait gagné, il était parvenu à ses fins. Sans avoir à trop manoeuvrer.
Eric démarra, et, au bout de quelques minutes, ils se retrouvèrent dans le studio de Célestin qui, dès qu’ils entrèrent, baissa le store de la porte-fenêtre.
Très vite, le jeune homme fut entreprenant.
Il colla Eric contre le mur de sa pièce à vivre, et reprit la pelle là où elle s’était arrêtée le matin même.
Eric répondit avec fougue au baiser de Célestin, et brûlait d’envie de connaître, enfin, ce corps qui le fascinait depuis déjà plusieurs années.
A suivre...
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